Le bruxellois: journal quotidien indépendant

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s.n. 1915, 18 Juli. Le bruxellois: journal quotidien indépendant. Konsultiert 19 Mai 2024, https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/de/pid/bn9x05zw7f/
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DEUXIEME AïmEE. _ N» E90. m&MM JUSTIFIÉ UUtffiPLAIREa EDITION B IÎIM1K0BE LE BRUXELLOIS j±œQwwjaij%a:œTsr7rm, i i ams lâ iteesc — S moi», ? franc». — 3 a©is» 4 &ftsa$s I moisp 2 &saet> Journal QTxc>ti4»ip lnd.éPelr" ^^■Xî- * RSIBiAOriON, ADRÉiiiKATlON; PUBLIClt v .««. "JBiT'îi.aK® i1® * *&mr SRI»» 3îs®s^^I— ajstiwoï'W^ - . u - Petites annonces! » uSBO L'attitude de la Bulaarie Tout d'abord, quand on examine l'attitude de la Bulgarie vis-à-vis des deux groupements de puissances belligérantes, on ne doit pas perdre de vue que cette attitude est déterminée par les conséquences de la guerre balkanique de 1912-1913 et par le traité de paix de Bucarest du 10 août 1913. On n'ignore pas que les principales forces turques étaient concentrées contre les Bulgares. Par sa marche rapide en Thrace (victoires de Kir-lnlissé, Lule Bourgas et Bulaïr), l'armée bulgare refoula les Turcs vers Constantinople. coupa les communications entre les deux armées turques, opérant l'une en Thrace et l'autre en Macédoine et facilita énormément la besogne de ses alliés. Le peuple travailla étroitement uni. de là son succès, en ■" le de la délivrance de ses concitoyens en Macédoine. Hélas! Grâce à l'infidélité de ses alliés qui déchirèrent le traité d'alliance et grâce en partie au manque de clairvoyance de Ferdinand et surtout de ses conseillers, civils et militaires, tous déterminés russophiles, la Bulgarie fut envahie de cinq côtés par les Roumains, les Serbes, les Monténégrins, les Grecs et les Turcs et spoliée du fruit légitime de l'œuvre en vue de laquelle elle travaillait depuis son existence comme royaume indépendant. Le tzar russe refusa môme d'accepter son rôle d'arbitre lors du partage du territoire conquis ainsi que le stipulait le traité d'alliance serbo-bulgare. Il resta spectateur indifférent de la lutte fratricide et autorisa même, s'il ne l'y poussa, la Roumanie à dévaster la Bulgarie du Nord. Après la paix de Bucarest, oi ne doit plus par- , 1er aux Bulgares d'une nouvelle alliance balkanique. Depuis lors, la Russie a vu sombrer son influence en Bulgarie. Le gouvernement russo-phile de Daneff et de Gueschoff tomba et fut remplacé par celui du parti libéral de Radoalavoff ( Aussitôt que le conflit européen éclata, le gou- , vernement de Radoslavoff crut venu le moment .^'■^orable pour la renn>e J1"-'- FVyipresse et les politiciens commencèrent alors à préparer l'opinion publique et le P^P1» en vue d'une invasion en Macédoine serbe. Le pays était exclusivement sous 1 j politique des puissances centrale». L» BiUgar» avait décidé de marcher avec elles contre la ber bie On vota au Sobramé le premier crédit de 50 millions de francs pour la mobihsation et cm donna plein pouvoir au gouvernement pour agii et mettre le pays en état de guerre, es liés bulgares 'de Macédoine participèrent au* manifestations patriotiques et formèrent des corp de volontaires prêts à envahir avec l'armee leu Macédoine. Mais le neuple, fatigué, vit encore aous 1 un pression des horreurs et des souffrances de la dei mère guerre D'autre part, les paysans sont foi tement organisés dans le parti de 1 union agrair oui entend maintenir la neutralité. Le gouvern< ment envisagea sagement la situation et sous pression du parti de l'union agraire, des rad canx et des socialistes, abandonna son projet. I première crise était passée. Le gouvernement d Clara vouloir garder une stricte et loyak neutr lité vis-à-vis des deux groupements belligérant Quelque temps après la Turquie intervint da. la guerre européenne. Alors les partis russophi ei les nationaux de Gueschoff, les progressistes ' Daneff et les démocrates de Mahnoff énte&nère une campagne en faveur de la Tnple-Entent « Le moment, disait Daneff, pour une interye tion bulgare est venu. Pour que la Bulgarie puis réaliser ses idées nationales, il faut m^her cc 4re la Turquie, i Us essayèrent de gagner le p« nie et de renverser le gouvernement libeTal, m: ils échouèrent. Le peuple, désirant la paix, s< .. . > nui déclara de nouveau c la Bulgarie garderait une stricte et loyale neutre lité. Ainsi la seconde orise pour la Bulgarie pas» encore une fois. Le 23 juin surgit l'intervention de l'Italie. Le aspirations italiennes vers la partie ouest de 1 péninsule balkanique orientèrent non seulemen la politique bulgare, mais aussi celle de tous le pays balkaniques. Jusqu'à présent la Bulgari avait rejeté toutes les propositions d'alliance ave la Triple-Entente comme insuffisantes et impré eises. La Bulgarie veut savoir quelles compensa tions on donnera à la Serbie, à la Grèce et à 1 Roumanie pour les territoires que ces royaume ui céderont.Avant que l'armée marche,dit-on,ell doit occuper les territoires promis. Instruit pa l'expérience du passé, le gouvernement bulgâr ne se paie plus de promesses, mais exige des réali tés précises. Les puissances de la Triple-Entent ne sont pas en état de satisfaire la Bulgarie. Ai surplus, le peuple veut continuer à vivre en paix La situation économique de la Bulgarie étai très ébranlée après la guerre balkanique. La Bill jarie doit se refaire d'abord au point de vue éco aomique et reconquérir sa situation antérieure. L meilleur client du marché bulgare est la Tur juie. Les fabriques textiles bulgares travaillen îxclusivement pour la Turquie. Les céréales, li Eromage, les légumes, le bétail, etc., trouvent ac tellement un débouché immense et sans rival ei I'urquie. Les fabricants, les commerçants et tou e peuple réalisent des bonnes affaires. Les am citions et les visées italiennes sur les Balkans on 'onvaincu de plus en plus la Bulgarie qu'elle doi .'arranger toute seule avec ses voisins et le dési: lu peuple comme le souci de la prospérité di iays exigent que la crise se dénoue d'une manièri pacifique. Ainsi la Bulgarie sortit de la troisièmi irise que causa l'intervention italienne et entami les négociations avec la Turauis . cfeeff "ëSl. ï 11 Pr°P°®a fV!,b, a cession de toute la rive droite du f euve ritza et par conséquent toute la ligne de che de fer qui va de Philippopoli par Andrmople le port bulgare sur la mer Egee a Dedeagai Cela constitue un territoire de 2,500 kilome carrés avec la gare d'Andrmople «tuée au -fourg de Karagatch, puis la ville de KouJ Bourgas. qui est le point de jonction des cher de fer vers Constantinople, Dedeagatch et oo ce territoire comprend également la ville de : metica où était dernièrement le quartier géB > bulgare. Les Turcs cèdent cette partie et sont • posés maintenant à céder la ligne Enos-Midia cette manière la Turquie arrange toutes les c - tions pendantes entre elle et la Bulgarie. Lue - reviser le traité de Bucarest et entend consf - avec la Bulgarie une amitié et une paix dura e Le peuple bulgare soutient et ratifie de i- cœur cette entente et ne veut pas davantage a II en résulte qu'après cet accord heureux l" la Turquie, le gouvernement bulgare s adre a à ses autres voisins, surtout aux Serbes, poi obtenir également la revision du traite de J J" rest que, d'ailleurs, les Serbes et les Grec 3- violé en occupant l'Albanie. De leur boni 18 lonté dépend une solution pacifique des 1 : rends balkaniques. Les grandes puissances ie suivent toujours leurs buts égoïstes. Les pay kaniques ne leur servent que d'instruments. e- reste à ces derniers que de procéder a un ri n" chement possible, à une solution pacitiq «e amicale de différend» qui les divisent, en re b- la paix factice et injuste de Bucarest et i pliquant rigoureusement le principe : c Jje lis kans aux peuples balkaniques, i "e ^ Pierre HANTCHE Un attentat contre les Epoux Caillaux Un attentat contre les tpoux wiim rw»— """ —» •"p"'' — i srdaSittÏÏ; SS5SIK la date du 13 juillet : f d» sang. La folice arriva «près 1 attenta* r ir-n-aise supprime de» articles re- • ,m état ïrièvement blessé Caillaux et sa 1 t6un IttMtat^commis contre Caillaux et son i fureI1t transportés sous des cris de menât latifs a un attentat, commis fonU à u cliniqlle du docteur Doyen. épouse. ln-nJi matin Le journal annonce, d'autre part, que p Lorsque les époux Caillaux ren , 1>auto politiciens parisiens ont reçu des lettres une promenade en automobile J' ge - tè. Bftce d'être lynchés en cas où ils n aba brusquement arrêté. .PiUi^f^Xnt avecd^'s i ratent pas leur propagande .our la paix. Lisez en TROISIÈME] flf pÊfUE-PAQE les dern'ers télé-; UCrJUfl «>o<amftlP-S arrivés Oêîldsllt ï Paris, 14 juillet. - Havas annonce gfSîKSBllë® - . Palmas : Le vapeur argentin Patagonia LA GUERRE Communiqués officiele alle," s a 1 RECTIA ÏION i Dans le communigWkôTtiand d hier, unc t 'phrase a été oubliée à lav > une faute de trans- s mission. Nous répétonsV'- le passage en ques s tion comme il doi.t être L . i* Au nord-est de Vièjfre-Château, la l9ne - française a été prise a,-ne largeur d envii on . 1,000 mètres. 1 offtcie\01.37 hommes ont ete i faits prisonniers, 1 mit43 i< se et un lance-mmes s ont été capturés. ,:0i 3 Au sud-ouest de Botenlles, nos troupes on v pi*is d'assaut la positif a hauteur sur une lar- î geur de 3 kilomètres et & profondeur de 1 M °' mètre. La hauteur 265 i/a.~Fille Morte) est ei 5 notre possession. i r< AUTRICss ;ns t iic i Théâtre de la < ^rre russe Vienne, 16 juillet. (H> ) — La situation g i j nérale est inchangée. Au a jestr, en aval de * 1 niow, il y a eu à plusieur^'widroits, à la rive se ,7„ i s«l nrnhmQ iavorabies . i l'occasion desquels nous avons fait J nos troupes et a l occ hommts prisonniers. à V ennemi *a guerr9 italien i* >«"",■ d'artillerie plus vl° , -, ^ tentèrent égale-lé es du plateau de Doberd» ZS&ZfêS*. •• *r»- roi;rien d'impartant n'est arrivé. ITALIENS Rome, 14 juillet. — La situation n'a pas sub de changement. russes •' ■ — T,es combats loewx, l Pétrograde, lj ^ contin^nt.Pri> d'Ossowtch ,ront dv. Sobr et %^rmerie du u juillet am toir ,w U y a e»-m combat d artiU* _ ^ onnonce un /«« d u g«'a« lendemain matin, U 1 , de Pissa. °'à cU. Calme les *»tres fronts. Tur«j" Constantinople, 15 îuill£o \ danelUs il ® 9 à l'exception d'un fai- Burnu et de Sedd-ul-Bahr a l excef ^ ^ {0T_ ble duel de feu. Une\ ar ^-transport ennemi, pilleur ennemi et i,„. J'Ari-Burmt, coula "àne ri?.--"*™"'» f t talent avances de i]Hirirnent leur tâche dans m. «aausSïB&s, if '• la nuit du là 1uj2e*j,am.ès_midi du lendemain, th ' minuit jusque dans l «W* ioUnt feu #ar rêtèrent l'ennemi malgré son Nous tUlerieetluiin^gèrenU^tes^ m t avons compté dans leJ:', ueh plusieurs officier* 5 ennemis tombés, pa emporta à deux en- . anglais. En outre morts et des r i droits, gui en ^^.TZ'lieutenant et de 6 l blessés. No'perfe/ «I blessés Les canons de gros l- soldats tombes et d - • contre nos H \ calibre de l'ennemi ont Imce ^ M h i mniitnons* mais ne oLes*urvy î arrivé ici de Cadix, décla',1 lavoir heurte en r°y une mine flottante qui d<" M_ait dans la direc i i J du sud-ouest à une vitesse'«un mille par heure. GUERRE SOi IMARINE Londres, 14 juillet. —. annonce de °v, [ York au Daily Telegm Bli : Les journaux < . Hearst déclarent : Person» I r > sait quelles icg» s > du droit des gens sont ap) JB. .i îles à la gu lie i sous-marins, attendu qu'i ™ ■ tle_date_si îecen _ j " ' ' SUR Mb* ta- Berlin, 15 juillet. - Le juOlet le ministère ain de la Marine française pubfa officiellement que -ers deux sous-marins allemand- ont ete bombardes ch le 4 juillet dans le canal ( lia Manche par des très navires de la deuxième est lre française legere 'au- et qu'un sous-marin avait et Bouche par plusieurs els- I obus. Comme nous l'appreno de source autorisée linsl les sous-marins allemands \e viennent pas en fia; question ici. Il ne peut doi, s agir que de^sous-Di- marins français ou anglaislui ont ete errone-éral I ment touchés par les dites f'Ses navales françai- ^ ! S6S' LA g 3rre aerienne ues! Paris, 15 juillet. — Ou ailbnce de Madrid au fait Petit Parisien : Des quatre droplanes qui ont ■rver entrepris hier de Gibraltar voyage de recon-bles. naissance, deux seulement s< revenus Le troi-tout ! sième est tombé à la mer, lj occupants ont ét_ I sauvés. Du quatrième on re- sa.ns aucune nou- avec I velle. ssera I FRANCE. - Mutatiorilans l'intendance îr en I pes abus ayant été révélés vns certaines admi 5uca- nistrations dépendant du miltère de la guerr, 3 ont français, des changements ( personne ont et. e ™- 0„érIs dans l'intendance. L ^urnal officiel pu aiffé- blie un décret appelant troieouveaux fonction Pour' J uaires aux places les plus en 'è de 1 administra s bal- j tjon militaire. r| Il ne j france. — Bchi » de prisonniers ippr0I Un nouveau train spécial nmené en Eranc e| I 2 officier», 21 officiers de sar 13 sous-officiei visant j ^ hommes invalides; cemn est parti hie f B"Pl" | (le Constance pour Lyon. I ANGLETERRE. — Navire» «fi en construction Berlin, 15 juillet. — On annee d'Athènes a EF. Berliner Tageblatt ; L'Amirsé anglaise a pe mis qu'au lieu des quatre torveurs en constru "■S® tion pour compte (lu gouvernent grec sur 1 chantiers anglais et saisis lors 1 explosion de 11 Y guerre, quatre autres seront eu ohantifTV Conseil de l'Amirauté grecq'l recommande f commande, mais le Conseil d^mistres a rese lement ^ ^ décision jusqu au 13 aov ouvert» ANGLETERRE. — Avior aviateur brûlés Bâle 14 juillet. — Le Pettansien apprei , de la de Londres que l'aéroplane c^ruit par lien < Lilley a pris feu au-dessu» » foghton et q usieur» i l'aviateur a été brôlé. ï ANGLETERRE. j'uiisie de navire adonTe- ! Christiania, 15 juillet. -4,près une n( I velle de Narvik au Morgenbld un vapeur si 1 dois probablement le Ernst 0] j, en route ai ~ i du charbon de l'Amérique à , k, a ete air & ieudi soir par un croiseur ai lire anglais 1 mille environ de Yaeroe. Po tant qu on i le remarquer, le croiseur mit LJ (lu vapeur o-rand nombre de matelots, qie poussa cher et alla ensuite dans la dire. f:Jsud-ouest. , de La» croiseur alla ver, le Sud. On^qu il comm , qui est da au vapeur d aller à Kirkwd.. RUSSIE— Les « Gra^r;tiennent ies « Petits « 1 ^ ■ n + _ Le Nowoie Wremja | Pétrograde, 14 lulU®K,An ieterre ont pris sur affirme que lajrance e R rbig et de la ^t-ï-ïa S^ie agdTensé ^ li<m9' ITALIE. - Pa» de journalistes aul Iront serait rendue impossible par les autorités militaires italiennes. LA GUERRE AUSTRO-ITALIENNE Bâle, 15 juillet. — Le colonel Mûller écrit entre autres du territoire montagneux du Tyrol méridional au Neue Zuricher Zeitung : Les positi ins autrichiennes sur les hauts plateaux de Eolgaria et de Lavarone sont de plus en plus et :DJ'leu^ le.~ tranchées, de manière qu'on peut dire a bon droit que toute le territoire montagneux entre 1 Etsch-land et la vallée de Lugana à la ligne méridionals de la position des troupes autrichiennes ne formf qu'une seule forteresse compacte, pour la prise ai laquelle il faudra une troupe assaillante numen quement supérieure, audacieuse et méprisant 1. mort. Tous les moyens techniques ont été_ em ployés pour fortifier cet hérisson géant qui étenc ses piquants vers tous les côtés pour la défense Ce qui est toutefois le nlus important : Ces ligne d obstacles étendues, naturelles, transformées t une forteresse de barrage par tous les moyens d l'art technique, sont armées de tireurs hors ligne méprisant la mort et de sangfroid, qui tirent i ! moment où ils peuvent prendre l'ennemi sous eu ; feu, où cela leur est permis, et qui peuvent inem passer à l'attaque pour se jeter sur cet ennen dans un sentiment de colère et avec une force rcsistible, comme l'ont fait les combattants ( 1809, dont les actes héroïques ont actuellement u écho dans le cœur des jeunes gens et des vieillar dans ce pays sacré du Tvrol. e AUTRICHE. — Une note à l'Amérique ' Le ministre des affaires étrangères d'Autricl vient d'adresser une note a 1 ambassadeur d A triche à AVashington, en le priant de la transmt tre télégraphiquement au gouvernement amei u cain. Dans ce document diplomatique, le bar' f* Burian insiste pour que l'on interdise (l'export 3" encore des armes et des munitions des Etats-Un AUTRICHE. — La situation à Lemberg p Amsterdam, 14 juillet. — Le Korr Nord [t annonce que. d'après des nouvelles de \ len. J l'Université de Lemberg a repris ses cours. EN GALICIE. — Situation actuelle Le Times apprend do St-Pétersbourg, en date du 1 J Relativement à W nouvelle que les Russes se » ld maintenus sur la rive droite do l'Urzenowka (afflu de la Wiznica), il en ^résulte qu'ils ont recule 8 kilo. ue très vers lo nord afin de ne pas être exposé» au dan d'une attaque imprévue de l'armée de Mackenf Quoique Je communiqué officiel ne dise rien de cet < U" noment, on croit que le front près de Bychawa a lé- également rectifié tant soit pou, afin de le mettrs rec concordance avec la ligne de l'Urzenowka. A Gri îté wice les Allemands étendent leurs contacts vers le ti à russe, afin de définir la direction d'une nouvelle p >ut sée en avant. On attribue une grande miportance un tentatives des Allemands et des 'Autrichiens de déve lin per les opérations à Ja ligne du Bug et du Dniei Le dans la direction de l'Est. L'offensive commenc M. Kowpek au Dniester a pour but probablement dei clar l'aile gauche des Russe» à la Zlota-Lipa. Il ttS&Z &T- vre à l'aile droite ésultat décisif, Jes Russes se tentatives avaient eu un d'évacuer leurs posi- seraient trouvés dans la un6 nouv6lle ligne , tions à la Zlota-Lipa et d occuper 19 long du Seret _ Znmlid annonce 1 Copenhague, 15 juillet. Narew et que cyz-Lydraia. CITr.nr. — T.a ilotte suédois? Berlin, 15 juillet. — On annonce de Copenhague : Hier une escadre suédoise, composée de trois croiseurs cuirassés ot de quatre torpilleurs, ont passé l'Oeresund se dirigeant vers le nord. L'ap parition de si importantes forces maritimes à la côte ouest de la Suède est mis en rapport avec. la violation presque journalière de la neutralité sué dnisp oar des navires de guerre anglais. ETRANGER 1 ANGLETERRE. — Qrèvt Quasi générale. — Brusel- ; i6Sj jg juillet. — On nutnde de Londres : Les mineurs de > South-Wales (Galles du Sud), refusent de suivre l'ordre • du gouvernement de reprendre le travail. La grève par-L mi les mineurs de la Galles du Sud est presque géne- 1 ANGLETEEBE. — La situation au Pays de ■ Galles et en Ecosse. — Londres, 15 juillet. — Ou s I annonce de Cardiff au Daily Chronicle ■ 11 P1*- I j raît guère possible d'empêcher la grève jeudi pio-e chain dans les mines de charbon galloises. La si-. tuation est si grave qu'Asquith et Lloyd George II j se rendront peut-être en Galles du Sud aim d e-r claircir les mineurs sur la gravité de la situation, e Le chef des mineurs Hartham a déclare que les li mineurs ne se laisseront pas influencer par les > menaces de Lloyd George. Si on tentait de sou-e I mettre les mineurs à la loi des munitions, la si-ii tuation deviendrait dix fois plus grave. ls Londres, 15 juillet. — On annonce de Glasgow au Times : Les mineurs écossais exigent coma» complément de salaires 1 shelling par jour. Ils le I ont obtenu récemment un complément d un demi-ii- I shelling. 't- ANGLETERRE. M. Grey reprend ses fonc-•i- tions au F»retàn Office. — L'Agence Reuter an-m nonce que M. Edward Grey a pris pairt hier pour er I la première fois depuis son congé au conseil des is- t ministres. ••ni. RUSSIE. — A la Douma. — Berlin, 15 juillet. en ! Après la réunion de la Douma, Szasanow fera, d'après i le Vossische Zeitung, une déclaration au sujet de rela-' J tions de la Russie vis-à-vis de ses alliés et vis-à-vis des I Etats neutres. Szasanow a primitivement pensé faire I cette déclaration dans une séance secrète de l'assemblée 3 : I plénière de la Douma, mais à la demande pressante de >nt J tous les leaders de partis, il y a renoncé. Be mimstro a 3rnt I décliné aussi, à cette occasion, de faire mention de «oi-T"' I disants cruautés allemandes, comme plusieurs membres j le la Douma le désiraient. 6U' 1 RUSSIE. — l^a situation monétaire. — Pé-j trograde, 15 juillet. - Des industriels de Pétro-e I grade ont remis au ministre des finances une de-I mande tendant à prendre des mesures pour l'amé-[ + I lioration de la valeur monétaire russe, dont le dus- 1 cours est de 25 à 30 p.c. au dessous de sa valeur, aux I ce l11' provoque à l'étranger une impression uer-,l0p. I nicieuse et entraîne de grandes difficultés pour iter, t le commerce. >e i I RUSSIE. — Bruit de retraite de M. Sasonoff. icer- 1 — Le Russkoje Slou'o assure que la retraite de y a I M. Sasonoff serait imminente. Son successeur ss-

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Dieses Dokument ist eine Ausgabe mit dem Titel Le bruxellois: journal quotidien indépendant gehört zu der Kategorie Gecensureerde pers, veröffentlicht in Bruxelles von 1914 bis 1918.

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