Le nouveau précurseur: journal du soir

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s.n. 1914, 02 März. Le nouveau précurseur: journal du soir. Konsultiert 25 Mai 2024, https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/de/pid/n29p26r13k/
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à 1'*.#» nn«TlilII7a 80' année — IV0 <5 f Le Nouveau Précurseur A.B03Sr3SnEaVŒnSTT3 " iNVRRfl «11 au 12.00 fr.; lii mol» G.60 fr.; trois mois 3.50 fr. toter1eur, ■ 15.00 fr.; • 8.00 fr.; » 4.50 £r. HOLLANDE? - 33.00 fr.; - 18.00 fr.; - 8 .00 fr. IIIXEMbourg, - 38.00 fr.; • 16.00 fr.; » 8.00 fr. union POStaLe, - 42.00 fr.; » 21.00 fr.; » 10.50 fr. Tout abonnement sa poursuit jusqu'à refus tormeJ. JOURNAL DU SOIR TfliïHlttS { JgSSïïiu», >•«(« { 39, VIEILLE BOURSE. - ANVERS. AisrisroisrcxBs r Objmwabm, 1apetiteHgne. fr. 0.30 ! Récio-mes, la ligne. . . fr. 1.50 » i k i lignes . » 1.00 Faits divers, la ligne . . • 2.50 FxNAZK&kus, kk ligne . . » 0.50 » Chroniqvb Axykbs ...» 3.00 Im tmnonms de ¥étnmfcr ci de la Beiptçua roçuee (tutti par l'Agence Bavas, 8, plaoe des Moriym, à BrxmciUs, S, Place de la Ëewree, à Paris, et 20, Hiçh Holkern, à Londres. I Plipnniniio anvoronie UHIUIII^MV VtU.W. WW.WW Deux duels à la frontière française. — Préjugés grotesques. - Les duels en ic Allemagne. — Une preuve de leur caractère frauduleux. — Rencontres estudiantines. — «Vivent q les étudiants, ma mère !» — A Anvers. ~\insTdonc, des jeunes gens, des Polonais habitant Anvers, et que leur nationalité avait rapprochés en notre ville au point d'en faire, sans doute, des amis, sont allés se battre à Baizieux. A la fin du premier duel, l'un d'eux fut I Jjiossé à la bouche, et, quoique souffrant ' | beaucoup, il se rencontra avec un autre adversaire qui le blessa à la joue droite.Quand vous lirez ceci, on aura d'autres détails peut-être sur l'origine de la querelle. Mais, en tout cas, ce que nous en savons nous fait penser à ce duel entre Jean Reynaud fil I Paul de Lavardens, dans 1' „Abbé Constan- I tjn-' deux amis, eux aussi.se battant pour I UI1 mot malheureux — et... nous incite t\ I nous demander comment il est possible I qu'un préjugé aussi anachronique que lo [ duel puisse survivre à l'illogisme et au ri-I dioule. C'est une manifestation grotesque qui doit [ disparaître,car c'est une fanfaronnade qui ne [ signifie rien, qui ne sanctionne rien que, [ dans certains cas, la mort d'un malheureux. [ Il suffit d'un peu de nervosité, voire d'un I rien de maladresse pour faire de l'un des belligérants une victime. En fin de compte, i sans que la rencontre ait prouvé quoi que ce soit, et sans qu'il y ait cette réparation pour laquelle on s'alignait, on enregistre un meurtre. Il ne faut pas marquer autre chose ! dro.s le duel: il ne prouve rien et ne satisfait lien, surtout pas l'honneur, puisque l'offensé jeut parfaitement devenir une victime, — et t'est bien souvent le cas, parce que c'est surtout celui qui a fréquenté une I salle d'armes qui s'arroge le droit d'insulter. Le gouvernement républicain, en Portugal, a publié un décret déclarant le duel | illégal: on y juge les différends dans une [ cour d'honneur. C'est moins bouffon,et c'est | moins criminel et plus propre. Dieu merci, les duels* n'ont pas toujours [ l'issue fatale, et, à Paris, surtout, ils ne I servent le plus souvent qu'à alimenter les I journaux à tapage, à fournir des scènes aux I cinémas et une recette appréciable aux res- [ taurateurs où les bretteurs vont déjeuner I après la réconciliation. Mais, en Allemagne I par exemple, on a dû enregistrer dernièrement deux ou trois grands duels acharnés i qui ne furent arrêtés que par la mort d'un [ des adversaires: ce sont même ces rencon-I très sanglantes qui ont é-»eiu<5 ■•»««»»— ' Reicliatag. , Le fait est qu'il y a, dans 1 histoire du duel allemand, des choses qui déconcertent. Il y a quelque temps, M. Blot en a cité un exemple dans un journal parisien.Vers 1840, un capitaine de vaisseau dut se battre avec un spadassin, spécialiste du combat singulier et qui en était h sa vingt et unième : victime; il avait tout d'abord refusé la rencontre, ne voulant pas, disait-il, se laire tuer par une pareille canaille ou tremper i ses mains dans le sang d'un tel chenapan. Plus gravement offensé, il accepta le combat: il envoya deux de ses marins creuser au bord de la mer une fosse pouvant contenir deux hommes, et attendit au môme endroit le provocateur. Quand celui-ci arriva, il lui posa ses conditions: chacun des deux adversaires se placerait d'un des côtés de la fosse, tiendrait de la main gauche le coin du même mouchoir et de la main droite un pistolet; on ferait feu en môme temps, au commandement. Les combattants prirent position, mais le témoin auquel le sort avail donné le droit de commander le feu fut bouleversé, appréhenda si fort ce qui devai suivre son ordre, qu'il ne put ouvrir 1< bouche, ce qui donna le temps au spadassir qui pâlissait peu à peu de mollir, de s'évanouir de peur et de rouler dans la fosse ai bord de laquelle il se tenait. N'oublions pas que c'était son vingt-deuxième duel, et qu'il ne s'est évanoui d< peur qu'en voyant que la rencontre n'aurai pas lieu dans les conditions ordinaires.N'est ce pas là une preuve éloquente de l'in jus tice de ces combats singuliers, dont l'issu ne dépend que de l'habileté d'un des adver saires, — ou d'un stratagème qui confin bien souvent à la fraude. Et c'est ça qv doit venger l'honneur! • Au fait,puisque nous voici en Allemagm pourquoi ne dirais-je pas un mot aussi de duels entre étudiants, ces inconcevables pa I rodies d'une chose qui, déjà, ne se conço j point? Ces duels-là, c'est de l'héroï-comiqu de la farce grandiloquente, de la tragéd bouffonne. La jeunesse universitaire, a pays de Guillaume II, est fière de ses rer contres En effet, il est de tradition depu longtemps dans les universités allemand' Que les étudiants qui veulent êter reçus titre définitif dans une des associations c des clubs universitaires, doivent prouv qu'ils sont braves; or, dans ces corporatior les membres portent en certaines occasio un uniforme presque militaire, et se soi mettent dans leurs rapports les uns avec 1 autres à une discipline de caserne et re pectent une hiérarchie aussi bien étab que celle du régiment. Il faut donc faire d querelles,provoquer son voisin à propos d' rien, savoir l'irriter suffisamment pour q les anciens décrètent que l'affaire ne pe ôtre terminée que sur le terrain. Le jeu étudiant tient son duel. Oh.il n'est pas bien terrible! Son adversa et lui ont la poitrine, le ventre, les,bras ci rassés d'une épaisse matelassuro de la de crin, la tête recouverte d'un casq les yeux abrités derrière des lunettes sj ciales assez semblables à des lunettes d'î tomobilistes, les jambes protégées par tablier do cuir. C'est dans cet appareil qu vont mettre flamberge au vent:on leur i jn main une longue rapière avec défense frapper d'estoc; seuls les coups de ta peuvent être tentés; ils s'escriment plus Moins longtemps selon leur habileté ou r bitude qu'ils ont de ce sport, jusqu'à ce 1 un des duellistes entaille et balafre la j ou le nez de son adversaire et que le s coule. On recoud le blessé et l'on va b< des „halbe" en chantant. | Que voulez-vous? Il faut bien que je ' nesse se passe. Chez nous, les étudiants goguette s'y entendent mieux. Us pincent taille des belles filles, ce qui est de leur ⣠ils font parfois de la casse dans les cal trop tard,- un supplémentaire subside pate nel paie la casse;ils aiment la vadrouille les plaisirs bruyants. Et,quand ils se ba tent,le sang ne coule pas,et le conflit s'apai se dès que l'un d'eux se trouve être déte s teur d'un œil au beurre noir.G'est peut-êt 'é moins héroïque, moins sublime que le di 11 estudiantin allemand, — mais ça ne lais :S pas de cicatrices. A moins qu'on n'ait, à A vers, le congrès des étudiants flamingar catholiques,lesquels éliacins,il y a quelqu semaines, se sont amusés à lacérer nuitar ~ ment toutes les affiches libellées en fra u çais... On s'amuse comme on peut. 5 C'est égal: ces duels à Baizieux nous a fligent.il convient d'espérer qu'un jour, to le monde se trouvera d'accord pour répro ver toute rencontre, — car si nous somm pacifistes, si nous déplorons la guerre ^ grand, il faut condamner aussi les combe Au Dehors it uenors Le l ANGLETERR >g Manifestation monstre e, Une manifestation, comme on n'en a pli le i vu depuis bien longtemps, a été organisée d n | manche après-midi à Londres au Ilyde Par n | pour protester contre la déploration sai e > jugement des meneurs de la dernière grève < ! I Afrique de Sud. I En deux cortèges interminables, bannièn [e I déployées et musique en tète,, plus de 100,0( - ! hommes de toutes catégories envahirent pac ;e | fiquement les immenses pelouses. Il était i Le | peu' plus de 3 heures, quand les manifestan j commencèrent à pénétrer dans le parc et J i n'était pas loin de 6 heures quand les demie i i arrivants trouvèrent plfcce à leur tour. Neuf tr ' j bunes indépendantes avaient été élevées, ut ® j pour chacun des exilés. En termes véhément ît ceux-ci dénoncèrent les procédés dont ils fure: victimes et affirmèrent leur volonté de rentri en Afrique, sans souci des menaces formulé) 'S à leur égard. e A l'issue de chaque meeting, un ordre c >s jour fut adopté par acclamations, faissant app Y au gouvernement de la métropole pour qu exercé sur le gouvernement sud-africain l'ii fluence dont il dispose, afin de restituer ai ir travailleurs les bénéfices auxquels leur doni e droit le titre de citoyen britannique. >s Solidarité des travaillistes ^ Gfeorges Lansburg, ancien membre de ~ Chambre des Communes et syndicaliste coi à l'a Fédération" oûvn^¥êl'âiî,TfârfèVaâ1 u demander si elle voulait que Tom Mann visi t. l'Afrique du Sud, pour l'aider dans son œuv n d'organisation, pendant que les chefs depo 0 tés se "trouvent en Angleterre. La Fédération ' accepté, en demandant que Tom Mann par 3C immédiatement. Il est possible que Larkm Ben Tillet, syndicalistes bien connus, accor i® pagnent Tom Mann, dans l'Afrique du Sud. îë -FRANC nl Pas de politique en chaire Le cardinal Amette a réuni tous les prédic ei> teurs du carême du diocèse de Paris et le a enjoint de ne pas faire de politique en chai ne Heureux pays que la France. Le parti clérical ,és Le nouveau parti catholique, fondé en dé le de l'épiscbpat français a tenu sa première nion. La première et la principale question qu >s' dû être soumise à la petite assemblée a . celle du grogramme minimum des rcvendi iit tions catholiques. L\.Univers", le véritable i u- tiateur de ce mouvement, résume ce progra ait me en sept articles: la Rétablissement des relations diplomatiq' ,in avec le Saint-Siège; ro_ Reconnaissance légale des droits de 1 Ej ~ se en France; Reconstitution d'accord avec Rome, a un trimoine ecclésiastique; Retour des-congrégations chassées; de Réintégration des sœurs dans les hôpita ait Défense des droits de l'enseignement cat. st- lique et participation des écoles catholiques budget de l'instruction publique; Abrogation de la loi de divorce. er- Le parti ouvrier autonome ine qui Le congrès constitutif du parti ouvrier ï ouvert dimanche matin, à Paris, sous la ] sidence de M. Allemane. 121 délégués représentant 168 groi ', ' étaient présents. Le congrès a adopté la déclaration du } Pa~ qui indique notamment que le parti oir ?oit n'est ni allemaniste, ni guesdite, ni syndic; lue, te, il est le parti socialiste tout court. ifHc II se propose de grouper dans son sein ' i les travailleurs en vue d'organiser un pari i classe distinct. Il poursuit la transformatlo en." 1 la société capitaliste en société collectivist )uis , communiste et "c'est, conclut le manifest Ldes parti, parce que le parti socialiste unifié is à ; plus le droit de se réclamer des ouvriers 1 ou ! nous constituons le parti ouvrier seul qu; îver pour représenter désormais en France la dération socialiste de l'Internationale ou ons, ,, re. ions «£ TURQU res- Les élections iblie : des La liste des il candidats du comité est d'un à presque unanimité. Actuellement il y députés élus; tous sont partisans du c< i L'ex-ministre Diavid bey est élu aux D Peut nelles. Chukri bey, ministre de l'instruotio eune. blique, est élu à Castamanium. L'ouv( du parlement est attendue au commence saire d'avril. laine 8aïd Pacha 3Clue> Saïd Pacha, président du Sénat, est spé- hier h Constantinople, à l'âge de 77 ans 3'au- Pacha a joué un grand rôle politique, r un huit fois grand-vizir dont cinq fois sou in'îie dul-Hamid et trois fois depuis l'établiss '} me£ de la Constitution. se de Congo portugais taille as ou Des nouvelles d'Angola apportent s rha- événements qui se sont passés à Saint A miP Baptiste (Congo), les renseignements.su • Des actes de révolte s'étant produits L Joue la souveraineté portugaise au Congo, p sanï j Sao Salvador et sur d'autres points de boire } gion, les autorités portugaises prirent, mois de novembre, des mesures de répression u- et eurent recours à la troupe, qui fut chargée en de maintenir la souveraineté portugaise dans la I région soulevée. Il semble que le point de dé-. part de la révolte ait été Sao Salvador. Les in-e» digènes, retranchés dans l'immeuble de Saint-és Jean-Baptiste, attaquèrent les troupes du gou-r- vernement, ainsi que les autorités portugaises, et On attend l'arrivée, à Sao Salvador, du gou-verneur, qui enquêtera sur les événements qui viennent de se dérouler et qui demandera des s" explications aux pères de la mission, dont l'im-meuble a servi, à leur insu, certainement, de re retranchement aux indigènes. La prétendue ,el détention d'un des missionnaires, le père Bovvz-se kill, au sujet de laquelle la presse anglaise a fait grand bruit, doit probablement se borner " à une invitation qui lui a été faite de demeu-rer parmi les autorités portugaises jusqu'à Tares rivée du gouverneur. a- Cette affaire n'a aucun rapport avec le re-[i- crutement de la main-d'céuvre indigène pour l'île de Sao Thomé. La révolte des indigènes f doit se rattacher au désir de ceux-ci de se x" soustraire au paiement des impôts. Les mesu-ut res nécessaires sont prises pour la pacification J- de la région. es MEXIQUE La mort de M. Benton On dit que M. Perceval, le consul américain qui a procédé en son nom personnel à une enquête à El Paso et à Juarez a obtenu des ^ déclarations formelles affirmant que l'éleveur de bestiaux écossais a été tué par le général Villa lui-môme et que les débats du Conseil dè guerre n'ont été qu'une simple comédie. E Selon un avis officiel reçu à Washington, M. Benton, qui était sans armes, a été fusillé dans les bureaux du général Villa. M. Benton avait dû attendre pendant deux heures, hors us du bureau, avant d'être reçu par le général li- Villa. Quand il entra dans le bureau, il reçut 'k. un coup de feu dans l'estomac. Il parait qu'il a ns reçu plusieurs coups de son revolver, dont le en premier était mortel. es Enquête retardée OO îi- Suivant une dépêche de Nogalès, le général jn Corranza, chef des constitutionnalistes au Me-its xique, a envoyé deux, notes au gouvernement de il Washington, dans lesquelles il refuse de don-rs ner des renseignements à M. Bryan au sujet 'i- de la mort de M. Benton, sous prétexte que □e celui-ci est sujet anglais, mais il promet de faits, re une enquête au sujet de la disparition de nt l'Américain Gustave Bosch. er Le voyage à Chihuahua de la Commission es qui devait faire une enquête sur les circonstances de la mort de M. Benton a été subitement }u ajourné ou abandonné presque au moment où iej les membres -de la Commission devaient pren-dre place dans le train. Ces derniers déclarè- n_ rent que le département d'Etat à Washington ax n'a pas fait connaître les motifs de cette déci- ne sion- Huerta chasse... Une dépêche de Washington annonce que le ja général Huerta ne semble pas le moins ému par n_ les derniers événements. Après avoir déclaré au gouvernement des Etats-Unis que le meurtre ip la levée dé l'emBar^nnpô,,clPnsécluence directe de mes, il invita sur i exportation des ar- re gers à assister à un combat de taureauA. ~..__ ir" l'après-midi, un train spécial conduisit ses hô-a tes dans la banlieue de Mexico où une chasse au canard avait été organisée. CHINE Le loup blanc Le brigand surnommé ,,Loup blanc", avec un millier de bandits à cheval, s'est échappé alors que les Chinois cherchaient à le cerner. La îa" bande fuit vers l'Ouest et cherche à regagnei ,ur les montagnes de l'Henan, d'où elle provient. ipit Nouvelles Z de l'Étranger été ca- Fin do la grève minière en France Le conseil national des mineurs a arrêté di-manche les termes d'une déclaration dans la-quelle il enregistre que la lutte a été enga-B gée par les mineurs dans un nombre de localités sensiblement plus grand que lors de U pa" grande grève de 1002. A cette époque le. nombre des grévistes n'atteignait pas 100,000. Li 1914 ce chiffre a été dépassé. Le conseil eon L"x atate que la rapidité avec laquelle le parlemen 'ho_ ! a voté la loi sur les retraites est entièremen ' au due au mouvement actuel; que, sans lui, le lenteurs administratives auraient encore reçu lé toute solution. Le conseil prend acte des promesses de gouvernants concernant l'assimilation des ar doisiers et l'augmentation du chiffre des re s'est • traites, mais renouvelle une fois de plus so pré- opposition à l'article II et demande aux dé ! putés des bassins miniers d'en obtenir la sup upes pression. , . , Le Conseil, ne voulant pas prolonger la luti parti pour un seul désideratum, invite les organise vrier tions à reprendre le travail le 3/3. alis- Le Conseil demande à ses membres de poui suivre l'action indispensable pour obtenir a tou^ plus tôt l'entière application des revendicatioi ti de de la corporation: retraite à 50 ans, assimii; m de l tion des ardoisiers aux mineurs, minimum ( ;e ou 1 salaire, journée de huit heures intégrale. p du 5 Le manifeste se termine en demandant ai i n'a mineurs et ardoisiers de se tenir prêts, au c ' nn0 ' où les gouvernants ne tiendraient pas leu alifié engagements, à renouveler leur admirable ge j.y.I te de révolte. Les armoiries du comté de Londres , , s- Le conseil du comté de Londres, qui exis i I t. depuis une trentaine d'années, n'avait pas d a moiries, alors que la Corporation de Lonai en a depuis sept siècles. C'était une infériori Aussi le conseil a-t-il décidé samedi de clemanc t élue au collège des hérauts l'autorisation nécessai a 53 Le collège des hérauts que préside le gra omité. maréchal héréditaire, le duc de NorfolJ, date >arda- 1434 et aucun blason ne peut être légalem* n Pu~ adopté par un sujet britannique, sans la p< erture mission de cette autorité héraldique. On ement ga,jt pas encore quelles armoiries adoptera conseil du comté. On a proposé un écu Mua quartiers avec, au premier et an quatrième, tour de Londres et au second et au troi?ic une galère romaine. A l'intersection de la cr mort ia couronne impériale et au chef le lion d > Saïd gleterre. Il fut nomme supports, on propose un guerrier is Ab- main d'un côté et un guerrier saxon de l'an! sement \e premier, indiquant l'origine romaine de L dres, le secmid rappelant l'occupation angla Enfin, comme cimier, une couronne mur avec un demi-lion Issant et tenant la bann de Saint-Georges. Comme devise, „Loci du ur les do nos attinet", ce qui, paralt-il, est une c L-Jean- tion de Tacite. ivants: On a beaucoup critiqué, en conseil ,les contre moiries et la devise. On a dit que la galère ? irès de ™ op soiinnom-xn^oicq sop oosrij 01 îiiua la ré- Tamise et qu'on ne voyait pas comment un dès le mi-lion, un soldat romain et un guerrier an saxon pouvaient symboliser la gloire de Lo dres. Quant à la devise, lord Peel l'a trouvée fo peu exacte à une époque où tout le mom cherche à demeurer hors Londres. Le collège des hérauts, il faut l'espérer, troi vera moyen de mettre tout le monde d'accor Un membre du conseil avait proposé une soh tion élégante qui consisterait à fondre le coi seil du comité dans la corporation de la cit laquelle, élargie, agrandie, gouvernerait Loi dres et lui donnerait ses armoiries. Ce serait une solution, en effet, mais elle n pas souri aux conseillers et il est peu probab qu'elle eût plus de succès à la cité. Et cependant, au point de vue historique, cité seule est Londres; et ce qu'on appelle Loi dres, c'est-à-dire le territoire du conseil c comté, est une agglomération de trente mun cipalités différentes et en partie autonomes,ri présentant une cité (Westminster), des bourj (dont un bourg royal Kensington) et de simpL paroisses. Une église prise d'assaut Samedi soir, à New-York, un millier de san travail — il en est actuellement à New-Yoi plus de 300,000 •— ont donné l'assaut à l'égli: du Tabernacle, où Ils désiraient passer la ni à couvert. Une avant-garde, composée d'une cinquai taine d'hommes fit irruption dans l'édifice i moment où les fidèles, en petit nombre et pre que tous du sexe féminin, chantaient une hyn ne. Ceux-ci, effarés, croyant à une attaque d'; paches, se réfugièrent dans le cnœur, autoi de l'officiant. Le sacristain, après avoir vainement essa; de convaincre les miséreux qu'une église n'< tait pas un asile de nuit, se frayait parmi ei un chemin à coups de coudés et parvenait fermer les portes de l'église. Le gros des san travail, resté dehors, tenta alors d'enfoncer porte, démolissant les panneaux, hurlant d> menaces et lançant des jurons sacrilèges. La situation menaçait de devenir sérieus quand la police, appelée par téléphone, arriv et, chargeant à plusieurs reprises, dispersa li sans-travail. Ceux-ci vont constituer une députation q demandera à M. Wilson de prendre des mesur< pour parer à la misère grandissante. Le testament du cardinal Rampolla Peppino Carretti, le vieux domestique c cardinal Rampolla, arrêté sous l'aecusation d' j voir volé des objets de valeur à son maltr ; est entré dans la voie des aveux. Il a décla > au juge d'instruction que le testament introi ♦ vable du cardinal a été volé par son prop . frère, qui voulait s'en servir comme arme poi faire chanter la baronne Perrana, sœur ( cadinal, favorisée par le premier testament q a été retrouvé. La police recherche le frère de Carretti. D'après le ,,Daily Chronicle", les juges < Rome ont recueilli un important témoigna; dans l'affaire du vol du testament du cardin Rampolla. Suivant le témoin, le testament f dérobé peu d'nstants après la mort du ca dinal par le frère de Peppino Caretti, le val récemment arrêté, qui le confia ensuite en d pôt à deux autres serviteurs du défunt. Le v leur se proposait de vendre le testament po une grosse somme d'argent au baron Perrer principal bénéficiaire du précédent testamei QSr/Mi.^ô. ^.témoignage émane d'un ha vice du' cardinal Rampolla, a propose ~a ecclésiastiques amis du cardinal, de leur ve dre des objets dérobés par lui au défunt. •Une bombe dans une église Hier soir, dimanche, une bombe a écla dans l'église de Sa'inUJeanj-l'Evangéliste, Westminster. C'est près de la fenêtre que l'€ 5 gin avait été placé. Plusieurs bancs furent ( 1 1 dommagés par l'explosion et plusieurs viti p volèrent en éclats. Princesses hindoues Les mariages de gentlemen anglais avec < jeunes filles hidnoues deviennent d'année année, plus fréquents. Une charmante idylle, qui vient de se t * miner par un mariage, défraie encore en moment la conversation des Londoniens: I a deux ans à peine que la jeune et jolie pi cesse Pretiva, la second fille du défunt Ma rajah de Cooch Behar, épousait M. Lionel H ry Mander, de Wolverhampton. Or, voici que la plus jeune sœur de la 1 riée, la princesse Sudhira, vient d'être u k Woodlands (Calcutta), à M. Allan Jocc , Mander, frère du précédent. Z Les princesses sont sœurs du maharajah j_ tuel de Cooch Behar, l'un des plus intéressî ■n personnages de l'Empire des Indes. ' C'est dans une clinique de Londres où nt, était en traitement, que M. Allan Mander fi connaissance de la princesse Sudhira. es Tartufe en Hollande 1- On sait que les œuvres de Maurice Mae 09 ; linck viennent d'être mises à l'index. De p" j lors .les gens pieux boycottent notre illu I compatriote avec l'absence de vergogne qui î ! caractérise en tous pays. En Hollande, le thé Jr dirigé par Herman Heijermans, l'auteur p~ matique bien connu, donnait depuis que t.p temps des représentations de „Monna Van ^ Aussitôt une violente campagne fut entn contre ce chef-d'œuvre prétendûment imm ir_ par un organisme clérical de là-bas, qui ^ au pelle ,.Action sociale catholique". ,ng A Nimègue, où „Monna Vanna' devait la- représentée par la troupe de M. Heijerrr de une feuille bien pensante publia en pren page un avertissement adressé à la popula iux et signé par le doyen et les curés de la cas Ces messieurs y protestaient „avec indigna urs î contre la représentation annoncée, et convo es- tous les habitants à un meeting de prot tion. Le 'soir de la réunion, on distribua feuille volante, dans laquelle le comité de 1' tion catholique" regrette la non-interve de la police municipale, et s'élève contre ,, iste na Vanna", cette pièce ,,effroyablement ir ar- raie". Et dans un élan de tartuferie granc 1res le personnage qui rédigea ce factum or ■ité. conclut: ,,Les bons tremblent, les âmes ider res se réjouissent, et les corrompus atte Lire, avec une allégresse infernale les scènes ! and ques..." î de N'est-ce pas que „ces messieurs" sont îent les mêmes partout? )er- ne Martyr de la science Un savant australien, le docteur Fr ^ la F,°x' es^ mort "vendredi à Calcutta, des { p d'une morsure de serpent. Le docteur était arrivé, il y a quelque t ■An- à Calcutta, pour y faire des expériences antidote au virus du serpent, qu'il avait t , rQ_ vert, et en l'efficacité duquel il avait tout ,tr0. fiance. Non- C'est au jardin zoologique de Calcutt) aise. se livrait à ses expériences sur des anirm raie' jusqu'à présent, il avait parfaitement réi tiièrê Jeudi dernier, il venait de soigner un ilce- vre,_mordue par un serpent, et il se p( cita- sur une boîte contenant des reptiles ven quand l'un d'eux, appartenant à l'esp ; ar- plus dangereuse connue dans l'Inde, se rap- hors de la boîte, et. saisissant le bras 1 9"iî0d du savant, lui fit cinq morsures au poi.c 1 de- Le docteur Fox, qui s'était souvent fai iglo- *Ure par des serpents, pour démontrer 1 cité de son traitement, sourit de l'accident. I fit une injection à quatre des blessures et s'en t alla déjeuner. e La cinquième blessure avait échappé à son attention. Dans l'après-midi, les svmtômes d'empoisonnement se produisirent, et on découvrit i. la cinquième morsure. Mais il était trop tard, l'antidote du docteur Fox n'ayant d'effet que lorsqu'il est appliqué immédiatement. Le savant mourut, vers 8 heures, dans la soirée,a e La g>ève du bâtiment à Londres L'espoir que l'on avait conçu de voir se terminer enfin le lock-out du bâtiment s'est éva-J noui. Les chômeurs ont refusé de consentir aux garanties pécuniaires réclamées par les employeurs.s Comme les chômeurs sont actuellement sou-13 tenus par leurs camarades toujours au travail à Londres et en province les entrepreneurs envisagent, annonce-t-on, la possibilité d'étendre le lock-out à tous les travailleurs du bâtiment, dans toute l'étendue du Royaume-Uni. k , ' BANQUE D'ANVERS (société anonyme) Longue rue Neuve, Situation au 28 Février 1914 ~ ACTIF Immobilisé : (j Nouvel immeuble et coffres-forts fr. 1,577,848,5' Réalisable : Caisse » 4,748,754.7< , Portefeuille d'effets » 42,<)77,705.4( a Fonds publics . » 9,480,775.61 Reports et Prêts sur fonds publics - 25,639,449.71 a Comptes courants, banquiers • 6,481,198.21 s n » clients » 46,587,383.3' » » d'acceptations » 37,610,410.2J 1 Dépôts de garantie "«116,706,429.5] '' » volontaires » 21,970,352.— ^ Comptes divers » 230,039.4" . Total fr. 313,760,346.95 S PASSIF Envers la Société : Capital social. fr.25,000,000.— Réserves : antérieures à la loi du lr septembre 1913 >1 20,024,678.8'! ,, Réserves : postérieures à la loi du 1er a_ septembre 1913 155,321.6-! Envers les tiers : X Effets à payer » 38,321,036,6' Comptes courants, banquiers » 32,028,981.8' Comptes courants, client? » 58,450,305.3i e Déposants (garanties et dépôts libres).. »138,726,781.5] r Comptes divers » 1,053,240.01 a ii Total fr.313,760,346.95 Le Directeur, Un Administrateur, e E. W. MARSILY. M. GEVERS. NOS ÉCHOS 1 Grève des chaisiers malines Il y a un an, la Fédération des syndicats ouvriers chaisiers proposait aux patrons ^ un barème de salaires uniformes pour tous ! ~ Les paironTBipPJftiWa-^e- se mettre eu cuter cette grave question d'augmentation de salaire avec des ouvriers, môme syndiqués mais non avec les secrétaires des syn-; dicats, qui 11e connaissent rien du métier, 'i Les ouvriers refusèrent et la situation en - resta là. Mais il y a une Gouple de mois, sur la S proposition de l'Avant-garde libérale, les délégués des syndicats ratifièrent leur décision et on en fit part aux patrons. Ceux-ci ne se rendirent pas jeudi i la réunion à la-îs quelle ils étaient invités.Samedi des affiches ■n étaient placardées par lesquelles ces patrons faisaient connaître leurs griefs contre la proposition de la fixation d'un barême géné-''y rai au moment où une forte augmentation j- du prix des bois s'est produite. a- Les patrons admettent qu'il y a lieu do a- reviser les heures du travail et les salaires, mais ces points doivent être discutés en connaissance de cause avec des profession- Dimanche tous les ouvriers chaisiers c- étaient convoqués h la ,,Maison des bras-its seurs". Cinq cents environ étaient présents le président a donné lecture du contenu de: , affiches émanant des patrons et après uni courte discussion, l'assemblée a décidé à l'unanimité de ne pas retourner au travai lundi matin. Aujourd'hui les ouvriers se trouvaicn 'j'jg très nombreux devant le local; ils étaien tre très calmes. le? Après que le président eût donné des m tre dications sur ce qui était à faire pour 1 ra- moment, les grévistes ont fait une prome L1?,6 nade en ville; beaucoup do femmes se trou ^ vaient dans le cortège. rai, • * ip- Piteuse reculade ( Nous avons montré samedi que la droi nS du Sénat s'est bien gardée de suivre 1< Èro conseils belliqueux de la presse cléricale qi on, l'invitait à violer le règlement et à comme lie. tre une odieuse injustice eu enlevant îi I m" Fléehet, sénateur libéral, le mandat de raj la't porteur de la loi scolaire dont il a été régi lièrement investi. rll La Métropole, qui se montrait des pi tion enragées dans ses excitations,bat en retrait on- Elle s'adresse maintenant à la courtois mo- de M. Fléehet; c'est curieux, ose, Ecoutez ce que dit son correspondant inal Bruxelles, organe habituel du ministère; Sgè-, lent „M. Fléehet s'est laissé interviewer, on bri- parié de mesures que prendrait la Droite En réalité, la Droite, respectueuse ries t.ra bien uons de courtoisie du Sénat, n'a Jamais ent( du mettre en discussion la désignation valab ment faite rie M. Fléehet en qualité rie rapp teur. Et il est superflu, d'ajouter que — m léric gré les conseils de certains exaltés «le 1' Jites tréme gauche — la Droite est certaine d'i réciprocité de courtoisie de la part de M. f mps, chet. Or, ce serait en manquer gravement 1 d'un à-vis de ses collègues de droite que vou cou- profiter d'un incident de vole, courtoisem con- respecté par la Droite, pour vouloir Joue celle-ci des tours obstructionnistes. qu'il M. Fléehet est un trop galant homme p ix, et cela et il y a, à gauche, trop d'hommes s .si. cieux, du bon renom et des veilles traditions ché- Sénat pour qu'il n'en soit pas ainsi". iChait neux, C'est exact. M. Fléehet est un galant h( ce la me. on ne pourrait en dire autant do t ïlissa jeg droitiers. mené c,est vrajj ii y a à gaucho beaucoup mor- sénateurs et aussi de députés soucieux ft'icà- bon renom et des vieilles traditions du St et aussi de la Chambre. Mais à droite 011 méconnaît depuis longtemps ces traditions de courtoisie surtout à l'égard du Sénat. Celui-ci a une excellente occasion de donner une leçon à la majorité de la Chambre. Personne ne pourrait lui reprocher d^ profiter de cette occasion. Mais quelle piteuse reculade de la presse cléricale. Hier elle menaçait. Aujourd'hui, elle implora. • * » Le Gala de la Croix Ronge A partir de demain mardi, le bureau de location pour la représentation de la Croix Rouge est ouvert à l'Opéra flamand mémo. Toutefois, nous prévenons nos lecteurs qu'il n'y a plus que fort peu de places, tout le monde voulant assister à ce gala qui promet d'être le plus brillant de la saison. Le spectacle commencera à 7 h. 1/2 précises par l'intermède auquel collaboreront Mme Jane Eyre et MM. Daubry et Bédouin, des Variétés; Mme Van der Horst et M. Hubert Laroche, du Théâtre flamand; Mlle Adler, forte chanteuse, et M.Simart, baryton du Théâtre royal. Les „Joyaux de la Madone" seront donnés avec le grand orchestre renforcé de „Parsi-fal", ce qui permettra une admirable interprétation de l'ouverture de ..Charlotte Cor-day" en hommage à Peter Benoit, et grâce à quoi M. J. B. Sclirey, pourra faire preuve de son talent de chef d'orchestre. Les „Joyaux de la Madone" seront interprétés par Mlles Faniella, Buyens, Emmy Smets, Fabre, MM. Morisson, Daman et les autres artistes del 'Opéra flamand. ■ " • Le rètour de 1' «Anversville» La malle_ congolaise de ce nom est rentrée à Anvers ce matin, b. six heures, revenant de la colonie Elle avait à bord 126 passagers, dont 89 ont débarqué à Anvers, les autres étaient descendus à La Pallice. Malgré le mauvais temps et le brouillard qui à la fin du voyage, a surpris le navire, la traversée n'a pas subi de retard. Les rentrants rapportent comme nouvelle qu'au moment de leur départ de Boma, un soulèvement s'est produit parmi les indigènes do Schutilas. Une expédition d'une vingtaine d'hommes, commandés par un officier, est partie pour aller réprimer les désordres. Pendant la traversée, on a eu à enregistrer deux décès; celui du capitaine de steamer Hartog et celui de l'agent général de la C. S. K„ M. Horning. Les deux cadavres ont été confiés aux flots. *** Notre port Dans le courant de février dernier, il est entré dans notre port 509 navires jaugeant ensemble 996,378 tonnes, contre 537 navires inmreant 1.065,289 tonnes en février 1913. Pendant les aeux pi».,i_ née, il nous est arrivé 1,092 navires jaugeant ensemble 2,199,263 tonnes, contre, pendant la même période de 1913, 1,127 navires, jaugeant 2,275,006 tonnes. C'est un recul de 35 navires et de 75, <43 1 tonnes. > m * * i Le cartel à, Charleroi Hier matin a été tenue l'assemblée géné-3 raie de l'Association libérale, suivie de la 3 réunion des délégués de l'arrondissement, i Des négociations préalables, il résulte que - les délégués libéraux et socialistes pensent 1 qu'il vaut mieux ne pas conclure de cartel en vue des élections législatives du mois 0 de mai- ... ,j- / r Un projet de convention a été rédige, cii-n sant que le cartel était dénoncé de commun - accord, que la lutte serait courtoise, les deux partis ayant tous deux à leur programme la 'S résistance à la loi scolaire et la conquête du - S. U. ,, , . ^ î; Un membre de l'assemblée n est pas de ■s cet avis et la majorité le suit. 10 Après une longue discussion, fort animée, 1- rassemblée a décidé d'engager des pourpar- 11 1ers avec la Fédération socialiste en vue do la conclusion du cartel pour les prochaines it élections législatives. :it La désignation des candidats libéraux a été ajournée au 15 mars. . * » Le désarroi au chemin de fer M. Segers, notre nouveau ministre des " " chemins de fer vient de se signaler par une décision énergique. A peine arrivé à la direction du railway, 1 il a décidé de mettre fin au désarroi qui ite règne sur nos lignes par l'encombrement es délaissé par son prédécesseur. lui ' Pour y arriver, il a eu recours ii un moyen 'péremptoire. Un avis officiel porte: M. i „A partir du lundi 2 mars, les trains, n. •p- i 1582 et 1550, partant de Schacrboek pour u- Bruxelles (Midi), à 4 h. 30 et 11 h. 17 et les trains n. 1583 et 1551, partant de Bruxelles 'us (Midi) pour Schaerbeek à 5 h. 34 et 8 h, 40 lte- seront provisoirement supprimés." s'e 1 II y a un moyen plus radical encore; que M. Segers supprime la circulation de tous de les trains de voyageurs, ne laissant circuler que les trains dits parlementaires. En un mois ou deux, il aura ainsi mis fitl e--_ au gâchis. idi- * en- * * île- Le Congo et îe Vatican '"f- Le ministre des affaires étrangères a pu-blic, dans le Compte rendu analytique du 'unë Sénat, la réponse ù la question de M. Speyer [,'1<5_ I concernant les négociations entre lo gouver-vis- : nement belge et le Vatican au sujet des mis-îloir ' sionnaires au Congo, et de la publication nent d'un Livre Gris. ;r à il n'y eu, assure-t-elle, que des conversations; et seules des négociations et leurs ré-sultats peuvent donner lieu à des comrau-s du nications au Parlement. Mais le National, en publiant cette réponse, ajoute: om- „Une lettre du Saint-Siège à ce sujet csl tous certes parvenue au gouvernement belgi cette année-ci." p de Une lettre? Ne la publiera-t-on pas, de-i du mande la Gazette. Elle aurait son impor-énat tance.

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Dieses Dokument ist eine Ausgabe mit dem Titel Le nouveau précurseur: journal du soir gehört zu der Kategorie Liberale pers, veröffentlicht in Anvers von 1902 bis 1914.

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