Le quotidien

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s.n. 1915, 14 Dezember. Le quotidien. Konsultiert 28 September 2024, https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/de/pid/hh6c24rt13/
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oeannée, n" 32». ï.fc nnraé"? 5 crotiiwt** i i|i jà '■——«a laaMBgBaBggMagerwrragffww^ "il mui Mardi 14 décembre 1915. Adresser foutes les communications A LA Dirïclii généra'e ii « Quotidien » 143, boulevard Militaire ADRESSER TOUT CE QUI CONCERNE. LA PUBLICITÉ A ARTHUR LAURENT Administration pour la Belgique 70, rue da Midi (près de la Bourse) les manuscrits "non insérés ne sont pas rendus* (Vendu chaque jour, dès 7 heures du matin, à Bruxelles et en Province) Le journal décline toute responsabilité quant à la teneur des annonces. Gaston BOÎSTÎŒT, Direolenr géaéral. Alfred-W. GASPART, Directeur de la Rédaction. A. BOGHAERT-VACHE, Rédacteur en chef. «My «ot*9/ &i »'*>., fftfi •S ■i«§^ /VatStr/favo) *W "%. i/ff/nf t Ûrj&< i, V\- j£/ïf/tÙt'"f . .snfiï.i'M /J" 'H' £?u•»£ upk Mathol W*#%» & M VI Jfe -C^^^-W V2b»MM« 9MIHAA YHZ tfo^ ffitort W&r- Si ^ -*W< îArdzarlX €bl ;K mV*»"-'-. /7,'sOr1 ,: % 'sine* Nouvelles de la Guerre BULLETIN ALLEMAND Berlin, 13 décembre. (Communiqué 'de m Thcfilrc de la guerre à l'Ouest : Rien d'important à signaler. Theatre de la guerre à l Est : Armées du aênôral jcldmarèchal von Hindaiburg : De LiU envasements ont eu lieu, en différents endroits, entre nos postes avances et des détachements ennemis envoyés en reconnaissance. Bans une de ces rencontres, les Russes out roussi à enlever un faible poste ■allemand. Armées du général Icldmaréchal prince léopold de Bavière : une attaque manqnéc contre nos positions près de Vulka (au sud du lac YiitjonovsL'oje) a coûté aux Russes la perle de* 100 hommes environ, tant en tués qu'en blesses et prisonniers. Armées du général von Linsingen : Rien 'de nouveau. Dans les Balkans : La situation n'a subi aucun changeiTicnt essentiel. L'armée du général von Kovcss a amené, hier, plus do 900 prisonniers. Prés d'ipeh, nous avons capturé 12 canons modernes, que les Serbes avaient enfouis. Pendant ces derniers j#urs, plus de 1,01)0 Serbes égarés ont été pris derrière notre front. En Macédoine, l'armée d« général Todorow a pris les villes de Doiran et de Gcvghcli. Plus un Anglais ni un Français ne se trouvent en liberté sur le sol macédonien. Dans cette lutte, doux division anglaises ont été presque anéanties. _ y^a+c^im LES AFFICHES ALLEMANDES La langue flamande dans le» école». — 1^ — Eoc«qui concerne l enseignement moyen, remploi «les.langues tot i-óglé dans ies écoles uiwjreafiies étx âegr» iufórieur par la loi üu 16 juin 1ÜÜÓ et l'an^té w* -tériei du 6 mai lbö(j deionnuuuu, que, neuie «üuu» • parties ftaraaaues du pay*, la langue *aiuj u*uuia pour pouvoir suivre 1 eusetgcteuitMLt etwuie ca u&aa langue. Do longue date ucja, les i'iaiuaaas st» plaigueaA de ou i^ue les pruicipog qui vwuu*cat d *Ufo exposed ue sont pus observes et de de ce que, ft l'euooii'U'o des dépositions tomates, suuveuit less directeurs d'école placent clans ies öecvions iitwio^ses des uiautnw, aoati^cviott laite du ïiéciiauüuia, s y ensei^uent «ioau»iTeuie*u, «a français. Lts eieves llaniauus no diS|^uaent moue pas de i sections naumadea » pour t Gii#a.g*ÈemQ*t. «es branches précitées (îtmguoa gviiaaiaquca, ku*wti«, géographie et sciences luiuueiies;. L,o ùi. laars 1^14, en ropousô à une deiaiwiile, io miiustro Jtaige tlos Ecieüces et des arts a deciaré à la ubambix» quo la question ce L'orgaïusation do «eocioiis namo*ujes serait examinée ûttcuoivcmont. Un m^ort oîûoiei que 1 administration scolaire a réclame a ce sujet., abeutrt » la conclusion suivante; ha oioation uo aoctioua flamandcö pour les eoi-disantes branches flaMtutdes nest possible que si un nombre sutnaaut do f»**-c*u conseotent à faire entrer leurs entants «aais oes »ecybsa. Ce leau.^t semble probuDle aux écoles m°yei^cs i. Eauiten et de Moûeubeek. A la soute de cette caqaeto, des sections hamandes en* été erga^ees^ à Laeken (école moyeauie de garçons) et a Molenbeek (école moyenne de filies). U.uant aux 6co' esmoyennes des autres connu unes de l'aggio| deration bruxelloise, la question fera oaoore l'objet d'ïai examen ajjproiotidi. kn ce qui concerne les écoles moyennes du degrésupérieur, lea athénées royaux et les collèges ootnttucaux de la région flamande, les preserip*iona «lek loi du 15 juin 1683 sont remplacées par la cLsN'vion «aivanto, basée sur la loi du 12 mai 191Ü : p°a la nécessité, on créera, pour les aoidJaaatesanchea flamandes, des gout's parailèles q«i se donneront en français. Ont le droit d'être MÜaia à ce» Cours: 1<« élèves nés en Wallonie ou à Bruxelles, coax^ontle père ou la mère sont nés en Walloniea Bruxelles et ceux qui, pendant deux ans au"joua, ont suivi des cours eu Wallonie. .Dans l'aggwmération bruxelloise, le père déclare quelle est J» langue oaternelle de l'élève ou la langue queî Wci parle communément; cette déclaration 6ert«ablir la répartition des élèves entre les seotious*maades et «françaises. Par conséquent, le chef ' , n' aqu'un rôle très réduit dans oette répar•i^ Néanmoins, comme les milieux flama»ds ont*nes6 les mêmes réclamations au sujet des athéel^ collèges qu'en co qui oonoerne les écolesywineg du degré inférieur, la mtsui-o prise pourJ* denuèws a été, le 22 septembre 1915, rendueWment applicable aux écoles moyennes du degré .. perteur. c'est-à-dire que, la aussi, le chef d'éta^^ment^^ (préfet) ne doit plus procéder à la répar*'élèves qu'avec le ooncours de deux pro- _ chargés de l'enseignement du flamand et \.' testr«!s membres de cette commission ne toniber d'accord, le ministre décideia. Les |-\ "^^^ctions ont été adressées à tous les pré- région flamande (y compris ceux de l'ag- ui WujuiU oise) .-lîu qu'ils s'y c^ftim^t t*te e**"** ü«* le début de la piósoate année n. _,, art»»-..* ,r,;e,nHouvei]ei0i surl'ensei- gaiement primaire prescrit que dans les écoles pri«îaires«, l'enseignement se donne dans la langue maternelle des élèves. Il a déjà été question des premières mesures prises en vue de l'application générale de la loi. L'enquête faite dans l'agglomération »r*xelloise au »ujet de la laaguo maternelle des élèves a moatré que les eafaat» iauiands ne dij(poseut pour la plupart que d'écoles dans lesquelles renseignement se donne ea français ou en français et en flamand; cette enquête a prouvé e,ue, pour pouvoir appliquer la loi, de nombreuses classes iamandes doivent être créées. Tout d'abord cepeadaat, les déclarations des parents étant souvent inexactes et incomplètes, il sera nécessaire de dresser pour chaque école un relevé sincère du nombre d'enfants dont le famand est la langue maternelle. H résultera certa.R?ment des chiffres ootenus qu'un grand nombre de c2aa*«x. üamandes devront êtro organisées, et les autorités communales ainsi que les administrations des écoles adoptâmes devront se procurer les locaux et les instituteurs nécessaires à cette fin. En outre, il faudra oavisager jnsqu'à quel point il y aura lieu, à côté de l'enseignoBieut régulier dans la langue maternelle, de donner un enseignement dans une seconde langue, soit celui de cette seconde langue «ile-môme, soit celui de certaines branches du programme. Jusqu'à présent, dans tontes les école» normales éyinstituteurs de l'agglomération bruxelloise, tant dans celle de l'Etat que dans colles des communes, l'enseiijsieaneot *e donne en français. Le seul de oes établiioements appartenant à l'Etat, l'école normale d'institntrioes, rue de Berkendael, a obtenu, en octobre 1915, une section lamande fréquentée à présent par 14 normaliennes. Quant aux antres écoles normales, cdles-ci n'étant pas' des établissoments de l'Etat,-la législation belge n'autorise pas l'administration scolaire à leur faire des prescriptions quant à la langue dans laquelle l'easeigaoment se donne, même lorsque ces ccole3 sont subsidiées par l'Etat. Par conséquent, afin qu'il y ait toujours un nombre suffisant d'instiiu tewrs et institutrices flamands pour les écoles primaires de Bruxelles, la création d'une école normale lamande de l'Etat semble s'imposer dans l'agglomération bruxelloise et l'administration scolaire s'occupe de cette question. Enfin, il a été recommandé exproooément aux administrations communales et aux chefs des écoles adaptables de l'agglomération bruxelloise de veiller à ce que leurs écoles aient toujours un nombre s«£éisant d'instituteurs et insUtntrices aptes à enseigner le famand. Londres, 12 décembre. — Le Lloyds mande : Levapeur britannique Busiris (2,705 tonnes) a étéoeulé. L'équipage a été débarqué à Alexandrie. — « j» «M«g < BULLETIN AÜTEHCHiEN Vienne, 12 décembre. — Front russe : Feu d'artillerie par endroits.' Pas d'événements particuliers. Front italien : Dans le secteur du haut plateau de Doberdo, une brigade d'infanterie italienne a attaqué nos positions au sudeuest de San Mariino. Elle a été repoussée et a subi de grandes pertes. Sinon le calme règne sur tout le front de la côte, abstraction îaite de combats d'artillerie isolés. Front sud-est : Notre offensive contre leH«rdest du Monténégro amena hier la prise4e Porita et de Rozaj et des combats d'arriôre-garde a 12 km. d'ipeic. Nous avons faitdans ce combat victorieux 6,100 prisonnierset ayons pris 40 canons serbes dans la régionentre Ipek et Rozaj. ^ »~*4.»~<, BULLETIN TURC Constantinople, 12 décembre. — Au front ie ïlrak, nos troupes se sont emparées, par des attaques énergiques, des positions ennemies avancées près de Kut-el-Amara. L'eauemi a été refoulé dans ses positions principales. Ses pertes dans ce combat s'élèvent à plus de 700 hommes; les nôtres n'atteignent pas 200 en tués et blessés. Au front du Caucase, dans le secteur de Milo, nous avons repoussé une attaque enaeûiie, d'une durée de deux heures, contre aos positions avancées. L'ennemi a subi des perles. Au front des Dardanelles, à Anaforta» le duel d'artillerie habituel a continué. Notre artillerie a touché deux fois un navire ennemi et trois fois un cuirassé près de KimikliLiman. Trois croiseurs, un ponton cuirassé, la batterie de terre ont ouvert le feu, qui dura une heure sans interruption; ce feu a'oecasioana toutefois que des dégâts insignifiants. Notre artillerie riposta au feu et toBcha deux fois un croiseur, qui fut obligé de s'éloigner, et elle détruisit des positions de laacebombes à Xanliseri. A Seddul-BaJir, notre artillerie arrêta le lancement de ■aines et détruisit quelques positions ennemies de lanco-boaibes. Le 10 décembre, lancement de mines et bombardement de toutes aes positions. Nous ouvrîmes un contre-feu aainié et réduisîmes au silence la batterie ennemie visà-vis de notre aile gauche. Constantinople, 13 décembre. — Sur le front de Y Irak, nous avons occupé la localité de Cheikh Saïd, à l'est de Kut-el-Amara, sur la route do retraite ennemie. Notre artillerie a coulé» près de Kul-cl-Amara, quelques pontons et un monitor de guerre enneaiis. Sur le front du Caucase, un moniteur et un torpilleur, au nord d Adge Liman, et quelques cuirassés, près de Lemikli Liman, aidés par les indications d'un ballon captif, ont bombardé notre position et l'hôpital de Terssunkoy» où sept soldats ont été tués par le feu ennemi, et un blessé. Près d'/lri Burnu, à l'aile droite, un combat de bombes a eu lieu dans la nuit du 10 au 31. Notre artillerie a détruit, le 12 décembre, une partie des retranchements ennemis, près de Kanlisirt. Près do Sedd-ul-Bahr, notre artillerie a rendu inefficace le jet de bombes ennemies et a détruit une partie des retrancheiucnts 1 '*^ V'O. yfiifer;. W t&<- ^-,.»• 't? //S S vWi- Ze/e/?/CQ ?*»- ennemis et quelques emplacements de lancebombes. Deux croiseurs ont bombardé san6 succès Altschi Pepe et environs. •+*Sh BULLETIN BULGARE Sofia, 12 décembre (supplément au bulletin du 9 décembre). — A Ochrida, nos troupes ont re ; « un accueil indescriptible, 'ioj'to la population de la ville était venue à leur rencontre, sous la direction de prêtres, et jeta des fleurs et des lauriers sur nos troupes. Les habitants versaient des larmes de joie ù la vuj de nos soldats. v. «ffia-frq». ■<— BULLET8N fRANUAiS Paris, le 12 décembre (15 heures). Rien à ajouter au communiqué précédent. Paris, le 12 décembre (23 heures). En Belgique tactivité marquée de nos canons de tranchées, qui sur plusieurs points ont réduit au silence les lance-bombes ennemis. Ce matin, un cargo-boat britannique s'étant échoué près de la côte beige, trois hydravions ennemis ont tenté de le couler à coups de bombes. Plusieurs avions alliés, dont un des nôtres, les ont attaqué et mis en fuite, pendant que nos torpilleurs, venus de Dunkerque, renflouaient le navire sous le feu d'une batterie ennemie. En Champagne, dans le secteur de Massiges, nous avons répondu à un tir d'obus lacrymogènes, par un tir de démolition sur Les tranchées ennemies de la crête de Chausson. Dans le secteur de La cote 193 nous avons bombardé efficacement trois lignes de tranchées ennemies, ainsi que les boyaux d'accès. Canonnade intermittente dans les Vosges, où une violente tempête de neige a gêné les opérations. Paris, le 11 décembre. (15 heures.) Nuit calme, excepté en Champagne, où, malgré la pluie persistante, on signale une vive fusillade et quelques combats à coups de torpilles. De nouveaux détails sur la journée, d'hier confirment que l'activité de notre artillerie a été efficaco sur le plateau de Quennevières, entre Oise et Aisne et dans la région Vcndresse-Troyon (rive nord de VAisne). Nos canons de tranchée ont sérieusement bouleversé les ouvrages ennemis et endommagé les lance-bombes de l'adversaire. Paris, le 11 décembre. (23 heures.) Duel d'artillerie en Belgique dans la région d'Hel Sas, ainsi qu'en Artois près de Bully et de Roclincourl. Dans la région de Roy e nos batteries ont dispersé une troupe en marche et des convois ennemis sur la route de Villers. Ln Argonne, au nord du Four-des-Paris, nous avons fait exploser deux fourneaux qui ont détruit une galerie où travaillaient des mineurs ennemis. Sur les hauts de Meuse, dans le secteur de Bouchont, un tir bien réglé de notre artillerie a produit des effets de destruction importants sur les tranchées ainsi que sur les abris de l'adversaire. En Alsace, vive canonnade au Lingeskopf et au Barrenkopf. >~o^œ>—< BULLETIN RUSSE Pétrograd, 11 décembre. — Du Grand Eial-major : La situation est inchangée sur tout le front. Le 10 décembre» l'ennemi a tenté une attaque dans la région de Kapczynce, sur la S'crypa (20 km. au sud-ouest de Tarnopoh. Il u été reioulé sur ses tranchée* •:w %. *. y/ v, t H ■>» QZûvik r* ^âfi/.ijsnt K s*£ rfl 7.77^/JC/ m <-. v. tf Wûsfj? Vâflêt* ' Cpçonc* Pax* #V* «•-, «ój< Wpnafa *r " Niàùsto^ Z Üfy BULLETIN ITALIEN Rome, 11 décembre. — Du généralissime italien : Activité de l'artillerie surUout le front. Nous devons la prise d'un petit ouvrage retranché, de fusils et d'un lance-mines, grâce à une attaque de notre infanterie sur le Ccrso. LES POUKPAïlLEltS EN GRECE L'ancien ministre français Stephen Pichon, écrit dans le Petit Parisien que les puissances alliées devraient recourir aux moyens les plus rigoureux contre le .gouvernement grec et tenter, s'il est nécessaire, de provoquer un coup d'Etat. LE ROI PIERRE DE SERBIE L'ambassade serbe à Paris déclare que le roi Pierre a quitté Alessio. Elle connaît l'endroit où séjourne le Roi, en Albanie, mais le garde secret. LES ALLIES A SALONIQUE UAz Est de Bucarest mande de Sofia que les Anglais se sont emparés complètement de Salonique. Le télégraphe et la poste sont entre leurs mains. En outre,ils y ont proclamé l'état de siège. Les troupes anglo-françaises se retranchent solidement autour de la ville. L'ancien ministre de la guerre, général Lacroix, écrit dans le Jem f 5 que seul un blocus de la Grèce strictement appliqué pourrait être efficace. « Les Allemands, dit-il, agiraient dans notre cas avec une tout autre énergie. » Il dit que la flotte dont disposent les Alliés pour le transport des troupes et du matériel à Salonique paraît insuffisante, mais pense qu'il n'y a pas de raisons d'abandonner Salonique comme base d'opérations. Le général Joffre, en qualité de président du conseil supérieur de la guerre, devrait exposer clairement l'objectif que la Quadruple-Entente poursuivrait ensuite résolument, en dépit des difficultés. »*» Le Temps annonce que les puissances alliées ont résolu formellement de rester à Salonique et y enverront des forces importantes, dans le but de reprendre l'offensive. *** Du Berliner Lokal Anzeiger : D'après uneinformation d'Athènes, de source française,la Grèce aurait consenti à ce que Saloniquesoit mise en état de défense et à ce qu'unepartie des troupes grecques soit retirée. En ce qui concerne les autres exigences de l'Entente, les négociations se poutut avantageusement. LA CLASSE DE 1917. EN FRANCE L'agence Havas mande de Paris : La Chambre a accepté, par mains levées, l'incorporation de la classe de 1017.Cette classe rentrera le 15 janvier 1910, de manière, quo les recrues puissent fôter la Noël en famille. La classe de 1910 se trouve encore dans les dépôts. EMPRUNT DE GUERRE NEERLANDAIS Le Nieuwe Rotlerdamschc Courant annoncé qu'un projet relatif à deux nouveaux emprunts de guerre, de 50 millions de flo rins chacun vient d'être soumis à la Deuxième Chambre néerlandaise. Ce crédit avait été approuvé par le Conseil d'Etat. LA CATASTROPHE DU HAVRE L'agence Havas mande du Havre : Dimanche, jusqu'à minuit, on avait relevé 110 morts, dont 107 Belges. Le nombre des blessés n'est pas encore établi. !»♦ y»? AsiA/ar& *m* Sa/diTfdnfi 1 QAi/fa/aisd f leniozp . Wat/m &2?PC\ tl O Pàrtfdr.'Qa >*aersoc A art "in mi^iAnmi»-néi>i'»- Informations diverses LE SEJOUR DANS LES TRANCHÉES INONDÉES Le séjour prolongé que doivent faire les soldats dang des tranchées humides ou dans des boyaux ino»dé« proToque cher eux un genre spécial d'engelures aux pieds, que les Anglais appellent « trench-foot ». C'est ainsi qu'au cours du mois de a»Temkre, on a constaté, dans les premières ligne» du front occidental, que 770 soldats avaient été atteiats de cette affection spéciale. On expériBteatt actuellement, en rue d'obvier à ces inconvéaieats, une nouvelle sorte de souliers caoutchoutés et inupeeméahilises qui semble donner de bons résultats. LES EXPORTATIONS HOLLANDAISES La Hallande autorise l'exportation de 3,500,000 kiiea de viande de porc et 1,500,000 kilos de saucisse», d*jîi* la période du 29 novembre *au 24 déoeaiara 1915 Elle interdit l'exportation de harengs, d'une mai aière formelle. POUR LA PAIX On annonce de Berne que les membres socialistes du Conseil national suisse ont l'intention de 'demander au Conseil fédéral de s'entendre avec led gouYccaements d'autres pays neutres pour interdire l'envoi d'approvisionnements de guerre et de hâter ainsi la conclusion de la paix. A ARKHANGEL On annonce que le port d'Axkhangel est pris par les glaces. En ce moment, quinze brise-giaces russes, trois canadiens et un japonais s'occupent à rende* abordable l'entrée du port. POUR LES JUIFS . Le comité Israélite de New-York a envoyé centaiillo dollars comme premier secours pour les juifsue Pologne. ^.fo-^ EGHOS LITTERAiREC, ARTISTIQUES ET SCIENTIFIQUES Le jubilé Orelio. — C'est le 26 décembre qu'aura lieu dans la salle des conférences des « Sciences e& arts » à La Haye la manifestation en l'honneui» d'Orelio, l'excellent ténor dont on fêtera !e quaraattcttAire ctrame artiste lyrique. De HSBabreuses délégations belges ont adhéré à oette Manifestation, notamment celle du théâtre 1/rique flamand d'Anvers où Orelio obtint il y a quelques années de si brillants succès. EGHOS SPORTIFS Concours de billard à Paris. — Le grand coi. ©*urs irtlera*tt«nal de billard, amateurs c pr9*««»ta»M©ïs, Intéresse vivement les sportsmen en ce moment. Voici les premiere résultats : 1. DaraaUère (am.) -400 points en 28 s. (série pi. f. : 74) Sal baron de Drée (am.) &5i p. en 28 s. (pi. f. : 52). R. Drouot (prof.) 400 p. en 28 s. (pi. f. : 102) bal Arente (prof.) 167 p. en 27 s. (pi. f. : 53). Deloour (prof.) 213 p. en 32 s. (pi. f. : 53; bak Dttiot (prof.) 213 p. en 32 s. (pi. I. : 45). Arenlz (prof.) 400 p. en 5i s. (pi. f. : 51 •»n*l (prof.) 382 p. «n 5i s. (pi. f. : 63). Blanc (anut.) 400 p. en 40 s. (pi. f. : 72) bsâbaron do Drée (amat.) 225 p. en 40 s. (pi. f. : 52). * * * Congrès df'natation et de sports nautiques. — C'est samedi pr^iiaLn . JSdécembre, que s'ouvrira à Aaa«*erdam le congrès international dos sporlâ aquiil^ifccs el «antiques. De nombreux rapports wal parr-G&ug an c**iilé •rgaAisaleur i« tam ment

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Dieses Dokument ist eine Ausgabe mit dem Titel Le quotidien gehört zu der Kategorie Gecensureerde pers, veröffentlicht in Bruxelles von 1914 bis 1917.

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