Le XXe siècle: journal d'union et d'action catholique

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s.n. 1918, 03 Dezember. Le XXe siècle: journal d'union et d'action catholique. Konsultiert 19 Mai 2024, https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/de/pid/jd4pk0829r/
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MARDI 3 DËCEMBRE 1918 L'UNIONJJDANS L'ACTIQN VTNGT-QUATRÏEME ANN&E ABONNEMENTS Jusqu'au 31 mare 1910 8 flranca 10 een times Ie numero Insfaurare omnia fa Christo Redaction et Administration: 4, iriipasse de Ia Fidélité, 4- Bruxelles TARIF DES ANNONCES Annonces commerc, petite ligne fr. 0.50 Reclames avant les annonces, Ia ligne fr. 2.00 Faits divers ZU*ï% • 5.00 et 4.00 Sports. .."„::... ;fr. 2.00 Reparations jndiciaires ; ; . • 3.0 O Necrologies ••••«•*• 3.00 Les fpetitei annonces,1 paralssantaimnltaaément daas Ie « XX* Siècle »set Ie « Journal de BrazeUee » (tarif ré*,duit) 8 petites lignes 1 franc• w.- ffiJX BOUT IL FAUT PARtER »o*>» Les pieces dn procós révèlent Ia première organisation. m # f ' M%mGktoö ivtti aarêtée Ie 6 aoüt 1915 et, f ■aprèö au aéjonr de 48 hewres a Ita Kommi^n-Sdan'kar, transferee a la prison die St-GMLas (oil ee trowvaient déja la plupart de oeux qui Ëtemeiient comparaitm en même fcemps icp^eH» «Levant fie caused! de guerre et oü Les (oabreB ne ibardèremti pomü a allier la rejoiai-ttna Noma dtitenm poaAex wfl dm ptrocèsfie pfcs JÜramatiquie die oette époque, qui fit compa-jcatfcrie cLevant la jwstaoe aJiLenuuvde trente-tcainq mcuilpó», tone anosaés des plius moblJes HBeaitdiEQiexuÈB patriotiquee, tous soucieaiz de na pas e'acouseir les uns lies autores, mais qui Itoufi rereoddquèineine avec fierté ia reaponsar jbalLté de 'lieor cosiduÊifce. 1 On va lor© üb oompte reodra des débats. Il fcnpoarte, en en prenant coniniaissance, de ne pas perdKe die vue que ce coznpte rend/u^pris !au vol a 1' audience, s'il neprodudt tres eooae-jbement 'les prmcipaies détoLaffatdons des aocu a la fronitaère holLaadaisej Tout a lpoirigir^ie,nous troajesKffiJS. Mlie.LouasQi: ■iThfUilliei, * eatholiquie, demeoiiran^ rue d'Ar-(Ifoods(, a LoDJl'e, professeuir choz les Dames nie IFImimaouiLée Conception en oette viüLe ». tO^est eila qui ébeargea les premiers soldats; itfesfo aübe qui, avec urn esprit de methode et poe résoluitdon remarquables, oherche et jtDrooxve iles moyens de leuar fajiire rejointdre lentro drapesioz. EEe payait largtèment de sa pensonme et ne recuüait point devant les ris-«jiïtes« les pdiuis certaoins. Elie rut victime d'uoie ita^ahison, sur la nature de laquelile nous ne sommes pes exaotement fixés. MUe Thuüiez ifnt arrêtée : dans un de sés bas, on trouiva ion carnet qui révéüij» beaucoup de choses; ;«e carnet et oertains autres dooutments trou-{vtéts{ paw •. 9a suite, pearmirent notammeint WétaÖir qui© la vaiildante instritatdoe, irxka-bdle a agir seu4e, avait demandé et obtenu Ie ^conoouirs empiriessé du prince et de la prin-füéOBe de Croy; qu/ed'© con-duisait les soldats gun chateau de Belügnies; que la prdnoesse ies y photographiait; que oes photographies ijsetrvaJiait a la fabrication de fiaux papiers; que c'était de ae chateau que Les hommes partaient pour Bruxeöües... Oes faits furent confirmés a ï'audajenice» jiVodjcd lie dialogue qui s'échangea entne MKle HCbuiiez et Ie président du tribunal : Demouaeidlé. «—• EeoontDadssez-vouis avtoair1 jervoufé : « De mars a fin }uilHet 1915, j'ai .amemé des hommes des contrées francaises --ioooupées, aurdela de la frotntière ou les y ai [fait mener par des convoyeurs. Cétaient f45 soildats anglais, 20 soOldats francais, 48 tFrancais aptes au service miüitajire et 3 '.Beiges aptes au Bervice müitaisre, soit en utout 126 pensonnes ? » Béponse. — Je Ie reconnais. D.— Avez-vous reou des nouveOes de cesijparsonnes, soit die Fran'ce, soit d9Angle-kertnet E. — Jamais. D. — Avec qui avez-vous swirtornti tra-Jvaiflilé?ZïV-' R. — Avec mdss öavéffll, Capaaui, Baueq, la prineesse de Croy, Mme Bodart et la com-Stesse de Belüevülie. D. — Vous n'avez pas travaiilé avec IA-fbiez? E.— Nom D.«sfl Qui était ilforgamisateuir prïneipfell? E. — E n'y avait pas d^organjisateur prin-tópal; 51 n'y avait aucune association. Nousp'avions pas de chef; nous étions touspgaui, taravaiilüiant de notone mdieux pouv urntbut otymanun. D. i— öombien de pérsoiines avez-vous Ifiait passer en Hollande? [ E. — J'ai déja dit que je me suis oeouipé «die 126, mais dl ne me serait pas possibille de idire oömbiien ont réussi a passer la fron-itdère. Je sais que bon nombre d'entre-eilles lont été prises. D. — Qui vous amenait oes peïsommesi ? • / E. — On ne me les amenait pas. J'en ai terouivé un certain nombre dans la region de Maroilles; d'autres se sont presentees spon- Itanément chez moi, des Francais surtout. !D. •— Est-oe vous qui vous occupiez des Iguades qui pilotaient les hommes de Bru- fceHee a la frontière hoilandaiseï • E. — Non. J'envoyais oes hommes a mdss ÜaveM ou a M. Baueq, qui se chargeaient du reste. ! D. — Cest vous qui les ameniez a miss OaveM,? E. — Non, mais elle était avertöe lors-fcpi'ïb étaient parvenus a Bruxelles.. D. — Que faisait la prdncesse de Croy? E. — Rien en ce qui •concetfnait Ie passage de la frontière. Ellle s^est bórnée a lairequöLques photographies; c'est a moi que ces photographies étaient remises et c'est moittui m en servais pour établir des cartes d'i*ttentité. | D. — Qui fournieisait F ar gent nécessaire i cette vaste entreprise ? ': E. — Bne faüaifc guère dJ argent. Pour tea part, j'ai recu do la prdncesse de Croy 100 francs, dent je me suis servi pour mes voyages et pour ceax d'un. certain nombre de soldats. D. — Avez-yous propagé la * Libre Bel-giquo »? E. — Non. ""'V.,:;'- D. — Et le € Mot da So-ldat' »f E,.1—' Je n'en ai pas envoyé, miaSs fai aidié a sa diffiusion en ce sens que j'ai recu des exieniplaires *diu < Mot du Soldat » en blano et que je les ai remis a diverses per-" sonnes, pouffi lfeuir permetttne d'envoyer de lours nouveJUies a ceux de Jteutrs proones qui étaient au front. D.— Pourquoi arez^vous £ai>& taofe eeffia? E. :=4 Paree que je sqiSa Eranoaise.j La prinoesse Marie de Croy, '

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