Le XXe siècle: journal d'union et d'action catholique

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s.n. 1916, 28 Januar. Le XXe siècle: journal d'union et d'action catholique. Konsultiert 10 Mai 2024, https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/de/pid/fx73t9f96x/
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RÉDACTION & ADMINISTRATION H !îî FM Sb !a Eonrae-— LE HAVRB Téléphone : J.c Havre n* lï 05 Sirsefeup : FSM8S MU? Tovtts tes comn liealions concernant la rédaction doivent être adressée 3 $u". rue de ta Bourse, Le Havre, LOfôDGN OFFiCE: 21 jPanîon Street (Leicester Square s.wj. w IJ "VWc ÉWPfll jfP M tel h!? ij / H fcy H H M mû mû A à \ ■ ^ ■ fjâ ïkMÉl Mi M Hillill Quotidien Êseiye paraissant au Havre .iiuixut io janvier ivio -v agfccrj^fav, itt timnéinm iMLi.j,- tu iiMjgro^gig^ggeatiwe ABONNEMENTS France 2 fr. 50 par mois. » ........ 7 fi\ 30 par trimestre Angleterre..,. 2sh.6d.pai* maie. *> .... 73h.9 d. par tPl-nestre Astres pays.. 3 fr, 0 par mots. » « 0 fr. » par trirrî56tr« PUBLICITÉ S'acfrôsaar à l'Administration du fourra' « au Havre ou à Londres Annonce3 4' pagot 0 fr. 4î ta fïgno Petites annorroesV pajs: 0fp.30?afîgn e I Les petites annonces sont également ■ reçues à la Société Européenne do Publicité x 10, rue delà Victoire, Paris, qui en ■ a Li monopole pour Pàrio. LEURS SUIS CE RASE Insultes grossières de la grande presse allemande contre le cardinal Mercier _o— (Les hommages unanime» «lu momto ci vilisé h h grandeur dà cardinal Mercier ni Bourraient troaK'.v «Je conséorotion plan iéctetwfce que le déchaînement d'injunc! «tant ;•• primat 80 Belgique est l'objet dû i' ■part de ta. grand e pj.' -se allemande. Noua avons dit "que la » Vos-ssdi-'v Zei tara » avait dWA ré-ilamé co&lro le die: ot les membres do l'êpiscopat belge de; njlitHimente cJiemptaires. La « Koebrisciv xejtuny !i manifeste plus violemment caoor< ïc itepH des Alterna» suffoqués d'indigoa «on 'devant Vaudose des évoques belge,' *Oj impuissants >; opposes' la moindre lté1 ■penee "à leur réquisitoire. Dans son BujfKro du 1-S janvier, la itKoal iitecbo Zeitung » a puijlié, d'après l'agemw fitefajii, le récit de la réception trteuijPhak foite 'par le peuple romain au cardinal Mer «tiw. ifc- grand journal de Cologne a fail puivro oc ïécît <*> la note qu'on va lire « Aujourd'hui, ce peupîo romain acdam< Un cawfireai ébang lin, cardinal rail appar tait à ce mf-aiïe pays «jui avant 1870 four (oiseoit bien îa majorité «tes mcrcenaiiss qw ont protégé.de leurs baïor.mettes la Pa (iwiiutô centré tes soldats de l*V3to4té italienais': X* peuple romain n'acclame paa Maruei pa.iv ::' qu'il est ©'"Tiitisal, mais pares qu'il esl Ii3e!gj;, et le r>oc!a\iste Dflstrte prent part ê ila niaiiiffistaitiom Oui éo ni !«e oa'ganisateurs •le co-'to mani-feHalfon • dans la rue ?. Les anim'cs Uatews à te. guerre <i:ui e'naquc jour înFwîter. t'et attaoïcnit lo Vatican-ei IrKglise, h^s m"me,î fpjii repirésejiteot le Papf tjoniy tes coule ;ra les p!a« qui on* poursuivi l'ôvôque do Sutïî Napi, parc." «pi'ii est d'origiM afemadhlo, ©te. Les excita-teatt h la gaesro que sont les radùctiux tojc.j-iiiaçojis ili; Romîe n'auarïîiejit pas pa ■^aire urne bouffonnerie plus farte cojttre le wu :>. 'K* internationial de l',Eglise ciatho-liquo rcàn&inie et conta» eux-mêmes qu'eoi orgnnisaiiit cette: réesption onithonsiaste du »i.!iiSiial Mor«iéi\ u ' Quelffue grofsisr que soit ce môrocau, >1 rte pouvait safiire h satisfaire la colire «les inWae1 tsee» «te là « Kcesaisolp. Zebtung » coof «ae !o grand coi-dinal. 1 ■ 1 msaiii'es'a dans te numéro <'.u SO janvier par u'n nouvel aa'îiL7.: «Tbijot-cb, arAïaaot cette 'fois d'à coa'respoindànt i>ru-vcPjjis de cette ferette ot où il est paîtras, 5>ar consèqucmt, de voir o,ussi !e rei'tet des ssatimenÉs «les a'Oiitài aKtaxaintes en te)*4fi'<juc. <>st ■' 1 long cri <?"t rage où <]f^' contre-Wài'itéa fiaf'sieitfci vaisin«n.t avec l'avicu de lïnr&iui'tils'e résistance du peuple belge. Heprodiiiisras ' tout ce moisvaa en y sou-Siifttaat œielques-iiM des passages tes plus «igtiilitetiis ; 1 s la direetioa ;!:i C&rdtîirJ. Mereier, te tvftjaes belges, à Vesx.'.ption, do ceux 'te iiïrîMjK'.; cl de liant!:, on.!, adressé une lettre «pBectiy© t>-x «Sv'îqiBes allemands ot aastro-Ïionigi'r.ïs. I,is . ' ,argent te, créeâon d'un tri-toi i arbitrât cOHîposé de Srois Avûqucs ;helj|es et de tajois «vèqtces aJîerrwmiJs, tra-'vajfasiJ. sous te :presîdem;o d'utu ôvC'p.; pays nc-vlvr, poar ertt^uètej- sus- les WBls «to la .guerre de fcnes-tiBéars, et si'ir Noi- uîsoïit vio'at'-vns p;ir l'Àllemagn» des règles du dn it des geffls. La tel-te est dSitee : r:vcern>re 1915 ; mais il semble bien quelle .'■•oit parcerme Urèt tar<l aux 'évêques nUernmils. La semaine dernière elle a été (pBÈJic 1 par des joroTtaux (le réiugiés belgeâ f> llollande et aussi par des jouioau» liol-■uina.'jjs, eri tout cas avant que les iniques vliemasds nient pu y répondre. En. outi-e, Sï.S,!^;'TRE ESÎ' RliPANDUE CL\N-ipsriNiLME.NT EN BELGIQUE MEME, iîows ferme aie bj-ediuïre. On se trouve par «Ht-.; fiimt h neuvcaiu en présence d'ume '^NTA'nVE DE FOMENTEtl UNE GRAN-E AfrIl>TION CONTRE L'ALLEMAGNE, •oqt lû titre, — 'aqruiefe trahit* à ciiaauo tWge^ STYLE TRANCHANT DES LET-1^ PASTORALES du Cardinal Mercier, [ -7 contient e® eft'ei une répétition 3es «a-i oeiacï accusations formulées ooati-e te iha-Wôre dent l'Allemagne fait la guerre. Pour : wwfcr-les évéques alîemaîate confideffltieBe-WienA — comme te lettre l'indiquie — à créer «o tribunal arbitral, POINT N'EUT ÉTÉ ®^SOIN DE CE MORCEAU DÉCLAMA-mriE.L'EXIGENŒ EST SUFFISAMMENT REMARQUABLE PAR ELLE MÊME. Les évèques allemands y trouveront bien ^:il convient de faire, car il est qnfils ne so gcntrroiit pas appelés ® J°i^r 'U-n rôle gui n'a rien h voir avec Éëfer . jfflis&'ion r-eli^ieusc et ecclésiastique. Il est pius pjrobûibèe que le "Vatican aura son ww à dire d'ans cette ■affaiaxî, laqiuelle aura wfiffïs doiitéf ë-té aussi peu soumise cTavaaîee «q Pape qu'il n'a été demandé officieuse-«W aux évoques allemands s'ils étaient ™svosés éventuellement à entrer dans une wtrepïîse purement politique. Ce n'était Jwpuestemien.t pas non plus ce qu>i impor-jait.au promoteur de-l'affQire. Pour îu'i et "^iiniion, qam se proposai l d'instituer, il 'Sï^^ beaucoup mieux que îe»s ôvôqnies al-■cniapjûs r^poniffisse-nit n^ativem-emit à la pro-posititfn d'.iin uMnunû} <a«r&i l-ral, car un refus rjyeut- être aisément r-nrésenté comme issu Si i c.r.a'Lllte d.e vérité et comme un aveu. A Kttre coîfectivte ràpète I«es accusaMcsnfs aa'clw-coninu^s. Elle prétend ôtre uane réponse ! au Livre i>lanc aUtinand sua* la g a erre de i frar,es-tireurs en Belgique et aussi ù la bro-cnua-e des catholiques allemands : ti La guerre allemande et le caUioMci.smo Le promolcur de la lettre d&3 ôv'èqjues a oublié 5 P0,.^ .U*w blanc et îa brochuaxi des ca-UiolMjues ali^mamds ne sont qiub de\s réponses à des aceuf>-a'tions ennemies. Par leurs rapports officiels sur les atrocités allemandes, lc3 Belges ont commencé à écha-faUidiPir clés calomnies romanesques contre " ara-lé."!^, allemandes, llaudrillart à Paris 3 a reti-ajvaiH'é ces calomnies et df autre s en- ! 5 coa'c, les a fait ^atluiro en do nombreuses ^ tondues et les a fait répantài'o par le monde, x La proposition, du td-bwnaJ «^'arbitrage l'our-missiart Focctision de raJratdiir toute cette - Toutefois, lo moyeu a pca'du î beaucoup de sa force attractive. I,e senl.cf-> ii}* te publication semble être d'accom.pa-ï ^er lie voyage de Mgir. Mercier à Rome î o \yv*i nouvelle campagne de presse èaaisi - les i>ays camemis de l'Allemagne. » . Des mensonges et des gros mots, voilà «oûc tout ce crue l'autorité allemande et " i u ^-^^isehe Zeitun^' » trouvent à répon- ' x are a la protestation solennelle des évônues j belles. Pour tâcher d'énerver l'autorité de cette | t démarché et d'excuser .le mutisme des évô-; qo©9 ajl'lemands, la « Kcelnischc Zeitung » essaie de faire croire que les évéques de v Bruges et de Gaitd ont refusé leur adhésion, . qui ia lettre de l'êpiscopat belge n'est pai'-. venue ti l'êpiscopat allemand que très tard , et qu'elle a été oubliée avant qu'on ait pu y . répondre. Autant de mots, autant d'inven-j iions qui ne tromperont, personne. Et qui doaic croira 1a « Kœtnische Zei-l tung » .lorsqu'elle s'efforce de fab'c passer t pour un chef de factieux le pasteur héroïque , dressé contre la force brutale pour défen-j dro son peuple martyrisé? On verra plus loin un grand journal pro-; tcsi&nt suisse saluer dans le primat de Bel-[ g"!fiUc fi une des plus'belb^s ci des plus hau- ; ■ tes figures de la guerre inond'ale»!C'est au- i , jourd'hui le sentiment unanime des honné-♦ r.v > . rir. pavs .Les ins-ult^ do H presse allemande achèveront d'éclairer la • esprits neutres qui tout en rendant hom-mage à notre cardinal hésiteraient encore ù rendre justice à notre nays. LESFÂITSDtJJOUR ■ MQct——. % Les jliumchvs américains sonl de moins ■en moins rassurés sur la situation de VAllemagne. hn' rie leurs grands organes, la » ne-nue dei Commerce -. , ;l que celte situation est précaire et peut même, à bre/ délai, deveiùr désespérée ; la dette, de l'Empire, y lisons-nous encore,, devient si énorme quelle prend Vapparence d'une confiscation rie la totalité des capitaux et de la {artune du pays. Cette ctsnjiscùilktii est assurément en voie de réalisation, car voici le « Tacqhsehe Hunsdselmu n qui awtwïtj'.e l'jue la ïleichstag sera saisi, au cours de la session de mars, d'un projet de nouveaux impôts, dont le total s'élèvera à 500 millions de marks, -.V'i itlVl1 '! La Chambre des Lords a adopté en troisième lecture le projet reiatif à l'établissement du service militaire obligatoire. Le projet va él.c soumis à la signature dii rali ) 1M.VVVVW.VW* Le parti sociui-di'mocratj tourlcmber- . geois a voté une résolution demandant la convocation d'urgence d'un congrès du parti socialiste allemand .doits le'but de btd-tiier l'action séparatiste de la minorité so- , eial-democrate du Reickstag et de demander , au comité exécutif du parti de combattre s par tous les moyens les tendances séparaiis- , tes au sein de la social-démocratie. tvvwwvvvtu D'après une dépêche de Sojia, une crise ' ministérielle est très probable en Grèce On 1 affirme quB la futur président sera M. (iou- ' naris. V Att.VVtM.'VWM ^ Suivant la n Gazette de Voss », des socié- ^ tés anglo-françaises ont entamé des négo- i étalions, à Bumrest, pour acheter toutes J les réserves de benzine de la Roumanie. j A LA COTE BELOE W:i ^ UN NOUVEAU BOMBARDEMENT 1 Les dépêches de Hollande signalent un S nouveau bombardement de te côte belge, 1e <■ 24 janvier dans te matinée, .par tes navires 1 anglais. c Tandis que la flotte bombawjait, des tsy «î dravions nombreux survolaient tes défen-se-j - alleimandes, fournissant les indications né- 0 ccssaires à 1 «rUllerae navale et compté*."»'. <■ l'fBtrvre do destruction au moyen de boni- ^ îies. e Dan3 l'après-midi du même jour, il y a encore eu quelques coupa de canon. p , — d L'Est africain allemand attaqué I MOî Londres, 26 janvier. — Officiel. — Dans l'Est Africain Allemand, les troupes britanniques avançant de Mbuyuni à 15 milles à l'est /le Tavela, le 34 janvier, ont chassé un. petit détachement ennemi qui occupait te camp.de Serengeli à i milles d l'est r de Moutjuni et elles ont occupé le camp. jy «— ■ (U Ita lettre de l'êpiscopat belge à l'êpiscopat allemand 1 in rïnnf.„umFcs maintenant en mesure de fournir les deux brochures contenant l'uîie i pat allemand en &a'na}'d ,e texte de de la lettre de l'êpiscopat belge à l'épisco- E '«u P deux brochures Je 33 pages est mise en vente dans nos bureaux I WMVrait .1' I» l exemplaire. Lnvoi fran-co contre 0 fr. 20 en timbrés-poste à l'Ad-Bl » galion du Journal, 28 tser, rue de la Bourse, Le Havre. I Use du '!'y\^S^b?'>nésr..et tectewï- en :Angleterre, prière de s'adresser au Loi)don Offi-I <o corh) »„ ■ ? "a 2!' Panton Street Lon-don S. IV. La brochure sera expédiée fran- / >■> envoi de 2 112 pence en timbres-poste. ' liW 11.'« dH:" " se recommande particulièrement POUR LA PROPAGANDE PATl- i^EM'VVUS ET AUSSI DANS LES M1UEVX ETRANGERS. C'est pourquoi rf" MDVmi} LUS PRIX PAR QUANTITE. Les dmx éditais fiant , ; 1 I- .. de seront livrées à raison, de S fltANCà LE CENT, port non ccm- è Ly'lr™cr 1** .^mufles ayee mandat postal au bureau du Journal au Havre oîi ; llifiiWiilisii «Le CANAL DE SUEZ^EST INVIOLABL! NOUS ECRIT UN BELGE Janvier s'aehéve et, sur tes bords du c nal de Suez, comme sœur Anne, l'arm britannique ne voit toujours rien venir.L profondeurs roussos du Désert Arabiqi restent muettes et sans vie. Et cepemi.i ,ce mois de janvier était 1e plus propice une attaque en forces. Févri-u' le sa moins ; mais apportera les premières cli l«;uj« ; avril sera torride. C'est 1e 8 févi i 1799 que Bonapai-te, ayant appris que t Turcs rassemblaient des troupes en Syr; lésotut d'aller ù tenu' rencontre, ■ « 1a me ieure façon de se diSendre étant enco; d'attaquer u. L'armée britannique imiter t-elte cet énergique exemple '? Nous n'en s von» rien ; mais ce que nçus savons, o'e que le eunal est bien détendu et que l'Egy fe est désormais inviolable. Voici, au demeurant, ce que nous éei un ami d'Egypte, que ses hautes et non bretises relations qualifient pour nous doi ner un avis autorisé : . « La défense du Canal de Suez et. d» Lacs Amers est aussi formidable que m vnoE&jueimeîit organisée. L inondation o'ui vaste étendue du désert a rendu cette r gion infranchissable et vaut aux Angla une notable économie de travail et de tro. pes. Les rives du canal se prêtent on r Peut mieux à l'aménagement de tranché: et sur le canal même toutes mesures soi prises pour assurer aux flottes alliées 1 liberté de mouvement et de mànomvre. y u ici des troupes e:i nombre considérob. ci boaueosip dc'ces soldats sont des véti rans <le la guerre ï-ils se sont battais no ,in ment dans te paya d'Ypres et s'y sont coi verts de gloire. L'artiiterk! <ltep. se do j<s. ces do tous calibres et d'engiiîs de tram port multiples et variés. Une ligne ferré ïonge tes positions et, peut amener au points critiques tatuiîtens, canons et mi nitions. Quant aux services d'arrière, il fonictionnejxt h souhait. Pour avoir quelqn chance de fortune, l'attaque Uufco-aÛemu.r de aurait dit être soudaine et brusquée, e coup de main et en coup de vent, un u s mouii » do guerre. Obligé de jiatienter et d piétiner en Syrie et dans le déoert, l'enn; mi s'y décimé déjà et s'y décimera surtou par la chateuj', ,e manque d'eau et 1 :■ diil « altés du ravitaiUemeiii. On avait pari très int- jusidéréioent d'une année d atlu £iue de 300.(!u0 hommes. Fable et légende tii tes 'imwMUtesaiittds parvonaiont cncar à acheminer 100.000 sojdaîs jusqu'au car.a il faudrait admirer un tel effort : encore se rait-il vain et les ruueo-AIlemanJs ei.mnai traient d'autos déiaites que celles des Py pamides et du Moni-Tlialior. ii A l'ouest, du côté du Désert Lybique, i n'y « \\\c hordes de nomades et d>> pillard et, encore qu'pssnées par tes Allemands, ce hordes ne peuvent entreprendre que po de chose contre tes colonnes votantes d< troupes régulières anglo-egyptieun-'s. 11 n s'agit foint, d'ailteui's, pour l'ennemi do conquérir quoi que oe soit de co côté, m;, de tacher de souffler sur le feu des passioin indigènes. ii Au cours des événements qui vont s passer ici, .ta presse- d!Europe fera bien di se défier fit s commjîniqués ennemis, — cec V4 dé soi, — mais, aussi des nouvelles tp 5m viendront de eertams -pays neutres.. Que do sottise? in vent gravement insérées, ces teinjre derniers, tla.tis tes iouroanx ni liés ! Tetlo la (.-onspiralion contre 1e Suitai et quarante aa'restatiénS parmi le personne lu l'a) lis ! Pure invention ! Puis la relatïbr des rencontres sur la frontière occidentale représentées comme des succès enneanis. alors que l'avantage resta pleinement aus troupes britanniques. n II. est d'ailleurs possible qu'il y ait ic quelques vives alertes et même des moments critiques ù traverser; mais j'ai, quanl 5. moi, te. conviction f]uo, tant ou point de vue militaire, uue comme répercussion sui ■a siiuation intérieure du pays, l'expédition l'Egypte, — si elle a lisu, — fera lamentablement faillite... Les Anglais se rendent ;ompte que te partie est d'un enjeu trop :apital pour ne paa s'assurer tous les atouts-tii eeux qu'ils ont entre .les mains sont de ifjture a nous rendre optimistes. n Les sinistres exploits des 6ous-marins lans 1a Méditerranée ont naturellement vi-,-emfnt ému l'opinion ici... Ce fut quasi la luppression brutale des communications de "Europe avec l'Orient... 11 a fallu cotte tra-;ique perspective pour qu'on ait enfin résolu le s'attaquer aux repaires neutres où s'ali-nentent tes pirates... Une action énergique loit être amorcée en ce moment dans cette lireotion et il est ù espérer qu'elle réussira - car rien ne produirait sur les esprits irientaux une plus fâcheuse impression que i-: constater Tiinpossîbitité pour tes Alliés "o garder un constant contact commercial t militaire avec leurs possessions. » Voilà donc rassurés ceux qui, portant artout, et sur tout leurs doléances, voyaient éjft te pays des Pharaons tomber aux latns dès Barbares et la croix de l'Ordre 'eutonique flotter sur tes Pyramides. Si expédition d'Egypte c'est pas un mythe, lie sera un diteast/e Paul CROKAERT. Touchant hommage Le jeune Gordon Smart Dalglis'i, de eorgetovvn (Guyane Britannique), est un ien bravo cœur. Voici , ce qu'il écii;, en riglais, à u Un eoHat belge qui a combattu à la guerre, et se trouvant maintenant ù l'hôpital, h Mor. cliêr soldat belge, C'est aujourd'hui l'anniversaire de ma iissar.ee. l'ai six ans, mais ne, veux pa.; •cevoir mon cake. Je préfère l'envoyer un ïu d'aa'gent pour acheter du taibac oii d'au es choses dont tu as besoin. Tïï es très brave, et je t'aime. De la part de Goa-don Smart Dalgiish. Celte délicieuse missive est accompagnée lin mandat-poste de 4 sheliings et" d une lie gravure représentant une téte d'ci.-nt. 'Vu nom du blessé belge qai rocevra lettre, un grand merci au généreux petu jrdon Smart. COMjîUNIOUË BELGE ■ >joa >•■■■—» 2^. janvier. ■ Jb)uel d!ai-liilej'i«ï habibiel n le front de l'armée belge. Actions do pyfcttr/- T'-'-im-m ■iMiMi#»nraérrmriii iMiiniBHiiMH ! IsiîiiiSÉràli (i LA VILLE ETERNELLE LUI A FAIT f ACCUEIL QU'ELLE RESERVE D'OR DINAI RE AUX .-SOUVERAINS. » ECRIT UN QRAND JOURNAL SUISSE ! Le <i Journal de Genève » a publié da [ son numéro du 25 janvier une lettre r: portant «.n entretien de son corrcsponda , romain avec 1e cardinal Mercier. 11 est intéretsaut do voir un étrang confirmer en tous points ce que notre i . recteur disait hier dé l'accueil fait par F me et l'Italie au primat de Belgique : « L'accueil triomphal «lue le èardiu . Mercier a reçu ttens toute l'Italie a dopas ce qu'on pouvait imagiéner. La Ville Et< nette lui a fa.it une réception qu'elle rés< ve d'ordinaire aux seuls souverains. Me n'est-ce. pas pas une soi te de souverain q cet homme, ce pasteur d'âmes qui, armé ; sa sente puissance morale, a su s'impos aux détenteurs de la plus formidable U ce matérielle que le monde ait vue jt: qu'à ce jour ? Le cardinal avait, bien voulu me faire s voir qu'il m'accorderait, avant son dépa; quelques minutes d'entretien. Dans l'an chambre où j'attendais, se pressaient d personnages appartenant à la plus hau société romaine : il y avait là deux pri: cesses romaines, trois diplomate?, une l'o 1? d'eyèques et de prélats de toute notion lite. Tous considéraient comme un insigi honneur 1c seul fait d'ètïe admis en pr sence d'un homme ip.ù n'est cependant qi 1e représentent d'un pays onorimé et d pouillo. En abordant le cardinal je lui ai décl ré combien je lui étais l'cconnaissant i 1 honneur qu'il me faisait de pouvoir t présente mes hommages personnels eoux des journaux que je représente. 11 no ooufvait être question d'une inte View proprement dite, car je savais que çaruinal arohevêque di-;'Matines est bic «lecidO à ne faire aux journalistes aucui déclaration destinée à la publicité. Cet resaive est parla iteme2it naturelle. Les ai torius alleiiiiuides oait permis o.u ca/rd nal Mercier d'accomplir sa visite « ad lim lia., ii Mais 11 te cardinal laissait écbyppi certaines appréciations, si justifiées qn'eitli soicuï, ccites-ci ru; pourraient-elles eu pi-sj dro prétexte pour- mettre obstacle a so retour en Beljfiijue ? J'ai dit au cardinal 1 - Votre Eiii'nenee a. nu voir do quott profondes et «ni vej-sèJie:, sympathies voti per oii-i.e et la Belgique tout entière =oî entourues en Italie ? ,-î Pui. m'a-t-il répondu et j'en ai été v. l'itab ement ému. Certes jo-no m'attenda: p. s ii. un o.-"coeit pareil t • — Votre Eminence a raison ; Ja r'v.optio quten lui a faite a dépassé l'at-teai» ;jéai J'ai .payé d'interroger lo cardinal -,u son audience du pape, mais il a opposé toutes im- demandes une courtoise fin, d non recevoir. » , Et 1® con-ospendant du « Journel ,ds Genève » conclut sa lettre par ces mots : « Le cardinal Mercier, dont la figure raj pelle, ceiie des Aueustin et des autre grands évêqraes des quatrième et clnqtiii' mo si' . le dé tiot i, : ère, qui se trouvèren eux' aussi, aux prises avec t'iiivasion, îes -iera certain^iiicnt ccunne une des plus bei les e tdes plus hautes ligures de la cuepr mondiale. »• EN REMERCIANT LE CONSEIL MI MCI PAL DE ROME, LE CARDINAL IiXPRi ME SA CONFIANCE DANS LA VICTOIR) Mercredi- soir au conseil municipal d Rome, le maire, prince Colonna, a "donn lecture d'une lettre du cardinal Mercier 1 remerciant chaleureusement pour te sain vibrant qu'il lai a adresse au nom de Rome du Capdoîe. Le cardinal Mercier dit, d'après te dopé cho- d'agence qui nous apporte cette neu voile : « Ce salut veut honorer un peuple mar tyr, un roi d'un héroïsme indéfectible dan: la défense du droit et l'abnégation dans l'ae complissement du devoir. Vous nous ave: souhaité ta résurnection, jv crois, j'en a confiance. Le sentiment de profonde justice la rectitude spontanée de la conscience hu maine apjiorteront, je ne peux pas en don ter. par leur pression providentielle sur le; événements, le triomphe cle la cause poni laquelle nos nations sœurs luttent ensombb et dont la beauté doit plaire à Dieu, n Le cardinal Mercier termine en exprimam au nom des Belges, ses vœux pour te succès des armes italiennes et la prospérité croissante du pays. La. lecture de cette lettre a été accueillie pai de vives acclamations: * LE CARDINAL VON HARTMANN Une note d'agence dit que le cardinal von Hartmann n'a nas l'intention de se rendr. prochainement à Rome. Nous croyons volontiers que rai-chevêque de Cologne ae fera-pas ce voyage avant 1e départ du cardinal Mercier... RECEPTIONS ET HOMIVACES Les journaux italiens continuent, à. suivre avec la » pfus grande sympathie les allées et venues du cardinal à Rome. Samedi, 1e cardinal a célébré la mes1-, dans l'église du Sacré-Cœur, chez le scéurs de Marie Libératrice. Il a déjeuné chez le cardinal Rinaldini, ancien nonei "à Rraxeltes Dimanche, 1e cardinal a célébré la messi dans la chapelle du collège belge devantes élève» de nos diocèses appartenant r cet établissement. A midi, 1e cardinal : déjeûné au Collège Angélique des Père; Dominicains. Lundi, le cardinal a visité la basilique d< Saint-Pierre aux liens où il a été reçu po: 'abbé général Strozzi et l'ablié C'olli procu xmr des chanoines de St-Jean de Latran ,e cardinal y retournera probaU'emont se nodi pour y célébrer te messe. En quittant ?t-Picrre aux liens, il a fait visite à l'asi), tes vieillards tenu par tes Petites Sœur tes pauvres. Mardi, te cardinal a déjeuné chez le. car linal Vieo, ancien nonce à Bruxelles. Lo cardinal a J-cu de M. Fotohi,'près lent de 1' « Associazione cailiolica arli.»4 :a opérais. » -et de M. Croci, président, d 3erete St-PieiTC, un télégramm.-- d'inamn jes ex.nriTOiai!,t leur adïnii-ation et teu'i ,-œus pour la restauration ete te. Bel «jm».. Si vous vouiez préserver 2a liberté, saches renoncer à des libertés LA CHAMBRE FRANÇAISE A IfNAM MEMENT APPLAUDI CE FER?/!E LA ^ GAGE DE M. BRIAND. ' M. Driand a défendu mardi devant ■ Chambre, française^Je principe de lo. ce: ■ sure en temps de g-uerae avec tant d'éd .^quence que les. députés, cependant fort m disposés, ont été presque unanimes il J donner raison. n Nous ne devons avoir qu'un but, a d te président du conseil : la victoire. Ce bi vaut bien te sacrifice de quelques libertés. Et ce thème, M. Briand l'a aévSopj daais un discours dont on appréciera 1 force iiar quelques passages d'une porti générale : Nous vouions, pour foire sortir noir paya victorieux de cette guerre, a dit 1 avec ses ennemis à ormes au moins égale Eh bi en, dans la guerre, il n'y a pas sei kinent des fusils, des canons, dos mun tions, l'héroïsme des soldats, il y a la t nue morale du pays. (Applaudissements •Lorsquqe la guerre a déjà duré longtemp; •et plus elle doit dur,.'. Ja munition prii cipate c'est le calme, c'est te sajr^roid d pays, c'est son courog.: impertu.able en f; ce de l'épreuve. (Très bien 1 Très bien !)-• Voyez ce (jni se passe là-bs.s. Nous parlons dedibertég ; ah.! ceitos, toi tes les libertés srmt respectables. Mais 1;' bas. parcourez les six cents kilomètres d front et voyez tente la nation-dams ce qu'o te a de valide,, dans tes fossés sur lovquei pèse un grand silence. Cas hommes, il avaient te goût de leur liberté individuel! aussi, ils avaient l'amour de leur fonvi.lh ils avaient la satisfaction d'accomplir lou tâche et peut-être étaient-ils par quelqu côté do leur esprit portés à la liberté ints rrate même confinant à te licence ; dans 1 domaine de la pensée, certains allai-ent ve lontiers jusqu'à la révolte. On leur e dit : « Toutes tes libertés pai ticultères doivent être suspendues, pare qu'il y a quelque chose do plus grand, d plus noble, de pju-s éclatant que la libert des individus : e'est la vie de la natioi et la liberté da monde ; l'imo ot i'antr sont en .iange:,-. d Alors, ils se sont tus ; ils sa sont pliés ; la discipline, l'aee«piaîiii volontiers, faisan tous le» sacrifices, ot d'affeetion, et de li lîerfeo. offrant leur vie à leur pays. Et les autres, dans- l'Intérieur du n-oyo tons ceâ' e5Ûtiv"atèurs, tous ces cmnmeroants tous ces industriels, gênés dans leurs affai 'res, souSi-ant «tane lwir amour pour léur proehes, est-ce que vous croyw. qu'ils n. font pas. eux aussii, des sacrifices à len: pays ? ...C'est en vain que vous parieriez & principes, ite liberté. La liberté, mais ne savez-vous pas que esrt le vroi moyen de la défendre Compre nez donc que si nous n'avions pas. la vie toire, .te, liberté serait morte pour nous e pour tout i>u-i-.ii-ile, (\ iîs apipl^odi; -l'Uieii,. 1 nsjaninies et r^Jétés.) Eh bien, messieurs,, cette -liberté, ci voio •contes i |préserv«r, ne HuiSesT ri, ;r qui puisse troubler la confiance de ce' i>ea-,i ci généreux pr„ys : laissez aux mains du gou yernenicnt tous, les moyens né-ces aires non-, <xn assui-er te triomphe. (Très bien ! Très bien h C'est sur ces paroles que je descendrai de la tribune ; je suis certain- qu'elle; no vous auront pas trouvés insensibles. | (Vifs applaudissements.)' » La Chambre a en- effet donné raison à M. Brian# par 318 voix contre 1-45. C'est une nouvelle victoire du bon sens et de la vo-| onté d'o vivre du peuple français. "derniers BESDSB Ceiimusifuè officiel frayais Paris, 27 fanvie«y 15 heures.- EN ARTOIS, très vive canonnade ai>:. 3ZSv^, w mi.1 £"w ,e secteur de Nev.-mUe-Sauit-V<ia.st Dans le voisinage de la ' ennlitiuS • " la f'olie n0us avons-. contmné a réoceupe¥ progressivement les. ' f°m-Guetteurs et les entonnoirs ofci - lennemi avait pris piedy nous avons trouve' ' tJu ^ t*1**™ «Usmtmdè, une. mi-i ' soitnie%e mUS amu>* m Vrfr EN ARGONNE, mm; aeans fait n.tlosef ■ deux ternes avec succès, une près ' le la,) ' lwlu^UcMe' wne av!rB aw éwtomë, LES AUTRICHIENS SERAIENT à ALES&IO Rome, 2C janvier. — On mande à 1' n Idos, -NazReoi.e » que les Autrichiens ont oceunA iid''"0 wntjnuent leur marche v*» la [Alesaio est situé à 10 kiloméfres au. eut» ..c- Seoran et à plus (te 55 kilomètres à vci d oiseau au nord de Durazzo]. Anus reiilosi ie Braile 1 QUELQUES DISTINCTIONS BIEN MERIii TÉES AUX BRAVES QUI S'Y SOOT 1 DÉVOUÉS ^rair- ";L- de M. do Broqu'OviOr1. l'-3 Roi yieâjfc de signer les arrêtés aocorclfliiji les disfen-'^tions suivantes aux bravM qui so sont dévoués lors d-e l'explosion1 d'uîio lîvi nos fjoudiièrés à Gravillo : Chevalier de l'Ordre de Léopoîd : Le mccanioieii pi'incipal de 2° classa dû la nie ru. : iraiîçaise, iieutenant Eai^is, Clfevaliers de la Couronne : Lo sous-lieutenant du génie 4rihm' Roi» sa«rt ; L'ajunériier militaire R. P. Mériter. Crois civique de tre classe (19Î4-TJ15J : Commajida.ii;, Biaise ; Ingénieurs d'artiilerte Waufcrs, De1. "-4 et Fayt, '■ Chevaliers de l'Ordre île Léopoîd II : ;( Adjudant arlii'icioi Pcmonfia ; ter infci'grl onal des logis chef Lsioux marécii. I dwi tOgis Bartti-temy -soldats. d'aj-ijlfei-i-; Nose5 mens et V«a Dommcie ; soldai ote>o;>■»-/ .laequcœoJîi • soldat è artillerie Wiiry. ' ? Pour les YiVi imes de Fèsplosioa — Nous «vous euccre reju pour W v" Omsa ete 1 e.vpiosKâi : " nDu Mess do la C. A. V., 4» eampso'cie, £« D- A. : ,37 francs. ^^De^M. Alfred Poilaclî, à Montréal : livi'' - i T, ?®non.ce 'a mort, dans l'Avovrou,, de M. de Pomairols, 73 ans, écrivain disii"is gué et poète apprécié. -r- Les journaux berlinois annonçant <reaf Cabrmoviteh, qui participa à l'attentat de' beraievo, est mort en prison, de tuberoiiio-se pulmonaire. Le Parlement approuve le blocus rigoureux La flotte britannique est formidablement renforcée Les ouvriers se prononcent en faveur de la conscription Energiques déclarations le Sir Eduard Grey sur /e blocus i ELLES SONT CHALEUREUSEMENT APPLAUDIES Un grand débat a eu lieu mercredi en même teaaipS a la Chambre des lords et à 'a Chambre (tel communes sur la gran-le-question du blocus qui, depuis si. longtemps, ■ =t. l'objet des polémiques les plus vives ...u Angleterre et dans les pays neutres.Sir Edward Grey a prononcé un discours très important où, après avoir rencontré "opinion de Ceux qui prétendent que* 1e blocus do l'Allemagne a été jusqu'à pré-sent inopérant, il a tracé lo programme futur de la Grande-Bretagne dans la contint,) du blocus « Nous dirons aux neutres, a-t-il déclaré : ii — Adraettezi-vous notre droit d'appii-;uer les principes que te ^ouverneme rt onérioain a appliqués pendant la guerre te ta sécession en tes adaptant aux condi-ions modernes, en faisant de notre mieux •ur emoéelier lo commerce avec l'emie--ni par les pays neutres. ii S'ils- répondent « oui », comme lis ;ont tenus en toute justice de le faire, alors | ions leur dirons : ii -- Falieitc-z notre tâche qui consiste à. atiiiguer les marchandises destinées de , >,-ruie foi à la consommation des neutres. » Si d'autre part ils nous répondent que | "*us n'avons pas 1e droit d'empêcher lo ! -omnWée avec l'euntsmi por les pays neu-| ras ab»vsnous devrons répondu^ eatégori-I . "• '. ': s;i les pays neutres adoptent Nous avons le droit, dit-il encore, do ré < i "fff^.iBtégral des droits conféré» 'S LtérieurS îf ti0nal daas les cueà^ni^f^ 110 ,t0U® fe»'«pa«s aryj T .re,lt ,c& déclarations énergiques de Eltes.redouWèrâ,?^! C01U1-C1, dans lule pulssallte néror2i«n n ( t iriéttraiiia^.io détermination do • -« n Crande-ta^M-no de continuer la, lutte mil a qu au bout, coûte que coûte : ] r. .(< Nous devions en finir avec lo mflî f a • ■ awstw «Afiaîfe , ^gasssatsxfgss^ ■é militaire navale et financière ser-i mis -Vi ; easKratt-sfksS muan d-e piossion sur nos ennemis t«îW ' la puissance de notre- porn empêcher leur ravitaillemlnt ^ (( Avec nos alliés nous lutteron'- il* ton £ te nos forces jusqu'à la fin. » j La nouvelle Hotte britannique s vaut à elle seule la flotte 3 allemande tout entière ... IMPRESSIONNANTES PRÉCISIONS DË M. BALFGUR 5 A la Chimbre des Communes,M. Bulfour " 3 premier lord de l'Amirauté, a fait l'im* " portante déclaration suivante : t « — La nouvelle flotte construite par nous] —^N*445 % Lemtmém : 10 Centimes (i SSOTKBSfiS AO FRONT) Vendredi 28"Jaavier 1916 11)1 III ».l—BBWBMj. F ,it' t' Il i IIMJi^au^^^gain

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Dieses Dokument ist eine Ausgabe mit dem Titel Le XXe siècle: journal d'union et d'action catholique gehört zu der Kategorie Katholieke pers, veröffentlicht in Bruxelles von 1895 bis 1940.

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