L'indépendance belge

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s.n. 1918, 18 Dezember. L'indépendance belge. Konsultiert 20 Mai 2024, https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/de/pid/pk06w97d5k/
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LE BELGE INDEPENDANT ADMINISTRATION ET REDACTION: TUBOR HOUSE. TUDOR ST.. E.C. 4. TÉLÉPHONE: CITY 3»« MERCREDI 18 DECEMBRE 1918 (3 MOIS. 9 SHILLING 9 ABONNEMENTS < 6 MOIS, 17 SHILLINGS 11 AN. 32 SHILLINGS FOLIES GOUVERNEMENTALES plus profitable à une nation. Il faut î faire revivre. Que nos orfèvres, que no bijoutiers, puissent reprendre leur acti cité le plus tôt possible! Nous attendons dans le pays u grand nombre de visiteurs. La Belgi que sera un pèlerinage mondial. ^ Il faut que les voyageurs y trouvent 1 confort et le luxe. Il faut que nos maga sins leur offrent des objets artistiques e précieux. Si la nation ne peut pas travailler coin me elle l'entend, c'est la ruine irrem-c diable. Quant à la balance commerciale, c sont les emprunts gagés par l'indemnit de guerre, qui pourront seuls payer no Importations, jusqu'au moment où le activités professionnelles pourront prc duire. Ce moment, on le recule pan, l'in terdiction d'importation. Articles contingents Si certains articles sont réellemen monopolisés par les Alliés, pourquc étendre la nécessité d'une licence d'im portation à tous les autres? Faites u arrêté-loi limitant les licences à ces ar ticles ; ayez soin de les indiquer. Ne prc longez pas la léthargie de toute la nation Transports Les articles de première nécessité son importés par la Commission for Relief Laissez donc la liberté aux industriels Si l'Etat veut organiser lui-même de transports maritimes, qu'il fasse ses con ditions de fret, mais qu'il n'interdise pa à tous ceux, qui en trouveront le moyen d'organiser des services et d'importé des marchandises, des matières pre mières, des machines, des outils, tout c que le pays réclame. La crise des transports maritimes du rant la guerre eut pour cause principal' — non la destruction des navires — mais la multitude des transports mili taires. La crise a précédé la guerre sous marine à outrance. L'amirauté anglais dès 1916 avait, en effet, réquisitions plus de 60 p.c. des navires britannique pour les besoins de la marine et de l'ar mée. Le tonnage mondial n'a pas sensible ment diminué depuis 1914. Les chan tiers de construction se sont multiplié au point de combler en quelques mois le vides causés par le torpillage. Sous peu il y aura crise d'abondance. Que l'Etat redoute d'établir des fret exagérés au profit de sociétés d'arme ment et au détriment de la nation ! Rumeurs Les bruit les plus fâcheux courent : Londres. On assure que certain arme ment belge a acheté des navires à ui prix égalant quatre fois celui du coût d< construction d'avant-guerre. Aucun ar mateur britannique ne consent à paye la moitié de ce prix de guerre. Comment la compagnie, qui fait ■ ce acquisitions onéreuses, entend-elle si récupérer? en profitant des restriction: d'importation et en escomptant le mo nopole ou le quasi-monopole des licence; d'importation? en s'entendant avec le: importateurs ? Les entraves mises à la correspon dance avec la Belgique alarment égale ment l'opinion belge et britannique. L ; rumeur veut que l'Etat belge veut pas ser au crible toutes les offres et deman des. On veut annoter et cataloguer 1< tout. Est-ce ainsi qu'on entend fain revivre le commerce et l'industrie? Ai profit de qui, cet espionnage? De l'air, de l'air, la Belgique délivré* veut respirer à son aise. Qu'on retire 1< fâcheux arrêté-loi et qu'on le limite ai strict nécessaire pour arrêter le trafic d< l'ennemi. Que la correspondance soi activée au lieu d'être entravée. Qu'on donne confiance aux négociant: et aux industriels. Qu'on fasse crédit i l'intérêt bien entendu de chaque hommi d'affaire travaillant dans sa branche. I sera plus entendu que tous les bureau? et que toutes les administrations offi cielles. FERD. VANDE VORST. DE MIEUX EN MIEUX Nos soldats peuvent retourner dan< leurs communes passer quelques jour' de congé. Or ils emportaient dans leur* petits balluchon un peu de café, un pei de sucre, ifn pot de confection, ur actuellement ils ne peuvent plus emporte! la moindre petite provision. N'est-ct pas absurde, et de quels esprits de telleî interdictions peuvent-elles germer? ; AÏT PAVC NAïR chines de nos houillères pour retard* notre concurrence. Encore un crime d plus, absolument inconnu à Bruxelle: les relations étant si pénibles et si diff ciles entre les cites belges. Ces bandii que l'on exècre chaque jour davantage , l'acte d'accusation porté contre eux d< ; venant de plus en plus formidable avaient transféré sur le chaland "Octx vie" le produit de ce vol, particulier* mçnt odieux, avec l'intention de le dir , ger vers les eaux allemandes. Mais 1< . Alliés ont avancé vite,et l'"Octavie"fi reprise à Viesville entre Luttre et Cou: celles. Dès que l'on disposera du charr< nécessaire les pièces en question si util< reprendront le chemin du Borinage < seront rendues à nos charbonnages qi , recommenceront leur extraction sar tarder. Depuis le début de leur grè\ forcée nos braves Borains, touchant ur indemnité de chômage, font une "noc carabinée" avec leurs libérateurs cajxi diens. Après avoir enduré les pin souffrances le pays noir est tout à la joi comme Mons elle-même. La chère cité a maintenant de granc projets. C'est déjà un centre importai d'instruction puisqu'elle a une école de mines et deux écoles commerciales d hautes études. Elle trouve que ce blc scientifique est insuffisant et que l'on d< vrait y ajouter une faculté de droit t une faculté de médecine. Mons dispt serait ainsi d'une université appelée rendre de grands services aux popuh tions du Borinage. N'allez pas croir que ceci se rattache, à un plan de sépare tion administrative. Les Boches en oc rendu odieuse jusqu'à l'idée! C'est u projet excellent que les deux ministre montois, MM. Masson et Harmigniés ps tronneront certainement. M. Massor dont l'attitude a été magnifique pendan toute l'occupation, jouit à Mons d'un immense popularité. C'est à qui, lib« raux, catholiques et socialistes, en fer l'éloge ! A la Louvière et Charleroi On ne se rend à La Louvière qu'aprè être resté en train de Bruxelles à Hou deng pendant quatre heures. Les An gla.is occupent la commune et la contré environnante. Leurs officiers, très seleot sont traités par les directeurs-gérants e alliés et en amis. L'éloge des Britanni ques est sur toutes le lèvres. On lou beaucoup aussi les Noirs (Sudistes Afri cains), qui ont séjourné à La Louvièr pendant quelques jours. La vie repren-en cette terre industrielle où, d'ailleurs les charbonnages n'ont jamais cessé d fonctionner. Il en est de même au pay de Charleroi, où de nombreux Ecossai ont défilé. Ils ont été remplacés par d< régiments recrutés à Londres. L'un d leurs officiers me faisait remarquer qu certains coins de l'agglomération carolc régienne évoquaient des visions de la riv droite, industrielle, de la Tamise, entr Chelsea et Putney. C'est exact... Rap prochement très curieux que les Belg< de Londres n'avaient jamais songé faire. Comme à Mons, comme à La Louvièr* Charleroi chante les louanges des soldai de sir D. Haig, populaires dans toute 1 contrée. On espère que lorsque l'occupa tion en Allemagne aura pris fin, ce ser an tour des Français de traverser le Paj Noir et d'en recevoir les témoignages d vive sympathie. Charleroi a beaucou plus souffert qu'on ne l'avait dit de 1 furie germanique. Tout le boulevar Audent, la grande promenade du hau de la ville, est détruit ou à peu près, et aux angles des brèches gigantesques di sent la férocité des Huns. Si la guerr avait continué quinze jours de plus, qu sait si Charleroi n'aurait pas revu le jours sombres de 1914 ? Ses habitants 1 redoutaient. G. V. v X Ail « Uû UIJ I. VI »-» ■r piété le désarroi. Et voilà pourquoi h e Belgique est restée pendant plusieurs se s, maines sans aucun service postal et pour l- quoi les lettres du pays sont si rares. j6 Mais pourquoi le gouvernement, s >, généreux de déclarations et de proclama y tions d'autre part, a-.t-il gardé un silenci >, obstiné sur cette affaire et nous a-t-i' y- laissés dans une ignorance qui -s'es s- transformée, pour bien des gens, en une i- mortelle inquiétude? » Et puis, ce vol des timbres par le: it Boches, n'était-il pas à prévoir, et lt gouvernement du Havre n'aurait-il tia: 'i dû prendre en temps opportun des me « sures pour y remédier? _ * -t Ce qui est vrai pour cette affaire-c û l'est également pour cent autres. Avec 13 un peu d'intelligence et de prévoyance e on nous aurait évité tout le gâchis ac e tuel, mais... W. LE WUMERO 1 PfcNNY NO 20

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