Lloyd anversois: journal maritime emanant des courtiers de navires

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s.n. 1915, 23 Juni. Lloyd anversois: journal maritime emanant des courtiers de navires. Konsultiert 01 Juni 2024, https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/de/pid/gb1xd0rr69/
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ANVERS, Mercredi 23 Juin 1915 Cinquante-huitième Année No 17.340 PIN & RÉDACTION : E VLEMINCKX, 14 ANVERS éléphone 3761 LLOYD ANVERSOIS Seul Journal Maritime quotidien émanant des Courtiers de Navires Annonces : 25 centimes la petite ligne. — 50 centimes la double ligne 1 franc la ligne sur double colonne Adresses industrielles 50 centimes Émissions et Annonces financières : Prix à convenir Les annonces sont mesurées au liynomètre. — Les titres se paient d'après l'espace qu'ils occupent Observations météorologiques de M. F. Agthe, opticien, rue Léopold, 51 Anvers, 23 juin 1915, 9 1/2 h. du matin — Baromètre 763,5 — Thermomètre cent (max) + 22 5 — Thermom cent, (min.) f-10,5 — Pluviomètre — m/m.—Vent. S.-S.-E.— Prévision : Pluie. Astronomie 24 juin Lever du soleil 3 h. 29 m. matin — ' 3.29< Coucher du soleil .... 8 „ — „ soir = (20—) Lever de la lune 5 , 30 „ soir = (17.30) Coucher de la lune . . . . 12 „ 28 „ malin — '— 28) Pleine lune le 27 juin ... 4 27 „ matin — ( 4.27) Dernier quartier le 4 juill. . . 5 ., 54 „ matin = ( 5.54) Nouvelle lune le 12 juill. 9 „ 31 „ matin — ( 9.311 Premier quartier le 19 juill. . . 9 „ 9 „ soir (21. 9) Haute marée à Anvers Matin Soir 24 juin — h. — m. = (—h.—) I 12 h. 39 m. - (12 h. 39) 25 juin 1 h. 23 m. = ' 1 h. 23) I 2 h. 1 m. 14 h. 1) 26 juin 2 h. 32 m. = 2 h. 32) | 3 h. — m. = '15 h.—) (Heure belge). Hauteur du Rhin Cologne 22 juin 2,41 m Strasbourg 21 juin — m Huningen 21 „ 2,70 „ Lauterbourg ,. — Kehl .. 3,39 „ Maxau „ - „ Mannheim „ 4,30 „ Germersheim „ — Caub 22 „ 2,61 „ Mayence 1,54 „ Kubrort „ 1,52 „ Bingen „ 2,30 ,, Uuisbourg 21 „ 1,59 Coblence 2,54 „ Waldshiit — „ Diisseldorf „ 2,23 .. Lobith „ 11,22 „ Hauteur du Main Hauteur du Neckar Francfort 21 juin 2,05 m. Heilbronn 21 juin 0,43 m Hauteur de la Moselle Hauteur du Bodensee Trêves 21 juin 0,09 m Constance 22 juin 4,28 m Port d'Anvers ARRIVAGES DU 22 JUIN Steamer Wilford 4, de Tamise. » Amstèl 4, de Bruxelles. » Stad Amsterdam 3, de la Hollande. Bateau-moteur Pierre Joseph, de Rupelmonde. » Angélique, de Rupelmonde. » Dorothea, de Hemixem. » Scheldestroom 1, de Baesrode. Vischhandel, de la Hollande. Allège Mathii.de, de Merxem. » Voorspoed, de Merxem. » Bien sans Dieu, de Hérentlials. » Ovide et Gisèle, de Bétliy. » Vije Gebroeders, de Baesrode. » Célestine, de Boom. » Grosnyi, de Jemeppe. » Hullos, de St. Ghislain. » Alcor, de St. Ghislain. » Zeppeline, de Mons. » L'Avenir, de la Hollande. » Lilly 49, de la Hollande. » De Vrouw Wilhelmina, de la Hollande. » Dankbaarheid, de la Hollande. Overdenking, de la Hollande. » TnveÉ Gebroeders, de la Hollande. » Zeeuw, de la Hollande. » Drie Gebroeders, de la Hollande. » Helena Wilhelmina, de la Hollande. DEPARTS DU 22 JUIN Steamer Tournai 5, pour Bruxelles. >» Helvetia 7, pour Bruxelles. » Stad Amsterdam 3, ijoui- Bruxelles. » Telegraaf 3, pour la Hollande. Bateau-moteur Scheldestroom 1, pour Baesrode. » Anna, pour Boom. » Bato 1, pour la Hollande. Allège John, x>our Burgiit. » Hullos, pour Merxem. » Alcor, pour Merxem. » Grosnyi, pour Gtieel. » Mariette, pour Moll. » Deux Frères, pour Bruxelles. » Charlotte, pour Bruxelles. » Arbeidsvrucht, pour Bruxelles. » Hélène 17, pour Bruxelles. » Marguerite, pour Liège. » j'eune René, pour Liège. » Deux Frères, j>our Liège. » Brabo, pour Liège. » La Gloire, pour Jemeppe s/M. » Aloïs, pour Jemeppe s/M. » Martin, pour Mons. » Antoinette, pour Mons. » Angèle, pour Tournai. » Dyle, pour Tournai. » Stella Matutina, pour la Hollande. » Rosalie, pour la Hollande. » Licht tevreden, pour la Hollande. » Vischhandel, pour la Hollande.- » Antonia Maria, pour la Hollande. » Philomène, pour la Hollande. » Jonge Isidoor, pour la Hollande. ARRÊTÉS concernant les pouvoirs des autorités mesures d justice et de police envers les étrangers. Mon arrêté du 5 février 1915 concernant les pou voirs des gouverneurs, chefs d'arrondissement e commandants est annulé et remplacé par l'arrêt suivant qui entrera en vigueur le jour où il paraîtr; au Bulletin officiel des lois et arrêtés. Art. 1er. — Pour les actes criminels ou déliotueu: et les contraventions commis par des étrangers', le tribunaïux militaires sont compétents, conformé . ment au code pénal militaire et à l'arrêté impéria du 28 décembre 1899 concernant la procédure mili taire extraordinaire contre les étrangers et l'exer ci ce rte la juridiction criminelle envers les prison niers de guerre, savoir : a) En cas <le trahison en temps de guerre (para graphes 57 , 58, 59, 160 du code pénal militaire, 87 .H8, 89, 90, 91 et 92 du code pénal de l'Empire) ; h) Lorsque des soldats de l'armée allemande oi d'une armée alliée, laissés sur le lieu du combat ont été dévalisés ou lorsqu'on a dérobé ou enlevt par contrainte des objets appartenant à des soldats malades, blessés ou prisonniers (par. 134 et 160 du • code pénal militaire) ; c) Pour tous les actes punis par les lois de l'Eni pire allemand et dirigés contre des troupes allemandes, des soldats appartenant à ces troupes ou des autorités instituées par ordre de l'empereur (par 161 du code pénal militaire) d) Pour toute contravention passible d'une peint et enfreignant soit les arrêtés de? autorités militai res compétentes, soit les ordres émanant du com mandant d'une localité ou d'un district et destinés à assurer la sécurité des troupes allemandes (par. de l'arrêté impérial n° 2 du 28 décembre 1899) ; e) Pour toute action criminelle sans exception, commise par des personnes qui, sans avoir la qualité de militaire, sont au service de l'armée allemande, ont des obligations contractuelles envers elle, séjournent parmi elle ou la suivent (par. 155 du code pénal militaire). Art. 2. — Les arrêtés mentionnés à l'article 1er lettre d, et édictant des peines peuvent émaner di gouverneur général, des gouverneurs de province des gouverneurs de place forte, du gouverneur d* lîruxelles, des commandants de Maubeuge et di «camp de Beverloo. Art. 3. — Les ordres mentionnés à l'article 1er lettre d, et édictant des peines en vue d'assurer la :sécurité des troupes peuvent émaner des autorité* indiquées à l'article 2 et, en outre, des chefs d'ar rondissement, des commandants et des chefs de troupe auxquels les gouverneurs de province onl donné des pouvoirs spéciaux à cette fin. Art. 4. — Les contraventions rentrant dans la en tégorie mentionnée à l'article 1er, lettre d, peuvent; lorsqu'il s'agit de cas peu graves, être jugées con formément au paragraphe 3, chiffre 2 de l'arrêté impérial du 28 décembre 1899 remplaçant la procédure judiciaire par la procédure de police. Les autorités indiquées à l'article 3 sont compétentes dans ce cas. La procédure de police ne peut, outre la peine éventuelle d'une confiscation, aboutir m une pénalité supérieure à : a) 3 mois d'emprisonnement ou 1000 marcs d'amende, lorsque la peine est appliquée par une des autorités indiquées à l'article 2 ; h) 3 semaines d'emprisonnement ou 300 marcs d'amende, lorsque -la peine est. appliquée par les chefs d'arrondissement ; c) 2 semaines d'emprisonnement ou 200 marcs d'amende, lorsque la peine est appliqué? pnr les commandants ; d) 5 jours d'emprisonnement ou 50 marcs d'amende, lorsque la peine est appliquée par des chefs de troupe agissant en vertu de pouvoirs spéciaux. Art. 5. — Les autorités mentionnées à l'article ont en outre le droit, dans l'intérêt de la sécuri des troupes et conformément au paragraphe 18, clii fie 2 de l'arrêté impérial, d'imposer, par des mes: res de police, les dispositions spéciales et les mes res administratives qu'elles jugent nécessaires. Dans ce cas, ces autorités sont entièrement libri dans le choix des peines à appliquer. Art. 6. — Il est permis de réclamer sans dél; contre toute ordonnance de police en ^'adressant l'autorité immédiatement supérieure, c'est-à-dire, l'ordonnance émane d'un chef de troupe, au chi d'arrondissement, d'un chef d'arrondissement- o d'un commandant, au gouverneur compétent, d'u gouverneur, au gouverneur, général. Les réclam; tions n'ont cependant aucun effet suspensif, à moii que l'autorité dont émane l'ordonnance n'ait expre sèment décidé dans ce sens. Bruxelles, le 12 juin 1915. Le Gouverneur général en Belgiqu Baron von Bissing, Colonel-général 11 est défendu aux hôtels, restaurants, cafés < autres établissements publics de vendre bu de serv aux militaires d'autres boissons alcooliques que d vin ou de la bière. Les contrevenants seront passibles soit d'une peir d'emprisonnement d'un jour à deux mois et d'ur amende de 500 marcs au plus, soit de l'amende l'exclusion de la peine d'emprisonnement. Les coi traventions seront jugées par les tribunaux ou h autorités militaires. Bruxelles, le 10 juin 1915. Le Gouverneur général en Belgique, Baron von Bissing, Colonel-Général Les actes reçus ou délivrés par une autorité pi blique allemande ou par une personne de nation; lité allemande dont les actes revêtent le caractèi d'authenticité peuvent être utilisés en Belgique s'i sont légalisés par le chef de l'administration prè le gouverneur général. Bruxelles, le 16 juin 1915. Le Gouverneur Général en Belgiqui Baron von Bissing Colonel-Général Notes de jurisprudence ARRETES DE VENTE On désigne sous ce nom pompeux une simpl feuille de bloc-notes où le courtier qui vient d négocier en Bourse une vente-achat, et aussi u négociant quand il lui arrive de conclure une affaii sans intervention, griffonnent, le procès-verbal d l'opération. De par l'usage qu'on pourrait pïéfequ qualifier d'immémorial, les «arrêtés» en questio ont acquis une valeur de contrat entre parties. La guerre bouleverse tout. Le tribunal de con merce d'Anvers vient de connaître d'une contest; taon au sujet d'une affaire qui aurait été négocié sans l'assistance d'un courtier, et où le vendeur s prévaut de l'arrêté ■ qu'il a rédigé et dont il a e outre confirmé le contenu par lettres. La partie adverse n'a pas reçu celles-ci. Le tribunal décide que les règles ordinaires son suspendues pendant cette époque troublée, où 1 transmission régulière des lettres est soumise tant, d'aléas, et que dans l'occurrence les pièces il voquées ne peuvent, tenir lieu de contrat. SANS MANDAT Jugé par le tribunal de commerce de Bruxelle qu'un commerçant n'est pas fondé à se prévaloi d'un reçu signé par un voyageur n'ayant pas mai: dat. de recevoir. AU TRIBUNAL DE COMMERCE Un nombre suffisant de juges étant rentrés à An vers, notre tribunal de commerce a maintenant troi audiences hebdomadaires. Elles ont lieu le mardi le jeudi et le vendredi. RENTREE 11 est encore rentré des avocats à Anvers, ces joui-derniers.BARREAU Un journal bruxellois a fait connaître que cett année n'a liraient pas lieu des élections pour le bà tonnât et le conseil de discipline de l'ordre. Le bâ tonnier actuel, Mtru Théodor, conservera ses fonc tions, et le conseil de discipline restera constitua comme il l'a été pendant l'exercice 1914-1915. En sera-t-il de même à Anvers? Nous nous som mes informés, et l'honorable bâtonnier, M"- Jeai Jans, nous a déclaré que les élections se feront comme précédemment, au mois de juillet. Evénements de Mer SINISTRES, AVARIES, ETC. Anda. Nassau, 20 juin. — La barque norvé gienne Anda, en route de Mobile à Liverpool, s'es échouée le 1? Courant près des Riding Rocks, Ba ha ma Bank. Le capitaine et l'équipage sont arrivé: ici. Maria de Larrinaga, Louth. — Liverpool, 20 juin — Les steamers Maria de Larrinaga et Louth, sortan tous les deux du port, ont été en collision ' hier ei rivière. Les deux navires encoururent des avarie: et sont retournés ici. Maria Grazia. — Le steamer italien Maria Gra/.i a été arrêté et coulé par un contre-torpilleur austro hongrois dans la mer Adriatique. L'équipage a ét( débarqué sain et- sauf près de Silvi. Nubia. - Colombo, 20 juin. — Le steamer anglab Nubia est échoué à un demi-mille au Nord de et port. Deux remorqueurs du'pcrt essayent de le re mettre à f lot.. Polynésien. -- Port-Saïd, 20 juin. — Le steamei français Polynésien, en route de Marseille au Ja pou, est retenu ici avec des avaries aux machines On répare. Marchandises saisies Stockholm, 19 juin. — Le gouvernement anglais a saisi i000 tonnes de cuivre qui se trouvaient à bord du vapeur suédois Zamora. Ce cuivre était destiné à une firme de Stockholm. BELGIQUE CINEY Les départs de trains pour Arlon se font actuellement a 12 h, 58, 6 li. 26, 11 h. 32, 8 li. 50 ; vers Namur également 4 départs, 6 h. 29, 8 h. 25, I li. 29 5 h. 57. Sur la ligne de Ciney à Huy-Sud, 'le trafic des voyageurs n été supprimé. Vers Dinant, on a une malle-poste et pour n'importe quelle direction des voitures de louage. Le Canal de Panama et la Russie On vient d'inaugurer la navigation de New-York à Vladivostock par la voie du canal de Panama. Pour le moment les cargo-boats américains sont seuls admis à se rendre par le canal à Vladivostock ; mais on compte établi]1 d'ici peu un service régulier pour les voyageurs, entre la côte atlantique des Etats-Unis et le grand port sibérien. La navigation sous-marine On connait le rôle que joue actuellement la navigation sous-marine dans le conflit européen et il n'est pas sans utilité de rechercher quels furent les débuts de cette nouvelle création du génie humain. Roger Bacon, moine anglais du 11° siècle, se déclare convaincu qu'Alexandre le Grand avait sous ses ordres des équipes de plongeurs se mouvant sous des cloches ayant l'aspect des carapaces de tortues ; ils attaquaient les navires ennemis pendant la nuit en ouvrant des voies d'eau en dessous de la ligne de flottaison. D'autres auteurs prétendent que les Athéniens se servirent du même procédé pendant le siège de Syracuse. Chez certains peuples on rencontre des exemples journaliers de natation sous l'eau ; nous citerons deux faits assez intéressants. Les esquimaux sont insérés dans leurs kayaks (espèce de périssoire que l'on manœuvre à la pagaie) et maintenus par une ceinture en cuir faisant corps avec le bordage du canot ; par suite de cette fermeture hermétique l'occupant peut être renversé sous son embarcation et après avoir ainsi progressé pendant un certain temps sous l'eau, il se redresse de lui-même. Le docteur Quinet a fait connaître la manière usitée par les fellahs pour chasser à peu de frais, les oiseaux aquatiques (oies, canards etc) ; munis d'une demi-citrouille ou calebasse, préalablement percées de 2 trous, ils s'en recouvrent, la tête et entrent dans l'eau ainsi affublés. Peu à peu ils réussissent ainsi à s'approcher des bandes de canards qui s'ébattent dans les eaux tran- 2 quilles ; il leur suffit alors de prendre les pailmipi :é ues par les pattes, puis de leur tordre le cou. f- c est surtout a l'art de la guerre navale que it i- cnerciieurs voulurent appbquer la navigation sou î- marine ; cepenuani certains inventeurs destinerei îeurs' engins a un travail plus pacilique (recueiciu îs ues epaves, des éponges, peene du corail et des nu ires perlieres etc.) ii ' i^e premier sous-niarin, digne de ce nom, lut ii à vente par Corneluis van Drebell d'Alkmaar (no si lande;, auquel on attriuue également la découvert -f du tnermomètre. " cet appareil était mis en marche au moyen d n rames ei fonctionnait très bien ; en 1024 il fit niêni une plongee de vvestmiiister a Greenwicn avec i s roi u Angleterre coninfe passager. Les experiences qui suivirent furent désastreuse: non seulement au point dé vue teciinique, niais ei core par suite des catastropnes qu'elles determim rent. l. année 1772 l'anglais Day se noie avec son bi teau plongeur par 3'J mètres de fond dans le port d ïarnioutn. L'américain Bushnell imagine-et fait-exécuter e I 1 ii.) un engin sous-marin capable de contenir u II .loniuie et une torpille «portée» enargee de 05 Kg. u poudre ; l'immersion était réglée a profondeur acte ininee, par suite d'un mécanisme spécial et la pri f pulsion se produisait par 1 intermédiaire d'une rou a a palettes lutte de l'intérieur. l.et organe pouvait, avec un peu de bonne volontt s être assimile a une nelice primitive. Dirige par u matelot uu nom de Lee, ce sous-marin rudimentaii attaqua le navire anglais I'Aigle pendant la guéri de î indépendance U<76) ; ce bâtiment ne lut pa coulé par suite de Timpossibilité de fixer la torpni contre le bordage du uessous de la ligne de flotta son qui était reeouvert de cuivre. .l illustre Fulton, qui comme liusiinell était u citoyen ue la jeune republique américaine, propos au Directoire l'emploi de son nydronef, le iNautilu* dans un but de guerre maritime ; ce bâtiment affet tait la forme d'un ellipsoïde de G ni. 50 de long et ni. de plus grand diamètre. , La progression était déterminée par le travail d deux nommes sur un volant à manivelle lequel me tait en niarcne une vis d'.-vrcliimède ; 2 gouvernail (l'un Horizontal ou de plongee, l'autre vertical o ue direction) permettaient d'exécuter toutes les m; uœuvres laterales et de profondeur. (juant à l'arme offensive, elle consistait en un n e cipient en cuivre terminé par une pointe barbele e qui devait fixer l'engin contre lesJlancs du vaissea -, ennemi ; le sous-marin faisait ensuite machine e. e arriéré en se détaenant de .la charge explosive, e Une corde de longueur calculée se déroulait er suite et laisait partir le detonaleur qui détermina. 1 l'explosion, quand la distance était suffisante pou que l'attaquant n'ait rien à redouter (effets de 1 i- uellagration, dangers du remous etc.) Le ^5 août IbOO, Fulton s'immerge dans son NÀt p xiLUS et manœuvre pendant ^leux heures sous le e eaux du port du Havre. i Cette expérience lui ayant permis de constate certaines défectuosités de son invention, il y reine die en faisant construire un second modèle inun t d une roue à aubes verticales et d'un réservoir d'ai i comprimé destiné à fournir l'oxygène nécessaire i la respiration de l'équipage. Avec ce nouveau bateau il effectue en 1801, un plongée de 4 h. 20 dans la rade de Brest. Malgré tous ses succès, l'inventeur américain n s parvint pas à vaincre l'obstination de Napoléon )• non seulement le grand homme de guerre 11 croyait pas à l'avenir des sous-marins, mais encor il envisageait la vapeur comme une utopie. Dégoûte et écœure, Fulton passa en Angleterre 01 il n'eut pas plus de chance ; ce ne fut qué dans s; 3 patrie qu'il réussit à mettre en pratique ses brevet concernant la propulsion des bateaux de surface pa -les machines à vapeur. Quant à la mise en valeur de ses découvertes su l'art de naviguer sous les flots, il dut abandonne l'espoir de les réaliser. Semblable à une graine n'ayant pas atteint 1; maturité physiologique, l'idée 11e put germer e prendre corps. 11 semble d'ailleurs que l'insuccès de Fulton avai considérablement refroidi l'enthousiasme des adep tes de l'hydrostation. Aussi n'est ce qu'en 1835 que ces études sont re prises par l'espagnol Cervo ; ce malheureux s'ense velit à jamais avec un hydronef sphéroïde qu'i avait imaginé. Le 15 août 1839, la même aventure arrive au doc teur Petit qui disparait sous les eaux de la baie rt St. Valéry en Somme (Picardie). L'an 1851 voi exécuter deux essais désastreux ; c'est d'abord 1; tentative de Philips, un citoyen des Etats-Unis, qu se perd corps et biens dans le fond du lac Eric près de Buffalo. t Malgré les recherches faites, on ne sut jamais re trouver les restes de ce martyr de la science. Puis l'insuccès de l'ingénieur allemand Wilheln Bauer qui expérimente un sous-marin de son inven tion dans le port de Kiel ; quoique construit de ma nière rationnelle, le bâtiment coula pendant l'ex périence par suite, semble-t-il, d'une maladresse d( l'équipage. Cette épave, fut renflouée en 1887 et est conservât comme une relique par l'amirauté allemande. L'histoire 11e fait pas mention de la perte de vie: humaines en cette circonstance et 011 est en droit di penser que tout se borna à des dégâts matériels. Scott Russel et lord Palmerston s'inspirant de.' plans de Bauer, font construire un bateau destiné l naviguer sous l'eau ; l'essai aboutit à la noyade purt et simple des cinq matelots qui composaient l'équi page du bord. Ce fut en 1800 que MM. Bourgeois et Brun firen construire un sous-marin, dénommé le Plongeur, e jaugeant 453 tonnes. La force motrice était fournie par l'air, comprime dans des réservoirs spéciaux par une manivelle mue a bras d'hommes ; quant à l'immersion 011 la déter minait par l'enfoncement d'un piston qui faisait va rier le volume de l'hydrostat. Après expérience 011 reconnut que cet engin étail trop lent, instable, et que le réglage de la profon deur a atteindre ne pouvait s'obtenir d'une manière invariable. Bref cette invention fut abandonnée Pendant la guerre de la sécession un Mr Aulney de Mobile (Etats-Unis) créa un type de sous-marin qu'il baptisa du nom de David. Le premier modèle expérimenté était tellement défectueux qu'il fit passer de vie à trépas, 32 homme? d'équipage en 3 essais. Toutefois après avoir été suffisamment perfectionne, l'un de ces bateaux attaque directement en sur face la. corvette fédérale Housatonic et la coule (17 février 1864)'; mais n'ayant pu se retirer assez vite il fut englouti dans le remous du navire qui sombrait et s'ensevelit ainsi dans son triomphe. Halstead, autre inventeur américain, étudia égale ment la question des sous-marins de 1864 à 1872 ; l'appareil qu'il imagina et qu'il qualifia d'Intelligent Whale (Baleine intelligente) n'aboutit en fait d'acte qu'à la noyade de 39 personnes. C'est seulement à partir de 1886 que la France entra résolument dans la voie des recherches sur la navigation sous-marine; à cette date l'amiral Aube, ministre de la marine, chargea deux ingénieurs, MM. Gustave Zédé et. Go-ubet, de l'élaboration des plans de deux types de sous-marins nettement définis. Le premier devait surtout viser à l'obtention d'un bâtiment offensif, indépendant et'de tonnage relativement elevé ; tandis que le second avait à combiner un engin réduit, très maniable, spécialement affecté à la défense des côtes. Somme toute son rayon d'action devait être plutôt faible et son rôle purement défensif. Le 24 septembre 1887 on lança le Gymnote dans le port de Toulon ; ce sous-marin, œuvre de Gustave Zédé, fut la première unité de ce genre appartenant à la marine française. Un peu plus tard, l'ingénieur Romazotti construisait la Sirene jaugeant 266 tonnes et munie d'un moteur électrique. Entretemps Goubet venait de terminer son petit hvdrostat qu'il avait baptisé de son nom ; cet appareil mesurait 5 m. de longueur, la coque en bronze était faite d'une seule coulée et la progression s'obtenait au moyen de 2 hélices jumelles mises en mouvement par l'électricité emmagasinée dans des accumulateurs.La vision en surface se trouvait obtenue par l'emploi d'un tube optique émergeant. Ce petit bâtiment fut essayé de 1888 à 1893 ; monté par deux hommes d'équipage, il fit preuve de réelles qualités concernant l'aptitude manœuvrière, l'habitabilité, la stabilité. Par suite de ses proportions réduites et de ses qualités spéciales, il passait et repassait sous les cuirassés avec la plus grande facilité. Cependant comme certaines cpiestions de détails laissaient encore à désirer,l'inventeur fit construire, a ses frais, un modèle perfectionné de son appareil ; les expériences faites à Toulon en 1899 mirent en re-liei la valeur du nouveau sous-marin qui constituai! d anleurs 1111 réel progrès sur le précèdent. Malgré 1 exellence ue cette invention, son adoption lut rejeter par la commission et le malheureux inventeur, qui avait engage 1a presque totalité de sa lortune uans cette aventure, lût a peu près ruiné. Comprenant qu'il y avait la une injustice gouvernementale à reparer, le comité onargé de décerner la récompense de 100.000 1rs attribuee par M1' Osiris a l'auteur de la plus belle invention du siècle désigna M* Goubet connue lauréat. Eu Angleterre, l'annee lot>9 vit eclore uu type d'engin sous-marin dû au génie de iS'ordeiii'eldt, le grand iabricant de pièces d'artillerie et de navires de guerre. Le spécimen imaginé était muni d'une chaudière à vapeur à grande surface de ciiuuffe, dans le genre des générateurs Field, Serpollet etc. ; en surface l'hydrostat naviguait comme un simple torpilleur. — Poui- l'immersion, il fallait rabattre et fermer la cheminée, étouffer le cendrier, clore le pont en baissant le clapet de fermeture ; la progression sous l'eau était fournie par l'excédent de vapeur en réserve dans la chaudiere à haute pression. Dans ces conditions on comprend facilement que le trajet d'immersion se trouvait être des plus réduits ; d'autre part ces engins manquaient de stabilité.Enfin les Etats-Unis d'Amérique possèdent deux types de sous-marins depuis lauo ; ce. sont le Hol-land et le Plonger dont les plans ont été établis par 1 ingénieur Hoilaud. D'autres pays comme l'Allemagne, l'Espagne, la llussie, l'Angleterre ont également des sous-marins qui n'appartiennent pas à des types aussi nettement détermines que les précédents. Les différentes catégories de sous-marins sont classées suivant leur nott.ibilivé on les moyens de propulsion.En tenant compte de la lloti.. .té on-distingue 2 subdivisions : 1) les sous-marins à llottabilité nulle ; ici l'immersion est obtenue par l'introduction d'eau dans des réservoirs spéciaux (NVater-ballasts). -Pour remonter a la surface 011 expulse ce liquide par l'action de l'air comprimé ; 2) les bâtiments à llottabilité positive dans lesquels l'immersion est -obtenue par l'emploi de moyens mécaniques (gouvernails de plongée etc.). Si par contre 011 veut baser la distinction sur les dispositifs de propulsion et le rayon d'action, il faudra distinguer entre les sous-marins proprement dits et les submersibles au-ton Dînes. Les appareils du premier genre 11e se meuvent que sous l'eau en utilisant l'énergie électrique emmagasinée dans des batteries d'accumulateurs. Par suite du poids énorme et du faible rendement de ce matériel électrique, ces petits hydrostats n'accomplissent que des trajets en rapport avec la charge électrique dont ils sont munis. Une fois celle-ci épuisée, ils ne peuvent plus marcher par leurs propres moyens. C'est la raison pour laquelle 011 les attache à des ports, munis de postes générateurs d'électricité, qu'ils sont d'ailleurs chargé de défendre et déclairer en cas d'attaque d'une flotte ennemie. Les submersibles autonomes ont un tonnage beaucoup plus élevé, naviguent en surface et en fond ; dans le premier cas ils utilisent des moteurs à vapeur, pétrole ou gazoline, qui procèdent simultanément à la marche du bâtiment et au chargement des accumulateurs par l'intermédiaire de dynamos. Au moment de l'attaque on arrête le moteur ou plutôt 011 le met momentanément hors service, ferme les hublots et toutes les ouvertures, fait agir l'électricité ; puis on exécute les manœuvres de plongée. En immersion le sous-marin est sensément aveugle ; même par les journées les plus ensoleillées, il est impossible de voir sous l'eau à une distance de quelques mètres (6 ou 7). A 10 mètres de profondeur, les objets de surface ont des contours manquant de netteté et l'endroit qu'ils occupent peut être difficilement repéré. Aussi c'est pour remédier à cet inconvénient que l'on inventa le périscope ou tube optique : cet instrument consiste en un tube télescopique creux qu'on peut développer par l'intermédiaire d'une manivelle.Un jeu de miroirs, inclinés à 45° et embrassant un horizon de 180°, reflète sur un autre miroir horizontal tous les objets disposés dans le champ visuel du périscope. Le commandant du bord a donc continuellement sous les yeux, la reproduction fidèle de la surface marine. En ce qui concerne la direction du bateau on l'obtient par l'usage combiné de la boussole et du gyroscope.L'habitabilité, c'est-à-dire la faculté pour l'équipage de résister sans inconvénients à la consommation et à la viciation de l'air intérieur, a fait des progrès considérables pendant ces dernières années. Anciennement on comprimait l'air dans des réservoirs ad-hoc et on absorbait l'acide carbonique forme à l'aide d'arrosages d'eau de chaux. Plus tard on s'adressa à l'oxygène comprimé, puis au même gaz liquéfié pour arriver à ce résultat. Actuellement on utilise beaucoup un des derniers corps découvert par la chimie moderne et dénommé bioxyde de sodium. Sous l'action de l'humidité, cette substance absorbe l'acide carbonique et dégage de l'oxygène ; la formule de réaction est la suivante : 2 Na/2 0/2 + 2 CO/2 - 2 CO/3 Na/2 + 0/2 bioxvde acide carbonate oxygène de carbonique de sodium soude L'acide carbonique, résultant de la respiration humaine est éliminé, en même temps que l'air est régénéré par suite d'un nouvel apport d'oxygène frais. Dans les sous-marins américains marchant à la gazoline (gaz d'éclairage liquéfié) on se sert de petites souris blanches pour être prévenu de l'irres-Dirabilité de l'air ; quoique sensibles à toutes les émanations asphyxiantes ou vénéneuses,ces mignonnes bestioles sont surtout affectées par la présence de l'oxyde de carbone. Comme la gazoline contient une certaine proportion de ce gaz, il s'ensuit qu'une vive agitation de ces petits témoins animés' peut être déterminée par une fuite du réservoir de gazoline. L'officier fait alors arrêter le moteur et remonter à là surface pour procéder à la vérification ou aux réparations urgentes. Fulton pouvait effectuer des plongées de 3 heures de durée ; actuellement les sous-marins exécutent couramment des immersions de 12 heures et plus sans qu'il en résulte le moindre malaise pour l'équipage.Afin de présenter une étude complète, nous décrirons quelques principaux types de sous-marins construits depuis longtemps. Nous commencerons par la Sirene, bâtiment autonome de la marine française ; d'une longueur de 31 mètres, il déplace 100 tonnes pour la marche en surface et 202 pendant le trajet de fond. L'immersion s'obtient par l'emploi du dispositif des Water-baUlasts et la. force motrice est produite par un générateur Normand à vapeur, chauffé par le pétrole. Pendant la marche en surface, une partie de l'énergie de la machine est utilisée au chargement d'accumulateurs par l'intermédiaire de dynamos. Cette électricité, mise en réserve, servira ultérieurement. pour faire progresser le bateau immergé. Le Narval, édifié d'après les plans de l'ingénieur Laubeuf, est basé sur le même principe; toutefois il peut prendre trois positions d'équilibre. 11 navigue en volonté en surface, en demi immersion, en fond ; le second état s'explique par le fait que le submersible s'enfonce de manière à 11e laisser sortir que la cheminée et la tourelle du commandant. Le sous-marin américain Holland est mu par une machine à gazoline servant pour .la progression en surface et le chargement des accumulateurs ; qn.'int à la plongée, 011 l'obtient par l'intermédiaire d'une combinaison de water-balasts et de gouvernails horizontaux.Par suite de l'utilisation de la gazoline, on a la possibilité de faire mouvoir la machine pendant le trajet de plongée. C'est un très grand avantage en temps de guerre ; car la faculté de pouvoir se déplacer rapidement pendant l'attaque, rend le sous-marin beaucoup plus dangereux pour le navire ennemi.Le second submersible de la flotte des Etats-Unis est le Plonger dont la translation est basée sur l'emploi de la vapeur et de l'électricité. Les sous-marins sont quelquefois utilisés à la. recherche des épaves, à la pêche des éponges, etc. ; jyp- Simon Lake, de Baltimore, est l'inventeur d'un de ces appareils qui présente la singulière particularité de se mouvoir sur -les flots comme un bateau à hélice ou de circuler sur le fond de la mer, où il prend son point d'appui au moyen de roues, comme une simple voiturette automobile. Construit en 1897, cet étrange hydrostat a déjà accompli d'étonnantes performances ; dans le premier raid il parcourut 1609 kilomètres, tandis qu'il se rendit de Baltimore à New-York pendant le second voyage. Toutefois ajoutons que ces exploits paraissent appartenir au domaine du merveilleux et c'est la raison pour laquelle nous n'en faisons mention qu'à simple titre documentaire. Compagnie des Produits Kemmerich SOCIETE ANONYME A ANVERS ASSEMBLEE GENERALE COMPLEMENTAIRE DU 10 JUILLET 1915 En exécution de la décision prise par l'assemblée générale ordinaire du 15 mai dernier, Messieurs les actionnaires sont priés d'assister à l'ASSEMBLEE GENERALE COMPLEMENTAIRE qui se tiendra le-samedi 10 juillet 1915, à 11 heures du matin (heure belge), au siège social, 23, placé de Meir, à Anvers. ORDRE DU JOUR : 1° Rapport des administrateurs et rapport du commissaire sur le bilan au 30 septembre 1914. 2° Adoption du bilan et du compte de profits et pertes. 3° Décharge aux administrateurs et au commissaire. 4° Nomination. Pour être admis à l'assemblée, Messieurs les actionnaires devront se conformer aux articles 37 et 41 des statuts. SERVICES DE BEURT réguliers et rapides entre ANVERS-GAND et vice-versa ET ANVERS-BRUXELLES et vice-versa Prix avantageux. Prise et remise à domicile SIMON SMITS & Co BUREAUX : Ah VERS : 13&15, RempartSte-Cathérine. BRUXELLES : 88, Rue Meyel-G AND : 17, Quai des Tanneurs. Export & Import Trading Co S. A, 15, LONGUE RUE DE L'HOPITAL, A ANVERS STEIGER, 10U, A ROTTERDAM Exécute tous ordres sur marchandises hollandaises, règlement par crédit de Banque confirmé à Amsterdam ou Rotterdam. ANVERS BREE, MAASTRICHT, LIÈGE En charge bateau moteur " ROSALIE „ Pour conditions et frets s'adresser à CHARLES OPDEBEECK & Co, Service du Beurt, remise et prise à domicile 36, Grande Montagne aux Corneilles, ANVERS. ROTTERDAMSCHE LLOYD Prochains départs de ROTTERDAM vers les ports habituels des" INDES NÉERLANDAISES S.S. GORONTALO ,, . le 23 Juin (s.i.) S-S. " DJEBRES „ . . le 7 Juillet (s.i.) Pour frets et tous autres renseignements, tels que eux concernant l EXPÉDITION D ANVERS, s'adresser aux Agents RUYS & Co,, 9, Quai Van Dyck, Anvers. LES VAPEURS TOURNAISIENS Beurt ANVERS~GAND-TOURNAI Vapeur " TOURNAI 5 „ en charge jusque samedi soir, Bassin du Sud, quai Flamand. Pour frets et renseignements s'adresser Slé An- L'UNION, Quai Flamand, 36 KARL SCHR0ERS - VOSS & LANGEN (armementsThenans) Forfaits pour toutes quantités et toutes destinations. En charge : " VOSS & LANGEN 8 " Pour DUISBURG - RUHR0RT - DUESSELD0RF-NEUSS-UERDINGEN-CREFELDDéparts : Tous les 5 à 6 jours, sauf imprévus. Pour frets s'adresser : 35, QUAI VAN DYCK, (Entrée rue Sanders,2) HELVETIA-LIJN. GOUDZWAARD & KOLFF, ROTTERDAM Geregelde dienst met snelvarende stoombooten : d attt7d n a a A antwerpen IvU 1 I OvUAM brussel en vlce_versa Afvaarten iederen W0ENSDAG en ZATERDAG, goederen worden dagelijks aangenomen Agenten te ANTWERPEN: Firma SIMON SMITS & Co, 13-15, Kathelijnevest. ' Agenten te BRUSSEL: Firma SIMON SMITS & Co. 88, Rue Van Meyel

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Dieses Dokument ist eine Ausgabe mit dem Titel Lloyd anversois: journal maritime emanant des courtiers de navires gehört zu der Kategorie Financieel-economische pers, veröffentlicht in Anvers von 1858 bis 1979.

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