s Konings klaroen: lucht-bijvoegsel aan de 'Libre Belgique

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01 Mai 1916
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s.n. 1916, 01 Mai. s Konings klaroen: lucht-bijvoegsel aan de 'Libre Belgique. Konsultiert 17 Mai 2024, https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/de/pid/vh5cc0vx4j/
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LE CLAIRON DU ROI Supplément aérien de la "Libre Belgique" Un seul devoir nous reste : la résistance opiniâtre \ Discours du Roi Albert (4 août 1914). Jmportants succès belges en jiïfrique. -- Le général Tombeur annonce qu'une brigade, commandée par le colonel Molitor, est entrée le 8 mai à Kigali, chef-lieu de la province allemande du Ruanda. — Au Lac Kivu, les troupes belges ont réoccupé l'île de Kwijwi dont l'ennemi s'était emparé par surprise au début des hostilités. Ses remerciements des autorités françaises. — En avisant M. Henry, gouverneur général du Congo belge, de la fin des hostilités dans le Cameroun et du retour des troupes belges qui ont pris part à cette campagne, le Gouverneur' Général de l'Afrique Equatoriale Française lui a télégraphié ce qui suit : « . . . .Ainsi va prendre fin le concours glorieux que vos vaillantes troupes ont su généreusement prêter aux colonies de l'Afrique Equatoriale Française depuis le début des opérations, partageant avec elles d'un même cœur au cours d'une lutte tjui fut longue, rude et opiniâtre, les épreuves et les privations avec aussi la gloire qu'apporte le succès définitif aujourd'hui assuré ». Sur ie front. — Les Allemands, au cours de la dernière quinzaine, ont attaqué plusieurs fois notre-front avec une extrême violence. Nos vaillantes troupes les ont repoussés vigoureusement, leur infligeant des pertes sensibles et leur faisant des prisonniers. Notre artillerie lourde a détruit certains de leurs travaux derrière leurs lignes. î)iscours prononcé à JYancg le 14- mai 1916, par jY(. poincaré, président de la République française : « Les empires du centre, hantés par le remords d'avoir déchaîné la guerre, épouvantés par l'indignation et par la haine qu'ils ont soulevées dans le genre humain, essaient aujourd'hui de faire croire au monde que les alliés sont seuls responsables de la prolongation des hostilités. Ni directement, ni indirectement, nos ennemis ne nous ont offert la paix. Mais nous ne voulons pas qu'ils nous l'offrent; nous voulons qu'ils nous la demandent; nous ne voulons pas subir leurs conditions ; nous voulons leur imposer les nôtres ; nous ne voulons pas une paix qui laisserait l'Allemagne impériale maîtresse de recommencer la guerre. «Tant que cette paix-là ne nous sera point assurée, tant que nos ennemis ne se reconnaîtront pas vaincus, nous ne cesserons pas de combattre ». Situation générale. — Les attaques allemandes sur Verdun s'espacent de plus en plus. L'armée du kronprinz donne des signes manifestes de fatigue ; par contre, l'armée française attaque de plus en plus et reprend ça et là du terrain. L'échec allemand s'accentue donc et se marque davantage. — Les Russes continuent à progresser en Mésopotamie. îls ne sont plus qu'à une centaine de kilomètres de Mossoul. Cette ville se trouvant sur le chemin de Bagdad, au Nord, son occupation couperait tout ravitaillement de l'armée turque de Mésopotamie. — La Bulgarie se rend compte de plus en plus de la lourde faute qu'elle a commise en se rangeant aux côtés des Puissances Centrales. divers. — Il se confirme que von der Goltz pacha, prédécesseur à Bruxelles du soudard von Bissing, n'est pas mort de mort naturelle à Constantinople, mais a été assassiné. — Les Anglais ont institué le service général obligatoire jusqu'à 4* ans. — On annonce la visite prochaine au front belge du colonel suisse Feyler. L'éminent critique militaire tient à voir les troupes belges à la vaillance desquelles il a si souvent rendu hommage. — Les Russes continuent à débarquer à Marseille. -— Le 7$elgian field jfospital, au moment de remettre ses services au corps sanitaire belge, a été cité à l'ordre du jour de l'armée. — 11 y a eu un conseil des ministres à Sainte-Adresse le 16 mai 1916. Le Gouvernement a de fréquentes nouvelles du pays et suit de près le mouvement de l'opinion qui s'y manifeste. On comprendra que nous ne puissions entrer dans des détails, mais quand on les racontera plus tard, on sera émerveillé de l'ingéniosité des moyens de tous genres mis en œuvre pour garder le contact à la barbe des Boches. /. Le Gouvernement sait infiniment de gré aux Belges qui, dans le pays envahi, résistent aux infâmes suggestions allemandes avec une énergie qui, d'ores et déjà, appartient à l'Histoire et les rend tous frères d'armes de ceux qui se battent sur l'Yser. S Union fait la force. N° 2. I Mai 1916.

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Dieses Dokument ist eine Ausgabe mit dem Titel s Konings klaroen: lucht-bijvoegsel aan de 'Libre Belgique gehört zu der Kategorie Clandestiene pers, veröffentlicht in S.l. von 1916 bis 1917.

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