La Belgique: journal publié pendant l'occupation sous la censure ennemie

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22 October 1916
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s.n. 1916, 22 October. La Belgique: journal publié pendant l'occupation sous la censure ennemie. Seen on 03 May 2024, on https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/en/pid/vh5cc0wf3m/
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fa i-^OLi» ^ >w»' n* -■•**»•>- ■-- -^.---<« * -• Pstttes annonces . • • a i ■ la ligne, fr« 0.R0 PRIX DES ABONNEMENTS ADMINISTRATION ET RÉDACTION [ Réclame «Tant le« annonças . » >— 1.35 ,»*. <«, »v, ««, ». 6.90 »«■>• <•». •—«• ~ am*Bt"" m m 4™0KCES » *-•" • - "» L«u «îom«nlle» rt'lbonBemint tont r«iu.» J Nécrologie ..»<<»■•• •— 2.60 EXCLUSIVEMENT JOSi MORESSEÊ, DlRECTEU» CoiQ d<a Eleveur». . . ■ » • •» ».00 lui (uiohetc tfea burotu* 4» ^ ^ ^ ^ ^ ^ ...jj.. .u : t. - - -rr- - ■^maaasmmmmÊaam ./?ujourd'hui : DOUZE p'ifjes un ' «U LA GUERRE ] —— mu 811° jour de guerra ^ .■■ les La semaine s connu des combats très fe°1' luxfi, niais qui n/ont apporté, au front de bauiû'l.o en, Picardie, qjue des modiïicnrions ™ peu sensibles. Au total, les Anglais 0114 un ■ ° peu auieinGe leurs position# au noid de UutiuiJifcjCourti les Français ont progressé StfîJ aans le village de Sailly et marqué ^ çuoiquos avances au- sud! de la Somme, en m face de Péronne et dans le secteur or A oLam- SOUlt. fa L»e calme s'est rétabli sur le Karst. Ara ^ sud du Tyrol, 1a lutte assez vive qui s'est ^ poursuivie suir le Pasubio à l'avantage ^ l'fetjieiis demeure locale- En Volhyiue et en Galioie, lea nouveaux ^ <f forts des " Russes ont tté infructueux; il y oa a même l'eu de retenir que sur divers im points du front, notamment sur la Naja- gg rowka, les Ausfcro-Allemands cait à (lu- a sieurs remises prononcé non sans suco** un ^ retour offensif rigoureux. fr£ Dans les Carpathes aussi, lee Austro-Allemand» se montrent très actifs. Ils ont mis en action dos forces syriennes dan» le ^ «secteur sud de Dormi-Vatra, daiu« le but ^ visibitj de chercher souper l'armée rou- 0>€ maine du Nord de se» alli s russes. in(; Tout le long de la frontière de la Trair ;rf sylvanie, la bataille est chaude autonr des ^ d- tlés qui donnent accès en Roumanie. Sur ^ plusieurs points, le» Austro-Allemands ont réuissi à porter la bataille en territoire t ou- ° mai/i, san* que du reste aucun résultat p€ vraiment marquant ait été jusqu'ici annoncé. ^ Lo calme persiste à ré^rner le Ion? du ,.b, Danni'be; dans la Dobroudscha^ l'action a tûc taridtiuce à se ranimer. on Sur le front macédonien, l^oHerisive entre- prise par les dentx. ailes de Tarin ce San ail ^ a li'-gAnéré en une gjuerre de positions = très fia limite. qU Dans le Caucase, les opérations parais- Hj sent enrayées |>ar l'hiver. ta. En Perse, enfin, les XLlxC8 •'ooonpent de so •onsolider ie territoire conquis en ces derniers mois. *é • • « Eli r^imé doïic. aprè« quatre mois de ^ bataillios maai-trièj-es provcxiutes p-.tr les r<> o<ffiansJves eàuiultanôes des» Alliés, il n-'U, a fe-ufl) eon.^'U^ r{*ue la gnind© attaque dte ";1 tro i pea juv>1«,-fmnçai^« on Pioiria* ne «e °u dôvelopi>e «ju'avec lenteur; que les tenta- 1 £ fcivtfc répétées dts Italiens en vue dk. s'ou- "« vrir la rouie de Tnest« ont échoutè ; qu-e Pi Cofîerv^ive dl'abord si foug-uease du général >' B-ru;^ilu«w a été e^n/fte ; enfin que l m- °1' tcsrventîou de la Koumanio, in«uffisuunni«int toi lecondi'o par les Russes et par l'armée 'ic &arx;ul, esn loin d'avoir eu pour l'Entente pa let. iiïet» ueureux qu'elle «ai rit»oand.at. « ri lîinvifeagée dtins son sensemble, cette si- ax luation ne fait j>as ressortir pour les Al'iés bi des rvsnltaJs proportionnés à l'importance çi 'action coinjmune combinée par leurs I chefs militaires. Incontestablement, un eitont ^ Ires considérable a été déployé en vue de ajl , réalisar cote action commune, si instam- q méat r^C'am^e depuis le début des hostiluéa par les ptrl^m^ntiii.es et les gramxls jour- ^ npjitix de l'Enteiite. Mais l'opinion publique en France, eai ce «nommt, demande aux gouvernein«nt<a a.liié« d'aller beaucouip plus loin dans cette voie, Effectif, argent, moyens matériels, tout ^ Joit être mis en commun e 'tre Allks. c est ce que M. JLSnand vient encore de d^xil-uer, à la tribune de la Chambre française, «n ré}>onse à une question de M. Roux-Costa- ^ demi qui visait pa rticulièremont l'utilisa- 1 tion dl^s effectifs disponibles des Alliés. I-J.iprenant la question, le correspondant al è Paris du ,,Journal de Genève" dit) que £J c'est la France surtout qu'elle préoccupé, ^ et très légitimement. — Oe pays, écrit-il, (ne manque pas d'hommes pour lo» bosoins die l'armée. Mais . L *1 serait puéril de mer que deurc ai m- e* de guerre incessante et acharnée, que les c »lut3 grandies batailles àe l'histoire ont '' éprouvé lourdiement une natum qui no Cuaii[ •tait pas, avant la guerre, quarante millions d'âmes. En tenais de guerre, rien ne compte at qiie la vicioire. Le peuple français le s<iit nu et ne marchande pîi^ «ses enlanbs. M;ûs il ti< se demande, à paît lui, s'il n'y fturïti; jias -ie quelque moyeu d'égaliser k« sap,rifice«. a P<.i-*onne ne soibge à rabaisser l'effort, -'or r< Al'i's : M. iBriandl leua* a rendu homimige |e ?<n des termes qui excluaient toute rejilVjae. u Lt^ I-Vanrais «aveait tout c© qu'oui ti- v< gnitié pour euix U loyauté de l'Anal terre, g\ ténacité de la. Russie et le secours die ^ l'Italie. Mais on ne remporte pas la vie- toire par de» sacrifices seulement, e* il ne (p suffit pas de &e rendre miituellement horo- ^ rna^e. Il faut Mirtout faire dss sacr/ûces féconds et di* efforts coordonnés." ^ EnHrant rïans le vif du problonie com- ju lliqué (!/■« effectifs, le ,,Journal de Genx'Ve" 11 s'occu]te (f'ahK/rd de la Russie. TalVant «ar f;l tes immense» r^servefi d'hommes dlont elle r<^ d!is-x>se, il pirétend —. on, ti*ouvera saue d< doute sa prétention empreinte d'un Oj >ti- te misme quelque peu exagéré — que la R..s- *£ rie {lourmit giiruir die ses soldats les fronts m dfe tious les Aliiv^. m — Qu'est-ce donc, se demaudim-t-il, qui ^ Femj/'Jdie d nt liser mienac ses résjrvea sur ' Bon propre front î J^a pénurie d^annes <11 d'orne part, d'officier» subalterpea d'autre l< part. Les homnien envoyé# des dépôts au front Q'emjvo-ruînt point d'armes avoo 6Jt\ : P* ils Isb nx'oivemt wer la première ligne. a Cela explique que, malgré te» énormes -é- P sei-vcs, le commandement russe ne puisse r< pas en'Voyer e-i Do'jroadseha d«s troupe® ^ en oomilre illnnité sans affaiblir d'antres n parties do son front. Le nombre des herra- eî mes cast élastique, celui des armes ne l'#«t pasi, e*. ce t*ont doux éléments inséparàbles do 'a vic&ire. ^ Pour résoudre le problème allié (Tes r-f. a< fectifa, par rapport h la Russie, il suffi- ^ rait donc (Te transporter des homme» mit ^ wn autre front et de leur fournir les ar- ^ mos et les cadres dont ili» sont pnuvre«. ® An point do a*uo du transport, cette op'a-a^ ne serait pas ■onaiblement pliia (fifû- 1' cile que l'inverse, consistant à envoyer dies m: 5 armes en Itussie. Car un nombre d£ ba»- n; — r*aaui très considérable reviennent à vide de ou peu charges." m L'idée émiae par le journal de Genève" est sédluisainte- Maisi, sans le moins du ^ monde méconauaître l'importance des réserve8 0A1 d'huïianes (iuiit La Russie dis[no®a et sans ^ s'arreter aux dan^urs que coui^ut but mer ^ lea transports die troupes, ora se reitd id jg '"om^p'to qu'il sera difiical© de la décider ^ ^ tistraire de steS effectifs des arméee oonsidÀ. l8 rallies £iour les <învoyer g1uernojvor dans n l'ouest ou le sud de l'Europe. Depuis la ^ u Baltique jusqu'aux Carpathes, ses aJver- ^ , a saares Lnd naiLeut une tns rudie besogne et , sa situation dans le Caucase et eu Perse u-'est fxus davantage envia-il^. Ll ct>t dès lors ^ m;aiii'este que les Russes peuvenit avoir b©- ^ 11 win dlû oontos lenns forces sur les liuùtreS * tîa la guerre où ils opèrent depuis de:vx ans, ^ eit il nous parait exagéré, par suite, d ati.enr- ^ ^ dre d' Ctuix niieuix qu1 une intervention secon- ^ ^ daine sut de iwiaiveauix fronts. ^ Du o5tê anglais, où le problème ces effeo- ^ ^ «ifs se prAsante d'auti'e manière, le ,,lour- ^ y nal de Geneve" pr-oonise une initiative 8 intiér-essante. Il rayypeLle que le sénateur 1 . l" Bérenger, qui m'écrit }*is pour ne rien dire, ^ l~ a publié, à projios de la bataille en Piear-131 'Aq, lua article intitulé î y%U Amalgame ^ frauccwui^lais? '. m — Ce mot, dStil, ne doit pas avoir été m ' tais au hiisard, car il a un seins technique. rl 10 bian que M. iBérenger par.n.-»e l'emi.Lvyer àl dans son acception courante. L'amalgame, irJ 1~ c'est le fait de verser d*s , limitas d'une ar- ^ méo dans une autre armée. Jusqu'ici, les f> r,~ roupes anglaises et françaises oombattent côte à dote, mais séparément. Il y a ron-,r tact entre elles, mais non fusion, Jj'amal- _ : ai gamc, o est la fusion. # tn ll_ Les Anglais ont certaines dl'ifTionHés1 dans * ^ l'esjeicice du haut oominandetment. Les offi-é- ciers d'état-major n'ont pas une bonne pressa ^ lu -hez le« insulaires et les journautx hiimoris. a taqtues sfoctirpent d'eux pret^.|ue autant, si- < non da.\*ajittn:e. que les feuilles sérieuses- ^ Reoruitjés rapidement, mainquarn ]*irfo.s d ex- . 11 périence, fertains d'entre eux ont prêté le às tlano à la critique- Le publio anglais sait & qu'au dibut die l'offensive de Picardie, le^ a- FVamyai.^ ont obtenu de plus grands tôsuI- | ca.rs avec moins de pertes ; e* pourtant le ie aoldlat biitnnnique est excellent. sr- Ia conc'iusiin logique n'est pas rapous-sée h priori par lus Anglais. La France possède d«is ca^ÎTes constituas et erx}^érimen-de 'uiu |®rsonne(i d'offciicrs d'état-ma-jor do ti,, tout protnier ordre; d autre part, les Fran-Ui> ais jwuri-ont 6o trouver devant certain tes 8 e® difficultés dans le recru renient de la troupe, a sq ou au moins devant certains danger» pour 11 :iu l'avenir du pays, l es possibilités drs dHix (l ru- nations sort complémentaires : si les D u.e Pnani.ais ont les éi|jat»-ma.îors, les Anglais al >nt Ls trompes, et l'amalgame da ces deux n- éléments économiserait les soldats a/ngiLais ^ nt tout en hâtant la vîoîoire. L'amalgame e«t ^ iée une idée juste* et puisqu'ello ne se heurte ^ ite pas à d'i\i su rrn on tables préventions, elle - triomphera sans aucun doute. Nou» venons, ïi- avant la fia de la guerre, des divisions és britanniques versée» dans des corps frau-ce çais, ou toute autre combinaison analogue." t JS - D'idée mise en avant par le ,(,Journal J de Genève" ©sl logique et retiendra «an» e uiul doute l'attention dxs autorites militaires. Il est toutefois à craindre que la mise en LOa piatique s'en heurte à des suscqpt.ixijitiés, ^ lr* oer'!iinopportiajies, mais qu'on ©mpCcîiera j difficilmiont de naître. (G Poursuivant sa recherehe dès moyens £ ,f d'intensifier l'action commune des Allito, ^ le ,,Joufl*nal de Genève" envisage lo ix'*le de st ^^e" 11 ^ P°raît P°® Q^i'il puisse c jL, être question de faire ooopérer, à la lutt; e ^ <4nr le front dans l'Ouest, les réserves ^ ^ consirlérables dont il assure que l'Italie (i dàsposo, mais il voncvîrait la von- aocro.tre f" «on eltort vers la Mitcédoine. Elle jiouirait t ujt auBsi libérer du service militaire uu plus ue grarna nombre d'ouvriers qu'elle enverrait g jQ travailler en FVance. r ' A quoi vraisem'bjablement on opposera cette N objection, à «avoir que l'état-m;ijor itolien a laissé fréquemment écrire qu'*l proclamait ll® la nécessité de garder en mains toutes «es ^ 6 forces disponibles et que, dès lors, on no y ^ perut guère le croare disposé à entrer daus ^ ,Kj la voie qu'on lui suggère. i Lté • * • Tont em se rendait compte des difficultés 1 •te auxquelles les Allies ms heurteixmt fatale^ ait nuorit quand ils voudront mettre à exicu-tl don leurs projets de meilleure «utilisation «as .1© leurs effectifs, on ne peut niei' qu'il y J». a certainement dans cet ordre d'idées beau, 'es «oup à faire- Il n'est pas douteux que j •&e leurs ressources, évaluées en bloc, sont de o ie. beaucoup supérieunis è. celles de leurs ftrK •i- versains : jrar suite, il est logique qu'ils • e, ^efforcent d'en tirer nn meilleur parti,, do ^ die j^qm'^lier dans la mesure du possible aux i°- obstacles géographiques et aux diivergences 16 d'intérêts qui 1<» ont, jusqu'à présent, em- v n" péch Ss d'y réussir. :es l>a nécess.ité en est d'autant plus urgente que les événements n'ont que ISrop m- juwifié les craintes récentes du sénoteur n llumhert), qui estimait que les Alli's se r' •ar faisaient, illusion sur l'imjiortance réelle des 6 ïlle réserves de leurs adversaires. La marche jie des opérations, e^ surtout l'incerventioii i'nat- ' iti- tendre des masses d'hommes qup Iiq^ PiiîW»-s- «aiiicus centrales ont pu d'un jour à l'autre H Lits mettre en œuvre contre la Roumanie,, dé- 1 m«*ntrent que c'est folie de [prétendre qUo jui lea Allemaudg ne disposent plttisu. pour p JUT tmtes rf'serves^ que de deuw dhisions aux-l43S quelles' ils font constunment faire la na>- vette entre leurs différents fronts. an Oïl s-'ajierxoit, quand on a lu Sa relation ' , par un réda<neur du „Standaard'", le jour-ie# aaJ dè l'ancien prtWidout dtu Conseil d«? Pays-Bas, d'un voyage qu'il a fait tout a récemmeut en Allemagne, combien il est 0 £3 dangereux de laisser s'ancrer pareilles «>pi-s nions. L'article a paru le 7 octobre et ©st * :a- «îg116 J- A. N'. U auteur, ayant constaté — le fait est a ^ de notoriété publique — aveo quelle faoi-lité, en Allemagne, les usines* spéciales et p(. adaptées arrivent à ouvrir les besoins de FTi- tout genie de l'armée, dit que le nombre r des soldats qu'il a vn«, de sc& ysmx vus j.jv. ^ans le pays, l'a plongé dans la stupéfac- \ ûon. ^ f ra- — n n'est pas doutem, écritnil, que i lû- l'Allemagne ne m&nqxssi pas de matériel^ dles mais il l'est encore beaucoup moins qu'el'le cl ba- n'a pas atraeant, à beaucoup près, la limite t> ide de ses ressoiirccs en ce qui concerne son e: matériel humain. Les jeunes geins de div- i ,, neuf ans n'avaient encore été appelés qu'en u ^ partie sous les armes au commenc-ement de , ^ soi>tembre dernier. Une partie seulement de p N c ceniix de vingt ans est au front : l'autre a 3,113 était tom.jours à l'instruction. Chose j lus Uei> remarvpiable : les homanes qui avaient été eU, încorpoivjs, n'ayant pas encore atteint leur quarjuitc-cinquiènie amne, ont été renvoyé» 0 dans leur fotyur d'os qu'ils l'eurent attdinte. la tS'im.{K>rte qui voyage en Allemagne e»t rer_ stuij^lf iit dl'y voir partout diec^ mnsseS énor- J' ^ mes de soldats. Le commandant d'une petita 1 srse v^° ftu^ ^ l'A lleuiitgne, dont la garni- [0rà son était de 7oo hommes sn teai^is de poi \, ^ •r m'a déclaré qu elle eu possède ;i/3tnelleinen'. û tros 6,(*J0. Une auitre villa, qua Jogeait 2,iKH) ln soldats avant la guerre, eu héberge en «o moment 40,ot>0. Au cours d'un voyage en auitomdhile dans la vallée du Neokar, j'ai été personnellement fiapjié au spectacle, inat- fec- tonda dans les circonstance» actuelles, de 6 )ur_ bandes de jeauies sol<tats se fronienaut libr^- ^ t|xe ment tout le long des chemine. Le nombre é ûar dos soldats que l'on voit en Allemagne > st d ire. extraordinaire qu'il 6tupéfait les Aile- a 0jr_ tnaniJs euix-jnêmes. L'un d' eux, homme âge et I iiuê (ie ^aa/UJt€ cultiure, m'a déclaré ncttei^Uit ^on n étonnement à cet égard. Sa conviction était, l . m'a-t-il dit, que l'on avait intentionnelle- s ment publié des chiffres de population infé- t lue, rleUrS a,us chilircs vrais, pour evi or <;ue i >vel l'on aonnùt la for<?e véritable de l'Alterna- e '"e' gne : sinon, ajoutait il, il ne serait pas pos- ^ \câ d'où peuvent venir tous c ^ ^ «jes soldats. •le ne sais pas, conclut le journaliste nS hollandais, ce que cotte opinion peut Contenir de vérité, mais ce qui est certain, c'est 1 [ans 'P1'00 a rïe séiieux motifs jiour admettre '! jffL <!,ie l'Allemagne, avant uue période impos- ^ sible à prévoir, ne manquera pas de snl- 6 date. Cetra convicti'on est encore rouf >rct^e gi- F^1" les énormes trains de permission: aires ses. f!Iie l'°n croise constamment : j'en fus un r ^ instant à me demand.er ai l'on n'accorde ( pas plus facilement dos congés en A Hem a- ( gne que dans notre Neerlande neutre." t les • M- DANS LES BALKANS le 3118- EN GRÉCE ulCe Milan, 20 octobre : 2en_ On mande d'Athées au ,,Secolo" : (]0 — L'amiral français qui a ordonné le dé. r.in- barquement des trompes a fait sa v air au uies gou/veruement grec qte 2^,000 s '1 ;ajs alli s i.pO, tu arriveroxtt à Al iènes. L uccutpaUou Knp: militaire sei-a m.iirutenue aussi longtemps l^lv que l'altitude de la GrcCe ne para.tra pas nette à l'Entente. ïlais R,ome, 19 octobre : ^ L'Agence Stef.tnd apprend de Saloniqme liaJ® que d importants détachements de trouj ee- itaiieruies sont arrivés hier et aujourd'hui U!r[e à Salonique j ils ont ét5 passés en revue e t»ar les généraux Sarrail et Pettiti. >118, ' ° ions Bonne, 20 octobre : rau- Ux „Trilnma" estime que dans la situa-ue." tion extraordinairemeut compliquée et otis-rnal oure (^ud 0x1810 60 Grèce, dcuix choses seu-lement apparaissent claiiemeut : en pre- • re^ mier lieu, la nécessité absolue de couvrir i e[^ les deinères de l'armée de ^arr^i U o{>6r-v • <(-s tion dont l'amiml Foumet s'est chargé • ' avec la plus grande énergie, et «n second lieu», l'aversion décidée du peuple grec pour toute participation à la guerre aux côtés de l'Entente. D'apurés ce journal, ,,les évén<«nents de ,js^r ces derniers jours auraient non seulement I tt confirmé ces deux constatations, mais ont *ves enoor6 démontré qu'il existe un s-lido et rV. inébranlable accord1 entre le roi Constuit.in e et son peuple, accord) qui devait, dèfc le début, priver de toute force la faible pe-lI?j tite plante de l'intervention grecque que P;'1.® M. Venizelos a voulu planter daus le sol rralt stérile des îles grecques. Il serait dlonc non seulement erroné, mais d'angereujx, de ^ ^ vouloir forcer la Grèce a combattre". n .a Le „Popolo d'Italia'/ apprend que le* j nai puissances alLiées exigeront la diminution 808 de» effectifs do l'armée grecque, ainsi que . ne la remise de l'artillerie se trouvant daiu> us les a-rsenauix et dans les dépôts nnli aire». L,es ligues de chemins de fer seront entièrement occupiées par des troupes de l'En-iltés teniCe et l'état de siège proclamé à Athènes. Londres, 20 octobre : ition ^ mau^eî d'Athènes au „Dai!ly Telo-^ v graph ' en date du 18 octobre : ^ — Alors qu hier soir vers 11 heure®, ^ quatre-vjmgts marins français patrouillaient ^ ^ iins le» rues principales de la ville, ils ont éit/é importunes dans la rue de Stadion ,.,8 par la foule oui les suivait et qui a cocn-, uteucé à les huer eu crtaut : „a bas Ja e tVanee I Vive lf> Roi 1" iT ^ 1/officier français a or^lonné aux oiaiixins de cesser de sonner; puis il a fciit faare volte-la<*e à ses homnip* et leur a commandé de marcher sur la foule. Une échaui'fduiee lïr" s'est prodiiite, au cours de laquelle neu' îonr manitfestajits ont été arrêtés y \en a.uitlres se ^ sout sauve-s. Pendant que se déroulait cette 5 des ecéne, une fvxtrouilie montée grecque, arrê-rche ^ * l'extrémité de la rue, s»t restée im- ÏH.U- Les Français, leurs prisonniers marcuant au milieu de leurs rangs, se sont diriges ''dV 8Ur 'e P81*0 ^PPton. En route, dans la ruo de Stadion, ils out rencfmtré un batiullon Jyîf çreo qui s'est range sur les trotteirs pour leur faire pl;ice. Ai-rivés à destination, les neuf prisonniers ont » té foui/lés : s'x ont •Hé remis immédiatement enj liberté. Pairmi ition le* tr(>18 ouc eîô retemis se trouve le our_ docteur Constantinos-, qui était nanti d une des ,ftttre ^r11® I10,1* 10 reine de Grèce (?f) ; il tout u ^<î^,nlr'l, av°ir crié ; „A bas !a France î" ^ et port-lit un revolver sur lui." 4ypj. D'après l'Tf Exchange 1 ele^raph", cet . homme s'appelUïrait. en réalité Alerejos et serait vétérinaire ajux écuries royales. Il egt aurait tiré un coup de revolver. Ces nouvelles d^miandent confirmatioj • st Milan, 21 octobre : 1 Tjq „Coiu'icre délia Sera" apprend d'Athèv- nbre : vus — La situation afest brusquement amé- ^fao- liorée. Les autorités grecques et les re»prév-sentants de l'Entente essayent d'arriver à que un accord. ridu Le gouvernement groo a ordonné au* 'el'le cherfa des fédération» de réservist«s de ne mite plus troubler l'ordre. D'autie }ait, il fait son circuler des patrouilles grecque dans les dix- rues de la capitale pour em^cher toute u'en manifestation. p t rie Le« trouprsa françaises et it.-licames se it de partagent la surveillanoe du l'iiye, où ne uutre s est plu® produit le moindre incident. ] I!;!I Salonique : 20 octobre : . leur ^ 18 octobre, le ministère de la defenee ové«» oaliouale était oompvosé comme suif, guerre. Ru dnte. g^n'ral Zimbrakalds ; affaires otran^èreS j est Politâs; justice!, Deng^as ; finances, "Nt^ro- du L conr^ ; intérieur, &0])ii0ui'is.; iustrueaon pn- bli ptQ, Caflevetis ; ravitaillement, Eanbii- att j* k(is ; secours aux familles d*« troupes mo- col pcii<f bil'isees et aux r^fugits, Sialw>s y domaines, ct m en' Mioiiakopoûlos. tra ? IKK) EN ROUMANIE ^ j en Londres, 21 octobre : j'ai Ou mande de Bucarest au ,,Times s de inat- — Le 11 octobre, l'attaque ailerminKle a ^cj de été dirigée conue le col die Biieea Qt diais libre, la vallée d'Aluta; Le lendemain, eUe s est pT mbre éteirloie sut toute 1a frontière jusqu'à Gor- t.u e i st dova. L'intense action qui appuyait cotte D. Aile- attiaoua générale montre que 1 ennemi a qu ge et l'intention de mettre rapidemoot b> R»u- li^ °^on manie hors de combat. On cr»»U toutefois ètiiit-, Bucarest que les Roumains t"e.n*iront bon I r telle- sur la oh aine de montagnes fortement re- de infé- tra-uchfe, tandis que les Alliés cherchent n du <;ue faire diminuer la jn-ossion que l'ennemi la otnn- e xerce oontxe le front roumain. Mais il n est sr , pos- pas encore j»ermus de considérer la crise d' tous comme terminée. iliste Pari», 19 octobre : i>rite- On mande de «Bucarest que plusieurs mo- ^ c'est nàtors austro-hongrois ont dirigé uaie atta- lettre 1ue lei} batteries postées sur la i ive ipos- gi'ache dîu Danube. Ils se sont, recréa après ^ s,!], s^tre cftuparés de quatre canons. >rci-e Paris, 20 octobre : so: alrrS Le,,Petit Parisien" annonce que 3o géné- ;i; s un rai lord fVench, accom^wgné de treize of 'i- tk ;oriJe ci;irs d'érat^major anglais, cwt t>ard pour la a1 é111*1" lioumanie, via les paiys s^jindinaves. H es; chargé d'une importante mission. cé lié k» iQ (Berlin, 20 octobre : 0IJ ^ w Coatrairem^ 4 aux nouvelles répandues ja par les journautx français, M. Marghilomau au n'entrera pas dans le nouvé-içi cabinet c< Bratianu. iq, le t DÉPÊCHES DIVERSES * alli s ' t l(U' JrfOnxires, 20 octobre ; &nàn Wdltam lioiiert Kennedy, le pluc an- 11 cien amiral de la marine anglaise, vient de ^ mourir à Londres. » « * • ci inique Londres, 20 octobre : ouj <*• Les autorités militaires 'ont sais* toutes l 'd'hui le;-» peaux qui se trouvent dans le Rflyaume-revue Uni. * • Londres, 20 octobre : A Dublin, 2&0 ouvriers de l'usine h gaa j situa- eu gre.ve et leurs compagnies ont éga- ° '3" lemeÀt dénoncé leur contrat. Les ou\ners ^ 6CI1" «Jjcs transports menacent de se mettre en ^ l'in>* ^rève par sympatliiie, si l'on ne fait pas ô, wi^nr (jpgû^ aux exige^ices des grévistes. >I>éra- * 1 harge Paiis, 20 octobre : 0001111 Le présidant du Conseil et le mintoo de ' &lvc la guieiTe étant aliseuts aujourd'hui, la • aUlX Chambre a ajourné au 2.6 octobre la s rite J( ] de la discussion de l'interpelluion concer- j 3 imnt les services auxiliaires en les e'ïcctifs eanent (les {£Jie a adopté sans débat un ^ . out projet de loi eut risant le gouverneur géné- ( ^ 61 rvil de F Algérie à émettre «m emprunt de tuitm 20 millions dont le produit y^ra desiiné i if e aux travaux de chemins de fer. e pe- « <TUCJ Paris, 21 octobre : e. Lee journaux parisiens annoncent que le j° irouvorri.eme.nt français a abandonné le pro- jet de faire passer de nouveau devant lo ^ 1/s_ Conseil de révision les hommes' déjà ré- s 5 ti1(* formes. l< Lution * ' j ''y Paris, 20 octobre : n Iy',><F.!uv^e,, écrit : " — A lois que la récolte des céréales a l été moins bonne, comme on &.tiu,on m an- 1; v qiue, pour comble de malheur, de chariton ^ lcilcs" «n Touraine et danw le Henry, ce qui fait a que certains entrepreneurs n'ont pu #om- c Telo- meocer le bîi'tJige du blé et que dau- Xtes ont diû interrompre leurs travauix. Et d iure®, cependant, le charbon ne manque pas en r talent France, mai» les charbonnage? et les irn- -, Us porttueurs ne disyniseut j«is du matériel q adion roulant né«>es®aire à l'ecxjpedjtion de leurs u ! coai- ^t'jcks. Cet état de chose* aura mnlhaurea^ p â ja sèment de fâcheuses conséquences, air dstn» u cer^ms déjiartamonts du centre de la b lirons France, l'ensemencement des tern's ne {j fane pourra se faire à temps, le blé n'ayant pas l nand^ ^ " "neuf Troyo», 20 octobre : L (>s ^ Douze cents ouvriers de fabriques de (J r cette bonneterie ont oessé le travail, ils deman- t] a ^ dent une augmentation de siUaiie de l'O % • l] b ^m_ Dans une des fabriques, les gr visites ont d arr-««lié les courroies de tr;insn>Lésion pour cent M! r^r l<ra,va^1* ^ 8'eal pr°<il,it des ma- é - . uiteatations qui ont nécessité l'intervention l< .irig^s , , i- a La. rue * ^ P°hce' . I ;u[lon Berne, 20 octobre*; f¥!,;r I>e Conseil fédéral suisse a déeidlé do dé- n l' J s foniioe d'ai1borei' «ies di"ai>eaiLx ou de se a 3. . livrer à toute autre manifestation drtna le v ,T?1 but de fôter des victoires re'uportVs par j°(i c des pays étrangers. Le 0-onsçil eS.irne no- I£ n ur'^ tammivit que ces manifestaiioos ne sont ÎL'.A {iûs compatibles ave© la strie a neutralité ( de. la Suisse. . » l< Berne 20 octobre : ro® J? Ud déjiôt d'explosifs a sauté dans le voti- n Kloage de Lucerne. Cinq ouvriers travaillant ^ )} non loin du lieu de l'accident ont été tués 11 par l'explosion. * * d Athè- Rome, 20 octobre : . Hier, flfli cours du consïal minisitros, Binfy M. Carcan-o, mùiifrtre du TrV.yr, a fait P ropré- rapport auir lo i^e.iltat «tes dttrni w ar.g- " esr à iunritations tfimpôt.s. IJ a ann<.ii«à <to rnju- n ïemx projets pomr éqiùlibrcx le butîg'et. q i ao* . * S Si COMMUNIQUÉS OFFICIELS es \gfi\rfi B\7B IW3 W 3 ^ B ^^2— be Comiaimiqués dc*s Puiiiaaces Ceatrales. no _ . Berlin, 21 octobre. — Officiel de ce midi: ^ llhéâtre de la guerre à l'Ouest. lie. se Armée du feldmaicclial prince héiâtier ta< •e. Ruppreoht de Bavière : ^ -3> Dans la région de la Somme, le violent ■°" duel d'artillerie continue. ^ llr Entre Le bars et Lauoourt-V Abbaye, le* c": û' attiiq.uAid anglaises ont C'Chouè au cours de et l°- cori>s à corps. Plus à l'es., le feu violent ^ et efiicace que nous avons dirigé contre les a's tranchées dans lesquelles so rassemblent les ^ coxmnes d assaut ennemies a étoulfé det 011 tentatives d attaques. L»es attac]ues françaises prononcées au-dessus de la route Saîlly-Ranciourt se sont P^1 a ôeroid ea devant nos obstacles. ns Nos escadrilles d'avions de combat ont ost jyrotégé nus avions d'observation en ei'fec- no jt- tuant de nomuieuses attaques aerioimes. tte Douze avions ennemis ont été descendus ; a quutre d'entre ouix gisont derrière nos m- lignes. s\ Des raids aériens que nous avons entre-on i ris pendant la nuit contre des gares et étu re- des dépôts de munitions situés À T arrière I à du front ennemi ont donné de bons résul-mi tats, ce qui a été indiqué par les e\plo- ^ est sions qui se sont produites et les iucen-ise d'es qui se sont déclarés. de Armée3 du prince héritier allemand i Violente activité de l'artillerie 6ur Jfca ^ no- deuix rivets de la Meuse. ^ ta" llhéâtre de la guerre à l'EsKj. '^e Front du feldmaréchal prince Léopold de a\ Bavière : Encore une fois des bataillons russes se sont vainement efforcés, par d'î'nlraCtueuw 'u né- assautis qui leur ont valu de fortes j*rtes, fi- de nous arracher dets tranchées que .nous CJ la avons conquises sur la rive occident île du est Stoi'Lod, tandis que des at.aques pronon- '6 cées par des troupes allemands, commun- "j€ liées par lô gén.ral»-major von Galhvitz ont de nouveau mis en notre pouvoir, sur ^ la Narajowka, des ptosUi >ns russes étaNltes iau au nord-ouest de Skomnrocfai. l>e vaines ,10t contira-auaquo' ont valu de nouvelles per- v: tes a 1 en.jeuii. Cinq ofifui rs, 150 hommes la et 7 milra li euses ont déj-i pu «3tre ramenées hier do la posi iou conquise. P1 Front du général de cavalerie archiduc Charles : • ar,_ Sur la frontière transylvanienne, au mi- er , ^ lieu des chutes de nei^e et do la gelée, de l'ructu*3u(x comliats continuent dans les bois et dans les montagnes. Au cours de*ces combats, les Roumains ont subi de fortes S ttee « ne- Théâtre de la guerre dans les Balkans. a Armées1 du feldmaréchal von Mackeusen : Los combats dans la Dobroudscha so sont a r développes en notœ faveur* ^ur dilu' ire. ns si points, les troupes alliées allemandes, bulr =a" gares et turques ont pénétré dans la posi-018 tion principale ennemie sur la ligne au sud en de Rasova (sur le Danube)-Agemi,ar-Tuzia ^ e1, après de violents comlxats, ont occupé Tuzla, le3 hauteurs qui s'élèvent ou nord- ^ est de Topaisar, au nord de Cocargea et c - au nord-ouest de M 1 âava. Nous avons fait 1 prisonniers 3,0,W Russes environ, parmi .•t'1 lesquels 1' commandant de régiment, et . 6 quel i<i'jes centaines de Roumains; nions nous p s -mincS emparés, en outre, de 22 mitrailr tJ & leu6es et d'un lance mines- De3 escadrilles un d'avior.s allemands ont pris part dans ies ufj^ airs, avec succès, à ces combats. inè Front macédonien. La situation est inchangée. !< • »< • • le Berlin, 20 octobre. — Officiel : e yro- Le coiMiiatniqu* olïiciel français du 13 oc-lo tobre de 1 après-midi rend comj)te cxmime { né- suit de l'attaque aéruaine dirigée contre Ids usines allemanies d'Obernd'orf : ,,Aviation. — Un groupe fnuico-britan- n nique de quarante avions a t>o.m>aixlé les usines Mauser d'Obenniorf (sur le Neckar). . a 4,310 li îlograrumss de projectiles ont été ian- lancés, et leur arrivée sur les objectifs a you été constatée. Six avions ennemis ont été tJ f;iit abattus aui cours des actions engagées par !| i>m- ceux-ci poux d'Jendre leurs usine-.." au- Con.trairornent à ces données, il résulte Et des rapports officiels que 1 attaque s'est dé- ^ en rtulée de la façon suivante : im- Sur les quarante avions anglo-françai», riej quinze ont atteint. (Mierudorf et y tnut jeté ut« une soixantaine de bombes. I^es antive ap- a •eu* pareils ennemis ont été dispersée p; r les q am» attaques de nos avions et ont lancé leurs « La bomtiwa au hasard s»ir des forets, «ur «1< s ne prîuries et sur de nomlxn^uses petltivv Io.a-pas îités. Il n'y a pas eu de dié^nt* d'ordre ( militaire à Olierudorf, ni ailleurs; les autres dégâts matériels ont étsô j>eu un j citants. La ma-nehe d*« usmes Mauser a'a 1 dc pas été entravée. T rois personnes ornrt été ian- tnee» et sept bless<;es ; elles étaient en ^ yc . [ilein air et ont été touchées par dus éclrts ont de bombes. o\u Des quarante avions ennemis, neuf ont ma- 6té descendus par nos aviateurs et par la jOD feu de nos canons de défense. Au cours c des combats aériens, aucun de nos appareils n'a été perdu, et pas un de nos pi- d lotes ou de nos observateurs n'a été tué, è (I6_ ai méime simplement blessé. La d faite «; so aérienne de l'ennemi a dbnc été complète, le . * . Vienne, 21 octobre. — Officie^ d'hier midi; J Front de l'F.st. | Front des armées du général de la cava- > lerie archiduc Charles : s Les combats continuent sur la frontière < çroii- magyaro-roumaine. An sud-est de Dorna-lant Vautra, nous avons enlevé à l'ennemi le t jués mou'te Rusului. Front des armées du feldmaréchal-géneral f ixrinoe Léopold de Bavière : t res Sur les bords die la Na.rajovka, des trou-fait pes allemandes ont pris d'assaut nn« hau- 1 leur et capturé plus de 2,050 soldat» on- i vin- nemis et 11 mitrailleuses. Plusieurs atta- i ques ont échoué dans 1a région du Haut-Stochod, FYont italien. Oai coaitinue à se battre dans la régir» du Pasubio. Hier, à la su:ite d1 une l vigue et violente préparation d aitiileiie, les Italiens ont, à 4 heures de l apirèis nut'Jii, at-ier laqué nos positions au nord du sommet. Des corps à corps acharnas se sont de notait veau produits. Conduits par leur ciie£ de brigade, le colonel Ellison» les vailkunea jes chassc^urs t^nroliens de l'Empereur, 1er, 3e de et 4e régiments, ont repoussé toutes les aA-eut taques et infligé des pertes sanglantes aun asss Lants. Toutes les positions s «nt re»- I es -tées en l^ur pouvoir. Plus de^lOO Itiil^ena (jej. out été faits prisonniers. Sur le front de la vallée de Fletm, un ail_ Katêidllon de chasseurs alpins, fortement aç>-ont puyé j*ar l'artillerie ennemie, a atUuiué^ la FoixiaUa di Sndole et le Petit Cauiriol. oni Cette atta/pie s'est écroulée sous le feu dit 'cC- nos mi tranlieuses. !^s- Front du Sud^-Estu j Rien de nouveau. '"j * * • tre- Sofia, 20 octobre. — 0rficiel du gïand et état-major : ère Front macédonien. 1111" Des deus côtf'S de la voie ferrie Monas->lo- tir-Florin», violenta canonnade. e>a- l.e combat acharné oontiuue dans 1e coude de la Czerua. Les Serlies essayent, aveo une opiniâtreté toute spéciale, de progrès-ser. Nous repoussons toutes leurs attaquai par notre feu et, à certains endroit^, i>ar des conure-attaques. Des tentatives Laites par l'ennemi pour de avancer contre le village de Tarnowa et le sommet du mont Dobropolje ont échoué. 8e _ Dans la vallée de la Rloglena, feu habi» tuel de l'artillerie. tes Des dc-ux cotes du Yardar, rien do sp6-ol,g caal à signaler. du l'JoC^ ^e l"8, Belaaitza-Planina, nr»tct on_ feu a dispersé une compagnie ennemie, qu1* au- ^e retranchait au nord de DovaTcpe, près ïitz ^ voie ferrée- 6ur Sur io front de la i-trauma* engagements l'is enitra patrouille>.1/art'llieiieeuinemie a MO' nés bardé quelques localités habitées si tuées de-vaait notre position; elle a aussi bombai# JieS la ville de Seres. [Le. Sur la côte de la mer Egée, le oa4m« prévaut» , 7 Front roumain. u.aio Hier, dans la Dobroudscha, duels d'artil-leri- peu iaut la nuit entre la voie ferré# cn" et la mer. de • bois * * ►ces Constant1 nople, 20 octobre. — OMciel da rtes S'ran^ quartier général : Au front du Cajucase, il y a eu des es-carmoucijes qui se. sont terminées à notre s* avjintage «I au cours desquelles nous avooe en : fait un certain nombre de prisonniers. De* aont autres fron ts, il n'y a rien d important à en-ta signaler. bulr ♦ ^6l- Communiqués des arméed alliées -a ié Paris» 20 octobre. — Officiel de 3 heures i ' Sur tout le front de la Somme, lion k "T " signaler. Aucune action di'infanterie atl ^ ^ cours de la nuit. La lutte d artillenio ** mi P°lcrSfu;i^ avec activité dans la région de II Sail'ly-iSaXllisel et du secteur Beîioy-(Beniy. En Lorraine, nous avons facilement ptr K>u^ repoaisser un coup de m;tin sur nos poUûfe fiostes do la région de Besanges. ^ Nuit calme sur le reste du front. tes * • Paris, 20 octobre. — Officiel de 11 heure?» i Sur le front de la Somme, rien a signA 1er en dehors de la lutte d'artil erie habi. Mielteu particulièrement active dans les sec. leurs «ie oailly-Saillisel, de Berny-en-Saa. cerie et d Ablaincourt. Canonnade intermittente sur le reste dfa nme îront. ntre • * • . Londres, 19 octobre. — Officiel do l'aprèé- * " midi : ,*s ^ l • <> est tombée copieusement pendant 'été toute ^ û^t. i a . ..e .j uj» coups de mains ont permis au» ^ troufies britanniques de péuétrei- dans des tranchées ennemies établies près de Loos «( Par i J - • .•yu «ud d Arias. suite 1,0111 ie ^tû» d'événements impox?» ' ^ tant s à signaler. • 0 • jâis, Londres, 19 oottebre. — Officiel du •oiri • jeté Prée de l» hauteur de W arien court-, nous ap- avons légèrement avancé. Une oontre-at taies que prononcée par 1 ennemi à cet endroit C eurs été enrayée par notre feu de barrage. d<s • * • c ^ Londres, 19 octobre. — Officiel dfe l'a» 111X6 mér, d'Orient : Sur le front de la Strouma, rien d'inu portant ii signaler. at7 * Dans le secteur de D-oiran, pondant la auit du 17 octobre, i enneuâ a dirigé cort-' eal îie uotre flanc droit une énergique attaque, " lts qui a été repoussée. out • ' • r le Rome, 19 octobre. — Officiel du grand ours quartier général ; ppa- Sur le monte Pasubio, des attaques «6 (li- des contre-attaques ont succédé presqu® tué, sans interruption à des bombardements ex-fnite çrèmoments violents. ilèto. Dans la matinée d'hier, l'enn<mii avaàl réussi h pénétrer dans une redoute établie cor le Hom ; il a été complètent reh kler pKïUPsé su cours d'un corps à rwpr aoharné. Une centaine de prisonniers, parmf l©squ<ds 9 officiers, on cauon et nn obi* ava- «err de 105 mm. enlevés à l'ennemi, atfcefi îent le courage déployé par nos tnoupC, 1ère dans cette dïire journée. rna- Sur les autres p;i.rties du front, actmlf le habituelle cbe l'artillerie. Sur le Karst. au cours de petits cou* bats, nous avons fait quelques prisonnier^ Léral ^ nmw nonj9 gommes emparés d'une ms» traillenise. ,rou- Des avions ennemis ont lancé des bt.wau han- bes sur Borgo, sur Carinzia et sur nos en- lignes établies à l'est de Gorz -, les explo». atta- sions n'ont fait ni victimes ni dégâts, [aut- Près de Castel San Giovanni, à l'oued ïe Ceme.no, nos aviateur» ont incendiô ut Dimanche 22 Octobre 1916^ JOURNAL QUOTIDIEN Le Numéro ^: if Cezi<ixpqai*7|^^,^^^ ^ Année. — N* 69^^

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This item is a publication of the title La Belgique: journal publié pendant l'occupation sous la censure ennemie belonging to the category Gecensureerde pers, published in Bruxelles from 1914 to 1918.

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