La Belgique: journal publié pendant l'occupation sous la censure ennemie

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17 December 1916
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s.n. 1916, 17 December. La Belgique: journal publié pendant l'occupation sous la censure ennemie. Seen on 29 June 2024, on https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/en/pid/6h4cn70967/
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C'est à l-i que 6e croisent les voies ferrées <kmt 1 descend de la Moldavie par Focsani i se diriger sur Ploesu, elont l'autre vient Laexjui, au sueL-est do la jo-sse de J v et se dingo vois Bras la avec embrancher Kiu." 1 au «iarei- Fetesii. L/oecupafr on de Buzeu, le débarquer de nouvelles et importâmes forces bmg; à Feteiti eu face de Cerna vexl'a et l'a> porsistantk; au' delà de la JablutmK/tfi lurméo du Danube ainsi renforcée, e. aux armées russevrounuuues une situa da plus on plus précaire dans la gra Valaeihio : aussi ejsb-on amené à cro.re la réalisation dos provisions eks cnti'i militaires qui disent que la li^i.e Foc.> Oalatzt, dînais la v tliée de La Sereîli, o 1 seule où il deviendra possible aux R.u Roumains d'organiser une résistance 1 cace. • • • Menacés par la retraite de lanr a; en Vala/ohie, les Ru&so Roumains ont c mauoé à évacuer dan® la 1 )obrouuscha pesions din& lesquelles ils S'étaient traiiicbés. l>aas certains secteurs die la frontière ti £(ylvaaiauii;e, les Russes persistait à a quer violemment, bien qu'ils évacuent gy raleiineat le lo:idtemain les pasilions qi Boni parvenus a conquérir la vedle. Da:is le secteur de Monastir, la l reste de u>"»me localisée», malgré tous les forts de l'aile gauche die i armée Sarrvi EfciiHn, les beliitérants sont résous d l'expectative sur tous les grands front > ropéons, sauf qu'en fin de_ semaine La 1 a repris vigueur au nord de Verdun accentué les premières attaques que n' avions signa!-À» hier. Le coŒQfa|uaiiquo a mand dh.1. 15 au Àoir nous èppn-.iv'j, .effet, que sur la nve droite do la Me les Français développent de for:-s atfcu: qui leur ont déj\ valu des avantages e] la direction d© Lonvemont, village situ nordkm de la oôte du Poivre, ainsi âams la directiorï «1^ Ilardunnont, qui) au oord du village d)e Vaux. La bataille, q*«i paraît sérieuse, rst core ea cours : nous ou suivrons (fcw le jSôvellopjpeonenit d'après les oojniuuinif qui nous parviendront aujourd'hui €fci liière heure. L'Allemagne oUra de négocier la p ^Anbaéefl du d%ir (fempêcher de a veliea effunions do s*uig. ci 'le mettif aux horreui a de La guerre, les c autre F spéiccs eoal s-'Vs offrent ffentamer «ans lai dfcs pou rparler» de paix." C'est dans ces termes que les Pnisaai centrât!es v.euaiecit de con\ix riii^teute oitamer dos uégooiatioais „sur une 1 quelles estiment a cloqua io au rétablisscm d une paix durable". Cette, déclaration, 1 le 12 décembre à la tribune du Reich: par le ehanoolier de i'Eui|.iire, au nom 1 Vlloma^ne et de allies, a eu un iv lis- rnesit énorme. Par les nombreux e 1 de /ïuirn/aux que nous avons pu ,mettre puis lors sous leurs yeux, nos lec-t< ont pu voir que, -i l'initiative alîem-a été plutôt sympathiquemenÀ: appréci a d les ;>ays neutre», de a été en revanoî-e cueillie par la presse gouvorneuneutale l'Eut uito avec un svt^]tici$XDe et un d* qui ne laiseerit dùjà plus guère d'espoir Ul voir aboutir. Nous lie regrotfions profondémenit. Logiques avec nous-mêmes, nous ne eherons jkis qfie nous axions res>e;iti, à lectue de la. déclara i'ai du chajioelier, grande satisfaction. Impressionnés par piétinement dos opération«* militaires* n u\ons senti peu à peu se former et grar en nous la conviction ijjua le saint de l' rope ne résidait peis dans la guerre à fcincé, mais bian (Luis i ouveartùre de n< ci. i L - !•'« capj'-ble® do .ramener la paix a poniilitûonB honorable» |x>ur tous. Dés i.i août, nous a von*» exprime publiques cette opinion et nous avons eu souvent suite l'occasion de la défendre. Tout réc mont énfin, nous avons eu la *oie de > Edmond Picard soutenir noîro thèse a une éloquence admirable ét l'autorité s'attache à toutes les manifestations de e>j>rit éclairé. Des indications nous étant parvenues toutes parts pour nous oonvai.'icre que paix est de plus en plus ardemment d re diuis toutes les classes de la, pop» tiion, nous ne pouvions que nous réjooij la solennelle déclaration des' Puissances c traies. • • * Malgré, l'attife de tout à fait d.'co-rra^ea BCLbptée ^ «5<* égard par la pit^se go uv nementale do lAEnteoito, nous nous refus,, à croire qu'il faille d'ores et déjà reaon aux espérances que cette déclaration a naître. S'il s'avérait que l'Allemagne mandte auix drrigeanl» de l'Entente do eut or a roc èlle de conditions de paix ûcoeptabies ,,a priori)", »ous nous incli rions avec regrot, mais sans discussion il est dos circonstances où le femeocc „V; cre ou mourir" est la seule réponse « puisse faire un gouvernement digne dé nom. Mais la situation créée par l'AUemaj par son offre die négociations do j>aix bnon différente. 1/Allemagne ne dit pas l'Entente : ,,Voici me» ©onrititionR, dis tons-lois''; «11© lui' demande simpiement ,,Eks-vous, omnm© n<nm le «omnies, <îi»i *6» à négocier T" Une réponse affii m:'.; d'os négociations pourront s'ou\rirau co desquelles les Prisse :oes centra'os fer*, connaîtie leurs conditions de paix en m J: temps cjne l'Entente précisera ».s aa^s Dans l'entre-temps, la ba'aille continue et si un accord est impo^ i ei eiitre négociateurs, il n'y aura rien ûe changé Brejf, cet la solution que nous ave souvent préconisée comme étant la seule < pable do mettre un terme & cette gue <ans issue, c'est-à-dire lv publication, j : chacun des partis belligérants, de leurSj > : sidérata. • ♦ ! La signification de la proposition ni mande étant ainsi précisée, nous ne con ' vons p;is que ies dii igean-ts de \ En t . aient iatér t a refuser purement et slrnp ment do la prendre en considération. Ne avons- de leurs capacité» une trop ha opinion pour supposer un seul instant qu' ( s'arr'-tent à la conception enfantine de 1 es- : ts superficiels ou exaltas qui & en v< • répétant : — L'Allemagne se proclame victoriens Mais a.-t-on jamais vu un vainqueur off ' de faire ia paix ! Non, non, ceste ofre une preuve ae plus de la faiblesse d)e 1*. I lcnui.gne..."_ Ceux qui ont suivi dans ses grandes gnes le dévelopjiemont des opérations m taires sur les divers théâtres de la g!ue en Europe, ceux qu'a impressionnas le ii.il>'e enseignement de la campagne deR manie ne se contentent plus de ces y [>os on l'air. Par l'opiniâtreté et l'cffi cit? de leur d'fense contre les armées fr (,-ais -3, anglaises, russes et italiennes, Puissances centrales onf prouvé qu'en d<5 do 1 e^ort militaire gigantesque de .l'Enter la force de résistance de leurs troupes u' [«as la moins du monde ébr* nl/e. En m temps, le succès de leur offensive en U maniecsfc vcnui claire n-i.t démontrer qu'el reStjat -toujours redoutables dans l'attaq Pour tout esprit r'flt^chi, léur offre négocier la paix no décèle aucune traco failileSse : elle fait ressortir, au contrai l'inébranlable oo; fiance qu elles gardijuw. t jours d-uis ia force de leurs armes. 0\ du reste, ainsi que l'initiative prise à J5 lin a été apr; t-'tdans les pays neutr Toutes comsiGk'nitions humanitaire^ mis«s {►art, il est certain que l'AUomagne en t;re un- avantage moral qui ne fera < s'accroître, si l'Entente vient à tKcliJ bruialement sa proposition. li nous pa rait à ailleurs qu'en agïsrs; do la sorte, les gouv e nemrn ts a'ii'x a>s. uienâent s.-.ns nsêcessit-é une écrasant»? r-ponsabilité.Trois hypothèses peuvent se présenter ou bien les ho«tilit»s tiraîiueront en l< gueur sans qiae l'un déts |»artas parvlem no-t uient à dominer 1/autre; ou bien . opérations qui jusqu'à présent ouït v; ' tant de deeptions à l'Entente toumerx enfin à son avantage décisif; ou bien < fin le succès des Puissances centrales d. les Balkansi .se ré.perc.i;ci-a ct s'accen ui au point de leur assurer, finalement la v toire. Qu'on ne se récrie pas : il fart sav envisager en face toi tes les éve ; tuai i < iuArne li pire, c'est-à-dire la d^X-ilo d . Ailiétà. Et qu on ne s'y trompe pas : jani; nous n'avons f;iit allusion à 4a possi; i d'une défaite fi un le de l'Entente, ni da . nos ohm i lies rai itaires, ni d;uis auoen nos arlio es, et il est bien ea eadîu que no n^ la sui>posons aujourd'hui *'pae théoriq me vfc. Mais, depuis bientôt deux ans et den nous avons traversé des périodes si c ! tiques, nous avons sout fort de tant de < ceptions, nous avons vu s'écrouler te d'espoirs, nous avons connu tant de p~ messes qui ne se sont pas réalistes, < nous ne pouvons nous refuser à tel compte dans le débat de toutes les poc bilités. 1V. qu'arriverait-il dans la première t potluso que nous avons «nvisa;.•,<« ? 11 a rivere.t qui'apj- s iur0 ïong>nei s. i;e de «o: ( bats meurtri), rs, les d'eux 'Cirti-v resteraΣ ^ a po.i près sur leurs positi >ns. Bec . ; sa.it loar impuissaoce mutuelle* ii«- se tro veraie t qui.nd' m»*me, en fin de comp forcés .1 ontfimer des négocii.it'ous ^ p-': dans dea con iitions à peu p-r*'» kterjftiqr à coites où ils a? trouvent aujou [Vins co c • t vus les sacrifice qu'il 1 • faudrait consentir encore, ils les aurais conss.nâs en pure perte. Da ;s la doû'-m ■ hypothèse, celle de défaite des Puiss nces centrales, lfattitu dés dirigWMlts die l'Entente se ju.stiPLcti'. d elle-m nu . Toutefois, l'intransig&mçe c6c nous venons do faire ressortir le prorni et grave clangor ne .enr aurait pas valu moindre avantage. S'ils acceptent d'enti en négociations, comme leurs adversaires leur offrent, les o^' ra, i /us militaires m'en ex tiiqisront peà -moins avec lim-'hie faerç et sai\s la moindre e iHrave. Ausâ'tôt qu' cours ch>s a^gocîadùns il apparaît:» qur2 ! Puissances Centrales pc^ent des condiiti.i inacceptables, il sera loisilfle aux repr-ésr tants des Alliés de rompre ces négoeiatio sans qu'dlles aient d .Heurs pu en r inHuencer les chances de victoire dont ne venons de faire état. Mai? si les chefs d'S Alliés, qui n'ont depuis deux ans empêcher dféclatants ilnsi cès de leur diplomatie ni éviter h teura ami des revers aussi graves qu'inattendus, oc ftinua.ienti à pér'ier par excès* d'opîJimispne' se faisaient illusion sur ces chances victoire; si enfin l'hypothèst tragique de défaito d^s Alliés devenait par malhç une réalité, on n'ose penser sans effroi à responsabilité die ceux dont I ftveuglftau aurait eu pour conséquence d'entraîner le pays dans une catastrophe décisive.Temjoi subsisterait le doute que moins d'intrî sigpinee de leur part eût pu entraver marche à l'abîme et mettre fin aux h< rours de la guerre, à des conditions jpe être honorables et qu'ils n'ont pas mô voulu examiner. La mal'dicticm des p€ pies les poursuivrait pendant de® siècles. QUATRUN L'OFFRE DE PAK Vienne, 15 décembre : Le nonce du Paps à "Vienne a déclaré un collaborateur de la „Krichspost" que Pape, qui a toujours chargé son i^eprése » sances belligérantes, éprouvera une grane i joie à voir que ses eftorts ont en pvsrt > abouti, maintenant que les Puissances ccj traies déclarent, devant ie monde entie , qu'elles sont disposes à entamer des négr s ciat uns. Tti a-'.* le bi t qu'a ijoursuivi pape Eenoit XV, qui n'a cessé de conseî > 1er aiux brfligérants de consentir à. d-; - échange» de vue. 3 En transmettfnt sa note au Sainb-Még, : le gouvernement impôral et r«>yal a daman - la collaboration eu Pape à l'ceuvre do 1 paix. Il est certain que le Si tint-Père a cueillera cetie nouvelle avec La plus grane >»ie. N'est-il pas le représentant du Priiu do la paix dont lo message a retenti il 3 a cfeu'x millo ans à Betliléem T Pi'.ûsse n bén'xliction faire en sorte que Voffre ail ; mande soit l'objet de pourparlers fructueu-' Tel est lo vœu que forme le Pape à. 1 • ; oasion de Ne>èl pour les familles des pei ' pies do l'Europe. 3 • t * * Washington, 14 décembre : » Aussitôt qu'il a reçu la note des Pui ,, sances centrales, M. Wilson l a fait ta*aname l tre aux ambassadeurs de France, dfAngl terr?, da Russie, du Japon et aux minostr de Belgique, de Roumanie e,t de Serbie. * •i * Washington, 15 décembre : a Le président Wilson et ses minist es o - délil/'ré pendant trois heures sur l'ofîre ( - paix dos Puissances centrales, ainsi qi - sur l'attitude que les Etats-Unis auront r- prendre au su. jet de la transmission de cet - offre aux Etats c!o l'Entente. =? * t * * b LomcCres, 13 décembre : '' On mande do Washington ou „^imes" 1 — Los Américains dLscuteni surtout les ;î 2 sportive» d'une prolongation intléiunio de " guerre et L'opinion, généralement répandu 3 que las Alliûs ne sauraient pas arriver * rédu' io l'Allemagne à merci. ^ Les agonis de l'Allemagne s'ingénient 5 montrer que, si les Alliés refusent el'èntr, ' on négooiations, les Puissances centrales " ronit forc i s di'organi r lc.ir d^ f tnse (îfe- ne' ' "a, ca e*u'il eîfavio dtaa ira possible de | rô\. iii fin ce la gueire et qu il faut craindra qu ' tôt ou tard, 1rs Etats-Unis soient entroâ'n 1 dans, Le conflit. • e * • L, New-York, 10 décembre : 1-e ,,New-York Times" estime que Vf j lemagne no cherche pas à conclure un f mistice, mais bien h ansener une délibér (ion a i l ara do laquelle totu-^ les Ew bf»Jlige:raiit3 feraient connaître leurs con» tions do paix. Cette Coufiïrence devr: . avoir lieu vers la mi-janvier à 1-a ILv , Après les pOurixùOlèrs prt'liminaiîrefi, oh , cuu des belli^éitnit» poursuivrait librerue: j ses opérations militaires. New-York, 13 décembre : ? Le ,,New-York World ' écrit : — La Serbie est *«nnejxée, la (Dulgiar . agrandie et la Roumanie vaincue; l'ïtal est dé|K)ssédée d'une partie de son terr » toire, 1a posi'.ion de la Turquie sati a^sur* ea Europe et sur les deux rives dcts l) ti'oits; enfin, une nouvelle» et fojmidal" ? puissance giermi»nique s'étind sur le coait nent, rêve d'établir des communications : tires entre Ber*m et Bagdad1 et de coup celles <le l'Angleterre veis les Indes par canal de Suez. Etant cooné cette situa ti:n, nous * croyons pas que Londres, Paris, Pétrogrt et Rome j orront penser un i stan,t dér ;rer à l'offre de paix de la Quadrupl e ^ L'Et;;tente estimera que cette offre n'e qu'une tentative fafco pîir les Puissance 1 centrales pour «e mettre en posture a va tageuse aux yeux du monde : elles sont i effet convaincues elleeunêmes que oe qu eil proposent et qu'eJles appellent une pa. honorable est en ce moment une cliosa ir possible." ♦ % Copjaihaguc, 14 décembre : La .,Berlingsche Tidsude" écrit : — Il sembile bien que l'Allemagne choisi un moment psychologiquement fav rable pour faire ses offres de paix. La e tuaiàoro des Puissances centrale» est pli avantageuse epie jamais depuis la prou' faite que, malgré leur eiffensive commun 1 .Liigletorro, la Franco, la Russie et lit Ue n'ont pas été à même d'arrêter lama cho victorieuse de leurs armées à trave la "Valachiê. Qu'adviendia-t-il maiiiieua que von liindenlxurg, ayant conquis la Ro manie, va pouvoir consacrer toute son éne gie à attaquer les troupe* de l'Entente ? Londres et à Paris, cm parle bien d'aï longue guerre; mais la France, douit 1 ressources en hommes étaient déjà ceympr mises avant la guerre, par sa faible nat. li té, souffie maintenant d'une* formidlab saignée. La France et l'Aii^letorre sont to tes eîeux et de jour en jour davantage < proie à des difficultés d'alimentation et i raVitmillenient : le régime des cartes, d jouni'cs auis viande et du travail ci\ i t'orcj sont leurs perspectives d'avenir» Cert-îis, la question de savoir si l'offre ( paix de l'Allemagne aboutira à un résuit dépend de la base que l'Empereur e)b s. * chancelier proposent pour d'éventuelles nég ■ ciations. Mais si même leur tsntativo viei h échouer, l'Allemagne n'en aura pas me>ii fait un beau geste et qui ne sera prob blement sans influence auprès des po pies neutres." * * • ^ Beme), 15 cfécembre : s Lo ,,(berner Taghlatt'' publie, au su; de la proposition allemande, l'avis suiva ^ a un diplomate russe bien renseigné £ point de vue international : — L'Angleterre ne peut à aucune coiu * tionj admettiro la proposition allemande», c; cela équivaudrait pour elle à une capitul tion : n'étant pas h bout de ses ressourc en hommes ou en matériel, elle peuf enco continuer la guerre. I^a France a sur se territoire une grande armée britannique tou désignée pour apparier la résolution pri par l'Angleterre au sujet do la guerre e ' de la paix. L'Italie, évidemment, voudra bien aller au devant do la proposition « l'Allemagne, car c'est elle qui est le pli exfl>osée à une nouvelle attaque aHemam éventuelle, mais sa situation de (puissan méditerranéenne la subordonne à l'Angl fcrre; à tel point qu'il lui est impo^sib d'a^'r seule. Quant à la Russie, elle n io "Otis la coupe de l'Angleterre : le? d.gco li- Je M. Trepoff le démontre à suffisance, r, De b-<ut ce i je déduis que l'E.-nieuto >. pondra qu'elle no peut accéder à l'offre la e f ste eie l'Allemagne qu'à la candi i: 1- d'une évacuation pi Valable do tous les îs ritoires occupés jvir les Allemands. Or, c< évacuation, l'Allemagne n'y peut natard e, ment oonsontir, paiqu'elle constituerait 1/3 pur et simple abandon de tous ses gar la C'est pourqueyi La guerre continuera emo e- l'tscju'àj la liquAlatian da l'aventure, de te Ionique et la conquête par les Centraux: ie l'Italie supérieur© : alors seulemerut s y vrira la période pendant laquelle des p n, s*zn de paix pourront se faire jour." Madrid1, 15 décembre : I/eii're de p .ix des Puissaieves ceut-n u" est généralement accueillie avec téx siasane à_ Madrid. On y est tr s optimii j bi-M que I on prévoit que Y JvnfesKe n' j c •] fora [i.'.s cet offre sans diifiicuitôs. SU ! » ■iJ ♦ * 0. ; Paris, 15 décembre : ! On annonce de Madrid que lo comte 1 ' ! manortes a reçu mercredi matin, à 8 h , r.-s, La note dV s lNiissaac^ts c-aitcales. 1 e r orjr du Boi, le pr*ideat du coin es; rendu au cûûtAau royal, où il t j longuement conféré avec le souverain. S » Rome, 15 décembre : t!.. M. Sonna no a de nomlireuses coriféren ,"y ; e-n ce moment v©e les ministres des x)l sances de l'Entente. • • * . Francforts ur-le-Meim, 15 décembre : ,"r_ On mande do Lugano à la ,,Gazette ia Frruicfort ' 'i C) — M. Sonuino a rr^w hidr les ambasSaide do France, dAngleSoire ci des Ltits-L CNa pr^asume qu au couis de ces en ^ iîo-isi, il y a eu un échange de vues au jet tîo l'offre do paix d-*s Puissances ( traies, et 1 on a remarqué aveo étonnien: 1. juo le ministre des Etats-Unis a été c la 'Oqué à ce sujet. es Turint, >16" décembre : On maïu'o de Rome à la ,,Stampa" : Dans toutes les villes itaiiennes on parie que eie l'ofire de paix, qui a ^1-* 'liscuitée hier par les socialistes v,6 icioL-ir* | cours de eieiax séances. 11 a été un mon "i- ' in -Mon d ci d^ rer un projet do paix; n C-.V.ÎO idéo a été abtuidomi. i . ii- l.es socialistes réformistes es sont ai j-éunis. e. l^e parti socialiste a conve>qué télégra aL quement lis députas absc. ts et tic- 'r - d at u-es séances, d accord aveo la di rection parti. Los députés d!u groupe catholique se £ réunis pour éc»!afinger leurs vues. Au Parlement, l'opinion prévaut que 1 ie fre 'le paix sei^a re^>oussée par l'Edite >e mais on est généralement d'avis qu'une -i- nouvelle s'est ouverte. Les discours prononcés hier h la Chi bre par le dépuié radical Girardiao et le t le député socialiste réfoiroiste l'esea ci (J i- sont importants au point de vue de l'f i- tud'e ult'rieure de l'itnlie. Ce dernier aj er m racé le premier discours de l'opposr le contre M. Bo^elli et a reproché au pou"' ne ment son ma*v;?îs e^ énergie dans 1a c ie daite ele la guerre. M. T®é& di Cuto a ui claj-é nr^foror une dictature à la man actuelle de faire du gouivernement. 0. De l'avis du correspoindBint romain dé t ,,?tampa", ce discours est un ayant-c B3 , eur des efforts qui sercat faits pour ] n- voquer une crise ministérielle. On veut n comité eie gruerre à l'instar eie la Franc Q de PAngLtrrre. 1.v Dans lo discours de M. Gérard i no, il a- à rem-iniuer que l'orateur a deelirô c son avis, avant de refuser l'offre de pî il farcirait oera*i.i»rf>-r aux î"-!Wi«an.ciSJ e traies ele prAaistr leurs confit; »ns. » • * a ' r. • Londres, 15 décembre : ;i_ L'opinion qtii se fait jour dans is l 5 ; lieux parlementaires se résume étants le | qu'en dehors d'un pmt groujXi d amis 1 la paix, tous les partis som d'accord p 3^ continuer la gtterre. On no s'était d îiaII/ ... pas attendu h un autre résultat, leshom; ra politiques des p«ys ele l'Entente qui ^ ]>rovo<jué ou favorisé la guerre ne pou\ u_ j)as bn^uement rebrousser chemin. r_ Le député .^nowden a demandé hier \ la Chambre des Communes si l'occasion iG ] rait donnée à l'assemblée àe discuter l'o es ! J® paix allemande. De tous cût^s, d s ,,î o. I non !'' l'ont interrompu. ^ | Le député libéral Ma«on a ptron^raoé \ô I Ksconvs en faveur de l'accepta'ion de 1 u.- fre de i«ix. „L'Angleterre, a-ftil dtit', a 2m teint le but qu'elle poursuivait em enta le ®a guerre, à savoir lo rétablissement 03 l'indépendance do ba Belgiqjue, puisqu'oi "il trouve plus aujourd'hui en _ Allemagne seul partisan de son annexion. P6irogra3, 15 flâceanbTe : Au cours d'une r^unûon du Club deR Qt tobristes de la Douma, on a exprimé crainte que la popuLation rurale et l'ar a- ^opposent vivement à ce que le gouve u- ment refuse sans examen* l'offre des P sances centrai. Dans les districts manufacturiers de trograd, il y a en, dès mercredi soir, série ele démonstrations en faveur de €* paix, au ex>urs desqr lies la police et nt Cosaque» ont dû intervenir. vu • * * l[m ; Berlini,, lG décembre : i Le® journaux gouvernementaux russes a_ î «munissent que l'offre allemande peut < ^ | stituer la base d'un échange de notes di re ' ma tiques. ln I La presse de Pétrograd ne se répand en injures contre les Puissances centra 80 oerauuo le font les joumautx de Paris et )U Lemdres. ^ lit * * • ie Berne, 15 décernée : as Les journaux suisses apprennent de ]e trograd que M- Bratianu est arrive <i ce la capitale russe, en vue de discuter l'e e- de paix faite par les Puissances centra -le Le Tsar s*e t rendu au grand quartier 'a néral à -Pétrograd. COMMUNIQUÉS OFFICIELS ■on Communiqués des Puissances Ceatrales, ter- ?:tj Berlin, 16 décernée. — Officiel de ce Ue- mieii : le Théâtre de La guerre à l'Ouest. e>. Armées cïu feldmaréchal duo Albrtclib d< °r0 Wurtemberg : ^ Da;is la Ixmc^e û'Ypres et de Wyteohaete _ le diiiei dfartrilLarie a, par moments, pria un« ou" très forte intensïté. eQ" Au suiî orest de Zftïebefce, ros trouipss a'attaque ewit pénétré jusque dans la deuxième lirais anglaise ek»nt les occupants oui pris la fuite. ^ ^ Artmées du prince-héritier aftemand : Le 15 l.a Français ont r'iu^si a_ sur le front o««u-è6t de \ vudius, à no aï rftfaetor hfrs de la position la plus avan oée dans une deuixiècne ligne [xreparAc : la crêJto de 'lvalourluvut<*ii-s du noiu de \a >i i v oruon &-f arino de Chami*rette-sud de Be Ro- zenvaux. j\l" TlKÛtro de la guerre à l'TSst. Frort du feldmaréchal prsnce Léopoldtii a Boivifere : A l'ouest de Ludc, après avoir fait sau ter ces mines aveo succès, des troupes aus. tro-hongroises ont pénétré dans les tran criées ennemies endommagées et, apivs > ces avoir caus' de nouvelles destructions, ou 11S" ramené un cei'tiain nombre de prisonnioi'i et du butin. Front du général-colcrael archiduc Jejseph Au sud de la vallée c/Uz, des attaejuei réitère< à deux reprises par les Russes ori été a r iv bées par le feu de notre artillerie, .ia. Armées du fokbnaréchal von Mackeaseu tkc- Au cours d'un combat sans trêve, l'ail su- gauche de la IXe armée a atteint la routi îen- lt v.eHJ-Rimnliculr^aJcaé. e ;t A l'ost de Buzeu, nous avons pijs ei ;on- combattant le secieur de la rivière du mêm nom et 1 aile droite a pris .m comVtit^m le passage jwr l'a/fa ssemoat fie Calmiituiul No s avons , de nouveau fa-it 2,000 pri sowniers. L'armée du Danul^e avance sans intoriup rc t.ion eu s la direction élu nord-est. i: Dans la Dobrou<lsclia, les Russes on 1 au abandonné leurs positions sit i 'es le pHns ai le1?' sud. l^es troupes bulgares, ottiraanes et al leynandBS se sont mises rapiooment à lou poursnito ce ont franchi la kgne Coge^alac 1>s 1 Cartal-'Harsova. ï^i. Front macédonien. au- Pas d'événemjats sjjéciaux à signaler» Berlin, 16 décembre. — Officiel d'hie >ou* soir : . Dans la région do la Somme, activit ç''~ [ eu intenFo. V1. ' Sur la rive orionuale dé La Meuse, vigon ®re rO!LvSH3S attaques françaises au cours eles quelles' l'ennemi a obtenu dos avantage a1n* dans la direct» >n de Tx»uve«nont et ele Ilar par , jq ,Ilt> lu'ie n'est pas encore ter Uwo niin'e. Notre année do la Doljroudss' a fj>oursui ,rv" l'ennemi qui, obligé jar. nos çapïde* pro taon dans la Grandle-V:4ac] ie, a al>andonn •'er- ses positions la naint cUraière. 'rï*- Sur le front maofttouien, le calme règne d •>- , * * ^èr ; Yionne, 16 d>'cambre- — Officiel d'hie midi : » 1- Front de l'Est. :ou" Poursuivant s us relâche 1"S Boumain ÎIS et les Urs-es, les Alliés osnit, hiir, |«r^ UTÏ Buzeu. Air nord ele ceVe ville, l'esunem eet résiste eaicore. Le nombre des prisonnier amenr's au cours de ces doux jours dernier se monte à 4,000 hommes. ^A On comtinue à sa battre avec acftiome :1:'1 ment à l'ouest et au nord-ouest d Oçna. îflI1" Au sud de la vaftlée de l'Uz, nous avoofl en; contire-a'fcvpi'vrt, reprit aux Rtisses uv hWi îL." ;r qu ils avaient momoatanémeyi pi oco.aper. An nord do la vallée dm Osobanos, l'ad mi" versaino a reanporté usn avantage pureme.n X local. 1,0 Dans, 1rs Carpathes boises, l'offensiv °u^ riKS.Se a diminué. Hfrs pjvs d«- Koni;Ohv, au sud! do Zlv>row,do 03es d't.acaemonts aus.ro-hongrois ont pris pifl OI ' sur une étonidiue fîe Pront de 3a0 m*Ntrefl ^ dans les tranch 'os dos avanV[>oPtes russes à Fronts italien et du Sud-Est se- Rien elo changé. ffre . * . Scfia, 15 décembre. — Officiel du gra» état-major : nn Prnut macédonien. ,,f" Dans la résiooi <3b Hitolia., faibla canor nt" aade r6cipro:;uo et eng-.igcments entre pa trouillos. ™ Dana la Immcle de la Czerna, plusieux 1 nn attaques ennemies, dirigé contre hau ttU teurs qui s'élèvent à l'est de l'aralovo, or M facilement repousses. Dan3 la région de la Moglena, faible ca nonnade de part et d'autre. - Des deux côtés du Vardar, feu tris me f" déré ilo l'artillerie. , Ntotre position au sud do Bogoriditza TO^ été violemment bomUir<Jée de Uanps à au rn®- tro t»r l'artillerie ennemie. K1Sk Cr;and0 activité des aviateurs ennemi , au-dossus et à l'arrière de nos positions. ' guir le front de la Belasisza,, faible en 0110 nonnado et engagements entra patron: Iles. ' la Sur la Strouma, canonnades ennemies -isc '°® lées. riusienrs de nos aviateurs <.nt lanoé ave des bombes sur d'» bivuuaos et «\i lies dépôts anglais étaLlis près de ÏKzha re- jasa. 3<>n- Sur le front de la mer Egée, nn navir plo- «ntfemi a tiré environ ouinze couj s (ïe ca uon sur la côte, au sndi-oue^t de Maronia pas Ttc.Ls avionB ennemis ont lancé qninz Ien. bombes sur lo village do Radulevo. Quair d« antres avions ont lancé sans effioscit douze bombes sur lo pont, près do Kluet* Burgas. Front roumain. pé- Dana la Dobroudsclia. l'ennemi a aban lans donné ses positions; elles le trouvent déj ffre en notre pouvoir. aes. a l'est de la Valanhie, les armée» a] gû- liée» avancent au nr>rd de la Jalomita. No ttrouipes ont occupé Fetostd. ^ Communiqués des armées aliieei 5 Paris, 15 décembre. — Officiel de 3 h. f Pas d'événement important au couru di la uuit. • Paria, l5 dftoombre. — Officiel do 11 h. Ç Aprt-s une pr-parution e^artilierie «pu A ' duré plusieurs joiu-s, nous avons a*iaqu4 5 l'ennemi au nord de Douaumont eritre kfc r Meuse et la VVoëvre, sur un front de phi * de diix kilomètres; l'acta«iue s e^% déclatSi cnce 4 dix heures. Le front ewn<*ni a 6aé " partout enfoncé sur une profondeur de trois kilomètres environ. 0utr« de nornbi^usel tranchées, nous ave»ns enlevé kt. village! L do Vacùerauville, lx>uvemoni, leB fermes den ■ ChambrH<"tieS, les ouvrages d'Ilardaumont 'I de lîezouvaux. Nous avons f«iit un grand k nombro do prisonniers uon t»nex)re dhoom» 3 br s : sept mille cinq cents dont deu^ cents officiers sont déjà passés par les poste» d|| commandement. Nous avons pri» ou d«truil de nombreux canons d artillerie lourd**, tle campagne et eie tranchées et un mater «d 3 consieL.Viable. Malgré le tesmps défavorable, l'aviation! flt " pris une brillante part an combat. Le «oeu ■ cès est complet. Les troupes témoignent d'un très vif enthousiasme.■ Nos pertes sont * ' légères. t • / * ♦ s Paris, 15 décembre. — Officiel de l'armic d Oriemt : Actions d'artillerie intermittentes sur tout ^ le front, pai-ticulièrement accentuées eians la t .oone du lie Doiran. Dans la région au nord do Monasuir, ans colonne enne^mie a été dispersée par le feu* : des Alliés. e Grande activité de l'aviation alliée \ uiï a appareil ennemi a été abattu au tud du l'etrelt. > a Londres. 15 novemlre.— Off ciei du soir: i L'attaque que 1 ennemi a teu\'e i e ;dau| . la nuit j'i\s de Leslxenrs a éfcj s-rayee pa* le foi» de notre artillerie. Nous avems péin ti-é ehuns les -taancbée^ h ennemies au sud d'Armenticres et à l es4 d« Iiierstr!i»vt. i Une tentative j)ron<ouc6e j>ar une tort* L« troupe d attaque emiouiie en vue d'at einrtni _ nios iranoiiées au sud elie Saint-Eloi a «V-4 r enrayée. Pour le reste, canonnades de part et d'autre. • Rome, 15 décembre- — Officiel <kt ginrid quartier général : Activité de l'artillerie d'ans la vallée dis r l'Asîii'o, sur le haut plateau d'Asiago «I (Lins la région de Plava. b Les canonnades ont (té plus intenses à l'est de G< rz et sur le Rarstu Lo mauvais temps esonfiinue à entrave® i. ne>s opératie>ns. * s .* * Pétrograd, ]5 d* eemhre. — Officiefi du u grand état-major général : Dans la r -ginn de Zubilno, au sud de Kisse'ia, l'o aiemi a pris deux fois nos j o-siti«>ns sous s^»n fou roulant et a tenté de sortir de ses iranchfes. Chaque fois sa ,J tenta.tive a échoué sous ie feu ele nos ca»- uons et de nos mitra:lieuses. '• Dans la ré^a vn- de t.ral>koft-e, nos • cîai-reurs ont cha&sl à e>ouj:s de gi-enaeJtis à r main une .colonne em eraio, qu i a avaient découverte pendant ta nuit devant le rs tr«»n-chcçs. Ilier apr-^-midi, vers 5 l.e »res, a.jtrt^s avoir dirigé un feu oumôi trique \iol«it su* s la r' -ion ue F»atl-uip c le bois Guidai, fete, i le secteur ele K - virofste e^. de Mlyu*/-te, 4 lVmemi a attaqué, sur la liui e qui va du vilb'k^e ce Gpabkofste aux dv^nx o ^é© du chemin de fer 7-1 >czow-Tarniopol. Notre feu concentrique a arrêté l'attaqito à 300 à 400 pas en av-i-nt d'e nos rctramehenv.vi's. Dans la région ele Mlvnoftse s ailement, I'en<aï5n| I a réns-i à pénétrer cfeirs les tranché-.e d'nne 6 ele "'-s compagnies ; d'os réservistes aocon* II rus l'tKvt. o isuite rejeté. A la faveur Al l'o!>sourité et. d:un épais bro,; l!ard, l'en- " no ni a attaqué eleujx de nos postes do cauru 1 pigiie à l'est de Koniusohy et a fore-'; un do ces postes à évacuer aa 1 igne de u*nmK ® «fiées ia plus avance. Dans le secteur dq second po-ste, il a di se retirer dbvantl les s ols'ac'esi en fil de Jer bar',-elé. îli^r, nos aviateurs ont livré trjis oom--, bats atrx (Environs de Zaloo^e. do Nuteje et . de Mlynof-.te : chaoue fois ils ont obligé l'emnemi h se retirer. Sur lo front roumain, dans la région dis B-uzeu, les troupes roumaines et russes, ce>ou vertes par lours arrière-gardes, ba.cteut en d retraite sous La pression de l'ennemi. E/H conréla.tion avec cette retraite, h s tti-ini^es n'ïi ev^^upaioimt les positions s-ur la JaÀo» i>- mita se retirent également* sur'mer [. — it Francfort-sur-lo-Meio, 15 décembre :• lia ,,Gazette de Francfojt" apprend dis t- Christiania : Le journal „Midflgs A vison" annonce QrtA >- le gîrand croiseur auxiliaire allemand ,,Prince Frédéric", qui se trouvait depuis u lo début do la guerre devant Odde, pres d§ t- l'.ergen, est arrivé à Bergetn au.kjnird'hiait j après avoir rompu lo ble>cus anglais devanl » s l>ergen^ où deux torpilleurs et trois ceyntw- , torpilletUTs britanniqv.es faisaient le guet). *- La „Gazette de Francfort" ajoute que le J Prince Fr cTric ' a été surpris par la i >- euerre, alors qu'il effectuait, un ve>yage da i pLaisanoe; il n'a ;amais servi en qualité de ■ c croiseur-auxiliaire. j r . l.ondres, in décembre : L'Agence Reuter annoneîo <Tne le vapen* a norvégien „Kan]>ouger" a été coulé. Le vapeur portugais „Beca" et le vbh peur anglais „ G Ion ca" ont aussi été conlésl. ° Paris, 13 décembre : ! » ? I^e „Petit Parisien" annonce que le m, 6 neur „Auguste-Mario" a été coulé. f Paris, 15 décembre : On mande de Lislwnne au ,,Temps" cfoe i- ipiatorze survivants do l'équipage du vape»w à italien „Eixemplar", qui a été coulé, ont été débarqués à Cacella. L- On est sams nouvelles d'un antre cwCTjnt a dans lequel s'étaient embarqués cûuzehon^ et le cadiitaine. Dim-sncne 17 DécerrôP® 1916 JOTJR?TA'L C^OTIDîeîT — T.e TTumëro t ÏJ5 Confîmes 3# Année. — f1?" 751

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This item is a publication of the title La Belgique: journal publié pendant l'occupation sous la censure ennemie belonging to the category Gecensureerde pers, published in Bruxelles from 1914 to 1918.

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