La Belgique: journal publié pendant l'occupation sous la censure ennemie

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06 January 1917
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s.n. 1917, 06 January. La Belgique: journal publié pendant l'occupation sous la censure ennemie. Seen on 14 May 2024, on https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/en/pid/7s7hq3t86q/
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PRIX DES ABONNEMENTS ADMINISTRATION ET RÉDACTION P£t;u!S B0MH to ^ 0cB0 1 mois (janvier), fr. 2.55 | 2 mois (janvier-février), fr. 5.10 Si, MoTltagn«-*ux-Jl9rt>#3-I:iotsiffàres, J3ttZrjCJEL,LE3 ifcclauie avait les annonces . . _ 1.23 3 mois (janvier-février-mars), fr. 7.65 BUREAUX : DE e ï 17 HEURES Corp» du jtmiDfll ...... — 3.00 . ~ 7, . , direction ET A.dmikz»tka.tion- rx, to la » la ils et cla la i s à 17 heum. fEIX SSS ANNONCES Faite airtrs — • 3.78 Les demandes d abonnement sont reçues 1 Les reclarvTRttons concernant le* «bonne» ' ' • __ ••••••• ■ ° exclusivement I mcr.ts doivent être adressées Nécrologie -— 2.50 par les bureaux et les facteur» tles postes | exclusivement aux bureaux d* pest». JoS. MORESSÉE, DIRECTEUR Coin d«s Eleveurs S.00 LA Ël'ERBE 887' jour de guern La bataille sur la Sgreth a augm intensité, les liasses et les Houniains aj pronosioé de vigoureuse» contre-attac dans plusieurs socieur6. Da* s 1 extrême nord-ouest die la Dot;»'; sclu*, ics arnèro-gareles russe» tiennent 1 jours sitr la languette do terre qui « ava vers Galatz. Sur l'autre rive du Dam la siyuUioîi "ne s est pas modiii'-e en tire fleuve oc «:v rivière Buzou, mais le o munieftié de Pétrograd du 3 janvier n apprend qu tnuio la Buzeu et la Romn les Kuesefl ont prononcé une vive oon attaque qui leur a donné l'avanta^o d le secteur de Giriianca. Il ne semble toutefois qu ils aient pu tirer parti du avantage, si l'on tient compte de la dipé do Berlin (Ju 4 qui annonce qu'à l'ouest la ÎBuzeu de forts contingents de ©avait russe ont été réponses. Au sud-ouest do Focsani, les Russes s parvenfu» & contenir des détachements de fXo aira'-y austro-allemande qui tentai d'avancer le long de la voie ferrée. En vanche, iLs n'ont pu empêcher tfoes trou du général von. Falkenliayn de franchir Milcow enitre Miéra et Odobesci. La pl forte de Focsani se trouve p:ir suite o.:e clée aux deux tiers. lin outre, les Rus Roumaine), violemment attaques cepuis p sieurs jours dons la vallée de la Putna} les troupes de 1 archiduc Joseph, risqu d'nre coupe?» à l'arrière de leurs ooann nioateons av i Marajtesoi si l'avance < soldats du général von vFalkenhayn, n' pas immédiatement enrayée. Plus vers la nord, dans la vallée de Suchitza, les Roumains, auxquels le co mwdqué russe du 3 janvier n/j)U3 appre qu'une contre-attaque vigoureuse a te d'abord valu un. succès passager, ont . ensuite obligés de exiler plusieurs huntei à leur adversaire, revenu à la charge a^ (tes force»» supérieure© en nombre. Los Austro-AïUema.rxls ont fait encore nonve*** progrès lo long de la route dp toz. Par contre, dans les forêts eîes «Ci pafcbe®, l'avantage est resté aux Russ» qui sont parvenus à se fixer dan» une ] sî tio»nj aMStrio-ailemande an nord de M< te1 mesci. L'OPiiMON D'UN TEMOI S. Qxo. il. liaiaman, directeur au min tùro dlcs affaire» étrangère», qui a piis rotra&o. à la fin de 1 année, a donné si ;tvit? a un mecubro de la réduction da ^ociét-u tra<a&ooéarii(|ue d infunaaSions Sui* note dki réponse do l'Ënueuto telle qu'elle ét5 traœm.so patr l'Agence Ha vas. M. Haï mon est du nombre der> persomialitéB ail mandas qui ont suivi de très près peaicki lis dtx c6jjrnièiX35 auiuios la politique étiu, gère eit) y ont collaboré jutsque dans los d ta :ls. Il a déclaré que 1 Allemagne et s a Aies ont commence j, délibérer sur le pr jc-t d offre de pitex dans ks derniers joui tî octolja\3. A ce moment déjà on avait < haut lioui l'intentioQ avérée de faoïe ui tentative franche et sincère en vue d emp eh** une iuutâle effusion de sang ultérieur Icfecrro^ô sur i im.prv.s>.sion générale qu pr«*lfuùte la note ce •r'Entenite} M. Hamma a dit : — Pour résiumer mon ft}>préciation d'u seul mot, je diraa qu'au lieu de prend] plaoo à ta. table de La pabq, l'Entente s'a assise sur Je siè^e du juge. EIL^ semb' n'avoir riea, oublié q;uâ fût do nature à faii impression- chez les neutres. L'ineistanoe t la nute do réponse à poirier de la queede de, natiocuiih s met en lumière les mo^er cuipflwjT^ par l'Entente à cet effet. El! s'imagine pouvoir, en invoquant ce prii cipe, faire appel' aux peu^iles neutres coi tre nofus. Or, on' réalité, aucun peuple r joat mieux qne le peuple allemand avo do ce pruncipe une compréhension exact! au cane ^wcule nation civilisée n'ayant ai tant ecmffert ni autant lutte pour le faii [rio.oplier, pour ne pas être englobé o morcelé p{*-r ses voisins. Il n'est pas un grande nation qui ait moins à crai'ndre 0 l'application' du principe des nationalité que La nation allemande. L Allemagne g déclarerait pûrfaiteînent tfaocord s'il venaj a ' ire appliqué tin l^gypte, aux Indes, a Maroc, on Irlande et chez, les Boers, sa-n parler des peuples de la lJjus,sie. Durar des gicles, l'Allemagne a été maltraitée pa Voisin» à oiujse de leur méoonaiaia Kinco du principe dhs nationalités. Ea 1HGC, il y a donc exaet^ment cinquante an# elle a contrainte, Napoléon- III i'om géant, de laisser inscrire dans le traié d I*ai\- i)e Nikolsburg /une clause qui laissai oaverte aux Etats du sud do l'Allemagne 1 droit do conclure une alliance spéciale; oi 1 arrière-pensée maîin^se qui imposait cett clause était celle de. La constitution d'un, nouvd'e Pécl ration du? Rhin/' — Et la libre existence des petits peu pies 1 a demandé à M. ilamman son inter iocuteur. — File aufesi a ét-é illustr^-e d'une ma lière curieuse par les événement», au- conr îo la présente guerre. Il ky a peu de se naine*?, lp chef du cabinet anglais disai jue le malheur de la Roumanie provenai t'ufte ,,.£rro?sière méprise". C'e-t par e:ti ,méprit' qu 'une nation entiè re a été pion ^ée dans la Ofrsèro. La Roumanie a ét X)u^5sée à la guerre par des manmrvrc: ouches de toute espèce. Et voyez la Grèce / Entente y a pris possession, au mé.pri hi droit des gens, des ports, des chemin; lo fer, des roseaux télégraphique», des bu eaux do postes, de régions entière»; elle ^ l mis brutaJeïnont la main sur tout ce qu touvait lui servir et a extorqué au pays >ar le blocus et par la faim, la cession d< c qu'elle ne pouvait, lui prendre. Que dite^Lvous du reproche fait à l'Aille-na^e d'avoir, penidan-fc la semaine critique cî< ni Met 1914, opposé un refus à la pro^pô. i^-ion anglaise de convoquer une con,férenc< k d avdir ainsi rendu la guerre inévitable * I^a proposition d? réiinîr une confA-•once nous a été fuite j*ir M. Oiety le !<ï juillet. H projetait d'inviter les re^yrA-de la FYonce, de l'Italie et dfc l'Allemagne à ouvrir aveo lui une ooîi reneo en vue de oùercJi^ une issue pa fique à la situation «ii'ficiie du moment. 1 condition préalable de la possibilité d'u Ijar.âllo ooniéreaice eût été que le cabinet ^ P £ix>grad on a^Toarvât la convocûtio Or, le 27 juillet, Al. Sasonof répondtvit termes tout à f:ût èvasite à la proipo^itio eai invoquant l'existence de pour parle jmj qu'il di-^ût avoir entamas doais le» ooth tions les plus favorables aveo l'aiûbufcsace d Autriche à IAôtersfco^arg. u,!. Le lendemain, M. Grqy lufl-m^ae se r; tni- ^ niaiiière de voir de l'Allemagi i;<*> limait qu'un accord dir*-t eaitie Vkai et Pétarsbou^gi aia*ait une efficacité pl lo pr'oni^>to et plus sûre. Le 2i* jixiHe<», on et *m- CxV*y •âlégïapliiait ii son ambassade inJ6 M. Crosohen : ,,Aussi longtemps qu'il ex LOa tera une chance de provoqi»er uns échîiu de vues direot entre T Autriche et la lti uis 8'e' j° négiig®rai toute autre propositio [>a* éiaot, doiuué que je m'accorde connplè*aoie cet iL P°nser que ce»<je vodo est préPéi-abie à tonv îhe ^ fintres.'' On no pout conseiller à peraon-Uù uKiyen meilleur d'avoir des édairci«ts rie 8ur œ» points que la ketare du Liv Bl^u anglais. jnl t i}Li x&i e, il me semble qu'en g^n^n la, c'est faire fausse route que do cnerciier 3nt cause vtiri table de la g*i«rre dans 1<*> ôv re- non i ente do !»a dernière semai, ue de j ;ilt >es 1914. A ce momeo»-ià, ce n e^t que le du lc nier choo qui s produit et les ca. s< ice vra'ies db oonfilit datent <îo (fort longtem^ er- «-vanti. Depuis la conclusion de le .ton» io- anigio-française do 1901 était éclose, en «Franc '.u- ^u,te une litbératuie qui remettait ouvert; ,ar meit et netKenrent en question la. eonqr:^ 5nt ^3 l'Alsace-Lorraine et faisait tout ïkx la.- iiutousior aux loc;o.;rs français l'idée de 1 ii fénoritô de l'ÂMemagne. set ^a ll°te de 1 Entente rappelle qu'à 1 dernière Conférence de la paix, pAl emagri la avait montré de la méfiance à la propos: ra. 'ion do désarmement. Il y a li uaie eireu nd er\ 06 Bon? que 00 n'est pas lors c»e la dej ,ut n.ièi'e, mais bioni lors de la première (.>x fiémance de la paix. A cette éi*>que, l'Ail irs savait [Xïrtinemment c;ro la propos ça tioa de désarmement était s^eialeuie <t di rigéo contre son existence. Après avoir tra de après la guerre contre le JapjOn à so; yi_ renforcement économique, la Russie ava ir_ mis un© diligence croissante à augmenter 1 N<i force do son armée. «o- Lorsque l'Allemagne eut appelé au servie 35,. militaire do deux iuw l'excédent de s^s hou meej, la Fîrauce décida, pour la drpasser, entruner son capital dfâ foi-oes poi*uilaircs e mtrrtiiusafl.t le service militaire de troi uis. Six noû a vent le débpit de la gme-T actuelle% le» écrivain» militaire» françai spécialiste» exposaient ouvertement pourque «. des miilianfe et eivcore des milliard^ (Far su. fr:Larais avaient été envoyés en Russi >u et (jwalles conddti;>ns la Fra?kce avait posée la à leur envoi. En échange de ses pr^s, h la France exigeait la construction de chemin a ^e for et die routes stratégique». Les écri u- vains dont je parle «qK^uiant lon^çneonet! o- que ce n'était pas Varsovie, mais bie: at Grodno et Kowno qui servtrmemfc de bes< a- à une éveotu^ile in<jbilisation russe, le; a- corps prussiens do Konigsberg et d'Alleu es steilï dbvanù Ôtre de la sorte plu» rapide 0- ment battus et la route de Berlin r^odri-c» libre au ijrofit d'un allé^ment db tâchl sn pour l'armée française. C esi d'ailleurs m le la sorte qu'on a procédé au mois daoî; ù- 1914, ou tout au moins qu'on l'a tonié. Au. d. jourd'hui, on veut faire croire au monde a une si l'Allemagne s'était p*^paréey, Cétail n non pas jx>ur ss protéger (K«itre une coali rion agTOîsivci, mais pour écraser 1a Fronce! n Et ces affirmations, ce sont ceux-là mcm« ■e qui ont promis aux Russes la conquête et u la possession de Constantinople qni les for-e mnlcnt-. Cette prcmo>^, ré voilée 6 la tribune 0 «e ta Douma de P Empire par M. Trepoff, iâ la note do l'Ente»**, il est vrai, la pas*^ n sous silence, de même qu'elle glisse pru-i.s dominent», après avoir signale les événements e diplomatiques de fin juillet 1914, sur l'évé. 1- ue;oent d^ci^if, à «avoir la brusque in4cr-l- ruipfion1 de toute tentative d'intervention- pro. e voquée par la mobilisation russe, quel am-r bvasodleur anglais à Pétarsbourg lua-piSme 5, avait à plusieurs reprises d<xionseill^e. i- —Trimez-vous, dans ces conditions, que e l'indliqnation morale dont est empreint le a ton do la note de l'Entente soit sincère î e — Certainement. Je suis du même avis e que M. Bernard Shaw, et jo vois dan« la s siucérité de oetto indignation morale» un • nouvel exemple d'une concordimce provi-t deutiélle entre l'es intérêts et les idées p >li- 1 tico^murales de l'Angieterre. Déjà l'His-s toirc nous avait appris ii, connaître cette io-t dignation morale. lorsque les Prussiens et r les Autrichien», envahirent le Schleswig- - Holslein pour porter secours à leurs com-i palï-ioU» et combatiiro auxi c.'.t's <Iq I'„lmtjen6a" schle»wig - holsteinone peur - l'indépendance d'un peuple de race aile-3 mandr, lord Palm eus ton et lonî SJiartsbr.ry t ex [.rimèrent san^ hésit»or, à ia Chambre des e lords et à la C^hamljTO dbs. commune», cette , même indignation morale et y prononcèrent & les m-'nie» parole» sincères, partant d'ou-ï traçe, de violence et de ,,most covvardly and frighfull atr'jcitic»*,. Tout aussi sincère encore fut l'indligna-_ tion die sir Edward Gre, le 29 juillet 1014, lorsque le chancelier allemand lui fit. sa-. voir qu'en échange do l'assurance db la 5 neutralité anglaise, l'Allemagne s'engagerait - à n«i viser aucun agrandis ement territori.il t au diptriment de la France, mQme si elle t soi tait victorieuse de la guerre. Sir Edward > GrCy a dit de cette offre qu'elle constituait . une proposition honteuse, un marchandise 3 sur I ? dos de la France. ; — Et le repi >olio consistant à dire que l'offre de paix allemande n'a lias do valeur , tangible ? 5 — Sa valeur tangible gisait dtois le fait . que r Allemagne se déclarait disposée à communiquer ses conditions do paix au i cours d'une entrovne avec los d-'l^ntfs de F Entente. Celle^i a refusé cette prop« si-i tion, mais il me semble ressortir clairement do sa note que la pfns^-e rte l'impression que 6on refus produira chez les peuples neutre» lui cause un grave souci et la d-V prime fort. Il semble bien que l'Enteito ■ ait eu oomraa une certaine crainte (Fôtro informée de» conditions des Puissances» OeiL-traies. Les inspirateurs do la note cr.i.in-dra;ont-ils par hasard que les conditions de» PuiRSiino*1» C entra le» «oient tetiement raisonn/ible» et tellement modérée» qu'ils n« V- puissent plus ensuite prendre la respon &i- bilité d!'o[/poser un refiw à ces ewiditâi -a cosorètes, étant donné le désir die paix ne leurs propres peuples 1 Quoi qu'il ea soit, nos ennemis aurai n. tiut preuve de beauenfup [ilus de frat;cii ai s'ils avaient dit carrément Il nous p: n, d ai-.tendre, vu que noue espfrous tou>> r«s |ue amis ne devrons jiu» n4^oocerf ^[ue la li- jKJurrans au oo«itrair» ikc*r 'os CWCtvu or de la ]«aix. Pour éviter cet aveu gAaa l'Entente se pose en ji»ge« Or, tout ce < il- lui a valu cette attitaiift, o'est viaiblaroii a, qu'aux youx du moode entier sa respoa ne bilifcS dûn» la prolongation de la guerre, l< 'is !e s'atoénuer, est devenue îmmcsif^uiejnit p, lourde. J Quo'.le réponse les Puissances centra - donneront-elles à ce te note T ?o — N'étant plus en fonctions, je ne jt savoir ce que projettent les milieux offioiç fe sais en revanche le sentiment que te "t les Allemands et tous les citoyens de» pu s do ucs Alliés éprouvent à cette heure : *e réponse à un langage aussi arrogant va e- soi." te i DANS LES BALKANJ a [v EN GRECE > Pari»,. 4 janvier : » On mande d'Athènes an „Journal" : » — Les anciens présidents du conseil e lo» chefs des partis politiques ont été rc*; o, par le roi Constantin. Ils .fit unanimenu 3- déclaré que la note de l'Entente ins n ceptiabie." r L_ Paris, 4 janvier : D'après dt» informations envoyées d'Atl a ies à la iiresse, le roi de Grèce exige Q iuQ l'Ejiteate garantisse entièrement l'in L. gnté du royaume, y compris les lies. r Les journaux d'Athènes déclarent que .. les AlUiCs rejetaient ht contre-proposition _ la Grèce, il ne resterait- au Roi d autre ebo u <jue de convoquer le Parlement pour dise [.* ter l'ordre dli jour suivant : ,,Âlol>ilisati( le toutes les troupes helléniiques confie 1 prétendue» puissance» protectrices de i Grè«e". 1 Milan, 4> janvier : 1 Oi mande u Athènes au ,,Corrier0 del ^ra" que la presse et la population gr,; c ques se prononcent de jour en mu- pli ' fortement contre l'acceptation db laderniè 1 note di 1 Entente. Le gouvernement gi 1 9ou-ièvc d'innombrables qatestio-is et dematu ' que diff rente points soient précisés. K-;ai - rnoins, l'opinion publ que trouve, que l'a ^ ofiodo ora cabinet est encore beaucoup tr<. i conciliante. M. Rhallis demande que la Chambre so 1 réunie. • Le roi Constantin discute avec ] lusieui <- anciens min'Stres. 5 En somme, le oorrespoida'it du „CorT:t-i • délia Sera" est convaiaou que la Gièce ». • i la veille d'entrer ec; guerre contre 1 Ea 1 tente. i Ivondres, 4, janvier : On mande d",Athènes à la presse : -- D'après les journaux de la capitali s los personnalités consultées par lo rovCoi i etintin refusent en ordre principal Jos o-s gence» de l'Entente qui ont un earactèi s milit/iire. On ne croit toutefois piis qu'u accord1 soit impossible. M. Zalacastas, ministre des affaire** étrar gères, a informé les journaux que le goi vernement répondrait rapidement à la not de l'Entente, en vue d'amener la promji levée du blocus. Il .a déclaré, en outrt qu'il discuterait avec les ministres de l'Eu tente avant de rédiger définitivement la ré ponse do la Grèce." Lugaino, 5 janvier : T) après des informations particulières AI. Somilno, minière des affaires étrangères a déclaré expressément au dernier coii»ei les ministres que l'Italie avait réservé s; liberté d'aedon au sujet do la Grèce. Milan, 4 janvier : Le „Seoolo1 apprend de Paiis que li presse irançaise juge très d^favorabkmoiU L réserve montrée par le gouvernement i;aJien vis-à-vis do la note eue l'Entente à la Grèce Manchester, 4 janvier : Lo ,,Manchester Guardian" fait remar quer que la note de l'Italie à La Grèc< oons'itue le premier document diplomatique qui constate une divergence de vues entn les Alliés. Le gouvernement du roi' Constantin ne jouit certes pas des sympathie? de l'Italie, mais .celle-ci n'en a guère da vantage }X>ur M. Venizelos. L'Italie n'exige que U r.eutr"'li:é de la Grèce; pouu elle, îe-seules choses importantes sont les questions intéressant, les Balkans et la partit orientale de La Méditerranée. Le» hommes d'Efcit italiens estiment que les exigences d* l'Italie à ce sujet pourraient amener ul conflit avec la (irèce. Ce n'est pas -e hasard qui veut que l'Italie ait choisi l'heure présente pour insister ouvertement sur la dualité d'intérêt qui existe entre elle et la Grèce dans les Balkans et dans la Méditerranée orientale. Quant à l'avenir do la Turquie, aucun îles accords intervenus entre les Allié» n'a été dévoilé, sauf celui qui attribue Con-stantfnople et les Détroits à la Russie si elle arrive à les conquérir. Il serait néccs-«îire que l'Entente précisât le plus vite p s. si Me ses pro.iets relatifs à la Turquie. D«. multiples indice» font prévoir que l'Empire '>#chian- imterriie|ndra lamefaieint dans le» dernières phases de la guerre et il est dès lors naturel que l'Italie fasse valoir ses oxigxjnccs en temps voulu. Athènes, 3 janvier : Le blocus continue. Les autorité ont reparti des cartes donnant droit h, 130 grain, 'nés de pain par téte et par jour. Lo» navires italiens sont prêts à quitter io Pirée. Milan, 4 janvier : Ou mande do Londres au ,,Secolo'' que, étant, donné les relations étroites du „Daily Mail" avec de hautes personnalités du cabinet, si propagande ea favetar de l'abandon do ^expédition de Salonîque a produit une grande impression. Milan, 5 janvier : L'nItV ia ' apprend de Sa lon i que que le feu do l'artillerie ennemie angmonte do j jiïs; en jour d intensité près do Monastir. dl« auUM-iiés serines ont de nouveau quittée dernière ville- Sur ton» le reste du ft ent macédonien, la menace quo constitue l'a is» vée de renforts ennemis s'accroît, ait Le nMessag^o" écrU que l'Italie a îrs voyé de nouvel'es troujiets à Salonèqu©, kw i ennemi prépîire une forte offtftisivc. P i»s de Monastir, des détachements avances nt, troupe» de l'Entente se sont retirés souc lue pression ennemie. *it EN ROUMANIE >»n Odessa, 5 janvier : us Divers journaux annoncent que la fc de la population roumaine hors de» tei le* toirc» menacés par l'ennemi prend de» p portions extraordinaires ; la plupart < lis réfugiés sont dans un état mifiérahîo Is. souffrent de la faim. iu» I>a population de Galatz, en proie à i.vs panique, quitte précipitanMnent li» ville. La A Brada, le® autorités seraient ttussi de fuite. sljr'MER Genève, 4 janvier : Des informations do 3our"o française i nenceat que le paquebot français ,,Rouen 'pu faisait le service de croisenr-auxilia et avait lancé un radiotélégrammo de < et !'<cs«e dans la nuit do vendredi, a ète t ue ct d-vtiuit) peir une explosion. Le p< tut sapeur a été remorqué dans ]q co-ti lc- Oiespjpe. Bergen, 4 janvier : Des officiers du va^jour „Teskax", U è- I/'llé i«r un sous-marin alïemawi alors qu ra lais.ii t route d'Arkhangel à Londres, sa é- arrivés aujourd'hui à' -Bergen, m raooo« que leur steamer a immédiatement coulé p si '1J1° njer houleuse; un des canots de sa de v^tage a chaviré et les autres étaioiit périi lorsque les naufragés ont été recueil u- par le navire à motejur norvégien m, vardf' et débarqués à Bergen. ^ JiOndres, 4 janvier : LI r. ds annonce que îe vapeur françc ,,Léoâf" a été ooulé. [L'équipage a sauvé. Qa Lxjndros, 4 janvier : ~ Le vapeur anglais „ Baserai g" et. le v 'cc norvégien „KiKk", jaiugoant 003 to ^ nés, ont été coules. L'équipage da,,lvilii< , a été saitvé. le i- Lonure», 5 Janvier : t- Lloyfts annonce que les vapeurs &Xy -P ,,Dimitros" et ,,Aristotieles", ainsi que mpeur espagnol „San Leandro", ont é i» couli'e. D'autre part, on croit que le vape-i norvégien „0dda'' a été .coulé, s Le vapeur norvégieni ,,Borre" a coul •e Christiania-, 5 janvier : ,t 1> aj.rés l'„Aftenpo6t", le capitaine c vapeur norvégien ,,Rogn", qui a été ooul annonce que le trefic entre tf Angleterre la FV;\nCo somble (Mro interrompu etice m< mont. Précédemment, on rencontrait .k> r i-leme;t do nombreux navires eau6 b pas c s, Calais; aujourd'hui, on ne voit aucoii ni i- vire dans cette région, mais on y rencoi t- tre de nombreux sous-marins. ^ Londres, 4 janvier : Lloyds annonce que le vapeur „ Frédéric' de New- Yorfc, ;augeant 1,872 tontice, e considéré comme perdu. ^ i-a vapeur espagnol „Peiajvo", jaixrwu e 1,611- tonne», et le vapeur brztannn))BQ „Se| ^ bisloii", jiugeant 2,931 tonne*, sont ion< ' ment en retard. DÉPÊCHES DIVERSES ' Bruxelles, 5 janvier : ! Le baron ^ von Bissing, gouverneur g*én<! ra! C!« Belgique, esi parti aujoùEd'hui poiv 1 Wiesbaden en congé de convalescence. » . , S# • Pans, 4 janvier : b les jourttaux annoncent qae le généra k do Cac*eeh)au dirigera (K'sormais les-opération , sur le fronit du nord d'accord avec le ma rlchai Haig. * _ . . » * Paris, 5 janvier : Soixanto-huic dépttls appartenant à la mi ! noi ité socialiste déposeront à la Chambre ; le 13 janvier, une demande d ixtterpa Latio; ; relative à Ja réponse du gouvernenssnt i l'offre de paix des Puissance* centrale. * Zurich, 5 janvier : Les journaux Signalent que les groupe ; socialiste» des pa^ys neutres o«it l'inlentioi d'exercer une action commune auprès dp, parti® socialistes français et anglais en vui , d'amener des pourparlers directs de paij : entre les bel'igérante. ♦ • + 'l\inn, 0 janvier : D'après la ,,Stampa", îe Pape n'adres sera une note aux belligérants que lorsqn< ceux-ci auront déclaré, jvar l'intermédiairt d'une puissance neutre, qu'ils sont disposé à entamer des pourparlers do paix. * * * Muta, 4 janvier : Au cours de la nuit do mardi ài mer-crerîi, un violent tremblement de terre s'e*i prodrrit dans les Abhruzzes. A Avezzomt, à PeBcina et A. Ajelli, localités fffii avaieni le plus fortement souffert du tremblement de terre do janvier 1915, les nouvelles constructions ont été endommagées. * * * Madirid, 3 janvier : Lo ministre do la just:oe a invité le» procureurs du roi et- les ttribunaufx de première instance à poursuivre toute tentative de la pre-sa popvant être considérée eoflnme offensante pour le» pay3 étrangers et leurs représentant».• * * Londres. 4 janvier : ia* conducteurs du Métropolitain seront remplacés par des femmes. • A Amsterdam, 4 janvier : Ixs journal ,,Het Volk", jouvnai socialise, annonce que la carte de pain va être établie. Chaque habitant, aura droct à 400 Grammes de pain par jour; ceux qui four-niseept un travail pénible recevront une i^a-tion supplémentaire. E COMMUNIQUÉS OFFICIELS OUi - - - n. ni. rri- . . ... . rri- Consia&içaés des Pui^ejiaces Central eu- - ^ Berlin, 5 ;onvi«r. — Officiel de ce tniil d!ô Théâtre de la guerre à l'Oucef. , la A ofeuiçe du temps défavorable, 1 acch le l'artillerie s'est ternie généraLem«nit cb uee limites modérées. Diwifi piu^aeuurs secteur» du front, cte tites o|>érauocs de patrouilles ont été fr ife tueuse». ri~ Armées du foiomaréchal prince-hérii ^ Rupfrecht de Bavière : L»<s i>Hnchffneiîts du régiment ù^infan rie n. 153 d Altenbourg ont pénétré ce o un jusque (kns La quatrième tranefaee i aenue, à la lisière orientale de Loosj ont infligé des pertes sançlantço aux / glai» e2ij débiayant plusierurs boyaux moyen d'explosion»; ils ont-, en outre, mené 5i yiisonniers. ThéÊtre de la guerro à l'Kst» Front du féWmaxéchal prince Léoptold ^ Bavière : " Entre la côte efi Friedrichstadtt, duel d'; Tç tiHe.'ie, violant a certains moment». l,v. AujourtVbui, an lever du jour, des 1 ,r_ Hiilons russe» ont attaqué de» parties ut notre position; le combat continue enco En mvt-re, les Russe» ont attaqué vaineme à différentes reprises — en mettant en lig un grand nombre d hommes et en «nployi uno for» quantité de munitions — lîilec r- nous leur avons arraché*) et qui est sit\ il au nord-ouest do Dvrmsk. nt Front du ^néral-colonel archiduc Jo/3epl ^ul Sur la Bistritza dorée, violente cani ar nade. u" Don compagnies et des détachements 9.a rcconaiaifesance russes ont prononcé des ,us .aques entre Czakanesti et. Dorna-Yatra; < .attaques ont échoué et coûté do forte# jx tes à l'ennemi. Dans les montagnes situées entre la fre is tière orientale de la Transylvauie et 1 ^ faisêwnent d» Ut Sere*h, les aUaques des tre l>es allemandes et austro-hongToisets co battanit sous le» ordre» du général d inff teâo von Gerok nous ont oncoie valu h: rt- d'impartants gains de terrain. Plusier a- centaine; do prisonniers ont été faits da " les positions conquises. Front du fold-maréchal von Mackenser Dans le massif montagneux, au not 5S ouest d'Odobesti, un bataillon vvurtembot le goo's àa troupes do montagne, ainsi que d to chasseurs du Hanovre, du Mecblembou ir et de la Bavière ont pris d'assaut, sur i hauteurs, plusieurs positions retranchée». 3. Dans- le «eoteur de Riimnicul-Sarat, lo i g knout d'infanterie n° L52 de l'Ordre teut iu(juo de la Prusso oooidlcntale a pris d'à sau-t Slobozia et Pirotesti. ' Au sud' de: Buzauil, la [losition russe 1 * této die pan* do Brai la a «tô percée par d J~ vision» ctilsmandle», appuyées par de» fc : liullrsts aiustûxvhongrois. ^ Après un violant oombot do maison maison, nou» avons conquis Gurguwti l~ Romamil. Quatorro cant« prisonniers six mitrailleuses son< restés entre les maii de* vainqueurs. », Sur la rive droite dm Danube, de» tro it pe» allemande» et bulgaaxs avancent si Braila et sur Galaiz. Front macédouieta. * Riija d'essenteel à signaler. • * • Berlin, 5 janvier. — Officiel d'hier soir Aucune activité no8ab»o ni à l'ouest ni l'est. En Roumanie, les combats ont repris long do la Screth. * * * " Bedilni, 5 janvier. — Officiel r Ive sous-marin allemand ,,U.-4G", qu'u radiotélégramme anglais de Poldiiu du 21 d< ceml*re 191G disait avoir été coulé au larg j do SointrNStenire, est rentré sain et sauf s son port d'attache. Il ne peut être davar tage question d'un autre sous-marin a-Uc m ami dans cette perte signalée par l'ennemi • * * Vienne, 5 janvier. — Officiel d'hier midi Front de l'Est. i La Dobroudscha, à l'exception d'un i, étroite bande do lorrain se profilant- vw Galatz, est délivrée die l'occupation.' en Demie. Dans la plaino roumaine, abstraction fait i d'une infructueuse trwtotive de la cavaleri i russe, qui essayait de tàter le terrain pré 5 cédtinti nos positions, aucun événement par 3 ticuilier. l A l'ouest d'Odobesli, nous avons1 francb le Milcovul. Près de Sove.ia et sur la rout de l'Oitoz, des positions ennemie» ont ét prises d'assaut. A 1"ouest de Valeputna, les Russes s< * sont emparés d'une do nos tranchées. Par ; tout ai.leurs, dan» le nord-est-, rien d'un portant. Fronts italien et du Sud-Est-. Aucun changement-. * m Sofia, 5 janvier. — Olficiel du 4 janvier Front macédonien : Dans lo coude formé par la Czerna et 1( long do la Strouma-, l'acuité do l'artillerie est devenue plus intense. Une compagnie ennemie renforcée d'un peloton de cavalerie a tenté, à deux rejn'ises, d aliorder le village de Ku-pri, dans la plaine do Sérè». mais ellle a été miso en- déroute par notre feu. Front roumain : Dan» la DolToudscha, la suite d'un combat extrêmement acharné, nous avon# brisé la résistance désespérée que tes Rw--?ornons opposaient encore dans le secteur de Macin-Jijila. Des eiîtachements de la 4e division de Pref^av ont enlevé JijHa à la ba emnette. Après un combat âpre c!t sanglant, lea troupes ajliées bulgares, ottomanes est alle-mandles ont fait leur entrée à Maein. A l'heure présente, nous comptons comme pri-»ouniers 10 officiers et 7D6 hommes e< comme but?n 6 mitrailleuses. « s s 4 janvier : PVont du -Caucase s Les opérations mifi. i : taire» «ont forcément ralantie» par suite del oontinuelicB bourra.*juee de neige. feur 1® autre» fronts, aucun événement Mis important. ^ Communiqués des armées alliées Paris, 4 janvier. — Officiel de 3 heures t '-er Nuit ca!m<^ sur tout le front. % • * te Paris, 4 janvier. — Officiel de 11 heuiear, Entre l'Oise «t l'Aisne, uous avons dls-pers^ une rooonnaiss;uice ennemie au m>if| ils de Fontenoy et fait des prisoiuikxrs. n- Lutte d'artillerie as«ez violente dan» le au secteur à 1 ouest de la route SouaiiinBomn»#-fa- l'y efi dan» les régions do la c<Ko du Poivre. Canonnade habituelle s/jr lo rc»to du front. ^ Aviation. — Vers 5 h. 20 du soir, uni avion ennemi a lancé deux bombe» sue; Compiôçjne. Uno personne a été ble»s*€W r- pas de dégâts matériels. * i» U Londres, à janvier. — Officiel du soir: Hier, nous avons attaqué avec suceès leis ' tranchées ewnemiea au noi-d est d'Arras. ' Au petit jour, non» avons pénétré à deux 0 endroits dans les positions ennemie» da*n» 1111 1^ voisinage d© Wytschaete. y A l'est d'Armentières, après lui violent bombardement un détachement allemand ai tenté d'approoher de nos tranchées, mais \\ 1 : a été repoussé aivec pertes avant d'avoir pa m- atteindre nos lignes. Aux premières heures du jour, l'ennemi de a fait sauter une mine au nord die 1a ra* at- doute de Bluff. Pas de> dégâts. :es I'rrs dl'Ypras, le feu ô.ï 1 arti lerie oane-r- mie a étt* très violent.. Ai leurra, ctvsonna«Qo intermittentes de part et d'autre. »n- • * » if- LcwidlrQ», 5 janvier. — Officiel del'Amî-<u- rauté : m- Le 1er janvier, par un gros temps, lg in. transport ljuâtaao«que „Iv0tnia" (14,iî78 ton* er ne»), do la ligne Cumud, a été coufté, dua» rs la Méditerranée, par un sous-marin ennemi; ns 112 soldat» et 55 hommes de l'équipage ont disparu. * ' Rome, 4 janvier. — Officiel da grand ^ quartier général : r" Sur le front du Trentin, l'artillorio ennet-m mie a bombardé Volo et Arziero, daâi» lai L>8 vallée d'Asçwoh, ain>i qu'Asiago et Gallio; 03 elle a été réduite au silence par le violent contre-feu de nos batteries. Sur le reste du front, duel d'artillerie, [jorticulièiement vi(»lent sur lo Karst, où |S~ nou» avons culbuté la défense enneimio près de Jukatà, au sud-ouest de Casîagnavizza. *o « 2C ® * ^ Pétrograd, 4 janvier. —. Officiel du grand état-major général : ^ Après une préparation d'artillerie, nés c't <rou[*?s ont attaqué lai hauteurs au sud de ct la viLlo de Batogu en ont bousculé Jf. po-sition de l'ennemi, qui a opposé une résisL tanco opiriAtre. Nous avons fait (DO prU ^ ponniers et non» somme» ejmiparés de 8 ea-tt nons, d'une mitrailleuse, d'un lance»mines et d ' un laiwo-lxwi l es. Nous avons repoussé avec de fortes perte» pour l'ennemi six attaques acha.rnéea contre nos tranchée> au sud-est de Ta-rgu-Ocna, dms la valp'e de Trotus. Doux attaques dirigées contre une tfas / hauteurs au noixl-est. ae Sosmezo ont été tV enrayées par noire feu. , Sur teut le front, depuis Foc»ani ju£» 0 qu'au Daaube, feu réciproque. Dans la Do-broudscùa, noua avons anéanti un poste bulgare au cours d'une attaque ce noi t. Hier matin, l'ennemi a prononcé, dans la région- de Marin, une attaque qui a été - repoussée. Plus tard, dans la journée Ven-e nsini a renouvelé son attaque et a refoulé à nos troupes, qui ont commencé à so reti- - rer vers Braïla. Des attaques ennemies sur les hauteurs à . l'est de Veeerini, à 15 verstes à l'est «îe Br.aïla, ont ^té re poussées. . fgfrr'f^niT'iiiir-T- "ni r ii iiiiinTfînHiiii ■„ , ,,j Dépêches Diverses 0 J s Berlin, 4 janvier : On annewice officiellement quo le tsar de Bulgarie a fait le 3 janvier un coaa-t a jour au grand quartier général allemand. ^ Le souverain s'est entretenu pendant pluh . sieurs heures avec l'Empereur. n m * Vienne, 4 janvier : 1 M. von Bethmaiwi-ITollweg, chancelier <Ib } l'Empare allemand, a autorisé le correspond 3 dont berlinois do la ,, Nouvel le Piesse Libre" X publier ce qui suit : 3 — D'accord avec nos Alliés, nous avong . fait ce qui était eu notre pouvoir pour . nous épargner à nous-mêmes et au monde do nouvelles effusions de sang. Si les pie. miers jours de 1917 ne nous ont pas o.icore rapprochés de la paix, la faute eu est. à no« ennemis. Oopnne par lo passé, notre dievkso reste : ,,Résolution et victoire certoirueP,« Quels que soient les événcnienits qui pfui/i, sent; surgir, iLs ne pourront aboutir qu'à resserrer davantage les liens qui nous unis-sent à nos Albes. Durant les années de guerres l'Allemagne et l'Autriche aya^tmia en commun leurs force» immenses, ont ap. pris à connaître ce qu'elles sont l'une pour l'autre et ce qu'elles seront à jamais. Koirel alliance constitue un roo d'airam aux pieds! duquel tous le» assauts viennent se briser. 11 en sera ainsi pendant- l'année qpii commence. Un renouveau do jeunesse souffle à travers l'Autriche-Hongrie; il nous conduirai à de nouveaux succès et à la victoire finale." Pans, 4 janvier ï Lo „Petit Parisien" apprend do WashingJ. ton que le président Wilson s'est longuement entretenu avec le sénateur fttone, jurc-sifîeut de la Commission dos a/faire» étr.m-gères, au sujet de la réponse de l'Ekifcenite à l'offre de [>aix Ais Puiseivnoe^ettnitraiQe. Il no sera fait aucune nouvelle démarche avant la récep'ion de la. réponse de l'Ep^» tente à la note tie M. Wileon. , JUUKl^AL UliUxUJIUlA» - L& jsJuinêro : il) Ikaiixaes 4' Ànm**. - M" 775 Mi—I1" l'Hi» ■ ■» I BF- ■ .rn —.Mi ijjt»_^iiijtiinjj^i^nLtiii1mmiiii1inl|i| u,.»n I L! il I I i «I

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This item is a publication of the title La Belgique: journal publié pendant l'occupation sous la censure ennemie belonging to the category Gecensureerde pers, published in Bruxelles from 1914 to 1918.

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