La Belgique: journal publié pendant l'occupation sous la censure ennemie

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s.n. 1917, 16 March. La Belgique: journal publié pendant l'occupation sous la censure ennemie. Seen on 09 May 2024, on https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/en/pid/v40js9jt7t/
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PRIX OES ABONNEMENTS UN MOIS (mars) . • ••••«.&. 9L55 Les demandes d'abonnement sont reçue* excbisi-veinent pa-• les bureaux et les facteurs des postes. — Les réclamations concernant les abonnements doivent être adressées exclusivement aux bureaux de poste, tD«ISISTR4T!0H ET RÉDACTION: 8H» Ko!)tagr.6*aux>tlorbos*Potagâ^QBl SiMixoStos* PRIX DES ANNONCES Petites annonces, là %no, fr. 0.50. — Rêdamm avant tes annonces, la ligne, fr. 1.25.— Corps du journal, la ligue, fr. 5.G0.— Faits divers, la li^ue, fr. 3.75. — Micrologie, la ligne, fr. 2.50. — ovin des Eleveurs, la ligue, fr. t =00. Bureaux de 9 à 17 heures. Direction ei AMnistiaira.! : tff 'i iV Vnb'-"* ■IOS. KORESSÉE, OIRECTEUH Lfi GUERRE G56' Jour de guefj'a Les opérations, do oaraetf-r© toii&ours local, se poursuivent» sur le 'root dans l'Ouest, entre l'Avro et l'Aisne ex» dans le secteur de Soissoné, comme aussi eu Champagne autour de la côte 185. Quoique opiniâtres et énergiquement menées*, 0£)i«vaLUrus n'ont entamé ^entablement jim-qu'ici les positions d'aucun des parus. En revanche, une nouvelle modfioatLn du front de bataille ©'eut produite en Picardie. Couverts par leurs arri.*re-gardt^ les Allemands Tint évacue sans dommage leurs pos.tions comprises entue le nord-esi de Gouimnpourt et l ouest de Bapaume, ce qui a permis aux Anglais de s'avancer aur la Lgiio Bucijuoy-Achiet le Pfltit-Greviltwr$«* L «norme saillant que les lignes allemandes décrivaient naguère à l'ouest de ht ligne &id d Aira^Sisl de Bapaume se réduit Ainsi de jour en jour davantage. On pourrait s étonner k première vue — la mant ouvre allemande d'évacuation durant depuis plusieurs semaines djv — que les Anglais ue parviennent pa* a contrecarrer 1 '6-ùécui ion des plans de leurs adversaires et qu'ils n'essaient |*as de transformer en une retraite précipitée leur mouvement de reoul- systématique et organsé jusqu'au» moindres détails. Ma;8 il faut tenir «fcunpte du tu t que les préparatifs d'offensive qu'avaient faits les Anglais ont. fc$e de-joue* par l'abandon volontaire des Lignes allemaudtes; en outi e, il «wt fort naturel que le gcaéral Jlaig soit résolu, pour éviter. quo la nouvelle tactique adoptée par ses adver*a res vienne à lui occasionner df auto es surpris a désagréables, à n'agir qu avec une ex'jvme circonspection. La manœuvre imprévue des Allemands a en; cjft'o» oréé en Picardie une si tuât» on toute nouvelle, dont, les oouséqaecoes itou vêtu être mûrement pesées. Les criques militaires en ont longuement disserté et il sembla.t qu'ils eussent tout dit à ce "ujet. Nous trouvons néanmoins, dans 1 „Ecltir" du 4 mars, un art.cle du général Perrot, dont certaines considérations sont intéressantes et méritent d'être reproduites • — On peut dire, écrit le général, que le recul inattendu des Alleffnànds a provoqué l'tt Kiinsinent de tous. Est-il, oomme la pr'îiidu le critique milita're du ,,Tunes le oommenceanen'o d'ua i**ïu1 d'enfiercible, d'un resserrement des lignes allemandes 1 C'est prendre, comme il arrive trop aouh vent, s*>s d*s rs pour des réalités è* l'on ; peut, sans crainte d'erreur, rassurer ceutx i qui, emboîtant le pas au oolonel Repiag-ton es le devançant méjne, craignent) quel les Allie© ne so'esifc i»as prêts à pousserai vigouKojsèment las Aiiewanas, Vep^e dansiez reins, jusqu'à la frontière. Ils peuvent quitter ce souci î Non, ko redit allemand sur l'Ancre n'est? pas autre chose qu un changement tout nnJ> tuiûl de la tactique de la guerre de tranchées tfui dure depuis 31 mois. A l'origine* chacun dos deux adverea'rc^ se croyait obligé de tenir, avec la «leruièret énergie, aur ses positions. Les progrès de l'artiller»e et la consommation de plus en: plus forte de projeciiles las ont ajuai<gi tous douix peu à peu à ne laisser dans les tranchées ue première ligne qu une faible quanti.é de défenseurs. Cette tendance s'accentue», voilà tout. Quel prix voulez-vous payer pour Ifoc-empatt on d'un kilomètre carré dans nos lignes d fensives 7 Est-ce 60,000, lOO.Ouo ou 150,000 projectiles, avec l'usure correspondante de vos canons ? Nous accepterons ou refuserons le marché suivant 1 importance que nous attribuerons au terrain ©xte ! Inutile de dire que «i nous (étions un kilomètre de profondeur d'organisations défensives, nous en aurons fait deux de p.lua à l'arrière de nos lignes actuelles. ToJlo est 1 exacte signification du recul allemand sur l'Ancre. Il indique un changement profond dans la tactique die dléfenso : c est la défensive en profon« inur remplaçant la déteusive sur lignes minces. Ce clmugement implique fos> e^meut des mockiications importantes dans Ja tactique employée par i'attaque. Nous allons indi<iuer quelquew-uus des enseigne, menis qu'on peœt en tirer : I>aus les o'.fensives d'Artois et do Champagne en 1«15, nous avons été arrêtés ;*i mouient où, en certains points du moins, iûs <i-fenses de l'ennomi ittuent peitoées ou sur la point de l être. L'erreair où est tombé le aonynaud'otfnenfc était concevable ; el^e ue le serait plus maintenant et encore moins pardonnable, car au lieu de fcroas à quatre kikmiètres de profondeur de défenses, nous en trouverons dix et) j»eut-otro davantage. Dans la bataille de la Somme, la concept tiom die 1 atiai{Lie a été toute différente. Ou a compris qu il fallait m>n seulement opére^ des tii« do destruct.on bien ré^lé^ »ar ieg positions qu'on se disposait à enlever, ma>s quJil fallait aussi et en meaue tem[>s neu-truL^ser le tir des posit'.oas situées dans un ravtm do 2 à 3 kilomètres au.our dwa [<>-■dtions à enlever et, m particulier, d^sniift; ou t^ut au moins neutraliser l'interventixïè ies batteries adverses à toutes distances. Contre œgô telle tactique, il n'y a qtr'uiîe œéthocie à employer : l'e.\ tension des en pr»>l'ondeuT, qui |iermet (fapi^ler à temp^ dfctf ùrou,|>es et de l'artillerie. (l'est ce quo les Allemands ont fait, fh, r>-risi's en cela par des circonstancs&a aur lequel les d est «nutile de revenir. L'exemple de la Somme a fait corn].rendre la n-ccessiié, pour .'atitin^ue, d'une prdj. giression tr»îs rapide et continue, iimm fc-but à atteindre «'éloigne de plus en plusi auctra résultat stratégique de quelque importance ne jHïnt ôlre obtenu, quelle que ®>'t consommation de projectiles. Ce n%|t pn« que la bataille de la ik«nine ait UtS^s-saii-e poar amener à cette Ci>noiusioiiJi!Eïis: elle a convaincu les plus incréuiudos.'v N* Paa^nt de là, te général renv)t critsiquo^ r> condamne tous les «yR<«\incs dT.îttUjiif in I piov'.'a jusrju'à présent dans fOuest. Tenait^ r inj^e de diverses considérations techniqnee^ trop Ion ornes h. dérelopjier ici, il u'eQ attend J pluis Atns l'avenir des résulrt»te pal pu.! li«!| Il préconise une m/-tho»lo »tr la/pi^Pe il ru>r. désire oas, dSt-il, s'expliquer dms nm jonr^ nal, mais qu'il rappel é avoir e,i déjii l'oc^f oasion de développer devant des hommes compétents. Il conclut pur ce rar»p«ji, disïuit que ,,1'état-major ne doit pa^ craint <ire de s'abaisser ®i accueilHn® et en prsçm ' soigaieaseanent les avis de© officiera de troupe infanterie et arti^erie.,, Les Gîîômears bslgss en Àllgmap] _, - • 'Berlin, 14 mar3 : Des Belge» notables appartenant auix ài-i iers jjartis se sont récemment adressa &£ M. l'Empeitittr pour lu prier de mettrof fin à l'envoi forcA d'ouvriers belges en Al-| iemagjne et (le faire rentrer chez eux ie^ Kelges qui y ont été envoyés. l^es signntjaircs *le cette demanda directement '-dressée à Sa Ma;esté viennent d ntr* ax i-| ses «pie l'Empereur a décidé de faire souj uettre les d<'« rs qu'ils ont fermai s l'eixamen approfondi du gouverneur ^Vu^rt» t des a/lïniniistratione compa tîtes lui m<Mn« se réservant d'e prendre une docision d^fini-fv tive. En attendant, Fa Majfesté a donné l'ordro; ie faire rentrer immédiatement en .î'.ciV-si aie, ;»'»ur ajitant que c li q ait pis «H' fait d j , l<« Jlel-jes envoyés en Allemagne parce fcu'ils avaient <t^ consajd.'rés à tutt comme •'hômeurs, et de Sih&petndie jusqu'à nrmve» •■vis les env^.fotc*'y en ALema^.ne de'Belges sans travail. ^""*"«*11 LA RËVOLufÏGirËîi~RÏSîf n iiiii ji, ny, , 0**^ Paris, l-i mars : I>3 „Temps" apprend de Pétrograd que la crise de l'alimentation semble insurmontable, étant dotmâ quo les difficultés de ransport et l'absence totale dl orgttaii-ïii.ion ne permettent plus aux vivres d arriver. Les nouve l^ de l'étrograd ét uaienD fortement Ij, presse jMirisieiHie, qui leur conm- ore de nombreux articles. ^ ^ Pétrograd, 14 mars : 1^. police a arivté sept membres die la Douma d Empire. »• • * Pans, 14 mars î L'Agence Pour nier apprend de Pétrograd que tous !>-s journaux de la capitale outi 'te suspendus. I^a K«/urse e<t ferui» e et le trafic des tramways e>-t Ricerrompu. Le général Chawalow, oommaj»ianjfe mi-iitaiie de Pétrograd, a lancé une proclama tion interdisant sévèrement tout raosemble- •nent sur la voie publique. • * FnancforD.sur-1'e-Mem, 14 mars : Ou mande de Stockholm à la ,,Gazette ■le Francfoitv : On annonce de Finlande que dimanche ^oir on ignorait encore à Uelfeiriglois les 1 roubles de iVtrogradi. Par contre, le bruit x>urait que, pour le c.t<s où elle devrait iuitter Pctrognid, l'ambassade d Angle ire a ioué plusieurs immeubles à ilelsiaafrrs. * • ^PCtrograd, 1^ niars : 1 ■ Pendant les troubles de ces derniers jcnys, 'on a proedé de L ">00 à 2,000 a ries a i ns I >ans la banlusuo de Pétrograd, le Citlme n est ,kus encore rétabli, f-c.s troulbles étaient aussi :irigés coritte 1' Ang1' tt\ne. Des b igarre; onr eu lieu devant l'ambassade d'AngloteiT^ « t » autres iimueuUes, dnuit les vitres ont, > t »ri«©es. I>es nouvelles inquiétantes arrivent 1er* antres régions du pays. Dans lo g» »u-eruesnoïit du Volga, do nombreux moulins. : rm'û^Uement ceux qui renfeiimaio; t de grands stocks de M , ont été inCjmdi -s jtir Us ro-ielles. Les dégâts s'élèvent, à d s c^n iiiiuas de miili»iis. I^e Coanité central do industrie de la guerre supplie les ouvriers l'oul4ier oe qui s'es't passe et de re rendre e iiiavail. Ce serait un crime coi.tre ^1 •lasse ou'vriéie et le |»avs que de dis^-erser es forces à l'heure actuelle. * • « - Copenhague, 15 mars : ^wD'aprs des informa.i<ms d'IIaparan^la, des voyageurs arrivés de Russie annonce it n © la révolution a éclaté à Moscou, à Pérro-.rrad et dans d'antres villes dui cen re«te U Itussie. Un voyageur qui se trouva t à Moscou raconte que, jeudi dernier, il adi, >>our attci wfre Pétrograd, voyager dms un :raiu militîiire contre paiement d une somme importante* Tout le trafic privé des chemins de fer est suspendu, fcameli dernier, Pétrograd a été le th'âtre do tr ubles sérieux. Dans les rues de la capitale, on a • reusô des tranchées et di*es3é des barricades.* Copenhague, 14 mars : D'après âcs nouvelles ultérieuies envoyées do Pétrograd aux journaux suédo.s. les révolutionnaires ont fait sau4£r sur la Me va le pont qui reliait les réseaux de chemins de fer de Russie et de Finlande. A la Perspective Ntewski, une f-iule im-menise s'était uuiss^e jeudi deni'er. Les 1 roupes ont tenté de h disperser et ont placé <ies mitrailleuses, do fa^ou à pouKoir valayer toute la rue. Surexcitée, la foule a jeté un gendïinue <\ bas de son cliev; 1, tué ,e eoldat en le piétinant et jeté son c dtivro latis un magasin. La troupe a alors sa! t* les manifestants et ' en a blessé cent cin-pliante.• Pétrograd, 14 mars : L'Agence Télégra.j*hi.|ue de Pétrogiadl an», uonce que lia révolution a éclaté à Pétrograd. Un cornit£ exécutif comjx>sé de t&yjaeJ membres de la uouma a nris |k*3«ïBi^ioia iiu pouvoir. Tous Ira ministres ont « té -ro prison. Les 30,tKK) hommes dont 6e compose la garnison ont fait cause commune ivec les révolutionnaires. IVs le troisième our dé la révolution, mercredi ou jeudi, l'ordre a été rétabti dans» la oapittle. Le iJocmitié e^éemif a conféré au député J3ngei-iiardt le commandement de la place. Pétrograd, 15 mars : L'Agence télégraphique de Pétrograd annonce que la population die P^rograd, irii-tée du (^-sor lre qui règtae dans le |<aysetde la désorganisation du service <îe transports et de ravitaillement, était depuis quelques jours déj.Y daus un ^t de grande SurevCi. iation. Elle grondiit sonrk>m,enit con re le gouvernement uu'eile rendïiit responsable d'e toutes las souffrances qu'elle endure. Pré-vo^an-t les troulrfes, !e gouvernement avait l»ris des mesures d^i^nSes à r.'tiblfr ! or-ire. [I avait notamment procédé la di ssolution de la Douma et du Conseil de 1 Era-p re, mais la Douma d cida, le 11 mars,, de passer outre à l'ukasé du Tsar er- do con-iuner à tenir ses eAances. F.t!è forma im-(aé4iatem<^^ «n comité exécutif composé de louze membres, tous La présidence de M. Ro<ls:anko, président cie li Douma. 'Ce 00-' mifcé «'est constitué en gouvernement provisoire et a lancé le manifeste soivant : — Vu la s t laiion (Hffi 'ile ci le dAsardrû intérieur qui est imputable à la poétique de l'ancien gouvernement, le comité e<(V>utif le la Douma s© voit obligé tle rétablir lui. même l'ordie public. U prend ce,tte décision en pleine connaissance de sa responsabil to et a la cer.itirde que la population et l'ar-mée l'aideront, dans cette situntion difficile, \ créer nn nouveau gouvernement qui, r«\o-lisant les désirs du peupla, se montrera digne de sa conflince. ' Le comité exécutif compte 6ur l'artpui d!e la i>opulaÛGn do la capitale en révolte et, sur la garnison de Pétrograd qui, forte de 4 [4us de 3fVH)0 hommes, s'est jointe aux | rebeilles. Le comit ) a fait arrêter t->u« les ministres et tes a fait- «ncar© Ver. La Douma a décrété la dissolution du cabinet. Auj^)utrd'hui, troisième jour de la r*^v°ln-ion, tonte la capitale, dans lapielle l ordre 1 «He promptement rérabli, e^t au pouvoir lu comitJ exécuitif de la D*)uana et des trouves rjtii l'appuient. Le oomitâ a nommé le député En^elhardt, c donel du- gra id Hait-m" j »r, commaaidiant <ie P 'tra-'r^d- Ihor •")ir, le c^r» tô a adressé de« ma.iifestea à la pnprl.ilion, auA troupes, au personnel lui cliGinin de far et des banque en l»riart de ret«rendre la vie ordinaire. Le dé. r-nté Oronf&i a été nommé direct^tr pro i- soire de l'Agetice télégraphique do pétrograd La gwerns WiWHWdrrfrre Berlin, 14 mars. — Of'iciel : De n ou venu, nos soti^-marins onfc coul'1 17 vajjeura, 2 voiliers et 3 chalutiers, représentant on jaugeage total de 48,15o tonnes. En ou re, un de nos sou&-marins a. détruit un {^it croiseur ennemû à trois cho-rnin^' inclinées, ainsi qu'un navire spécialement aménagé jxxur servir de ptège à «nis-marins. A bord de ce dernier navire, «lui éta.r. marqué ,.0 27'', nous avons tau prisonnier» un lieutenant^ un officier ma-r'trier et quatre homtuos, dont loi grièvement blesse,. 0 * » Rotlerd&m, 14 maiti : Les nav.ies su vants, qui onft pris la mer dans la période compi ise du 21 oc loue au 13 janvier dernier, s nt 6igual«& comme periua par Lloyds : vajH'ur an^las „ Adriatic ; (3,028 tonnes), charge de charbon; vapeur anglais ,,Oiaufe"; barque *ran-«.-aise ,,1'iiii-.' ('2,241 tonnes) ; va cor anglais ,,l'ianudu3" (802 tonnes), cbajgé do charbon. D'autre part, le naviro „Michael" est for.emtint en refcuxL «• 0 ® Rotterdam, 14 mara : Hier soir, lo chamtier à vareur ,yVlaar-dingenJ' ^LoO toni.es) a to ohé une mine et a ocnJe. L/équiioage a été sauvé. « • * La Iïajye, 15 mars : Le vapeur „La Campine" (2,757 ton-neS), appartenant à la Compagnie pétrnL-fre de IVitnograd, a étj |orpilliô dans la mer du Nord; l'éipiipagc toui entier, composa do 132 hommes, a éb débarqué pr*iS lia batiaau-pnaro de Doggerbank. • ♦ ♦ Londr.es, 15 mai-a : Le vapeur amerttcaiin „Algonqiiiàv''» qui a été coulé, transportait des prodiuits "alimentaires do New-York à Lon-rcsj il a été coulé à l'aide de bombes. V I» «f. P»eilin, 15 mars : Le 10 mars, un journal de Nev^York l&nnonçait que tro s nouveaux , navires, parmi lesquels l'„A3gonquin", jaugieont 2S2 tonne-,, étaient eu route à de itination des j;orfë Etats alliés» Ces trois navires ne ;*às armes. * ^ ; Wa^iungto», 15 mars ; Quoique le torpillage de P,,Algonquin" constitue iacontestallement un incident s&-'fiouiv, les milieux non officiels s«»nt d'avis iu'il n'^t j)iis vrii-sembla-blo qu il mixîi h .a situation- qui eusto en ce moment entro les Etats-Unis et l'Aliemagiie. Cebie sit «v tion ne sera transf >ran'e que si un e'vmbat s'engage erntre un navire américain armé et iin sous-marin allemand. Londres, 14 maa-s : 1-e ,,Moming post'* apprend de Washington que, aans quelques j-mrs, des navires marchands armoe de canons ront les ports américains. * <r # Washington, 15 mars : On annoi/:o que le sénateur htone a ét'j ré«lu pr'sdent de la commission' des affaires étrangères. * 9 • Paais, 14 mar3 : L'Agence Ilavas annonce que, pr^s de Philadelphie, b>s a.îguilles et 1 3 eicontri-ques ont été détruits sur diverses grandes lignes d'e chemin de fer, ceivi. de PensyL vânie, entre antres. * * « Paris, 14 mars : Dans son édition parisiien'ne> le ,,'Nevp-York Herald" annonce que le consul des Etats-Unis à Me\i -o a engagé les citoyens américains à rentrer dans leur pays. « * « Turin, 14 mars : I-e correspondant de la. ,,Stampa" à Pétrograd confirme que l'attitude de la Chi e vis-à-vis de l'Allemagne a «"'té surtout. pr<*-vo.piée par les Etats-Uni®. CeuxrCi ont jxmssé le gouvernement chinois dans cete voie de manière à chausser le piestage de la politique chinoise en Europe et pour en-liguer ainsi La politique d expansion du lajvon. D'autre part, !l semble toutefois que le Jaj»on «oit certain d'atteindre en Chine le but qu'il poursuit. • * ♦ Londres, 15 mars : L'Agenco Iteu^r apprend1 de Washington f»ne lt? gouvernement cJiiaois a r>mp<u lew rsUitions dipUunatioues avec l'Allemagne. D'après une autre dépêche Rteuter. l Amirauté a été informée que ie gouvei'iiement •hïnois a pris possession navires allemands qui se trouvent dans le port de sHangaï. Les équt{>a.ges doivent rester à Hm<l et sont turveillés. T1 s'agit de 13 navires jaugeant 25,000 tonnes. • «■ Berlin 15 mars : Tva nouvel je de l'Agence Reuier Suivant laquelle le gouvcinement chinois a rompu I*& relatfons difJoanatique® avec l Alle?- m^çne n'est pas encore confirmée à [Berlin. * • • La Haye, 14 mars : On mamle de Ratavia que l'exportation dé":thé vers l'Angleterre a été complètement arrêt6©, l' importation dans ce pajys ne jxm-vjlvt a^oir. lieni que moyennant l'autorisa» antorites anglaises. Ces antorisa-tiont» nV 1sont accordées que très rarement. l*tT planteurs tâchent maintenant d'écouler l»ur production sur les marchés russe et australien. • * * Amsterdam, 14 mars : Le bruit court cîhjir les cercfles maa<iAi'-âies que le gouvernememt anglais a entamé 4es pourparlers avec la Hollande au sujet «lu re)fus <hi gouvernement néerJanrhî.is de -laisser entrer dane nn port, des PaysjRas t e vapeur ang'law armé ,,Pi-inc«5ss Melua". On cr'wï que oe navire a été envové inteu. ionnelletnent par l'Ainvrafité anglaise en IlolLinde pour amorcer La discussion die In «yuestion des navisres marchanda armés. • • * Rotterdam, 16 mars : L,„Algean€ffn annonce que ]e ^DQveTnemcet aâeciaed&is a pro ie ç^bscii rement le départ des navires qu'il b< avait affrètes. Ce départ devait se faire es Aujourd'hui jeudi. *a 3 • • « •3 Rotirerdam, 14 mars : il- 3 Pendîant la semaine du 4 au 10 mars, re famm navire d un tirant d'eau d au nv«:ins ir 7 métios n'est, entré ci Sorti d>j Nieuwe ?s ^'"aterweg. ^ I 0 * * d |t Berlin, 13 mars : ar §: comte Bernstcrff, ambassadeua* d'Aile à ®nagine aux Etats-Unis, les consuls et le el p>ersonnel dé Lambayside sont arrivés ce ^ §^°'r & 8 b. 25 à Berlin. 6- I • * * i. g Milan, 14 mars : â. i Lee vapeurs italiens ^,Porto-Toneô1 ', I „PorttHSuez", „Umîberto Prnno", ,j,C ùr prera ' e' ,,Tecla" ont été transformés eu a 1 • navires de guerre. ,, * * « Paris, Î4 mars : Voici le texte de la ré»o*n (ion Goude lé votée par les commissions de la rnar-ne e: c- — Le gouvernement est invité ; 1° à Q- parer à la guerre des sons-marins ; a — I^e gouvernement est invivé : 1° à 0- cr^er dj urgence une direction générale char-é^- gt'e d'organiser et de renforcer 1a guerre ^ sous-marine offensive et défensive; 2r à e» spécialiser les arsenaux de la marine pour •lt m construcoioo de navires de patrouille, do navires de chasse, de sous-marins avec t'or- 0- piller, avec canons et avec miiies, ainsi que pour ia construction de navires mardi mds; 3° à désarmer les navires que la guerre navaJe a rendus inutilisables et à en employer le matériel soit sur 1e iront, t*- so:t sur mer, à bord des navires de coin-& merce, de patron? Je et de chasse. » 8 » s« • r~ Tjondres, 14 mara : Q* Le ,,TimesJ' annonce que le Foreign Of-,IV" fice a annoncé à bi Fédération cotonnière a, de Liverpool que, dans le but d éconoiuiscL-L du tonnage, le gouvernement interdlira toute oxpoitation do coton Ijrut, sauf autorisation spéciale. » * » f" Christiania, 14 mars : Ji i j,, A f tonnes ten' ' apprend de Bergen, que^ dans ces dern ers temps, des navires norvégiens ont été vendus à 1 étranger pour une valeur de 30 muims de couronnes. c- [j- 4^ *: [;l Copenhague, 15 mars : Q'_ On unaude de Borgen à la ,,National li-^5 deitâte' ' que 10 vapeurs norvégiens, parmi lesquels le vapeur „Lo-tflt ', de iBergtn, ont cté réJe7fuiéirt vendus à l'Italie, qui a payé 11 mi lijns de couronnes ]>our ce jj seul vapeur. 1- • ■ ■» " DÊPÊCHESJMVERSES h lîot'ûrdam, 14 mors : ai Le Comité de secours belge annonça que le service de ses vapeurs eut.o 1 Amérajuo i3 e< 1 Rotterdam est rétabli, ils preriviront; îa a», routo du nord et serout pourvus de sauf-coniiuits alie.uanets. Aucui.e o^ma-reiio u a été,,faire jusju i-i en vue d obtenir la libération des navires chargé d? vivres pour compto de la Commission et reseaus dans les ports anglais. En tout cas, les mesures jS son. prises pour la continua t. on du ravi-j0 bâillement do la Belgique et du Nord dé ro la irance. « a#. * «fc at Pari», 14 mars : et D'Agence I Là. vas apprenu du J Livre que, d'Viprès les journaux, le mini .vire U i-twt lielge M. Oooreman a éL'i grièvemin'j ble^ài dans un accident â'automobile. ^ C ^ i: a- Paris, 15 mar-^ : o Le „Gaulois" dit que dans i'-s milieux parlementaires on considère la situation du mm'.stere comme ôtaut trop tendue pour qu'il lui soit possible d'ajourner encore tj long-îemps ses expl codons ei qu-'il y sera î- forcé des mercredi ou jeud'i, lorsque viendra l'interpellation! suit 1 a.-, iition. Il ajoufe quo l'on croit que M. Briand ne 6e retirera quo 6i on l'y force. On cite parmi ses successeurs éventuels M. Ribot, dont les l- princip:itr< collaborateurs seraient MM. Bar-84 hou et Painlevé. On désigne aussi comme L" oresident du conseil futur M. Paul De cha-nel, président ' de la Chambre, et M. le sénateur Pains, qui fut candidat à la présidence do la lté pu blique contre M. Ponicaré. « U J & & Paris, 14 mars : lo M. David, président, de la Commission de l'agricultiue, a pi'ié le ministre de la guerre d!'ajourner au 1er mai l'appel sous les dra-^ peaux des ouvriers agricoles de la classe «le 1918. Le général Ly iutey a répondu- que ^ les nécessités de la déi'ense nationetle ne; ^ permettaient pas pareil ajournement. e lje s kiateur Monis a demandé à interpelle '°r ^ou vcrtiement au sujet de la pioduc-. tion du sulfate de oui ne on France e1i de u la fermeture, par su"te du manque de ehar-^ bon, do la fabrique die eulfato à JLacor-,n noubia. « « • m Pai-is, 15 mars : La Chambre s'est réunie mercredi, en ,n séance secrète, pour d: soi ter les interpella-^ tions au su>°t de l'aviation militaire. A 9 h. 30 du soir, la séance publque a fté i. reprise. Le président a donné lecture des it ordiCS du jour déposés aur le bureau de a. ia Chambra. le Le gouvernement a accepté l'ordre du à jour Eynac. Cet onîre du joui* acte les t- <ksclaration9 du gouvernement eit escrime l'espoir qu'il établira une collaboration intime do tous les services de l'aviation et donnera une plus grande extension à toutes it les forme? de la guerre aérienne, -u, I.e général Liautcy, ministre do la > guerre, a déclaré qu'à son avis il serait i. préférable que la discussion n'eût pas 1 eu or qu'il valait rnieuîx attendre quo ies me-îurca prises eussenb produit les résultats n attendus. Le ministre a fait remarquer it qu'en séance publique il' ne suivra pas les 1- orale? ira sur lo terrain technique, parce 1- que cela pourrait compromettre la ciéienso i»- nationale. t. Les paroles du générai Liautey ont été ït accueillies par de viç>lentcs protestations. 3t Quelques députés ont exigé que le ministre *'ût rappel6 à l'ordre. D'autres ont vu dans ses paroles une offense au Parlement. Malgré l intervention de M. Deschaned, prêv [L si lent de la Cliambre, l/is er s de protestîi-ié cion ont continué. M. Renaudel a demandé ?t et obtenu une séance secrète. A 9 h. 40, e 'a séance publique a été suspendue et la us salle évacuée. Lue dépcchfi Hav.MR arrivée pi us tard an-i_ uonce qu£ la Chambre a termiae Li dis-ÎL ous^ion «les interpellations au> Surjet de a l'aviation militaire et a voté à l'unanimité "ardre du jour approuvé par le gouvernement.Au coar3 do la séance secrète, lo m1-e vwsbre d!e la guerre! n'a pas p«s la parole. 1- T1 iv'était au banc du COMMUNIQUÉS OFFICIELS r> .... . à «< nw.»:-» -Ji.. -1 Communiqués des ^uiesances Centraies. Berlin, 16 mars. — Officiel do ce midi : Théâtre de la guerre à l'Ouest. Par suit» du temps pluvieuu, le feu de l'artillerie a été peu important dans la' plupart des secteurs. En Champagne, sur ie versant nord- > ouest do la hauieur 185, au sud de Ripant, res attaques françaises n'ont pas réussi a se développer sous notre feu ctestruioteur. Dans la région do la feommo et sur la 1 rive . oceidiantaie de la Meuse — où un > postj de campagne français a été enlevé par une audac.qiso attaque axecutéo en oloin jour au sud do Ouinières — des attaques do recounaissance no-us ont. valu un certain nomtyre de prisonnière. Théâtre de la gueire à l'Est. Front du fald.naréohal prince de Bavière : Près de Witoniec, sur 1e Stochod, et près do Janica, au sud du Dniester, îles opera-t ons de nos troupes d'attaque eut été oou-ronncuî d un piem succès. Plus do cent prisonniers et plusieurs mitiaideusies et lajice-mines sont re»i*is entre nos mains. Front macédonien. Suc ies deux rives du lac de Prespa et au nord de Mouastir, les Français ont lancé hier d'imiportanies troupes à t'attaiiiej comme les jouis précédents, ceTie-oi a échoué et a coûté de grosses perte» à l'ennemi.Entre la Czerna et le lac de Doiran, de £>etites aisîaques prononcées par d autres troupes de T Entente ont été reipoussées. © » if Berlin, 15 mars. — Officiel d'hier soir : Dans l'Ouest, tomps pluvieux ; îournéo calme. Dans l'Est, glande activité d" arstdleriô près de Brzec^pniy. 1 Des deux côiés du lao Prespa, dé nouvelles attaques tentées par les trouves de l'Entente ont échoué. * i Berlin, 14 mars. — Ofuciel : L'attaque prononcée par tes troupes" coalisées sur la Narnjowka, au cours de l i- 1 quelle deux officiers et '2£>G hommes ont ét:"î 1 faits prisonniers et sept mitrailleuses et eîeus: binee-mines captures, a prévenu une opération dés Russes. Lis avaient préparé ; m e vaste explosion do mines; quatre «toyaai::-. avaient étié ]M>ussés vers notre pos.tionv, et demx dé ces boyaux, longs d8 90 et de 1 GO mètres ros-poeti vement étaient d 'jà chargé. Nos pionniers les ont fait sauter tous quatre. Toato notre position a été, en outre, .sérieusement et piati1 piement renforcé© : 1 nous nous' y soimnes maintenus sans autre incident tout le temps qui ont duré ces travaux de renforcement. Le nombre des prisonniers faits près de ZloGsow Tarnopol et don? il a été question dans le communiqué officiel du 13 mars s'élève à 337. * * A Berlin, 14 mars. — Officiel : Des attaques prononcées par les Anglais près dPArmeutièxos, de Bucquoy et do Gre villers ont échoué. Ni leurs ïivs violents bombardements à l'aide de mines de moyen et do gros calibre», ni La tentaive qu'ils ont faite de nous attaquer par surprise sans préparation d'ai-tille rie n- ont réussi à bousculer les troupes allemandes qui oceapaiént les positions. Partout ils ont été repouss «5 avec des pertes sanglantes et en abandonnant des prisonniers. En Champagne, les Français ont continué leurs furieuses attaques contre la hauteur 185, que uoua leur avons prifte, moi-, la hauteur ellemémo est toujours solidement i?atro nos mains. Le3 trouas françaises qui combattent en Macêdîoino entre les lacs d'Ochrida dt do Prespa ne sont pas plus heureuses, ni da vamago les Alliés au nord^ôuost et an nord do Mouastir non plus. Une at.a|ue quiis ont. après une violente préparation d'artillerie, prononcée sur un large front et plu» s.euis fois réitérée a chaque fois été re poussée avec de fortes pertes pour eux. Lorsque les troupes coalisées ont contte-au.iqué, les Français ont îeculé en débandade.♦ & »jî Yietane, 14 mars. — Officiel de co midi : Front de l'Est. Les entreprises tentées par nos détachements de cioc d'ans le secteur de Brzeczany et quo nous avons signalées dans notre communiqué d hier ont pleinement réussi. Après avoir démoli do fond en comble lo? organisations de combat de l'ennemi, nous avons amené prisonniers 2 officiers russe:, er. 255 soldats c», en outre, capturé plusieurs mitraiLeuscs et lance-mines. Nos aviateurs, tout en repoussant les attaques dos avions do coml>at do l'ennemi, ont lance des boaibes sur la gaie de Ead-zivillov.Front italien. Hier, l'activité a été, en général, peu intense. Dans le pays de Gorz, nos aviateurs ont bombardé des campements ennemis près da Luc inico. Front du Snd-Est. Dans la région des lacs de l'Albanie orientale, on continue de se Lattre. Les Français ont attaqué à plusieurs reprises, mais sans aucun succès, nos positions eai- tro 'es lacs cPOchrida et Prespa. * « • • Vienne, 15 mars. — Officiel de ce midi i Théâtre de la guerre à l'ïist. Front du général do cavalerie arohiduc Joseph : Outre une violente activité de F artillerie ennemi3 à certains endroits, paaj d!évéao-ments importants à signaler. Front da fo-dmaréehal prince Léopold d'e Bavière : Au nord de Stanislau- et au sud cfe So-lotwin, nos troupes d'attaque ont exéouti des opérations tiuctueu.ses et ont ramené 106 prisonniers, 6 mitrailleuses et 1 laaoe- 1 mines. Théâtre d© la guerre italien. Dans certain» secteurs du front, 1« dufcl j d'artillerio s'est rallumé. Ce matin, sur notre front au nord d'Asiag», de» détache- ( ments du r^iiaoût d'iufanicris n° 27 ont pénétré, au moyen de tunnels creusé» la neige, dans les tranchées ennemie^ établies à l'est du monte Forno. Ils ont détruit ries abr's et inft'gé de sensibles pertes san- ( glantes aax Italiens; en oufrre, fts «e son«t ' unpor^s do deux mitrailleuses et ont fait prisonniers vingt-deux alpins. Théâtre dô la guerre an &nd-Est. ( g.ur la V 'wa, pas d'évésoemeats gpéciaua > à signale*. ! J Sofia, 14 mars. — Officiel dix g'ram} ^tat-major ; l^'ont macMonii/Ti. Entre les lacs d Ochrida et ds< Prespa» ittaqucs réitérées do l ennemi; diles on* lté rqpouss.es oî. lui ont coûté (fes p&lsi sanglantes. Apres tinjQ û.-.sqz violente préï-ar^.t.on' l'artillerie, las Français ont attaqua à corses reï>nsws nos positons établies a . ouest e. au nord do J5(itol>ia, dans Lo :x>c-tear conijais en.-ùre Tasnowa. er. la piaine io B ta; ils ont été forcés à se ret itjr oa ksuriire et, au co.ars de leur rotra-ite^ oaft >ubi dôi pertes extrêmement graves. Sur lo rosie du front., opérations peu importantes. Une compagnie F ramais0-, a ;cuté' d'î^Htaquer, nos positons au ^ud. da J0vgieli ; elle a C(.é disperse i^ar notre i'eu. Une comp'i.gînio augiiaise s est approchée dfe 103 por tions ayaneées à 1 est diu Vaadaa?; -Ho 11 du prendre la fuite sous notre violent feu. Front roumain. Piusiejuïs installations rniliiaires de Gau latz ont été prises sous lo feu de ntfœ xitillerie. * * • Consianlinopl-3, M mars. —« OXfielei do grandi quartier généra. : àur le Crout du Caucase, très grande activité réciproque dos détachements de reO-sn* aaissajaco. Aucu-ae opération de L'ennemi n'a réussi, tandis que nos détachements on<l fais quelques prisomuers ei se sont empasts i'uno certaine quantité da munitions e? Vautre matériel do guone. Communiqués des armées alliée* Paris, 14 mars. —- Officiel de 3 heurts 1. Dans la région de Lassigny, nous avons ?xécu$é divers coups de main sot les trac* ihée» enuomies et mis en fuite un© recoin, lïtissanco ennemie. Au nord-est de iSoissons, une teuîfitive«fe ?oup de main sur nos petites près de ^ou^dr 1 e-cé aisément repouss e- Dans la région Butts-du^jeuail-Maftsoiïg* te-Champagne, Lem.eMii a Lincé iitdr, vers > heures du soir, deu^x violentes eontrea^. aques sua* les ouvrages conquis par noua; L'ennemi n'a pu aborder nos positions an iiucun point et il a subi de foi\es pert s. La lutte à la grenade s est poui-suivî^ oufe la nuit avec achaj-neme.t euttro ^ >ôtc 185 oîi Maâsons-de-Ctiampagnei, ou noua avons conquis de nouveaux cléments de j?ajichées. Dîius la région sud de Saint-Mihdfel, hi«p îans la joiu'xie©, uno opération) vivement nenée jwr nos ti'oaj^es nous a permis d en-over la forme RomainviLle et db faire une reutainc do pn&omners. Nos dîtachements 31 •i, en outie, p^étré sur quaue point» dit. 'érents dans les tranefaées ennemies entre Ja Meuse et la for t d Apremont, pousae jusqu'à la deuxième tranchée ennemie et ramené do nouveaux prisonniers. Pendant ia nuit, lutte d'artillerie assez vivo dan« tpufc secteur. Nuit calme, j:artout ailleurs. *3 « c Paris, 14 mars. — Officiel de 11 heure* î-Au cours de la journée, nous avons continué à progresser à la grenade dans la légion de Maisons-de-Chamijagne, inal-gi-é un violent bombardement de 1 ennemi, qui a fait tisage d obis lacrj-mog^si. Sur la rive gaucho do la Mous-eb notre artillerio a exécuté des tirs de destruction sur les organisations ennemies. Un oljeeu- vatouo a détruit près do Montfaaoon, . * Si tt Londres, 13 mars. — Officiel du soûït : A la suite du bombardement do ©jb posi-tions, l'ennemi a évacué hier, sur un froofr de 5 idlom. 000 m., son système de défense principal éèabli le long de la parfcio la» plue iivanoee de la orue située à L'ouest de Ba-paume. Dans ce secteur, au cours de h* journée, sous la pression de nos troupes, ies arrière-gardes allcmsyides «5 sont retirées sur une profondeur d'environ 1,600 mètres. N'ous avons occupé le village de Gre villers et lo bois do Loupart. En ouitrxv nous avons fait dé nouveaux progrès, à l'est et au nord-e&t de Gcmmeooart, sur u» front d'environ 1,g00 mètres. n?ous avons repoussé, la nuiti dernière^ les attaques ennemies dirigées contre Nietm. villc-Saini-Vaas u, Souchez et Armentiéax*. Sur aucun point, les vUlemands n'ont réus^ \ pénétrer dans nos ligne-. Un autre défca». chôment allemand est entré dans nos traa-1:liées établies au sud-ouest de Neuve-Chac. pelle ; ouriques-uns de nos hommes wùDb quent à Lap-pel.- Sur la Somme et à Pesij da NeauviUft. it.int-Vaa-st, nous avons elficacement bom- barda les positions ennemies. ♦ ' « A Rome, 13 mais. — Officiel dui gaané quartier général : Sur lo front du Trentin, le 12 mûrs1, aoti>. vité habituelle do l'artillerie et petits engar [;-^monîs entre detaehements de reconnais, bancc au nord-t^t de Simego, sui- les vei> >ant& du monte fceUig«gio et aux environs lo la &0U2CC du tonent de iiodien. Sur le front des Alpes Julienne^ l'airtft. lerio ennemie a été plus active hier dantf L'abaissement do Tohnino. Sur lo Karst, un détiichoment du, r%iûtfa]d italien d'infanterie u- 117 a pénétré hardiment et rapidement dans la ligne ennemie établie au sud-ou'est de Luc&ti; il a incen^ lié les abris, détruit les ouvrages de dA-fense et ramené 24 prisonniers et une mi-railleuse. Quelques heures plus tard), l'eu-terni a tenté une eoutre-atta. iue; il a été g®. rêtô et dispersé par notre feu. Dépêches Diverses Paris:, l5 mais î D'Agence lîavas annonce qa'à la les incidents qui se sont passés à Ta Chaoï-M-e, le général Lyautey, ministre dje ia ju&rre, a donné sa démission. I» :>1 juillet 191 fi, la Ftaiiue a ûdh^W II 'aocori inlerremi entre l'Italie el li «Jramfe, [Îre«agii8 au snjat d'ima action coniHiuOB 4 lipiger contre les Seuoussis. • * » îjnrjîra-.. 15 mars : Le nUaily Talejmq.h" annonce (jue la ■6TU0 „Two Hours I>aily-' publiera prtv Jiaiiioiut'.it les mêmoiires de M. G^iaad. .*. La Haye, 14 ma.ru : il. Sr.hr'«inr, anciea r^latieuT m obdS lu „T«lc£ra«f", a M condaitmé m f|pl i S mois de prison pour o.voir publié 4o irt*cles injurieaac à _ l'adeessa du £SW§f50* USPt aiitfOCBrtt. Vendredi 16 îVSars 1917 JOURNAL. QUOTIDIEN — ue îvumôro : IO Centimes 4' Anne®. — N° 83&

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This item is a publication of the title La Belgique: journal publié pendant l'occupation sous la censure ennemie belonging to the category Gecensureerde pers, published in Bruxelles from 1914 to 1918.

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