W»1K BES *BON1>«€WIENTS 3 mais (avril, mai, nia), *. H.*0; !/i«k t**rôl, mni), w. T.ô*>i 1 ukms(afrilj, tr. 3.80 . Ls» éen&tbée* d **+nm9me>H mwm e»cImm- +3-)ncn : '»®r les but c»ux-m UM '**+»**> > d»* — Lew '-(♦•/« wiu» m« te* «éo*»«emenU doivent ûtre afr+tMe* otiiwwmwi «war i'H'M'i* «te i>o*tc. Aâ&KiSmriaN £T REDACTION : WewkK lO-oax-Rwrivee-yeUiièree, 21, **«» ot« A**io»MC€e Petites annonces, 1* hijne, ir. I.Oii. — Red/rmteê avant l** annonce*, la t «. fi®. -- ' r»> r« du foarttttL, la ligne, T. î» • - *<ui* «twer la hbao, ir. —» Mcrwoytz, 4* lïft'ue, t - '«x/i <tt* .4 VIA «ir H&xètfi*, Annanctf* nomm Mtff, k ii^ne, ir. 2.UO. B»ftau> as 9 b lî «leures ftttcîMô «i «usiaiattina ; ^ j, », ^ «î'» »OJ MOH297EE Oi(1tO»eu« >rrJw1»fWKW«'HBr1i— fMg^Art», «l/iiwcowti. igjj?: Mm a~4«i(»rs «Unt formés à t'*c.ca«ion du ; Ventraïii.àaint, le j&nr.iai no paraîtra ças «oinJn. : * tfiujouid àui . 'LJE.UA pagm. ■ „ là GUtHHE ;| t,333* jouî« de guorrd^ * Aliomaads s&nt toujotam ma tros de 1 1 rftuaùoa. 1«6 oui oocujto «a ville d Albert «. à ia suite tio aunivodos batailles, d^pasa^ s*;. l' tous lo îruui La Uyoc, «UUui.i^î ini hier, d ai ira.** vs* V- .-«lajarv> i_i_ ujaa-ifr^ «-a oy -au. La-*s Le baasio as 1a cxxuujc, i^s Ai^ia s ci baOutu «mi»inoal ou rexaUO, aruiaut t\, de- * trui**u.t v>ut sur l«ur pak»%e, fcuvi» sur ks «ions par *ea Aiiaataiids qui ies at&t- / sans rôpi». jiiare te ajote.ir <*o L-iiOus v e». l'Oise, ia <w«ua4kwi «a £Uwrs ouau&o. • ]y iùi fait, la ta*-<1.6 eu ire c*»«:S m^e non- 1 ▼eJ-« g^iase. Aprs avoir perdu d aiKcd tour ' j% pci4jk.i,««vl front fortifié e1- a>oit* eij rejeta suoc«e*ivsuieut «uftoite Ufi lrnrs lignes de «ur®*é, les AJl.es ofaerchcu*, à concentre' * *iat*urt'uv» raiforts et à re^liar leurà 1« force*, irè-i 6|^jut«0!» p»r une aeui&ine do q tuii\o*t* 4^i'uuajita, sur oi»« œca- aJU^i^io» à la iu>t;s 0 (yH là que / i&« Àa^Lû-i Yo«t » cfM'ccc d« «ouvrir lu ' « Uot^ioas-AiBie:!», tu.d.s que lts 1- r^n- • > §«U4 ci loâ Ain-Ticaïus vo»it catr«^eiïdi'<3 ] d (y r^jer 1 Alietaîmiis vers Moat- ^ clituea ot Cottijj^n». ,' Vlai* À 1 i nous |«u TK*'t 1-^ nou\a 1 > àé«L>iioç»"b«iuc de 1» pri«© dô Pi-xr-emml et de MiMWVfcer, t^ui «*t d-;j^ à 17 kilomètres à l'ouest do Ko^ a : c le mook^ <pie le;i Frun— Aja^neain» n'ont pas r u^ai doua j S, ce"* 4^cîie. H s» »— L'iffisln tlifaaaiis à l'C^est * jf.8s«n,27 mars :' " ^ N-. ^ / S. M. l'Laipereuc a envoyé le téléfteaiue sut.- ^ fraut à H. JLrupp 101 Bohtea uad Halfascfa : , ! Le caaon que vous avez construit . ! a bi'illammeot fait pxeuvet» ou bouibardaut > ^ Paru" d'une diataace iacgemen» i»upoii«*ure k 3 100 kilomètres. Par cetïo pectoruaauco uinustrteJle, |l vous avaz ajoute une aouvoila rt glorieuse pa^o ( , à l'àtakjiro de la ataiaoa Krupp. Je vous teiiicr » \cia, vous "t vos collaboiuteojs, 04 l'eiiort que voiji avez fait «t qui honore la sei«uce et le Ua-^ tr vail ai:«*iands. » _ ^ - .... J_ • Paris, 27 mars : (Le général l>u val. gouverneur militaire de Pa <3' ris, a intec<iu toul<w le* réunioa» dans la capitale.^ u L '41*1 de siège renforcé a été proclamé sotis touteas P* bos 1 ormes. *. ^ D'autre part, le fonvernear militaire a délibéré a^ar M. Pmiicaré ot M. Ctemauoeau Sur le poiirt r ck» savoir si la (vAivetMeaieut doit continuer tuf* ™ prépHrat-ifs pow q«iSM>r Kiomentanéuient, Paris. ^ T"***'1*'1"*»1 * " ~~-—m p x-O®i»«ve, »7 auirs : - r - La direction du tir das canons allemands à L ^ J longue portée qui Ix^nbardent l'aria a déjà plu- f t sieur» fois chaulé. Le» obtw »oul ïmnbéa sur d«i>' ' Ç Quartiers très diatauts k>« uns dtti aut^y» „ . J a** y Gaoéve, *7 mars ; Pour la première fois», ane ncie ds l'Agence ^ Havrni reconnaît que la rapidité étonnante de«* a opérations allemande» a été la cauee principale de ^ l'efiondrotacut des pians anglais et français. 11 s'agit aujourd'hui de sauver la situation en en gag«ant les ré»arve« importantes dont dispobe l'£ntente. 1 **» /, Londres, 28 mars: A Du oonvspondani de l'Agence Reuter sur le Ifroat à l'Ouest : j ki — Les u-mipes de réserve de l'Entente sont/ [T amenées fiévreusement par automobile^ >u; les/ p»mU men«u3és du fronl. Derrière Comjrf-gne/ j", !nne_gran.le armée tençause. oommandéê j>ir urf w 1 ,n« ôuaipétence U»uU- s{*écitiï§, barri d la rouie *ors Paiii*. bn'grand rionibro de Pari ^ siens continuent à quitter la capitale. • ! u a*a , si à4ilan. zS mars : j ^ On anaonce que le haut commandement dj» ^ î'a:mée anglaise ei celui de l'année francat-e oi£t demandé d'urgence des renforts au générât D;aj. u D'après un télégramme de Rome, le Lonsej des tiumstrea si^e en permanence. < ta ■ ». *** s Zurich, 27 nuur» : in L'armé? de réserve du général Foçh est compl» k te«GC?H utilisée- pour soutenir les Anglais. Cettf ^ armée :;o se compose d'&illeurs pa» de 70, mais d« ci 30 uivis;oa» »euien»ent. La difiérence s'explique gi par le fait que l'on a compté dan3 se» effectifs les? -x réserves de différents secteurs. Ces réserves ne* C seront sans doute pas suffisantes pour le secteur 1 ru anglaie, car le maréchal H ai g doit compter avec ' une attaque oontre son aile seirtontrionale. • « Pans, 88 mars : * * Depuis mardi matin, on entend la canonnade sur ie Uiamj»-de-Mars et des faubourgs située au nord-est de BeUerdle jusqu a Vincennes. Le brurt a du canon, très rioJent le soir, venait de ifi dtreo-tioû de Noyoà. PÎ • a Paris, 5b mars : /£Î Le Peltt Punsien, parlant de l'évacuation <sS. Péronne par les habitants sur l'ordre des autX% i ( niés a:i^iu^>es, dit que celle éventualité e4a\ vi-/prévue depuis queiques jours. Les jb> pieu- ^ / voient dans la v.Ue et la retraite s'impisait :m-ï miiiciiu>. Cependant, nombre d'habitants p^éten-i dirent rester dans leur maison quoi qu'il arrivât 1 «mis \a police les obligea à se joindre aux la lluyards. La majeure purlie de la p*>pu:aiim.ful |v-\actiée vers h; sud et le centre de la Frarwe, m par chemin de 1er et par automobiles : leVeXe .est |>arti A pied par Am.ens, distant de 50 *ilJc Su mètres. JT\ Tu Beriiu, 27 mars ; ^ -*- La prédiction d'un officier supérieur de l'état ; major allemand »'e».t parfaitement vérifiée. I! s<jf ! fira, avait-il dit, de calbuter la première ligr«? 1 de défense anglaise pour jeter le désarroi dans 4e C t ooHMiian.'Moment anglais. Cette prédiction s'est1 réalisée à la Vettr», non seulement pendant ltf- 1 trois premières journées de bataille, mais encore» Ie au cr>urs den opérations ultérieures. Pour éviiwl la Catastrophe imminente au nord de 13 a paume, le, 10 ooaxaîandement anglais aux abois, suis se souctèrl iil aucunesuant du re*t« du front, a jeté au-devant) >'A des Allemands toutes Je» divisicxis dont il diepé 4 P1' sait. S'il a réuasi par cette tactiqtie à retardai 1 u sur certains points uotre marche en avant, oa*r| -lu contre, sur d'autre* pointe, nos troupes ont pris '-a pied plus rapidement dans les positions eniiel °e-miôri l^os Anglais n'ont été en mesure sur aucui cr' point des positions solidement fortifiées de 14 Somme de s'opposer à noire marche. Leurs lign^ cel étant constamment percées, le commandement mas S'1 que de plus en plus de méthode, ce qui a fait aecc^-^u*'r la retraite. Notre butin s'accumule dans de* PtOfortioas inouïes. Aux diies des témoin» ocuiaï rc>;. kn cadavres couvrent le champ d« bataille os "e telles quantité qu'on n'en vit jamais autant stj aucun ïutre théâtre de la guerre, surtout à l'edt ma ®r«t cù les troupes anglaises, cernées de touJ cor «Otftr, feront littéralement anéanties. La mnjeuri l'Is parti» ce la fièr» armée britannique qui, sous lj Mi ••«♦iuits de S.jo M \auié commandant en chef. do| qux *** ,e «•«r* d* l'été 1917 faire son entrée S ie >r««c4k*, ebaMke aa>»4*h« salat dans lajjfVa. »% u me» il mars : { i1 > que ."LnVente « protégé la Sert)ia jusqu^ll daOà la .ûiurt, elle Tait appel à oe qui sub-..sk eitf. 1 ^ l'ore cU son armée. Des oontingenls serbes, nouljli tellement fcqujj^és, sont nrravés en Fiance et IjTRt «eront incorporés dans ies troupes d'assaut. Ofl-jw •ait que lu iâcUe de, troupes d'assaul est kmï ijf d'ètie 4éccte. C'est du leste devew une toabftuil^j( chez les l-rançais et les Anglais de charger eslll peUtes u aidons 4e* ©orvses los plus désagreablesj) 11 Le» CsEsdieos et les Bei£^ eu savent quetquo» |i c^toose. Les Ang a.s consulorent d'a-lieurs tous i<:J | ^ens -de -ooneur «ma» des anUiropoides quj? i { ,»o«-v«ent évre ivors & juste titre de ser\ir d<i thairv j 1 a canoë au service de l'AarielMW^ j L ^ fWi i « Londres, rj i»«u« : r 1 1 jc «jmps se géte de plus oe plue sur le front àr 1 l'Ouest. Le baromètre baisse. Le ciol se couvne? ^1 de auagas. Il est posaible que I'smsu soit ar»;; 1 rêté par les marais de la Somme; toutefois, nous ,t devemj nous attendra à voir 003 troupes continuel • à s» retirer sur d'autres posikons. j , < " 1 »■*"1111 «iSer 1 yconares, 27 mars : J j y Du oollaboratour militaire du Aftrning J — En ce ittOBteat, 11 million» d'hommes se troift , J vent en présouce sur le fro»it à l'Ouest. De pa» ; 1 «t d'autre, l'artillerie est «x fois plus forte qim , î^iS des batailles de la Somme. ï L^diTBT^y^oars : "" " « Le Daily Chroiucle croit savsir ^ue si le Parlement était convoqué immédiatement, H est presque certain que l'&ge do milice serait élevé. lx>ndi<M, 27 mars : j Contrairement à l'usage, tous les joarnaux anglais paraîtront le Vendredi Saint. Pendant les 'jours de Pâques, aucun journal ne pourra parai* *c«, ma.s ton» les bareaux de poste ds l'Angle- lerre afficheront les oommaniqués du général feg. • New-York, 26 mars : D'auprès le Nc?*-Y*rk H^rald^ la situation ac- 1 imoile a f**t 1 objet d'une diccuftsion à ta séance du Sénat. Le président de la Commissioa de l'ar. m6e y a déclaré que le recrutement de» hommoa ayant atteint l'âge de 45 aus s'mipoaaiL Des me-»ures otxcijcil prises pour redoubler d'activité sur lo» chantiers navals. Le journal ajoute que l'Amé riqixi ae rend compte à préeent de l'enjeu de la ' bataille engagée on France. L'opinion du Coa ] grès américain doit être fixée en ce moment, et il n'y a plus lieu de torgiversor. Le New-York Evening Afa-.l dit que la lutte , ^ qui s»e poursuit au front on France donne aux , Ktats-tJnis la conscience de la responsabilité qui • ièse gur eux. ^ **"■" " » «1 . - 1 ] OPINIONS DE LA PRESSE 1 Les journaux anglais Se montrent en général très pessimistes dans leure comme* ta ires des événements Le colonel I^;«<ugtau w-^it dana Je M or- j rang P961 que 'l objectif visé par l'ennemi appa-, ra.'î^r'aujourd'hui clairement. Tous les avantages^ qu'il s'adjuge «»nt de nature à hâter la décision^ uiiale. Le» Alliée ont pour devoir suprême d'empêcher les Allemands d'enfoncer un coin entre los i deux armées anglaise ct française. La soudure *-doit être maintenue à tout prix. Si les pertes ter- 1 ritoriaJos donnent matière à regrets, il 6erait 1 aille fois plus dangereux de voir couper ie» l lignes de liaison outre les armées. Concentrons 1 toutes tes forças angVo-françaisos, conclut lté- j pington, ne perdons pas la tête, et si la retraite s doit s'accentuer encore, évitons à tout prix que , fies armées soient ooupées ou que l'ennemi puisse 1 jottr se»3 réserves contre l'un de nos flancs affaiblis.Lç 7';we» signale !a situation orftique qui 00c- * tinsù«a»SÇWduret. Loî journées de mercredi et r jeudi seront, scion toute vraisemblance, décisives ) à cet égard. Le point qui nous préoccupe le plus, mais qui, d'autre part, nous fait espérer le meilleur, se trouve au sud de la Somme. La bataille qui s'est engagée la a pour enjeu de faire gagner ou temps... (; <.ocrespondant Gibb» télégraphie : j / — L'aunoAu n'a arrSté sa marche en avaut que { ypour jeter do nouvelles divisions fraîches dans la 'fournaise, afin de relever tes troupes épuisées par la longue lutte. Ces dernières, après s'être reposées, sout ramenées au combat et marchent de l'avant, reanplacées à leur tour par des réserves qui --ont judicieusement éparpillées sur tous les points du front De cette manière et â l'aide d'effectifs 0 considérables, les cbete allemands sont en mesure s d'amplifier immédiatement tous les avantages ob- y tenus par eux et de jeter des troupes fraîches contre nos soldats Si éprouves, qui luttent presque î wuis rerjos depuis lo déclanchement de l'offensive, l^es Anglais ont eu â taire face en différents en-droits a un ennemi très supérieur en nombre. Sur L plusieurs points, un bataillon anglais avait à tenir en respect toute une division allemande, et <-ette supériorité du nomere s'accroît encore constamment par l'arrivée do nouveau* renforts. Nos s hommes ont coaabatt/u Six jours et oix nuits sans c mterruption ni ispos. Leurs traits sont tirés, le ^ sommeil les assomme, leurs uniformes souillés s -.ont en lambeau*.. J ai vu une oompagnie telle ment f exténuée qu'elle avait po.ne à se mouvoir. La ' juerre de manœuvres a surpris lo» Anglais, et ils c -e trouvent dès lors exposés à un grand danger. r Cependant, nous avons pu conserver intecles toutes noa divisions. Le Manchester Guardian estime que le ralentissement des opérations de l'ennemi n'est pas ira- ^ putahle seulement à l'épuisement des troupes ^a.lemaudes, mais surtout au fa.t que la grosse * sirtil»erie n'a pu iu.vre la rapide marclie eu é avant. Le môme journal croit qu'une p*e»sion en- <* i^re plus violente sur le front d'altaque est a d prévoir et doit être attendue dans ua délai rap- d proché. WcUtAinster Gazette ; r — Le point le plus inquiétant au front de j 1 Ouest est ta supér.ortté de l'artillerie allemande, \ qui s'est déplacée en avant avec une rapidité dé- < ^concertante. • Mornitwtosi, après avoir constaté le môme î fait, ajoute T" ! — Les Allemands se sont préparés à cette attaque par des exercices <si des manoeuvres qui ont duré de longs mois. Nos aviateurs ont été té- j> moins de ce spectacle, ù tout te moins un prévu ^Je manœuvre» de guerre a proximité des l gnçs ennemies. Celle remarquable préparation s pel^ ^ ^jn-s aux batierics ai.emaudes d'entrer unmédia^ 11 m i-:-'1 lu \u'u v ( durant T — A en juger par ies commun la ires ang.als, Lj l'offensive adeinamie u été engagée sel >11 l'an- l ^•oniie méthode, c'est-a-dire celle du début de la I' guerre, qm conAsfce a jeter des masses oonsidé- 5 rab.es sur un pomt déterminé. Si cette méthode I i eut se soutenir assez longtemps jusqu'à défon- J c^-r le bai'iage ennemi et obl.ger l'adveisaire a . reculer de plus en plus devant l'aval anche, les é sacrifices consentis sont largeïnent compensés 4 par ie but atteint. Cette méthode est en somme !.. préférable â la guerre d'effritement du front 0» a M i'offens.ve anglais avec « LmUed objecUves -, fvj qui ni l'une ni l'autre n'ont conduit au bai visé ÎPj La guerre mondiale de Itfi4-ltfl8 a démontré que § ces deux dei-nières méthodes exigent plus de ad- f' crillces ae matériel humain qu'une action puis- L80 s.anle, décarive, mais de courte durée. Et pour cette ra.son la bataille engagée sera >a p us san- f*» glunte de-celte guerre, l'Aliemagne voulant en §4 iinir ime bonne fois et imposer la paix. Je doute r.' fort eepen iunt que la décision mililaae soit aussi complète el îussi définitive qu'on l'entrevoit a f*- P.er.m. Certes, les Allemands s'avanceront loin. 141 très loin môme, à L^avers les pus.lions ennemie-, mais 1! ne saurait ôire question ici d'une débâcle comme ce.le de Pologne, de Calicie ou de 1 \ 1 Isoneo. .Vlais la leyon aura été dure pour les % Aliics, qui -doivent ôi e convaincus à celle heure t que l'Allemagne est toujours maitresse au point !i^ j'le vue militaire el q«'J s*cd d'abandonner le va.r c*pt& de lui Crier ^us^ue jsur Me paix ^ àsntsess. Os akeaé, dM»a-t-sa, ramvée à** Aaé- jr ■wssss. Je se H^pMs jm. Q« ^ U Intente que &OQ,O0G hommes se trouverait en ance au début du printemps et que 1,5 ,dow ivra.ent en auiouirre. i« suis convaincu, poux t L part, que l'mtùi veniton tuuericaïue se produ.t t j[) taid et que les ^*Bit«es ne peuvei.t plu* 1 nen iniiusucer la décision Uual°. Si les Al»e* - *> auds réussissent a prononcer ieur jffensive k mme us s'y prirent dans la pta.ne du FnouL < » hls de iuttaUiua ptMUTont reeler tranquille^ t?nt chez eux, L'aÉfaje se décidera sans ieur lerventioa. Oti pourrait me dire que j'oublie un lacteur n meipai : l'armée de manœuvres du général w >ch, forte de 40U,bU(i hommes, qm est en route* h rs tes points menaces. Lu effet, a'U était pos-j >W de jeter 4 point nommé cette torue oonsKidè-*" • bie au devant de i'a>eaidaut, elle pourrai^' i his réserver des surprises. Mais lé pour-a-t-on?^ p apparailra.t que l'armée anglaise n'est pas de* Cj Jle a resister par ses propres forces a < a»*autj S : t ennemi e«t quelle luil appel au concours ou- f inérai hoch, oommandant ia seule armée de ré J. rvs dont disposent »es Alhés. Ce serait une oc- i I ^ioiï unique pour le général Foch de jusUlier sa • lute réputation et la conliance placée en lui. £ ^ Au surplus, il ne s'agit pas tant pour les Alie-| ^ ar*ds de réanser des ga.us territoriaux que de} a £i«r une bonne 1oj> leur compte uux Ang.au> f ; prouver aux Alliés que l'heure de fairo ia paix sonné, l'Allemagne ne pouvant être vaiftcue ïri- 1, aireme&t. »> —•* > L ■ nnnBSHMiNarff c, Les événements au front de î'Ouest ont pro->qué en Bulgarie un grand enthousiasme. Tout ^ monde seuib.« oonva.ncu de l'issue victorieuse » la lutte engagée et estime que les événements iront de nature À précipiter la paix avec ia r&nco. , L'ofliclcuse Narodni Praioa estime que la vie- A ire allemande sera le meilleur gage de ia paix c qu'elle rendra aux neutres leur mdépendance y leur dignité. L'Echo de Bulgarie écrit : — On a dit oéja que les hauts faits des armées i l'Empereur avaient atteint la limite de la capa- £ té huma ne et de l'héroïsme. On peut due au-urd'hui qu'elles se sont surpassées. L'Histoire s sjnaie de glorieux faits d'armes, mais il n'en est u is de comparable a celui auquel les noms de ^ indenbuig et de Ludendorf seront atta<,bé6 k " mais. Les grands cspitamcs de jadis ent fa.i 4 ikar leurs quai.tés brillantes, mais aucun d'en- L e eux a en a donné lunl de preuves a un degré u éminent. La masse du peuple allemand, tant u 1 front que dans la mère-patrie, a été héroïque : 1 tel peuple mérite la victoire et elle ne lui g happera pas. » * « L 'ENTENTE ET LA HOLLANDE La Haye, 27 mars : ^ Quelques vapeurs hollandais ancrés â Hull et à ^ *idros ont été saisis. V •** (j Amatard&m, 27 mais : d Le „Nieuwe Koticroamaoho Courant ' ap- I ■&nd de source autorisée que les Anglais c t soaiô des miues à l'entrée du port oe kaoaingias, à l e "droit dit ^Oost^av'. Lin ivire de [>ewi\nuli6 hollandais a senubr»- lo février *u momoat ou il portait à la ï eàerclio do o«s mtues, dout on avait i^aor ' d squ aiors l'origine. _ — L'Angleterre, dit i!, traite dono les ports l] «utres comuto des ports ennemis, al >rs que '' [osainguo lui sert mftme da port d a^^jui ' ►ur sa propre <loUo. bi los mines 1*1* et*' P wées Hitoutioïutellonieut, les i-arolos nous v inquent pour U^rir ces a^issements ; » il t-a né<gtl^ence ou maladrosso, il oonvioat de Q i relever vertomeat. . *** La Haye, 27 ma*-* : Le ELollandgch Ni-uws P.nreau annonce 0 lo gouvernomaut hollandais a snisi a»-urd^hui à l'imjuroviste les stoclt# de char-«n ohez tous les marchands du pays. F EN AMÉRIQUE Berlin,. 28 mars : Ou annonce que sous l'impression de« n écomeiits surgis sur le front à 1 Ouest, le ^ nat auwiricaiu aurait voté, en moins de llx heures, dix mesures de guerre- Ln jrazetie de Voss*' dit, d'autre |>nrt, que Comnission ca l'alimentation a eonsi- ^ rablement réduit la consommation du fro- <J >nt. IE Christiania, 28 mars : p Les journaux annoncent quo le gouvernement léricain a dénoncé le traité de oommeroe a)n- 1 le 4 avril 1827 entre la Norvège et .es Etats-îis. Ce traité, qui stipule que les Etats-Unis ingagent, en cas de guerre, a ne pas sa.sir les n vires neutres norvégiens, expire le 2 février ^ 19. Le gouvernement américain a déclaré être j, sposé A négocier un nouveau traité de com- ^ ïrce avec la Norvège. • * Washington, 27 mars : «, M. Mac Adoo a annoncé *1"° ^ montant troisième ,em[)rimt de La liberté atteki-a trois millinr.ls dollars, a 4 % % • ^ it y ajouter S,636,000t<x»0 âj d»llv^ qui noi 1 accordés mais ne sont pas d^pens^s. Au ara de l'lté,le Congrès sert |>rié de faire nouvelles avance aux Alli e, sous forme emprunts. ^ •** u. Pans, 27 mars : , L'Agence Havas apprend de Buenos-Ayree que ^ grève des chemins de fer de l'Ouest Argentin a u' is fin. d< m ai EN ITALIE !; —— 11 Berlin, 28 mars : d< Le» résultats connus de notre offeusiva à \x ont fait eu itaiie une impression 11 tvj irraj-le terrawr : on ti-em>lo a la pré\t- t, une offensive autxichi^ruie sur le m Kii italien. m le tome, 27 mars : ^es membres du personnel de la défense anti qt ienne de Naples, inculpés de négligence lors la première ineursion effectuée par des zeppe- UJ e au-dessus de cette ville, seront traduits de ^ xt le tribunal militaire. (fc en évéafegàfeyiîs de Russie ^ iloscou, 28 mars : _e mmistre de Danemark à Pétrogmd a le ormà lo commissaire russe des a 1 lires ingères du dksir exprimé j»ar 1e corps di-matique des Alliés, qui s'est retiré en îlan^kj, de retourner e" iittssie. 1. Joffe a ordonné immédiatement do re un traiu spécial à la disposition ce la massieurs. xc **» n' »ndres, 27 mirs : • qr -.'Agence Reuter apprend de Pèirograd re > le Conseil des c.o.nmi*s:*iics du peuple eu >n>»nné la déportation dans les pro\ in ces in Perm, de JalLa et de Vologdii do six re in x3-J:ue3 de la famille Homanoff qui se re ivent à Ptirograd. oe! * e * 'étrograd, 27 mnrs : de /a n rai \V©ieco«rsiti, rciri^re d' la ma- >s i dins I© ral>ii,el Kerer.s i. a éi^ invi pa lô perâoruul de la f>.t« da la lialfeqcs av Ui la soaaaUMirtbmfiûii. i, taa*r u n* a MUfU. au : t '-r- £.0. ..^-2 .xiit;---- , 11 gg| M.'étrograd, 27 mars ^ IM. irotzki, ministre de la guerre, a adressé \jta proclamation au i^oupie préparant la dbusntu-tLu de l'Armée Rouge, il annonce qu'un <*ocTt* Jaraftra moe^Sanuncut astreignant tous les ci-> ca^ens aux axeroœa milita.roj. t ous les anciens Îoéraux ct officiers seront remis en sètvioa actil toron t l'othco d'instructeurs, Sous le ooulrôk s commissaires du peuple. M. lroizici a déclaré qu'il avait l'intention d« natitoct une Armée Kuuge d'un million d'hom- £l'oul<« les école» militaire» fatméos actuelle veiout réouvertes pour former le cadre d'ot-uécessairc.. Kief, 2<> mars : , L Un ordre du mi ôstre de 1a gffierra do la - àéputiliqucj dmootutique de 1 uuKr^ii'O de-. crv ta ia d-uiot>iiwati.on de la flo.to de iu mej ; Jio^re et iut»"div l'organisation ai.t viorneuej ' regiiwttf, L'étoctaiu des offioi*s é* »wli<l jlwjs ooît.4 Sg de soldats sont dissous. i ! / Berlin, 26 mars : ' Le vapeur alleniand ,, Le vante Lin re' ' é j' p Antre vaptur allemand sont sa r. > t ; SXe^a- On peut dos.c eouaûlerer que ia ni i iigauon e«t ou ver 0 dtus lea Im pl Jj ; pnptrtants de l'Ouaraiue. Ce r^uitat e>t 11 ;/u travail ciea drageors de mi.ies de la au| xtuc impcriaie qui, au prix des pires dHiit cu'r *s, oii» purgé la mer Noire d>3s ua e' qui l'infestaient depuis les bouobeo dhi Da. uubs jusque prèe d Odessa. * e PctrogTad, 27 mars : I^e Comité contrai de l'Oui raine a offert à 1114. Sokrof, Uauiakcreliu, Lekonteiuborg et Kanlof, anciens déléguer du peuiie, des , portefeuiiies dans le miniature- Pctrograd, 27 mars : On mande de Ivharkof : Le» troupes oukra.iiiioisncs des sovie-s ont aba^idonnô la gare de \ ertoiba où edlos s étaient ooeoentrées- Les gares de Zna-uK>nka et de lvremonlaclikuz sont tomlxes entie les mains daà soldats de la -Rada de li-iel, soutenus par les troupes allemandes qui se préparent à œruer I%atennowslaf. Dans la dnection de Poltawa, les troupe* uukrainÀeone* des soviea* se sont ooncen-ir-es à Lonfen. On mande du front finlandais que la* gardes rouges ont occupé de nouvelles poncions au front Tammersfors-Tawa tihus Le- oombats oontinuent près ds Bjorneborg. a*a Stooklkoim, 26 macs : Un nouveau part', celui de3 social*5,66 d< droite, ost en voie de oonstU. t m à Helsing 1 Tors. Plusieurs chefti de la Garde Uougcsqu voulaient se faire admettre dans lenouveu uarti, enit 6-'é éDonduâta. Ce groui*9 oon damne énergiquemaut la fapon doi t la Qacdi Itouge se conduit et- sntemd comoar«re 1 anar chie. •S Berne, 27 mars : On mande de Pétrograd due, depuis dom jours, des nouvel es alarmantes sont arrivée du sud-est de la liuasie. Dans le Turke^tan la famine règTierait; les mav :malistcs y on pillé et défruit le« stock*. Par r«>it»_de l destruction (ks vo:©^ d» oomraunhiti m e du manqué manières premières, il est im possible de faire venir da secours dos pro vinoss voisines. Comme il n'existe plus d an U;rV«, les bandes armées traversent, i.ipu Elément lo pays en pillant et en volant- dépêches diverses Paris, 2G mars : La Commission sénatoriale a prononcé la suspension de l'immunité parlementaire de M Charles Humbert. Berne, 27 mars : Le gouvernement fédéral a déclaré au Conseil national que, jusqu'à présent, la Suisse a accorda à l'étranger 380 millions de francs de crédits. **» Londres, 27 mars : Contrairement aux informations de l'Ageno< Reutcr, les ouvriers méeantci^is organisés, dono on grande partie ceux des faibri fues u munrti tis, cmt déclaré la grève pour protester eontre l'extension projetée du servic< ^jorsonnel. * s Ixmdres, 27 mars : On mande du Caire à l'Agence Peu ter : — l e 21 mars, il a été porté fi la connaissance do la population qu'un dirigeable oui,ami avait été aperçu à la oôte- Des instructions ont été données aux habitams un cas d'attaque aérienne. U est interdit, uttamment, de faire des signaux lumineux. Une autro information signale qu'un diri-«eal-lo a survolé l'île ds Crète; il se dirigeait vers le nord et a été perdu de vue. JLa guerre navale Î΀Tiin, 27 mars : S'il fallait une preuve do plus que nos sous-marins cétruisent le quadruple du tonnage que les chauLOrs anglais sont à même do oonstruirei, nous la trouverions dans le discours prononcé par M. Boilairc, membre de 1a Chambre des Communes, en réponse aux affirmations de sir Eric UecWe;.M. 1 el-laire esiûne que les pertes de naviies, quelle qu'en soit la cause, repr sente pour l an-11 e 1917, un total ds 6 1/4 miiUions de tonnes do jauge. A la vérité, ce chLfre toit itre porté ù 9»é millions de tonnes urut. Les calculs de iL liedlaiie sont trop .ptimist^s. Cependant, il Ootitinue ainsi : ,,Les sous-marins allemands parviennent à couler eu moyenne 110,1)00 tonnes par semai ne. Comme los chantie s anglais n'ont jra con^ raire tn janvier 1918 que 5G,000 tonnes brut, il appert que se baaan* sur les communications officielles anglaises, la flotte marchande subit une pèr e heblomadaire de 30.000 toni.es — eu f ivrier. 80,000 tonnes — et il s'en suit que la flotte mondiale a perdu eu ce laps de temps, plus de tounage que l'Angleterre est à mfme de livrer en un mois. M. Bel-iairs déclare, en outn4, qu il ne croit pas à l'efficacité do la navigation en convoi pro-tégé.Une victoire américaine La manchet© diu joumol „lle Vader-!and*' de La Haye, arrivé ce matin à Bruxelles, portait ce sous-ti.ie prometteur : ,,Lne victoire amCrioaine '. Les communiques officiels ne mentionnant rieti de pore'1, les lo teurs s eoapr^^rem de lue pour connaîtra ce l'ait d'armes, à tout le ins imprévu. Ils trouvèrent et^g'^l ^e® *l»os ' la revue du j^ur, apri S un hommage m rité rendu à tt vaillance des troupes aaglaiaes. ues quelques lignes : — l;c» Am r cains ont de leur côté lieu de se réjouir d'une victoire, le grenier navire hollandais capturé p,or eux (battant païuton anaéiir in e4* prêt à Ic'ver l'ancre a vas «a éfuiya^a yaiaie1* Ix rd. <'o«ms les „s>lB»s ui ulaijiaa'' érivtnt oiaquer fîlTC-aaaat &a vsist du k*£S lM «a* j^siab» Bafew aaâ Wfca^'s fJfco. coiviiviuniques Officiels -i .1^ ■ !— Conr.aipitjaes ùts Puissances Ceatralc*. /Bcrlm, 28 mars. — Officiel de ce mili : < Théâtre de t* guer*e à l'Ouest. y {Sur le cua-cip do oauulte en i'tauce, les f Anglais ont de îtouveam eavoyé eontro nos •roupcs dea divisions traioiicss retii-es d aa-I irci fronta. Au n<^>^-OUesi ue lia^au**^, t<v>us I avottS TcTitiOfi! aJr i»tti^iit^>' e m ' y «crue, hors d anciennes positions d c .U»n-6 uoira. L'ennemi s est va»:iemeni oatcu a\e ^ ua aobap-iemekit earaonitu'ire £>our t-^itei ' de o l'j^r x Albert. i>e atiAjuca, a^U> ecs p»r <tos automouilss inindoe^, o«t ciouié daua lo sang sur les versatws do» Imu-wours qui fte drossant à l'ones. do l» vide. Au s-ad la boni me, sur de nom^rea.\ points, nos ui\ îs-oiig se sont ira^é passage 4 a traders d anciennes pos.fcuns eanoai e., ei «mt rejsté ias Anglais et les Fraudais daus ' le terT.toire de la- France qui u a pius été »tteuii j^r la guerre de^'Uis IBlt. G-x-âo^ à une attaque que r eu n a pu ta-tori*ompre, les tsi*oa«ttew victorteuses du imjnos î héritier allemand ont enfonce, depuis Saint-<4udtin juSqu au d^a de La âoniuie, les po • siuons ctmcsnies sur une j>roïomkTàr <*e t>0 kilomètres, liier, el es ont mâ ché dt I avant jusqu'à l •erreront et fir; s.nt ou pares*-, de • M v !i'_hds.er. No-î j^enca se t»e .nen dHits (les ilmaJei normales; sur cerfcûi s Ipoinle imponants de la li^nc do bataiLe, elles son* plus élevée^. Ou estime quo le •nombre des soldats légèrement be^s srepré--^en e a 7u % du total de n s peite,. 6ur le front en LiorrîWiie, ios duets d'w-VtelHsrie sont devenus plus vï.Iont#. Le capitaine commandant baron von Rich-liioten a remporté 9a 7le, sa 72e et sa 73e : victoire aérienne. ' Rien de nouveau à signaler des autre* '.théâtres de guerre. > *** "Berlin, 27 mars. — Offioiel du si»ir : , •Saa^les deux rives de la homme, 1nos ♦ p>-"'l|llf|lH ^-Opro^scuit ienKaniodt. •** Berlin, 28 mars. — Officiel : Nos sous-marinb ont encore coula dans la mer d Irlande e^ sur la oote or .en taie de l'Angleterre &VXW Htmnes brut d» tonnage a ennemi •** 1 Vienne, 27 mars. — Officiel de ce midi : 1 Sur lo front italien, pas d événement par- fcieuriier a signaler. e Nos alli s ont remporté (te nouveaux et grands succès eci France. * • « Vienne, 28 mai^».— Officiel do 00 mili : ^ fin Venétie, violente canonnade à cenuiius s endroits. Sur le front à l'Ouest, l'atta(t]ue ulle-que allemande a encore fait d^s progrès, a** i Sofia, 26 mars. — off ciel : Sur lo front en Macédoine, entre lo lac d'Ochrida et celui de Pressa, au ciwrs dr'unu atta<|ue biOu prépaiva et brillamment e\édu . W*», nos troupes d'assaut ont f.téu'tré dan.-, les positions «mentes et en ont ramené de> prisonnders frati;ais. A l'est du Vardar, une de nos patrouille* a fait des jtrisonuiors anglais, i>aimi lesquels un officier. ! •*a ConstanlJnople, 27 mars. — Officiel : Sur le front en Palestine, à lostdujou^ dain, d«s cnm x<ts se sont engagés aveo do-troupes onticiui^s qui sont arrivées à cet endroit; ils ne sont i>a<s encore terminés. Fa» Vtéoopo amie, la. nuit du mars, les trou{>&« ' ennemies ont approché de nos position-? ■ avauoées; <^îes ont ét>6 re^ionss-es et ont subi! <>es portos. Appuyé par des iroupe® do oivai, leiie, iiiS aatomobiies blindées et quelque-, oompagnios, 1 ennemi a vainement reuouvel 3 son attaque ver» 4 heutos du ma i,i. . ^ t ^Tîerlin, 27 mars. — Oflicieux : Une part prépondérance dos succè» que noua* 5 ^voas re.nportés entre Arras c; La Pére, revient A nos forces aérionue». Pondant les préparatifs dt pot.e braille qui devait aboutir à la porc4-e, nos. bbscrvaieurs, triouipUant de teu» les obstacles, ont v ^ueiié h bion leur travail do recouoaUsaues san» jme lacune jusque loin à l'arrière du front ennemi jjl'où ita avaient rapporté la pholographie du ré ; ,*oau des posiîious a«igla;ecs ot oé ils aient ini-puiieusemeat surveillé 1» tra/io sur los eiieuiins de ior ct las routes, de tello sorte que nos eliefti lavaient la oertitude que 1 ennemi iguerait cotuplè-IlomsBl que uotre oitonaive fût hniainenJe. l)r« ' phrtograpîdes renseigns«oot noire infanterie eur » los moindres déiails des positions onnomies qu'elle ) devait prendre d assaut, sur chaque abri de mitrailleuses et de tance-mines. Nos avions do oliasse' avaient protégé contre tout danger l'activité de> nos observateurs «t avaient roussi à empeoher le»; forces aériennes ennemies en ios attaquant »>aus ni^nagemeut de se rendre compte de uos prépara ^ tifs- Le 21 mars, dès que se dissipa le brouillard* qui avait empêché dans la matinée toute opéra ion; aérienne, toutes nos forces aériennes se «ont. ar«c ae même élan invincible que 00s troupes lancées 1 à 1 assaut à travers le champ de ba i lle. Nos e* cadrilies do cliassc ont conservé saus coutcsie la 1 supériorité. Kien que ie premier jour, elles ont .-descendu 6 ballon» captifs ; les jours suivants ei •■jusqu'ici, elles ont descendu m avions. L* fîTe ct ; 68e victoires aériennes du capitaine commandant . -baron von Itichtliofen confirment la supérior.t^ dfs .longtemps démontrée do uos vétérans do l'air .quant à nos .cunes aviateurs, les trois victoires . remportée» par le lieutenant Wiudiscu on un seul 'jour montrent que les jeunes ne le cèdent ou non , a leurs ancicns. Oe forte» escadrilles de com>>a« ,ont, malgré le feu violent des mitrailleuses en ne- * «uies. accompagné à très faible hauteur rinfaaierie -qui donnait 1 asaaut : lan-ant des mines et des ' bombfv mitraiWant les batteries ennonûas, elles ont réduit celles-ci au silence et ont. pendant les phases principales de la bataille, aidé tes troupe»» lancées à l'assaut à triompher do la diruière» .contre atiaque onuenro. Nos aviateurs ont atta(|ué^ une haateur de 8) mètres les colonne» ennemies* qui arrivaient précipitamment le» ont disperst-e^^ en cours de route et ont jeîé le iôsarroi dan^ a armée qui baitsât en retr.iite : dans l entretorapsj nos observateur» avaient reoeauneiicé à explorer en avions ot 01» ballons captifs los nouveilos pou* : dons de l'ar.ill« ia enne.tiie ci les signalaient i;n$ méiliaicment é tu*tr* artillerie qui pointait des Vièœe en coneéqueiices. Nos aviateurs ont îaitl des vol» de reconnaissance sur une distance de plus de 1,(100 kilomètres j>our fouiller les chemin» -iliî fer jusqu'aux pons do la Maudie ot découvrir le» contro-mo6urcs prises par l'ennemi ponr pal lier son grave éeboe Nos ballons, de leur eftié. i ont mndu de» services signalés à nos chefs et à : nos soldats. l>e 2â mars 1^18 marquera une da e glorieuse dans leurs annales : leurs éqi.i,-ages ré J solus à suivre pa» à pas l inlauterio res taient en ob»ervatioo en l'air tasul s qu'on fa.r.att . a\anocr leuis baUone de manière à être en me sure, malgré la rapidité de la marche en avant des troupes, de Biçrnlrr sans in.erruptieu los tn» sitions ^jue celles ci occupaient et les prinoij>aux jMiiuts de la résistanoe ennemie. Mnljrré ioub les iTToits dirigés contre eus — les anaours enne mis n'ont pas, en une seule journée lanot mn'-m» de 90 bombes aur un to'ain de taillons — nous n'avons perdu jusqu'ici que derx aêros'a'.s. Dt» le premier jour, nos caaons apociaua de dSfense contre les avions ont pris part îi notre offensive : ies autouuilriles qui les portaient ont suivi pas à • oa» nos U'ow*»os lancées à l assaut, assurant dan» 1 lo terrain ceoqwis la protection de nos observa | tcurs en avions et en ballons. Toute» les nui s j jréeédnot los jew*écs de batadle, nos escadrilles | de bombardiers ont coirîousemetrt arrosé de leurs * oonibes, ina^gré Je te«^>« ^»eu tavora0<e, le» pouus 'ao jonction d,Ss chemins de ter à i arriére du ii'ixK euucmi et Jeïû 10,wO kilos de bombes Sur iv'S potm aii^ltué de Lialais oi de Uuniiurwue. Une ^iaq\ie ï»ronouoèc .1 l& ti'ès laible txuHStil' ooutre xs <lne ligne pnucqiate Uo oiicimn de icr. à 30 ki-A"u4raB à 1 aiticW du iront, a été par iouiière-*ce. ivn quatre nuits, nos escadrii.es do 4" oqinbardiers «ai tancé aa to»«l l32,tk»o kilos de i!* biynoes. I * *» i- lierUa, 27 mar». — Oî U ieux : 5. Vttraat les premiers jour* de l'offensive alto- \ I l' tide, nos ennemis oui prétendu que nous e a- ^ ^i<4'S obaeHU que des rèeuluus tactiques. On ut ^ ,'Oaiu-utt, (îiseni-ils, parier d un résultai atratégi- 2 qu|[ que si les Allemands » empara.eui du U.iut | j'.aioau d« iiapaame qui, comme l icrixait àl. C .lefiri tîWou dans le * Jouruai . au 25 mars, .10- f •x iu||ie.« émergeant comme une lorieresae, le t»Ays ot : ;c ceiwitttoe la clef de fcrat le système de dofeuou ? ci i'i|bti an nord de la ^o.sme. Ur, uou» avons d»ija * lb «"Ui.qui» iiapaume (e 24 mar». ^ l'our faire contrepoids aux vioioire* aileman. vto« qui «e sucoèdeut 04 doui le resauat a UvJk isrctj uos enasmia à eavoyer au ieu d<s reawrvt-^ uagjaiscs, Irau^uisos ot a<uérioaiueb expodiee» on ctto do prcaiiue ious los Irouis, tu» Anglais et les t tjruu^a.» mulUplieni los nouveilos pubi.cca peur 0 tSnter de Calmer 1 opûUoa publique ci e\avèrent à liuraace tes perdes allemandes 11» oubl ont i«a j[c ^pénencos des grandes baailie» qui a\ ai eut pour • ^ obrectif "a percée des lignes 01 qui deurautrout * qu<j oelui ^|ui at a |ue hao»-o.i:em suDit moiim de portos que les troupes qui d'-feudeni lœre posi- • fous. Ueite lois encore, hss p«U'<o» ennemies dé-c> r.n>-eeiif de loin les perte» Allemandes ; da ro^t», le i il n en ê-.ait pas ainsi, les Allemands eussent é- Jaé hors d <xa. »ie cunuuuor leur ofaxsHVs qui sa ^(loursuit tlo,A de;Kue sq«t jours. IK'6 troupes deci-£•. ^iuée* 11e ira versent pas ctuquioiie Kiiomé.reu de norruiu UVo pm^sammenl retruuché « ù' endu avec k lacbamemeut ; d autro puri, c'est précisémsm cetie - «résistance si opiniâtre mii co ;a lunt de perte» a 5< a ennemi. Les erfwùîs aaglniâ m a en I ?;no ea iiaases compactes sont bouleversés a i point qu il P>, os; maiér.eM«>menl impoaS.toif que les oî-dres de^ / ceefs uuti-.aire» aoiout rO^uiiérement exécutés. Au . our» de durs com},ois, 1 oiuietui n'a censé d éire repoussé et ses réserves fraîches sou» emraïuecs t dans la dOiaite. tJans aviét, te» troujrtvs allemandes ? victorieuses pénétrent pic» avant au c ,-nr du pays ennomi. tlerhu, 27 mars. — UfciCteu* : II n'existe pa» la îuoiadre iofa.ualion dans l'en- \ jg îhousiaeme qui anime les cbeîs ot lea troupes al- K 'eiuands depui» le formidable «uccis qui a iîou- J ronué leur» efforis. j$cul, un eendmeni de pinuo reconnaissance lœ dorulne. Ainsi qa'aatrcîoia f après la victoire de LevHben, ies greuaihers du ' . «rand Koi suivaient leur souverain a;uié ir te j oitamp de betuille ver» Lissa en cliauiaui " Ko- j merciez tous Dieu nos troupes sont acjo.ir- \ d hui au j niée» du même seoduieut. !^e oo.*ur de ^ «'Uacuu de ces soldai» allemands tideie» jusqu A a •uoet à leur Empereur et a leur pu. rie, » oou-science de la grandeur des heures liistoriqer^ qu il» vivent et où commence le etiû.inient de ^ l 'arrugancc britainuque qui a la t verser d»s tor-reuta de larmes au monde soutirant. Communiqués d«a armeej aflicoa -'"l'aria, 2T macs. — (;f;ic cd ùc b li«\:es : 10 Drus la suirce d liiti «i ilaui la ujil, !"' 1 «IMU11U1, pitrtoul couluuu, uff .la.1 (>:u > s II eKuclit ooua.ii ïaWeo, a tt> unirai, - e r-i-icntir sou utlort. La vaii,an»e u* atja ;n u- ^ po* qui défendirent le ion au p:«d a ptixl e>st au-dessus de toui éioge* Noi»e» rcs-ais u* .igne t»aeile-ôa4ut^Aurtur.~î;euvi.o „..cs, n -rd * ie Laseign^, aborua sud ne Nojo», rue „«uobe de l Oise. Nous avous rcinKibS pendant la nuit de for.es reconii^is^ince., qui i .éditaient d aborder nos positions au nord-ouest de Noyon. liombiudement intermittent sur le K (lia ^ front. at » • ♦ " Paris, 27 mars. — 0fri.ielfcll li-r.fi: . j- L'euu«mi, j».aut dana la teiaiille «.'rsttuiw , ' |K* fraiotoos uouvclies, a aUayuO t. s'' il l'<'i a.oc une violaioc rodout.l e |loâ : nous à lea ils iloutdjiiier. Nu» a-. • ; < <>irt , 'it té it yiusieura i&j.mhj., a . in) 11a- t j-j • udtiiinvUe, las assauis (le i'cuueiui, i,ai a î r»>u>.j à progresser que grâce à un - i;.o-i fuiité nuuvrique manjui)«. Dans le, t ^iuiis de Lassigny et de Nojoii, do» h.i* „ non mums puissantes ont suhi mi c. A lilet édiec at se sont hr.- es devam la u> it, MWUk06 h'Tolquo de uos nfrimum, » 6"V y- rrSR. <1^ front. [; _ oSSSS : e '1-^ nuit dti 25 au 26 mars, 1 ennemi n'a ^ 4^ prononcé do nouvelles «ivi^utts > r r /uotte front au nord de Ja ^ouinie L aj,r s- h! midi, des combats locai. \ so.it tivr^ ' —. a r< »ette partie du frosu de baiad,c; 1 ennemi a cî té t«pocMSé; toutefois, il faut dire <;t.e >«.> ; «taques n otaient ^as imjmt.utci- Au c.ord % de la Somme, la li^œ He ijata lle passe j^tr 2 UrBye - Ajbett - BaMmioist - Uasm;! 1 a..#.. -sl Xyci e-Boiry-ilcsttn-Wunnourt, puis e'.ie sj j ' iri^e très prés de mchy à l ouest jas ju'à ^c^rp0, où eile riy â/:t notre Lr ^'t , ri-41 mitif. % Au sud de ta Somme, 1<b Allemands out R ônergijneaient atinque ce matin er, à id h.So, 1 ils se sont emparés de iîove. A c<v eadroit, t , la ligne de hafaille semble pas^i de Mer-i loourt. datée sur La Somme, f»a.r ives t c ^e dirig'cr ensuite ;V |'r»nest de Roys et h 1 ; ' ouest do Noyon. Sur cette partie d.i frotit 5 -ô bataille, nous avons constaté la prés-\:ee ' s jj de d;visions frv.ches allemandes, j.a-.ni 1cs-i ' quelles don* divi*io«» de it O&rà.* » feux , iivi ions -du Brandebourg. >ur m tcirainso i «attent coado A coude /tes dirUin-'s aiwriai-sos, fraoçatiees et amértCMnes i\s rent t s f fran>»is avancent rafiiriemeut ve^ le c aiup ^ ie bataille. A l'ouest le Roy© et daus ia région de Noyon. nous avons carayé la mnr-^ che en avant de l'enoéni. Nos troupes ont 'V 1 ^svteaneut r^i^o.i- -es [•{ \ courte distance de Prtye ?ur les tVns rives tlo la Somme. Aj r'-s un "io>nî r n-Sat. nous avons rejeté Veanemi qui diri-*« geait au crépuscule urft ri^outease att'i ne. contre nrtre nouvelle li^ne 't^Mie au s««i de » la Somme. A proximité du fleuve, l'eanemi" % a pénétré Sur un point dans notre position; ; ^ il en a ét& evpul44'' par tme oontro-n^tn?: e. u, n'a-itres com^B^s îoeenx ;<e »*mt livras au nord U au nord-est d'Albert, tn-i^ la sit/uft. ' v4ioa n'a pas changé fous e* Rf.et<vir du champ ' Kome. 27 mars. — Of'ioiel ; c Postlba^es entre nos avant-postes ^t des r>facbea>ents ennems dans In Vallnri^a, *wci qu'entre pfHrou il les sur b* rive dr"i*e t ie la Tiave, à l'est du MotiuJJo. Fi r 's txi^c db front, canonnade iatntuil'iatiSs, 1 tilus violente dans le aectour de 1* c de. f [«ngram»mmeisrêré Moscou, 2T mars : e L information d an grand journal j&po:uws disant que lôo Ja^»onû s araiem <>té tu ^s 4®r 1 les i>o!o'iis\ istos îi Bia^owcsfct en e*t * s*>-5 Ui< ^ it ooitjrouvée. Cîis ^af*onmsa soaien*«at j mit t-ouré la mort an ©ours de 1* bataille 3 livrée oatre los roages et lea hlanr* P«1K OES HÔONTISWENTS JDÏÏRSAL ntmrmEe? — ^ - Vnmmm - £& Cêammt IiMii ; ^j^t^X^WtÊÊBSS/BËSBHÊtÊÊ^SQÉÊ^BSÊÊÊlÊÊatSÊÊÊÊ ^ r - ^ ' ■ '

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