La chronique: gazette quotidienne

871 0
close

Why do you want to report this item?

Remarks

Send
s.n. 1914, 05 May. La chronique: gazette quotidienne. Seen on 02 May 2024, on https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/en/pid/cf9j38n197/
Show text

Over deze tekst

Onderstaande tekst is geautomatiseerd gemaakt met OCR (Optical Character Recognition). Deze techniek levert geen 100% correct resultaat op. Dit komt mede doordat oude drukken moeilijker te lezen zijn met software dan moderne. Dat betekent dat er onjuiste tekens in de tekst kunnen voorkomen. Er wordt gewerkt aan verbetering van de OCR software. 

Marrit H mal 11*1 *~ — KdJtfor; ^ bureaux 5 et 7, Oalerio du Roi-(Passage Saint-HuberQ BRUXELLES C1NÖ CENTIMES-LBNUMERO POUR TÖUTE LA! ÖELGIQUE GAZETTE QUOTIÜIENISTE 4LYc aimée, — No i»« TELEPHONESAdministration: N* 1S8H Redaction:N« MOS a ABONNEMENTS :JS«Q Brujbllbs : 12 /rancs par an;,— 6 francs pour six mois; — 3 francs pour trois mois. La Province : 15 francs par an; — 7 fr. 50 pour six mois; — 3 fr. 75 pour trois mois. Tous pays de l'müon postale, 30 fr. par an. — Hollando et Grand-Duchó do Luxembourg, 20 fr. par an. FONDATEUR: Victor de la HESBAYE RÉDACTEUR EN CHEF: Jean d'ARDENNE ANNONCES : 4* pago: 30 cent. la petite ligne. — Reclames (après les spectacles), i fr, la ligne. — Faits-divers (corps), 3 fr. la ligne et faits-divers (fin), 2 fr. la ligne. — Necrologies • 2 fr. la ligne. — On ne garantit pas les dates d'insertion. La publicité commcrciale est exclusivement recue a l'Agence-Réclarae Godts,2, place de Ia Bourse, a Bruxelles. Télcph. A. 3J99 La publicité financlèrc, les petites annonces et les necrologies sont recues-aux bureaux du journal, S et 7. Galerie du Rol. irxxasasis^s&xissaaaa L'ÉPÉE ibejles passes, des phrases d'arme élégantes devint menie si.grand que 'l'on fin i-t pa-r all-er «sur 'Ie terrain a.vec des fleurets démouehetés. Ces't Ja -période du classicisme qui atteignit son -apogee en notre siècle et a la m du precedent. Car Al est a pen .pres certain que PETITE CHRONIQUE anince', a la mine indolente; au visage allonge, a la i-aië impeöcabl^ ne devait pas trouver de cruellies. Ce sont des revanches que prend parfois a.u sexe faüble, et si souverainement fort, et qui le Or done, pour ce jeune premier, une petite aeiWfce s'est »tuée. Actrice ? c'est beaucoup dire. Mais on dolt pourtant parler d'olle aivec emotion : car elte était jolie, on le salt; et les letties d'elle qu'on u lues montrent qu'elle était sensible, n-roifondément et sans bana/lité 1 Qu'eaies -lerötreB ? Des lettres intimes. Afe, comment Hes a-t-on lues? Qui les'connaït? Tout le monde. Le grand public. On les analysa, iplirase par phrase, a la barre du tribunal civil de Paris. Hé oul ? ce fut, en deux heures, toute une intimdté sinJstoament déivoilée, toute une mort vevéeue, si nous os ons rapprocher ces terrhes. Juliette en se ^uaiut ^ institué Roméo légataire universe^ et M»" .Cardinal pl-aide contre Ro- 012*0. On ne peut, .éfvidemment, d'après ces débats •rapides, se faire une conduction : mais en lisant ces lettaes déchitrantes, que la littératuae même ne parvient pas a abïmer, on. se sent pris d'.uine sympathie Le retour du président prodigue! Non, ce n'est pas cette fois-ci que nous le perdrons ! Le rough-rider nous est de retour. Tvlais en quel état, ö justes dieux ! Oui,. l'héroïque M. Roosevelt, rédempteur du « Continent noir », nous est restitué par le continent Rouge. Mais, -au principe qui lui est cher, « l'Amérique aux Américains », l'Amazonie a répondu par un ironique : « Les Américains a l'Amérique. » L'ancien président vient d'arriver a Manaos, mais, épuisé par la fièvre, il ne peut guère Tester debout pendant plus de cinq minutes, il n'a pris, pendant vingt et un jours, que des ccufs et du thé, ce qui est un régime plutöt amaigrissant. Au cours de son voyage, M. Roosevelt, durant des journées entières, ne rencontra que peu de gibier. Il lui fut même impossible d'attraper du poisson et il fut a court de vivres pendant trente jours. Jusqu'a lnrnvée a une dents notables. Le troisième a 11 heures 3'0, le1 •quatrième vers 11 h. 40. L' « Avian0 . 8'», pilote par M. Gérard, emportant les commandants Tasnier, Vincotte et le capitaine Lebbe, 1' « A via n° 10 », pilote par M. Soucy. Le ministre de la guerre s'est retire vers 11 heures et demie. L'evenement? avait ameiié, malgré le temps detestable, beaucoup üe monde sur les hauteurs de Koekelberg. »■■■>'*i4^ <■■ i ET LE FLEtI ■a-mai 18"21. 'Helene. dans le passé des maitres tels que les Méri gnac, Kirschoffer, Roufteaoi, ^panni les Francais; le popuffaire Léopolid Merckx, akné des artistes (il comipta parani ses .élèves Eug. Deanolder, Vaflère Giil'le, Courouble et bon nom-. bre de nos confrères), Julien Merckx, Desmedt, Seildersflagh, Beaurain, R-abau, Tack, iparmi Bes Belges, et tant d'antres don-t le; nom m'iéchappe, n'ont jamais été égaiTés. Ce sont et c'étónt — «car qucLque-uns ont dis-] paru — les derniers virtuoses du fleuret. Avec Tépée, on entre dens une phase nouvelle. C'iest .peut-être le cubïsme de l'escrime. En tont cas on est encore Join d'avoir oblenu, avec cet'te arme, qui seinMe vioiu-Joüj renouer les tradations de la rapière du X-VI*i siècle, des resmltats «pareils è-,cenx don* peuwnts'/enorgueffl-ir les «fidèües de F-assaut classique. Öuoi qu'iil en soit, n'es't-il ,pas curieux dei •voir aippanaitré /les meiilleurs .escrinnjeurs a une qpoque oü l^épóe n'est't plus portee que par «les ministres, .les academicians et les suisses «d'église ? «La vie a do ces eonlrastes. HORAOE VAN OFFEL '">—♦«^~<.—. Voicr .venir 3a saison «des grands «lournois infernatjïonaux d'escroane. Je ne connais rien de plus j-oli ni de plus paradox»! que tt'Jiistoire .de rescrime. iL'hisfcoire de icet >arit qui est .arrive | son «plus telt idögró «de «perfection au meanent même oü i ne peut-jïliis servir a men. Si ce ai'est de nous faire brililer dans les concours. Gen-re «de succes dont nes tireurs belges ne se privenit point. L'escrime ai'est «p&s aussi vierlOe que -Tusage de l'épée. Los pail«a«dins et les chevaliers errants dódadgnaient «fes passes sa.vantes, qu'i.ls fcenaient pour des ruses déloyales, bonnes a «ssurer Ie toiooiphe des couipe-j-arrets et des truiands. 'Eux, «Ms frappaient droit devant eux, confiants dans -Ie Jugement de Dieu... et dans Ba 'trem/pe de ileuir cot te . de .maiiles ! •De nos jours nous avons vu quelque dhose de semblable ioirsqu'on a introduit, daas «les sales «d'annies, He jen positif et brutal de l'épée de «coiriM. «Nos vieux1 inaltres, partisans du «fleuret, des assauts serres, académiques et corrects, .résistèrent éiiergiqu-eaiient ü cette nouveauté sportive. 3 Atfcaquer pour toucher ia'importe ou, e'était lia negation mème -de 'J'ant des aranes. Le toreador doit atfcendre /Ie ■tauraau de pied ferme et Qe Wrapper (just© «au déanut de l'épaule et non a m'aiohine. Un discouirs «du candidat suiivait, apFès quoi, il y avait ume-d-isti-iubu'tion d«e cerfs-volaMs. Vous tdevinez que ceux-ci portaient büentöt "dans les airs, .par les soins des marmots Idu pays, eet utile oonseil : « Votez pour X... » Maintenant ai, comme aft est a croire, ranecdiote .ne s'iest pas passtée en BeJgiquie, il faut esjp-érer q.u'elile s'y réalisiem bientót, 'grace k quelque candidut voyant les choses, sinon de haut, du moins en haut. Le Passé qui passe. Drapèaux neufs, agités .par de vent, le chant, •les facejcCes ensoleiildjées ooanme des flammes «rouge, jaumes «et no ires. -Guii'landes vertes, haloons fleuris, rues grouiHantes de monde. Les terrasses des cafiés sont envahies. Families bouttigeolses, redinigiotes dominical es, gardies.iffiivijquf's i"È«v.onant de l'-exercioe, l'arme a,u bras, (le chjaip^au surJnoDffè de pi-umes de coq. On .bavande, on statiionne, on s'inteia>eüle. La bonne Humeur .est générale, car c'est la kermesse dans le,plus coquet faubourg de' BruxeUlies : Ixel-es, comme chacun aait. La-tëas, prés «des. Eöangs, la ïoire a dressé soii.öamjp volant. T.iis mécaniiques jIritures, to•bogans• et tourniquets. Les enfants, «émerveiliLés, formant eencle autour du manége dont les •cbeiviaux et les lions de bois tournent épeidüment. «Le matin, on a vu «la procession. Une jolie procession, aiveic des anges aux gr-andes aiiles, des sarntes a la «maniere des'-feanmes die J.éru-' saiem, des fabmeiens, des fl'dèles, des < •Ce cortege passaat entre une double rangée de spectateurs respectueux, mais affaires. 'Chauffeiaïs d'autos en panne, motocyclistes, wattmen, boyacouts iinquie«ts d'arriver en retand au lieu du rassemblement. 'Au-dessus des têtes,. les nuages d'encens s'accroohaaent au filet des troïïeys aériens. Ge cadre ulHtra-ono derne fa.isaiit ressortiT daviantage .Te charme surann-é die ceöte vieille procession -allant lentement, «au son dune mu£iiiq«u© assourdie, vers le temple. A la fin, on eüt dit quelque chose de tres irréei. une longue rangée de fantomes, ap-parus en plein midi, traversant la cohue des vivants comme dans un rêve, sans voir' et sans comprendi,e. Miles gloriosus. •Non contents de s'être copieusement en... guiiilandiés avant fl'élection, .Tean Richepin et un va«gue homme ,politique, nommé Ceocal-di, continuent d'échanger force propos désobli-geants. Le Ceccaildi traite le poète de « Miles gfloriiosus », ce qui n'«est pas pour déplaire a un normalien évid'emment lecteur assidu de Plaute. Il est moins utile d'a.v-o:ir i'eiproché a Ric^epim de faire payter le loyeir de sa tombe fanriiliiale nar un a-mi. Ce sont la pourtant intimites qui n\mt guère de signincation politique. Par €xe.m.ple, oe- qui nous peut toucher, c'est le Utre de « «Mannekenpiss » fsic) national deeerné a Jean Richepin. I;l y a la quelque chose d'infininient flatteur pour «notre amourpropre, non pas Uant national que local, L'irrésistible jeune premier. On sa-valt qu'il étaiit un de nos seuls jeunes •uneoriiers, — le seuil jeune premier, —LE Jeune Premier. Et il sufiftsait de voir, dans la sall'e, les ipensi'onn'ats d'Anglaises batlant des malus, la chaste rougeur coloirant les joues des jeunes misses éimues, pour deviner que l'attrait de ce jeune p«remier était irresistible■; qu'il déj paSsait les planches, et que ce jeune homme Mens. Mais a partir de ce moment ce dehrangais. Qiïils remplamai ost&nsibhemént ce mm un engoueanent, une folie. Jusqu'aux édits de Louis XIII, de duel règna & 'Paris comme une ép'idéanie L'on se Üattai-t 'a propos de lout et même a (piopos de -ïiien. Ooanm«e les seconds s'ail-i-g'aaient en même temps que les ad-versairesj cela 'Les rom-ans popu'laires de Dumas et de ses imitateurs ont con-sidérabLement faussé l'his--toire de ces duels oü Tescrimc ipropreanent dite, (les traditions chevaderesques du champ«los«, les discours pompenx et des prouesses tie la lïaime n'a.vaient que fort peu h fiaire. j 'Les -faaneux duels du Pré-auxiGlercs! étaient de viéritebles tueries. Les combattants dógainaient, se débarrassaient de leur fourTeau et se chargeient comme «a 'la guerre. C'es'tla-dh'd a coups d'estoc et de taillle, avec 'lc pcAgnard et la rapière, s'aidant de tous Ues anoyens et de toutes les ruses. 1.1 n'était ipas déshonorant de couper la- goaige a un aitfversaiine (dé'sarmé. Montaigne lui-mièmc tranche la question en disaut : 1(1C'est un advantage qu'on a gaiigné en cmnbastant! » De anóme des témoius tomb aio nt, tous eusemble, sur le survivant du camp ennemi et i'iachevaien.t. On faisait aussi du buit in sur tos ünorts, a moinis qü'on n'abandonnat leurs Wjoux et leur 'bourse aux ilaquiars. Cette cruaute était d'ai'luleui's logiique et inéviïa'bte, étant donné les mceurs du 'temps. Comme dans la vendetta corse, il .faliluit se "öéfaire de son ennemi et de ses allies, si on M vouSaiit, .tot" ou tard tomber sous leurs coups. Du reste, .les quclques 'traites d'escrime 1ue nous a léguès celt'le époque sont tres rudhïien'toines... Tout se reduisait a quelLques «squivements, «inqüurtata », « paissa sotto », *tc., et a, quelques ruses grossières, iteles que eo'uvrir la lête de son antagoniste' d'un w-aateau adroitement «laneé, comme lie rétiaire jc'tait son filet, s'emsparer, après un toen-t, de la (poignee adverse pour daguer l'-oune/mi -d'ians ila bouscnilaide du coipsa-forps! 11 y avait encore Tart de dégainer en •frappant • radversaire de son fourreau. Jawais on ne gardailt le fourreau au cóté. Les ftëgants le ie'taient par dessus 'la töte d'un coup sec. Ainsi 1-a fameuse pbrase : les épées sortaient ellesmêmes du fourreau! est un non sens. francais par une ia/rigue confidentiette, celd les regarde. Mème des artistes trouiyeraienï peut-être un &pre et amer plaisir dans un Bruges döbarrassé des ioiorisbe-s et déguisél en bourgade lointaine, au lamjage rude et décancerianl. .■Mate ces argimie-uls (?) ólaiU donnés en faveur de la flaminganüsalion des noms de rues, on peut regrelter qiïwm vilie d'art el de beauté condescende aux manoeuvres rancunières, mesquines, iVvne bourgade inglorieuse de Flandre. 11 ij a des cilé-s qui ne s'apparUennerd plus lout enlière, elle se doivent aulant a leur passé et a leur histoire qxCau monde qui les admire. Lc ragonnement artistique de Bruges et son prestige óhi dépassé ses remparts et les frontières belges. Quelle Orisle\ bêlise de vouloir les amoindrtr. Quelle bêtise d'afficher a tous les coins de Bruges VhoslilUc au Francais, au Beige walton et a loulc cette parlie de ihisioire de Bruges qui fut vécue en francais... Il est vrai que si Bruges perd quelque chose a cette a venture, elle pour ra ij trouver, son comnle d'auire part. 11 lui suffiru de créer un petit far din zoalogique, dont les pieces rares seront ses flaminganls. BOB -^-•♦•~«<- Au jour le jour LA POLITIQUE -Hier encore, un des plus grands journaux öléricaux disait : « J.aim.a:s. les töüciél'istes ne trouver ont un libé-rai sur leur chomin! » Cependant, cette rencontre vient ■^♦'^ < A l'Aéro Club de Belgique ASCENSIONSllILITAIRES Bien que l'expédition ait apercu des traces d'Indiehs, elle n'a jamais pu en rencontrer un seul... Pendant quarante-huit- jours, elle marcha .sans rencontrer un être humain. Cinq de ses sept canots ayant été perdus dans les rapides ét les cataractes, il fallut en construire d'autres. Voila un beau chapitre a ajouter a la légende de M. Roosevelt : cette fois-ci, on ne pourra plus l'accuser de bluff et de cliarlatanisme! NonvQllss 4 la mal» 'Le patron. — EJi bienl Wl. Lefétard, .vous _vodl'a; pourquoi suis-je ton jours .avant vous a mon 'bureau? 'M. Levótard. — Par suite de an-on profond aes-pect, monsieur, je laisso toiijours passer dnes supérieurs avant moi. Le ministre de la guerre, par decision du 10 janvier 1914, a confié a l'Aéro Club de Belgique le soin d'organiser des ascensions mfiitaires en ballon sphérique libre, pour les officiers d'état-major et les officiers aviateurs. La séance d'inauguratión de ces ascensions a eu.lieu lundi matin,'au pare aéronautique du Club, a Koekelberg. >-•♦•-<- UNE DEMEURE HISTORIQUE üa memorial a Paul Janson Dés 9 heures, les invites, les pilotes, les passagers, les membres «du Club, se trouvent réunis sur la pelouse, autour de cinq ballons a demigonflés. .Voici nine inauguration de monument n'ayiant itien de «i'emplia-se habituelle, bien dans •te gout du .grand homme, simple et veritable, qu'edJ^e préteuidait bonorer. i Lumdi, vers les 3 lienres, anre Defacqz, devant le n° 73, l'on pouvait remarquer quclques flaneurs dont le groupement ne s'-expü-iquait pas du fait Id'une .cirouilation plutöt faible. Cepen;dant; un operateur de «cinéma dnessait un appareiil- et s'essayait a « tourner ». En suivant ':a direction de 1'oibyieictiif, S«'on -découvpait uue petite tenture voiilant quelque dhose. «Nous alilions vakinaugurer l

Over deze tekst

Onderstaande tekst is geautomatiseerd gemaakt met OCR (Optical Character Recognition). Deze techniek levert geen 100% correct resultaat op. Dit komt mede doordat oude drukken moeilijker te lezen zijn met software dan moderne. Dat betekent dat er onjuiste tekens in de tekst kunnen voorkomen. Er wordt gewerkt aan verbetering van de OCR software. 

Er is geen OCR tekst voor deze krant.

Over deze tekst

Onderstaande tekst is geautomatiseerd gemaakt met OCR (Optical Character Recognition). Deze techniek levert geen 100% correct resultaat op. Dit komt mede doordat oude drukken moeilijker te lezen zijn met software dan moderne. Dat betekent dat er onjuiste tekens in de tekst kunnen voorkomen. Er wordt gewerkt aan verbetering van de OCR software. 

Er is geen OCR tekst voor deze krant.

Over deze tekst

Onderstaande tekst is geautomatiseerd gemaakt met OCR (Optical Character Recognition). Deze techniek levert geen 100% correct resultaat op. Dit komt mede doordat oude drukken moeilijker te lezen zijn met software dan moderne. Dat betekent dat er onjuiste tekens in de tekst kunnen voorkomen. Er wordt gewerkt aan verbetering van de OCR software. 

Er is geen OCR tekst voor deze krant.

Add to collection

Periods