La dernière heure

2210 0
close

Why do you want to report this item?

Remarks

Send
s.n. 1914, 16 March. La dernière heure. Seen on 06 May 2024, on https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/en/pid/zc7rn3211f/
Show text

Over deze tekst

Onderstaande tekst is geautomatiseerd gemaakt met OCR (Optical Character Recognition). Deze techniek levert geen 100% correct resultaat op. Dit komt mede doordat oude drukken moeilijker te lezen zijn met software dan moderne. Dat betekent dat er onjuiste tekens in de tekst kunnen voorkomen. Er wordt gewerkt aan verbetering van de OCR software. 

Anvers, dimanche. — Ce matin, les, deux associations ouvrières libérales ont' tenu des assemblées générales. Le «Liberaal Werkersverbond» seréu, nissait à 11 heures, au local Pelikaan f sous la présidence de M. Langohr, ayan^ à ses côtés MM. Pecher, député; Verrepti Van Geel, conseillers communaux; Var(* Wassenhoven, Hoeben, Hermans, Meer-rf bergen, conseillers provinciaux; Vinci. r Lesneuck, Boyers, Wouters, etc. M. Verrept, secrétaire général, donnt, lecture de son rapport sur l'année écou [ lée. Il rappelle les événements politiques. anvexsois et la part que le « Werkersver-| bond » y a prise. Il notre, entre autres, faits importants, que l'association ou-( vrière libérale a soutenu ses membres pendant la grève générale pour le Suf* trage Universel. Il défend le projet sur-, les pensions ouvrières déposé par M. le député Pecher. 11 rend hommage à l'activité du représentant parlementaire du « Werkersverbond » et au dévouement du: président, M. Langohr. ( _ , Celui-ci occupe ses fonctions depuis i trois ans; il est sortant et non rééligi^le; \ cependant M. Verrept propose de le réélire par acclamation — ce qui se 'fait k après des discours de M. Van Wassen-1 hoven et de M. Pecher, parlant dans le k même sens. % fi M. Wouters, trésorier, fait rapport à I son tcirr. I! cité de nombreux chrfttes ef* conclut, aux applaudissements de l'assemblée, que la situation financière est prospère. ! Puis M. Pecher prononce son discours annuel sur la situation politique générale. Il attire l'attention sur la signification des élections législatives prochaines. L'opinion publique aura l'occasion de se prononcer sur des faits extrême-ment importants: la loi scolaire, le-fiasco enfin avoué de la politique financière du gouvernement, la non-exécution de promesses faites à la veille des dernières élections, notamment celles concernant les pensions ouvrières. Le bilan des cléricaux est extrêmement chargé; nous ne pouvons pas espérer le renversement du t gouvernement, mais nous pouvons envi- ' sager avec confiance la prochaine con- i sultation électorale. La péroraison de M. Pecher est longuement applaudie. ? M. Verrept reprend ensuite la parole pour communiquer à l'assemblée une nouvelle qu'il qualifie de fort importan te. Il vient d'apprendre aue de3 "demandes sont faites en vue de la constitution, aux élections communales prochaines, d'une liste dite « indépendante ». C'est le couronnement de la campagne de dénigrement menée depuis plusieurs mois contre l'administration communale.Bien entendu, ces « indépendants » ne sont que des cléricaux déguisés. Dès à présent, M. Verrept met nos amis en garde/ contre ces manœuvres. La séance est levée. 1 LE PART! LIBERAL DEMOCRATIQUE A 11 heures aussi, le Parti libéral dé- 1 mocratique se réunissait au « Liberaal Volkshuis », sous la présidence de M. r Léo Augusteyns. député, ayant à ses côtés MM. Weyler, Arents, Alders, conseillers communaux; Herinckx, De Meyer, etc. M. Herinckx donne lecture du rapport annuel et rappelle que le Parti libéral démocratique n'a négligé aucun effort pour améliorer la situation des ouvriers manuels et pour attirer l'attention des autorités compétentes sur la situation des travailleurs intellectuels. Le secrétaire général donne lecture aussi du rapport au trésorier, M. Van Walle, retenu chez lui pour cause de maladie. La situation financière est fort bonne. M. De Meyer, président du comité d'étude et de documentation, fait appel aux membres et les invite à fréquenter assidûment la bibliothèque et à se documen- 1 ter sur les auestions politiques discutées 1 aux assemblées générales. [ M. Van Hamme, président de la sec- 1 tion de Borgerhout, rend compte du tra- ' vail accompli dans ce faubourg et espère ' que le Parti libéral démocratique sera ( représenté bientôt au conseil communal. ] M. Léo Augusteyns expose ensuite la J situation politique du pays. Nous assis- 1 tons à la faillite de toutes les promesses ( faites par les cléricaux avant les élec- ^ tions. Ils mènent le pays à sa perte. Ils ^ créent de nouveaux impôts et ruinent ( l'enseignement officiel. Le budget colo- f niai clôture en déficit. Il conclut en déclarant que le Parti libéral démocrati- ( que ne cessera pas ses efforts pour dé- * fendre le pays contre le cléricalisme. I (Ovation.) 1 MM. Van Hamme et Augusteyns signalent la situation pénible où se sont trouvés les flamands au dernier congrès progressiste où des exaltés ont sifflé les orateurs qui parlaient flamand. M.Calle-waert, délégué, déclare que les flamands ont obtenu satisfaction et qu'à l'avenir i toutes les communications seront bilin- £ gues. Enfin, le Parti libéral démocratique dé- i cide de soutenir le pétitionnement du c parti socialiste en faveur du Suffrage c Universel. 1 Anvers, dimanche. — Ce matin, les, deux associations ouvrières libérales ont' tenu des assemblées générales. Le «Liberaal Werkersverbond» seréu, nissait à 11 heures, au local Pelikaan f sous la présidence de M. Langohr, ayan^ à ses côtés MM. Pecher, député; Verrept) Van Geel, conseillers communaux; Var(* Wassenhoven, Hoeben, Hermans, Meer-rf bergen, conseillers provinciaux; Vinci. ,■ Lesneuck, Boyers, Wouters, etc. M. Verrept, secrétaire général, donn», lecture de son rapport sur l'année écou [ lée. Il rappelle les événements politiques. anvexsois et la part que le « Werkersver-| bond » y a prise. Il notre, entre autre.^ faits importants, que l'association ou-( vrière libérale a soutenu ses membres pendant la grève générale pour le Suf-{ trage Universel. Il défend le projet sur-, les pensions ouvrières déposé par M. le député Pecher. 11 rend hommage à l'activité du représentant parlementaire du « Werkersverbond » et au dévouement du président, M. Langohr. ( _ , Celui-ci occupe ses fonctions depuis i trois ans; il est sortant et non rééligi^le; \ cependant M. Verrept propose de le réélire par acclamation — ce qui se 'fait k après des discours de M. Van Wassen-1 hoven et de M. Pecher, parlant dans le k même sens. % a M. Wouters, trésorier, fait rapport à I son tcirr. I! cité de nombreux chrffrea ef* conclut, aux applaudissements de l'assemblée, que la situation financière est prospère. ! Puis M. Pecher prononce son discours annuel sur la situation politique générale. Il attire l'attention sur la signification des élections législatives prochaines. L'opinion publique aura l'occasion de se prononcer sur des faits extrême-ment importants: la loi scolaire, le-fiasco enfin avoué de la politique financière du gouvernement, la non-exécution de promesses faites à la veille des dernières élections, notamment celles concernant les pensions ouvrières. Le bilan des cléricaux est extrêmement chargé; nous ne pouvons pas espérer le renversement du t gouvernement, mais nous pouvons envi- ' sager avec confiance la prochaine con- i sultation électorale. La péroraison de M. Pecher est longuement applaudie. ? M. Verrept reprend ensuite la parole pour communiquer à l'assemblée une nouvelle qu'il qualifie de fort importan te. Il vient d'apprendre aue de3"demandes sont faites en vue de la constitution, aux élections communales prochaines, d'une liste dite « indépendante ». C'est le couronnement de la campagne de dénigrement menée depuis plusieurs mois contre l'administration communale.Bien entendu, ces « indépendants » ne sont que des cléricaux déguisés. Dès à présent, M. Verrept met nos amis en garde/ contre ces manœuvres. La séance est levée. 1 LE PARTI LIBERAL DEMOCRATIQUE A 11 heures aussi, le Parti libéral dé- 1 mocratique se réunissait au « Liberaal Volkshuis », sous la présidence de M. r Léo Augusteyns. député, ayant à ses côtés MM. Weyler, Arents, Alders, conseillers communaux; Herinckx, De Meyer, etc. M. Herinckx donne lecture du rapport annuel et rappelle que le Parti libéral démocratique n'a négligé aucun effort pour améliorer la situation des ouvriers manuels et pour attirer l'attention des autorités compétentes sur la situation des travailleurs intellectuels. Le secrétaire général donne lecture aussi du rapport au trésorier, M. Van Walle, retenu chez lui pour cause de maladie. La situation financière est fort bonne. M. De Meyer, président du comité d'étude et de documentation, fait appel aux membres et les invite à fréquenter assidûment la bibliothèque et à se documen- 1 ter sur les auestions politiques discutées 1 aux assemblées générales. [ M. Van Hamme, président de la sec- 1 tion de Borgerhout, rend compte du tra- ' vail accompli dans ce faubourg et espère ' que le Parti libéral démocratique sera ( représenté bientôt au conseil communal. ] M. Léo Augusteyns expose ensuite la J situation politique du pays. Nous assis- 1 tons à la faillite de toutes les promesses ( faites par les cléricaux avant les élec- ^ tions. Ils mènent le pays à sa perte. Ils ^ créent de nouveaux impôts et ruinent ( l'enseignement officiel. Le budget colo- f niai clôture en déficit. Il conclut en déclarant que le Parti libéral démocrati- ( que ne cessera pas ses efforts pour dé- * fendre le pays contre le cléricalisme. I (Ovation.) 1 MM. Van Hamme et Augusteyns signalent la situation pénible où se sont trouvés les flamands au dernier congrès progressiste où des exaltés ont sifflé les orateurs qui parlaient flamand. M.Calle-waert, délégué, déclare que les flamands ont obtenu satisfaction et qu'à l'avenir i toutes les communications seront bilin- £ gues. Enfin, le Parti libéral démocratique dé- i cide de soutenir le pétitionnement du c parti socialiste en faveur du Suffrage c Universel. 1 BUREAUX à 9, RUE ST-PIERRE A BRUXELLES Ouverts de 9 à 5 1/2 Les jours fériés de 10 à midi k tes annonces et réclames sont i reçues au* bureaux du journal 1 et & l'AGENCE HAVAS, 8, i] place des Martyrs, 8 (1« étape) | à Bruxelles. La Dernière Heure LE PLUS GRAND JOUR^L BEIBE, LE MlfEUX RENSEIGNÉ N* 75 NEUVIÈME ANNÉE _jLUNDI 16 MJRS \9VT CINQ CENTIMES BRUXELLM FBOVUICI Fr. l.OO. . UN MOIS. . . • 3.00. . TROIS MOIS Fr. 4.0< • 6.00. . SIX MOIS . . • 8.0C • 12.00. . UN AN. . • . • 16.0C Pour l'étranger le prix de Bruxelles, U por en plu«. Il n'existe pat d'abonnement mensuel — Ponr Bruxelles indiquer, en •'abonnant, • l'on désire recevoir l'édition du soir ou ceDo de matin. — Lee frai» de recouvrement «ont i la charge de* abonné*. L'ÉCRITURE DE L'AVENIR Quelle sera l'écriture dans deux ou trois siècles? Un Italien, M. Pietro Rivetta, a affirmé naguère que toutes les langues abandonneraient l'alphabet pour adopter — je vous le donne en mille — le système idéographique des Chinois qui serait, évidemment, le moyen rationnel de faire comprendre à tous les individus de nations différentes, d'un coup d'œil, l'idée exprimée. Les dictionnaires auraient fait leur temps, et il ne faudrait plus connaître plusieurs langues pour comprendre immédiatement les articles des quotidiens allemands, anglais, français, espagnols, voire même congolais. On saisirait aussitôt la signification des images et aucune erreur d'interprétation ne serait possible. La plupart des sciences, il est vrai — les mathématiques, la chimie. la physique, l'astronomie — comme aussi la musique, ont déjà rapporté leur façon de s'exprimer à la méthode idéologique. Un habitant de n'importe lequel des continents sait tout de suite que II 2 0 représente chimiquement l'eau et il n'ignore pas ce que signifie 5G. etc. L'idéographie chinoise est moins compliquée qu'on ne le pourrait croire : tous ses caractères, procèdent d'une dizaine d'éléments. Du reste, avant de devenir, éventuellement, l'écriture de l'avenir, comme l'affirme M. P. Rivetta, elle a tout au moins été adoptée déjà par les Japonais qui s'en servent depuis le début du cinquième siècle. L'écriture chinoise nécessite l'emploi de pinceaux de trois espèces : l'un pour la calligraphie, l'autre pour l'écriture courante, un troisième, enfin, pour la signature. Les soies qui consistent en poils de rat, de tigre ou, au besoin, de lapin, de blaireau ou de martre, varient de un à douze centimètres de longueur; les manches sont en bambou léger, en santal rouge, en ébène ou en iyoirtL La pinceau".commun s.e paie de, . - n IW^Srerïl > di'iWf'h." lés d"èi cres : l'une de suie de pin, l'autre' de suie d'huile. L'encre rouge s'ob-lient avec le cinabre. Tels seront, si l'on en croit M. Rivetta, les instruments qui seront un jour sur la table de tous les écrivains du monde. En tous cas, il est certains pays où, sans utiliser le pinceau ou le bâton d'encre, on connaît cependant « l'écriture de l'avenir ». En Chaldée, les inscriptions sont formées par des traits géométriques linéaires, représentant des objets; en Egypte, dans le signe hiéroglyphe, le mot est rendu par une image. L'écriture chinoise universalisée semblerait donc plutôt marquer un retour en arrière; car l'histoire a démontré que l'écriture qui était, au début, un dessin,- n'a fait que passer, par la loi du moindre effort, à des signes schématiques. Le primitif éprouva le besoin instinctif de figurer, par le trait, tout ce qui tombait sous des sens et les gravures et les peintures des cavernes paraissent représenter déjà des idées. C'est ainsi que l'on a découvert près d'Etampes, dans le bois de la Briche, en Seine-et-Oise, les traces d'un langage écrit, remontant à la période néolithique : c'était une quantité de lignes cunéiformes, produites à l'aide de morceaux de grès, enchevêtrées les unes dans les autres, en un beau désordre. Un peu d'attention permettait de reconnaître des flèches, des harpons, des arbres, des tentes, des iarques. Grâce à des découvertes semblables faites, notamment en Irlande, au pays de Galles ou en Eure-et-Loire, il a été possible de retrouver fe signe schématique de divers objets, voire même de certaines nouions plus ou moins abstraites. L'évolution du langage écrit a été sensiblement la même partout et les signes conventionnels résultent de la transformation même des dessins. Tout cela prouve que, si jamais l'écriture des Célestes était adoptée partout, on ne ferait, en somme, que retourner à une pratique qui offre beaucoup d'analogies avec celle des caractères idéographiques les plus anciens. Mais les indigènes des pays européens qui tiennent tant à leur idiome respectif, consentiront-ils jamais à oublier l'écriture qu'ils connaissent depuis si longtemps rléjà. et qu'ils considèrent comme simple et définitive? Il est bien permis d'en douter. R. H. nanManwwww———1 gemnaaBaaui'* mus miwubi VOYEZ DEMAIN LA PAGE FOOTBALL » ..... , y L'INONDATION MENACE DE NOUVEAU PARL% LA CRUE DE LA SEINE AU PONT DES SAINTS-PERES-' ' == LES PROJETS IVliLITAIRES DE LA RUSSIE L'homme de la situation en Russie : LE GÉNÉRAL SOUKHOMLINOFF, ministre de la guerre indications approximatives, la déclaration faite par M. Kokotzoff le 16/29 janvier, à la commission du budget de la Douma, quand il annonça le dépôt du projet de défense de l'Etat, qui engloutirait, a-t-il dit, une somme considérable. Aussi faut-il avoir la conviction générale qu'il s'agit de chiffres élevés que d'aucuns assurent être, comme les journaux l'ont annoncé hier et il y a deux jours, déjà voisins de 500,000 hommes et de 500 millions de roubles. Les journaux insistent sur la prochaine démission de M. Maklakoff, ministre de l'Intérieur, dont le départ est annoncé depuis longtemps, et son remplacement par le ministre de l'agriculture actuel, M. Krivocheine. homme d'Etat éminent, que l'on considère comme le futur président du Conseil. — Ha-vas-Reuter.La « Novoie Vremia » dit qu'au cours de la conférence, le ministre des affaires étrangères a donné, sur la politique extérieure, des explications rassurantes. Le ministre de la guerre a demandé une nouvelle loi militaire, et a expliqué que la défense du pays devait être poussée jusqu'à l'extrême acheminement; mars il a ajouté que « les mesures prises ne visaient que le maintien de la paix ». — Reuter. INCENDIE NOCTURNE Dimanche, vers 2 heures^ un quart du matin, un incendie s'est déclaré dans le magasin de confiseries de M. D..., rue Ransfort, à Molenbeek-StrJean. L'alarme a été donnée par les voisins qui se sont aussitôt mis en devoir de réveiller les locataires qui dormaient profondément. Peu après les pompiers de la commune sont accourus sous les ordres du commandant De Gunst. Le feu qui s'était déclaré derrière le comptoir a pu être maîtrisé au bout d'une demi-heure d'efforts. , Une quantité de marchandises a ete détruite. On ignore les causes du sinistre- DEUX ASSEMBLÉES LIBÉRALES A ANVERS; = r Pour la Paix serbo-turque ? Constantinople, samedi. — La Serbie a î proposé à la Porte de nommer, comme f ministre chargé de la représenter à Con- r stantinople, M. Stefanovitch, qui signa, \ avec Rechid bey, le traité de paix turco- s serbe. — Havas, e LE PREMIER DEGRÉ DES ÉJECTIONS MYSTÈRE ET COMÉDIE POURQUOI VOTE-T-ON ENCORE? L Les poils de désignation des can-didats se suivent et se ressemblent [pin dans tous les partis, sur un point I tout au moiu^ ; rie dédain absolu iu corps électoral. Otx classe, on reclasse, on déclasse l«respixahts départis effectifs et suppléani-ijavoc la calme insouciance des autorité^ omnipotentes. D'ordinaire, une peignée de votants, il d'est pas même nécessaire qu'elle constitue la moitié des membres inscrits l'une association pibcède à la petite opération. Si elle igitiçelon les vues des officiels, tout va lien^ie résultat du poil ast « souverain », il n'y a plus pour les propagandistes, la,prefcse et les électeurs, qu'à s'incliner. Nous ne rappellcrons^pas les exemples: nous avons eu l'ccasion d'en citer au moins un par se laine. Mais lorsque esl^résultats du poli « souverain » ne : ipondent pas aux vues de « l'élite », l'a < întyre devient mystérieuse ou comiqi î,'suivant les circonstances.Dans le genre liysterieux, le poil des libéraux de Ganc £st un véritable modèle. Le public sii^qu'il y a eu environ 200 bulletins nukvce qui est beaucoup dans un corps épetpral éclairé, et 1,700 votants, ce qui is^| relativement peu, étant donné qu'eu^l912 la liste libérale a réuni 35,694 voix* Mais, depuis jtntit jours, nous cherchons en vain aieminaître le nombre de votes obtenus parœhaque candidat. Cet [ntéressant renseispifement ne vient pas. | Un député sortarrfcî assure-t-on, a réuni moins de voix qu'fe candidat nouveau, Bt celui-ci, à la fois%iagnanime et... premier suppléant, a rénoncé pour l'instant à. prendre ses avantages. Tout s'est arrangé devant le coârité ; on a revu et corrigé les indications du poil « souverain ». Les libéraux de l'arrondissement n'auront plus qu'à ratifier, en silence, ce choix mystérieux Pourquoi donci y a-t-il encore des électeurs et de3 associations? Ne serait-il pas(beaucoup plus simple, de n'avoir Pa^aSafeia»' repaTtisssut. le& sièges de députés r suivant ses "prèfe-' rences? Voici maintenant la note comique. Ce sont les démocrates-chrétiens de Liège qui nous la donnent. Cinq can-iidats se disputaient l'honneur de se faire domestiquer sur la liste cléricale. Le poil commençait le dimanche 8 nars et se terminait le lendemain, mais le dépouillement ne se faisait que le jeudi. Bizarre organisation! Plus bizarre en-ïore quand on songe que les organisants voyant que leur homme allait rester sur le carreau, commencèrent à Omettre des doutes sur la régularité des >pérations avant même que celles-ci !ussent arrivées à leur terme. Enfin, le dépouillement ayant donné m résultat peu conforme au désir du fomité, celui-ci « n'a pas cru devoir entériner les résultats d'un tel verdict. » Et voilà ! On se réunira à nouveau et >n organisera le poil avec toutes les précautions nécessaires au succès des can-lidats du comité. Pourvu que le second verdict soit aeilleur que le premier et que le comité ie soit pas obligé d'en appeler au corps lectoral! Ce serait I/o. fin de tout, évidemment, ux yeux dt^ ces messieurs. Leur démocratie ne s'accommoderait as de cet a^ppel au suffrage universel. 1"" """ L'Insurrection au Brésil Rio-de-Janeiro, samedi. — Le maréchal Hermès da Fonseca a décrété une ntervention dans l'Etat de Ceara. II a chargé le commandant des troupes édérales de mettre sa décision à exécu-ion. — Reuter. Prestation d'un monte-en-l'air Il y a une huitaine de jours, M. Th..., emeurant riie des Vanniers, constatait ue la porte de sa chambre à coucher tait entrebâillée. Le tiroir d'un secré-aire avait été fracturé et une somme de lusieurs centaines de francs en avait té enlevée. Les soupçons de la victime t de la police se portèrent sur un nom-îé Ferdinand D..., demeurant rue des touchers, qui depuis le jour du vol vait disparu. Samedi soir, M. Ch... ren-ontra D... vêtu de neuf des pieds à la îte. Il le saisit résolument au collet et ; remit entre les mains de deux agents ui le conduisirent devant l'officier de olice Desmedt, de la 3me division. D... a reconnu le vol qualifié qui lui st imputé. Il ne possédait plus un cen-me et après avoir passé la nuit au dé-ôt, il a été écroué, dimanche matin, à i prison de Forest. Dn Bâton dans la Roue M. Teirlings, peintre, sur bois, demeu-int rue Otlet, 45, à Curegliem. passait vélo, samedi soir, rue du Midi. Place Rouppe, quatre voyoux l'inju-èrent et l'un d'eux lança un bâton ans la roue d'avant de la bécane. Le rcliste fut projeté, la tête en avant, sur s pavés, où il resta étendu sans con-aissance. L'auteur de l'aggression et ses >mpagnons eurent tôt fait de déguer-ir.M. Teirlings, qui avait la face com-lètement meurtrie et qui portait au ont une grave blessure, a été porté, îr des passants, chez un médecin du )isinage. Après avoir repris connais-ince, il a été, à sa demande, reconduit i voiture à son domicile. t=—====== LES RELATIONS AUSTRO-RUSSES VIOLENTES PROTESTATIONS ■ i ~^-r i i i i ~ LA SAISON DE PLEIN AIR EST OUVERTE Vie ANNÉE - PROFESSIONNELS - 250 KILOMÈTRES L'ÉTOILE CAR0L0RÉGIENNE Cette belle épreuve classique a permis à trente-huit coureurs professionnels de prendre contact entre eux et d'essayer leur forme Saint-Pétersbourg, dimanche. — Hie soir a eu lieu, sous la présidence de M Bobrinsky, député, une réunion des r< présentants de tous les partis, dont le partis constitutionnel et démocrate. Cin mille personnes y assistaient. L'assemblée a émis une violente pr( :• testa tion contre la politique de l'Autr che-Hongrie envers les nationaux rus ses, politique qui s'est manifestée notan ment par les condamnations dans le pre ces de Marmaroch-Sigeth et dans le pr( cès de Lomberg. — Havas. A VIENNE, ON ESPERE UNE DETENTE Vienne, dinumehe. — Suivant la « Noi velle Presse Libre »4 ,on a reçu d.- Sain' Pétersbourg dans les" cercles diplomat ques de Vienne, des assurances très pf cifiques. Le représentant de l'Autriche Hongrie dans la. capitale russe, écrit 1 journal, a pu se convaincre que les cei cles dirigeants russes sont coinplètemer étrangers à la campagne belliqueuse d la presse, qui est absolument injustifié* On est persuadé dans les cercles polit 'ques de Vienne qu'aucune détente pol tique profonde se produira d'ici quelque semaines. L'ambasadeur d'Autrich< Hongrie à Saint-Pétersbourg a été a< cueilli très amicalement dans les ce: cles russes lorsqu'il a vu ses visites d jprésentation. — Havas-Reuter. Les Chemins de fer d'Asie Mineur Rome, samedi. — Le syndicat italie pour les concessions en Asie Mineure < i Compagnie anglaise Smyrne-Aidin 01 ne « ad référendum » un accord con •t, subordonné à certaines conditior Xîrminées, se rattachant aux chemir fer. )n n'en connaît pas les détails. — Hi 3. : NOUVEAU PRÉSIDEN" )ES ÉTATS-U8IS DU BRÉSIL )n sait que le Dr Wenceslao Braz P< ra Gomez, qui avait jusqu'ici vie isident des Etats-Unis du Brésil, vier M. Wenceslao Braz Pereira Gomez d'être choisi comme président pour suc céder au maréchal Hermès da Fonsecs *st d'une famille originaire de Mina Serras, où son père, Francisco Braz I Gr., était, au temps de l'empire, un p< iticien réputé. Le Dr Wenceslao Braz est né en 1865 ;i Itaj'uba. dans le sud de l'Etat de M: nas. En 1890, il fut nommé professeur d droit à Sao Paulo, puis appelé en qua lité de conseiller d'Etat à Monte Santa Elu député par la suite, le Dr Silvian Brandas, en 1898, alors gouverneur d lJEtat de Minas, lui confia le poste d secrétaire d'Etat. A la fin de la périod de règne de Silviano. Wenceslao Bra reprit sa profession d'avocat. Choisi bientôt comme député au Cor grès fédéral de Rio-de-Janeiro, il devin bientôt, sous le règne de Rodrigues Al ?es, leader de la majorité. Une seconde fois, il fut réélu pour troi ans au Congrès fédéral; mais le go'uvei neur de l'Etat de Minas, Joao Pinheirc étant mort, Wenceslao Braz n'achev pas son terme au Congrès et fut nomm président de l'Etat de Minas. En mars 1910, il fut nommé vice-prési dent de la République, dont le voici en fin président. u OUST _A-TTE3STID n ^ Charleroi, dimanche. — Comme cha-que année, à pareille époque, ce sont les sportsmen carolorégiens qui ont le plai-^ sir et la satisfaction d'ouvrir la, saison a de plein air en Belgique. Aussi, attachent-ils une grande impor-l" tance à cette première épreuve sur route qu'organise, toujours consciencieusement, le cercle « Le Cycle ». Et souvent, 1' « Etoile Carolorégienne » nous donne de sérieuses indications pour 1 les grandes courses prochaines. De plus, elle permet parfois à un nouveau venu dans la catégorie des « professionnels » de se faire remarquer; et aussitôt il trouve d,e précieux encouragements. Pendant que nous écrivons ce préam-2- bule — il est à peine six heures du ma-'t tin — une averse abondante sévit et force les sportsmen, qui sont déjà accourus pour admirer leurs favoris, à se réfugier hâtivement à l'intérieur du « Café du Cheval Arabe », place du Sud. Décidément, cette première épreuve de l'année ne sera jamais favorisée par la température!.... Il est vrai que les vaillants routiers ne craignent nullement !ps intempéries, et c'est heureux car, en Belgique, c'est de règle!.... MM. Monnoyer et Bernard, respectivement président et secrétaire du cercle or-% cmiMsateur, ainsi que M. Hachterga?l, membre ou Comité toportn T ja: Ai.qp-c 1 Vélocipédique belge, s'installent bientôt pour procéder à la remise des dossards. C'est Emile Masson, l'énergique crack de Bierset-Awans, qui appose, le premier, sa signature sur la feuille de contrôle. Il paraît en excellente santé et prétend qu'il ne s'est jamais présenté dans de meilleures conditions qu'aujourd'hui.Son exemple est rapidement suivi par de nombreux compétiteurs qui, tous, ont le sourire, bien que d'aucuns déplorent le piteux état de la température. Nous notons parmi ces courageux que rien ne rebute : Victor Dethier, le vainqueur de l'épTeuve en 1911; Joseph Cas-siers, qui remporta le premier « Championnat de Belgique de Cyclo-Cross »; ainsi que plusieurs « indépendants » de l'an dernier qui sont passés « professionnels ». Signalons .également que l'engagement . de Louis Verbraecke, arrivé tardivement à cause de la poste, a été admis par les « officiels ». • Et, à présent, que le contrôle est levé, ■> inscrivons LES PARTANTS 3. Standaert Viotor, Ninove-, 4. Valkénaers Louis, Louvaiu; > 8. Benoit Auguste. Ch&telet; 9. Hanlet Henri, Olne; => 10. Rasquin Marcel, Angleur; 11. Paquot Camille, Jemeppe-usr-Meuse; 12. Goupv Camille père, Eneis; 13. Vandenitte. Gilly; 3 14. Doms Victor, Forest; ^ 16. Aerts Emile. Laeken; 18. Tuvtten Julien, Ostende; 2 19. Molle Walraer. Haulchin; 2 20. Motquin. Jumet; . 24. Steux Alfred, Dottigniei; 25. Ménager Constant. Paris; 26. Van Waesbergh Gaston, Montignies-Bur- Sambre; ♦ 27. Masson Emile, Bierset-Awans; 29. Botte Camille, Espinois; 30. Desanthoine Florent, Carnièrea; 31. Devraet Alexandre, Ransart; a 32. Jacobs Léopold. Jumet; 33. Masquelier Auguste, Jumet; 34. Devroyo Henrit Mons-Crotteux; 35. Petitjean Louis, Gonrieux; 39. DiericUx Auguste, 'Eeeloo; 40. Romy Edmond, Seraing; 41. Scieur Léon. Florennea; 43. Nompon Jules. Calais; 45. Delporte Georges, Bruxelles; 47. Robert Edmond, Anvers; 49. Dethier Viotor, Jemeppe-sur-Meuse; 50. Charles Henry, Mons; LA COMMÉMORATION DE LA CAMPAGNE ROUMAINE Une médaille vient d'être créée, qui commémore l'expédition militaire roumaine.Elle est en métal argenté et d'un joli cachet artistique. L'avers représente l'aigle roumain et le roi Charles; entre le sceptre et le glaive, on lit le mot « Pace ». En épigraphe, on remarque : « In amintirea inalta torului ayant 1913 ». Le revers porte le génie de la paix avec des palmes et une couronne de lau- ( riers; on y distingue aussi les troupes roumaines passant le Danube pour arri- f ver sur la rive bulgare; derrière elles, le ( soleil brille. ( En inscription : « Din Carpati peste ( Dunare la Balcani » (Des Carpathes aux Balkans par le Danube). La médaille est suspendue à un Ta- t me au de lauriers auquel est attaché le I xuban aux couleurs roumaines. LE sio-nsr^i-, 51. Spiessens Alphonse. Malines; 55. Hnybreehts François, Anvers; 56. Caeeiers Joseph, Bruxelles; 57. Noël Hubert. Lize-Seraing ; 58. Méchant Isidore, Saint-Nicolaa ; 59. Yerbraccke Louis, Gand. LE DÉPART Les trente-huit concurrents, qui viennent de se mettre en règle, se dirigent alors en cortège, par les rues de Mar-chienne et du Grand Central, pour atteindre la route de Bruxelles, où l'appel ultime est fait, devant une foule assez compacte de sportsmen, bien que la pluie fasse rage à nouveau. M. Hachtergael donne ensuite le signal dë l'envolée. Il est 7 heures 20. (Voir suite en page 2.) LE COMITÉ DU S. U. A SIÉGÉ DIMANCHE A BRUXELLES Le Comité libéral du S. U. a siégé di« ruUiiLÏitf ixiuiir. 1c:ï lorjiux df, V A?, sociation libérale. M. Maurice Feron, présidait, entouré de MM. Maurice Berger, secrétaire-général, Dubreucq, et Robyn, secrétaires, Blum, secrétaire-adjoint, Leroy, trésorier.Parmi les délégués, on remarquait M, Nederlang (Uccle), F. Demets (Ander-lecht), Robyn et Lefèvre (DroogenboschV, Goossens (Buysinghen), Steels (Loth), Gaston Bergé (Schaerbeek), Heymang (Uccle), J. Fourez, Van de Perre (Wol-verthem), Van Gèle et Kahn (Etter-beek), Robert Petitjean (Saint-Josse-ten-Noode), De Bontridder (Bruxelles), Bock-stael et Neumans (Forest). M. Maurice Berger a rappelé l'intervention du Comité lors de la grève générale et a fait un historique de l'état de la question au point de vue de la propagande en faveur du S. U. M. Leroy a parlé de la situation matérielle du Comité. Celui-ci est intervenu dans la création d'autres nombreuses mutualités et pour l'organisation de syndicats. M. Heymans a exprimé le regret qu# l'on ait mis tant.de temps à s'apercevoir qu'il existe des organisations ouvrières libérales; dans de nombreuses régions, on est parvenu, grâce à elles, à endiguer la propagande des adversaires. C'est le ;as, notamment, pour Anvers et Malines, M. Fernand Demets remercie le Comité pour l'appui qu'il a accordé a a syndicat des métallurgistes d'Anderlecht qui est prospère. Il annonce la prochaine constitution d'un syndicat des travailleurs du bois. M. Feron estime nécessaire que k* associations professionnelles soient dirigées par des ouvriers. M. Kahn pense qu'il y a nécessité à réformer l'organisation du Conseil National libéral. MM. Van Gèle et Kahn demandent la rédaction d'un tract sur les travaux de la Commission des XXXI. M. Gaston Bergé s'insurge contre la représentation des intérêts. Ce qu'il importe de démontrer, c'est que le commerce et l'industrie n'ont rien à attendre du gouvernement clérical. Il faut, que commerçants et industriels, s'associent dans les groupements qui représentent leurs intérêts. M. Feron. — Le principe du S. U. doit ître introduit dans tous les organismes, lussi bien dans les Conseils de l'Indus-,rie que dans les Comices Agricoles. M. Maurice Berger (en ce qui concerne a propagande). — Nous n'avons aucune iction sur les grands journaux; il y a ionc lieu de rédiger un tract pour lei propagandistes. U devra être envoyé à toutes les associations de l'arrondisse-nent.L'orateur propose une circulaire aux issociatious affiliées et aux association» ï'arrondissements pour appeler l'atten-,ion des libéraux sur la nécessité d® •eprendre la campagne en faveur du 3. U. M. Petitjean est d'avis qu'il faut envi-;ager, dès maintenant, la désignation les candidats aux élections législatives. La première préoccupation du Comité levrait être de rechercher la représenta-ion exacte de tous les organes politises et économiques de l'arrondissement. M. Feron. — Le Comité du S. U. ne )eut pas s'immiscer dans l'organisation lu parti libéral. U a une mission limi-,ée: celle de la propagande au profit de 'égalité flu droit électoral. M. Gaston Bergé. — Il conviendrait de iignaler l'absurdité du mode actuel des rotes supplémentaires. M. Feron demande aux délégués de édiger leurs observations et de les trans-nettre au Comité qui en tiendra compte lans le nouveau tract de propagande. Sur la proposlton de M. Maurice Bercer, les délégués ont chargé le Comité lu S. U. de l'étude des questions sociales :t de la création d'œuvres dans ce but, [ans l'arrondissement de Bruxelles. Le Comité du S. U. tout en continuant a mission pour laquelle il a été consti-ué, devient donc ainsi un organisme >ermanent de prévoyance sociale. On s'est séparé à midi et demi.

Over deze tekst

Onderstaande tekst is geautomatiseerd gemaakt met OCR (Optical Character Recognition). Deze techniek levert geen 100% correct resultaat op. Dit komt mede doordat oude drukken moeilijker te lezen zijn met software dan moderne. Dat betekent dat er onjuiste tekens in de tekst kunnen voorkomen. Er wordt gewerkt aan verbetering van de OCR software. 

Er is geen OCR tekst voor deze krant.

Over deze tekst

Onderstaande tekst is geautomatiseerd gemaakt met OCR (Optical Character Recognition). Deze techniek levert geen 100% correct resultaat op. Dit komt mede doordat oude drukken moeilijker te lezen zijn met software dan moderne. Dat betekent dat er onjuiste tekens in de tekst kunnen voorkomen. Er wordt gewerkt aan verbetering van de OCR software. 

Er is geen OCR tekst voor deze krant.

Over deze tekst

Onderstaande tekst is geautomatiseerd gemaakt met OCR (Optical Character Recognition). Deze techniek levert geen 100% correct resultaat op. Dit komt mede doordat oude drukken moeilijker te lezen zijn met software dan moderne. Dat betekent dat er onjuiste tekens in de tekst kunnen voorkomen. Er wordt gewerkt aan verbetering van de OCR software. 

Er is geen OCR tekst voor deze krant.

Over deze tekst

Onderstaande tekst is geautomatiseerd gemaakt met OCR (Optical Character Recognition). Deze techniek levert geen 100% correct resultaat op. Dit komt mede doordat oude drukken moeilijker te lezen zijn met software dan moderne. Dat betekent dat er onjuiste tekens in de tekst kunnen voorkomen. Er wordt gewerkt aan verbetering van de OCR software. 

Er is geen OCR tekst voor deze krant.

Over deze tekst

Onderstaande tekst is geautomatiseerd gemaakt met OCR (Optical Character Recognition). Deze techniek levert geen 100% correct resultaat op. Dit komt mede doordat oude drukken moeilijker te lezen zijn met software dan moderne. Dat betekent dat er onjuiste tekens in de tekst kunnen voorkomen. Er wordt gewerkt aan verbetering van de OCR software. 

Er is geen OCR tekst voor deze krant.
This item is a publication of the title La dernière heure belonging to the category Liberale pers, published in Bruxelles .

Bekijk alle items in deze reeks >>

Add to collection

Location

Subjects

Periods