La Flandre libérale

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s.n. 1914, 14 June. La Flandre libérale. Seen on 27 April 2024, on https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/en/pid/7659c6sp1x/
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tgi�smmmm 40" ian�e ~ Dimanche 14 Juin 1914 QUOTIDIEN. -10 CENT. I. 165 � Dimanche 14 Juin 1914 LA FLANDRE LIB�RALE A-BONNKIVIEPTTS I molt. 1 mois. Fr. 2.00 4.00 -B i Fr. 3.75 9.00 � BOlt. 8.00 18.00 lu. 16.00 86.00 BELGIQUE : UNION POSTALE : On s'abcnnt m bureau Ai Journal el dans loua Iss burwuii it ports R�DACTION, ADMINISTRATION ET IMPRIMERIE BAND, l, RUE DU NOUVEAU BOIS, I, GANB ABONNEMENTS ET ANNONCES : T�l�phone 32 R�DACTION T�l�phona 13 AJVNOIVCOES Ponr la ville et les Flandres, s'adresser an bnreaa �ht �onrnaL � Ponr le reste dn pays et l'�tranger, s'adresser � l'Officej de Publicit�, me Neuve, 36, � Bruxelles. '4A ! Notre num�ro de ce jour se com- pose de DIX pages. PROCEDES CLERICAUX *4------- A propos de la revision Les �lections de 1878 Le " Bisii Public iratiae tes cDlllres LA V�RIT� Au lendemain des �lections, toute la presse d'opposition a ' fait remarquer combien anormal �tait un r�gime qui per- mettait au gouvernement cl�rical d'avoir douze volk do majorit� � la Chambre, alors qu'il est en minorit� dans le pays. La situation est r�volutionnaire, concluait un de nos confr�res bruxellois les plus mod�r�s, i'E toile belge. Tr�s ennuy�s, les journaux cl�ricaux ne souffl�rent mot d'abord. Puis, un beau jour, le Bien public sortit un argu- ment triomphal. D'apr�s lui, en 1878, 44,000 voix catholiques n'avaient �lu que 20 s�nateurs et 19 repr�sentants, alors que 41,000 lib�raux seulement parve- naient � faire nommer 57 candidats, 19 s�nateurs et 38 repr�sentants. Le Bien public, offrant " loyale- ment " une statistique � l'appui, person- ne se m�fia. L�-dessus, triomphe de nos confr�res de droite. Le XX0 Si�cle,' notamment, se basait l�-dessus, pour �di- fier un article doctrinal, concluant � l'im- possibilit� de trouver un r�gime tout � fait �quitable. Et vraiment� ces chiffres �taient tr�s impressionnants... ou plut�t ils l'eussent� �t�, si... Car il y a un " si " et d'impor- tance. Il leur manque, en effet, � ces chiffres, deux qualit�s essentielles pour �tre frap- pants : l'exactitude et la sinc�rit�. Les chiffres du B i e n public, en effet, sont tout simplement incomplets et froidement truqu�s. Ceux de nos con- fr�res qui avaient encore quelque con- fiance en la bonne foi du journal de la rue aux Tripes, seront d�sormais fix�s. Pour obtenu sa statistique �crasante, le Bien public a omis de signaler que les lib�raux s'abtinrent de lutter, en 1878, pour les �lections s�natoriales, � Louvain, � Alost, � Courtrai, � Dixmude, � Eoulers, � Thielt, � Namur, � Dinant, � Arlon. Mais il a tranquillement ajout� aux totaux cl�ricaux les voix obtenues par nos adversaires dans ces arrondisse- ments : ce n'est pas plus difficle que cela. Nous laissons nos confr�res de gauche et de droite juger du proc�d�, et nous passons. *** Car, bien entendu, nous avons r�tabli la statistique'exacte. Pour plus de clart�, nous nous sommes born�s aux r�sultats des �lections pour la Chambre des repr�- sentants, et nous avons choisi le nombre le plus �lev� de chaque liste. Ceci dit, voil� 'es chiffres officiels. Les traits indiquent que le parti n'a pas lutt� : Lib�raux Cl�ricaux Anvers 6709 5060 Bruxelles 8831 4423 Co�rtrai 988 1508 Alost � 1396 Audenarde 730 97 ��� < REVUE DE II PRESSE -4* Cl�ricaux et socialistes Les cl�ricaux, depuis quelque temps, � tout le monde a pu le constater � font les yeux doux aux socialistes. Nous n'en voulons pour preuve que ces deux extraits d'articles, qui sont hautement significatifs et qu'on n'a pas assez re- marqu�s. L'un est emprunt� � une fort courtoise r�ponse du " XXe Si�cle " � un article de M. Dewinne, publi�, par le "Peuple" : "A l'�poque o� lai r�volution indus- trielle accomplissait ses ravages dans nos soci�t�s, �crit le sous-officieux, H� religion �tait partout traqu�e comme une b�te fauve, ses pr�tres insult�s, son culte parodie, sa libert� ligott�e. On la traitait comme un cadavre en d�compo- sition qu'il fallait jeter dans la fosse pour laisser la voie libre � la civilisa- tion lib�rale et industrielle. " Toute proportion gard�e, elle subis- sait, � la m�me �poque, le; m�me sort que le prol�tariat et par le fait des m�- mes ennemis. M. Dewinne devrait savoir � qui il faut imputer l'impuissance re- lative de l'Eglise devant les mis�res im- m�rit�es de la classe ouvri�re." �Cette phrase d'allure sibylline signi- fie ' que l'Eglise et le prol�tariat n'ont pas d'adversaires plus d�cid�s que les patrons et les grands industriels lib�- raux. Conclusion logique � que le "XXe Si�cle" a omis de formuler mais qui se d�gage nettement du contexte: " socialis- tes et cl�ricaux, nous'qui sommes �gale- ment menac�s, unissons-nous pour �cra- ser l'inf�me � c'est-�-dire les lib�- raux! " Se rappelle-t-on ce que nous disions il y a peu de temps 1 H'n'est nullement impossible que nous voyions sous peu se conclure contre nous le cartel des rou- ges et des jaunes. *** Le second extrait est emprunt� au "Bien public". Notre pieux confr�re se r�jouit d'un d�bat qui mit r�cemment aux prises, � la 'Chambre hollandaise, li- b�raux et socialistes ; et il cite cette r�- ponse nette du d�put� lib�ral Nierstrasz au citoyen iSchaper qui venait de le prendre violemment � partie: " Je ne m�prise pas les ouvriers, mais je m�prise certains meneurs de syndi- cats, qui se servent de tous� les moyens d'intimidation, dit M. Nierstrasz, ces m�neras,: qui excitent les ouvriers et qui, alors qu'ils sont eux-m�mes � l'abri, vouent � la mis�re, les femmes et les en- fants de ceux qu'ils ont pouss�s � la gr�ve." 'Le "Bien public" ne fait suivre cette d�claration d'aucun commentaire. Se- rait-ce qu'il donne secr�tement raison au socialiste contre le lib�ral? Nous n'en serions nullement �tonn�. Notre saint confr�re ferait bien, dans tous les cas, de nous �clairer � ce sujet. wvvvwvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvwvvvvvvvvvvvv* fMr Voir en 3e page LA CHUTE OU MINIST�RE RIB0T VVVWVWVWVVVVVVVVVVVVVVVVVVVVl/VVVWVVWVVVVV*\ Il y a un an que Camille Lemonnier, le mar�chal des lettres .belges, nous a quitt�s pour entrer dans le grand mys- t�re Le 15 juin 1913, par un jour ma- gnifique, nous l'avons conduit, sous les roses, � l'endroit o�, pour la premi�re fois,' il devait go�ter le repos. Les mort� vont vite, et douze mois, c'est bien long pour le souvenir I Cependant, celui-l� ne cesse pas de mourir en nous, en tous ceux qui l'ont connu, donc qui l'ont aim�. Nous ne nous accoutumons pas � l'id�e qu'il a disparu. Chaque fois qu'il nous arrive d'�voquer sa grande figure, nous ressentons en nous la m�me impres- sion d'arrachement, le m�me sentiment d'incr�dulit�. Est-il possible qu'il soit mort? Nous n'en doutons pas, h�lasI et n�anmoins quelque chose en nous r�siste � l'id�e, � la certitude douloureuse. C'est que, r�ellement, sa perte est de celles qui ne se compensent paB, que rien ne peut faire oublier. Le ma�tre est mort, et la ruche litt�raire est toute d�sempar�e. Le chef a laiss� tomber le b�ton de commandement, et nul ne l'a ramass�. ' Entendons-nous. Je ne veux pas dire que Lemonnier f�t un chef d'�cole, ni m�me qu'il f�t un "cher ma�tre", i avide d'adulations et d'hommages. Nous connaissons, par les gazettes lit- t�raires du temps, le r�le que jou�rent en France les Zola, les Goncourt. Zola �tait un v�ritable partisan,' une mani�re de chef de bande. Son ascendance ita- lienne le pr�disposait � cette mission nu'il s'�tait donn�e. Il r�unissait autour de lui des disciples auxquels il imposait �troitement sa doctrine, ses amours et surtout ses haines. Il n'admettait pas 'a contradiction et se f�chait tout rouge quand, timidement, l'un ou l'autre des �crivains qui l'entouraient, �mettait quelque objection et se refusait � accep- ter int�gralement ses le�ons. Goncourt, lui, �tait un grand seigneur qui aimait � r�gner au ciel des lettres, � �tre le centre d'un groupe d'admira- teurs fid�les. Il' adorait les potins et les collectionnait avec amour ; son fameux journal en est plein. Mais ce n'�tait pas de chez lui que partaient les impulsions bienfaisantes. Il n'avait pas charge d'�me et e�t r�pugn� � cette responsa- bilit� encombrante. Il songeait � lui, � sa gloire bien plus qu'aux autres. Il se laissait encenser, mais il ne lui ve- nait'pas � l'id�e de prendre la t�te de l'arm�e litt�raire et de'la mener � l'as- saut.- Lemonnier n'eut pas Bon dilettantis- me �go�ste. Il fut un chef, comme Zola, sans conna�tre son exclusivisme. Il n'ap- partint jamais � une �cole, mais toujours il se donna aux �crivains, sea compa- triotes. Violemment, magnifiquement, il affirmait, en toute occasion, sa volont� de ne pas murer et encercler son art, de garder toutes les fen�tres de son es- prit ouvertes sur tous les horizons, de peindre les couchants de braise et de m�taux, apr�s avoir chant� doucement les mois clairs de lune. Il se laissait vi- vre et ob�issait � son juste et puissant instinct; Il mettait son admirable m�tier de styliste au service de toutes les sug- gestions que la vie.lui envoyait. R�alis- te, naturaliste, symboliste �taient pour lui des mots vides de sens. Il s'�cou- tait exister et se disait tel qu'il s'�prou- vait. C'est pourquoi la critique a tant de peine � classer ' soin' �uvre. O� la ran- ger 1 Elle �chappe � toutes les �tiquet- tes et d�borde tous les genres. Elle est lyrique autant que descriptive et nartai- tive. Elle est g�n�rale autant que? r�- gionaliste et particulariste. Elle parait, parfois, ob�ir aux prescriptions des �co- les, � la mode, mais, � mieux l'exami- ner, elle se d�couvre d'une ind�pendan- ce farouche. Disons qu'elle est, tout sim- plement, d'une absolue sinc�rit�, qu'elle refl�te avec exactitude les "�tats" suc- cessifs de son auteur et les d�cor� dans lesquels il a v�cu. Ind�pendant, Lemonnier respectait l'ind�pendance d'autrui. J'en appelle aux centaines de jeunes, �crivains qu'il � re�ut chez lui, � sa table, � qui il d�- partit la manne pr�cieuse de ses con- seils. Jamais il n'essaya de leur imposer ses pr�f�rences en art, de les unir � lui par des liens de disciple : ma�tre, de corriger leurs id�es, leurs admirations, leurs detestations. D�s qu'il sentait en- tre eux et lui une divergence, il d�tour- nait la conversation et cherchait un ter- rain commun. Il avait une souveraine horreur de la "rosserie". J'ai entendu souvent d'autres �crivains dire du mal de Lemonnier. Je n'ai jamais entendu Lemonnier dire du mal de personne. Il �tait donc un ma�tre, mais un ma�- tre tol�rant et qui ne r�clamait la sou- mission de quiconque. Il nous dominait, mais par le seul prestige de son autorit� morale, de son talent, de sa prestance physique, de sa bont�. Nous allions, au- pr�s de lui, chercher non pas des mots d'ordre, mais de l�i foi, de l'espoir, de l'amour. Aux heures troubles et inqui�- tes, nous nous mettions un instant � son ombre et la vertu de sa force nous ren- dait le courage et la joie. Et puis, lui glorieux, lui qui connut un moment � Paris la grande vogue et qui e�t pu, en demeurant l�-bas, en lut- tant sur place, garder la situation bril- lante qu'il avait conquise, il �tait re- venu vivre au milieu de nous. De cela, surtout, nous lui �tions reconnaissants. Une intuition sup�rieure lui avait r�- v�l� la n�cessit� de sa pr�sence en Bel- gique, � Bruxelles, dans le temps o� une litt�rature y naissait et avait be- soin, pour grandir, de son secours quoti- dien. Elle se reposait sur lui, cette lit- t�rature naissante, elle faisait � son bras ses premiers pas dans le monde. D'autres �crivains belges, maintenant illustres, avaient pr�f�r� s'expatrier, al- ler go�ter sous les cieux plus cl�ments, dans des milieux plus favorables, la vo- lupt� de la gloire. Rodenbach, Maeter- linck, Verhaeren �taient partis. Lemon- nier, lui, restait, luttant dur pour son pain, desservi par le fait qu'il s�jour- nait en Belgique, loin des �diteurs et des journaux de Paris, mais consol� de ses d�boires par la pens�e" qu'il �tait utile 'aux siens, qu'il les aidait � pren- dre conscience d'eux-m�mes et � ne point s'�garer dans les sentiers st�riles de l'imitation fran�aise. Attentif � sur- prendre, parmi les jeunes, le talent ori- ginal, s'alimentant aux sources ethni- ques, il l'encourageait � ne se mettre � la suite de personne, � n'�couter que soi-m�me et � cultiver jalousement son jardin. Beaucoup lui doivent, �crivains et peintres, de ne s'�tre point �puis�s � copier, � pasticher les ma�tres qui jouis- sent successivement de la faveur �ph�- m�re de la foule. "Nous m�mes, ou p�- rir!'.' r�p�tait-il souvent. Ce cri devrait �tre grav� sur sa tombe II r�sume ad- mirablement sa le�on essentielle. Georges RENCY. wvvvvvvwvvvvvvvvvvvvvvvvvvv\A/vvvvvvviM/vvvvv\a -%. DEMA'iN JOUR DE CONGE TRADITIONNEL DE NOS TYPOGRA- PHES, LE JOURNAL NE PARAITRA PAS ET NOS BUREAUX SERONT , FERMES. ge�i

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This item is a publication of the title La Flandre libérale belonging to the category Culturele bladen, published in Gand from 1874 to 1974.

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