La métropole d'Anvers: paraissant provisoirement à Londres

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16 January 1917
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s.n. 1917, 16 January. La métropole d'Anvers: paraissant provisoirement à Londres. Seen on 18 May 2024, on https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/en/pid/mk6542kc2z/
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LA MÉTROPOLE II ONE PENNY CINQ CEHTIMEI «or. VIJF CENT DIX CEKTIMM ' « • PARAISSANT PROVISOIREMENT A LONDRES Bureaux : 43, Chancery Lane, W.C.—Téléphoné : Holborn 212. ABONNEMENTS : 1 mois, 3 ah. ; 3 mois, 9 ih. Etranger : 1 mois, 4 sh. : 3 molj, 18 I 24ME ANNEE MARDI 16 JANVIER 1917 No. 16 1 ^ GB.AMDB 1 A cina kilométrés de Qalatz » i U SITUATION SUR LA SERETH ■ La reponse de la Qrece ■Le front roumain est toujours le seul ■ se manifeste une activité sérieuse. [|après un bulletin officiel de Pétrogra- ■ publié dimanche dernier les Autrichiens ont tenté une attaque contre des ■tachements russes se trouvant à l'est I «village de Putna dans la vallée de la ■ière de ce nom, ainsi que contre des Bachements occupant des positions au IL du Slonic et au sud de l'Oitoz. Jutes ces attaques ont été repoussées. ■)ans un autre secteur l'ennemi, fort dEviron trois régiments, et soutenu S une grande quantité d'artillerie lan-çf une attaque en force contre l'avant-gjrdc russo-roumaine se trouvant à Btul Lung-Mihalea, sur le Sereth, et afnça jusqu'à Vodeni à dix verstes au Ijouest de Braïla. Après avoir re-ssé plusieurs attaques les détache-its avancés alliés abandonnèrent le ige du Cotul Lung-Mihalea, sous ls ision de forces supérieures. Suivant ommuniqué de Berlin, l'ennemi s'esl laré du village de Vodeni qui s« ive à environ cinq kilomètres au sud-st de Galatz sur la voie ferrée ve-t de Braïla. 'est maintenant seulement que nou; ns voir si la ligne du Sereth est sé' sement organisée ou non. Encore résistance directe n'est-elle pas h !e chose à considérer, ni même h icipale. L'attention doit rester fixé» l'ancien flanc droit russo-roumain est devenu aujourd'hui le prolonge lent du front de plaine, d'abord er rant du haut Sereth, puis sur le Tro is. L'ennemi progresse toujours par là >r, la ligne du Sereth, au nord de Foc ini et jusqu'au Trotus, n'a pas, < jaucoup près, la même valeur qu'ei père de Focsani et Braïla, et il y ; ut lieu de croire que l'ennemi prendra pnant de l'ouest, pour points de direc on Técutchin et Birlat S'il force 1< It Sereth, médiocre obstacle, en avan ces deux points, la ligne du bas Se i, quelque fortifiée qu'elle soit, n< dra pas, car il sera urgent de l'aban ner même non attaquée. t plus le point où l'ennemi pronon i son effort sera choisi par lui loii bas Sereth, plus cet abandon devn précipité. Alors le repli ne sera pos e que sur le Pruth, et non comme i audrait vers le nord. Certes, la ligni Pruth sera de toute solidité, en arriè fe la rivière, bien entendu. Mais h aite sur cette ligne découvrira tota ent le nord de la Roumanie, qui seri lu comme le reste. Le Pruth devien un front stable que ni l'un ni l'autri deux adversaires ne franchira, et i ira définitivement renoncer à cettf jfaisive russe, tant espérée et escomp Se. On commence à comprendre mainte ant que l'idée d'une opération alleman , sur Odessa est chimérique, et qui ennemi a, dans l'état actuel des cho es> beaucoup mieux à faire, en remen ®nt sans obstacle jusqu'au nordj de li oumanie, jusqu'à la Bukovine, pour 1: ^gager et prendre Letchinski à revers e il ira à Kiew s'il veut. S'jamais une offensive russe se pro 11 elle ne pourra venir que par li 0 de la "Roumanie, pour empêche suite d'événements de se réaliser " e|'e se déclanchait aujourd'hui, c'es I"" e Trotus qu'il faudrait la souhaiter jjnon ailleurs. En avant du bas Sereth lus S6ra't re£ret table, pour ne pas dir< e^llr 'e front de l'ouest la situatioi 1 e toujours stationnaire à l'exceptioi « opérations mineures qui se font en es tranchées respectives, et en par |l1ler dans les environs "de Neuve-Cha L et d'Armentières. Une reconnais P ce ennemie au nord-ouest de Gueu L°Urt fut repoussée, de même qu'i L ' ou e^e réussit cependant à péné ' ''mporairement dans les tranchée1 [piques. ai1s le secteur français il y a eu h canonnade d'usage au sud de la Somme et dans la région de Verdun; des reconnaissances ennemies au sud de Ber-ry-au-Bac furent repoussées. Quant à la situation en Grèce il n'y a pas beaucoup de neuf. Les délégués de l'Entente ont tenu une conférence à bord d'un navire de guerre à Athènes et ont désigné le ministre italien pour aller trouver le gouvernement grec. L'impression générale c'est que la réponse de la Grèce à l'ultimatum allié n'est pas suffisamment explicite. Un des gouvernements de l'Entente a donné à entendre qu'une réponse non équivoque doit être donnée avant que les relations normales puissent être reprises; on s'attend à ce que la Grèce se conforme à ce desideratum. Pour envoyer des enfants belges en Hollande L'œuvre Santé à l'Enfance a été cr ée au mois d'août 1916 à la suite desrapports que faisaient à leurs compatriotes tous les Belges qui venaient d£ Belgique occupée. M. van Vollenhoven, chargé d'affaires des Pays-Bas, promit son appui au Comité belge constitué par Mme Van de Werve, aidée de M. de Bueger. C'est grâce aux démarches de M. van Vollenhoven que les autorisations nécessaires furent obtenues et bientôt les premiers groupes d'enfants arrivèrent à La Haye, amenés par un Comité de dames qui s'était constitué à cet effet à Bruxelles. Depuis le mois d'août, plus de 2.500 enfants furent amenés en Hollande où ils furent suralimentés, soignés et rehabillés. Les enfants sont choisis en Belgique parmi ceux dont l'état de santé exige des soins immédiats. Les résultats obtenus en Hollande par la suralimentation sont merveilleux et le Comité ne regrette qu'une chose, c'est de ne pouvoir étendre encore davantage son action. Les enfants appartiennent tous aux classes les plus pauvres. Les frais d'entretien sont considérables et comme la plupart des enfants arrivent sans chaussures et peu vêtus il est essentiel de leur procurer le plus rapidement possible des vêtements. Le Comité fait un appel pressant à tous ceux qu'intéresse le sort de l'enfance belge, 1 avenir de la race. i Le Comité prie donc tous les amis de la Belgique d'adresser leur obole, au 1 nom du Comité, à M.le baron Fallon, ministre de Belgique à La Haye. 11 remercie chaleureusement tous ceux qui s'intéressent à l'enfance belge et espère être sera tenu dans son action par les pères et mères du monde entier. \ ' " Selon que vous serez puissant 1 ou misérable..." Quand les Allemands sont sûrs d'être vainqueurs Les neutres sont déjà intervenus entre la France et l'Allemagne. C'est au mois de février" 1871, au moment où l'on discutait • les conditions de la paix c'est-à-dire les " buts de guerre " d'alors. Voici en quels termes M. Thiers, dans ses Notes et Souvenirs (pp. 122), rapporte l'incident . 24 février 1871. — M. Kern, ministre de la Confédération helvétique, s'est entremis auprès du Chancelier. Il a été très mal reçu : ; — Que venez-vous faire ici, lui a dit M. de Bismarck ? De quoi vous mêlez-vous ? C'est là une question qui doit se vider entre " la France et nous ; et vous, neutres, vous n'avez pas à vous en mêler. Nous avons 1 donné des conditions ; elles sont irrévoca-> blement fixées et nous ne les changerons pas. ; Si elles ne sont pas acceptées, la guerre recommencera.« * » Quand les Allemands ont peur d'être battus Oh ! alors, le langage change. Par tous les moyens, par toutes les voies, sous toutes ' les formes, le Chancelier de l'empire, les ambassadeurs de Guillaume' II et les correspondants reptiliens de la presse des pays neutres disent ou écrivent : Au nom de l'humanité, faites que l'on mette un terme à cette tuerie ! t Bons neutres, intervenez ! La manœuvre allemande auprès du président Wilson Le correspondant à Berlin du journal germanophile New-York American, qui est 'un des agents attitrés de la propagande illemande pour les Etats-Unis, envoie par ,e service allemand de télégraphie sans fil un message dans lequel on reconnaît sans peine i'inspiration de la.Wilhelmstrasse.Ce document rédigé sous la forme d'une série d'affirmations péremptoires commence par attribuer à .'Allemagne une attitude de dignité offensée : Les puissances centrales ne feront aucune réponse à la note de l'Entente, considérée .ci comme un non. Les Puissances centrales sont toutes disposées à définir leurs conditions, mais il serait incompatible avec leur dignité de grandes nations de continuer à demander des pourparlers avec un groupe de Puissances qui les accusent, dans une note diplomatique, de manque de bonng foi et de tergiversations et qui refusent d'entrer en conversation. Après avoir fait ces déclarations pour la forme, le correspondant " inspiré " amorce la manœuvre dont il est chargé*: Néanmoins, il serait prématuré de croire que la porte est fermée àjla, paix, même maintenant... Suit "un long développement où il est expliqué que la réponse des Alliés à l'Allemagne exprime en réalité leur désir de négocier et que d'ailleurs les nations française et anglaise sont dans une détresSfe qui les démoralise complètement. Enfin, après ces raisonnements extravagants, vient l'appel au président Wilson, qu'on invite à servir de médiateur : Dans d'autres moments de crise, de grands hommes se sont révélés pour faire face aux [Lcsssités. Cette époque historique se passera-t-elle sans faire surgir l'homme que l'Histoire attend, pour le couronner de lauriers impérissables ? Cet homme paraît devoir être le président des Etats- Unis. Le message se termine par de nouveaux arguments, aussi extravagants que les précédents, et destinés à faire croire à M. Wilson qu'il aurait chance de réussir dans son rôle de médiateur : Rien, dans les déclarations des belligérants n'écarte les offices d'un neutre. Les deux notes suggèrent l'idée d'un habile médiateur. La réponse de l'Entente paraît n'être qu'un refus, mais un observateur attentif trouve de nombreuses preuves du désir qu'ont les deux parties (sic) d'engager la conversation sous le couyert d'un ami discret... Admirable attitude de l'Archevêque de Varsovie Selon des informations reçues de Pologne par la Gazette de Lausanne, le général von Beseler, gouverneur allemand de Pologne, a fait tout son possible pour obtenir l'appui des protestants et des juifs polonais, comme agents de germanisation. Ce fut d'ailleurs sans succès. Von Beseler essaya également d'utiliser le clergé catholique, dont l'influence sur les paysans est très grande. Il se fit présenter à Mgr Kakowski, archevêque de Varsovie depuis 1913, pour lui demander si, sur son intervention, le clergé favoriserait, du haut de la chaire, le recrutement d'une armée polonaise. — Excellence, répondit l'archevêque, j'ai été nommé par le Saint-Siège , puis confirmé par le tsar, à qui j'ai prêté serment de fidélité. Le Pape seul peut me délier de mon serment. Von Beseler n'insista pas. Le même journal raconte que la veille de la proclamation de l'indépendanc polonaise, von Beseler vint trouver Mgr Kakowski, pour lui dire qu'en attendant la nomination du roi, selon la vieille constitution polonaise, c'était le primat qui, de droit, devait être le magistrat suprême du royaume et que cette haute fonction revenait par conséquent, à Mgr Kakowski. •- , — Voâ renseignements ne sont pas tout à fait exact, répondit Mgr Kakowski : ce serait à l'archevêque de Gnesen que reviendrait cette fonction. Cette simple réponse renversa tout l'échafaudage édifié par le général prussien. En fait, le titre de primat de Pologne a toujours été et reste affecté au titre d'archevêque de Gnesen, et Gnesen-Posen se trouvant en Pologne prussienne, on ne pouvait dire plus habilement à Beseler qu'il fallait d'abord réunir à Ja Pologne le territoire qui a été arraché par la Prusse. Un socialiste allemand demande la dictature militaire - La Gazette Populaire de Cologne apprend que le député socialiste David a demandé, dans une assemblée tenue à Cologne, que le dictateur Batocki, soit remplacé par un dictateur militaire, qui devrait être un général. Ce dernier serait muni de pouvoirs Spéciaux et aurait pour mission d'améliorer la situation alimentaire. REPONSE DU GOUVERNEMENT BELGE A LA NOTE AMERICAINE La réponse collective des Alliés au président Wilson, qui a été remise le 10 janvier par M. Briand à l'ambassadeur des Etats-Unis à Paris était, comme nous l'avons fait prévoir, accompagnée d'une note additionnelle de la Belgique remise en présence de M. Beyens, ministre belge des Affaires étrangères. Cette procédure spéciale est destinée à marquer à la fois le sentiment que la Belgique éprouve à l'égard de la chaude sympathie manifestée par les Etats-Unis à l'égard de la population belge en Belgique occupée et son propre caractère comme victime de l'agression allemande.Voici le texte authentique de ce document : Le gouvernement du Roi, qui s'est associé à la réponse remise par le président du Conseil français à l'ambassadeur des Etats-Unis, au nom de tous les Alliés, tient à rendre tout particulièrement hommage aux sentiments d'humanité qui ont dicté à M. le président des Etats-Unis l'envoi de sa note aux Puissances belligérantes, et il apprécie hautement l'amitié dont il se fait le bienveillant ihterprète à l'égard de la Belgique. Autant que Mr. Woodrow Wilson, il voudrait voir la guerre actuelle prendre fin le plus tôt possible. Mais M. le président semble croire que les hommes d'Etat des deux camps opposés poursuivent les mêmes buts de guerre. L'exemple de la Belgique démontre malheureusement qu'il n'en est rien. La Belgique n'a jamais eu, comme les Puissances centrales, des visées de conquêtes. La façon barbare dont le gouvernement allemand a traité et traite encore la nation belge, ne permet pas de supposer qu# l'Allemagne se préoccupera de garantir dans l'avenir les droits des peuples faibles qu'elle n'a cessé de fouler aux pieds, depuis que la guerre, déchaînée par elle, a commencé de désoler l'Europe. D'un autre côté, le gouvernement du Roi enregistre avec plaisir et avec confiance l'assurance que les Etats-Unis sont impatients de coopérer aux mesures qui seront prises, après la paix, pour protéger et garantir les petites nations contre la, violence et l'oppression. Avant l'ultimatum allemand, la Belgique n'aspirait qu'à vivre en bons termes avec tous ses voisins : elle pratiquait avec une scrupuleuse loyauté envers chacun d'eux les devoirs que lui imposait sa neutralité. Comment a-t-elle été récompensée par l'Allemagne de la confiance qu'elle lui témoignait? Du jour au lendemain, sans motif plausible, sa ^neutralité a été violée, son territoire envahi, et le Chancelier de l'Empire, en annonçant au Reichstag cette violation du droit et des traités, a dû reconnaître l'iniquité d'un pareil acte et promettre qu'il serait réparé. Mais les Allemands, après l'occupation du territoire belge, n'ont pas observé davantage les règles du droit des gens ni les prescriptions des Conventions de La Haye. Ils ont, par des impositions aussi lourdes qu'arbitraires, tari les ressources du pays; ils ont ruiné volontairement ses indus-, tries, détruit des villes entières, mis à mort et emprisonné un nombre considérable d'habitants. Maintenant encore, tandis qu'ils font sonner bien haut leur désir de mettre fin aux horreurs de :n guerre, ils s'ingénient à accroître les rigueurs de l'occupation, en emmenant en servitude des travailleurs belges par milliers. S'il est un pays qui a le droit de dire qu'il a pris les armes pour défendre son existence, c'est assurément la Belgique. Forcée de combattre ou de se soumettre à la honte, elle désire passionnément qu'un terme soit apporté aux souffrances inouïes de sa population. Mais elle ne saurait accepter qu'une paix qui lui assure, en même temps que des réparations équitables, des sécurités et des garanties pour l'avenir. Le peuple américain, depuis le commencement de la guerre, a témoigné au peuple belge opprimé sa sympathie la plus ardente. C'est un Comité améri- 1 cain, la Commission for Relief in Bel-gium, qui en union étroite avec le gouvernement du Roi et le Comité national, déploie un dévouement inlassable et une merveilleuse activité pour ravitailler la Belgique. Le gouvernement du Roi est heureux de saisir l'occasion d'exprimer sa profonde reconnaissance à la Commission for Relief, ainsi qu'aux généreux Américains empressés à soulager les misères de la population belge. .* Enfin, nulle part plus qu'aux Etats-Unis, les rafles et les déportations de civils belges n'ont provoqué un mouvement spontané de protestation et de réprobation indignées. Ces faits, tout à l'honneur de la nation américaine, font concevoir au gouvernement du Roi le légitime espoir qu'au règlement définitif de cette longue guerre, la voix des Puissances de l'Entente trouvera aux Etats-Unis un écho unanime pour revendiquer en faveur de la nation belge, victime innocente des ambitions et des convoitises allemandes, le rang et la place que son passé irréprochable, le vaillance de ses soldats, sa fidélité à l'honneur et ses remarquables facultés de travail, lui assignent parmi les nations civilisées. ' ,J* Pour nos soldats Les Centres de récréation au front belge Au mois de juin dernier a été créée à Londres l'œuvje des Centres de récréation au front belge, sous le patronage de M. le baron de Broqueville, ministre- de la Guerre, et la présidence d'honneur du lieutenant-général Orth, chef de la Mission militaire belge à Londres, ayant pour but d'ériger dans toutes nos divisions d'armée des huttes ou tentes où nos soldats puissent se délasser et se récréer. Nous sommes heureux de pouvoir annoncer qu'un réel succès a couronné les efforts du Comité. Nos compatriotes en Angleterre ont répondu généreusement à l'appel que le Comité leur a adressé : il a reçu à ce jour £3.400 qui lui ont permis de mettre 17 centres en activité. Voici l'extrait d'une lettre émanant d'un officier au front adressée à un de nos géné-. reux souscripteurs : " J'ai beaucoup admiré les tentes de récré-• ation. Elles servent de salles de jeux à la troupe, de salles de réunion et de conférences pour les officiers, rendant ainsi un service inappréciable->tant aux soldats qu'à leurs chefs. "Je pense vous intéresser en vous signalant qu'elles sont excessivement bien conditionnées, qu'on les chauffe très facilement, y maintenant une température très douce et qu'elles sont on ne peut plus fréquentées par la troupe, qui y trouve tout le confort qu'elle ne peut trouver dans ses cantonnements très rudimentaires. Les soldats y disposent de boissons saines et à très bas prix, de jeux très variés : cartes, échecs, flèches, dames, dominos, etc., lectures diverses, et peuvent écrire à l'aise, y trouvant du papier gratuit, ce qui n'est pas un des moindres avantages pour nos chers soldats." Le Comité doit à l'aide dévouée de son délégué au front, M. Hermans de Heel, de voir le nombre de visiteurs augmenter tous les mois et dépasser en décembre dernier le chiffre de 400.000 Ces appréciations et ce résultat démontrent que ces efforts doivent continuer afin que le Comité puisse satisfaire aux demandes de nouvelles installations qui lui parviennent nombreuses ; il espère pouvoir compter sur le concours généreux de tous nos compatriotes, auxquels il adresse un pressant appel. Mme Paul Hvmans, présidente ; M. E. Standaert, vice-président, membre de la Chambre des représentants ; Lieutenant-général Mois, vice-président; M. J. Hollan-ders, secrétaire ; M. Henrion, secrétaire ; M. J. Wuidart, trésorier, vice-consul, lequel recevra avec reconnaissance les dons qui lui seront adressés au local des Centres de récréation au front belge, 28, Grosvenor Gardens, London, S.W. Le téléphone sans fil On annonce que Marconi a inventé un nouveau téléphone sans fil. Le nouvel appareil, qui est assez compliqué, fonctionne déjà à de petites distances : 30 kilomètres environ. Contrairement à ce qui se produit pour les appareils téléphoniques 'ordinaires, la voix arrive très nettement au récepteur et même le son augmente d'intensité.

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