La métropole d'Anvers: paraissant provisoirement à Londres

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22 December 1917
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s.n. 1917, 22 December. La métropole d'Anvers: paraissant provisoirement à Londres. Seen on 26 June 2024, on https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/en/pid/5x2599zz70/
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"Y"La *-v i* D/\ I 0*i 4 Mfi LA METROPOLE ONE PENNY I0KTI CIRQ CEHT1M» OLLAHDE t VIJF CEHT jïTIHEHT I DIX CEHTIMM PARAISSANT PROVISOIREMENT A LONDRES Rur*anT ! 4?i HKinrcrv L»np W.C.2 — Teleohonc: Holbors 212 ABONNEMENTS 1 mois 3 sh. ; 3 mois, 9 ah. j 24um ANNEE SAMEDI 22 DECEMBRE 1917 No. 356 La Q-K-AJXriDiE GUBSUEI Fortes attaques ennemies en Italie les conditions de paix de la Russie Un comnlot anti-Maximalisle I Dans le secteur entre la Brenta et la ■Piave, l'ennemi a lancé une nouvelle at-Baque en force contre le front Tasson-■Col del Orso, sans toutefois obtenir plus «e résultats que précédemment, car il fut ■ complètement repoussé. Dans ce sec- ■ teur, l'action ennemie est tout à fait dis- ■ tincte de celle du Col Caprile et du Col ■ délia Berretta, c'est-à-dire entre le gros ■ bastion bien défini qui s'élève sur la rive ■ gauche de la Brenta, entre Cismon et la I sortie en plaine. Ici, c'est une sorte de I plateau, très relatif, car la surface n'en I est pas une, à beaucoup près, qui se rat-I tache au mont Grappa, mais qui est sé-I paré des hauteurs au nord-est par le pro-I fond ravin de Cismon. Ce sont toujours I les légères dépressions entre les sommets I en bordure de ce plateau, le Col Caprile ■ et le Col délia Beretta, que vise l'ennemi, 1 et toujours aussi sans succès. Les trou-I pes d'assaut qu'il prépare sont obligées I de se rassembler dans les fonds de la I Brenta et du val de Cismon, où elles I sont en butte aux actions de 1 artillerie I et de l'aviation italiennes. Les conditions I pour l'attaque sont mauvaises et coûteu- Du côté du mont Solarolo, l'objectif I des attaques est moins difficile a abor-I der, par la raison que l'ennemi n'a pas I à partir chaque fois du bas des pentes. I II est installé sur la crête qui se poursuit I vers le nord, où il tient le mont Fontana I Secca, à 1.500 mètres de Solarolo. Les deux points d'attaque du Col del Orso et de la tête du ravin de Calcino tendent à aborder le mont Solarolo a droite et à gauche en même temps qu'il est pressé de front. Jusqu'ici, les communiqués n'ont annoncé qu'un léger progrès de l'ennemi à la tête du ravin de Calcino. Sur le front de l'Ouest, immobilité à peu près générale ; un raid ennemi au sud-est de Laventie, repoussé par les troupes portugaises ; raids au nord-est d'Hargicourt, h l'est de Messines, nord-est d'Armentières et au nord de la route de Menin et rencontre de patrouilles au sud-est de Cambrai, voilà le bilan de la journée dans le secteur britannique. Dans le secteur français activité modérée d'artillerie des deux côtés tout le long du front, avec une violence plus grande toutefois dans la région du bois de Gau-rières, dans la zone de Verdun. En Lorraine, forte attaque allemande contre les tranchées au nord de Reillon, repoussée avec succès complet. Il semble qu'à Rétrograde le régime de la terreur préconisé et promis par Trots-ky comme le seul moyen de bien asseoir le gouvernement bolshevik, suit à la veille d'être instauré officiellement, oar il l'est déjà, pour ainsi dire, pratiquement. Les Bolsheviks viennent notamment de 1 découvrir un complot dirigé contre la sécurité de l'Etat et tous les documents relatifs à la conspiration seront publiés sous peu. L'état de siège a été proclamé. Les chefs des Cadets ou démocrates constitutionnels sont accusés d'avoir voulu immobiliser les troupes du Soviet, en organisant le pillage des dépôts de vin.* Une liste des principaux accusés, avec leurs adresses, sera rendue publique, invitant en quelque sorte la populace à lyncher ces personnages sans scrupules."Il va sans dire, écrit un correspondant du Daily Chronicle à Pétrograde, que l'influence allemande est énorme par suite de la liberté accordée aux officiers allemands qui étaient prisonniers de guerre. D'un autre côté, la bourgeoisie de Pétrograde effrayée des maximalistes, des excès et des désordres de la soldatesque, exprime tout haut le vœu que lier Allemands puissent venir bientôt nettoyer tout ce "tas". Les préparatifs pour la campagne contre l'Ukraine continuent. Pétrograde et Kieff ont refusé de se ravitailler mutuellement et la capitale risque de souffrir le plus. Les combats continuent à Belgo-rod, où les maximalistes tiennent la main haute. Par contre,, la campagne dans l'Oural progresse en faveur des adver saires des Bolsheviks, dont la faiblesse est manifeste dans la Russie de l'Est. Quant aux négociations de paix, Trots-ky a déclaré à M. Noulens, ambassadeur de France à Pétrograde, que les conditions d'une paix démocratique avec l'Allemagne, sur lesquelles le gouvernement révolutionnaire serait inflexible, exclue-ront les annexions ou les indemnités et devront garantir les droits des petites nations et le libre développement des peuples opprimés. Si ces conditions sont rejetées, les pourparlers avec l'Allemagne seront rompus. De Paris, on annonce que la plupart des officiers du contingent russe en France se sont mis au service de l'armée américaine.o—o Le cardinal Mercier et la séparation administrative Notre grand Cardinal suit la seule tactique qui puisse convenir à sa haute dignité et à son ardent patriotisme au sujet des traîtres activistes qui secondent l'ennemi dans ses tentatives pour diviser et affaiblir la Nation belge. Il les ignore tout simplement, il fait comme s'ils n'existaient pas, il se refuse d'avoir avec eux le moindre rapport même d'ordre administratif. C'est ainsi que toutes les lettres adressées par le ministère flamand (?) de la la Justice à l'Archevêché de Malines restent sans • réponse. Le cardinal n'écrit pas aux vendus... Les activistes se sont vengés en refusant le paiement de certaines allocations de la division des Cultes à des prêtres ou chapelains nécessiteux. Mais on devine qu'il y a, en Belgique, assez de patriotes pour combler cette lacune... Dans le même ordre d'idées, signalons la crâne attitude des directions de plusieurs écoles adoptées. C'est ainsi que la directrice de l'école primaire adoptée no. 5, rue de Constan-tinople, à Bruxelles, a refusé, malgré des avertissements répétés, l'accès des locaux scolaires aux "commissaires" activistes chargés par le ministère flamand (?) des Sciences et des Arts. En conséquence, celui-ci a ordonné la suspension de tous subsides de l'Etat, de la Province et de la Commune de ladite école. o—o L'annexion de la Belgique Anvers allemande Amsterdam, 15 décembre.— Les jun-kers allemands et les annexionnistes, encouragés par la situation militaire et par la situation intérieure en Russie, redoublent d'audace... Ils entreprennent maintenant une violente campagne contre les chefs des cabinets civil et naval du Kaiser, von Valen-tino et l'amiral von Muller, auxquels ils reprochent d'accaparer le souverain, ainsi que contre le comte Czernin. Ils tentent de faire à nouveau triompher l'influence de von Tirpitz en raison de son attachement à l'idée d'une annexion, sous une forme quelconque de la Belgique.Les Dernières Nouvelles de- Kiel publient contre Czernin un violent article l'accusant d'avoir, dans son dernier discours sur l'Alsace-Lorraine, dicté au gouvernement allemand la politique à suivre du côté occidental. "La défense de Strasbourg, déclare ce journal, ne peut pas être considérée comme l'équivalent de la défense de Trieste. Le seul équivalent possible serait la défense de la "possession allemande" d'Anvers."Dans un Parlement non allemand, un homme d'Etat non allemand a brusquement engagé le gouvernement impérial allemand dans une affaire qui ne concerne exclusivement que l'Empire d'Allemagne.— Havas. Le général Léman pourra se rendre en Suisse La nouvelle est officieusement confirmée Trois ans d'une dure captivité avaient réd'uit la santé du général Léman à un état tel qu'elle eut été gravement compromise s'il n'avait été permis au héros de Liège de trouver, en Suisse, le repos et les soins nécessaires. Le roi Alphonse XIII — dont l'active compassion pour les victimes de la guerre s'est manifesté tant de fois — l'ayant appris est intervenu, de façon particulièrement posante, auprès du gouvernement allemand. Il a enfin eu gain de cause : l'héroïque général Léman vient d'être transféré en Suisse. Tous les Belges — et nos soldats les premiers — se réjouiront de cette demi- libération du glorieux captif. * » * Notre télégramme au gérvéaal Léman La Métropole, en son nom et en celui de ses lecteurs, a envoyé au stoïque défenseur de Liège le télégramme suivant : GENERAL LEMAN Berne. La Métropole, publiée à Londres, tient à vous témoigner en son nom et en celui de ses lecteurs toute la joie ressentie à la nouvelle de votre libération. Elle adresse au vaillant défenseur de Liège l'hommage renouvelé de sa vive admiration. » * # Une manifestation nationale Le retour du général Léman doit être pour nous tous l'occasion d'une grande manifestation nationale. Tous les cercles et groupements belges d'Angleterre, de France et de Hollande ne pourraient-ils se joindre à nos compatriotes de Suisse pour témoigner au général Léman, c( symbole de notre résistance, notre joie de le retrouver libre? Nous suggérons l'envoi par chaque groupe d'un télégramme de sympathie. » * » Voici les dépêches que nous avons reçues au sujet du transfert du général Léman : Annemasse, 17 décembre.— Le Bureau central d'internement a été avisé que le général belge Léman, qui a obtenu l'autorisation de quitter l'Allemagne, a été retenu au dernier moment à Constance, les Allemands ayant fait valoir de nouvelles objections. L'entrée sur territoire suisse du général Léman est donc retardée de quelques jours.— Echo de Paris■ * * * L'arrivée triomphale en Suisse Paris, 20 décembre.— Le général Léman, l'héroïque défenseur de Liège, rapatrié d'Allemagne, est arrivé tneroredi à Zurich, venant de Constance; il avait été détenu pendant quelques jours au oamp d'Heidelberg, où il avait dû passer un examen médical allemand. Le général Léman se rendra plus tard au Havre.— Reuter. * » » Berne, 20 décembre.— Le général Léman est arrivé hier soir à Berne. Il sera interné en Suisse comme prisonnier de guerre. Des scènes très enthousiastes marquèrent son voyage de la frontière à la capitale suisse, où il fut officiellement reçu par les ambassadeurs et ministres belge et alliés. Une grande foule accompagna le général à son hôtel au milieu des applaudissements.— Daily News. Un avertissement du Pape UN AVERTISSEment du Pape J4 L'Agence Radio publie la dépêche suivan-; te qui contient plus de détails que oelle que > nous avons déjà donnée : Rome, 17 décembre.— D'après le Mes-sagero, la libération de Jérusalem aurait fait l'objet d'une communication officielle du Pape à tous les évêques de la chrétienté. Dans cette communication, le Pape rappellerait que la ville de Jérusalem ne peut plus retomber sous la domination des Turcs et que toute tentative de la part de chrétiens pour rendre la cité sainte aux Musulmans serait un crime contre le christianisme qu'il ne manquerait pas de condamner. Cette communication serait principalement destinée aux évêques d'Allemagne et d'Autriche en prévision de l'éventualité d'un appui prêté par ces deux puissances à la Turquie pour l'aider à reconquérir Jérusalem. Un discours de M. Llovd George L'attitude de la Russie Avant que la Chambre des Communes n'entrât en vacances, M. Llovd George, premier ministre, a prononcé devant ses membres, jeudi, un discours important, encourageant dans son ensemble, et qui se distinguait par une grande sobriété et aussi par certaines caractéristiques dont il est utile de tenir note. Le premier ministre a déclaré tout d'abord qu'il y avait une amélioration dans la situation des vivres. Il émit l'espoir que le gouvernement ne se verrait pas dans l'obligation de contrôler les grands établissements à succursales multiples qui n'avaient pas encore pris d'arrangements pour réglementer la distribution de leurs approvisionnements de façon à éviter les queues, mais il les avertit que le gouvernement avait ce pouvoir. Les pertes de tonnage de l'Angleterre ont diminué progressivement, tandis que les pertes de sous-marins allemands ont fortement augmenté. Nos pertes ont été plus petites de centaines de milliers de tonnes qu'on ne le prévoyait au début de l'année. En ce qui concerne la situation militaire, l'écroulement de la Russie a déjoué nos légitimes espoirs. Malgré cela, les Allemands n'ont obtenu qu'un seul succès, ta surprise de Cambrai, qui fait en ce moment l'objet d'une enquête. A côté de cela, il y a les victoires britanniques de Mésopotamie et de Palestine. L'armée doit être renforcée l'an prochain, et il sera nécessaire d'appeler des hommes exemptés à present. Avant d'agir, les trade-unions seront consultés. Le conseil de Versailles a été un succès marqué. Il aura sur les relations internationales un effet beaucoup plus considérable qu'on ne peut l'imaginer en ce moment. Le premier ministre a paraphrasé ensuite la partie de son récent discours de Glasgow relatif aux buts de guerre de l'Angleterre, et a déclaré que tant que l'esprit allemand qui créa la guerre ne serait pas anéanti, il n'y aurait jamais de paix dans le monde. C'est pourquoi la victoire est une condition essentielle de la paix. Une Ligue des nations dans laquelle l'Allemagne serait représentée par sa caste militaire triomphante ne constituerait qu'une " farce creuse ". Quant aux questions territoriales, M. Lloyd George déclara que l'Angleterre devait insister avant tout sur l'évacuation et la restauration des pays envahis par l'ennemi, et qu'elle abandonnerait les questions de Mésopotamie, d'Arménie et des colonies allemandes à la Conférence de la paix, à la condition expresse que l'Arménie ne peut retourner sous le joug ottoman et que le sort des colonies allemandes doit être réglé en ayant égard aux vœux efr aux intérêts des habitants de ces colonies — thèse qui diffère assez sensiblement de la déclaration de M. Bonar Law qui n'admettait dans aucun cas le retour à l'Allemagne d'aucune de ses colonies. La Daily Chronicle dit à ce sujet : " Ce catalogue de questions territoriales peut à peine, croyons-nous, avoir eu l'intention d'être complet, car il ne fait aucune mention des " irré-dentismes " — l'Alsace-Lorraine, le Trentin, Trieste, la Bosnie, ou la Transylvanie — au sujet desquels nous ne pouvons supposer que le premier ministre ait voulu introduire un départ de toutes les déclarations alliées précédentes. De même, pour ce qui concerne l'Europe centrale, on peut se demander si l'on peut pousser très loin sa déclaration que "si la Russie a décidé de négocier séparément, elle doit s'occuper de ses propres territoires ". Peut-on en inférer, par exemple, que la Pologne, sur le cas de laquelle M. Wilson a in sisté si souvent et si particulièrement, pourrait être abandonnée à Potsdam parce qu'un Pétrograde bolchévique sort de la guerre? On peut à peine le supposer, pour cette raison parmi d'autres que si l'autocratie militaire prussienne réussissait à consolider dans son orbite toute la nation polonaise — une des plus grandes, de l'Europe et qui occupe un de ses plus riches territoires — elle pourrait difficilement être considérée dans aucun sens comme la puissance défaite et humiliée qu'elle doit devenir si le monde veut avoir la paix." o—o La captivité de M. Max Le courage du Bourgmestre de Bruxelles ne fléchit pas Le bourgmestre de Bruxelles a comparu en octobre dernier devant un tribunal qui l'a acquitté du prétendu délit de correspondance avec le gouvernement belge. Mais M. Max est toujours en prison cellulaire pour un délit ( !) commis en novembre 1915. M. Max, refusant d'acquitter l'amende de 500 marks à laquelle les Allemands l'avaient condamné, avait choisi la peine subsidiaire de 57 jours de prison. Le vaillant bourgmestre sera détenu, de ce chef, jusqu'au 9 janvier prochain, à la prison civile de Moabit (Berlin). A cette date, M. Max regagnera ce que les Boches appellent "une prison honorable". x Comme si toutes les prisons n'étaient pas "honorables", quand on y souffre pour son pays... Le Noël des petits pauvres d'Anvers Physiologiquement, nos enfan's se meurent de faim. Dr. SCHUYTEN. Chef du Service pédologique de la ville d'Anvers. Les sommes recueillies seront réparties entre les enfants pauvres d'Anvers, sans aucune distinction de parti ou de religion. VINGT-SIXIEME LISTE Report £ 469 15 3 Fr. 210 Anonyme ... ... ... 500 Un An versais 100 Le personnal du bureau d'une firme anversoise 10 o Denise et Georgette pour leurs pauvres petits concitoyens ... 36 M. et Mme Jérôme Van der Luppen d'Anvers ... 20 Eugène Haverland 1 o Charles Vekemans 100 Mme Alfred Flamand 100 Mme C. Van der Vecken ... 26 Clairette ... ... ... 10 Georgette ... ... ... 10 Emma, Marie, Anne 1 o Pour que Mme de P... ... 1 o Les réfugiés du 29, Hampstead Hill Gardens 3 6 Clémentine ... ... ... 6 Miss Franklin Smith ... 26 E. Griffin ... ... ... S o Mrs. Ferguson 5 o J. D. Singer ... ... ... 3 0 Mrs. J. D. Ker ... ... 36 C. G. Woodroff et Mrs. Wood- roff 5 o Les Belges, 95, South Hill Park ... ... ... 46 E. M. Whitemore ... ... 26 P. J. Thomson ... ... S o Robert Cust ... ... ... 26 Augustin H. Cook ... ... 26 A. F. ... ... ... ... 2 6 E. W. Bell 2 6 Pour que Louvain soit vengé 2 6 D. Pvne 2 6 Total £ 481 13 3 Fr. 410 Notre souscription étant à la veille d'être clôturée, nous prions nos lecteurs voulant encore contribuer à notre Noël des petits pauvres d'Anvers, de vouloir nous adresser l.p.u.r nhnlp snvic ■ypf.nr/1 O O Les Alliés et le Japon M. Lazare Weiller, député français, parlant dans l'Homme libre, de la prochaine offensive allemande et de la nécessité pour tous les Alliés de s'unir plus étroitement pour parer le coup que prépare l'ennemi, écrit les lignes suivantes au sujet de l'intervention du Jap>on : Bien souvent, à cette place, la pensée clairvoyante de M. Clemenceau a essayé d'attirer vers l'Extrême-Orient les volontés de l'alliance. La nouvelle, d'ailleurs non confirmée, nous venait, il y a peu de jours, de Vladivostock. Les peuple^ de France et d'Angleterre auraient tressailli d'espérance s'ils avaient connu, il y a trois ans, l'admirable déclaration que le comte Okuma n'hésitait pas à faire en ce jour tragique du 1er décembre 1914, quand la fortune semblait encore incertaine.Pour l'honneur de la civilisation nippone, pour le salut du genre humain, pour la conservation de toute la beauté de la vie, trésor commun de l'Orient et de l'Occident, le grand homme d'Etat offrait de vouer à la cause du droit toutes les vertus, toutes les richesses, tout le sang de sa nation. Qui était alors, chez nous, ministre des Affaires étrangères? Et comment un appel aussi précis ne trouva-t-il pas, sur tous les sommets où il parvint, une audience attentive?Le temps et les événements ont passé, sans en altérer la pénétrante préscienoe, sur la déclaration du comte Okuma. La fleur de sagesse historique qui s'épanouissait en son généreux langage, a conservé son éclat. A l'heure où, pour la décision de cette guerre totale, iJ faut unir la totalité des for-oes morales et matérielles de la civilisation, il m'a paru utile de réveiller par ce grand souvenir une grande espérance. Nos aviateurs Nous relevons, dans le Courrier de l'Armée, la citation suivante : A été nommé chevalier de l'ordre de Léopold et décoré de la Croix de guerre : Verhoustraeten, Armand, premier sergent-major aviateur : Pilote de chasse plein d'allant et de courage, glorieusement tombé le 7 décembre 1917, au cours d'une patrouille au-dessus de Dixmude, abattu par le tir de mitrailleuses.

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