La métropole d'Anvers: paraissant provisoirement à Londres

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12 October 1917
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s.n. 1917, 12 October. La métropole d'Anvers: paraissant provisoirement à Londres. Seen on 07 May 2024, on https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/en/pid/bn9x05z75k/
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LA MÉTROPOLE IONE PENNY CINQ CEUTIHEI îiîiDI: VIJF CEHT pisEHT : DIX CENTIME» PARAISSANT PROVISOIREMENT A LONDRES Bureaux : 43, Chancery Lane, W.C.2 — Téléphoné : Holborn 212. ABONNEMENTS 1 "mois^3_sh. ; 3 mois, 9 sh. I 24mb ANNEE VENDREDI 12 OCTOBRE 1917 No. 285 LA GRANDE GUERRE La révolte dans la flotte allemande Un manifeste du gouvernement russe Sur le front des Flandres Nous avons puoiic mci cil uwuiwt la déclaration sensationnelle faite au Èchstag par l'amiral von Cappelle, chef l'Amirauté allemande, à propos de la tinerie qui a éclaté à Wilhelmshafen, lord des navires de guerre allemands-[gencc Reuter ajoute encore ces dé-|s qui ne manquent pas d'intérêt. Sui-it des renseignements reçus à Ams-Jam, la révolte dans la flotte alleman-ja éclaté parmi les équipages de qua-navires de guerre se trouvant à Wil-inshafen. Un de ces navires était le ist/alen, dont le capitaine fut préci-! par-dessus bord par les marins en olte et dont le corps ne fut repêché : huit jours plus tard. L'équipage tta le bateau et se rendit à terre. Des iliers marins reçurent l'ordre de les iquer, mais ils s'y refusèrent. Un iment d'Oldenburg reçut alors l'ordre ntreprendre cette tâche; les mutins eut entourés et ils se rendirent. Ou-: les équipages des quatre cuirassés i se révoltèrent, l'équipage du croi-ir léger Nurnberg, qui était en mer à moment, se révolta également, s'em-ra des officiers et partit dans la direc-nde la Norvège dans le but de s'y fai-interner.En route, le Nurnberg rencontra une Itille de torpilleurs. Celle-ci fit des si-aux au Nurnberg, qui ne fit aucune lonse. Le commandant de la flottille t des soupçons et télégraphia par le is-fil à Wilhelmshafen que le Niïrn-'g n'avait pas répondu à ses signaux, reçut alors l'ordre d'arrêter ou de lier le Nurnberg, dont l'équipage, se fant entouré, se rendit et le navire fut nené à Wilhelmshafen, Après que la révolte eut été ainsi sup-mée, le Kaiser, accompagné du colo-tl Dr. Michaelis, vint à Wilhelmsha-n et donna l'ordre de fusiller un sur ft des mutins. Le Dr. Michaelis éle-i des objections, parce qu'il ne pou-ut pas assumer une pareille responsa-lité devant le Reichstag. Eventuelle-Mt, on n'en fusilla que trois et de pes peines de travaux forcés, furent Iposées. Une des raisons de la révoltait, paraît-il, le manque et la mau-"se qualité de la nourriture. Il ne faudrait pas attacher une trop 'ande importance à cette révolte, car imiral von Capelle a, sans aucun dou-i cédé à des motifs politiques en failli de cet incident, une affaire à sen-tion. L'administration de M. Michae-1 n'a pas fait bonne figure au Reichstag son plus récent embarras a été le dé-" élevé par les socialistes au sujet de propagande de parti dans la flotte et lns l'armée. Les critiques se plaident que les autorités prissent avan-p de la position disciplinaire des sol-!ts et des marins pour les inonder de Propagande pangermaniste et conser-"nce au détriment des partis formant ™ajorité du Reichstag. L'accusation ■mblait être bien fondée et menaçait de '™er contre l'administration un bloc e d'opposition, en particulier contre ■ -hancelier, le ministre de la Guerre e ministre de la Marine. Dans cet- ■ passe, il n'était que naturel pour les '["'stres impliqués qu'ils répliquent par ePouvantail de "l'influence de la révo-tion russe". Rien n'était mieux cal-_1 Pour rattraper, au moins pour un mPs> l'appui de tous les membres non-'"ahstes du Reichstag, que l'affirma- que l'efficacité des forces allemande combat était menacée par un mou-! ent de mutinerie dans le style russe, °v°qué par les socialistes de la mino-e\i rnanœuvre n'a probablement ■ ^ l'amiral von Capelle et au oo-:e) Michaelis qu'une réversion à la ^'®ue familière allemande d'avant la I rre et à laquelle l'empereur lui-même [T Part en appelant les socialistes ■ s types sans patrie". On aurait pu o!,Ueter.Plus de foi aux assertions de ré- I'! S1 'e ministre n'avait pas insisté j ,■1 Sur le fait que les politiciens so- s cs qui l'attaquaient avaient été mis ■dans. Une grande partie des marins allemands est socialiste et même socialiste indépendant- La même chose pour l'armée, mais l'Allemagne qui n'est pas le pays où réussissent les révolutions est encore moins celui où réussissent les révoltes en temps de guerre. Ce serait une faute que de reposer trop d'espoir sur une histoire aussi transparente. Ce serait même une faute plus grande de relâcher la fermeté et la solidarité de notre attitude, car l'Allemagne ne faiblit pas devant la faiblesse, elle ne se fait mater que par la force. Une nouvelle fois, la manoeuvre allemande, probablement inspirée par Herr voq Kuehl-mann qui prétend connaître sur le bout du doigt la psychologie des Alliés, a échoué et l'effet produit à l'étranger sera exactement le contraire de ce que l'on en attendait. Le gouvernement reconstitué en Russie sur les bases que nous avons publiées a lancé un manifeste au sujet de la politique du nouveau cabinet. Une énorme responsabilité, y est-il dit, repose sur le gouvernement provisoire, qui est chargé par l'histoire de la tâche de guider la Russie jusqu'à la réunion de la Constituante. Cette responsabilité, il j est vrai, est tempérée par la confiance , complète que les représentants de toutes ! les classes du peuple russe, unies par le désir unanime de sauver le pays et de sauvegarder les conquêtes de la Révolution, se rendront compte de la nature de la tâche commune, spécialement celle d'aider- le gouvernement à consolider son autorité, à le rendre stable et capable, par un travail utile, de résoudre les problèmes vitaux pour le pays et de le conduire, sans nouveaux désastres, à la réunion de l'Assemblée constituante, dont la convocation, dans l'esprit du gouvernement, ne doit pas être retardée d'un jour. Profondément conscient que la paix universelle seule permettra à notre grand pays de rassembler toutes les forces créatrices, ainsi finit le manifeste, le gouvernement poursuivra infatigablement une active politique étrangère dans l'esprit des principes démocratiques proclamés par la Révolution russe et devenus maintenant nationaux, mettant de côté toute pensée de violence et mettra tous ses efforts à obtenir une paix universelle.Aucun nouveau détail n'est donné au sujet du léger échec que les troupes britanniques ont subi en Flandre, sur une étendue de quelque 2.000 mètres. L'ennemi n'a plus contre-attaqué et les troupes s'organisent sur le terrain capturé. Le nombre des prisonniers s'élève à 2.038, dont 400 capturés par les Français, et parmi lesquels se trouvent 29 officiers- De la ferme du Papegaai, où se trouve le point de jonction des armées franco-britanniques, le front britannique descend actuellement vers le sud-est, passant devant le village de Poelcapelie, que, malgré leurs efforts, les Allemands n'ont pu reprendre. Sur le reste du front français, il n'y a rien à signaler qu'une forte attaque allemande au nord du bois de Chaume, qui ne produisit rien pour l'ennemi et qui, en conséquence, n'est pas mentionnée dans son communiqué. Le comte Luxburg, ancien attaché militaire allemand en Argentine et devenu célèbre par ses dépêches envoyées par l'intermédiaire de la légation suédoise, sera interné par le gouvernement arge--tin sur l'île de Martin Garcia, sous surveillance militaire, jusqu'à ce qu'on trouve pour lui un navire qui le conduise en Hollande. o—o Aviateurs britanniques remis en liberté en Hollande Le ministre de la Marine annonce que deux aviateurs britanniques qui avaient été obligés de descendre en mer, et qu'on avait conduits à Nieywediep le ^5 septembre, ont été remis en liberté, mais leur appareil a été retenu. Mort du bourgmestre de Matines M.Victor Van Horenbeeck, bourgmestre de Malines, est mort en cette ville, le 22 septembre dernier. La ville lui a fait d'imposantes funérailles; plusieurs discours ont été prononcés sur sa tombe. M. Van Horenbeeck avait été longtemps à la tête du département des finances; il assuma la charge de bourgmestre il y a environ deux ans. Déjà souffrant à cette époque, on peut dire que sa mort a été provoquée par les Allemands, qui se montrèrent particulièrement durs vis-à-vis des populations ma-linoises.o—o Le Bolisme en Angleterre L'Evening News (10 octobre) dit que l'on fait des tentatives, et qu'on continuera sans doute d'en faire, pour amoindrir l'action faite pour découvrir les agents de la propagande pacifiste ennemie en Angleterre : " On a annoncé officiellement lundi à Paris, que le capitaine Bouchardon, qui mène l'enquête de l'affaire Bolo Pacha, envoie une commission judiciaire en Angleterre pour y faire certaines investigations. Cette commission, d'après ce qu'on dit à Paris, possédera des informations au sujet des activités de Bolo en Angleterre. " Le fait que cette commission n'est pas encore arrivée à Londres est remarqué dans certains milieux, et on cherche à mettre en doute l'importance de la manœuvre du capitaine Bouchardon. " Il fallait s'attendre à cela, mais le public peut être assuré que la commission française sera à même d'accorder une aide de valeur à notre pays dans la recherche de la façon dont | les fonds ennemis ont été distribués ici dans i le but de créer une atmosphère pacifiste." Le journal fait ressortir ensuite qu'une investigation s'impose des comptes-chèques des organisations pacifistes dans les banques. Il est permis de rapprocher de l'article de \'Evening News la note suivante qui a paru dans la correspondance londonienne du Manchester Guardian (9 octobre) : " Or allemand. — Un journal londonien du soir annonce que " les autorités s'occupent actuellement d'inyestiguer la véritable identité des organisateurs et la bonne foi et les antécédents de ceux qui, croit-on, financent la propagande pacifiste dans le pays ". " J'ai fait des recherches, mais je ne trouve aucune raison de croire qu'aucune nouvelle action n'est faite par le gouvernement en dehors de ce qui est indiqué dans ma communication de samedi sur le travail du ministère nouveau du National Service. Vos lecteurs se rappelleront que je mentionnai qu'il y a des symptômes de l'existence de certains centres dans le pays qui travaillent clairement contre le recrutement, et que de nouveaux pouvoirs pourraient être demandés par le département du National Service pour empêcher toute nouvelle extension du mouvement. Je crois que c'est tout." o—o Spéculations malheureuses New-York, 10 octobre.— La Tribune dit que Heinrich Albert, qui manipulait ici 300 millions de francs d'argent allemand, a perdu 15 millions en spéculant sur le coton, le blé et le lard. Von Rin-telen, qui manipula également de grosses sommes destinées à la corruption, les employa pour spéculer. Note. — Heinrich Albert est probablement le Dr. Albert, ancien commissaire général allemand à l'exposition de Bruxelles. Employé à l'espionnage allemand aux beaux jours des Bernstorff, des Boy-Ed et des von Papen, "un-ser arme Albert " se fit délester dans l'Eleva-ted de New-York d'une serviette pleine de papiers compromettants qui furent transmis à Londres et servirent de base à de fameuses révélations. 0—0 Les récoltes dans l'Amérique du Nord L'Institut international d'agriculture vient de faire connaître les évaluations des récoltes de céréales dans certains pays gros producteurs. En général, elles sont très satisfaisantes et supérieures aux récoltes de l'an dernier. Aux Etats-Unis, on aura 68 millions de quintaux de blé de printemps, soit à peu près la moisson moyenne et 58 0/0 de plus qu'en 1916 : 223 millions de quintaux d'avoine (22 0/0 de plus qu'en 1916); 825 millions de quintaux de maïs (25 0/0 de plus qu'en 1916). Le Canada annonce 68 millions de quintaux de blé ; 13 millions de quintaux d'orge (43 0/0 de plus qu'en 1906); 62 millions de quintaux d'avoine ; 1 million de quintaux de seigle. L'Algérie compte sur 8 millions de quintaux de blé qui s'ajouteront aux disponibilités françaises ; 7 millions de quintaux d'orge et près de 3 millions de quintaux d'avoine, soit 44 0/0 de plus que l'an dernier. NOUVELLE VICTOIRE BELGE EN AFRIQUE ORIENTALE PRISE FOUDROYANTE DE MAHENGE Le Havre, 10 octobre. — Communiqué officiel du ministère des Colonies : . En Afrique orientale, les troupes belges appartenant à la colonne du major Bataille, ont activement poursuivi l'offensive au sud de la rivière Kilimbero. Le 7 octobre, elles attaquèrent les positions ennemies sur un large front marqué par la ligne de collines située au nord-est et au nord-ouest de Mahenge, Les forces allemandes, refoulées de leur première ligne de défense, se retirèrent, en résistant toujours, vers la seconde ligne de crêtes devant Mahenge, sur laquelle des défenses avaient été préparées.Le 9 octobre, le major Muller, commandant les colonnes belges sur la droite, que ses troupes précédaient pour occuper la place, entra dans Mahenge. Les opérations de poursuite continuent dans la région montagneuse au sud de Mahenge, vers où l'ennemi s'est retiré et au delà de laquelle les colonnes britanniques opèrent. Mahenge était la dernière des villes principales du district qui demeuraient encore entre les mains des Allemands. Londres, 10 octobre. — Communiqué officiel du War Office (extrait) : Dans la zone occidentale, Mahenge a été occupée par les troupes belges après une avance, en présence d'une forte opposition à travers un terrain difficile, de la rivière Ulanga (ou Kilimbero). Des colonnes britanniques restent en contact étroit avec des détachements ennemis au sud et au sud-ouest de Mahenge.* * * La prise et l'occupation foudroyante de Mahenge par l'armée coloniale belge en Afrique orientale allemande sous les ordres du lieutenant-colonel Huyghe est un nouveau triomphe pour nos admirables troupes coloniales, pour leurs vaillants et savants officiers et sous-officiers et pour notre administration coloniale chargée de la difficile mission des trarts-ports et du ravitaillement. Mahenge, située au sud de la Rufigi, dans les hautes terres montagneuses et embroussées qui s'étendent entre cette rivière et la Mbemkuru, ancien quartier général allemand pendant la campagne de 1916-17, était le dernier centre de résistance important de nos ennemis dans leur magnifique possession de l'Afrique orientale. Après la prise de Tabora par les troupes belges, la campagne sud-africaine paraissait terminée et notre armée, à la suite d'une convention avec les Anglais, se retira à l'ouest de cette place. Mais il apparut bientôt que la résistance allemande n'était pas complètement brisée- Peut-être ravitaillée en munitions par un des raiders qui ont réussi à forcer le blocus et dont les activités se sont manifestées dans l'océan Indien, les Allemands reprirent leur guerre de guérilla et l'Angleterre fit de nouveau appel à la collaboration belge, qui, une fois d'e plus, vient de se montrer particulièrement rapide et efficace. L'appel anglais paraît dater du mois d'août. Dans la seconde moitié de ce mois, les troupes belges étaient dirigées vers le terrain des opérations, sous les ordres du lieutenant-colonel Huyghe et les phases de la campagne, réellement foudroyante, étant donné les difficultés énormes du terrain, peuvent se résumer comme suit : 28 août.— Fin de la concentration belge à Sakara, sur la rivière Kilimbero. ou Ulanga, affluent de la Rufigi. 9 septembre.— Passage du Kilimbero et avance vers la ligne Kalimolo-Madege. 11 septembre.— Forcement de la ligne Kalimolo-Madege, prise de Madege, retraite allemande sur Mahenge. 16 septembre.— Prise des positions de Kalimoto, capture de deux mitrailleuses, d'importants dépôts de munitions, de trois officiers européens et d'une demi-compagnie d'askaris. 24 septembre.— Les Belges à 16 kilomètres de Mahenge. 29 septembre.— Les Belges à 11 kilomètres de Mahenge. 4 octobre.— Investissement de Mahenge; les Belges poussent à 15 kilomètres à l'est de la place; les Allemands évacuent deux villages à 5 kilomètres au sud-ouest. 8 octobre.— Les Belges sont engagés étroitement au nord et au nord-est de Mahenge. 9 octobre.— Prise de Mahenge par les Belges. A noter qu'aux dernières nouvelles (8 octobre), les Anglais ne se trouvaient qu'à 40 kilomètres à l'ouest et à 83 kilomètres au sud1 de la place. Le beau fait d'armes que nous sommes heureux d'enregistrer fait grand honneur à la vailance des Belges- Il montrera aux Allemands que leur inique occupation de notre territoire européen n'a fait que décupler notre ardeur. Le jour n'est pas loin, espérons-le, où, en Belgique aussi, notre merveilleuse petite armée pourra collaborer par des actions retentissantes à la lutte pour le Droit et la Civilisation. Le Congrès syndicaliste international de Berne Un congrès syndicaliste international s'est tenu la semaine dernière à Berne et s'est clôturé le 4 octobre. Il n'avait pas grande importance. La Fédération britannique des Trade-Unions avait refusé d'y assister, les Belges avaient suivi ce sage exemple; les majoritaires français et les interventionnistes italiens avaient refusé, les minoritaires français et les officiels italiens s'étaient vu refuser des passeports. Les Allemands et les Autrichiens étaient venus en foule. On remarquait la présence de Bauer, 1' "ami" de Camille Huysmans, libéré par Kerensky. Il y avait aussi des Suisses, des Hollandais et d'autre menu fretin "neutre". Les majoritaires allemands ont vigoureusement défendu leur attitude. Comme il fallait s'y attendre, la Conférence a refusé d'examiner la question des responsabilités de la guerre. Le congrès a décidé de maintenir la "succursale" d'Amsterdam du siège central de Berlin, contre l'avis des Suisses, qui voulaient le déplacement définitif en Helvétie. Un délégué allemand a critiqué très vivement la Fédération britannique pour sa lettre. Vers la fin de la dernière séance et après une discussion serrée, le Congrès a voté un ordre du jour dont les grandes lignes sont les suivantes : Le Congrès exprime son regret de ce que les délégués des syndicalistes français et italiens aient été empêchés par leurs gouvernements de participer au * Congrès ; / Le Congrès ne peut s'expliquer l'attitude des syndicalistes anglais si contraire aux intérêts du syndicalisme international (sic); Le Congrès exprime le vœu que toutes les fédérations syndicalistes reprennent contact avec l'Internationale, afin de pouvoir reprendre sans retard les travaux préparatoires des mesures nécessaires à la défense des intérêts des travailleurs après la guerre. Le Congrès constate qu'il n'a pas à se préoccuper (sic) de savoir à quels gouvernements et à quels peuples il faut faire remonter la responsabilité du déclan-chement de la guerre, mais il formule des vœux pour la paix et invite tous les syndicalistes à agir en vue de la conclusion de la paix'. Le pourrissement universel Il est nécessaire de redoubler de vigilance et de sévérité, car la propagande que nous cherchons à combattre grandit en audace tous les jours ; et parce que nous sommes certains que derrière elle, il y a un grand effort de la part de l'Allemagne. M. Ribot, à la Chambre française, à propos de l'affaire du Bonnet rouge.

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