La métropole d'Anvers: paraissant provisoirement à Londres

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28 December 1916
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s.n. 1916, 28 December. La métropole d'Anvers: paraissant provisoirement à Londres. Seen on 03 May 2024, on https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/en/pid/h12v40kw90/
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LA MÉTROPOLE OiftE PENNY IB08T: CINQ CENTIMES HOLLANDE : VIJF CENT CONTINENT: DIX CENTIMES PARAISSANT PROVISOIREMENT A LONDRES Bureaux: 43, Ghancery Lane, W.C.—Téléphoné: Holborn 212. ABONNEMENTS : 1 mois, 8 sû. ; 3 mois, 9 ah. Etranger : 1 mots,, 4 sh. ; 3 molfc 12 ih. Buvez I® THÉ LIPTON Si vous désirez le meillev thé adressez-vous à la firme qui le plante. LIPTON LTD Agences et filiales dan* tout le Royaume-Uni 23MB ANNEE JEUDI 28 DECEMBRE 1916 No. 362 LA GRANDE GUERRE ■ Nouvelles batailles en Roumanie L'ENNEMI VEUT=IL ODESSA? Bataille navale dans l'Adriatique n'armée roumaine opérant en Moldavie L très active. Dans la vallée du Zazind, Lite de la ligne de la Sereth, les troupes Laines par une attaque audacieuse ont Lis une hauteur qu'ils venaient de A la source de la rivière Sushitza, dans région de Dragoslatze, l'ennemi a forte-Lt attaqué mais il fut repousse par des intre-attaques roumaines. A la source o Rimnik des postes avancés roumains hrent reculer vers la position principale ; ai contre dans la vallée du Kilnau (au ord de Buzeu et à l'ouest de Rimnik fat, toutes les attaques ennemies ont [é repouâsées. Au cours de la journée de dimanche taiemi qui était arrivé en force a fait s attaques en masses considérables sur front Filipechti-Lichkotianka, entre hzeu et Braïla, qui furent toutes repouS-KS.:Le front actuel des troupes russo-rou-aines va actuellement du nord du défilé Oitoz en suivant le versant oriental des Ipes transylvaines, passe à environ taze kilomètres au sud de Rimnik -[rat, dévie vers le sud-est en passant pai alaceari, Filipesti, Viziru et- se termine ins les marécages du Danube à une tren-line de kilomètres au sud de Braïla. La deuxième moitié du Iront —entie imnik-Sarat et le Danube, est traversée îmilieu par le Buzeu qui se jette dans' Sereth à une vingtaine de kilomètres à raest de Galatz. La dernière attaque lemande, faite avec des masses considères s'est faite entre le Buzeu et la voie irée de Buzen à Braïla, démontrant ne l'objectif actuel de l'ennemi est la apture de Braïla, où il paraît que les loumains ont mis en dépôt des quantités onsidérables de grain. Par suite de la résence de la voie ferrée l'ennemi peut attendre dans ce secteur à une résistance piniâtre. Entretemps le ralentissement de l'en-emi est affirmé, et des combats locaux, ins grande portée, sont signalés à l'avance des Russes. La retraite de Dobrudja : poursuit, souS la protection des arrière-irdes. Elle ne doit pas rencontrer de fficultés sérieuses, car elle s'effectue ans un angle qui permet le raccourcissent progressif du front en même temps lue les effectifs diminuent, l'écoulement lyant lieu par le sommet de l'angle. 11 F certain que bientôt il ne restera pas un Russe sur la rive roite du Danube, et [ennemi lui-même ne laissera pas grand pde en Dobrudja. Le projet d'opérations sur Odessa ne pa-[a'trépondre à rien. [Si l'on suppose l'ennemi parvenu à Odessa, qu'y fera.-t-il ? En quoi la solution k la guerre en sera-'t-elle avancée ? En poi la Russie sera-t-elle plus gênée, ou fi® compromise qu'aujourd'hui ? La rai-!°n qui empêche de croire à l'opération fotre Odessa, c'est que l'on n'aperçoit à ^opération aucune utilité. Au contraire, k marche vers le nord, toujours dans [hypothèse où toute résistance roumaine fusse serait brisée en Roumanie, appa-avec un but utile et défini. En Galicie l'ennemi s'est borné au "œbardement des villages de Pieniaki " Manajon et de la forêt de Hukalowce, Nre Brody et Tarnopol. En Mésopotamie l'avance vers Kut i°ntinue, l'expédition britannique sous * direction du général Maude a atteint Jr've droite du Tigre, à l'est de la ville de ^t-el-Amara. Comme on sait la ville est ®uée dans un coude accentué du fleuve et a présence de troupes sur la rive opposée , '°ng du bras oriental du coude rendra P^upation de la ville plutôt difficile à ,e®nemi. 4 . p,us haut sur le Tigre, à quelques kilo-®ètr» au-dessus de Kut, les Turcs ont instruit un pont de bateaux qui leur Net de garder des troupes sur la rive Ne- Les tranchées fortifiées au delà du fleuve ont été bombardées. Le front ennemi est 'constitué actuellement par le fleuve de Kut dans la direction de l'est vers Sanna-i-Yat. Une bataille navale a eu lieu dans le détroit d'Otrante, à l'entrée de l'Adriatique dans la nuit du 22 au 23 décembre, entre des contre-torpilleurs/ français et autrichiens. De légers dégâts ont été causés de part et d'autre, mais selon la version autrichienne un torpilleur français fut mis en feu et trois autres furent touchés et mis en fuite. L'appel des Belges Le général Orth, chef de la mission militaire belge en Angleterre, nous prie d'insérer ce qui Suit : " L'arrêté royal du 15 décembre appelant au service effectif pour le 1er février 1917, les miliciens de 1916 appartenant aux groupes 3 et 4 contient une erreur quant à l'adresse de la direction du service de la mobilisation à Londres. L'adresse exacte de ce service est la Suivante : 86, Hazelville Road, Highgate, London, N." Le Congrès national des socialistes français Les ouvriers de la Belgique occupée Le Congrès national des socialistes français s'est ouvert mardi dernier à Paris, en présence de plusieurs délégués étrangers dont MM. E. Vandervelde, ministre de l'Intendance belge ; Arthur Henderson, ministre du Cabinet de guerre britannique; Roberts, secrétaire parlementaire du Board of Trade, et Roubanovitch, délégué du parti socialiste révolutionnaire russe. M. Henderson, dans un discours prononcé en anglais, dit : Nous avons besoin de vivre en paix. Nous ne pouvons pas rester sous la menace constante de l'oppression militaire. Si 1 pour notre sécurité nous devons maintenir de grandes armées nous ne serons pas capables de nou$ développer, nous irons à la ruine. C'est pourquoi nous luttons pour la paix et contre la guerre — pour une paix durable que rien ne puisse troubler. Nous, Britons, nous croyons que faire la paix maintenant, ou même penser à faire la paix n'importe quand, sans une pleine indemnité pour le passé et une garantie absolue pour l'avenir, ce serait abandonner nos alliés et trahir la cause de la liberté. M. Vandervelde qui prit la parole ensuite déclara : Pas plus tard qu'hier j'ai reçu un message de Belgique venant d'une assemblée qui m'a envoyé les noms des délégués du parti ouvrier belge à la conférence des socialistes alliés, et ces noms forment une liste très longue. Les ouvriers de là-bas réunis à une assemblée sécrète ont choisi comme délégués ceux des militants qui sont d'avis que cette guerre ne doit pas finir d'une façon douteuse ou indécise. Les classes ouvrières ont, lutté pendant plus de deux ans. La Belgique a souffert de l'invasion et a vu la perte, pour ses travailleurs, de moyens qui leur permettaient de se faire une modeste compétence. Il y a très peu de temps, elle a vu des milliers d'ouvriers entassés dans des wagons à bestiaux et conduits en Allemagne' pour servir contre leur pays. Il y a quelques jours j'ai écrit à un de mes amis à La Haye, exprimant mes regrets au sujet de ce nouveau crime, et quand la lettre arriva à destination un camarade de Belgique entrait au même moment dans le bureau et lui dit que la réponse à Vandervelde était que c'était de Belgique meme que venaient des paroles â?encouragement et de résistance aux envahisseurs. L'Allemagne demande une conférence Réponse à la note américaine New-York, 26 décembre.— Un télégramme de Berlin à l'Associated PreSs dit que l'Allemagne a proposé une réunion immédiate de délégués des Puissances belligérantes pour discuter la paix La proposition est contenue dans la réponse à la note du président Wilson. La réponse allemande, remise à M. Gérard, ambassadeur américain à Berlin, est libellée comme Suit : ^ La suggestion, hautement inspirée par le président des Etats-Unis d Amérique, dans le but de créer une base pour l'établissement d'une paix durable a été reçue et considérée par le gouvernement impérial dans l'esprit amical dans lequel elle est exprimée. Dans sa communication, le Président exprime ce qu'il a à cœur et laisse ouvert le choix des moyens. Il semble au gouvernement impérial qu'un échange immédiat de vues est la voie la plus appropriée pour atteindre le résultat désiré. Il demande, par conséquent, dans le sens de la déclaration jaite le 12 décembre, qui tendait la main pour des négociations de paix., de proposer une réunion immédiate des délégués des Etats belligérants à un endroit neutre. Le gouvernement impérial est aussi d'avis que la grande œuvre de prévenir des guerres futures ne peut commencer qu'après la fin de la présente lutte des nations. Il sera prêt, quand le moment sera venu, à col-* laborer pleinement, avec plaisir, avec les Etats-Unis à cette haute entreprise. La note se termine par les ternies usuels de politesse diplomatique.— "Reuter. Washington, 26 décembre. — Le télégramme ci-dessus fut reçu avant la réunion ordinaire du Cabinet et1 lu par le président et les membres du Cabinet avec grand intérêt. Ils refusèrent de le commenter. On est surpris que cette note ait été rendue publique avant que le président l'ait reçue. % Une conférence impériale Le secrétaire d'Etat (britannique) poulies Colonies communique le texte Suivant d'un télégramme qu'il a envoyé le 25 décembre aux Dominions autonomes : Je désire expliquer que ce que le gouvernement de Sa Majesté a en vue n'est pas une session de la Conférence impériale ordinaire, mais une conférence de guerre spéciale de l'Empire. Il invite donc votre premier ministre à assister à une série de réunions spéciales et continues du Cabinet de guerre, en vue d'examiner des questions urgentes affectant la poursuite de la guerre, les conditions possibles auxquelles, en agrément avec nos alliés, nous pourrions consentir à sa conclusion et les problèmes qui se poseront alors immédiatement. Pour ces réunions, votre premier ministre serait membre du Cabinet de guerre. En vue de l'extrême urgence des sujets à discuter, comme• de leur importance suprême, on espère que votre premier ministre puisse trouver possible, malgré les sérieux inconvénients impliqués, d'assister très prochainement à la conférence, pas plus tard que la fin février. Le gouvernement de Sa Majesté désire sérieusement la présence de votre premier ministre lui-même, mais il espère que s'il aperçoit des difficultés insurmontables, il examinera avec soin la question de nommer un remplaçant, car il considérerait comme une sérieuse déception si l'un des Dominions était laissé sans représentation. On Se rappellera que la Métropole a fait ressortir à diverses reprises la part de plus en plus grande que les Dominions britanniques prendraient à toutes les questions résultant de la guerre. Dans l'interview d'une haute person-, nalité anglaise que nous avons publiée le 21 décembre, au sujet des négociations de paix, l'intervention des Colonies était clairement indiquée. Autour de la note américaine M. WILSON CONTRE L'ALLEMAGNE Le caractère singulier de la -;ote du président Wilson ne pouvait manquer de provoquer des appréciations et des interprétations différant considérablement. Un des points les plus controversés est celui de l'ignorance dans laquelle se trouve le Président quant aux buts de la guerre. Ceux-ci ont, cependant, été assez nettement définis. Un autre est la déclaration au moins inattendue que chacun des groupes de belligérants combattrait pour le droit des petites nations. L'apostrophe de M. Briand : " Vous ne. connaissez donc pas l'Allemagne? s'adresse, semble-t-il, parfaitement à M. Wilson. La New-York Tribune avait, cependant, fait comprendre aux soi-disant pacifistes américains, dès le début de décembre, l'avertissement suivant : Obtenez et publiez les preuves que cette guerre fut préméditée plusieurs années d'avance,car le grand coup de l'ambition allemande est de dominer le monde par la force brutale; convainquez les Américains d'un dixième seulement des atrocités allemandes en Belgique et en France; dites-nous combien d'Arméniens ont été massacrés de sang-froid; trouvez et donnez-nous les faits concernant la déportation des Belges... Cessez ces bavardages au sujet de la paix. Si nous n'avons pas assez d'estomac pour nous battre, n'entravons pas les champions de la civilisation dans leur lutte. Il convient de dire qu'aux Etàts-Unis les vues sont aussi confuses quant au but du Président. Du fait qu'il semble vouloir s'enquérir parce que son pays pourrait devoir prendre position " en raison de l'invasion des droits des neutres par les belligérants " et aussi de la première déclaration de M. Lansing on semble incliné à croire qu'il se pourrait que les Etats-Unis déclarent la guerre à quelqu'un. A qui? Les journaux allemands interprètent la démarche de M. Wilson comme étant dirigée contre eux. " Qui se sent morveux se mouche ", dit le proverbe et la façon dont s'expriment les gazettes d'outre-Rhin nous fournit peut-être une indication. La Gazette populaire de Cologne dit que le président veut se ranger du côté des Alliés pour être sûr que les Etats-Unis rentreront dans l'argent qu'ils ont prêté. Elle ajoute que le coup était concerté. La Rheinische W estphalische Zeitung demande qu'on réponde catégoriquement " Non en quoi, à part la forme, les journaux allemands sont d'accord avec la généralité de la presse alliée. Le Daily Mail rappelle avec assez d'à-propos les instructions que le président Lincoln donna à son ministre a Londres en août 1862, c'est-à-dire pendant la guerre de Sécession : Si le gouvernement britannique vous approche de n'importe quelle manière, directement ou indirectement, avec des propositions qui assumeraient o\i con-' templeraient un appel au sujet de nos affaires intérieures, si elles semblant impliquer un projet de dicter, ou de proposer une médiation ou de donner un conseil, ou même de solliciter ou de persuader, vous répondrez qu'il vous est interdit de discuter, d'écouter ou d'aucune façon de recevoir, entretenir ou transmettre aucune communication de l'espèce.Il semblerait donc que voilà le président sinon assis entre deux chaises, du moins dans l'alternative de compléter sa note. M. Bell, correspondant londonien du Chicago Daily Ne-ws dans une lettre au Times dit : " Je crois que le président Wilson désire entrer dans la guerre; je crois qu'il désire que l'Allemagne formule elle-même son programme ce qui l'autoriserait à demander au peuple américain d'entrer dans le conflit." Cela, la première déclaration de M. Lansing : " We are on the verge of the war " et l'inquiétude de la presse allemande constituent un singulier rapprochement, on en conviendra. Après la note suisse, l'annonce d'un 1 deuxième coup de théâtre des Allemands et l'envoi d'une note nouvelle allemande réclamant du président Wilson la convocation d'une Conférence augmente la confusion dont l'Allemagne cherche à tirer profit. Les 50 millions mensuels Nos lecteurs connaissent la patriotique attitude de nos conseds provinciaux refusant tous de voter la nouvelle contribution de guerre de 50 millions par mois exigée par les Boches. Voici les décisions qu'ont prises à ce sujet les Allemands et qu'ils publient dans leurs journaux : Arrêté du gouverneur général en Belgique en date du 3 décembre 1916, concernant l'exécution de l'ordre du 20 novembre 1916 imposantUne contribution de guerre .» Dans leur session extraordinaire du 2 décembre 1916, les Conseils provinciaux des • provinces d'Anvers, de Brabant, de Lim-bourg, de Liège et de Namur ayant refusé de coopérer au règlement de la contribution de guerre imposée à la population belge par ordre du 20 novembre 1916, et le Conseil provincial de la province de Luxembourg n'y ayant consenti que conditionnellement, les résolutions en question desdits Conseils sont annulées, conformément à l'article 89 de la loi provinciale du 30 avril 1836, parce qu'elles sont contraires à l'intérêt général. ^ En même temps, les gouverne JlÇ militaires des provinces de Brabant, Limbourg, Liège, Luxembourg et Namur ainsi que pour la province d'Anvers le gouverneur de la place forte sont autorisés, de concert avec les présidents compétents des administrations civiles (Prâsidenten der Zivilverwaltungen) à prendre pour chacune de leurs provinces les mesures désignées ci-après qui seront obligatoires dans chacune desdites provinces : 1) Conclure solidairement avec les autres provinces les contrats nécessaires en vue d'assurer pendant six mois le paiement de la contribution de guerre imposée à la population belge et payable à partir du 10 décembre 1916, et, le cas échéant, contracter dans ce but un emprunt ; 2) Conclure les arrangements nécessaires en vua d'assurer le paiement des intérêts et le remboursement de cet emprunt ainsi que la- couverture des obligations provinciales échéant le 15 janvier 1917 et le paiement des intérêts de l'emprunt de contribution de guerre contracté en décembre 1915 ; 3) Faire une démarche auprès de l'administration allemande afin que les sommes nécessaires au paiement des intérêts et à l'amortissement de ces emprunts puissent être prélevées sur le budget belge à titre de subsides communs ; 4) Conclure solidairement avec les autres provinces un emprunt pour couvrir les frais d'intérêts et d'amortissement, s'il n'était pas donné une suite favorable à la démarche mentionnée au chiffre 3 ; 5) Signer les documents nécessaires. Des arrêtés d'une teneur identique ont été pris,l'un à l'égard de la province de la Flandre Orientale, l'autre à l'égard de la province du Hainaut, dont les Conseils provinciaux ont, dans leur se-sion du 2 décembre 1916, décidé ce qui suit : " Refuser la coopération de la province". Ces deux arrêtés Sont signés simultanément par le Gouverneur général en Belgique' • et le baron von Falkenhausen, commandant supérieur de la VIme armée. Le grand-maitre de la franc-ma-çonnerie belge arrêté On mande de la Haye au Petit Journal que les Allemands viennent d'arrêter à Liège M. Magnette, avocat, sénateur, grand-maître de la franc-maçonnerie belge. M. Magnette est une personnalité considérable dont l'arrestation a causé une profonde impression ; on ne connaît pas encore le prétexte Sous lequel elle a eu lieu. On se rappelle que M. Magnette avait signé un appel à la franc-maçonnerie allemande à propos des événements de Belgique. Comme tous les autres, il resta sans réponse. Les réserves de l'Allemagne La Gazette de l'Allemagne du Sud avoue, dans un article qu'elle vient de publier, qu'à l'heure actuelle, les réserves alimentaires de l'empire d'Allemagne sont de beaucoup in-; férieures à celles dont il disposait l'hiver dernier.

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