La métropole d'Anvers: paraissant provisoirement à Londres

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04 January 1918
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s.n. 1918, 04 January. La métropole d'Anvers: paraissant provisoirement à Londres. Seen on 19 May 2024, on https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/en/pid/h707w6873g/
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The Newspaper for Belgian» LA MÉTROPOLE ONE PENNY mOIT : CINQ CENTIMES ■ OLLANDH: VIJF CENT «OHiINuNT : DIX CENTIMES PARAISSANT PROVISOIREMENT A LONDRES Bureaux : 43, Chancery Une, W.C.2 — Téléphoné : Holbora 212. ABONNEMENT ; 1 mois, 3 sh. ; 3 mois, 9 sh. 25** ANNEE VERDREDI 4 JANVIER 1918 No. 4 LA GRANDE GUERRE "La victoire en six mois!" Situation confuse en Russie Succès britannique en Italie D'encourageantes nouvelles continuent de nous arriver des Etats-Unis. M. Eugène* Tardieu, chef de la mission française de coordination envoyée l'an dernier à New-York, vient de rentrer à Paris. Au cours d'une interview il a déclaré : "Nous entrons dans la période la plus sombre de guerre, mais dans six mois la victoire sera décidée-" Les Américains se montrent très justement circonspects au sujet de leurs projets et M. Wilson, en particulier, est impénétrable. La lecture de la presse américaine permet de deviner cependant l'étendue de l'effort américain et la possibilité qu'il fasse sentir son action plus tôt même qu'on aurait pu s'y attendre. C'est ainsi qu'une "personnalité bien informée'' de Washington a déclaré au World : "Il est inconcevable que des fonctionnaires et des chefs militaires allemands responsables puissent prétendre sérieusement que les Etats-Unis seront incapables de prendre une part importante à la guerre en 1918. Si L'expression de leur confiance est basée sur cette theorie, Us sont voués peut-être au plus grand désappointement de toute la guerre. "Personne ne s'attend à ce" que la foroe expéditionnaire du général Pershing fasse rien de sérieux avant le printemps, ou le début de l'été ig1^, mais les Allemands s'apercevront avant qu'ils soient plus âgé de peu de mois qu'ils ont compté sans leur hôte, s'ils ne s'attendent pas à devoir rencontrer sur le front occidental une force puissante de jeunes-Américains parfaitement entraînés. "Nous serons prêts à mettre une quantité d'hommes dans la ligne de combat lorsque la bonne saison s'annoncera au printemps et, à partir de ce moment, nous pourrons accroître constamment nos effectifs de soldats bien entraînés. Mon avis est que les Américains se battront comme des tigres et qu'ils laisseront leur marque aux Allemands chaque fois qu'ils en auront l'occasion. "Il est difficile pour moi de voir comment l'Allemagne peut espérer sérieusement accomplir n'importe quoi de conséquent sur le front occidental, ou ajouter grandement à ce qu'elle détient en Italie. Je ne peux considérer comme une proposition militaire faite de sang-froid comment le Kaiser peut espérer plus que de mener une lutte défensive en France et en Flandre. Nos hommes seront frais et âptes au combat, alors que les Allemands ont été dans la lutte pendant des années et, comme la plupart des êtres humains, 'ils seraient heureux de voir la fin de l'affreuse tourmente. "Comme vétérans, les Allemands seront plus durs que nos forces lorsqu'elles entreront pour la première fois dans la fournaise, mais tout avantage à cet égard sera plus que contrebalancé par la fraicheur et l'alacrité des combattants américains. Ce dont le Kaiser a besoin plus que tout, c'est la paix. Il n'aurait jamais accepté les conditions présentées par Czernin, qui sont tout-à-fait différentes de tout ce qu'il a autorisé jusqu'ici, «'il ne désirait réellement voir la fin de la guerre. L'empereur allemand peut bluffer son peuple et ses troupes avec des menaces de meurtre et de conquête militaire, mais il s'occupe réellement de relever son propre courage, car il sait que les forces alliées et les Américains doivent finalement être victorieux et que leur victoire peut ne pas être éloignée." 11 est permis de ne pas prendre exactement à la lettre tout ce qui s'impresse dans les journaux américains; il n'en faut pas moins considérer leur ton comme d'excellent augurer le plus grand peuple de la terre ne se jette pas dans un guerre comme celle que nous soutenons sans que ses chefs possèdent la certitude morale du succès. Mais l'entrée en scène sur une échelle réellement conséquente des Américains sera peut-être moins rapide qu'on le croit à New-York. La Daily Chronicle relève assez justement qu'à en croire ce qu'y s'y écrivait l'été dernier, des milliers d'aéroplanes et d'aviateurs américains auraient dû être en service en France à la fin de 1917. "Ces unités n'ont pas encore fait leur apparition et il semble improbable qu'elles apparaissent avant un très long temps- Nous n'avons évidemment pas lieu de nous en plaindre, car, en fait, les prévisions dont on s'était bercé allaient beaucoup plus loin que les probabilités raisonnables. Cependant, l'accélération de la participation américaine est si essentielle, en vue de la phase ou les belligérants européens en sont arrivés que les retards qui sont survenus de l'autre côté de l'Atlantique, en cette affaire comme en d'autres (la plus iimpot-tante est la construction navale), ne peuvent être considérés comme n'affectant pas la guerre." Et le journal anglais oonclut par un chaleureux appel à nos amis américains pour qu'ils apprécient I pleinement le facteur temps. Ce facteur compte présentement avec j le plus d'acuité dans la question de la lutte sous-marine. La dernière liste des pertes, clôturée le samedi 29 décembre à minuit, n'est pas encourageante; elle comprend en effet 18 navires de plus de 1.600 tonnes, mais pas de chalutiers; le nombre de navires attaqués sans succès a été de 8; le mouvement maritime est de nouveau en régression sensible. Si l'on songe que la semaine écoulée est celle où les jours sont les plus courts et que le temps a été fort mauvais, on ne peut s'empêcher des considérations peu optimistes à ce point de vue et d'espérer que l'action constructive des chantiers américains ne tardera pas 5 se faire sentir. La situation russe subit de nouveau une modification en apparence défavorable aux Bolsheviks, dont on ne sait vraiment s'il faut la considérer comme réelle ou comme une habile manoeuvre destinée à impressionner les .socialistes alliés. D'après un des membres de la délégation russe à Brest-Litovsk, le citoyen Pa-vuvitch, qui n'appartient pas, dit-on, au clan maximaliste, les propositions de paix allemandes seraient "impossibles". L'attitude des Centraux serait affectée par les déclarations des chefs ukrainiens. Les Allemands auraient intimé le 31 décembre aux "plénipotentiaires" russes une note en deux paragraphes, que les Bolsheviks, en vertu de la "démocratie secrète", n'ont pas livrée à la publicité et qui renfermerait de "nouvelles" conditions de paix séparée. On dit que l'Allemagne y exprime nettement la nécessité d'annexer la Pologne, la Courlande, la Lithuanie et l'Esthonie, dont les populations auraient "clairement manifesté" leur volonté ! Elle se refuse aussi à évacuer la Volhynie avant que les Alliés n'aient abandonné ses colonies, l'Arabie et la Mésopotamie, prétextant que l'attitude des Ukrainiens ne lui donne pas la garantie de ne pas se voir attaquée par le sud avec l'aide de l'Entente- D'autre part, l'Izvestia, du 2 janvier, organe officiel des Soviets, Reproduit un pamphlet intitulé Le masque arraché, publié par les Commissaires du peuple (m; nistres) maximalistes et qu'il fait répandre en allemand parmi les troupes de' Centraux au front. Ce pamphlet dit carrément "que les conditions soumises à la délégation russe dans la séance oflï cieuse prouvent que toutes les promesse-allemandes et autrichiennes d'une paix démocratique sont des mensonges énor mes". Il décrit les horreurs de l'occupa-pation allemande en Pologne, en Lithuanie et en Courlande, l'hypocrisie des "vœux" annexionnistes de ces contrées; il découvre le but réel des Allemands et en appelle aux soldats allemands pour qu'ils ne sé fassent pas "les bourreaux de la révolution des ouvriers russes" et les incite à la révolte ! D'autre part, à la réunion russo-boche de Pétrograde pour ]e règlement des relations économiques, présidée par le comte Mirbach, le "camarade" Radek a protesté contre les mesures prises par le gouvernement allemand contre les socia- , (Voir suite, 3e page, 5e colonne.) Le 1er janvier Le Gouvernement et le Parlement au Roi A l'occasion du renouvellement de l'année, les membres du gouvernement belge ont adressé au roi le télégramme suivant : Au nom des membres du gouvernement, j'ai l'honneur de présenter à Votre Majesté les vœux respectueux que forment ses ministres pour le Roi, pour la Reine et pour la Famille royale. Votre Majesté a tellement identifié son sort avec celui du peuple belge que les souhaits que nous formons pour son bonheur personnel se . confondent avec ceux qui s'élèvent de nos coeurs pour la Patrie elle-même. Puisse 1918, Sire, être l'année de la Justice et de la Réparation. Puisse le Roi rentrer victorieux dans sa capitale. Puisse-t-Il connaître, après ces années'de douleur, un long règne de prospérité et de gloire. DE BROQUEVILLE. D'autre part, le comte Goblet d'Alviel-la a adressé, en sa qualité de vice-président du Sénat, une adresse au roi, à l'occasion du Nouvel-An, qui se termine ainsi : De plus en plus, le lien qui unit la Belgique à ses Alliés se resserre et fortifie la conviction qu'avec eux nous devons tomber ou vaincre, vaincre surtout, poursuivre la lutte jusqu'à la réalisation d'une paix que n'aura pas rendu vaine les terribles souffrances de notre pavs et qui pourra nous protéger, comme le reste de l'Europe et peut-être du monde, contre le renouvellement de pareilles catastrophes. Alors nous pourrons rentrer, Votre Majesté en tête, dans la Belgique enfin délivrée, conscients d'avoir rempli notre devoir vis-à-vis de la patrie et de la postérité. Et alors nous recommencerons, sous l'égide de notre glorieux souverain et de Sa Famille bien-aimée, la vie laborieuse, studieuse et prospère où fleuriront à nouveau les arts de la paix et où toutes les fractions de la grande famille belge pourront, dans un élan unanime, s'enorgueillir des sacrifices endurés pour le relèvement de notre indépendance, le triomphe du Droit et le salut de la Civilisation. COMTE GOBLET D'ALVIELLA. Enfin, voici le texte de l'adresse par la Chambre des représentants au roi Albert : Sire, Plus longue est notra commune épreuve plus est chère à la Nation belge et à ses représentants la tradition de l'hommage de respectueux attachement présenté à Votre Majesté lors du renouvellement de l'année. C'est dans leurs peines surtout Que les familles sentent s'aviver leurs affections, qu'elles en multiplient les mutuels témoignages avec des paroles d'espérance et des vœux, et ces sentiments grandissent avec l'intensité des souffrances et de la noblesse <le leur cause. En ce jour, Sire, dans l'exil que tant de douleurs rendront encore plus cruel, dans le pays aimé où nos compatriotes nous sont d'autant plus chers, que la séparation est plus longue et qu'ils souffrent davantage, des temples, de l'intimité douloureuse des foyers, de nos palines dévastées où coule un sang héroïque, la Belgique porte sa pensée vers son auguste Chef et des cœurs s'élèvent avec les prières à Dieu, les meilleurs vœux pour Votre Majesté, pour Sa Majesté la Reine, pour la Famille royale. Sire, vous ne séparez pas votre bonheur de celui de la Patrie ; avec Votre Majesté nous conservons le ferme espoir que le Tout-Puissant ardemment imploré daignera rendre prochaine, dans l'année nouvelle, la restitution de la Belgique à elle-même qu'appellent les revendications chaque jour plus éclatantes de la Conscience de l'Humanité. VAN CLEEMPUTTE. • o—o Encore un nouveau ministre On dit que le Moniteur, qui nous apportera la nouvelle constitution du ministère, nous annoncera un nouveau ministre : M. Théodor, ministre d'Etat. Cette nomination sera, certes, bien accueillie.Cela fera, néanmoins, six nouveaux ministres depuis 1914- ■BltaliiBBiMIBH C'est bien le moins que nos soldats et les soldats alliés qui combattent sur notre territoire aient l'assurance que pendant qu'ils font face à l'ennemi, on n'intrigue pas derrière leur dos avec le Boche pour rendre inutiles leurs sanglants sacrifices de trois années de guerre. La Victoire, Gustave Hervé. E1BBBBBBBÉBE1BBBB Le loup et l'agneau Encore les prétendues violences de l'armée coloniale belge La presse allemande avec sa mauvaise foi habituelle continue à entretenir la légende des mauvais traitements infligés par les Belges à la population de l'Est africain allemand. Elle s'efforce sans doute par cette tactique d'atténuer, sur l'opinion publique, l'effet des atrocités et des crimes commis par les armées allemandes en Belgique et en France. La Deutsche Zeitung -du 19 novembre 1917, fait, d'après un prétendu témoin, le récit des excès des troupes belges à Tabora et des rigueurs, voulues par l'autorité belge, du voyage des civils allemands évacués de Tabora vers Borna. " Les premiers jours où les Belges sont en très à Tabora, il n'a pas été tué moins de 15 habitants paisibles, hommes, femmes et jeunes filles ; 83 ont été blessés à coups de feu et on a vu des huttes indigènes devenir la proie des flammes." La miniature dé l'entrée des troupes allemandes dans une localité belge ! Il a déjà été répondu à ces contes de presse émanant d'anonymes. Nous nous bornerons à reproduire la relation de l'entrée des troupes belges à Tabora, faite par M. Weber, Otto, chef allemand du district de Tabora et secrétaire du gouverneur : " J'étais à Tabora au début de la guerre et j'y suis toujours resté. Personnellement, je n'ai pas eu à me plaindre des troupes belges lors de leur entrée à Tabora. Cependant, comme chef de district, je tiens à dire que des plaintes me sont parvenues au sujet de la conduite des troupes belges à Tabora et j'ai constaté personnellement les dégâts qui avaient été commis dans la maison de Mme Horn. On m'a aussi raconté qu'une boucherie avait été saccagée par des Italiens le jour de l'entrée des Belges à Tabora, mais je n'ai pu vérifier le fait. Dans une autre maison, la gaze placée à l'extérieur a été déchirée à coups de baïonnette. Je ne puis certifier que les faits qui m'ont été signalés, ont été commis par des soldats belges. Mais c'est mon opinion. Tous ces faits ont été portés à la connaissance du général Tombeur par les soins de M. Brandès. Au bout de deux jours tout était rentré dans le calme." M. Otto Weber se garde bien d'accuser formellement les Belges des quelques désordres qu'il rapporte. Il n'ignorait pas, en effet, en sa qualité de chef du district de Tabora, que, dans leur départ précipité, les Allemands avaient laissé échapper des prisons tous les malfaiteurs et malandrins qui se sont répandus dans la ville. Il n'ignorait pas non plus la présence, aux environs de Tabora, de nombreux soldats allemands armés, traînards, maraudeurs, ou prétendus déserteurs, qui s'aventuraient jusque dans la ville ; éléments de troubles dont le général Tombeur fut forcé, dès son arrivée à Tabora, de signaler le danger à l'autorité allemande (M. Brandès).La conduite des troupes belges pendant toute la campagne africaine sera l'un des titres de gloire de la discipline de l'armée coloniale belge. L'histoire impartiale comparera un jour la conduite des troupes allemandes à Visé, Aerschot, Dinant, Andenne, Lou-vain, etc. avec celle des troupes belges à Tabora. La Belgique attend sans crainte le verdict qui dira de quel côté étaient les barbares.L'article de la Deutsche Zeitung accuse ensuite les Belges d'avoir, à la Malagarassi, imposé à des soldats blancs, sujets allemands, port de leur charge, 30 à 35 kilos environ, durant près... d'un kilomètre. " Ils étaient, d'après le récit, chassés et menacés à coups de baïonnettes, par les soldats belges ; deux de nos hommes tombèrent ". Puis suit une plainte pour l'insuffisance de la nourriture, entre Kigona et Kabalo. On demande des précisions. Depuis décembre 1916, de nombreux convois d'une trentaine de sujets allemands furent dirigés vers la côte. Le correspondant occasionnel de la Deutsche Zeitung ne doit pas l'ignorer. De quel convoi s'agit-il? Il est nécessaire de le savoir pour répondre à l'accusation. Qu'on cite le nom de quelques Allemands. qui en faisaient partie; que l'accusateur se désigne. On saura retrouver le -convoi et les Belges s'empresseront, alors, de relater les conditions du voyage. Il est exact que, jusqu'au début de janvier, des Européens, mais jamais des femmes, durent parfois transporter eux-mêmes une partie de leurs bagages, à la Malagarassi, pour assurer le transbordement qu'exigeait, à cet endroit, l'état du rail. Le pont de chemin de fer, détruit par les Allemands, n'était pas | encore livré à l'exploitation et, du fait des opérations militaires, on ne trouvait sur place qu'un nombre très limité de porteurs. D'autre part, les autorités belges avaient permis aux Allemands d'emporter leurs bagages. Ils abusèrent de cette autorisation et il en résulta parfois un encombrement qui suscita de grandes difficultés. Mais chacun reconnaîtra, qu'être amené, par les circonstances de guerre, à transporter pendant quelques courtes minutes une trentaine de kilos est lin bien petit inconvénient à côté de l'in- Le Noël des petits pauvres d'Anvers Physiologiquement, nos enfants se meurent de faim. Dr. SCHUYTEN. Chef du Service pédologique de la ville d'Anvers. Les sommes recueillies seront réparties entre les enfants pauvres d'Anvers, sans aucune distinction de parti ou de religion. TRENTIEME LISTE Report £ 502 16 8 Fr. 210 Kunst en Liefdadigheid ... 100 M. Steiaert ... ... ... 10 o J. Hamelécourt 10 o J. Vermeiren 10 o Deville, 5 sh. ; De Raedt, s sh. ; Mélan, 4 sh. ; Pelonsky, 2sh. 6 d. ; An. Philippot, 2 sh. 6 d. ; Ad. Van Nieuwenbergh, 1 sh. ; A. Chadele, 1 sh. ; Ed. Colli-gnon, 2 sh. 6 d. ; Ed. Moraux, 1 sh. ; Janssens, 6 d. ; L. Jans-sens, 6 d. ; de Meester, 6 d. ; Jo-las, s sh. ; Manyan, F., 5 sh. ; J. Connes, 5 sh. ; X..., 6 d. ; T. Panque, 1 sh. ; F. Meulemans, 1 sh. 6 d. ; Gérard Kips, 1 sh. ; Jean De Ruyck, 1 .sh. ; Daens, 1 sh. ; F. Impens, 5 sh. ; C. Blanchart, 5 sh. ; V. Detrez, 1 sh. ; H. Renouprez, 1 sh. ; C. Van Bulck, 2 sh. 6 d. ; R. Lin-gier, 2 sh. 6 d. ; Th. Chabot, 2 sh. 6 d. ; Ger. Peeters, 1 sh. ; Georges Peeters, 1 sh. ; De Her-tog, 1 sh. ; L. Prompen, 2 sh. 6 d. ; Léon Van Dooren, 1 sh. 6 d. ; Jean Bainir, 1 sh. ; Joseph Dujardin, 1 sh. ; Dubois Louis, 2 sh. ; Dock, 6 d.; Mme P. Be-niest, 2 sh. ; Van Hoorrel, 3 sh. ; Cl. Passart, 2 sh. 6 d. ; J. Ham-gouts, 2 sh. ; Collart, 2 sh. ; C. de Craecker, 2 sh. ; Fr. Brull, 1 sh. ; Robert, Léa, Walter Van der Poorten, 5 sh. ... ... 4 17 6 Total £ 510 4 2 Fr. 210 Notre souscription étant à la veille d'être clôturée, nous prions nos lecteurs voulant encore contribuer à notre Noël des petits pauvres d'Anvers, de vouloir nous adresser leur obole sans retard. Les entreprises belges en Russie Le correspondant à Pétrograde de la Daily Chronicle (3 janvier) annonce que le conseil des commissaires du peuple a confisqué la propriété de la Métallurgique russo-belge et a interdit toutes transactions en propriétés urbaines en attendant la publication d'un décret de nationalisation. o—o Les difficultés de la presse belge Notre confrère le XXe Siècle vient de se voir contraint de porter son prix de vente à 10 centimes pour le front. Si nous notons ce petit événement, c'est pour montrer au public qui l'ignore trop la difficulté de la tâche assumée par les journaux belges et pour inciter ceux qui le peuvent à nous soutenir par tous les moyens en leur pouvoir. Ayant épuisé un stock de papier que nous avions payé 7 shillings plus cher qu'en avril 1916 nous avons eu la désagréable suprise de voir le papier s'augmenter de 11 shillings encore de sorte qu'en ce moment nous payons le papier deux et demi fois plus cher qu'au début de 1916. " Comment, tenir^e coup sans l'appui de ses lecteurs les plus dévoués quand les 100 kilos de papier montent de 30 francs à 130 francs?", écrivait hier Gustave Hervé dans !a Victoire pour demander à ses lecteurs 350.000 francs qu'il estime nécessaire au développement de son journal. Et M. Charles Maurars demande-de même à son public un million pour perfectionner \'Action française. C'est plus que jamais le devoir du lecteur de soutenir SON journal s'il veut celui-ci libre. NOUS RECLAMONS D'URGENCE DE CHAQUE ABONNE UN ABONNE. fortune des Belges et des Français déportés par les Allemands. Restent les plaintes au sujet du traitement des prisonniers au camp de Tabora. On sait qu'en entrant dans cette ville, les Belges se sont bornés à laisser en vigueur —• après en avoir supprimé toutefois les dispositions odieuses qu'ils renfermaient, — le règlement et le régime que les Allemands avaient édictés pour leur camp, et qu'ils avaient appliqués pendant plus de deux ans aux nombreux prisonniers alliés. Les Allemands de bonne foi durent reconnaître que c'était de bonne guerre et qu'ils n'avaient pas le droit de se plaindre. Ceux qui le font manifestent simplement, une de plus, leur grotesque outrecuidance.

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