V7eAÏÏIEB. F» H/ Pnïlfê sons ïe conîrfë Se ratîîorlfê nfTIfalre aHenacHc u wurao : 5~cnrrwn& Mardi et mercrefii. 22 et 23 Jnïg B9ÉB9 ange 3789 El ts sur :l sur on& et ? cou- Tarif des annonces Ami. 2epage, la lig. 0.30 »- notaires* avoués, huissiers, directeur de vente, la lig. Annonces financ. » Nécrologie» Faits divers fin » Faits divers corps » Chronique locale » Réparations judic.» Des remises sont accordées proportionnellement au nombre des insertions demandées. On traite à forfait pour les annonces périodique», S'adr. bur. du journal. 0.30 0.40 1.00 1.25 1.50 2.00 2.00 ABONNEMENT ANNUEL JOURNAL QUOTIDIEN |urea. véritable ic-étvlène. Toiles à erie, etc. IX except. réchaux idle aux 5251 butario fr. fr. Pour Namur. Pour la Belgique 12.00 14.00 111 ÏÏR » pouvoir mis dans ^ 6744 ÏANTS [!0k. saille pr!e Dard 19$ ÛJR" GJ3 affaiblis iv;iLE t ir. 58.8 6391 ETS h |eneraux 35 37, [ne D8- écrira i 6944 3J19 ■D II 7 H'ile, |a Fl' 674& IATS peries, RÂKO r lins cher |r reven6603 ianî lexislanî js • Chi- ;oût. n taire». Con6530 tlt du y dans |oa âe> Ile smentf 18. upont, lonres. |*ares. 7004 eue îdenne GES , pnnr I a partie montagneuse on théôtre des nnÂrations. Néanmoins il fut po| la rtefon"C X^-é do Monte-Nero, de compléter et de renforcer le \^ terrain conquis en occupant les posions oui M$ dominent les environs de Plezzo püsmonss positions. Au front de l'armée Pfianzer Baitin, il attaqua de nouveau à plusieurs endroits. maU fat repoussé avec des pertes très importantes. Vienne, 20. — Da quartier de la presse de guerre : Non loin des portes de Lemberg, les Russes se sont établis encore une fois pour offrir une dernière résistance désespérée et il semble que nous nous trouvions maintenant devant le point culminant de la bataille. L semble môme que l'ennemi range ses dernières et ses meilleures forces, surtout dans le but d'assarer l'évacuation, dans la mesure da possible, de tout sou matériel. Communiqué russe Pétrograd. 20 juin. — Dans la région de Szawie. pas de changement. En Galicie, ces combats d'avant-portes se sont livrés sur le front de Tane.w. Dans la ré» gion de R v/a Ru»ka.de* combats se sont livrés dans la nuit du 1? au 18 juin,dans ta direction de Nowiny et d'Uln-ko. En aval de Nieniow, près des villages de Gorygeiady et de Dolina. l'ennemi a fait tra verser "le Dniester par d'importantes troupes. Emre le Prutb et le Dniester, se livrent d*» rades combats. Dans la direction de Rawa-Rmka et sur 1» ligne des lacs de Grod«-k, l'ennemi fit, les 18 «t 19 juin, ane nouvelle offensive avec dîège« Au point de vce de la politique mondiale, la décision de la Hollande est extrêmement remarquable.dit l'« Information ». On sait qu'en 1898, lorsaue le Tsar Nicolas lança son appel en faveur cTe l'institution des conférences de la paix, ce fut à la Néerlande qu'échut Photiheur d'être choisie comme-siège des négociations ei plus tard de la Cour permanente d'arbitrage, dont ïe palais s'élève à La Have. Mais,lors des préliminaires de ces efforts pacifistes, on se heurta â aie difficulté : lé royaume d'Italie subordonna sa participation à la condition que le Pape ne serait pas invité ni admis à v prendre part. Les puissances cédèrent aorès quelques hésitations. Le Pape Léon XIII. qoi avait été proposé comme arbitre par Bismarek lors du conflit entre l'Allemagne et l'Espagne à propos des Les Carolines, ressentit vivement cet affront, et protesta avec la dignité que sa gloire per sonnelle et le prestige de sa eharge comportaient. Il apparat alors une fois de plu point de rompre avec le Saint-Siège, n'insistèrent en faveur des titres naturels et historiques do celui ci à participer â l'édification de la maison de ia paix. Actuellement.la situation est changée; l'Angleterre est représentée, temporairement du moins,auprè8 du Vatican,et la Hollande prend l'initiative d'entrer aussi en rapports internationaux réguliers avec le Pape. Le Pontife actuel, formé à l'école de Léon XIII. a recueilli directement ses traditions ; il a déjà élevé la voix eu faveur de la paix et il est intervenu avec succès pour adoucir le sort des prisonniers; à son appel, la plupart des belligérants ont consenti à envoyer ô^es invalides de la goerre faire leor convalescence sur le territoire de la Suisse, dont le président. M. Motta, a accepté avec joie cet honnour et cette charge. La hauteur de Loretîe Le correspondant de guerre d'un journal étranger décrit la hauteur de Lorette et dépeint les combats acharnés qui s'y sont livrés récemment. Tout près d'une eminence, sur un plateau en pente, se trouvent les ruines de la petite chapelle dé NotreDame de Lorette, à peine visible. Ce fut, un jour, un lieu de pèlerinage et, depuis des mois, elle forme le centre des combats les plus sanglants et les plus-sauvages. De vieilles gravures indiquent que cette chapelle était en style quelconque, sans beauté particulière, construite en briques rouges et en granit blanc. Tout en haut du porche élevé se trouvait la cloche, dont la silhouette devait s'apercevoir de loin lorsqu'on gravissait la pente. L'église s'élevait tout en haut d'une colline de bruyères. Un grand arbre solitaire lui servait de gardien. Lorsque l'église s'est écroulée, frappée par les boulets, l'arbre est tombé à son tour. A proximité des ruines, en contre-bas, se trouvent les positions françaises, un peu plus bas que celles des Allemands. D'une fabrique abandonnée, qui se trouve tout près, on peut voir le champ de bataille. Sur le penchant Sud-Est de la colline de Lorette, qui est abrupt, les Français possèdent une redoute, et plus à gauche de la hauteur de Vimy, les Allemands ont leurs retranchements. Le correspondant esquisse comme suit les combats de la hauteur de Lorette, qui s'appelleront un jour la bataille d'Arras, et dont il tient le récit d'un colonel : « La violence impétueuse de cette lutte fut indescriptible. Jamais les troupes'n'avaient supporté un feu d'artillerie aussi violent. Le 9 mai, le bombardement dura depuis 7 heures du matin jusque 11 h. 30, sans une accalmie. La hauteur entière n'était plus qu'un nuage de fumée noire. Il semblait impossible qu'il y eut encore deshommes en vie dans les positions avancées. Ilfaut songer que les soldats se blottissaient plusdans les cavités produites par les grenades quedans les tranchées à peine établies et déjà détruites. C'était un réel enfer. Les deux parties yavaient concentré toutes les forces. A un moment'onné les lignes ennemies étaient si rapprochéesl'une de l'autre qu'elles n'étaient séparées quepar une distance de cinq mètres. Parfois leshommes séjournèrent vingt-quatre heures dansun marais jusqu'à la ceinture. Lorsqu'ils parvinrent à en sortir, pour aller se reposer en arrière, ils n'avaient plus l'aspect humain. • ♦ ■.. LE PETROLE. —• On annonce que l'administration des chemins de fer roumains vient de lever l'interdiction concernant le transport du jctr-ie et que d'importants envois sont attendus dans les gares de transit. A.^_ BUREAUX rue de la Croix, 29, Namur Cofflmniiipés iu Convernement PROCLAMATION Son Excellence le lieutenant général baron von Iürschbetg, gouverneur militaire, juge utile de porter de nouveau à la connaissance de la population de la ville de Namur et de la province ce qui suit : Tout acte d'hostilité des habitants contre lestroupes de l'armée allemande et contre ceux quilui appartiennent, ainsi que toute tentative detroubler, les communications à aucun endroit, degêner ou de couper les services des institutionsdo l'armée, des chemins de fer, du* télégraphe,du téléphone, toute résistance ou révolte contrel'administration allemande sont strictement interdites et seront punies de la peine de mort. Il est défendu de recevoir ou de oacher, sansautorisation spéciale, dans les maisons ou autreslieux, des soldats belges ou français, blessés ounon blessés, en civil ou en uniforme. Tout individu est tenu de faire connaîtra immédiatement .aux autorités militaires allemandes les endroits où se trouvent, des soldats belges ou français. Armes, 'poudre, dynamite, munitions entreles mains des habitants doivent être remises immédiatement à la maison communale de chaquecommune. Les citoyens qui connaissent l'existence d'aifnes oujle munitions seront tenus d'enprévenir immédiatement le bourgmestre. Lesbourgmestres sont obligés d'en faire pari aucommandant allemand le plus rapproché, sansaucun délai, et de lui remettre les armes, etc.,trouvées. Il est défendu de se servir des télégraphessans fil, des pigeons-voyageurs ou des signauxde lumière. Les installations existantes, destinéesà ce but, doivent être détruites immédiatement. Chaque cas de contravention aux prescriptions ci-dessus stipulées, qui serait porté à la connaissance du gouvernement, sera, d'après le décret impérial du 28 décembre 1899; concernant la procédure extraordinaire de guerre contre les étrangers, puni de la peine de mort, des travaux forcés ou de prison. . Namur, le 19 septembre 1914. Le gouvernement impérial de Namur. A VIS J'ai apprjs qu'on négocie les bons de réquisition de l'administration militaire allemande à des prix que souvent on pourrait qualifier d'usu^aires^. Désirant, d'une part, qu'on n'exploite pes la situation économique défavorable de certains détenteurs de bons et, d'autre part, que l'acheteur de bonne foi sache.à quoi s'en tenir, j'insiste sur ce que les bons de réquisitions ne sont pas des valeurs mais uniquement des reçus établissant que les fournitures, qui y sont inscrites, ont été réellement effectuées. Je mets le public en garde contre l'achat et la vente de ces bons. Bruxelles, le 15 juin 1915. Le Gouverneur Général en Belgique, Baron von BISS1NG, Colonel général. LA NAVIGATION SUR LE RHIN Un communiqué, concernant la navigation surle Rhin dans le ressort du 7e corps d'armée, défend d'aller en bateau sur ce fleuve pendant lebrouillard et l'obscurité. La nuit commence àpartir du crépuscule (une heure au plus tardaprès le coucher du soleil) et finit avec Taube(au moins une heure avant le lever du soleil). a—-♦ . Dans le Pays PAIN BLANC, PAIN GRIS, PAIN NOIR. — Quel est le meilleur ? .Quel est te plus nutritif? M.-Max Rfisquintingénieur agricole, apronnrne de l'Etat à Charleroi, "étudie cette double'question dans une fort intéressante brochure de 16 pages, et l'examine au point de vue physiologique comme au point de.vue financier. Sa conclusion est que le pain gris est le plus nutritif, surtout qu'en général il est fabriqué avec de la farine blutée de 78 à 85 pour cent. Mais il faut, en tout cas, que le pain soit bien levé, bien cuit, le plus léger possible, et il faut aussi que le pain soit identique pour tous 'les Belges, que les uns n'accapaient point toute la farine blanche au détriment des autres. Lisez cette brochure; elle est des plus instructives. A Charleroi La Ligue des Locataires. — Nous recevons d'intéressants documents que nous envoie le Comitécentral de la Ligue des Locataires de l'arrondissement de Charleroi. Le but premier de cetteligue est d'aplanir, par la conciliation, les conflits entre propriétaires et locataires, grâce à desconcessions réciproques. Son but, moins immédiat, est, de préparer l'avènement d'une loi quiaprès la guerre, exonérera complètement les soldats et veuves de soldats; qui réduira les loyerséchus au prorata du préjudice subi; qui réglementera la prolongation des baux pour les commerçants et industriels lésés; qui mettra sur lemême, pied que les locataires, les débiteurs hypothécaires et.les possesseurs de maisons ouvrières payables à terme; qui supprimera lesintérêts moratoires; qui fera intervenir l'Etat en faveur des propriétaires» lorsque les réductions accordées à l'exonération leur seraient trop préjudiciables.2FJ Le secrétariat de la Ligue des Locataires est établi boulevard Jacques Bertrand, 11, à Charier i01 *,. fstouvePtte mardi, le mercredi et le vendredi, de 2 à 3 heures. Chronique Locale L'ETE commence aujourd'hui 22 juin, à 12 h.30. ARRESTATION. ~ La femme Valentine D..., épouse h..., derneuant rue Pépin, a été mise hier sous mandat d'arrêt par M. le ju

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