Le national bruxellois

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s.n. 1914, 05 August. Le national bruxellois. Seen on 13 May 2024, on https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/en/pid/4746q1th0m/
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lW™ année. — N° 217. ■^^•"•wweuf RUE ^WflA^-AUX^EflBÈS-piTAGf RE5 12 ANNONCES-? Sujets demandant place ; i à 4 lignes, - . Demandes et offres d'emploi : • 4* page dei à3lignes, ' ■*»\ /Chaque ligne supplementair? >40 centimes,!Réclames 3*page /avant Bourse/, la ligne . . _ ..ƒ>• Ville et faubourgs 1M ou 2* poq*...<< Fails Divers♦-', Necrologies : la ligne ..... i . . Le NATIONAL est distribué au m-de-cbaus sée de toutes les maisons situées à lintériéùf des boulevards circulaires moyennant remboursement du prix du port, soit 30 centimes pal mois. A l'étage ou v"-' O ""J"-0-«UV\»l»i UU 05 ^„"Lîïïîîï8Pas vQ«j.nc trahi1 M . feprésident . _ Nousavonsaélil.ôlebu. woDiais son serment constitutionnel et reau. ..ouvernement investi de la confiance M.' Journez. — L'ancien a plue de la nation tout entier matin, la querre à la Belgique.bien des yeux, on voit briller des larmes. est 1 objet dans la rue arrivent jusqu'à la r^'jamais son serment constitutionnel et T, • o T-, i ™ i • >Le cortège arrive en face de la grande en- Chambre. On entend très distinctement les di Gouvernement investi de la confiance cuuixaucc m. journez. - - jj'ancien bureau en blocl » i« «.M».vui«u» cuuuc* (Cris de M. Dolvaux. — Nous Sommes d'accord. (Cris : ,\ e le Roil répétés.)Oui! Oui! Longs applaudissements.) M. Schol- Pourquoi ? Parce que la Belgique n atrée de la Chambre. Au haut de l'escalier exté- cris de Vive le Roi 1 Vive la Belgique 1 «oo n/tneanti* h trnriîn cpc nwimP«P« hrieursetiennent les membres des bureaux du L'émotion déjà intense gagne l'assem - vele Roi! répétés.)Oui! Oui! Longs applaudissements.) M. Schol- !ai foi dans nos destinées: un Pays qui iaert donne l'accolade à M. Delvaux et les ac, séléfend, s'impose au respect de tous: ce cianiations retentissent à nouveau. pas consenti a tianir ses piOmeSsCS, aSÔÏUitetdelaChambr0)augrandcomplet. blée. Dans quelques instants elle va attein prendre parti contre un belligérant en dei^'cham livrant passage aux troupes allemandes. Souverain q ■r- * ma iîiii xi •* ParIesaccIj Lundi, à 11 heures, le sol belge était v©nt là. Le -mm..«... nifûiirp o'itv »«i»wons retentissent à nouveau. I 'S ne périt pas.'»#r^Prf^dent, entouré de MM. Borbou Jeu sera aveo nous dans m. ie president, entouré de MM. Uorboux et cette cause •Mansart > donne lecture du discours suivant : prendre parti contre un belligérant en j^MM.^-m^dre son paroxysme. iui est descendu de chevalj acceuilli •LE ROI. «■-u aua awu uuus uaiis cette e« j|{«;. (Applaudissements sur les bancs t liques.) iv* la Belgique indépendante! tarnations de tous ceux qui se trou- Messieurs, Le Belge, peu espansif, sent profondément,mais il faut des événements extraordinaires 7 *■ .pour l'amener à manifester ses sentiments, orsqo le discours est fini, des acclama- L'Europe est aujourd'hui témoin de la vit is immenses s'élèvent, des manifestations gueur de son patriotisme. (Applaudissements.) Ó )Uvantes se produisent; ellts continuent Probe et honnête, la nation beige a scrupuj qa'au moment où les Souverains et leur tenement rempli ses devoirs internationaux ë ;q sortent de la salle.envers toutes les puissances, )n réclame M. do Broqueville à la tribu- ffihî6^8celIes . qui^ <?nt . trail te et s'en sont portées les fe< Isous avons pris soigneusement les mesure? qui doivent nous perm.'", \eB JLUnui, a i J Heures, ie suî uuigw euuc vent là. .Le Roi salue tandis que députés et sé- Un huissier annonce : le Roil Sa Majesté n'a pas encore franchi la porte de la Chambre que déjà des cris immenses s'élèvent, roulent dans l'enceinte. Pendant plus de cinq minutes, je Roi estl'objet d'enthousiastes, de frénétiques acclamations. _ , ,, , ~. , . ,. „„_ Le Roi s'incline, mais les bravos et les Pendant la seance do la Chambre, tondis que g^i^^^^ redoublent. & PÖWTS Naüon L^nTaiKtrtLtes . ^ Roi est entouré du grand maréchal de Souverains, un individu se mit h insulter lala Cour comte de Merode et du général garde civique. Immédiatement on lui sautaJungbluth, adjudant général du Palais, chef dessus et e'est erâce à l'intervention d'un géde la maison militaire du Roi. Ses officiers • -Ci t i« ~ii„~.,.., j„„ „« 4:n:«*A«ii :nateurs s'inclinent profondément. Il est immé- J^"vque ia uerxnure voiuure au cortège a Qis,paru sous le porche d'entrée du Palais Royal, les cordons de gardes civiques sont rompns et U public, lentement, s'écoule, profo: par cette inoubliable cérémonie. La réponse beige •*. B _I ■■ Viole. Les troupes allemandes se dirigent diatement conduit a la salle des séances, tou- sur Liège A Londres, l'Allemagne déclare virtuellement la guerre à l'Angleterre, parce que l'Angleterre refuse d'abandonner la Belgique à la discrétion de l'Allemagne. WJidûmalum allemand de dimanche soir ù la Belgique, avait donc bien toute la portée d'un ultimatum . ia iuwmBÖ sous condition. La Belgique ne pouvait pas céder sans manquer à sa parole, à ses devoirs, sans se ranger,elle «obligatoirement neutre» et garantie en telle qualité par S. M. le toi de Prusse, du côté d'un des bellitéranls. Comme notre Roi bion aimé l'a ^ y*£™^J*Z^Z£i^ï>^ dire au gouvernement anglais, la Belgi. j^ leParle„fnt Pe s'est.réuni au m^ défendra son indépendance par tous; U^dW^eUle «jg^à 1-as.on * * ï :z—jours éperdument acclamé. La Reine et les UN INCIDENT. et particulièrement, envers cènes qui lui ont imposé la neutralité et s'en sont portées les garantes. Nous avons pris soigneusen—*■ ,iii doivent nous permettre n-« STSStfïïSSSi Par les traités. l^aCc%fl?W.fi Vts .J■ pacifique ef libre. (Bravo 1 Bravo 1) lit ^yJLf^fi-^^ voilà menacés! et dès ce moment, «ans un admirable élan patriotique, tous étroitement **. >8 — Ml|(/(7f S (Le président du conseil monte à la tri1 ic.) juüant general du râlais, cnei*■ "~j set Ce * liicu^uu militaire du Roi. Ses officiers . }>& BROQUEVILLE. — Le devoir néral et do la police quo le quidam put s'en d'ordonnance vont se grouper autour de lam\re des documents quijj tirer sans mal.j Reine et des princes, pour qui des sièges ont'ffigjfgffi' une table ou siègent le président et les piusi riaAdQ Par sa note du ment allemand a ^S^SSSêBb ~ des nouvelles sures^les ^cesjranv ^ ^^ it imperial « vos cessent pour en commencer h des nouvelles sures xc«w Meuge raient l'intention ^^^^^^cmài' erre sa meme^v/ **-„•>!,«», étot de repousser sans seonrs une ma. Oie en avant des troupes français. U 8°?J" „ement allemand s'estiment dans 1^obh dation de prévenir cette attaque et de vio f«Te territoire belge. Dans pontoons l'Allemagne propose au £«»%«%*£ reçu < es troupes a les cote, a sou* r,-r.rafi=aA-3fe^ SncSClS. d'après lesquelles le. troug»«mjiu.;«» ^{^r^^ve* cours et, visiblement, il J^d qu- \**™%f ra>aises massées pres de G ^e^n™mS nous partager, pour assurer, dans la dignite et vos cessent pour en comm;^JA^f0Zt"Jtle territoire belge par la Meuse.no«^p t j^ dedt Mais les acclamations continuent toujours.6a^J^.fnnftiinyasion&nAllemagne parn 1R,n rflfl^raàtoutecausede conflit, nous nous fsertó u»e ^a2ÔB n e£ Allemagne rar i'^^^^'^T£'c^,«m nous +V*ircbelge.j trouvons, malgré nous, impliques dans I une L Belgique ne sera p*> en mesure de %splusVaves mêlées qui ait jamais «daté en l'Allemagne propo^ - ^^ÏTrttitnde 4»Sr& marche en avant des Fran- Europe. So«L^^ ^ ^^ deToirs|Eoi de prendre_vis-à- rpréSfdrnCtrtTHgéX»apperdu"mail. le En?inr aum mn meue|ue nnC s2 ilenc3solennel, devant toute^Wmblée debout, le Souverain commence son discours. Discours du Roi. Avant la séance. 9 heures. La séance ne doit s'ouvrir qu'à dS heures; dès 9 heures le P^tyle S'L couloirs de U Chambre, el ; cfu Stoat princes avaient été reçus peu avant, aveo le même cérémonial le Roi d'une voix émue, au ferme ensuite i^Xire belge^tôt Uj** eoj^ tes «esj-f b d<, tous ^^X^l'. X^ent ÙTte^urlës deux: EW- I &7a^àaB^£>Slli;, pour la Jamais<^uisi830,heure pinsga ve niuujw^ — rJpWrt sont à peu près tous présente etép0' ur{&Belgique:^l'intégrité ao n D'un bout à l'autre du territoire, tous gj^^ commentent les eyénemente. treterritoire, est menacée! fes Belges sont unis de cœur et d'àme..Des Z^J»l° K3& <&£ Tous sont résolus, de tonteleurs form groupes^dit que *£%&3«& à seconder le Gouvernement, à repondrebére^pe en tout à ses efïorts pour l'honneur et les moyens en son pouvoir. l vis de l'autre à la décision des armes. 1 Ortto note a provoqué cheï le gouverne- AU défection"," sans une plainte, sans un^nrurmure ympa- ^.co^^'t a INSTRUCTION DES pour e territoire est menay*fl , .. laCTmna. titdo contraire Ta fopM» même de notre droit, la sympa- îJJJ5Afil?p*»t^ uKsiiuivnw^"»» y^ »« —• L GllERRE A LA BLLbniu^j Kg^ ^Etcettenuit PEN DU A ALOUN ENGAGLai*'«A vio naceélate. lanlllt iTdéCedeV» et comme on est fier institutions, ei u« »w— —«^ «iitrca na- n'a cessé de jouir auprès des autres w fions^Ta néeciité pour l'équilibre de l'Eu- dc notre existence autonome, nous ne Wntentions M? ^tribue à la France sont en contradiction ave* es déclara tione formelles qui nous ont été t"**8^ ;res. 'TT/Î heures - Les membres des deux "— ^ notrcexistence autonome, nu*Chambra* vo^i prendre place dans l'hémi- JJft^^ encore que .événements recycle de la Chambre des fep«f«.^- doutés ne se produiront P/s,., s T es (Troupes ont pris leur place habituelle Mfesinosespoire sont W8,,nttS • g iP« Sfnteurs sont mêles aux députés. ftrésister à l'invasion de notre sol (lonpcs ffiLaChmtn^as reçu la décoration ^^ements) et ™^™***£ traditionnelle. Seul le fauteuil présidentiel mp cp naccs, ce devoir; si dur soit-il nous; trou 1st déplacé. Il a été remplacé par un fanarmésctdécides aux plus gra fAtil doré recouvert -d'un drap de velours, _;««0« c^^^^ux aoolaudisseï destiné an Eoi. Le dossier ^ ^f"P tion nationale: * L'Union tait la force ». Derrière le fauteuil royal se trou i'écusson portant ies armes de la Belgiqi Il est surmonté de deux drapeaux tricolores et d'un drapeau congolais. Devant la tribune diplomatique et devant celle du Sénat, flotte le drapeau national. Dans la tribune royale on remarque le ^existence du pays Le gouvernement allemand a lait notifier au cabinet de Bruxelles, cette nuit, ceci : « Vous refusez de nous laisser passer, nous passerons quand même ». Voilà qui définit à la lois le terrain du débat, notre droit et notre devoir. \ Du Palais royal^ au Palais de la Nation VaDfrU^TfiS"con!irmés par Isa traitós do ^fcoli^t^dépendance^ta^ notre nos r7?^dneTBelgiqnè ^us ta garantie des nationales, bile a a^°^. .... Ellen> anéunesprit de loyale wUaUt^ ^^ violation du droltdes t->* ^^ ^^ trS^remrnftlea:nl 9eptantle3 tot moyens en son pouvoir toute atteinte à son droit. répon-se^u discours du trône. .Hôurrai,,:) , f.! îS^ ^^^g^ « TEKRIXOIKE BEI.OE ESX E^H! Je'.ui adresse, an nom de 1. nat.on, «n . ™%J^™^&$$£ et| M . LEMINISTREDEM GUEBBE -- ^^tmt en Flandre ct en Wallonie, dans Œde la Belgique'j.ailadouleur d'annoncer à, 1» < ^oXl^s^rétalre^e,^commande- „J^gVt les campagnes, - -r^ La Belgique a.acçep^8- mee îetil doré recouvert- d'un drap de velours, ^mces. (Houveaux applaudissements. Vive ^ laréoept10n de *e. da,n8J'ai f»™*r ^7^é~: (Mouvement.) et°m Me4odefroid, >eerétaire de_s^ommande- lcs^ « les ^^if». ^Lfa^fov^r^partf^é^Elle a tout jtg£^ J a^„^S "#1SE8Sfonïo'urL Bol rvient de si- "DÛ DROIT DES GENS .AAlVV n " unarrêténommant M Vandervelde, i"tWf^ STRATÉGIQUE NE JESnFIE gj^ d,Etat^ rpplaud^sements Les oublie obéit sans Le ^_ on remarque le nonce du PaPe E& ^«ssrssrâ.^ Œ^x d-An^ ixciors. ut» kc"YT. i\r>A* Anna natta massa M. m. i main du nouveau ministre.) LE MINISTRE DE :LA JUSTICE ht ¥*gB3s* JOB».-* fi*?? sS^^i.Ersr«^i||ffi^ stajassaBA- M. £ et rautre «ntdé^de^r^^£nSS^ ™« avec écl^sous 1- yeux de la ua DE U»A110 ^ ^ temps qu'il tra- -m ^ sur tous les bancs) en même tempsiqu notre hissait ses devoirs vis-à-vis de fl étranger. Vr Toue st Tes'articles de ces lois sont adoptés tion remplie d'enthousiasme. L'irréprochable mobili es aevoua v»-» y» — - -o i^aueîous îe&^uiv.w, re espoir était déçu, ia DC1f ** . sans opposition.>Txrn1TrTîTTï,TrR ^^«+ rlAridée à repousser toute Da-"° *» MINISTRE DE L'INILltl^U-n- de aes angoisses et *uùbx «« ". —^—ji est procédé au tirage au sort pour ia 4i^nVe du palais royal, sont massés les boys- désignation des délégations chargées d alEn face du païais royai. buuu ohavnXAaia,.„ ■?-««„«;rIaReine et le Roi.__ armée'^'mïïtRndc to^öü***? volon- Si »otre espoir tdéçu. des crades de la milice d ^S1.^"0?* fjinntji P±bourgmestre de d.i«» . - J '!AINA A-ü^ltmA^ t.»HANXK1IR T?« foo. Ati nalais roval. sont masses ies ooys- uesigud-wuu w«—. «r.w0----èS^feS---SdttJur^et Davi •% du mi- gVT-Do brefs commandements reUn- to ^r nMP*'f?"| beaucoup M. le duc d'Ur* Lc moment est aux actes. Voici le texte de la dernière lettre nistrrd'lllemagne à M. Davignon : Bruxelles, le i tout 1914. Monsieur le Ministre, celui-ci se verra à eon P'aa vu reg Sïfïiï^rJ^tó». oom- me indispensables. *** M DETEZE dépose une propositi loi demandant à ce qu'U n'y «it pas d^ compatibilité entre les fonctions de soldat et Me BERRYER. - Ce %.(^dIrVeLPE. -Je tiens à mot^ ver le vote du parti socialiste En 1911, ]e to que nousP étions un P"ti ^natmf/'ôuïlHou^UT^nc^Vnv^je réc?a^eli °tadéfense eu'territoire Aujourd'bui, cette hypothèse est betas irea^ée tóeni; les tambours battent, ^tairons »«- ^f^Su? qui est^llé s'installer sur lesJcY0USairéunis, K^VW.^&SEr FSÏIESUBES DE SÉCURITÉ IMPO SÊEH PAR LA SITUATION. (Rumeurs.) câ'0 passe de tout commentaire xTfoADftTE EST 90NC AUX ARMES. TÏ^S fIbOS8EIoTRB DEVOIR. TOUT * Une acclamation iinm^^ formule s ele^ ^"Pf®^^^heures, M. Delvaux,doyenbHotoutes les mesures que la ^K=;do »ZÎX%£S£T&?&--ïK^Je vote ^tte .«^Mée «5&-i^ H%^D n^?^^n" ?SSS-V^ttI*IÇ Celle-ci est vêtue d'une robe blanche, touteaéoutés et sénateurs se lèvent et atten- *edans laquelle U n japiu»r,u , eus, fai us oPr" n_ manau6rapas à ses de- ,0^, t^dnaas er^^rg »out aonalaié--^ü.i »rdct» «$^ *«-& ««-).._. ^ kotre cœur, Se sont vêtus de costume en ratm noir;laprin- uan ^ ^entrer beaucoup .de Messieurs : Etcs-vous. »éc'«s, meD SÏ^E«^S?^^"-S^ mondtupublie est grave. La garde cm- blCment à maintenir intact fe^^pr&n^i^^^ d'ige e îlSime" silence. La famille royalec0mporteöesemques pf*»"'1*1'",*■._„ OM«iMTifl u .b' ./.t- „;!««/»« co Se de "nos" ancctrcs1_(Tou_s_: Oui 0. , _ »& .E GOU v««««.-^jx^. --£-5 ^^'^^^tol talribune. Le« a. m|es allemandes sont pr*s de Laége. J| "S et dans ses soldats. (Vive l'armée ! ^tique,>*|^tt0oŒ ?!'«««?*». Xttachrélroitemcnt à la popnlation, son- U eé°nateursP se retirentpeu, peu et ga- j ^ kmche Eux aussi sont vivement aututuuœ. iUuuu.t=. ^~ ^«-..j»rLj-~ PROTESTE CONTEE LA BELGIQUE. ._ 11 » 4 On dit qu'en réponse a 'f ^J- "°|raSîfcèd«roide.B^c«ld^; Kte 55, le président déetare que la *ff^ £%?&£%** V*&. ce est levée..L" LA REINE! A dix heures précises un dev meté Ma quelques minutes se sont passées et c'est qUe fait le service d ordre le Roi oui. maintenant, entouré de son.eUtma-ior escorté par l'escadron Mari e-H on nette, apS^f^iïru? Place des. Palai;. H est a cheval ^ns^ cordon ni décorations, en petite tenu© do Ké jyenthousiasm« duou-ic à ce moment, déiie ^dcjb ^^^^13 e^de^fa" princesse Ma *ai'* descriotion. Le brmt des clairons, acs , ÏTmbourTdes.musinues est couvert.par tayg- "fefe^Tanoelentement, nn peu pâle Dès ^T^^^rd^fp^&^MS ' qa?eUe payait les députés, et les tribunesctroite,ncnt a .a popu.uuu "fcïï&iï&f 1« ^"^oirs Be mê'ent'ni ^„4 .'yivelaReme! Vive ta Reine! Des ^«^„e, ,cGonverncmcnt a crame* gnat leur «aile de délibération.. drapeiots tricoioros eue nombre do personne» .^.ynations sans un éclatent. On agite lesjieuu i «gitent.'

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