Le national bruxellois

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26 January 1914
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s.n. 1914, 26 January. Le national bruxellois. Seen on 04 May 2024, on https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/en/pid/kd1qf8k89d/
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Situation atmosphérique générale,8 h. du matin. îaromètre à 0 degré ot au niveau de la mer, 773.9. — Température : Maximum de la veille, —0°5; minimum de la nuit, — 7°8. Température : Normale, sJ°l. Maximum absolu, 12°i; minimum absolu, —20°2. — inclinaison magnétique à midi à Uccle, 12°5F.8. Ej>hét)}crides dn '-.G : Soleil, lever, 7.<?8; coucher, ÏG.V2. — Lune, lover, 8.03; coucher, 16.17. De t lia for te-» pressions couyrent le centre, l'ouest et le sud du l'Europe (Munich 780min). Par contre, un'' protonde dépression dont le* centre, luférseur ù 726mTn, se trouve au nord-oue^t de la Norwfcge, s'étend sur les pilys du nord. Le baromètre descend sur los Iles britanniques et sui* la plus pian le partie de la Scandinavie. le nord .-Cf 4%lleinagae fct la Russie septentrionale;. U monte partout ailleurs I,a hausse atteint 8mm- ea trois Jbeures sut le nord de la Norwègc L< vCnt e^i faible d'entre snd-sud-est et sud-ouest sui tus contrées, où la température est comprise entre 3 et 5'degrés an-dessous de zéro- Prévislonâ : vent sud ù. sud-ouest assez fort; beau; rCehaulfemenr. LIRE '• T>s gaspillage iln Conseil tie^ hospices et la tnlelîe des institutions de bienfaisance. A l'Association catholique de Bruxelles. Leurs vrais sentiments. tu étrange rapport officiel allemand sur l'action des missionnaires belges au Congo. Ce parti libéral, esquisse réaliste par le « Vooniil ». 1!. lîarthou1 défend sa politique et attaque i elle de ses successeurs. !';■ fabnrelieï assassiné il "Moncçan-suT- » i-fHU , h tttuxtz*. i» Ue \àn 25 janvier. xcift . . , . ,i . 1,1,1 ' V. ' "• 4 'H'i jgP. if-r T'Js SOOVÉCLK.® y qe i : .r.v, 1 i Gri-Ci't Hul^aiie. •t.. ang!ai>.f..v. " •- VsnCie W —,1 ■ !■ Ml" ' lII I —HlVTl'l IW^ljÏMM J Le i$ieii de l'araigia... Le ch.en conducteur d'aveugle est, comme tant d'autres choses nées au temps ! vassé, uiie Je la fièvre et du bruit de notre vie citadine moderne. Au même titre que maintes et maintes de ces dernières, trop simples et trop bonnes, il p.'esfc senti culbute, roulé et jeté hors d'un tourbillon trop rapide pour lui. Les foules d'aujourd'hui, envahissantes et pressées, sont mouvantes parfois à la façon sauvage des fleuves qui renversent et noient les obstacles coupables de gêner leur course. Elles i devaient, o'était fatal, aboutir à rendre iin-j possible parmi elles l'existence de traditions demandant pour vivre, un peu de charité et de paix. Les offices des chiens d'aveugles, appréciés du te-mps où ne régnaient pas les autos et les trams, du temps où le moindre carrefour n'était pas une ruche bourdonnante où le plus malin et le plus habile risque toujours de se perdre, sont devenus illusoires. Ces braves bètes utiles et sympathiques, se sont par la force des choses, senti retirer leur emploi et ont vu des hommes prendre leur place. Pourtant, ces hommes sont presque toujours moins bons qu'eux. D'abord parce que jamais on n'a pu dire des hommes en général autant de bien que des chiens! Ensuite, parce que les hommes qui les remplacent prélèvent sur la recette de l'aveugle une dîme autrement tmérouse que celle de.la pâtée d'un toutou. Ei fin, parce qu'il arrive parfois aujourd'hui que, par un audacieux renversement des rôles, l'aveugle soit l'auxiliaire embauché à prix fixe par un conducteur ingénieux et entreprenant. Certains quartiers du centre de la ville voyaient régulièrement, il v a Quelques années encore, circuler par leui's rues un type classique de vieil aveugle, grand et droit, au profil énergique, à la tête chenue et au menton glabre. Les jours de liesse «u lorsqu'un événement _ populaire avait gonflé l'ordinaire animation du pavé, on kait certain de trouver toujours le vénérable vieillard appuyé contre la façade d'une nais on avec, à ses pieds, le brave chien qui l'avait aidé à venir juaque-là. La bonne aêto possédait d'une façon aussi parfaite :juïî le maître le physique qui convenait à ion emploi. De la race des caniches — celle lui de tout temps a, semble-t-il. procuré e plus de guides aux aveugles — elle montrait aux passants une fourrure de longue aine brune, d'un aspect à la fois minable *t comique. Sous les touffes tombant de son iront, brillaient de petits yeux iucandec-îftiits et pointait la renfilante truffe noire l'un petit nez humide et curieux. Emprisonnant l'encolure et les épaules, passaient jur l'épaisse toison de larges lanières de ïuir réunies à la façon d'un harnais auquel 3tait fixé une chaîne servant de laisse. Depuis longtemps, ce vieil aveugle, meo-iiant marmotteur et implorant de l'ancienne manière, n'a plus reparu dans certains quartiers où l'on avait coutume de le voir... Notre « bas de la ville » ne connaît plus pour le moment, croyons-nous, qu'un seul îweugle persistant à confier à un guide à quatre pattes le soin de le conduire parmi les embûches et les traquenards de ses rues. C'est un petit bonhomme d'un cinquantaine d'années, aux paupières clignotantes perpétuellement, coiffe d'une casquette à visière plate, engoncé en hiver 3ans une écharpe épaisse et couvert d'une longue pèlerine lui descendant jusqu'à mi-iambe. Son minuscule conducteur, qui tient du spitz et du skipperfce, porte égal ornent oar ces temns fçoiois un chaud et confortable paletot de drap bleu affichant un incontestable reste d'édéganoe ! Ce brave homme confie depuis de très nombreuses années la direction de ses promenades et de ■;c.s <: tournées » à la prudence et à la fidélité d'un de ses c frères "inférieure j>. Le chic» qu'il emploie aujourd'hui est le se-c< ad de sa triste vie d'aveugle et il ne rutpip'elle pis sans émotion le souvenir du , /emier qui était, -grâce à-sa longue exr>e > née, passé maître dans son art. Son suc-/ ;eur, m*, nire à s'acquitter de sa t-âehc \ < " ? volonté, mais 1 n'a pas X'^t''iîtî6) C°,,T> û(iir' préToi-' nnV: les obstacles, iri acquis !. 1 \ >vatjia dépisté los bonnes sour-s \ t., ' ; . . fein par s' ) . tJ >'^5^ïEr< - -ir* Î.1, w'A 6'^"V.Or''a Co «Îiil4 ! 1 linage d\r le? 't-îoHoirs des bru-j levaru ii» cer^re: Il s'aviéte aux po-tt ' dès boutiques, recueille des sous et ùer cens, 8o foi /.oyant pa/fo'" dans un enfè livré an « ma-stic > ou dans un vestibule encombré par des déménageurs. Hais malgré quelques heurts ou contretemps, la tournée se poursuit, la petite bête trottant infatigablement, la tête baissée avec un pc-Jit bout de langue rouge dénassant de son petit museau noir, tendant la laisse et entraînant à sa suite un homme dont l&s pieds chaussés de c galoches » de bois glissent sur le trottoir ou castagnétteat sur la chaussée.;. Peut-être en d'autres quartiers de notre rglomération découvrirait-on encore de loin en loin un type de malheureux aveu-oie ayant en dépit de tout conservé confiance dans les moyens d'un brave chien bien dressé. Mais nous ne doutons pas qu'ils soient devenus fort rares... Pol Jïest. Les gaspillages ffo OoBSsil m Pospioes et la îBieîls fies institutions ûe Mâa&ce. On nous demande pourquoi, en présence des gaspillages du Conseil des hospices de Bruxelles,, le département de la justice qui exerco la tutelle des institutions de bienfaisance, n'intervient pas. Nous avons posé cette question à un ju* riste distingué qui nous a répondu : U est exact qu'en principe le Dëpar^ment de la Justice exerce une mission de tutelle cuir les institutions de bienfaisance: conseils des hospices, bureaux de bienfaisance, écoles do bienfaisance pour enfants anormaux ou pour jeunes délinquants, colonies pour vagabonds, etc., etc. Mais en ce qui concerne les conseils des hospices, cotte tutelle est plus théorique qu'effective.En realité, lo contrôle direct do la gestion des oonseils des hospices appartient aux conseils communaux qui l'exercent par l'approbation annuelle des budgets et des comptes et peur la nomination des membres de ces a&ùai-uUtratious charitables. Le Département de la Justice ne pour ait intervenu- directement que si le conseil o<s hospices prenait des décisions illégales ou, 1 '-irs un second cas, par l'envoi d'un commise a iro spécial. Mais dans la pratique, on ne rec art à cette dernière mesure que sur refus catégorique des hospices de se conformer à des 'v-dr«s reçua du pouvoir central. Il reste au Gouvernement un autre moyen de s'occuper do ce qui se passe aux cou > des hospices: les gouverneurs de province vent prendre leur reoo»nirs au Roi contrf les décisions des conseils communaux, lorsq .'ils estiment que ceux-ci ont arbitrairement apo on-vé les comptes et budgets des hospices. îliais encore ces recours doivent-ils être pris 3a-déans certains délais et sont-ils soumis à une procédure compliquée. 13ref, la tutelle qu'exerce le départe ;-.it do la Justice sur les conseils de^ hospicet est fort indirecte et elle est plus théorique '^ie pratique. La législation qui régit ces matières, est . .y rannée : on i'en est souvent plaint. La re ,,^r serait faire œuvre utile. M — Au Musée Moderne, huitième Salon annuel de t L'Estampe ». — A la Galerie d'art, rue Royale, 138. ouvres de M. Jean Droit. — A 2 ii., au Cercle artistique et littéraire (Waux-ÏÏall), œuvres do MM- Louis Camuier, René de Groux et Stiévemird. — 8alTe Studio, 2, rue <ios. Pctits-Carmee, exposition des œuvres do Mlle Angelina Drumai-s.. (Jusqu'au 4 fév.) A 2i.li,, à l'Hôtel Ravenstein, séance de la Société d'Economie sociale. — A 7 h. 1/2, en la salle St-François-^CaTver (coin de la rue chi Miroir et ds l'avenue tu - il-' ai)f la Ohora-le cle Notre-Dame de Kiséncotac <lo'.Mieia uno'TC'o littéraire c1 musicale an p o-J-'it de la nouvelle paroisse de iSaint-Chaiies B >c- , V S li., î J:... ri.i.-:é'',u"o ci' o<. S/ffus-Fédéiat ion des Jaunes Gardes. jï |^a • ! ie^ y3^ Chien de restaurant. — Ne 1e prenez point sous forme exelamative. Nous n'e vouk- ;s à aucun restaurant. Lo chien de rcslaurant est de cette srai>e qui fréquente les dits débits df> boissons et de nourriture en compagnie <!*> feur 1 maître ou do leur maîtresse. Ce sont en l'ordinaire do ■ <;hic-ns ! chiens. Prnu au sens exclamatif. T); sont pc-io voiv;' a t-ou^ les : diables, étant mendiants, indiscrets et insupportables.Sous prétexte de faire le beau. îJs se postent devant vous, des demi-heures durant, une pa'Lte en l'air, dans l'attente de quelque os ou de quelque rognure. Us accompagnent cette posture cxpecta j - • et inandigotière de menus grognements plaintifs en façon de prière, renouvelés d'espace ^pace, en façon do rappel et ils ont manière do y icr <le la queue, du museau, tantôt penché à droite, tantôt penché à gauche, des oreilles qu'ils abaissent ou qu'ils redressent selon ce qu'ils orovent comprendre de nos mouvements. Ils sont dos mimes parfaits et prête pour poser devant lo cinématographe. Ils ébranleraient lo cœur d'une pierre et feraient fondre la moelle d'un os. Ils n'en sont que f>lus indiscrets.Ils nous troublent durant l'heure oit nous avons lo plus besoin de repos, nous énervent* pendant les moments où nous avon^ le plus besoin do tranquillité. Si on leur donne, ils se croient autorisés à continuer leur manège tn-plorant. Si on leur refuse ils s'obstinent, d'autant plus que souventos fois une certaine ur-banité native ou acquise nous retient, dans la bouche, l'interjection qui les enverrait à tans les diables, dans la main ou le pied !o geste pli les enverrait plus loin encore. Emilie. !■ , La liquidation de la succession de Léo- g 3>old II. — L'arrangement définitif inter- r , venu entre l'Etat et les _ princesses per- j, mettra de donner une destination aux nombreux objets d'art dépendant de la succès- a sion du défunt roi. < a Ou trouve dans cotte succession, à côté j de toiles de moindre importance un très ' beau Rubens. « les Miracles de saint Be- n uoit % acheté il y a quelque vingt-cinq ans à Lille pour 206,000 francs par Léopold IL f l\ y a aussi de belles antiquités égyptien- r nés qui lui furent offertes jadis par ïe Khé- t dive. Celles-ci iront sans doute au Musée a du Cinquantenaire et l'œuvre de Ilubens s au Musée de Bruxelles. c — v Une mission cartographique au Congo.— f La carte du Congo doit être complètement a revisée j dans ce but le Roi a constitué, à f ses frais personnels, une mission cartogra-j phique qui s'embarquera le 31 janvier à n Anvers, à destination do notre colonie. ' s Cette mission est composée de la manière à suivante: le commandant^ Stinghlamber, de n l'artillerie, ancien officier d'ordonnance d de feu Léopold II; le commandant Selig- D man, de l'infanterie qui s'est occupé tout, particulièrement de l'installation de la té- q légraphie sans fil au Congo ; le lieutenant c Stroobant, du génie; le lieutenant Peeters, c lo lieutenant Molhaut, le lieutenant Be«h i, et le lieutenant Fisette, tous de l'arfâHorio. | Ae Roi a tenu à s'entretenir longuement,! d avant leur départ, avec les membres de r cette mission ; c'est la raison pour laquelle 1 •> samedi soir, ils avaient été in'.d tés à dîner, d au Palais do Bruxelles. | r Les petits princes, lo duc de Brabant et ^ le cornue de Flandre, ainsi que la jeune v. princesse Ma rie-José fssistaient. au dîner r ainsi que le lientenant-génëral Jungbluth,1E jb Maison n 'lilair : le commandant 0 iji v ' j 1 ennent le mellftar o\ su* m„.m„ , écoulées que DuWr s'6< uçala. Eu Al/ir f ' de 1-•>lîi, Leroy tomb? 7 eaucae et s urègc,;' J ,t-,.i £?jrT; ■ y/cement^-wsûi jpRiral ^ie t Serclaes,| , ^oéde. w _ \\ j Son successeur à l'école militaire sera le i {oolonel Cuvelier. ( « { Après vingr ans, que de changements survenus dans. 1' i:ec des sénateurs éfy représentant. p; suite des décès, démissions j ou non réélection. # j \ Un exemple: si l'on considère l'arrondis-] [ sement de Bruxelles, on constate gue pas . ? un des sénateurs élus en 1894 ne siège en- : r cor© aujourd'hui. j"' A cette date, Bruxelles avait élu MM. Ai-3 lard, Ectors,le comte de Marnix,Jolly,Plis- ' 5 3a.rt, comte van der Burgh, baron Snoy, ba- - ron de Steenhault et Van den Corput. 1 Quant à la Chambre, de MM. Bilaut, de - Borchgravej De Vriendt, le comte de Mé-s rode-Wcsterloo, Colfs, De Jaer, De- - bontridder, Mesene, Théodor, Nerrncx, le comte H. d'Ursel, Gillianx, Fichefet, He- t meleers, Lauters, Mousset, Le Sergeant 1 d'Hov lecourt t Ynn Der Linden, élus en > 1894, il ne reste au Parlement que MM. Me^ r sens, devenu sénateur, Nerincx et Colfs qui > ont siégé sans interruption pendant ces vingt ans, et M. Théodor qui est rentré à la Chambre après une longue éclipse. Il en est de même dans quasi tous les au-__ très arrondissements. ® Les orgues de la collégiale des SS.-Mi-chel et Gudule, qui remontent à plus d'un siècle, sont très détériorées. Un technicien J a déclaré*'qu'une dépense de 15 à 20,000 francs serait ' nécessaire pour la mise en c état de ces orgues, mais que cette réfection serait, à déconseiller, car elle ne serait que 1- très provisoire, et qu'il serait préférable > de renouveler le jeu complet des tuyaux, a D'après le devis le mieux conçu, la dé-is pense nécessaire à cet effet devrait être » évaluée à 60,000 francs. La Fabrique d'église demandait une intervention, mais le collège échevinal a émi3 un avis défavorable, dit la « Chronique des Travaux Publics ». — Semoîs « Le Sanglier », pour amateurs. En paquet de 0.20, 0.30 et 0.50 centimes. Z234 A l'Emulation. — Le cercle catholique de Bruxelles a donné, samedi spir, dans la grande salle de « Patria », un bal fort animé qui a eu le succès le plus vif. On comptait plus de trois cents jeunes ; gens et jeunes tilles. Les toilettes étaient ravissantes ; sous la féerie des lumières, bijoux et pierreries jetaient mille feux. A minuit, le bal a été interrompu et-l'on j a joyeusement soupé. Il a repris ensuite ( avec un nouvel entrain et s'est prolongé j jusque fort avant dans la nuit. L'organisation de cette fête si complète- j ment réussie fait grand honneur au comité. , Un anniversaire mutualiste, — La Fédé- . ration provinciale du Brabant des mutualités de retraite et d'assurances sur la vie. ' a fêté dimanche le dixième anniversaire de ' sa fondation. Cet organisme groupe 1S2 sociétés possédant 25,000 membres, qui ont j versé, depuis dix ans, plus de 3 millions de ^ francs à la caisse de retraite,-"ce qui leur J a permis d'obtenir environ 2 millions de francs de subsides. Dans une assemblée solennelle tenue à la maison des mutualités, Grafad'Place,le pré- { sident M. Benoit Rinskopf a vanté le projet ( de loi sur les assurances sociales actuelle- j ment à l'étude et souhaité q'ue le bénéfice de ses dispositions s'étende à la classe • moyenne. M. Hommez, secrétaire général a exposé que la Fédération, outre l'affiliation à la caisse de retraite et à la caisse d'assuran- ' ce sur la vie s'occupe de quantité d'objets | intéressant la question sociale. M. Vercammer, en flamand j puis M.Van-denberg, d'Ixelles, ont encore pris la pa- : rôle. | M. le sénateur de Becker-Remy, prési- ; dent d'honneur de la Fédération a ensuite ] remis la décoxation mutuelle de lr0 classe à M. Benoit Rinekoff, président et à M. 1 Schwartz? vice-ipiésidcut. M. Paul ÏÏymans, autre président, d'hor- ; heur de la Fédération, a prononcé quel- ! ques mots de félicitations d'encourage- a •«que v'oVl en» : . ' :et au cours dudis» 1 r~i' t ' ▼ ri; C'- r. >bTTXT%£Â • r sar Fianek et î-i • >i I 1 ;i mi f. ' ujyjtrs, il con\ '^nt de < ô y.e 0»,, • . pi v M i.ofè, re, le nr< ")i y, ' L 1 délation et par le regretté M. Huyghe qui en fut le trésorier, — Les glissoires. — On a déjà parlé ici même de ce oport populaire et enfantin. :Un de nos lecteurs y revient y i La glissoire n'exige aucun engin spécial. Un peu de neige battue et. gelée, une surface d'eau réduite en glace par le froid, et voilà la matière | première du jeu. Aussitôt les enfants, qu'ils 1 soient chaussés de souliers ou de sabots, s'élancent sur la route polie, emportés par leur élan, à travers un air froid qui met du vermiUon à leurs joues et fait, apparaître, en la refroidissant 00m-1 me un jet de brume, la vapeur de leur respiration haletante. Je me suis arrêté hier à contempler ces jeux riante et bruyants. C'était dans la conr d'une école. On avait, le soir précédent, inondé une partie de-cette cour ; la nuit avait solidifié l'eau en une sorte de miroir un peu terni, et les écoliers s'adonnaient avec des crie de joie et dos gestes héroïques à leur sport favori. On les voyait prendre pied an fond de la conr, contre le mur, puis so précipiter sur un espace non glacé où la terre nue donnait à la course un : appui consistant, puis s'élancer sur la glace, le pied droit en avant Comme une çarène, les bras | élargis en balancier pour mayit -. 11 r l'équilibre. ! Les une fort habiles au jeu J nient presque sans mouvements du corps, p ireilg à. de jeunes dieux emportés par une force înv': ible. Les au-t très se tordaient dans le danger do perdre pied, l pliant leur torse en deux, jeu m, lo haut du corps à droite, à gauche, en <• v. -,, pour assu-l rer un centre de gravité moh?out et instable. . D'autres encore, moins cxp< ; îmentés, faisaient la route à écorche-cul pour le plus grand dom-' mage des fonds de culotte, et oommo ils ne se relevaient pas assez vite, les nouveaux arrivants " tombaient sur eux. On voyait un monceau de 5 têtes, de bras et de jambes, cherchant a s'éva-i der de la culbute, mais culbutant et reculbutant - par l'effet de la glace où manquait l'appui so-J îide. Pourtant le tas se défaisait. Les gosses reprenaient leur course en riant et jetant des' exclamations do plaisir. Une vie intense grouillait ainsi dans la cour de l'école. Les enfants, inspirés, par la nàturt même, s© livraient au mouvement, à la course, à l'élan. Leur besoin d'activité s'affirmait de la ,orte. La glissade était pour eux la force qui les enlevait à la vie coutuinière et commune, qui les jetait en plein rêve et en pleine aventure, et leur donnait la sensation délicieuse do vivre parmi des prodiges comme faisaient jadis les jeunes liéro^et les jeunes dieux. — Bruxelles disparu. — Les anciennes 'ontaines. — A la s\iite d'une chronique ré-îente sur les fontaines qui ornent actuel-ement les places publiques et les rues de Bruxelles, on nous a demandé quels étaient .es monuments de ce genre qui décoraient autrefois la capitale. Voici les principales relevées dans'l'histoire de la ville de Bruxelles : La Fontaine du Satyre, Marché au Poisson. Exécutée en 1617 d'après les dessins le Jérôme Duquesnoy, elle consistait en un pilier orné de dauphins et de têtes de satyres, et surmonté d'une statue de saint Michel. La Fontaine de la rue des Lombards : line Colonne cannelée, avec une statue de [a Vierge. La Fontaine Saint-Géry, place Saint-Géry : un pilier surmonté de la statue de ce saint. L'eau jaillissait de la tête d'un ours. Ces sculptures étaient en bronze. La Fontaine Sainte-Marie, Marché-an'* Bois : un pilier terminé par une statue en bronze de sainte Gudule. La Fontaine de Neptune, rue Neuve,près de la Blanchisserie. C'était un pilier entre deux cuves qui fut décoré en 1776, d'une statue en marbre représentant Neptune en courroux. Le dieu armé d'un trident était J~ placé sur un char en forme de coquille soutenu aux deux côtés par des tritons et,,r le devant par deux têtes de chevaur rins. Cette statue fut brisée lorr ^ tnière invasion des Fiy^'- ^ La Fontaine *' t'église Saint^Nief ;o ^ <£ % ' i'.lle comportait Ik^ Jy ' bon ré dç trois stj ^ riaient par la m&^ . , née vers -Iv-î»' -e dans ire=i lui étaient ' H I fl f7} , >tl :on do leur. 1; l- '"ef (ielp/fnua / ' fl M du Sakv-ji élevée esfc provisoire-Vi"— vjoiiTd'hui. V Ï011. à la pompe située la petite 111e au Br la statue de la Lai* I ETES. de retirer des bas f« tablir près de son .s Une fontaine 'iemo concert four actuel ues rue ebé aux Herbes, d velle. Le basa-a en 'e Corneviîlo. un vieil estaminet * Opstandii^^^^^^^^dB Une tête./'r. du Miroir, avant 17«yh—J Marché a ^5» e « a-1 une œuvre de Dv ré^"0 J Un nombre con^.-û e\\es taine3 existaient en de 1 rents quartiers animer vt(é rues et les coins des placv6 \e£ ^ \cï La pierre à gogos. — Pour qui nent-ils ces braves Angbi s , . A , ^ ' 'lfl qui inondent le pa\*s de réclame^ n ques? Voici qu'un Anglais lance c>' ■ dres en Belgique une réclame sous I fermée: il se dit po3sesseu,• de ^.e' exemplaires seulement a'urte pier ifl bonheur, extrêmement» amour pour l'humanité eoi,m« ^ qu'il est disposé à les cédci A la lettre est jointe nu du contant l'histoire de ce 8609 manité. Avant de possé'-. bien malheureux... comme., ;rn,, ^ - eoit une: dans p;tr srmam» I rit; en quelo".~n .de Corfenbcrg, m •n o .lèsent entre 10 et JM 11 égare ^ heures matin. 868S fortune s éva" 7 , — ^ ' . ^ instantanément ie2^®f^(HîT remplir son porte-monnaie. Feuilleton du 26 janvier. 11 Au Soleil couchant PAR Matkilcle ALANIC * La petite Léda Graneau est ma troisième conquête. Cette pauvre enfant manifeste pour moi une passion au6si exclusive que celle de Fidèle pour grande amie. Elle m'a si bien absorbée, pendant une excursion aux ruines gallo-romaines de Sanxay,que je n'ai rien entendu des explications de son père... Je souhaite un peu plus de liberté demain. « NoUs devons déjeuner chez M. Graneau et voir avec lui les monuments, si nombreux, de Poitiers, les églises quasi millénaires dont on dit merveille... « Je te raconterai mes impressions en détail... » Nivette arrêta sa plume et soupira, profondément. Elle savait bien d'avance qu'elle ne dirait pas « toutes » ses impressions.Elle tairait surtout ce malaise qui la dominait toujours, en présence du professeur, alors qu'au contraire celui-ci accentuait l'abandon de ses attitudes. Chaque fois que la jeune Léda embrassait Geneviève Férier, le père semblait dire, dans un sourire confidentiel : — Cette petite a bien de la change ! Et les idées de la jeune fille s'en dispersaient, effarouchées, comme un vol de moi neaux à un coup de pierre... Allons, allons ! rassemblons vite les résolutions fortes qui doivent conduire à un bonheur positif et solide... L'oiseau malade à consoler,, l'oiselet ebétif à dorloter... Nivette arriva, le lendemain, à Poitiers, l'âme haussée jusqu'au cran de l'héroïsme... lïlle essaya de l'y maintenir fixe, pendant que Léda gambadait 4 son côté en lui tiraillant le bras, et que M. Graneau commentait, de sa voix blanche et chantante, les richesses archéologiques de la vieille cité. Sainte-Radegondc,au clocher adorné d'une couronne royale, et le tombeau vénéré et le parvis antique, Saint-Pierre, à la nef grandiose, et Notre-Dame-la-Grande, ciselée du haut en bas comme un reliquaire, et le Temple Saint-Jean, évoquant le souvenir romain... Nivette, en vérité ne fit qu'entrevoir confusément ces splendeurs, poursuivie par la voix didactique, harcelée par le petit être capricant qu'elle subirait peut-être le reste de ses jours... Toute la vie! Toute la vie!.,. Cela se répétait, comme un glas, à son oreille,pendant le déjeuner d^ns la triste maison d'une triste rue, sous l'œil perçant de Mme Graneau mère, une vieille petite dame dyspepsique, minaudière et cérémonieuse ! Toute la vie ' au milieu de ces meubles laids et incommodes," rangés avec une symétrie accablante! Heureusement, de temps à autre, le sou rire rêveur de M. Graneau réchauffait Nivette d'un rayon d'espoir... Tout pouvait ête supportable, si elle devenait l'amour unique d'un brave homme, dépourvu do honneur,.. Léda, menacée d'indigestion au dessert, sa grand'mère aux abois restant à son chevet, les dames de Malvaux continuèrent soûles avec leur hôte- l'itinéraire dûment traeé. Le soleil torrido versait des lames de l'eu sur les rues montueuses, que le fiacre gravissait au pas. Toutes les beautés restant à voir se trouvaient haut perchées : les £ -s-ques idéales de Puvis de "havannes, décorant l'escalier de l'Hôtel Ville, et la sj-JH gothique aux cheminées fabuleuses du 1 a-lais de Justice, et l'étonnante basilique ue Saint-Hilaire. Mme Alibert, à bout de souffle, épuisée d'enthousiasme, sentit ses jarrets fléchir. Et, s'échou$.nt à l'ombre du premier Bosquet du parc de Blossac, elle laissa Geneviève et le professeur poursuivre le tour des remparts qui limitent, du coté de U rivière, la magnifique promenade — Allons, les voilà en tête à têtel pen-sa-t-elle avec satisfaction. J'ai prépare la mèche. A Nivette de l'allumer, si elle n'est pas trop sotte... Résignée à une longue patience, Mme Albert s'assoupit à derr .. Un Hruit'dc vol*; u caneuses l'éveilla. Deux très-jeunes & ns. une serviette sous le 1 ras, s'accostaient au milieu de l'allée : . — Mon vieux, t'as pas vu la jolie personne que .pilote le père Graneau? Ce quHi se rengorge 1... — Hé, mon bon ! ripostait l'autre, gascon- ' nant par drôlerie, il n'en raie pas une ÇsQue ; veux-tu! Il a le fl s m rire »!... — Satané Lovelaec ' repartit lé premier en ! éclatant. Mme Alibert ce contint, car elle eût crié | tout haut son indignation. Mais le souvenir j de Bastille-Grenefie remonta, l'étouffant j d'amertume. Oh ! cette jeunesse pervertie, J qui ne connaissait plus le setiment sacré du respect, à quel avenir entraînerait-elle Ja , société \ Heureusement pour Nivette^ son j mari ne serait pas choisi dans cette génération exécrable... j1 Cependant, ce futur mari de tout repos s'élognait en compagnie de la jeune fille! dont il devait assurer la félicité, et lui détaillait le panorama,avec une érudition abon- ' danto... Ici, à ce point, un combat s'était livré, à telle année... Là, un miracle, aSSu-, rait la légende, avait sauvé la ville.. Et M. ; ' Graneau, sur le mot « miracle », allongeait une moue railleuse... A la dernière tour, il indiqua un banc de pierre à sa Jeune compagne; — Reposez-vous quelques minutes avant de retourner. Elle pensa qu'il avait lui-même besoin de souffler un peu et s'assit. Le professeur, debout devant elle, adossé au parapet crénelé, ota son chapeau, s'épongea le font et dit avec douceur 1 — Vous n'êtes pas' trop lasse?... If fait si chaud 1 Il souriait, mon Dieu! il l'enveloppait d'un regard tendre... Inerte comme un pauvre pa .sereau fasciné^ Geneviève murmura : — Oh ! c'esf =ii intéressant et si joli que je ne «onge pas à la fatigue! M. (î-raneau,* la tête penchée, dit d'une , voix fluide • ' — \[ou3 êtes charmante... Vous avez une J façon exquise de laisser comprendre.-, ce j que je dois croire, n'est-ce pas1?* ; Que répondre à cette assertion effarante1? j Elle fut tentée de se sauver... D'un effort .de raison, elle se résigna. . Puisque c'était j écrit, hélas !... Et, figee comme un automa te, elle attendit la suite. Personne à portée de las observer et de les entendre. Le concert qui commençait attirait les promeneurs au centro du parc. M. Graneau s'assit sur le bano et prit la main de Nivette. — Pauvre petite! soupira-t-il, en lissant l'étroit gant de Suède. J'ai deviné votre trouble dès le premier jour! Je connais si bien ces indices' Je ne m'y trompe jamais 1 Trop de fois, j'ai pu les observer, dans le cours de ma vie! Et j'ai tant souffert,-avec cette • sensibilité aiguë qui me vaut justement les sympàthies féminines, j'ai tant souffert du mal que je faisais,malgré moi1... Aux premiers mots, la jeune > fille avait sursauté, eomme si un pavé lui frôlait la tête... Puis, une envie de rire nerveuse lui chatouilla la gorge... Quoi! cet homme malingre et laid, qu'elle gratifiait de sa compassion, se croyait un bourreau d'âmes, un élu irrésistible de l'amour fatal !... Lr-*«jr miquo de la situation dissipa son én;^ une seconde, arguments sérieux, r^^ " timentales, tout fut oublié... de son âge réveillée, Nivette ne (5o) H«> qu'à s'amuser de cette expér^ DFM 1 -Mais! vous.Jc ne ' souffriez! poursuivi M. Ui" ourrîor bouchei tant la petite main qui. aussi, uen9' 59 m'avez touché. Je sens,ns très [V1 ^cr» 'cun saura me comprendra meut do nc°.""c3 reux, n'est-ce pas, orre. SSstri. Certain de la ".tro optimiste tt ; ■ nir, il ne pressa partie aux (j t., 6 D„s meir. Mais, se r j . P11,111' 87 ^ chota avec m. rc», ? "ux pO: ^ _ Renlevri- tv* " 11 do Il odes uo jfl Il s'aroiss^|fl ce boiineu p0Ur tnilî0 pruno. Lo ^il,rlî.ro^H // 1/1. Les mark fout 1 n'ai pu m'abuse?... Déjà, t Pari6? je m'éta' aperçu de l'impression produite.. Pua quelle attirance l amena à MaLaux?.. Pourquoi ces allusions constantes à la t ,-s tesse de l'isolement ?... Pauvre femme! Je 1 vénère et je l'affectionne... Mais Vvus ête là, vous, avec le charme victorieux de vol cœur timide... Néanmoins, j'ai ur" ^"iir ter rible de la froisser... ^ Pauvre Madone! Quelles il lus elle innocemment engendrées ! • serra les lèvres... Mais la grima* rire comprimé ressemble, » «ur^-un 3 contraction la^r y Trulnrit Et, oiic' du Journal  console un ënf»çosi lioucïtci* — Ne vous au cour, du métier dresse, nor- demandé .^oïdsenhoven. 54 rue d« î la CouPe- •Al0ns e65G VI An dem d. boulangerie \ "oiiua u p/Vtlsser. de pror ur te ri* pa jeune homme de 15 an» ipher.o envlr p apfir Ecr B. I, ^ N 9839. bureau du J1 «2? fin dom ch. si Nestor 0 Martin 44 rue Ulens.â Bruxelles, un sculpteui t3irZ- z— bîca au cour. (îci Hriiclc» INDE r• nlft E®* ^ /.^ 8707 <1 Hune OiTre d'om- » ploi, ne Joignez à (r 50 de ~ Lundi 26 janvier 1914. La publicité dô nos offres et dêmandes d'emploi et de sujets est la plus considérable en Belgique. ~~Si»el?}née. — N° 2Ç.

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