Le national bruxellois

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s.n. 1914, 28 July. Le national bruxellois. Seen on 16 June 2024, on https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/en/pid/xp6tx36f81/
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Mardi 28 juillet i 911 La pttblicitS de nos bfir&et cbamibs d'gsipbi si Is siajeis est h pltü^eonsidérabW en-Balgicitis. 24m« aanée.'^N* 2Ö9.V AN NON CE $^jg^^^gjaïlv-Cf Je MATIPHflt est dislribuéau rez-de-cbaus j sée de toütes les maisons situées è IMntérieup des boulevards circulaires moyennant rembour* sernent du prix du port, soit 30 centimes pae rnois. A Pétage ou au dela des boulevards, il esl percu lO centimes par seaiaine, eu 5>0 cen*_ limes par mois, conire ticket-quittance. Itoföts demandant -place : 't a A ^W'i^'«^^ yJ>/P fit Demandes et ojfres d'emploi ; .4|j^ "iS^r- '"''flt-O© 4* page dei a Slignes,;• hbÖ*?;«ïO^ {Chaque ligne supplementaire : 4lO centimes»y ^i^rfs Reclames 3* page /avant Bourse/, la Ugne sf}.r-". fr. 1.S5 Ft'ïte el /ffu6ot.rj74> |rtou S*2'ays»;^c^ >«^> Ö tl 4.00 Faits Divers . . . .. ..-+ >'-fiM<^» . 8.00 Nécrologte* : la ligne • <^^^^?*Mi*%* . 9.00 Les annonces sofit exclosittiihent recues $i «NATIONAL. », 12, BJontagneaux-Èerbes Potagères. (Telephone 11®S) ei fiareaiix oöverts de 9 a 6 fieeres. cela eut convenu a Ja sereinité et a la belle ordonnance louisquatorzième de eet admirable pare francais Le chateau restauré, pour la part principale, après l'incendie, a peu prés dans les formes anciennes, conimande princièrement, du cóté du bourg, a la cour d'honneur et a Pavanteour toubes deux de grande allure. Derrièjre, il domine une grande pièce d'eau de 7 hectares et le reflet aux beaux soirs calme affaires avec M. Davignon, ministre étra-ngères. voyant une issue pacifique de 1'incident. Aussitöt, la hausse se manifesta mais elle ne^ tiii que de courte durée et la baisse qui sttivIT n'en fut que plus terrible. La cloture de la Bourse de Berlin prit le caractère d%ffö panique généra-le. A Vienne, la Bourse a été fermée qu'an 28 inclus. La Joyeuse Entree de nos Souverains a Namur. — Le due de Brabant, le comte de Flandre et la princesse Marie-José accompagperont le Roi et TE Reine dimanche prochain a Namuj'. Le nouveau généralissime de l'armée austro-hrongroisc, en remplacement de feu, l'archiduc FrancoisFerdinand est l'arcniduc Frédéric, né le 4 juin 1856, en dernier lieu general commandant le 5e corps d'armée, a Pressbourg, qui a épousé, le 8 octobre 1878 au chateau de 1'Hermitage de Walcourt (pres de Boasecours), la. princesse Isabelle de Croy. nee en 1856. De ce mariage sont nés six filles et un fils; ce dernier, l'archiduc Albert est né le 24 juille 1897. Conseil de cabinet. — Les ministres se sant réunis luaidi soir, sous la présidenee de M. de Broqueville, pour examiner la situation créée par la tension se'rboautri-chienne. Aucume decision n'a été prise. JUS- . Instihit royal Motéorologiqtte. Buil.du 27. ƒ Situation atmospheric/ue générale, 8 h. du matin. Baromètrea0 degré et tui niveau de lamer, 754.5. i£ndoit être joli comme une chose glorieuse. A la Bibliothèque royale. — Dom Ber- lière, avons-nous dit, a donné sa demission. Le sympathique savant sera bien "étonné que cette nouvelle, parfaitement authentique, soit démentie par une feuille anticatholique. A la schlague. — C'est ainsi que sont conduits ceux qui ont la naïvefe de s'enrdler sous la bannière socialiste. Deux nouyeaux exemples le prouvent: Dimanche,^ un congres coopératif socialiste s'est réuni a Bruxelles. Il a pris une ^decision rendant « obligatoire » 1'abonnement au journal « La Coapération » et il a chargié « le comité de 1'office de procéder dans tout le pays a une enquête sur la concentration cooperative et demandé qu'on publie le nom des sociétés qui negligent on refusent de participer au recensement ». I — Lourdcs : la Suisse (ces 2 exc. sans trajet de nuit). — Italië en septembre. Voyages de noces et particuliers. Voyages Francois, 45, boulevard du Nord, Bruxellesw#! 4844-757 -ï>e nombreux Autrichiens qui vilïégiatu?aient? aux pla-ges belges ont quitte "notre littoral, pour aller se mettre ala disposition de 1'autorité militaire en Autriche. A Bruxelles ont eu lieu aussi des departs de Serbes et d'Autrichiens. Le consul de Serbie a Bruxelles a souhaité le bon voyage et surtout-nn prompt retour a ses compatriotes. :JLa Boarse de Bruxelles a été fermée lundi. Ceci a Tinstar des Bourses de Vienne,Barcelone, etc.*.^^ . Panique, dira-t-on. Dutout, ce semble. Il s agit plutót d'empêcher la panique, —: c est-a-dire l'affolement irraisonné. Un agent de change nous dit a ce propos : La Bourse de Paris a été fermée samedi après la chute de la Rente Frahcaise a 78 francs, iiës cours furent aussitöt annulés et la Bourse fut fermée pour éviter la panique financier© que L'on redoutait. La -Bourse de Vienne est également fermée par le même motif et pour trois jours. La Bourse de Bruxelles a été ouverte lundi a rnidi^ comme d'hajbdfcude. Puis la commissionj s'est réunie et a fait, a midi et quart, fermer les portes. On crort'que cette fermeture ne durera guère et que demain la Bourse fonct|oDnera. Mais irien n'est encore decide a eet égard. On dit que la.Bourse do Berlin a été fermée aujourd'hui pour les mem es raisons. Toutes les Bourses sauf ceJle de Londres — le Stock Exchange — ont étó fermées lundi. A Anvers, dès l'ouverture de la Bourse, aujourd'hui lundi, la panique se dessina aussitót. Les valeurs pétrolifères dégringolèrent de 500 francs. Toutes les operations sur les valeurs pétrolifères ont été alors annuléea. Au compartiment des grains, il s'était produit un mouvement considerable de hausse. Cette hausse atteignait 0.50 a 0.60 centimes pour les froments disponibïes. Les~vendeurs de maïs se sont abstenus. A Anvers, la Commission d'e la Bourse a demandé et obtenu du bourgmestre la fermeture de la Bourse pour deux jours. ji * * A Paris samedi le marché s'est ouvert au milieu'd'une extreme agitation, causée par le bruit qui courait alors avec persistance que Ia Serbie, devancant les délais imposes, avait répondu par la negative a 1'ultimatum de PAutriche... La rente francaise 3 p. c. a encore perdu fr.1.50 a tenne et fr. 1.50 au comptant. ce qui la met a fr. 78.85 au comptant et 78 francs a terme. Le dernier emprunt 3 1/2 p. c. amortissable émis a 91 francs, qui avait dé ja, ces iours-ci subi une baisse sensible, est tómbó a fr. 85.90. La cloture 'des valeurs a terme était, le 23 juillet, de fr. 81.10 pour le 3 p. c, de fr. 89.37 et de fr. 90.20 pour ie 3 1/2 p. c. non libéré. Vendredi, le 3 p. c. clótara a fr. 79.90, et les 3 1/2 p. c. non libérésj a fr. 87.75 et fr. 88.50. A trois heures et demie, on annongait que la cloture du 3 p. c. a termes avait été officiellement arrêtée a 78 francs, et que la cloture des autres valeurs s'était effectuée dans des conditions et selon une proposition analogues. Ces taux, qui ne paraissent jamais avoir été atteints même aux périodes oü la Bourse se ressentit le plus gravement des événements extérieurs, et notamment en 1905, tors de la déclaraion de guerre russojapo-naise, puis pour l'affaire d'Agadir, et enfin en octobre 1912, lors de la declaration de guerre turco-balkanique, vont-ils encore baisser ? On le croit au Sjmdicat des agents de change. Les Bourses de Berlin et de Vienne ont ressenti des soubresauts extrêmement violents, samedi. La baisse régnait depuis vendredi sur toute la ligne et allait s'accentuer eneore samedi, lorsqu'on regu't une dépêche annongant que la -Serbie allait ceder. Cette depêche était basée sur un articleI de l'organe officieus de Belgrade pré- [«•5* Temperature: Maximum do la veille, 16°7; mini ]mum de Ja nuit, 8"2.— Temperature: Normale, Ï7°É. 'Maximum absolu, 3:>°3; minimum absolu, 8°7. — ..Déclinaison magnébique a midi a Uccle, 12°52.3. i Ephémérides du 28: Soleil, levev, 4.02, coucher, fI9.3ö. — Lnne, lever, 10.54: coucher, 21.29. Le pare francais entoure et continue cettepièce d'eau digne de Versailles. Rectiligneselon la mode de Le Notre, d'une belle régularité jelassique ,il évoque Tere de la.majestueuse ordonnance dans Part francaiscais.Il fait songer aux magnifiques tragéi La ma jeune partie de l'Europe reste couverte par! dies de Racine oü le strict déroulement des,des depressions dont les ceatrea-se trouvent sur l'e-T|^nes-««imlpq nnninno pénm£trimip« n«centrer'de. la mer du Nerd (745 m/m), prés de Me- "s*"9» soupies quoique geomecnques, ne:mei (74* m/m) et'sur le goife efe Gênes (755 m/m), nuit en aueune sorte a la beauté simple et.•l/es plus fortes pressions s'obset-vent toa^irs* s«r--ie touchante de 1 'ensemble.Des avenues a l'in«ud-ouest« du continent (Biarritz 762 m/in)/3te^»auY nprsnerl-ïvpq a r&rVïrahlpq Ia H4 f Le naromètre descend rapidement sur le nord-est *^* ^^TT ipZ9JÏÏJf aamirames le dêjfië i'Aliemagne. rest de la Baitique et les provinces coup ent en lignes droites ou en cüagonales a Ixusses avoisinantes. Il descend aussi faiblement sur certains COrrefours, pour les coups d'oeil méfle sud de l'Angleterre, la Manche et ia 'plus grande . nagés sur le chateau et le "grand bassin. "partie de la France, et monte partout ailleurs.f\~_ „t.q«w:it00„>„ qti^««.^,+ «« ™„„„;n„„ ; Le vent est faible ou modéré d'entre sud-sud-ouest». ^.e ,scharmilles s y allongent en muraalles*t ouest sur nos contrées, oü la temperature est com- .taiilees en pleine verdure et percees de te-fprise entre 9 degrés 5 et is degrés.nêtres sur la distance de plusieurs centai- } fcoitosement;V6ntnord"ouestmodéré;pluie;""nesde metres, et s'arrondissent 5a et la, —-en f agon de cloitre autour du « Bassin ' Erratum au buUetin d'hier, numero 207, Ciurbes.des Poissons Rouges », du « Bassin 'Be la temperature a 12 degrés 6 au lieu de 11 degrés 'des Dames », ou d'au tres bassins en- ïmpressionnant et core. L'aspect en est grandiose. A gauche, -d^-ns le sous-bois, le prince avait dissimulé un menu coin de paysage plus libre et plus fantaisiste ou circule, I*a tension auslro-serbc. - Le chef de' méandreux et argenté, lo « Rieud'amour »; ; rétat-major serbe en liberie. — A Bel- aui . prend sa source au « Bassin de la Belle, j grade. — La mobilisation. — Intervention Baigneuse ». Sur-la^yoite, dans la partie médiafricc anglo-franco-italo-allemande. <3U1precede 1 orangene, laquelle est de con- Conseils conununaux • a Bruxelles; a Lae- struction plus moderne, un autre com plus ken; a Anderlccbt.jvaste fut par «es soms a-menage selon le I^assassinat _de M. Calmette : Incident gout anglais. Ce n'est plus ici la belle régü- Bernstcin-Caiïlanx.ïlarite de tantot maïs une agreable fantai- Une randennée a travers les Alpes.h5^' -uni?»^6^ ieu d'esprit et un gentil L'affaire Furnémont et consorts en appel, eaprice d imagination, avec les kiosques, :des temples et des ruines comme en arma le AUX DERNIÈRES NOÜVELLES :18* siècle mignard, élégant, raffiné et peu •r 4.* •« lïfi. WÈÊ*£. T • r, v.* capable de grandes choses. L'ensemble en £a tension anstro-serbe. - La crise a snbi €Bf Jolietefc° harmant. Proposition de renmr Le pare occupe, avec s_es dépendances, une lomaniale, rière. Une chateau p^uon nomme «la Belle Vue ». D'autres ar- tères s'y ramifient et ména-gent des coups d'oeil sur le pare- lire: le cënÜnaire 7, de l'bumidité 82 au lieu de 87. Autour de ae domaine, avec quelques parrfii mtinna «In I SnnA ^'wsy encloses, se déroule la fête du dimanUU prinCe UU LlyOÖ.'che 26 juillet. Elle débute Tavant-midi par (de notre bntoyé spécial.) ome séance académique oh la personnalité du prince est étudiée sous sea aspects diIvers, se continue rap-rèstmidi par un défilé | La, imirnée de samedi ne fut, amsi que de cortege musical et militaire, avec dis,nous, J avons dit, qu une prise de contact cours devant la statue, de M. le ministro -avec le cadre merveilleux ou évoluerait la Carton de Wiart, représentant le gouvernecérémome de dimanche et comme un exa- ment beige et du comte de Clary et d'Almen approtondi du fond histonque sur le- dringen, envoyé extraordinaire de l'empequei se détache 1 nomme dont on exalte la reur d'Autriche, par des declamations de aaémoire. Homme de guerre, homme de let- .piécettes dues a la plume du prince de Litres, nomme du monde, le feld-maréchal gne, par des concerts, des illuminations du fut tout cela a des degrés divers et émi- pare et du village, une fête vénitienne et un nents. Il se peut toutéfois que, par un eer- feu d'artiEce sur la vaste pièce d'eau oü tam jeu de bascule dont 1 histoire a l'habi- le feld-maréchal navigua jadis a la voile ou tude et le secret, ses livres survivent a ses ala rame sur des galères oü ramaient, en taits d armes et avant étó un des hommes costume national, des prisonniers tures rales plus spiritueis de son siècle, ses traits menés d'Orient. d esprit a ses livres, si ce n'est pour quel- Le lundi 27, a 10 heures congres du prince ques ceuyrettes desormais du domaine des de Ligne; a 3 heures, Hommage des « Amis anthologie. Ainsi le temps élague,abrege et de 1'Art Wallon »: Dans l'orangerie du charésume et les diommes historiques ne nous teau, nombre d'orateirrs, MM. Pierre de apparaissent bientpt plus, dans les reeul 1\olhac/'Edmond De Bruyn, Félioien Leues|>, et un ecnvain agréablement spintuel ravanes entières. Le beau temps a malheuïngenieux et fantaisiste è, la facon des Top- reuse-ment un peu boude a la cérémonie et fer et des Xavier de Maitre auquel on peut ne Ta pas enveloppée a ces |e comparer en toute justice. Il eut encore émerveillantes dont il a 1 du gout pöur les choses ès jardin et y excel! a. . Aa Palais da Clnqcantenaire. Salon trlennal de -beaax-arts. £.- Avenue Pefré, 13. üccle. ceuvres de M. Raymond ■iUelceil comme cadre inoubliable autant quei ^ Rasse,naturel de la présente commemoration.- De io a 5 h., è la salie des fêtes de la Madeleine, Cette ombre célèhre mi>?hAaii ^A ,ruDuquesnoy, invenüons. nouveautés et travaux des **« imnlS m?'Jttït /L«, P^ j>eauoouP ^ c °l concours professionnols pöur ouvriers de divers metes, emplit en eflet oes verdures qui furent tiers. eiennes et qu'il iilustra. Son souvenir s'im- \ — Aux Ecoles Saint-Luc, exposition des travaux pose ici a la pensee et la force des choses desélèves et anciens éléves ■ Institut Jean Bétbune, vous y ramene, malgré tant de beautés ren- ruö£'Irlaöüf• J7 - kSaint-,G|Ues, de 15 a ia h.;rue rue de la Au domaine familial arrange par son père dans le gout et selon des études de Le Kêtre, il fit des ajoutes en style anglais, il'anglomanie étant en ce temps-la comme de nos jours, quoique autrement. tres a la mode. Considérez ensuite qu'il vécut ici see heures les plus recueillies, 4qu'il y a médité, y a préparé, y a écrit maints de ses ouvrages et vous comprendrez qu'on ait choisi des Palais, a Schaerbeek, de 14 a 17 5 Colonne, 54, a Molenbeek, de 14 a 18 h. — A Saint-Gilles, avenue Fonsny (prés de l'avenue du Roi), retraite, concert et séance de cinéma, a l'occaslon des noces d'or de M. et Mme Detaeyc-Mertens. CONCERTS. — A 3 h., au Pare, l'Harmonie communale. CONSEILS COMMUNAUX. — A 7. h 1/2, séance a contrejès, a chaque tournant de charmilïe et de consiaération esthétique. Avec ce grand souvenir, tout un siècle survit ici, spirituel, élégant et frivole. Il eeinbte par un effet de ce decor francais et oix-seljtième siècle que la minute présente soit loin et que quelque ooup de baguette Molenbeek, magique ait ici suspendu la marche des sports. — A l'étang du square Marguerite, parJneures et des lustres. On doute a chaque tIesö2Pêche au benefice de la Crèche du Nord-Est. pas si l'on ne verra point apparaïtre au JEU-*Eballe. — a 2 b.. derrière ie Marché au Jétour de teUe allee, Quelque chaise a por-| P°lSS°n ' 1Utt€aUjeÜdebaü€ teur richement armonée et en descendre quelque haute dame attifée a la mode d'il y a plus d'un siècle, en poüdres, en mouches, en chapeau bergère et en robe a paniers, cesendant qu'autour d'elle s'empressent pour Ie baise-main des marquis en perruque, pomponnés, enrubanés, habillés de soie et de chamarures, l'air impertinent et le Ï jommeau d'or manie, avec préciosité, entre es doigts. Le duo et la duchesse de Vendónic «ont actuellement les hötes de nos Souverains, ; au chateau de Laeken. Ephémérides. ~ Il y a cinquante-huit I ans, a pareille date, eut lieu le mariage de ; la princesse Charlotte de Bel-gique et de ''l'archiduc Maximilien d'Autri.ohe. La céréI monie fut célébrée, le 27 juillet 1857, au Balais de Bruxelles. Au Palais dei BraxeUes.-^-'Le Roi s'est ..% *** te peu aimable, distrait et sur lequel on ne peut faire fond. Son sourire eüt pourtant enjolivé bien des choses et sa belle fiimière sereine se fut] entretena^^^^3&rès^ni# fBerveilleusement narmonisée, ainsi que Broquevilïe, mdnisfee de la avec M. de guerrè, puis A cette visite du domaine seigneurial et historique des « "de Ligne », un personnage de marque failUt. non point comme son colIègue Louis XIV, attendre, mais faire attend re : le soleil. Il arriva trop tard, traïnailla, bouda, fut mal en train, s'éclipsa a tel détour d'avenue, reparut pour disparaïtre, eniin se montra un compagnon de rou ftJJnj gros incident. — Lors du passage a Bruxtlles, des d^élégués de la Cité de Lon-dresjles Conseiilers communaux n'ont guère étn invites qu'a la visite du Muséc colonial lie Tervueren et au banquet de l'Hö-tel do ville. Le College s'était chargé de xeprésenter le Conseil dans toutes lea autres ^cérémonies. Les conseiilers de tous les partis se sont montrés froissés de ce procédé et un incident &rès violent a surgi au début de la seance è, huis-clos tenue hindi, après la séance pubüque. 0*cst M. Levêque, conseiller liberal, qud a attaché le grelot. J'a- siégé ici, dit-il, som Ie « règné » de M. Buis cfc sous le « règne » do M. De "Mot. Jamais les ocnseillers communaux n'ont été traites comme ils Tont été par M. Max, lors de la visite a J'Hötel-de-Ville du Roi de Danemark et lors de la visite, a Bruxelles^ des édiles lon-donie^is. L'a'rtitude du College a notre égard, a été mqualifiabie; elle fut pour nous la cause d'affronts] de toutes espèces et il faut qu'ene protestation énergique se fasse entendre. Il faut qu'on sache que c'est le Conseil qui recoit et non pas le College. j M. Max, visiblement vex'é de ces paroles, s'attache a montrer que, dans les deux cir-constances signalées, les Conseiilers com-mu-naïtft ont eu le pas sur tout le monde. M. Brassine, catholdque, lui répond: Lors de la visite du Roi de Danemark a l'Hö-tel-de-Ville, nous avons été /elégués au fond de la saus; on nous a places a la suite du cortege et devant chaque porte^ des huissiers nous ar-retaient. A titre de consolation, nous pouvions apercevoir, lorsque la porte s'entrebaillait, M. le bourgmestre s'empressant aux cotés des Souverains. Lor»qu'on arriva au cabinet de M. Jacmain, un huissier nous ferma carrément la porte au nea.et nous dümes rester dans le corridor I ïj?3" rócemment, lors de Ia visite du Lord-1 !£■*• ^ ït^usafr^fés de facon identique; et ^'■^SHHS1. c. 6ur l'année précédente, et que sur l'ensemoie des épreuves 50 p. c. des candidats avaient été recus. Les jeunes filles représentaient 70 p. c. des lauréats, stelles avaient obtenu 15 p. c. de plus de résultats que les jeunes gens. L'on procéda ensuite « la remise des diplómes, au nombre de 431 pour Ia sténographie et de 149 pour Ia dactylographie et la sténo-dactylo-' grapnie. * '$

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