Le XXe siècle: journal d'union et d'action catholique

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s.n. 1916, 09 August. Le XXe siècle: journal d'union et d'action catholique. Seen on 08 May 2024, on https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/en/pid/7w6736n224/
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3 / NNi_ E. — Série nouvelle.—î$9639 Mercredi 9 Août 1916 RÉDACTION & ADMINISTRATION 23 'tr. rsi di la Baarsa — LE HAVRE TÉLÉPHONÉ :n*64 BELGE bureaux a paris • 33, sue Jean-Jacques-fioussaau, 33 london office : 21, PANTON STKEET Lsicsster Square, S. IV. I Sntinr : fittBS REBUT (VVVIVVVtWVI lO cent, le PN° LE XXE SIÈCLE ABONNEMENTS Francs...... 2 fr. 50 par mois m 7 fr. 50 par t^mestrî Angleterre.. 2 sh. 6 d. par mois • .. 7 sh. 6 d. par trimestf" fiuifsâ pays. 3 fr. — par mois » . 9 fr. — par trimeslra PUBLICITÉ S'adresser à l'Administration du Journal Les petites annonces sont également reçues à la Société Européenne do Publicité. 10, rue de la Victoire, Paru, 4Ui en a le monopole pour Paris. £3 cent, au front Quotidien belcre paraissant au Havre et à Paris les inquiétudes Allemagne au sujet de la Belgique de demain »0« INSISTANCE SIGNIFICATIVE D'UN'JOURNAL SOCHE Tivs curieuse en vérité l'insistance I , t; certains journaux -d'ou-tre-Rhm a cw ■ nionlrer que, du point île vue économique ■ I f-st indispensable au bonheur de la bc] I iMio qu'elle reste unie à i Allemagne. _ m° Nous avons déjà signale les ettorls de ■■,,!ùvrs à cette lin par la .< Post ». Le jonins ■WlWis est revenu a la charge et a pu Bsieurs reprises. . I w.iri, par exempte, ce qu'il écrivait dan ■ .son numéro du 18 juillet : ■ « Mome dans, les milieux économiques belge: ■ ou commence à voir que l'union de la Bel^iqi ■•avec les Alliés au point do vue économique, s B "dînerait la fin de la puissance économique c v f V, lîel' ique. Oj'que la Belgique était à ce pou ■ vue avant la guerre, elle le devait au Irons ■ oi'crriaiid et à l'iiintcilund allemand. ..i et ■ >. il conserver plus tard sa situation d avant K. ...n, ,i mi tant reprendre avec ces niem< K .iioires îles relations économiques des pli B . (os. Aucun autre groupe d'Etats no pourra ■ iù' aux Reines les mêmes avantages que 1< I i luis centraux. .Iulius llo.sle la déjà écrit, dai |' article de « Vrij Bclgië », article que noi ■ , signale ; f « Indt i»'n.dancc belge » qui p I ni, , Londres vient il son tour d'avoir sur I ,, int' une polémique avec la n Métropole ». ■ (a pôliliquo d'annexion par laquelle le min: ■. i.-i.. tio Br'oqueville espérait remédier à la situ B i ■ -., n'a plus, aucune chance de rêtissilc. Ce ^■tinnc avec l'Allemagne, seule que la Bclgiq i. iMurra reprendre son d.-v-ioppomcnl éconon I que naturel. Dans ces comblions, il va de ■ il,!.' les conditions de paix allemandes doive ■ ii ai i en premier lieu sur les garanties qui p< ■ mettront d'empêcher la pratique, d'une polniq i eu réalité contraire aux intérêts belges. E Car c'est uniquemeni le souci de l'intér ■ de la Belgique qui dicte au journal berline ■ .. réflexions. C'est te riiême souci qui ■ ) it , .venir sui ce .sujet le 22 juillet po Bi, |,rucher leurs tendances annexionnistes p sl M. Dumonf-Wildon, Jules Desjree ■ [ n/'OM CnjîîHe Iloysmans qui a osé pal] k <*•> droits tlcjsoïi pays sur-i Lscatn. ' \.11h : ' i vou-> pi-' nous lonner, i 'riv I ' i1 -l ». -i même i.iu-nïi les socialistes bel? ■ nous reru'oMt-ons île» •aiiiwNionnWes. Eh ■ d.iiiui'' la durée des rapporte actuels de la E I "ici'ilt avec les 'Puissanpcs occidentales, il n I pins d'autre moyen de conserver à la Bt-lgic ■ ne demain tes moyens de se développer éeoi I m |ii!-mcnt. que d'agrandir son territoire. Et '|H i . socialistes belges fidèle.-* ou gouvernera* f K'ïlcvtiient se laisser aller petit ù petit à la p1 I annevionnièfe prépai;â8 au Havre, ils ■ feraient que tirer les conséquences de leur ■ litiquë générale qùî consiste a lutter à outrai ■ , mire 1 Ulcjnagne-, même après la guerre. » On conçoit que l'idée d'une lu'.le à outr; ■ de la Belgique eon'lre l'Allemagne mêi ■ .après la guerre n'ait rien de séduisant pc ■ <i:i « l'osf». Majheiifeusemenl pour elte.ti ■ te inonde n'a pas les mêmes raisons de ■ ii'j. .lisser... V ÊCCE IT'ERCJM... — * « depuis la publication des tfr'.ieles signa H'i;:-desstTs. la ' ]\'>st » a encore insisté sm (Ri , iclu«jit>n -qui en xlécoule... pour les A \"otei en effet co qu'on télégré.phiç de ■ H'ich au « I em')>3 » (nn cln S août l.e « Vorwfprts » écrit que Vidée de 1' I ncx .ai rte la Belgique à l Allemagne se ï ■ igiage.ité plus en |)lus. »-w-- 'ti .V|:nes l'iunii d von Ti-rpitz qui réélu H eatégdiiquimont l'annexion afin de gai H (nie supériorité sut la Grande-Bretagne, ; uni." von ZedJite demande, à'son tour,d p « neiliner Pos », que ta Belgique H .soumise à la ip lissaoïce et à l'inlluence c | » l.e n Yorwauts » voudrait qu'on pei H ii Cj'ux qui sont contre ce projet d'exprn H libri-incnt leur (ipinion. » ENCORE UN DOCUMENT Ar nions a. tout cola l'extrait des « Il H J)ui u r Nacln' litc.n » : i 1,'aniiial von Tirpi-tz a raison de si,t H 1er la nécessité jour les Allemands d'à: H jc-i leur d-ottiination dans les Flandres. La cttiiise geinianique a absolument be; ■ ,| ,L'..| ies FÎandrt s à ta s'upiématie angk ■ celo ri BelgiqU • "l'a encore plus qu ■ juvtaxant, une téle <le pont angtoâs en Ji ■ ; M el inné trouée toute ouverte niii*_I Aile I les Français ; m I r'i, iî e ])kis. lu Iielgrque sein au point de I i n i,unique''él coniinetcial une digue et I <ftvslac'e pour le einriméiee allcmcind tr. . inique. Mlle sera un obstacle a. la ici s inée des industries d'exjroi I ition allen «les. ! e point est d'une iniporlance capi R itvutin. -iins la. -upiémaiie u-llemande c | ô- I I mdies. il n'y a pas de liber,é ] I 1 Aiilemàgne sut les mers ci même le s •marin de M. 'Dolbiuck ne pourra nous I La presse liollandaise V et la question de l'Esc; Les ËaSec XachrAchlcn du 28: juillet •1 iblié une éoi-i espondance dç Botter di Hit que la pre-se bolandajise s'oc beiUicO'Up, de Fax nir des boucl'ies de < 'a i ; t, question qui est connexe à ceffli l'avenir du poil d'Anxws. Elle craint le.- grandes piiissanaes^e présentent Pays-Bus deux espèces de rcvenidicalic ii -.ssion de 1q, Flandre zélandaise à la . ^ ;ac, ce qui aurait pour effet de rè l'J'.sc-aiil un fleuve ini'iiialional "et de • |u in -i- à l'a Tbtl'ande lp droit de ferm. neuve ; ou bien encore, autorisa lion les navires'de gu-erre de passer libre par l'Escaut. Ces deux préfenlions sei egalcmerrt iuae epiables pour la Ilolb D'après les Indications du Middelbi Courant et de la revue Auislci-dummé lie nt en Hollande que l'Angleterre i ii l'tiV.c ri'âccnrd avee l'Allemagne sur la H des fl\-ige:iee> pi eril '"S et les deux J)r I i. n.< donnéï.l l'avis qu'il faut s.ûajvijillf re e.s ie« i'm''.i rnenls et se préparer i'a' c stœi. | NOS MARTYRS —o— Uns admirai lettre i'im liégeois i îisillé à la Glarlreasa Un n'ccnf numéro de la Libre Bchjique nous apporte le texle d'une lettre adressée à sa femme par un inùust.riieil liégeois, Dieu ; donné Lanibrachts, au mniment où il allai - âlipe fusil' '• pur les Boches dans les fossés , de la citadelle di? la Chartreuse. Nuit ne lira celte lettre sans une profond* émotion. On y vè'rra dans quels sentiments - savent mourir les patriotes belges : 1 ^ De la citadelle de; la Chartreuse, 17 avril tU 1G. s M'a Jeanne bien-aimée. Je viens d'elle transféré de Sahu-l/'Onctn ? ici et, comme ie l'ai pressenti, c'était pou Il apprendre- la nouvelle fatale. JI vient (l ^ m'étre confirmé que le jugement du 12 m it condamnait à la peine de mor! clique le. e recours en grâce ont été rejetés.. Dieu m a rappelle à Lut; que sa volonté soit faite ïs ÏSous ne pouvons que nous incliner devait is sa suprême sagesse. Ah! ma bien-aimée "• quelle douleur atroce pour vous tous qi> espériez tant ! Pauvre femme, pauvres po renls. Mon rime est remplie de iristess a. immense en pensant à vous tous ! Celui qi :c . disparaît est rite quille de ses souffrance! J'espère que Dieu m'a pardonné et qu'il m s- réserve le bonheur étemel où 'je vous aller a- drai tous, mais pour vous autres, que d s* douleurs ! Je t'ai déjà écrit longuement i ■\° four du jugementl tu recevras te tout c "" mâni'C temps probablement. Que ma rcs g nation te soil un réconfort. Que Dieu voi ,r. donne à tous le courage qu'il n'a cessé c. ne m'accordër et que vos peines vous soie) » moins cruelles. Pensez tous que ma mo êt est une belle mort, que là-haut, tout prés ;i lis Tout-Puissant, ie veillerai sur vous et qi le je le prierai beaucoup pour, qu'il vous pr ur iëge et vous réserve encore des jours he; a reu.r sans celui qui aurait tant voulu fai, d votre bonheur à tous en vous entourant i er tous ses soins. Dieu ne l'a pas permis, inclinons-nou ail II sait ce qu'il \ail el s'il nous fprouve mai :e® tenant c'est pour mieux nous récompense 'î auprès de Lui. ,sï Demain, 18 avril, je serai exécuté. Quel uc coïncidence. ce sera justement le demi îo- jour de notre dixième année de mnriag si Dix ans de bonheur passés près de to ■ut Die n. n'a-t-il pas déjà été assez bon de m' ili- voir réservé tant de joie, jusque mainlenat ne alors que nous ne somrnes destinés à h in" verser celte vallée de larmes que pour sot K0 frir. Remercions-Le et inclinons-nous d l'anI son arrêt qui ne peut faire que not ul" bonheur. 11C, Réfugie-loi 'dan* la prière, ô mon ainu el sois vaillante. Pense noire fille à qui ja te dois toute cl qui sera ta consolation. Console mes pauvres parents pour h qu-els ce coup, vu être terrible. Puise da ton amour pour moi les forces uécessaii j(, pour leur donner l'exemple du courûi j.', Pi iez tous pour moi. ]tj. Je le laisserai Ht croix que lu m'a fait pi venir pour qu'elle le soit mon dernier $c Zu- venir. J'y déposerai mes derniers baist - pour loi, Rielle et mes parents. J'y joind 11 o- mon anneau. 10" Sois mon interprète auprès de tous ce qui se sonl dévoués à ma cause pour h faY dire toute ma gratitude. Dieu n'a pas p ' j0 mis que leurs vaillants efforts aboutisset ans c'est parce qu'il me réserve plus de félic soit près de Lui. lie- Jeanne, adieu : reçois sur celle lellrc pc noire fille chérie, pour mes parents et pi ml- loi, les plus affectueux baisers de celui ■ aer fut, ' Votre Dieudonné : ECHOS = ;s«- :.°^ It?lie "t Beiyeju ist. Le. Gouvernement italien vient de cton ' " une preuve de sympathie a la Belgique 5, autiirisant Tonvi i de colis jiosuux : vue soldats belges. ;/expédition do t se J: * par rentiemisc des consuls bclg s en lie ou de la Légation par la voie de "]s" clanv. C,1S —o— îan- ale. Yktime du de\o Nous apprenons la mort de M. l'aumôi mis- protestent Joseph Hugé, dlécédô à C-a gtre d'une fièvre typhoïde contliwlée dans un pilai de Ciette base en y pratiquant sa. i s ion. Lors de la mobilisation, il fut affecté, qualité de brancardier, à la 5e division, c laquelle il fit campagne jusqu'en fév i 1915. )]]| M. lie pasteur 1 lugê~trtait né à Cuiosmc Il septembre 1880. Il laisse en Belgique ils sont demeuré?, mue veuve el trois jei ont enfants, " " . clam —•-—— ;! A PÊCAMP que . , , • - aux ' ' »o«—- ins : Bel- LES SOLDATS BELGES AIDENT ndre A COMBATTRE UN GRANO INCEN1 sup- ïr le Lundi dernier, le feu a délruij les moi pour ,c|es~ lu'iileiies Delaunay, à Fëcam'p. Les nent dais de la garnison belge,. commandés aient ]curs officiels et. isous-otliciers, ont trax indc. a\ee les pompieis fle la ville à eircons. irger le siiiistra, el c'est en j-ailie grûce à l on elfoi ls que 1rs bàtimentiS les plus îinpoii è se des huileries ont pu ôlie préservés. . base II \ a néu-tnnoins pour plusieurs cenff >Mcà- de''mille francs de <légât.s, et la ifabric- a (Jo de- huiles sera arrêtée pour longtemps, avec |.e- airtarilés municipales «ul \ivei , ,i Ué nos courageux soldats» nmipijm i I^I m 11 w 'H'ii'im1 •• ', wamy"1» W Locatelïi al Havre »0«- — Seul, l'espoir de pouvoir faire du bien aux Belges m'a décidé à accepter le poste de BruXe|lës, nous dit .Mgr Loealelli, et on comprend trop qu'en co moment-ci la non-" cialune die la chaussée de Wavre n'ait pas d'autre séduction (pie l'altrail austère du , devoir pour le prélat qui jouissait à Buenos-Ayres d'unanimes sxmpaihics. Notre nouveau nonce nous accueille avec i une grâce charmante dans le presbytère dé une bonne grtite chai mante dans le. piestoy-. {ère de Noire-'Panie qui a valu pendant cette . g1, n ie à la vieille cl nuiwl^use rue ct'Esti-roauvil't'e plus d'un hôte* célébré. Avee autant de 'cordialité que de simplicité, le prélat nous dit son affection poux la Belgique où il compte do vieilles amitiés. Il a, en effet, passé chez nous, au début de sa cariière diplomatique, quatre années qu'il compie parmi les plus belles de sa vie. 1 Arrivé à Bruxelles en 1887 avec Mgr Fer-r uila, il y est icslé dieux ans awsi avec Mgr 3 Nava di Bontifê axant de lejoindrc, en 18'Jl, ^ Mgr Ferrata à l.a nonoialure de Paris, j Mgr Loealelli est demeuré en relations 3 .avec do nombieux Belges et il en a déjà reçu depuis sa nomination plus d'un lérnoi-'. gnage de sympathie. Parmi nos évoques, il connaît snudout Mgr Stitleinans, nommé > évèque de Gand pendant son séjour h Bru-1 xelies, et le cardinal Mercier, qu'il eut l'oc-- casiou d'apprteier dans la fondation de son e institut philpsophiiqiue de Louvain et même 'i déjà auparav an t. Des îappoi ls qu'il; eut avec ■. ciiix et avec de nombreux membres du g clergé belge, Mgr Loealelli a conservé le u meilleur souvenir et il espère trouver dans .toutes ces sympathiès une aide sérieuse pour la mission qui attend ie représentant e du Saint-Siège à Bi uxelles. 1} Sur cette mission elle-même, on dexûnc i- que Mgr Localelli-o gardé une gj'iinde ré s 's.eirve. La prudence qui s'impose à tout di c plomate se double des difficultés d'une situa il lion particulièrement délicate pour cxplr -t l"®1' fl'|e le nouveau nonce ait préféré tais (t ser h l'avenir le, soin die nous dire ce efu'i va écrire sur la page encore blanche qui doit ajouter à l'histoire des rapports ck Sainl-Siège avec l'Eglise de Belgique. l~ Forts de notre bon da il, nous souhailon: avec confiance que celle page soit auss le glorieuse et aussi utile à notre pays et i l'Eglise que celle qu'écrivit jadis un autia y. nonce qui devait iciid.ro immortel le non ni de Léon XIII et donl le rôle social a ddicl ,r à-Mgr T.o.cafelli plus d'une inilialive hardi ci genéreusfcr. le * île îfc r', M^ir Loealelli qnillera le Havre mercrec ' ' matin pour se rendre au front belge oit présentera jeudi ses lettres de créance a !'i roi Alilierl. Sur la Somme, le Sereth et i'isonzo Les All,eanan(Is viennent die prouver, par la vigueur et les sacrifices sanglants de cinq coutre-aUaques^rimportaruce-clc la crête militaire que les trcîupes britainniques leur'ont arrachée à l'est de Pozàères, sur la route de Bapaume. La bataille siffle, huile, se déchaîna tou/jours sur les dieux îives de la Somme. « Incx-iitabiemeait., d'il le Times., la Ligne allemande doit céder ; que ce jour sou proche au lointain, nous sommes assurés que le haut commandcin ^nt fait le meilleur usage des armes et dfcê hommes qu'il a entre les mains. » Paliënce donc et confiance. La bataille sera néeessairennent longué qui écrasera et îefoulera les 122 divisions allemandes du front occidental. Fn Volhynie, à l'est die Kovçl, 1 armée russe du gjénêral Éesch a i emporté un succès appréciable. File a délogé l'ennemi de ses liain liées près du village de Zaretchie, situé sur la rixe' occidentale du Stoeliod, à quel-q ies Isiilom'ètres au nordl dte la x oie ferrée qui connlitue t'axe du champ de bataille. L'aile ga.ucho de von Linsingen est donc ainsi menacée dans son principal point d'appui. En fia'icie septentrionale, tout le cours du sereth supérieur est aiux .mains du général Sakharoff, puisque la xille autrichienne dte Zalocze est tombée. A la suite de cette vie-loi 11 du Sereth, qui a permis auix Busses do prendre pied sur les crêtes du terrain, on annonce que l'aile gaucho du général Bol biner, postée devant Tarnopol, bat en îctiaile, 11 est possible que le général Boehm-Eimolli et le général Bothmer, unis-, sanl plus étroitement leurs forces, essavenl eucoio 'ùe couvrir Lemberg en s'établissanl sur l'alignement Busk-Zloczow-Kozlow. c'est-à-dire à quelque vingt Kilomètres ai sudl du iront actuel. , . . Dans les Carpathes du sud, le généra autrichien Koewess, arrivé de Serbie ave< tout ou partie de, ses troupes, est en olfen l Rive Le général LetchinsKy, qui menaçaii l Stai isîau,1 devra dope s'employer ù refoule ce, nouvel ennemi. Mais précisément des de pèches annoncent que des ienforls russes m ; cessent d'arriver en BuKovine. Von Koexves; i va donc, trouver à qui parler. 9 1 Pins tôt qu'on ne l'avait *pn espérer, le: 2 Italiens ont repris leur action offensive su i fe bas Isonzo et dans le secteur de Mon fol j cane. Leur succès y a été considérable » puisôue leurs valants bersagliers ont car Utré .'.COO prisonniers^ Les eote» Sa et 121 qui ont été conqu'ses. sont situées à l'est d Monfalcone sur .le ' picmier palier die 1 chaîne de hauteurs qui'dominenl à l'orien : la plaine de I'isonzo et qui se prolonger 1 jusqu'à Triesle en alfei-gna.nl "sueeessive a miemt l'altitude de 500 mètres. Pau! CROKAERT. Nouvelles de la Patrie Belge n s \\w wv\v\wv\ vw es "■ NOUVELLES DE PARTOUT — o—> m- Plus d'un million et demi de personnes ai secourues' ux D'après les dernières statistiques du Co-'ur mité àiational de secours et d'alimentalion, er- le nombre des. personnes secourues directe-if ; ment en Belgique occupée s'élève à Ué 1.360.31-9. Le correspondant bruxellois de la ie Gazette de Cologne » assure qu'il est plus élevé encore. Les différences proviennent, .sans douté, d'un classement nouveau et de )nr. l'adjonction de catégories qui n'étaient pas lm comprises dans les premiers totaux publiés. Voici les données du journal allemand : En juin 1910, le nombre total des person-® nos secourues, en Belgique occupée, par le Comité do secours el d'alimentation, s'éle-—> VaH à 1.585.379. Ce total se décompose de la façon suivante : 669.966 hommes, 309.902 femmes sans travail ; 605.511 enfants en-des<?ous de 1( T» A BRUXELLES 1,11 X A nre ;ta. L'ombrelle verte Mi'j- La » Oazelto de l'rancfort » entretien! i Bruxelles une coirespondanle qui s'occup un peu de tout, de modes et de théfttre, d. ir lilitérature et de questions sociales. Tous le Tier domaines lui sont familiers pourvu qu'oll j trouve à y exercer ses petits talents d'os i, a pionne. „ La semaine -dernière, cette bonne a ton faire du journali«nie boche a eu un nu pn ment d'éinotidii ; on l'a prise pour un Bel<*ë 'V® ' frétait .le jour de la fêle nationale belge Les délicieux « zxvanzeurs » que sont le , Bruxellois s'étaient donné le mot d'arboré s , ce jour-là, à la place des couleurs naliom ■ 1 les,' dont le porl leur est interdit depuis Ions Incs temps, un objet quelconque de couleur vei t- de la couleur de l'espérance : insigio objet de .toilette,; ruban, ' chiffon, n'imporl ciuoi. De grand matin, la concspondanle de 1 « Gazette de Francfort » .prit place dans u •tramway. A peine installée, .elle remarqu que toutes les femmes belges qui se troi \ai-enl en faee d'elle lui faisaient des signe d'intelligence. Très surprise par ces ma: )ÏE ques 'dê sympathie inaccouituinées, elle e mit, a étudier los regards de ses vis-à-vis < ilins ne fut uas longue à '■constater que tous et sol- regords^so-concentraient sur son ombrelli par t Jette 'ombrelle, un'vieux parasol qui el aillé fa H la joie de l'oncle Hansi, était de coi ■rire Oeur- ver jpomme, d'un verl-))omme in-vra çurs semblable, qui suffit cependant à faii ants prendre la •correspondante hoche pour ur uiani-l'eslanle belge. ines La « Gazelle de Franefwl.» Contribuera-i ion elle -a.u paiement de la rançon d'un niillic de francs que von Bissing exige des Bn nenl x; 1 lois pour ax-oir exhibé du vert le jour < leur fête nationale 2 i"vwvy\ \ \ vwuiww A x\NVERS Le 21 Juillet 11 n'y a pas que la .capitale belge qui a célébré soleuneiletncnl l'anniversaire < rindépendanee belge. Il en a été do mèn à Anvers, oii des messes solennolles- ont é célébré-es pour le repos' des Beiges mor .pour la Patrie-. La .{population entière, sans distondû d'opinion, y assistait. Dans toutes les ég ses, la « Brabançonne » a été chantée soie nettement. Une foule nombreuse se pressa dans la cathédrale une heure, déjà avant messe. Le commissaire en chef ax-yit é obligé d'organiser um service d'ordre sp cial. La dénonciation obligatoire Le gouverneur militaire d'Anvers a co . damné, le 21 juillet, MM. Brilla et Benov, ; un mois de prison chacun : « pour n'ave ; point fait connaître à fautorité militaire : lemande, la retraite où un ancien sold belge se tenaàli caché. » —o— DANS LE BRABANT La garde bourgeoise obligatoire Au .Conseil conmumal de-Bornai (près s Nivelles; le bourgmestre avait pris un ai 3 lé, enjoignant aux habitants de compo; - une gaule bourgeoise unanime d'iiomn ù.gés de 20 ù 48 ans. Tout membre requis l refusant serait puni d'une amende de 5 à' lianes et d'une peine de 1 à 7 jours de p e son. Un cerlalin MûtiMouMc Charles, fut ci <„ damné par le tribunal de police de -lodoig s pour relus ù 5 fr. Il inteijc.a appel clev; r le tribunal correctionnel do Nivelles, "déç - rant illégal l'arrêté précité ; l'amende confirmée. Il se pourvut -en cassation, se basant s \ la fausse inteipréiation de Part. H9 do la c du 10 mars et art. 16 de la loi du 2i ni 1890, sur la violation de l'art. 107 de la Co i titulion et les articles 3 di 79 de la loi or n nique de la ga rcle civique. ;i La Cour a rendu un arrêt rejetant le po V xoi. s' .Le procureur du Roi du tribunal de Ch > lè-roi s'esl pourvu en cassation d'une affa c id-en'ique niais qui s'est terminée par vt acquittement. Montey Hector avait ég.' s ment refusé de /aire partie de la "garde bo ». geoi-se. 'Le tribunal correot.ionnel de Cha it roi l'acquifi'a pour le motif qu'aucun dés i- dre n'élant. survenu dans la commune, i- garde bourgeoise n'avait pas sa rai; •e d'clre. ^ ie La cour suprême rendit un arrêt, atlei que île .liibunalt n'avait r>as à s'occupet t- la garde boui gooiso était nécessaire ou i n dains la. commune, mais bien si le rè; i- nient .communal n'avait pas été obseï' le Par «es motifs la Cour cassa le jugo.nien le ronvova- déviant une aute juridiction. Les socialistes français et la guerre Après a?oir failli se battre entre eux, ils approuvent qu'on continue à se battre contre les Boches * Le conseil national socialiste français a terminé ses travaux lundi soir après des débats oui ont été à certains moments extrêmement violents. A deux reprises, les motions des gens de Kienthal orit été repoussées par 1824 voi> contre 1.075, ce qui reste la proportion de; congrès précédents. Le texte de la motior de la minorité a été supprimé par la cen sûre. Quant à l'ordre du jour xoté, il pro teste contre le « dangereux divisionnisim de Zimmerw-àld et de Kienthal » et âpre: diverses affirmations de principes preinc des décisions dont voici l'essentiel : » En attendant' que soit possible sur ce: bases la reprise des rapoprts internalio naux, le conseil nationa-I décide d'organisé dès que possible une réunion des socialiste: dtes pays alliés dans laquelle seront préci sces les conditions économiques et politique d'une paix cïurabhi, qu'ils s'e.tforcemvt -en suite de faire triompher, » Le conseil national demande au parti à tous ses représentants d'obtenir du go-u veruement des déclarations fermes et nette sur les buts de guerre de la Fiance. » Plus le concours du socialisme fiançai à lu défense nationale est considérable c sou'usaïui, plus il a le- droit et le devoir d'ex ger du gouvernement qu'il affirme hautf nient sa volonté d'une paix durable basé suir la réparaiion" d'à droit v iolé en 1871. » Le rétablissement dans leur indéper ; dlatnce des nations -opprimées, parmi le . quelles il faut mettre au premier rang 1 t Pologne, la répudiation formelle de tout • annexion, l'acceptation des garanties t . clioit et d'aibUiage international. » : ENTRE PACIFISTES > L' « Œuvre » fait ce croquis amusant c ' la fin de la dernière séance : L_ « Au milieu du tii.muf.te, M. Raffin-Dugèn qui voit décidément des embusqués yUn .toutes les familles de parlementaires'et ju qo« d'ans celles de- ses omis po-lUiqups, cr ' <jue « les embusqués seul» étaient jusqu'à '[ boiitiskS. ». Son collègue, M. 'Constant, pi , mal la chose el lui répliqua, tout cornu , M. Barrés : c. Raffin-Dugens, tu es un mis rable ». Le. résultat cte ce col.'oque fut qi fe dfcux: « camarades » s'élancèrent lu contre l'autre. » Peu confiants, sans doute, dans la sa - diitô de leurs poings^ ' ils brandirent di ; chaises et, bientôt,- à leur exemple, le res de la salle, divisé eu deux partis, allait rencontrer. L'iirlei vention de M. Renaûc et de M. Longuet ïamena le calme, cliaei ayant congrîiffient adjuré ses partisans déposer les armes. » Le vote des trois premiers paragraph donna Meu à maints incidents, les luenibi de la minorité, qui avait décidé de s'ab-m'r, répondant par des plaisanteries à l'e pel de leur fédération. Le projet d'organif !;ion d'une conférence des pays alliés i ramena à Us discussion à. propos du pi gramme et de la consliluiion des détéf tiens. M. Longuet voulait qu'on y aborc toutes les questions, et M. B-vacko*entend-,'n que l'ordre du jour fût nettement défini, a " d'éviter des surprises. » Finalement, la « motion maj-mitaiia ls fut d'abord votée par tranches, avec la n " jorité des 1,824 mandats, qui lui axait i ,n cordé la priorité, et intégralement, ensui j. par acclama.tions. u » Comme le dîner était déjà très comp: H mis en raison de l'heure, les demandes I, contrôle visant d'une part M. Gustave Ile/ fô el. d'autie part. MM. Brizon, 'Alexanc Blanc et Baflin-Dugens, furent renvoyi ù l'année prochaine. El c'était, croyoi nous, la troisième fois qu'on remettait jugement du directeur de la Guerre Socia 'diurfuel on ne pardonne paa sa Victoire. n. » Quant à la conférence des socialis «'.'liés, elle aurait lieu au mois d'octobre, jlr toutefois la proposition de- la « sccl ('j. française de l'Internationale ouvrière » a( aig.rét'e par ses soeurs anglaise, russe, i lienne, belge et serbe ! » UN avertissement DE marcel semrat M. Marcel Sembat. le ministre sociali des travaux publics clans le cabinet Brio à donné à ses amis de la minorité un rieiîx avertissement. Voici comment s'est exprimé d'après P « Humanité » : de II m'aipparait qu'à mesure que votre o-p é- sition s'accentue, par une psychologie d ier vous ne vous rendez peut-êlre pas Y-omj es les événements se .déforment grossiùicm et, à vos yeux. 11 y a là une déviation raenl Si.") sur laquelle j'o.ppelle votre attention. \ ai- cies d'u,ne sévérité outrée pour la Fia-et d'une complaisance singulière pour 1 m- nemi. \ ous seinblez Contester, nier le ne ractère olr.ee des abominations allciuan ait dans le Nord. N'ous évoquez les horreur,-la- la Commune. Mais nous n'avons cessé [u! tes flétrir. Allons-nous être plus indulgi pour les Allemands que pour les Franco: ;ur Vits applaudissements, réclamations), loi En ce moment Blanc et Delépinc inteî i ii'it pent violeinnient. Mais leurs iiiterrupti is- se perdent dans le tumulte et dans le bi »a- halia. Sembat. — Prenez garde, il y aurait ur- péril grave pour le Parti sooialiste à pei le, contact avec l'âme populaire îrança eu'- Xouvellos protestations, couvertes par ire applaudisscmeiîi's. On cric : « Jaurès un pas eu peur de l'opinion ». île- Sembat,— Moi non plus. A aucun mon ur- vous ne m'avez vu suiveur de l'opinion le- n'ai pas hésité à la braver, quand n or- combattions la gueire au temps de la p la nous efforçant de piêvenir la catastra] son Mais à l'heure où un peuple est rédù faire le formidable -effort que nécessite 1 idu béraiton de «ou territoire, je vous dis c si v aurait péril mortel à ne pas rester en ! ion tact avec l'anvi' de ce grand peuple qui c • |." bat pour son indépendance, pour sa vé . (Applaudissements). Une voix. — Nous y sommes. Le citoyen Sembat dit ensuite que ce CoiMt us jieraMî les Rentres ?.. —o— Ils doivent vouloir, eux aussi, que l'Allemagne soit difinitivenisnt muselés Le Temps pose très bien la question que Lu presse aiiemande s'efforce 'Je brouiller en ameutant les neutres contre les Alliés, coupables, à l'en croire, de vouloir anéantir l'Allemagne ; « Les neutres, écrit noire grand confrère parisien dans son numéro du 8 aoiU, savent . notre effort, et nos sacrifice?, nos soldats tués ou mutilés, nos villes détruites, nos champs dévastés. Si nous étions prêts à oublier, prêts à ne pas prévoir, prêts à subir, dans dix ou vingt uns, les mêmes malheurs, comment nous jugeraient-ils ? Si, après la 1 dure expérience, nous retombions dans noire imprévoyance d'au troi'vis, comment rem-• plirions-nous notre devoir de citoyens 'ci ' d'hommes ? Nous payons une lourde dette, ! parce qu'il y avait en Europe une nation de > proie.,Nous' ent.gii.dons que le sang vei-*6 rie ' sOit pas yersé pour.rien, et pteisqneja nation de proie affiche encore ses convoi lises", nous s entendons lui enlever ie moyen de lçs so-u- - tenir. » Si les Allemands avaient gardé, dtes s l'ivresse de leurs ambitions, la laculté die - juger, ils répondraient à leur empereur, 3 quand celui-ci leur demande de lutter contre - ceux qui veulent l'es anéantir ; « Personne ne songeait à nous anéantir, ("est la poli- , tique allemande qui a voulu briser les fai- - biles, vaincre les forts,..conquérir cites teiies s et de l'argent. C'esl la politique allemande qui, après l'échec du coup de force, prétend s aujourd'hui encore annexer à l'est, annexer l \ l'ouest. C'est la politique allemande qui i- oblige les Mliés à lutter jusqu'au bout pour •- prendre des garanties. » i.t l'Allemagne ren-e verrait ses Hohenzoftern, mauvais gérant.-; de l'intérêt national, el ferait, par la révolu i- lion, son meu culpa. i- ii Les neutres savent, comme nous, que a ce n'est pas le cas ; que les Iiolienzollern e restent maîtres dé la Prusse, la Prusse mal. e tresse de 1 Ulemagne et l'Allemagne asservie à ses appétits. Lç» neutres, comme nou.-doiveut donc penser que, non seuleinejii pour notre bien, mais pour le bien de l'Eu. , rope et l'avenir de la paix, il faut que p-oni-, infligions à rAllemagne une défaite dée'-sive. I.'anéardir ? Ce n'est pas la question, s, La museler ? Nous y sommes résolus. C'estf >s cela que Guillannie H redoute, lit plus « s- montrera qu'il le reiiouie,, plus notre réso ■a iutk.li se fei Uûei'â. i>* !(- ^ ie choses d'espagne fe" i'1 to Marquis dg Cerralbs te £i l'Institut ds Fraasi se _—))0(( el ni On nous écrit de Madrid : L'e « D'après un bruit qui court à Madrid M. le marquis de Cerralbo, chef délègue • du parli carliste au nom de Don Jaime ,cs xien-t d'envoyer à Paris, sa démission de c" membre-correspond m-t de l'Académie de-f~ Inscriptions. Des amis obligeants auraiem ia" fait comprendre à l'archéologue aniateui 5S que la bienveillance à lui témoignée jadis ,°" par l'Institut, peu sévère ce jour là dansi :_?j l'examen des titres, rendait- peut-èt're op-a.j portun un témoignage de sympathie à l'é-i1' gard de fa France, son silence semblant 111 "couvrir les pires écarts de langage de ses subordonnés. M. de Cerralbo-, membre de } " l'Institut vient de parler en effet, mais ia" c'est pour adresser ses félicifatioir- à l'un î'j" des plus làchci- insulteurs de la Belgique. ' M. Cirici Ventallo, que le.parti néocarliste couvre de fleurs en ce moment. Cet acte l'!?" annonçait évidemment la lettre de démis sion. M. le Marquis de Cerralbo sera, dit- Ve on, remplacé à F Académie par un érucli-t. >. re •es *>—- | piteuse réponse tes ))0<! si Les journaux allemand- n'ont pas ©s-011 sayé, et pour cause, de nier les acte* nions-es! trueux dont la Kutjtnr s'esl rendue coupa-la- bîe clans la région de Lille. Ils n'ont trouvé rien de nrieux cfu.e de reprocher à la presse française d'avoir organisé à ce propos une eiinpagne contre l'Allemagne ! C'est- le icproche qu'arlicule. ste notamment la « Koelnische Zeitung » dans nd une correspondance cle la frontière suisse sé- publiée le 30 juillet. il Le correspondant de la feuille do Cologne cite nolamment le récit donné par les pt)*_ « Basîêr Nachrichten » dont le corrcspon-ent dant. à Paris se déclare en niesure d'assu-j|c rer l'authenticilé de^ faits reprochés aux CJ1[ autorités al'-eniandes. Le but de celle cam-aj(. pagne du gouverneraient français, d'après 3UH te correspondant de la. « Koelnische Zei-npc tung » est de prévenir les accusations qui. Qil_ vont évidemment être portées contre l'ad-ca. ministraition française à propos des cruau-des tés commises dans le Nord de l'Afrique et (le ailleurs sur les prisonniers de guerre ; des de faii s iiinuïs vont être révélés tors de l'ar-Dits ricée en Suisse des grands blessés et des s '? malades el le gouvernement français o jugé bon de lancer s-es calomnies d'avance. >m. ' Simplement I on s - - — ■ — .T.- 'OU- cl-onne une apparence de force à la minorité, un c'est son organisation. F.f il.cite les impies-dre fions que le citoyep de Broiîkère a rappor-is3, tées d'une série de coiiféi'ènccs, oii .il u rondes ooti'lré sans cesse, en face de fui. des cou-n'a tracli-i-.leurs armés de son discouis de l'avant. veille pour le combufli -'. ient Je voudrais vous parler aussi des affaires Je extérieures. ous — Parlez-nous de la Russie. iiv. Sembat. — Oui. do la Russie. Je ne voua >ho" en dirai qu'un mot : c'est qu'aux moi:t I à d'août et. de septembre, les ai niées russes, i li- certaines d'être écrasées, foncèrent dams la ru'il Prusse orientale j>ou i oontra-indi-' l'éta.l-ma< -on- jor allemand de distraire de franco des om- troupes qui, si elles eussent continué à s« vie. battis con'.ro iious. auraient permis à x'o» KhicK de prendre Paris ! Une salve d'applaudissemenls accueille Ll qui fin du di&cours de Sembat.

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This item is a publication of the title Le XXe siècle: journal d'union et d'action catholique belonging to the category Katholieke pers, published in Bruxelles from 1895 to 1940.

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