Le XXe siècle: journal d'union et d'action catholique

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25 November 1916
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s.n. 1916, 25 November. Le XXe siècle: journal d'union et d'action catholique. Seen on 05 July 2024, on https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/en/pid/3n20c4tj1v/
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Ï JR YY Sîèclé du 25 Nrtvemhre I0T6 CMS Z.£S S4Z./0WS Les flliiés rempoifent le Douieaiii succès ai osm ne moQEStir La manœuvre de Macédoine < la manœuvre de Valaohie COMMUNIQUE DE L'ARMEE D'ORIEr Paris, U novembre, M h. Sur la rive droite de la Cerna, les S bes ont enlevé le village de Budimirca. 1 violentes contre-attaques lancées sur point par l'ennemi ont complètemt échoué. Au nord et à l'est de Monastir, la lu continue acharnée. LES TROUPES A LIEES ONT REALISE DES PROGRES , ONT INFLIGE 'D19, LOURDES PERT AUX GERMANO-BULGARES QUI TE TENT ENERGIQUEMÈNT DE S'OPPOS. A LEUR AVANCE. A l'ouest de Monastir, les Italiens po suivant leur marche en avant ont pou: jusqu'à Nizopole et ont fait des pris< niers, COMMUNIQUE SERBE 23 novembre Hier, violents combats sur tout le frc contre les nouvelles foi-ces allemandes. ( pendant, nom avons avancé par endro vers le nord, repoussant les contre-attaqi ennemies- La Serbie libérée mesure actueUemi 4.200 kilomètres carrés. Los Allemands ont été battus et bi battus, avec leurs alliés Bulgares, aut.c d .Monastir. Mais, comme ils savent fa la guerre, ils ont rompu le combat av£ qu'il ne fût trop tard, c'est-à-d avant que leur ligne de retraite sur F lep ne fût coupée; c'est ce qui leur a év un désastre et c'est ce qui leur peni maintenant de faire déjà front à quelqi rilomètres au nord de Monastir, les c£e liles embusquées dans les montagnes, :entre dans la plaine, dans une positi Analogue à celle qu'ils occupaient.au s le Monastir. Les Alliés pourront, de leur côté, rem vêler la belle manœuvre qui leur a vi le gain de la bataille de Monastir. Ce manœuvre, on le sait, consistait dans u progression par échelons, la dr ute avant, la gauche servant de pivot, guerre étant là-bas une guerre de mou ment, puisqu'il n'y existe pas de front ci tinu comme en Flandre et en France, la manœuvre, ayant réussi, l'enna.Tii a évacuer en hâte Monastir à péril, sir d'y être enveloppé. Si, dans la région Monastir-Prilep, anœuvre tactique des Alliés a été hier sera encore, sans doute, demain un, pivc lient sur la gauche, par contre Vensc oie de la manœuvre stratégique de l'arn l'Orient est un pivotement sur la drc 'Strouma). Pour reconquérir la oernle envahir la Bulgarie, la route la plus co te, — militairement parlant, — est marqi par les étapes suivantes : la ville de 1-ep, la traversée du Vardar (Vélès), cours de la Bregalnica et les chaussée::? la Bulgarie. C'est un demi-cercle à gra rayon, mais c'est la meilleure route d' vasion depuis que, par l'occupa".:.oi> i forts Rupel et du défilé de Demi-Hiss l'autre route d'invasion — celle de l'est parait solidement çadenassée. Pour rompre la nouvelle ligne de •fense de l'ennemi au nord de Monastir pour exécuter la grande offensive de les étapes seront celles de l'offensive g co-serbe de 1913, il faut an général S rail beaucoup d'hommes et de canons ti pour accomplir la manœuvre stratégie elle-même' que pour la soutenir par -vives actions au centre (région de I ran) et à la droite (cours de la. Strouir afin cl:e soit facilité le pivotement l'aile marchante (région de Monastir). Un prochain avenir nous dira si cc vaste entreprise a quelque chance de ré sir et d'aboutir au cours même de hiver. r »} * * i Si la manœuvre de l'armée alliée Salonique est déjà d'un dessin accent la manœuvre de l'armée austro-allem; de de Roumanie que commande le géné von Folkenkayn se marque aussi en tre précis. Ayant fait franchir à son aile tire la chaîne des Alpee de Transylvanie et < te aile — qui est l'aile marchante — p pressant dans la plaine de Yalachie où < a dépassé Craïova, von Falkenkayn a vident dessein de traverser de part part la plaine valaque et de porter 1' trémité de son aile marchante jusqu Danube. Dès ce moment, appuyé au nord : montagnes, au sud au Danube, align: eon front par une transversale nord-s von Falkenhayn pourra avancer face l'est dans des conditions exceptionne -de sécurité et manœuvrer ensuite sur front de quelque 200 kilomètres. C'i p'oint pour point, la manœuvre classie ■d'une armée française franchissant les pes, pénétrant en Italie et marchant v la Lombardie, 1^ gauche aux montagr la droite à la mer. C'est aussi la mant vre du général Cadorna attaquai! t chaussées de Laybach et de Tri este, en gardant sur les Alpes et sur le rivage la mer Adriatique, avec cette différer toutefois au profit de von Falkenlu qu'il est maître en Transylvanie, tan que Cadorna ne l'est point dans le Tï tin. Si la situation est sombre en Valacl elle n'est pas cependant désespérée, cette province est compartimentée, l'ouest de Bucarest, par le cours de s affluents ©t sous-affluents du Danube coulent des monts transylvains d'un co régulier jusqu'au fleuve. Chacune de lignes d'eau permettra aux Roumains d frir à l'ennemi une résistance plus moins prolongée. On peut donc enc présumer que les renforts russes arriver à la rescousse en Valachie avant que ■earest, qui est à 150 kilomètres à vol d *eau de Craïova ne soit atteint. A c •défense directe du camp rétranché de carest peut s'ajouter le bénéfice d'une îense indirecte si les forces russo-roun nés massées en Moldavie, sont de taill entreprendre contre l'aile gauche, de Falkenhayn — contre son aile-pivot — ■ action vigoureuse qui, par contre-coup, rêtera la marche de son aile droite, — aile marchante* Paul CROKAERT. ECHOS Sympathies française Le Comité de l'Ecole d'Anthropologie d 1 Paris, dans le but de « resserrer encor l'entente scientifique et les liens entre l Belgique et la France », a, dans sa séanc du 9 novembre, décerné le titre de membr correspondant à : MM. Dollo L., conservateur au musé dThistoire naturelle de Bruxelles ; Frai pont fils et de Puydt M., de l'Université d Liège ; le docteur Leboucq H., professeu d'anatomie à l'Université de Gand. Les quelques traîtres falot qui rédigent en Belgique une demi-dou /.aine de feuilles K K, s'attachent à mérite If leurs deniers. Tandis qu'on chercherait vainemen dans leurs colonnes un mot qui laisse soup oTm çonner les scènes de désolation dont notr ■es pays est le théâtre depuis plusieurs se 'ce \ maines de razzias, voici ce qu'on trouv ,nt dans le « Bruxellois » du 14 novembre, sou le titre : « Le fiasco de Salonique » : lté Une série de discussions ayant trait : L- l'entreprise de Salonique ont eu lieu au mi ST nistère <îe la Guerre français. Le gouverne ES ment de la République aurait présenté un> ■ .y. motion tendant à la susipension de l'expédi r n tion de Salonique, attendu que Sarrail s trouvait dans l'impossibilité de mener : bonne fin le plan conçu au début. irisé ■ Le 19, les troupes françaises victorieuse m- défilaient à Monastir, aux acclamationn de la population ! La paix boch Dans le même numéro de la même feuil le, un prétendu savant, dont on connais 'nt sait mieux dès avant la guerre la loufc le- querie que la science, prêche aux Belge its la nécessité de la croisade humanitaire e: ies faveur de la paix. On va voir un échantillon des bêlement 'nt qu'il oppose visiblement, — le pauvre ! -aux enseignements du cardinal Mercier Que tous les véritables Disciples du Chris portant sur leur cœur l'Evangile d'e la Paix ori aillent de nom eau l'annoncer à toutes le ?" i nations, car elles sont redevenues plu „ païennes que les peuples antiques ; leu 1 i front est marqué du signe ae la uroix, elle :nt chantent la Paix et rêvent la haine. Quan 're à nous notre devoir est formel, travailler d ri- tout notre pouvoir à semer et faire germe ité les idées de paix dans le monde, la man iet appuyée sur l'Evangile et les yeux fixes su ,po la Croix. Qu'importent devant une telle caus MV les murmures, les railleries, le Christ a dit « Je vous apporte la Paix, la I umière n doit pas rester cachée ! ! ! » Allons donc 0T\ c'est l'ordre du Maître, il vaut mieux obéi uci à Dieu qu'aux hommes. , C'est l'ordre du maître ? On sait quel es le maître du « Bruxellois »... tte ,ni ne . , , , en La solidarité belg L'esprit d'union qui n'a cessé de régne parmi les Belges depuis le 2 août 1914 cor )n: tinue à s'affirmer en toutes occasions ,e. C'est ainsi que le journal « La Belgique > ^ qui paraît à Genève, écrit très justement Nous autres, Belges de Belgique, tous nou •a sommes solidaires entre nous, et sans restrie et tion, de tout ce qui concerne notre Patri te- commune. ... , , ... m- Nous sommes solidaires dans la victoir ,,ip comme nous le fûmes aux jours sombres d •T? la défaite. La solidarité est absolue enti ? Wallons et Flamands, entre libéraux et ce et tholiques, entre catholiques et socialistes. Jr" Tous nous sommes solidaires de nos so iée dats et il y a solidarité complète entre ne 'ri- soldats et nos frères demeures en Belgique le qui gémissent sous le joug étranger. Tous les Belges, en leur cœur se sentent se T,.j lidaires des souffrances endurées par chaqu Belge, et la victoire de nos soldats sera 1 in" victoire de la Belgique entière. les ar> Cette noble solidarité, affirmée et prat ~~ quée, fait la force de notre nation, et ai cune épreuve ne prévaudra cintre elli ié- c'est aussi cette solidarité qui nous pe met de répudier les fautes et les défaillar >nt ces purement individuelles et tout acte c ré- traîtrise commis envers la patrie, ar- ... int fue M. Wilson et les femm< de , . loi- M. Wilson a-t-il eu les femmes pour lui a) Si nous devons jamais être fixés sur cet il de téressant point d'histoire, ce ne sera pa avant quelque temps. Mais, déjà, lors de s Me première élection, en 1912, M. Wilson ava (ls_ eu, pour conquérir les suffrages féminin cet une idée qui n'était pas, assurément, m: de ces idées de femme à cheveux court que lui reproche tant M. Roosevelt. On se souvient peut-être que l'éjectio de 1912 se fit uniquement sur les tari: . douaniers, dont le parti démocratique r ue> clamait l'abaissement. Voici donc e in" qu'imagina M. Wilson pour intéresser à 1 question les électrices et par ricochet i( -lts électeurs mariés. Un beau jour, les murs de toutes 1< lite grandes villes de l'Union se trouvèrer :et" constellés d'immenses gravures de mode ro- représentant un élégant chapeau de fen i"e me, genre grand magasin, au-dessous di 1 ®" quel on pouvait lire : en ex- Ce chapeau coûte 6 dollars à Paris : 'au New-York il coûte 2i dollars. La différen est causée uniquement par le tarif dou lux nier. Votez pour Wilson qui veut que mt chapeau coûte moins cher ! ud, à ,01 ■*es Petites industries du froi ce îst, Soumis à l'imitation de nos jasses lii jue vention de poilu que révèle cette « cire1 Al- laire » originale : , T ers Le chasseur de lr0 classe André J..., t ,es «bataillon (brigade ), secteur post n° ., se charge, à ses moments perdus c i culotter les pipes qu'on veut bien lui confie travail sérieux, et soigné. Duree de la pensic se de la pipe : cinq à six semaines. Prix : su -e vant la générosité du client. ice, Au cas de décès, les .pipes seront renau Lvn intégralement ainsi que les honoraires. Hiq Les honoraires servent au bataillon (acli. de cigares de luxe, de morceaux de musiqu e .etc., etc...). lie, . — car à 1 ept GRANDE TAVERNE 1ui 14. 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Alors aussi, le pay: ^ saiginaiit par mille blessures, et pourtan " c'était le siècile; des Breughel, des Qùenui s Metsys, des Floris. Les jeunes artistes qu. exposent ici restent d'îgnes de leur illusirt ^ lignée... ... « Il y a, en effet, quelque chose de trou blant dans cet art des prisonniers, devan 3 lequel toute critique doit se taire avec res poet. Il y a, par exemple, une toile di e Maurice LangasKeeis, le Bruxellois qui, avan i la guerre déjà, s'était fait un nom dans li peinture, mais était connu surtout commi peintre décorateur. 1)1 a trouvé des modale: s bienveillants parmi ses oamaradeis et il ; s su" tirer parti des types les plus divers. 1 les a peints sur des formats incroyables, de: petits bouts de toile. Il y a aussi deux gxan des toiles dont une mérite une mention spe e ciale ; elle est intitulée « Rust 'in Vrede > (repose en paix) et représente l'enterrenw>i d'un soldat belge, mort d'émotion le jour a< la fête patronale du Roi Albert. Six soldats ,- vus de derrière, les pantalons retroussés, le: s pieds dans des sabots, nu.tête, portent li ^ cercueil du .disparu, couvert d'un simpli drap noir orné d'une croix blanche. Ils mar chent vers un cimetiàre rempli de petite 3 cro'ix noires. On peut parfaitement ne pa; être <l'accord sur la technioue de cette torl< '• — la critique n'a rien à fajre ici — l'émo t tion qui s'e>n dégage est très grande. Il y i encore des paysages de l'anversois Brnes ^ Midy, un portrait Se Paul Grislain, des pas ' tels de Tissen et de Paul van Ostaye. ' cc De ce dernier aussi, des sculptures don une,, représente un soldat'assis ; une statm J . remplie de -défauts techniques, mais frap J pante de vérité et de vie représente un uni " versitaire qui se morfond, « parce qu'il doi ^ perdre son temps », a dit Paul de Mont. ; « Il y a encore des projets ; un projet d« \ monument à la mémoire des soldats belge; ". morts en Allemagne, de De Bondt. De pJus ^ on y trouve des petits objets, des encadre ments pour glaces à main, des travaux er ' cuir, de petits ouvrages en bois qu'i témoi r gnent de beaucoup de talent. « Le tout est à vendre, et de plus on or t ganise urne tombola dont le produit seira ver sé au bénéfice des prisonniers de guérre. « Après la clôture, l'exposition sera trans férée à Bruxelles. » e .. La transformation de l'Hippodrome Les transformations apportées au théâtri • de l'Hippodrome seront terminées vers i; mi-décembre. Comme, avant la guerre, oi : avait traité avec un directeur hollandais M. Sprée, pour la location de la salle, li s Conseil d'administration vient de demande: à ce dernier s'il comptait prendre possessioi e du théâtre. Le refus de M. - Sprée étant cer tain, vu les circonstances, la salle sera misi e en location. e La Saint-Albert »■— >Ot ' ■■ I- l LA CELEBRATION DE LA FETE ^ DANS LES DEPARTEMENTS FRANÇAIS i- Nous avons dit comment la Saint-Albei t. a été fêtée à Lyon au cours d'une messe ce lébrée à la crypte de Saint-Pierre, pendan laquelle le R. P. Philippe prononça ui beau discours, et d'une brillante assemblé l" oU M. Mulatier, consul de Belgique, le liev; ® tenant-colonel .Paulis et le colonel Maxir prirent la parole. Le dimanche 19 a eu lieu, en outre, dan l'église primatiale un salut solennel qu .c présidait Mgr Bourchany, vicaire capitv, laire. Les plus éminentes personnalités d ? la ville y assistaient ayant à leur tête 1 i- monde cifficiel et les consuls de Belgique c 5 des nations alliées. a Le B P. Barret, dont nos compatriotes s it rappelKnt, les nombreux sermons prononcé en Belgique, fit l'éloge de notre Patrie et d 3' nos souverains en des ternies qui produ: sirent la plus vive impression. 3> Le chant du « Te Deum » clôtura cette c< rémonie, à l'issue de laquelle un télégramm n de respectueux attachement fut adressé 's Leurs Majestés. -- » :e * $ 3 :s Disons encore un mot de la célébi-atio de la Saint-A'lbeirt dans les principales ville !S françaises où se trouvent n'importantes c( 't lonies belges. , .... A Nantes, apfrès le « Te Deum » traditior , nel auquel assistaient, les autorités franw belges urne fête réunit nos compatriotes 1_ la salle Udbert. Le maire de la viiie, .M. Be lamy, M. Van den Brugge, et le consul d Belgique 'M. TXibé, prononcèrent ies all( n cutions très applaudies. Un concert artist que termina la journée. i- A Pau, la cérémonie Teligieuse prit un c£ :e ractère tout particulier à raison du gran nombre d'officiers et de soldats belges qi résident dans cette ville ; on remarquait a premier rang de l'assistance, au milieu de autorités, le lieutenant-général Jacquet, it A Tours, Mgr Nègre, archevêque, presid la cérémonie religieuse, au cours de laqueiï i- je r. p. Merme prononça le sermon de cii i- constance. \ Blois, une messe a été dite a 1 mtentio u du Roi. Mgr Mélisson présidait. Toutes le il autorités v étaient représentées, le A Saint-Etienne, le « Te Deum » a él r; chanté à la grande église : parmi les not; m bilités, le maire, M. J. Neyret. Le soir, un i- soirée de gala a eu lieu au théâtre Massene ;s CHEZ NOS SOLDATS A SAINT-LUNAIRE it e- A l'hôpital complémentaire établi par 1 service sanitaire belge à .Saint-Lunaire, ne soldats assistèrent avec plaisir à l'interpr ~ tation d'une vevue franco-belge composée leur intention par César Romain, pseud T nvme derrière lequel se dissimule un dt dévoués médecins de l'établissement. Cett ï revue avait déjà été interprétée devant 1< ^ militaires de Saint-Lunaire., de Dinard et c Saint-Malo ; la nouvelle exécution consacr un succès mérité. La symphonie de Dinard. qui prêtait so concours à la fête, recueillit une bonne pai des applaudissements. Le matin de ce jour, tous les soldats be ces de la place avaient tenu à assister a « Te Deum » célébré à l'église paroissia: après la grand'messe. L'aumônier belge prononça une allocution très émouvante, e - français et en flamand. Ajoutons que la fête a rapporté un milli< A de francs qu profit du Foyer du sold: belge. à — On mande de Constant.inople que percement du tunnel des monts Taurus si la ligne ferrée de Bagdad aurait été termli ,E le 15 novembre. A BRUXELLES Les arrivages de passons L'agglomération bruxelloise, qui compt ■ 800.000 habitants, a reçu en tout, pendant 1 ■ mois de septembre, des poissons de rivière des huîtres, deux saumons et quelques plies i valant ensemble 8.739 francs C'est dérisoire l Depuis que l'exportation du poisson de 1 Hollande est arrêtée, dit un journal teutc ; nisé de Bruxelles, auquel nous emprunton ■ ces données, il fa'it triste dans le quartie du marché. A la Minque, toutes les échoppe sont vides. On voit encore par-ci par-là u: [ marchand de crafoes et de crevettes ou u marcliand d'anguilles. Le commerce, en g( ' néral, soufîre de cette situation ad ' la Minque. ! DANS UMBOURG Gpmment nos compatriotes d|îi Hasselt écoutent les concerts bociies t Le cc Kommandant de Hassélt, furieux d i ce que les habitants de la place du Marche y pour- la plupart négociants, avaient eiu l'in i pudence de fermer systématiquement bot i tique les jours de concert boene, avait d( s crété que .la récidive serait passible d'un t amende de mille marks. Il n'était pas su:j t portable que seuls quelques becs de gaz ét j ques restassent les auditeurs impassibles el ces échos cacophoniques ! Les Belges sont irréductibles, a dit von de > Go'ltz. Le bonhomme n'avait pas tort. U t dur à cuire ferma boutique malgré tout ■ l'amende fut infligée, portée, par suite d protestation, à deux mille marks, en pli ; de l'interdiction, formelle aux militaires d > faire achat chez lui. î Du coup pourquoi pas la déportation o la fusillade ' ; Les retranchements allemands A environ 12 kilomètres de Sittard (Lin bourg Hollandais), au sud de Geilenkirschi J ile long de la frontière hollandaise, les AilN 1 mands ont installé de l'artillerie et des m tra'illeuses. Une centaine de militaires y soi cantonnés. De même à Hilsberg. Scherpei c zeel et Wehr, villages hollandais limitrophe: ! des tranchées sont creusées le long de 1 frontière. - Les commentaires vont leur train. » NOUVELLES DE PARTOUT La campagne sucrière Nos fabriques de sucre ont commencé i la mi-novembre leur campagne annuelle. La fabrication sera de courte durée, le emblavements n'ayant pas eu l'important des années ordinaires^ les cultivateurs ayar préféré ensemencer du grain ou des denrée de première nécessité D'après les renseignements qui nous sor donnés de différents côtés, le rendement l'hectare ne sera pas considérable, les pre ducteurs n'ayant pu se procurer les engrai nécessaires. On est'me que la moyenne d rendement ne dépassera guère 22.000 kilc i grammes à l'hectare. i Quant à la richesse en sucre, elle varier i de 15 à 16 degrés, d'après les première , analyses faites dans les laboratoires d ; l'Etat. : Cette année les contrats ont été générale i ment faits sur la base de 55 francs le 14 degrés, par 1.000 kilos de betteraves ret ) dues à la sucrerie. Ce prix n'avait jamal été atteint jusqu'à ce jour. Le joaçj allemand ao grand-duché de. Luxembourg La misère. — Le travail forcé. — Les travau l militaires des Allemands t Quelques hailit&nts du Grand-Duché oi a réussi, — au prix de grandes difficulté B — en passant par le Luxembourg belge < . la province de Liège, à pénétrer en Ho 1 .lande. Interviewés par un rédacteur d « Telegraaf », ils lui ont fait les déclar: s tions résumées cd-après g.ui donnelit id< B de ce qui nous serait échu si nous avioi laissé passer l'armée alemande : e « Il règne beaucoup de misère dans e Luxembourg, qui partage les privations < t la Belgique, de* la France occupée et c l'Allemagne. La domination allemand© s e fait sentir très durement. Le Grand-Duel s a été! envahi aussi traîtreusement que „ Belgique. Dans les premiers temps, les A lemands semblaient être disposés à far preuve de quelque bonne volonté, mais a puis lors... e « Nous n'avons pas tardé à. nous ape iu cevoir que les occupants ne se contentaie pas d'user de nos cihemins de fer, — soi-d sant pour les protéger contre les Français, mais qu'ils avaient l'intention de consid rcr notre territoire comme faisant partie i tégrante de leur empire. Les employés c ' chemin, de fer sont forcés de travailler poi !b les Allemands et arrêtés en cas de refu ' Nous sommes soumis à ]a censure et noi devons garder nos impressions pour nou « Actuellement le Luxembourg est t pleine zone de guerre. Les usines dans a Sud, à Esch, Differdange, etc., fabrique l~ du matériel pour les munitions. Nous rec 8 vons souvent ta visite .d'avions alliés ; i jour, une escadrille de 43 appareils a hor bardé les usines dans les environs d'Esc Le 25 août, des bombes tombèrent sur l' capitale, Luxembourg, sur Esch et dans 1 4 environs « La misère oblige les civils h travaille " Il y a beaucoup de travail. Les Allemam s construisent de nouveaux chemins de fe entre autres celui de Vielsalm (Belgique) ^ Saint-Vith (Prusse). On jette un nouvee . pont, très large, au-dessus de la Salm. Dai •" le Nord de la France, on fait des tranchée mais tout en travaillant à ces défenses, < " espère ici. de tour cœur, que les Alliés e s auront raison, et, en général, on a bon e poir. « La ipopuilation est prisonnière dans L" Grand-Duché. Beaucoup de Luxembourgec € se sont enfuis par l'Allemagne et la Suis L et sont allés s'enrôler dans l'armee fra çaise. D'autres ont gagné la Hollande. Po-prévenir ces évasions et pour empêeh aussi la divulgation de certaines nouvelle on exerce une surveillante sévère à la fro e tière. On. arrête et on déporte, is <( Les machinistes des chemins de |f i- sont, payes -à raison d'un mark par heu à de trava.ffl, S'ils refusent de travailler, ils d- sont contraints par la force. Dans l'indu is trie, on paie 75 centimes de l'heure. Po e les travaux de voirie et les terrassemen is on paie 4 à 5 marks par jour, e » Qu'apportera l'hiver ? La circulatii a dans les campagnes commence à dever dangereuse. Les sangliers viennent iusqu'ai n aboreLs des villages. Bien que tous trava •t lent, la vie est miserable, par suite e manque d'un grand nombre de denré 1- alimentaires. » l c n * OLYMPIA * a" Rue Edouard-Larrue — Le Havre Programme cle la semaine LE MASQUE AUX DENTS BLANCHES MADAME SANS-PEUR le U* Matinées à j b. 1/2 les Jeudis, Vendredi at D'mancii ui SOIRÉES TCVS LES JCVRS à S HEURES Pour reconnaître les tombes de nos héro L'IDENTIFICATION DES SEPULTURES DE SOLDATS BELGES En vertu d'une décision du gouvernemei belge tendant à l'identification complète di tombes de soldats belges en sol français, capitaine-commandant du génie Vanot et lieutenant Dujardin, de la place de Calai - ont participé au nom de l'armée belge, ai: 3 tiavaux de la codmission internationale di , sépultures militaires. ., L'aire d'activité de ces offfeiers s'étend d'abord sur le département du Pas-de-Calai i Ils se préoccupèrent de suite de dénombn les sépultures militaires de cette zone : 8Î s tombes militaire, belges furent ainsi rece: r sées ; elles étaient réparties dans 17 con s munes. :i Les officiers belges se mirent en relatic :i avec les municipalités des différentes loca; tés et obtinrent, pour la plupart, la promes: e écrite qu'une concession perpétuelle et gr tuite serait accordée pour les militaires belgi inhumés. Pour chacune des tombes, ils procédèrent un relevé topograpthique du terrain, avec r pérage exact de la tombe. Le plan du cim tiére fut artistement dessiné à grande échel et l'emplacement de la tombe fut indiqué p: e un petit drapeau belge. En plus, en "carto î, che, sur le plan, fut tracée une carte géogr i- phique indiquant les moyens de commur ention entre les cimetières et la gare la pli rapprochée. e/ Le travail fut organisé de telle façon qu i- pour chaque famille, un exemplaire de i. plan peut être établi. Un modèle sera pr e chainement exposé au Musée de l'Armée. Le travail de la Commission des Sépultur !ir fut bientôt étendu à toute la France. Dai n l'état actuel de ses renseignements, il exis des tombes d:e yniUtaires belges dans 1-ê communes du tei ritoire français et le trave a de relevé topographique des cimetières av e repérage des tombes est terminé pour tout les localités du Pas-de-Calais et de la Somm u Toutes les indications ou'il a été possib de recueillir ont été réunies et ont permis < créer un système de fiches donnant immédi tement tous les renseignements désirable sur le.s inhumations en France. i- Enfin. la Commission a soumis au mini !, tre de la guerre la maquette d'une plaqi î- «/^mmémorative à placer sur chacune d u tombes. Cettf maquette a été approuvée et st it premier exemplaire sera sous peu envoyé i- Musée de l'Armée. s, Ajoutons, pour terminer, que l'organis a tion créée de toutes pièces par le capitain commandant Vanof et le lieutenant Dujardi sera bientôt étendue dans la mesure du pc «ible à la zone de l'armée. à lAl à i i 1 I Convalescence, Neurasthénie, Tuberculose. Lab. de l'Urodonal, 2, R. Valencîennea. Ports. - F0- Gf50 ■ i s ->-•-< t La réparation s des dommages de guerr I- »o. a POUR LES « FRANÇAIS DE BELGIQUE » s ET LES « BELGES DE FRANCE » e On nous prie d'insérer la commuinicatii suivante : s « L'Association des « Français de Bel| ~ que », qui poursuit la réparation des doi mages de la guerre, a reçu de mombreuti sollicitations des Beiges, établis en Fram m dans les départements envahis du Nord de l'Est, qui manifestaient le .désir de joi dre leur action à celle du Groupement d intérêts français. « Les Français de Belgique verront av plaisir se créer à côté de leur Assotiatii un « Groupement Belge des Sinistrés des i partements envahis » qui aidera ù. la pi paration de leur action commune. « Il est important, en effet, que lorsq seront étudiés et prépares les traités de r x tion à nation que prévoit l'article 3 de loi française de réparation, les réclamatio des étrangers alliés soient nettement dé it nies et que* soit envisagée clairement la r 3, cessité d'un traitement qui donne aux r< ;i sortissants belges et .français des dro 1. égaux à ceux des sinistrés nationaux, u « Les- Belges sinistrés de France peuve i- adresser sans tarder leur adhésion de pri :e cipe au président de l'Association des Fra ls cais de Belgique, 121, boulevard de Sébi topol, à Paris, qui les transmettra aux p: le moteurs du Groupement belge en forn le tion. » Une assemblée au R&vrc y ie D'autre part, l'Association des « Franç: la de Belgique » prie tous les Français, c I étaient établis en Belgique avant la guej ^ ou qui ont conservé des 'intérêts dans no g. pays, d'assister à la réunion amicale c .set tiendra le dimanahe 26 novembre 1916, trois heures, dans la salle des Gardes r- l'Hôtel de Ville du Havre. II M. Georges Barbanson, délégué-correspe 1_ dant de l'Association des Français de B T gique (Siège social, ,1121, boulevard Sébas ê- pol, Paris) leur exposora le but 'poursu a~ par cet intéressant groupement qui est pla lu sous la présidence d'honneur de M. Pi u" Deschanel, président de la Chambre c s- députés de France. ls Pour tous renseignements, s'adresser s- M. Georges Barbanson, 24, rue Collard, ;n Havre. le Les Belges qui ont habité dams les dép tements français actuellement occupés I e- l'ennemi, sont priés d'assister officieusem* in à cette assemblée du Havre en attends [*" que le groupement « Les Belges eai France P- soit définitivement constitué à Paris. la 3S ; >—œ ® «»-< | BANQUE BELGE î pour l'étranger 15 Société Anonyme filiale de la Société Générale de Belgiq :n s- CAPITAL Frs. 30.000.000 l0 RÉSERVES Frs. 2.023.000 is , ?e Siège Social : BRUXELLES : Rue des Colonies, 66 AGENCES : s, Rotterdam, Shanghaï, Tientsin, Pékh n" le Caire, Alexandrie. sr A LONDRES : 2, Bishopsgate, E. C. re Agents et Correspondants dans tous les ps y du monde. s- -o- :ir a, .Comité local: MM. J. S. Haskell, A. F. Burte G. Grinnell-Milne, Sir Wm. Garstin, G. ^ M. G. Baron E. van Eetvelde, Emile Francq ]X Chevalier de Wouters d'Oplinter et Cheval li- E. Carton de Wiart. îu Ouverture de comptes chèques productifs d' es térêts. Encaissement de remises simples et docum _ taires. " Ouvertures de crédits simples et docum taires. Lettres de Crédits, Encaissements et négociât: de coupons, titres amortis, etc., etc. Service spécial de change et transferts tous pays. Renseignements financiers et commerciaux Pour toutes conditions s'adresser à la Dir tion J 3 BISHOPSGATE, E. C. A Graïova les Roumains s ont brûlé le blé et le pétrole S Berne, 24 novembre. — Des nouvelles de source bulgare annoncent que les troupes austro-allemandes ont trouvé les dépôts it de céréales de Craïova en flammes. Les :s Roumains avaient allumé l'incendie qua-[e tre jours avant l'arrivée de l'ennemi. Deux ' tiers des réserves de blé sont détruits, x l'autre tiers inutilisable. Quelques dépôts >s de pétrole également mis en feu ont pu être éteints. it Dans leur retraite, les troupes roumai-s- nés ont détruit toutes les machines agric» 'q les très nombreuses dans la région. î: < ~ f. Les Belges en France ;e 3s a DEMANDES ET OFFRES D'EMPLOIS f" Le Consul de Belgique à Rouen prévient l" ses compatriotes qu'il peut leur procurer ir sans délai les emplois suivants ; J- ' Alimentation : bouchers, charcutiers, pâ» a- tissiers. commis épicier, ouvriers brasseurs ; i- i Agriculture : ouvriers agricoles, charretiers, is : lrioureurs, bergers ; Bâtiment : directeur I briqueterie, briquetiers, couvreurs,zingueurs; e, Bois : bûcherons, charpentiers, sqieur-s affu. :e teurs. ouvriers façoniïeurs du bois ; Em-o- ployés : vétérinaire, dessinateurs industriels; Gens de maison : bonnes, cuisinières, fem-as mes de chambre, porteuse de pain ; Manœu. is vres : hommes de peine pour usines et chante tiers ; Métaux : frappeurs, forgerons, con. t2 ducteurs de machines, poseurs, chauffeurs ; iil | Transports : cochers, matelots; Divers : Van-3C i nier, emballeur. Les emplois ci-dessus pouvant être pour-■ vus très rapidement, le Consul de Belgique ii Rouen engage les compatriotes réfugiés en „ dehors de l'agglomération de Rouen à ne pas se déplacer avant d'avoir correspondu avec ' i lui et s'être assurés crue les postes sont tou-jours vacants. ie ! Le Consul de Belgique à Rouen serait, en 3s outre, reconnaissant aux patrons qui pour, m raient procurer à ses compatriotes les situa-ai tions suivantes : demoiselles de magasin, employées, stênos-dactylos, coupeur tailleur a- pharmaciens, 'liorticmlteur-éleveur. e- n, * • <»-< s- LE 1 LIVRE D'OR J DE L'ARMÉE BELGE LES CROIX DE GUERRE PAR ACTIONS D'ECLAT ® 2° DIVISION D'ARMEE (SuiteJ Ont reçu la croix de guerre : >n Cabra, A., général-major ; Van Keer, J.-B. j lieutenant de réserve ; Laforet, E., capitaine ri- en second ; Bourguignon, A., oïficîer auxi-n- liaire ; eLfort, M. caporal ; Gallant, A., sol. es. dat ; Driesen, E., sergent ; Decoker, B., sol-:<j, dat ; Dethier, V., caporal ; Penavaire, E., et soldat ; Dejonghe, F., soldat ; Mathieu, sol-n. dat ; Herinckx, G., soldat ; Bout, J., soldat ; es : Malève. L., capitaine^ commandant ; Mignon, P., caporal ; Sohy, H., sergent ; Peeters, G., ec caporal. >!i Ausay, J., aumônier; Decoune, C., bran ,e" cardier ; Spinette, V., soldat ; Cornelissen, e- G., lieutenant ; Lossignol, G., soldat ; Dugau-thier, M., soldat ; Lescy, H., soldat ;Brosius, ue j., lieutenant; Damseaux, A., lieutenant; ia- Maes, J. 1er sergént ; Van Herck, J., soldat' la Fannes, J., soldat ; Lambret, E., caporal »» Léonard, A., capitaine en second ; Vander-cammen, J.-B., soldat ; Vancoppenolle, A., 'é- so.dat ; ingcls. M. brigadier ; Van Mulder, îs- F., soldat ; Vanhoorick F., officier auxiliaire lts Culot, F., officier auxiliaire ; Peeters T., ma réchal des logis ; Lievens R., cavalier ; Don nt nay P., cavalier ; Lambot A., brigadier ; Germain F., bran UI cardier ; Laurent G., brancardier ; Bilkin J. q. brancardier ; Abel, A., brancardier ; Lekeuj ,a. J., lieutenant ; Renard C., soldat ; Jottard E., soldat ; Van Casteel R., adjudant ; Pirotte C. sergent-fourrier ; Quenne G., caporal ; Barbe E., caporal ; Delmaere C., colonel A. E. M. lis Sandras A., major; Rousseau E., capitaine ei rui second ; Massart A., capitaine commandant •re Brondeel L., lieutenant ; Gilliaux M., capi ,re taine commandant A. E. M. ; Lambert J. rui sous-lieutenant ; Cornelis L., soldat ; Sorge à loos O., soldat ; Moyaux F., soldat : Detrauj a J., sergent ; Driessen E., soldat ; Gillis A, soldat ; ir}' Grandjiean R., sous-lieutenant.; Rosseels G. ® adjudant ; Massart J., maréchal des logis }°: Saint-Maux G., adjudant ; Trevise A., ser LV1 gent ; Vaeernewyck C., sergent ; Taton F. •c® soldat.; Braeckevelt R., soldat ; Chenet D. j™ soldat ; Bally .1., soldat ; Dekeyser D., soldat les Gérard L., soldat; Lefèvre P., maréchal dei logis : Capiaux A., brigadier; Gheyskens H. â brigadier: Derom F., soldat; Jongen J.. offl cier auxiliaire; Waegemans A., soldat; Heint; G., sous-lieutenant ; Brulard A., adjudant lr" Braham J.. soldat; Schuermans G., soldat iaT Philippe P.. soldat ; Hody L., sergent ; La 'int croix A., sergent ; ^nt Vincent C., capitaine en second; Severil ' " M., sous-lieutenant; Vinck J., sergent : De bauche E., soldat; Bertrand! G., sergent; Hast — A., soldat; Duvivier E., sergent ; Ledoux M. caporal ; Fricot E., caporal; Paulissen P. caporal ; Tromont D., soldat ; Moxhet H. soldat ; Segers J., brancardier; Pieters F. i sergent ; Lequeux E., soldat; Leroy A„ sol dat: Koels H., soldat; Vanderstraeten E., ser gent-major; Thirion T., soldat; Chevrain J. sergent : Laruelle M., soldat; Sohier G., so! dat; Malaise E., sergent-major; Moreau L. ue officier auxiliairp- VandeT-wriPieri a., cao/3 ral : Harte L. officier auxiliaire; Mergny P soldat; Tuytens M., soldat; Lechat A., sel gent-fouriier ; Cattoir M., capitaine commandant. A. E. M. Walrand F,., officier auxiliaire; Leclère G.-J. caporal; Pierard .1., soldat; Baes L., bran cardier; Cassart V., soldat : Gallée E., bran cardier; Lambert A., capitaine commandai» Leguebe E., brigadier; Dubois A., caporal i Decock F., soldat; Neyts H., soldat; Buckeiw J.. soldat; Cortiens J., soldat : Nelis F., sol dat; Versrhueren E.. soldat; Bestrée A., sol dat: Charlier F., soldat; Van Rnmpelberg P. ,yg soldat : Weber R.. soldat ; Glison G., soldat Ippersiel R., soldat : Pyffervey R., soldat Delwaert F.. soTiînt: Hannevart V.. capitaine commandant ; Honorez A., capitaine com >n, mandant; Graveline A., médecin adjoint; 0. Fiévet F., sergent; Liétard M., sergent ui, Sohy H., sergent; Michiels C., soldat; Cna ;er pen .T.. soldat; SACte M., soldat : Barthelemi E.. soldat: Henrion P., sergent; Brauwers Al soldat: Decrop F... sous-lieutenant de réserva en- Beckerick .T.. officier auxiliaire; Rolin E. officier auxiliaire; Frogniez M., sergent" >n. Schoentjens R.. soldat; Mullet G., capitaini en second; De Prvcker D., soldat: Dantinni A., soldat; Etienne L.. soldat; Artiamac G. in- soldat; Devos F., soldat; (A suivre.) on rec

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This item is a publication of the title Le XXe siècle: journal d'union et d'action catholique belonging to the category Katholieke pers, published in Bruxelles from 1895 to 1940.

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