L'indépendance belge

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s.n. 1918, 26 March. L'indépendance belge. Seen on 05 July 2024, on https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/en/pid/qv3bz62g25/
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yae anoea MO 73 L'INDÉPENDANCE CONSERVATION PAR LE PROGRÈS BELGE ROYAUME-UN! : 1 PENNY LE NUMÉRO j CONTINENT . . 15 CENTIMES . HOLLANDE. ..... 5 CENTS DMINTSTEATION ET REDACTION: BUREAU A PARIS: 'ITDOlï HOUSE, TUDOR ST., E.C. 4. 11, PLACE DE LA BOURSE. TELEPHONE; CITY 3960 TEL.: 311-57 et 238-75 MARDI 26 MARS 1918 En vente à Londres à 3 h. le lundi 25 mars MOIS 9 SHILLINGS ABONNEMENTS 4 6 MOIS, 17 SHILLINGS Il AN, 32 SHILLINGS LA SITUATION « Lundi, midi. La lutte se poursuit homérique, du nord d'Arras à l'est de La Fère, sur un front qui s'éteird à présent sur 96 kilomètres. Les Allemands lancent en avant divisions sur divisions, sacrifiant les vies humaines par milliers. Samedi, la pression allemande sur l'extrémité nord du champ de bataille n'avait guère fait impression et les troupes britanniques de ce côté ont contenu les ma^fees d'hommes qui déferlaient avec rage contre leurs défenses. Sur l'extrémité sud, à l'ouest de Saint-Quentin, l'état-major de nos alliés avait jugé nécessaire de retirer ses unités sur les posi-îons, établies à cet effet, devant la ligne Bapaume-Péronne-Ham, soit sur une profondeur de 16 à 24 kilomètres. Le terrain couvert par cette retraite constitue la zone évacuée et dévastée par l'ennemi au printemps dernier, lors de la bataille de la Somme. Dans l'ensemble des opérations de la journée, les troupes britanniques ont montré une bravoure et une endurance merveilleuses, ayant refoulé dans certains secteurs de multiples assauts lancés par l'ennemi, sans souci des pertes subies. Dans un seul secteur, les Tommies, avec une admirable persévérance, ont,tenu en échec six attaques, dont, deux effectuées par de la cavalerie. Le communiqué de Berlin sur ces opérations est plus circonstancié que les précédents. Il nous apprend que le Kaiser a pris le commandement suprême des divisions combattant sur le front de l'offensive et que le groupe d'armées du Kron-prinz s'est déplacé pour renforcer les masses opposées à nos alliés. Suivant ce rapport, évidemment rédigé pour faire impression, les troupes du prinoe Rup-precht ont pris d'assaut les hauteurs au norcTet aù nord-est de GVoisilles, et après avoir pénétré dans la deuxième position britannique entre Fontainerlez-Croisilles et Mœuvres, elles ont capturé les villages de Vault-Vraucourt et de Merchies, où elles ont repoussé de puissantes contre-attaques. Entre Goiinelieu et l'Omignon, les deux premières positions britanniques auraient été pénétrées également,permettant à l'ennemi de capturer les hauteurs à l'ouest de Gouzeaucourt, Hendicourt et Villers-Faucon, ainsi que Roisel et Marquaix, dans la vallée de la Cologne. L'ennemi reconnaît que la lutte a été terrible, autour des hauteurs d'Epehy. Celles-ci ont étc encerclées à demi et les troupes britanniques ont été forcées a battre en retraite. Il en a été de même pour les hauteurs de Yermand, et nos allié? ont dû évacuer la boucle faite par leur ligne au sud-ouest de Cambrai. Les troupes du Kronprinz, après avoir capturé les premières positions britanniques entre l'Omignon et la Somme, traversèrent le bois d'Holnpn et les hauteurs de Savy et de Roupy, pour pénétrer ensuite dans la troisième position de nos alliés. Au sud de la Somme, des divisions ennemies ont rejeté les troupes de sir î>ouglais Haig au delà du canal de Cro-zat,^vers l'ouest et d'autres unités allemandes ont traversé l'Oise, à l'ouest "de La Fère, où elles ont occupé les hauteurs couronnées d'ouvrages militaires permanents au sud-ouest de cette ville. Cet exposé est de nature à frapper les esprits, et l'ennemi, pour le compléter, signale qu'il a pris jusqu'à présent 400 canons et 300 mitrailleuses, et que le nombre des prisonniers tombés entre ses mains depuis jeudi s'élève à 25.000. Evidemment, il garde le silence sur les pertes ■colossales dont ces succès incontestables ont été payés. Drwis la nuit de samedi à dimanche, aucune modification essentielle n'a été apportée aux positions occupées par les années aux prises, bien qu'il y ait eu de nouveaux combats en de nombreux points. A ce moment, les troupes britanniques tenaient la ligne de la Somme à Péronne. Sur leur droite les divisions cîe sir Douglas Haig sont en contact avec les Français. Dimanche matin, de nouvelles attaques se sont développées sur tout lç front de bataille et se sont poursuivies toute la journée avec une violence au moins égale à celle qui se manifesta dans les combats de la veille. Au sud de Péronne l'ennemi est parvenu, après une lutte désespérée, à traverser la Somme en certains points, et les engagements se poursuivent de ce côté. Au nord de Pérou ne les attaques ennemies sont conduites avec la plus grande violence contre la ligne de la' rivière Tortille. Les troupes britannique sur cette partie du champ de bataille se sont retirées sur de nouvelle positions tout en combattant. Péronne est tombée ainsi aux mains de 1 ennemi, mais plus au nord de cette ville les défenses britanniques tiennent. Au sud les troupes qui durent battre en retraite après la percée des défenses à l'ouest de Saint-Quentin, se sont établies sur une ligne allant de la Somme à ui} point près de Harri. Ce village ainsi que Chauny sur l'Oise au sud-est de La Fère ont été évacués. A eu croire les comlnuniqués allemands dont la rédaction est inspirée par le Kaiser lui-mêiiys, la bataille est déjà gagnée, et les troisième et quatrième armées britanniques, ainsi que des réserves franco-américaines qui avaient été amenées hâtivement derrière la Somme, ont,été repoussées avec les plus lourdes jjcrtes. Néanmoins, pour tant de succès remportés et pour tant de terrain ro-•'onqwis, Berlin -ne signale la capture que de 30,000 prisonniers, ainsi que de six cents canons depuis le début de l'offensive.Dans les combats qui se sont développe • sur l'immense front de l'avance allemande, les aviateurs britanniques ont pris une part brillante aux opérations, et dans les journées de vendredi et de ssmedi seulement ils ont mis 104 appareils ennemis hors combat, ne perdant eux-mêmes que 17 aéroplanes. Us ont do plus jetés des milliers de bombes sur les établissements militaires et les bai.-teries et les régiments ennemis en action. En dehors cle l'offensive allemande 1 événement le plus saillant de ces derniers jours est le bombardement de Paris par un canon dont la portée doit dépasser 100 kilomètres. Cette pièce, si elle se trouve réellement derrière le front allemand, constitue une arme nouvelle dont les Parisiens auront été les premiers à subir les effets. Sur le front français les Allemands ont lanjé des attaques au sud de Juvin-court et dan? la région de Bleberey, en Woevre Ces deux entreprises sont restées sans succès. 11 y a eu de duels d'artillerie assez vifs tu nord du Chemin des Dames, dau-la région de Reims, sur la rive droite de la Meuse, près de Bois-le-Prètre. aux environs de La Fontenelle (Vosges), et & l'Hartmannweilerkopf. En Italie l'activité combattive a' été peu importante, et en dehors d'action d'artillerie intermittantes et d'opérations de patrouilles il n'y a rien à signaler. Il résulte d'observations des aviateurs que des mouvements ennemis précurseurs d'une offensive, se développent dans le Trentin et tout semble indiquer ou'une entreprise importante de la part des Austro-Hongrois doit être attendue pou^ bientôt de ce côté. SUB LE FRONT OCCIDENTAL SUR LE FRONT BELGE Bombardement de l'arrière de nos lignes Le communiqué du G.Q.G belge publié samedi signale qu' "au cours des dernières quarante-huit heures la principale activité de l'artillerie ennemie s'est déployée contre l'arrière de la zone belge. Des canons à longue pçrtée ont bombardé La Panne, Adinkerke, Fumes et Loo, ainsi que nos cantonnements dans les ré-s gions de Nieuport, d'Alveringhem et de Pollinchove. EN PALESTIHE Succès britanniques Des détachements britanniques ont traversé Jourdain, vendredi, dernier, sur l'a rive opposée duquel ils ont établi une tête de pont Une avance a également commencé vers l'est de la voie ferrée d'Hedjaz; ici les .troupes du général Allenby ont rencontré une grande résistance de la part de l'ennemi. OPÉRATIONS NAVALES Bateau allemand saisi Un navire de guerre américain a saisi et amené dans un port du Pacifique le bateau "Agassiz," qui venait d'un port mexicain ayant à bord des Allemands, des drapeaux allemands,' des fusils et revolvers. Les autorités américaines font une enquête afin de savoir si ce bateau se disposait à attaquer des navires de commerce. Bien que de petites dimensions, il était de taille à couler tout navire marchand naviguant dans le Pacifique, OPERATIONS AÊMfcNNfcS Un succès belge Dans la soirée du 21 mars, un aéroplane de bombardement allemand, touché par le feu de l'artillerie lielge, a été forcé d'atterrir dans-nos lignes. Les deux officiers et le sous-officier qui composaient son équipage ont été faits prisonniers. Les docks de Bruges bombardés Dans la journée de vendredi, les aviateurs britanniques ont jeté deux tonnes et demie d'explosifs sur les docks de Bruges. Tous les appareils ayant participé à cette expédition sont rentrés. Grands raids en Allemagne Les pilotes du R.F.C. britannique ont fait trois nouvelles incursions importantes en Allemagne, où ils ont bombardé avec d'excellents résultats la ville de Konz, près de Trêves, un aérodrome près de Metz et la ville de Mannheim. Dans cette dernière ville, les aviateurs britanniques ont allumé plusieurs incendies, dont un pouvait être aperçu à plus de 64 kilomètres de distance. Il y eut un grand combat aérien au-dessus de Mannheim, au cours duquel l'escadrille a- été attaquée par 32 appareils ennemis. De ceux-ci deux ont été détruits et cinq autres ont été obliges d'atterrir en mauvais été. Malgré , la violente canonnade dont elles ont été l'objet, les escadrilles britanniques n'ont perdu que deux appareils.50 appareils allemands au tableau Du 11 au -20 mars, les pilotes françai;-ont abattu 26 aéroplanes allemands et 2 ballons captifs. De plus, ils ont mis hors combat 19 appareils ennemis. Le 22 mars, 5 aéroplanes allemands ont été détruits ou sérieusement endommagés. Dans la nuit du %2 au 23 mars, les aviateurs français ont jeté 16,000 kilogrammes d!explosifs d ; s la.jsone ennemie. LE BOMBARDEMENT DE PARIS Paris et ses faubourgs ont été bombardés, samedi et dimanche, par un canon à longue portée. Le bombardement a duré samedi de 8 heures du matin jusque, 2 heures de l'après-midi, et dimanche de 7 heures du matin jusque vers midi. Les obus se sont succédé les deux jours avec régularité de quart d'heure en quart d'heure. Le point des lignes ennemies le plus rapproché de Paris se trouve à 110 kilomètres. D'après le "Times," le canon en question aurait été repéré à 12 kilomètres derrière le front français. Au premier moment samedi, on'crut à un raid aérien et un communiqué fut même publié dans ce sens, mais après que les éclats des projectiles eurent été examinés, les autorités durent reconnaître qu'on se trouvait en présence des effets d'un nouveau canon, ou d'un nouvel explosif, ou d'un nouveau moyen de pro-. pulsion. Les fragments recueillis montrent que le canon employé est d'un calibre de 240 mm. La base de l'obus a une épaisseur d'environ 8 cm. Le nombre des victimes est relativement peu considérable. Pour samedi "le communiqué annonce 10 tués et 15 blessés.Samedi, dans la matinée, M. Clemenceau visita les districts atteints; il pénétra dans un abri où se trouvaient 600 écoliers qui entonnèrent la Marseillaise. Evidemment, la surprise aidant, a vie de Paris fut quelque peu désorganisée et on envisage les mesures à prendre. D'aucuns parlent d'évacuer les enfants et les vieillards, mais l'opinion publique ne semble pas être de cet avis. Naturellement, les hypothèses vont leur train quant à la nature exacte du nouveau projectile. M. Painlevé,, dont les connaissances scientifiques sont connues, et qui a été à la tête du ministère des inventions, dit que chez les deuK groupes de belligérents la guerre a amené des perfectionnements énormes dans l'artillerie à longue -portée. Si les projectiles tombés sur Paris sont bien de 240 mm. et ont été lancés du front ennemi, les Allemands ont plus que triple-la portée du canon de 240. Si tel est 1e cas, ils doivent avoir combiné deux méthodes de projection, l'impulsion première étant donnée par le coup de canon oi dinaire, une seconde impulsion étant obtenue par le moyen employé dans les fusées. Ou bien, ont-ils découvert un cajion sans recul et qui puisse, par conséquent, tirer d'un Zeppelin s'élevant à une forte altitude? Mais aucune de ces isisBSisgiiaiiiiiiHiiiia BIHlHIiBIHIIlDaiBllilIC m m m ■ s m ® m a h m m a_ a a ■ a i i i a a ■ NE TENTEZ PAS DE PENETRER DANS UN COMPARTIMENT BONDÉ Un temps precieux est sacrifie par des voyageurs voulant absolument prendre place dans un train bonde. Plus il y a de trains, et plus il y a de place. Plus les intervalles entre les trains sont réduits, plus il y a de trains. Plus court est l'arrêt a la gare et plus court est l'intervalle entre les trains "0° Electric Railway House, Broadway, Westminster, S-.W. 1 a W a "■ ¥~a "m à' a œ"m~a"a & é"h* ï~~a a a a à gsflisiaaBBaHiiHiiBiiags s a a n a a s_h_b a a b_b ■ ■ a ■ a_a m m a a - - -**' i ■■■ ■ ■■■■■■ «■m ■■■ ■ «Mil m hp 11 ■ in nui iiTrrn-|--r-nnn i rim n~i——i~rrnTm~r"Tri—f,i'r'~TirT %T *"Tn hypothèses ne permettrait d'obtenir facilement un tir exact. D'autre part, si les Allemands ont conservé la manière employée jusqu'ici dans l'artillerie, ils doivent avoir au moins doublé la vitesse du projectile à la sortie du canon .et l'avoir portée de 800 mètres par seconde a 15 à 1600 mètres par seconde. Mais ce résultat extraordinaire n'a été obtenu qu'avec des obus d'un pouvoir détonant très faible et dont les effets sont par con^-séquent restreints. M. Charles Nordmann, dans le "Matin,", dit que d'après un éclat ramassé par un de ses amis'', les projectiles sont rayés sur la plus grande partie dé leur longueur, ce qui d'une part réduit une grande partie de la résistance à la sortie du canon et d'autre part donne au projectile la plus grande précision nécessaire pour un tir à longue distance. Le gouvernement a décidé que la vie publique continuera comme d'ordinaire pendant lé's bombardements. Un avertissement, distinct de celui donné pour les raids aériens, sera néanmoins donné, 3t les abris seront accessibles au public. L'EMPLOI DES NAVIRES HOLLANDAIS Bien que dans certains milieux l'opinion au sujet de l'emploi des bateaux hollandais soit très surexcitée, et bien que quelques journaux, et notamment le " Nieuwe Rotterdamsche Courant," preûnent une attitude belliqueuse, dans les cercles les plus intéressés, c'est-à-dire les milieux maritimes, le sentiment semble pdutôt plus calme. Vendredi, a la Bourse de Rotterdam, qui est généralement un très bon baromètre, l'effet des conditions généreuses des Alliés s'était fait immédiatement sentir. Le marché s'est ouvert très ferme et les titres des compagnies de navigation. qui! étaient tombés dans certains cas de 40 p.c. pendant la crise, sont remontés de 5 à 20 p.c.; la clôture s'est faite au plus haut cours du jour, montrant que les armateurs ont peu de raison de regretter la décision des Alliés.. Un des faits essentiels de la situation est, évidemment, l'anxiété du publie en ce qui concerne les mesures que pourrait prendre l'Allemagne, et le ton de la "Kôlnische Zeitung" et d'autres journaux généralement inspirés, continue à être très véhément, ayant pour but, sans doute, de préparer l'opinion à des demandes extravagantes allemandes dans le nouvel accord économique avec la Hollande. AUTOUR de la GUERRE belgique. — Des évadés de Belgique occupée arrivés en Hollande signalent qu'à Eer-neghem on a enterré, il y a un mois, 1C ccrps de jeunes gens bèlges rapportés dt front. Ces jeunes gens avaient été forcé'- de travailler, sôus la mitraille pai l'ennemi. Un père a offert une forte somme d'argent pour racheter son fils i peine âgé de 14 ans bulgarie La Bulgarie a envoyé à Berlin et i Vienne une note protestant contre lf projet d'alliance des Puissances Cen traies avee la Roumanie. grande-bretagne — Les ouvriers de chemins de fer de-mandent une nouvelle augmentation de salaires; la dernière augmentation remonte à novembre dernier. —• Malgré les résultats du référendum les leaders des mineurs ont donné le conseil aux hommes de ne pas faire d'opposition au recrutement, en présence des événements. — D'autre part, l'Amalgamated Society of Engineers a décidé de commencer la grève le 6 avril, parce que le gouvernement a décidé de continuer le recrutement parmi les membres de l'Association. Ce n'est pas le comité exécutii do l'Association qui a décidé la chose, mais un groupe d'extrémistes. japon .— Suivant le correspondant du "Times"- à Tokio, il est de toute évidence que le Japon se prépare à entrer en Sibérie. Cette mesure sera précédée d'une déclaration aux autorités russes, sur le; motifs et les buts précis de l'interventioi japonaise. roumanie ' — Un communiqué allemand dit qu'à cause du délai produit dans les négocia tions par la formation du nouveau cabinet roumain, l'armistice a été prolongé de trois jours. v russie — Le patriarche de l'Eglise russe. Tikhon, a adressé un message à la population orthodoxe déclarant que l'Eglise russe ne peut regarder comme valable u;: traité de paix qui démembre le pays et le place sous la domination d'une puissance étrangère conquérante. DERNIERE HEURE LES ALLEMANDS REFOULES SUR LA SOMME La bataille continue avec une grande violence sur tout le front. De puissantes attaques ont été livrées par l'ennemi hier après-midi et dans la soirée au nord dè Bapaume; elles ont été repoussées. A un seul point l'infanterie allemande est parvenue à atteindre nos tranchées, d'où elle a été rejetée. Partout ailleurs les attaques ennemies ont été arrêtées par le feu de nos fantassins, de nos mitrailleurs et de notre artillerie devant le front de nos positions, et l'ennemi a été refoulé avec des pertes énormes. 'Pendant la nuit et ce matin de nouvelles attaques ennemies se sont encore développées dans ces parages ainsi qu'au sud de Bapaume. Au sijd de Peronne des détachements allemands qui avaient traversé la Somme entre Licourt et Brie, ont été refoulés de l'autre côté cfu fleuve par nos contre-attaques.

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This item is a publication of the title L'indépendance belge belonging to the category Liberale pers, published in Bruxelles from 1843 to 1940.

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