L'officiel artistique et théâtral

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s.n. 1914, 31 March. L'officiel artistique et théâtral. Seen on 30 April 2024, on https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/en/pid/gh9b56f64z/
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'■ \ DEUXIEME ANNEE. — Nos. 39-40 MARDI, 31 mars-7 avril 1914. 10 CENTIMES L'OFFICIEL ARTISTIQUE ET THEATRAL PRIX DE L'ABONNEMENT Un AN : Belgique Frs 5.— 11 sera rendu compte de tous ou\rages dont DEUX exemplaires seront envoyés à la Rédaction. REDACTEUR EN CHEF Arthur de 6ERS Bureaux: RUE ROUGE, 44, Anvers PARAIT LE MARDI Les articles signés engagent la responsabilité de leurs auteurs Les manuscrits ne sont pas rendus. Théâtre Royal PAILLASSE La reprise de l'œuvre de Léoneavallo vient en fin de saison, mais fut néanmoins attendue avec quelque curiosité; ces deux petits actes sont fort goûtés par notre public: la musique n'a pas une grande valeur, mais le sujet est rapide et empoignant. La foule n'en désire pas davantage. L'œuvre de Léoneavallo bénéficie cette année d'une interprétation fort convenable, surtout que dans la distribution deux artistes n'avaient jamais joué « Paillasse ». ATM. Mario et Simard ont pourtant fait leur possible; M. Simard également dut bisser son prologue; pourtant dans le rôle du bossu Tonio, il est beaucoup trop beau garçon; çà manque de vérité scé-nique; à la prochaine, je suis persuadé que notre baryton de grand opéra veillera à l'exacte incarnation de son personnage. M. Mario a vaillamment enlevé l'air final du premier acte; il bissa en italien, et souleva des applaudissements frénétiques. Décidément notre premier ténor léger n'a plus que des admirateurs dans la salle. J'ai surtout admiré Mlle Suzanne Cesbron : c'est peut-être la meilleure Nedda que j'ai vue au Théâtre Royal; son jeu est du plus haut intérêt, et vocalement il n'y a que de sincères éloges à lui adresser. Je ne voudrais pas terminer .-ans tirer hors pair notre sympathique baryton M. Jean Maréchal; il n'y a que lui pour interpréter avec cette perfection le beau rôle de Sylvio. Quel beau chanteur et quel délicieux comédien ! C'est incontestablement l'artiste de la troupe qui rend à son directeur les plus précieux services. Clôturons notre bilan d'éloges en mentionnant AI. L. Dubressy excellent chanteur en Beppe, et en félicitant M. Frigara qui conduisit la partition de Léoneavallo avec sa coutumière maîrise. Arthur de Gers. La Chauve»Souris Décidément, on n'a pas chômé au Théâtre Royal, surtout pendant ces derniers mois; ce soir passe encore une reprise très importante et notre troupe d'opérette vient de créer, peur être jouée une couple de fois seulement, la pimpante opérette de Johann Strauss : « la Chauve-Souris ». Disons de suite que cette œuvre, ce vaudeville-opérette, a été prestement enlevé, sans le moindre accroc, sans hésitations, ce qui est étonnant pour un ouvrage nouveau, monté sans trop de répétitions. S'il faut féliciter nos pensionnaires en bloc, il convient d'adresser des éloges spéciaux à notre éminent second chef d'or chestre, M. Julien Neufcour. auquel revient de plein droit une large part du succès. Dans « La Chauve-Souris», il y a un rôle capital, celui de Gaillardin : il est confié à M. Léon Dubressy. il en fit une de ses plus drôles et de ses plus cocasses incarnations ; cela vaut presque son Puycardas, ce qui n'est pas peu dire. Il a mené la pièce à une victoire certaine, par sa verve extraordinaire, et son comique du meilleur goût. Bref, il peut annoter la création de « La Chauve-Souris » en lettres d'or dans ses rnnales théâtrales. Puisque nous parlons de notre excellent ténor d'opérettes, qui vient donc de terminer parmi nous sa quatrième année consécutive, autre fait rare pour sou emploi, profitons-en pour relater le succès, les ovations et les fleurs dont il fut comblé samedi dernier, au cours de la représentation de « Miss Helyett qui se donnait d'ailleurs en son honneur. Le nombreux public lui a fait de chftleuieur adieux, et nous ne pouvons que nous y associer, en lui souhaitant les mêmes succès sur la nouvelle scène qu'il va affronter, celle de Lyon, bien plus importante que la nôtre. M. Léon Dubressy est un travailleur tenace, il a tout ce qu'il faut pour y réussir. Mais revenons à « la Chauve-Souris », où l'on ièlait également une artiste particulièrement aimée et choyée de son public, j'ai nommé la petite et non moins délicieuse Lucy Raymond. Jamais je n'ai manqué les occasions pour lui aligner tous les plus beaux qualificatifs de mon vocabulaire, et ils sont d'ailleurs mérités ; du reste, notre gentille divette nous reste : elle fera parmi nous une troisième campagne; 'est là le meilleur gage de la sympathie qu'elle sut conquérir à Anvers. Tous les autres rôles de l'opérette de Johann Strauss sont beaucoup moins importants, mais leurs interprètes respectifs les remplirent à la satisfaction générale.Mlle Suzel, un adorable Prince Orlofski ; M. Vi-roux, un Tourillon ,directeur de prison, vraiment amusant ; il. Charmat, un élégant et distingué Duparquet ; il. Maudier, un bouillant chef d'orchestre tzigane ; Mlle Lovez, une séduisante Ariette; M. Barron, i;ii geôlier d'une drôlerie peu commune. N'oublions pas MM. Lomaire, Plumer et Mlle De-busson, corrects dans des tout petits rôles. Bref, montée plus tôt, je suis persuadé que < la Chauve-Souris » aurait eu plus de deux représentations.Arthur de Gers. En donnant la semaine dernière, le tableau de troupe de la future campagne, nous avons involontairement omis M. Lemaire, en qualité de second trial. Voilà qui est réparé : M. Lemaire est un précieux pensionnaire, un excellent comique, quand il ne charge pas, et qui rend à une direction d'inappréciables services.* * * Une mention spéciale à notre maître de ballet, M. Leroy, et ses gentes ballerines, Mlles Priquet, G'itterer et Euler, qui ont réellement triomphé dans « Myosotis », le gracieux ballet de M. Flon : jamais on n;a vu un public faire un pareil succès à une œuvre chorégraphique. Il est vrai que la partitiounette de M. FI m a toutes les qualités requises pour forcer le succès, et que les étoiles de notre baHet y contribuent pour une part importante. A. de Gers. Le spectacle de clôture vient d'êtrj arrêté comme suit : 1. « Hérodiade » (4e tableau », adieux de Mlle Zens-- ka et de M. Legros ; 2. (La Prison), adieux de Aille Adler et M. Tros-sclli.3. «Paillasse» (Ir acte), adieux de MM. Mario et Simard. 4. « Le Barbier de Séville » (air de Figaro), adieux de M. Charmat. 5. «Mireille», 4e acte et air : Trahir Vincent, adieux de Aille Parys et M. Dubressy. 6. Ballet. 7. «La Traviata » (1er acte), adieux de Aille Cesbron.S. « Le Petit Duc », adieux de Aimes L. Raymond, suzel, Causse ; il. Barron (deuxième acte). * * * Mardi, 31 mars : «-Saplio ». Mercredi 1 avril: «Werther», avec Al. Lapellelerie et Mme Garchcry, de l'Opéra Comique; « Paillasse », (bénéfice des chœurs). Jeudi 2 avril : « Aladame Butterfly », « Alyosotis ». Vendredi 3 avril : « La Veuve Joyeuse » (moitié prix à toutes les places). Samedi 4 avril : « Don Quichotte » (adieux de M. Pol Virly). Dimanche 5 avril : « Sapho », « Aliss Helyett ». Lundi 6 avril : Clôture, spectacle coupé. Théâtre des Variétés. UN BEAU MARIAGE Jusqu'au titre qui est ironique. Monsieur Sacha Guitry est un drôle d'homme. — Il a une façon à lui de traiter les gens et les choses, par dessous la jambe. Il piétine les us et coutumes, les habitudes et les préjugés de ses contemporains avec une bonne humeur taquine et goguenarde tout à fait réjouissante. Des sujets? des situations amenées ou suivies? des complications à thèses?... foin de tout cela ! Monsieur Sacha Guitry est un enfant terrible. Monsieur Sacha Guitry est un enfant gâté. Il nous le fait bien voir: écrivain, auteur dramatique, acteur... c'est tout un pour lui ! ♦ ♦♦♦♦♦♦♦♦«♦❖«■♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦ ♦ ♦

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This item is a publication of the title L'officiel artistique et théâtral belonging to the category Culturele bladen, published in Anvers from 1912 to 1926.

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