INFORMATIONS' BELGES. U° 805., du 8 septembre 1918. l/lEiDATTiLE COii/iMEMORATI'VE HE LA BATAILLE TS3 T 'vqun A n > i ^ 4eme annirersaire de la bataiïîele ï'^er/™Mnteîi" très, sur la suggestion du Roi et d'aocord ayec sa Majesté a dloidé d^octo^e°i9i4Une medaille co™aorative des glorieuses journées qui ont pri^'part5^ la^bataillet ^ ^ #t ^ rie i Le des Sciences et des Arts a été chargé de s'occuner de la confection de l'insigne. p ( X X ) L ' UMI OU SACREE EU BELGI QUE ENVAHIE. - Ai dé par 1'aut ori té allemande, le pseudo "conseil des Elandres" traciue avec acharndment le français dans_ ses derniers retranchements! Comme, depuis les décrets germano-activiste s sur l'emploi des langues dans les établissements d'instruction officiels, les écoles libres voyaient augmenter le nombre de leurs élèves, le "Conseil de Elandre" voulut porter un coup mortel à 1'enseignement catholique libre et lui supprima les subsides. Il comptait, à Bruxelles, sans la ville elle-mêjoe : toute antie cléricale qu'elle soit, celle-ci en effet, qui, depuis l'occupation administre en bloc les fabriques d'églises, décida de soutenir, de ses caisses particulières, les écoles libres ainsi attaquées avec l'approbation du catholique chancelier allemand von Hertlingi ( X X ) LE MARTYRE DES "mi-iSS BELGE S „ - SYMPATHIE ESPAGNOLEParmi tant d'abominations, la "Kultur" a inscrit à son actif l'ignoble déportation des femmes de Belgique, sous le titre "En esclavage" Mme Henriette Celarie a décrit le martyre des malheureuses, arrachées à leur foyer, contraintes au travail, exposées aux brutalités de la soldatesque teutonne. Bans le Diario de Barcel'ona (28 août 1918) "Miriam" commentant ce livre douloureux, écrit: "Le voyage angoissant, le long voyage, de brutalités pour le corps et de souffrances pour l'âme..... l'arrivee aux endroits ou lesmalheureuœsdoivent vivre, confinées dans des grandes infectes, sans nourriture et où elles portent une etiquette spécifiant leur condition de femmes et de célibataires i'..... les visites..... quoi le respect me retient de donner des détails, de soldats et a oi fiôiers qui les font trembler et préférer la mort a pareille perse-TOtion ? les visites médicales, obligatoires qui empourprent les joues du rouge de la honte et font se detourner d norreur de tes l^érSirT ssrï&rjvss le supplice, est votre propre fille.... Q le Dieu d'éter- -s- s*.-'" de lui '. " .

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