Informations belges

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s.n. 1918, 28 Novembre. Informations belges. Accès à 28 mars 2024, à https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/fr/pid/154dn4317q/
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N° 873 28 Novembre 1918 Informations Belges Observation importante Les difficultés inhérentes à l'état de guerre rendent actuellement impraticable le contrôle régulier des nouvelles de presse concernant la Belgique occupée ; lorsqu'il s'agit de nouvelles indirectes, il est seulement possible, en certains cas, de s'assurer de l'exactitude de leur texte ou de leur substance, par un contrôle de leur source première de publicatioa. On aura donc égard aux classifications ci-après : (x) signifie : Information indirecte et qui, tout en présentant des caractères suffisants de vérité, n'a pu être contrôlée sur texte de presse ou sur document. (xx) signifie : Information indirecte qui a pu être contrôlée sur texte de presse ou sur document. (xxx) signifie : Information de source officieuse ou officielle belge. Les notes d'information directe et personnelle ne sont précédées d'aucun signe. Adresser les communications de service : 39, rue Jacques-Loner, L.E HAVKK (Seine-Inférieure) France. (xx) — Le parlement italien salue la rentrée du roi Albert dans sa capitale. — En ouvrant la séance de la Chambre des députés d'Italie, le vendredi 21 novembre 1918, le président de l'assemblée a prononcé, devant les membres debout, les paroles suivantes : « Aujourd'hui, le roi Albert entre dans sa capitale do Bruxelles et ouvre son Parlement. (Très vifs et unanimes applaudissements. Cris : Vive la. Belgique !) En ce jour solennel, le Parlement italien se doit d'envoyer un salut cordial et affectueux au Parlement beige. L'outrage fait à un peuble libre, à sa neutralité et à l'humanité est vengé. La réunion du Roi et du Parlement belge consacre ce triomphe auquel le Parlement italien associe aujourd'hui ses plus affectueux sentiments. » De longues acclamations ont souligné le salut do l'Italie à la Belgique. (xx). — La libération de l'Alsace-Lorraine. — Echange de télégrammes entre M. Paul Hymans et M. Pichon. — M. Hymans, ministre belge des Affaires étrangères, a fait parvenir à M. Pichon, ministre des Affaires étrangères de France, un télégramme ainsi conçu : « En ce jour, où les couleurs françaises se déploient à nouveau dans le ciel de Metz et de Strasbourg, la Belgique entière partage l'allégresse de tous les Français et des populations libérées après un demi-siècle de servitude et enfin réunies à la patrie commune. Notre pensée suit votre noble . armée dans sa marche triomphale à travers ces vieilles et fidèles provinces françaises. Au nom du gouvernement belge et de tous mes compatriotes, je prie Votre Excellence de vouloir bien transmettre au gouvernement de la République mes félicitations les plus chaleureuses. » M. Stéphen Pichon a répondu à M. Hymans dans les termes suivants : « Dans le môme moment où les couleurs françaises flottent de nouveau sur Metz et Strasbourg, la vaillante armée belge, commandée par son Roi, rentre dans sa capitale au milieu de la joie populaire. Je suis heureux d'associer ces deux grands événements en vous remerciant de votre si amical télégramme et en m'associant de tout cœur à votre bonheur et à celui de la noble Belgique. » (xx). — Un Te Deum. — La famille royale à Sainte-Gudule. — La foule acclame les Souverains et le cardinal Mercier. Le samedi 23 novembre 1918, le roi Albert, accompagné de la reine Elisabeth, du prince héritier, du comte de Flandre et de la princesse Marie-José, s'est rendu à la Collégiale de Sainte-Gudule au milieu des acclamations incessantes d'une foule enthousiaste. Le cardinal Mercier, entouré d'un nombreux clergé, attendait le Roi sur le parvis de l'église, qu'une foule énorme emplissait. Lorsque le Te Deum fut chanté, une fanfare éclata sous les voûtes de la collégiale et bientôt les accents de la Brabançonne, exécutée par une musique militaire, emplirent les vastes nefs du temple. Aux dernières notes du chant national, la foule, impuissante à se contenir plus longtemps, se mit à chanter et une clameur formidable s'éleva sous les voûtes : « Le Roi, la Loi, la Liberté ! » redisaient avec ferveur des milliers do voix. C'est au milieu des chants, des acclamations, d'ovations sans cesse répétées que les Souverains, reconduits parle cardinal Mercier,quittèrent la collégiale. De nombreuses personnalités belges et étrangères, ministres, ministres d'Etat, parlementaires, hauts dignitaires des cours et tribunaux, représentants des nations alliées auxquels le public fit un accueil enthousiaste, assistaient à l'émouvante cérémonie. Le Roi des Belges est reçu en audience solennelle par li Cour de Cassation de Belgique. — Un salut à la France. — Lundi matin, 23 novembre 1918, le roi Albert, acclamé au passage par une foule considérable, s'est rendu en automobile au Palais de Justice de Bruxelles, où il a été reçu en audience solennelle par la Cour de Cassation. A son entrée dans la salle des audiences plénières profanée par l'ennemi qui en avait fait un corps de garde et dont les marbres et le mobilier magnifique en ébène portant encore les traces de son passage, les magistrats et les invités firent au Souverain une émouvante ovation. Le Roi prit place sous le dais rouge dressé au centre de la salle, entouré par les magistrats de la Cour qui avaient revêtus leur robe rouge des grandes circonstances.Successivement, le premier président Van Iseghem le procureur général Terlinden et le bâtonnier de l'ordre des avocats à la Cour de Cassation, maître Hanssens,

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Cet article est une édition du titre Informations belges appartenant à la catégorie Oorlogspers, parue à Le Havre du 1916 au 1919.

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