Journal de Liège et de la province: feuille politique, commerciale et littéraire

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s.n. 1914, 02 Mars. Journal de Liège et de la province: feuille politique, commerciale et littéraire. Accès à 26 avril 2024, à https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/fr/pid/hq3rv0dz91/
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Lundi 2 Mars 191* Franco en Belgique Un an s ïS ■ " » S mois ; 8 » » 3 mois : 4 Franco en Hoiiande Un an s 22 i " Union postale » 32 ! On s'abonne au bureau du Journ et dans tous les bureaux de posi ADMINISTRATION Tri s'niiniir JOURNAL DE LIÉGE •taonces. . . fe ligae, 28 eesfe Réclames-. . , 0 „ » 40 cent Faits divers „ „ „ 0 » j }rane Réparations judiciaires s 3 franc? Informations financières » 3 francs Avis de sociétés 1* ,ic;;i, 30 sent- Emissions. „ 0 0 0 » 1 frane" - •— -s** U^li\nj FEUrtLE FOUÎM, UTTEMIRE ET ÛOMKiffiSU. - FOSOÊE EN 064 RÉDACTION F.T  ¥VîW11VTfi!r!P'0 A nris-rf-fc-wi _ * ËTRANGI La Semaine polifi — '■■C-O-Cr»' B&îkarcs Le roi et la reine d'Albanie dôl-a très prochainement à iDurazzo. Le diplomatiques continuent à croir s agit là d'un véritable suicide, quel les deux souverains sont e Par les deniarciies de l'Italie et tricne dont la rivalité est plus \ jamais. Déjà les représentants italiens € chiens sont désignés. Faute d'hal convenables pour loger les amDas et leurs secrétaires dans la future c n a lOillu faire! l'acquisition de : démontables. Des roulottes moder. 1 aient, peut-ôl/re mifouix: convenu, ♦?!. 1 s.a"eJn.dre à, voir la cour effeeti tara des déplacements forcés. hn effet, la tranquillité est loir compKte en Albanie. Les Malisscrc «renfc des vêUéitiéfe de Révolte.; <n hpiae, elle est en é'tat d'insurrectb ;^ ^nt séc-. Celle-ci dei cornp.ète, le jour où les troupes g auront complètement eVacué le ter Jffr ad Pacha, ses décla sérieux if^n f®, savaient «tro pri ecrioux u cet Jnen trop orientai cornante antérieure- vis-à-vis des et des Monténégrins fora du siège d tan a fait naître une dc-liance oui r pas apaisée do sitôt. 11 -X- La. note des puissances parait ê' «mentjeeeptie par la Grèce nCelles-ci sont dit-on entr< néoouations sur la question de C KsW.^, SO'UUon sera ""tar« eue est étroitement liée à ce 11^ «h Par l'Angleterre, l'Italie et la fi tiSns3^'dt";.'D0<iécanèse- Les com lions sont très nombreuses II s'i. lemplif tous les engagements pris il et d accorder 1 Italie et l'Angleterre • neure°o00nc-0$sions i«a«ennt* en As neuie. Oi, rien que sur ce dernier lie 5a de s'entendre attend les Arijlais demandent à Constant! rvt ™"cessi0ns nouvelles dont Fh-rnm-t ?v-" C0:,:.ifï'Uenee d'entraver com "S fT» iu!ïieny dans la r Sr?"■,De aouvollos discui.sir.ns ■ Sdêî--;wf'aJe?nondos «» résultrrën jeta tte.ont sérieusement l'éva'-ua'ion nitive du Dodécanèse. ^^aiion Lo rétablisse.-,îent de la paix iurco-tt mdcc» par s|to d* es ces de !a Turouio. La oonelrv-m d'ail leurs entravée que nàrdës'ques SVi:S5|TS obtenu p"r\^itoVlrifla <C^e < ctféTiuxe|^vou,oir cwfer des 1 Ceux-ci cependant narei'sen: wieTt^n ,probltmo <!cs èîiemins b «nentaux dans le sens de l'ieicri.i ' «» d après le ni- .jet présent ri y^dicat.français..Sënloment, la 'Scrb: réserve de construire des l'-net mm et concurrentes qui lui * f,™ .Grôcc tient ses engaeemen% e> rase de soutenir le mouvetrent tionnel épiroto. Elle a raison 4 ^i wis:» ?yeux <ic' & rthnivïJ 5! Eprlss sont annéa, 1 6dù"ï és t S"?"3' et "uV"es. A plus de cinquante miil<> alb-inaises ilemen* réSÎSter autt' tro^ Dar"tt?r^f"e Ath-ncs s'en tenir aux 1 pa!..ais au mariage du Diadco,!« avec princesse de Roumanie. Cc''e union , consacrer l'alliance nécessaire à K t S'.t" r'C;i dl:ux pays roumain et î Germains 1?S8m0nt des SIaves « certes, 1 .wnitié serbo-grcoTue resfr> t jours entière malgré lel tStativS au chiennes tendant à semer la divsion tre es alliés. N'a-t-on pas fait courir biuit en Grèce, de3 intentions de la «îe.-de pousser son influence jusqu'à l'E' et do vouloir occuper Salonique. Ces WOU.S sont injustes pour les Serbe-, i ôô'Xf/ 4 fairo et sont loin . : , 01 dc nouveaux adversaires I« n-m£?® '"''"'œuvres sont inhérentes la pp'ltl ..ce austro-hongroise dont le » est de séparer et d'affaiblir la fédérat'i bal.anajue afin d'avancer plus hardime Malheureusement pour Vienne lc« R<-mains ont adopté une attitude'trte fS Ja péninsule à |aintrai>- la ta Espagne et fVïaroc t(,^ca3 ^'opposition s'élèvent coni louie tentative u intervention armée da ia zone dévolue y, l'Espagne, ils ont U courir le bruit d'une prochaine expé( t " U,s procèdes sont de nature à pi Il m? ^Quiétude parmi les Kabyles q !rt/ (ïehl a sc rôudre compte de l'impt fiie ° , continuer la lutte et paraisse disposes a se soumettre rapidement. iiViGemment; la pacification ne se fe; pas en quelques jours, mais elle se le. pertainpfnent, depuis que les Espagnols o. aaupte J;i politique ue pénétration app. fjuee avec succès par le général Lyaut( iians ja icône française, 11 reste encore des iiabyles irréductible qui ne pourront être soumis qu'au pr. d une expédition militaire. Le gouvern ment espagnol ne l'ignore pas. Aussi, poi etro certain d'en finir définitivement, i jn^pose-t-il d'y aller méthodiquement, e yrAiiriisuiit une solide base d opérations, iouteiois, aussi longtemps que tout ; £aiyc.-.;i aura Pa? ^tè pacilié par la Frai ce et 1 Espagne, i:a tranquillité ne sera ps mTtJSv l' Ai',les l'occupftiiozï totale qui pe: "î^ttx a i exploitation assurée du pays, le difficultés ne seront plus à redouter, sai en ce qui concerne l'organisation de Tar ger et de son hinterlaïui, où Français e Espagnol» ne sont pas toujours d'accorc 11 est vrai que l'Angleterre y est pour que: que chose, et voudrait peut-être mettr tout je monde à la raison en prenant Tan ger. Nous verrons... S'ùèdc et Russie La propagande en faveur de la défens. nationale occupe l'attention des Suédois L aUa.Tieinaaoia .'des forces militaires e navales formera la partie principale di I 5ï°?ram"?e des candidats aux t S< chaînes élections. De leur côté, 1 -efAX faux et les socialistes tableront su """œ" îfo'i v,olalion de la Constitutioi fiHd1 1 0n P'^'^ud en Russie que la S IjUt lals^ '^Jlci' à suivre les conseils f,f» i. ,Al!clnasne. Il est peu vra JJie que les lîusses aient jamais eu tentions hostiles à l égard de la Su ont assez à faire avec les Finland roueront „„te lalfs?nt Pas russifier très faci ; cercles ?>?, vou encore s'annexer un p; e qu'il nu >>our son amour de l'indépendai dans ie- <;u,ÀL uî" , Rui5si<; considère q ntrainet 1. 6 d^ante de la Suède peut i le l'Au- F»m , co?so<]uences, car si l'influe - - Jemande oevenait prépondérante k *<*&<h ^ tout ai moins.lescon: t aniri J A,lemaS»e y étaient trop écouté t autrir Russes seraient sérieusement inmii -deu^ dc guerrc- Ils àèyrlTenf S Ïtftàï? acer -fPc?rtie de leurs forccs P<:u c.x;i(,aie, i iacc a l<i .Sucde menaçant Je-? rc'tt^t fes^au8 SiU|Uepet à-la Finlandc révoltée. . m" r. ia. ra,ssie prévoit qu'en cas d uai il flagraticii elle rencontrerait des difi Dlus ®,n ^ et en Finlande, pourqi ,1'àtr» imi Pas à gagner les symj d être finlandaises et polonaises au lieu s mon- éloigner par une bureaucratie uut lant à que et hostile ? .11 par- ien/lra France iitoire? P°umergue continue à rations R, ,i^ , -COI S19n dans la question ses au socinfis(esiSnta'i1S' sa," que los rad et sa f™r f.'f socialistes veulent Turcs maiôrtw 4 ? ri, eu,x ans et for,"c e Seu- à la Chambre des député s sera k?s é1et i„£«U'! ■?ster 'au Pouvoir et d !■,-=» doit par conséquent co) 5UX <!U1 le soutiennent. Aussi re dé- t L f,0nce?si™s «t ses décla r: ot la l'opposition a'mee sont"elles suspectée hïo et I Temps, partisan du maintien de ' car ?C tr.OIS. a,ls- fait valoir les conséqu /renée I miK,11111'' une diminution des f îrquie la riS f1,.mî?trant Q110 ia situatk P'tea- I. . ,'•« ^ extérieur est liée intime it de chiffre de ses forces militaires • >uchy „ ro if ,?"®ement dc la situation exté S "y cu a 1uun à prévoir : ie-Mi- dnniS nous continuons à environne w i \ doutes, de réserves, dc si et dr» ma point » nécessaire effort militaire de l'an p n^nie " i nn°U1 traîJera en conséquence, i nu- îî [!an. on "ous avons volé h plète >, nm-v-'X ans' l^l'emafiné est venue ; é-ion , mil Ir au Maroc et nous imposer . V.j, ' mil.,.jon sans précédent dont M " puceau parlait jadis à la tribune. défi i'inst3 cen 1?'8, 1!0US avons désorga . v uc '°,n dos ''^serves, l'Allemagr I ,1^ ',!/ C°'. c H?us l'ineident provoca 1 des déserteurs ae Casablanca, j " ^ual-d 1 antimilitarisme révolutionn n'est fj6 "v-i sr,i=0 au «Bloc», accès c lc3. conseils du gouvernement evëe lion, „ |unisteres Monis et Caillaux de 1 les » nous avons eu Agadir des , rhf* modi^catioiis de la situation en i ■! f" n0Us attendent et qui r, en- » guettent, les voilà. fila » SmfFm-'Ce fonc' «ra^'fe dans . '-.r- ,Vr ® -c Par le vote dc la - ce trois uns, a pu poursuivre en r liV '■ „']. 0JUV ro InaSnifique de pénétrât 1 marocaine, a pu conduire avec l'Ai Ici » gne 1 accord relatif à 1 Asie. Une Fra fer » 0-r(''ai,t ilnvralsembla >na- Sïï- C 8 tlont Pariait !'autre jour ■ ïe " : a°mot.' ne pourra plus rien uégoe ; I " U ! crcei'' nen baliser. » I . 'es socialistes réaomjèrit à ces SS disant : « Nous allons p. e?pa ■ L '---Ur a la loi de deux ans pour » jour où la situation extérieur» se-, r re- îafvA rt " 1,3 montent en cela leur\<; rec Ifl f contingences ou bien font pr, I.. . , de la plus grande mauvaise foi • P pa.^'A;Cya "I>,iqUe SUiVame d0';i e;? " La S!tlia,ion extérieure ne se modi ils" ,, o«s n^î, un PWgrammo ministéri oes S 1 1 wfonc°->- (ju'on posera la qu pes t.on de confiance sur la réforme fiscale ,ré- r,l^„,'^,la,P?sf' 0:1 Peut s'engag la „ 01 de lrnis ans — è* loi't » M?is nVï! c, caiœ <lui ia combatte) m I e {)eut Pas> Par le même di rec " J n oha,1Sei' 'a situation de l'Europe les „ r Iîeu I)a\ c9lîtro' en donnant à l'E éi?~» /° ?i>ectaclc d'une- politique fra ju- » tarf iSU/ï<XJ1!e 6t '"cohérente, en in< -ri- » militaire dfiffr n croirc » ''effo i.i-mane de l.)13 ne se'ra nas dùraflt1 - - » changer la situation de la France en F « » "-'pe et préparer .à notre pays pa? d, ™ » moyens connus et éprouvés un nouve' e« » langer ou un nouvel Agadir mi » W§inl h,!stc;ir'' &J ehl*> de l'Evangil de , ki d?s uniP v™e "° Valnis' dociles v; ™ , imius, .reviennent inl.i^a})). à. ïïCnl- îa politique qui nous a ménar. ■ut „ nées -r?ifï .mation"'" dernières ai n ,es . ailïamations contre Jes crénénn-» » économies sur le Sudget M la ^ t :d:; ■■i,on) <><* o^&ns ne f l'n ^ ïa dignité' de 1 n« 5'?nce °!1 l,nû attesta- à s?s inÛ%t< Nous connaissons la méthode, et &è< pour cela que nous la dénonçons. ,, i©4 Mexique re ij attitude adoptée par l^q FfifQ i5r«> as dans les affaires mexieSines a pr^oqu lit un îedoubicment de massacres, de vols e "" nui = f ? ,a )Mrt des révolutionnaire °: 1»U1' vilif r f de la,l;pui tacite qu. t lSd^va^CWÙ| bienveillante d, r>nI,!,i0Sî,~ari'ivé ,ce.<lui devait arriver. Le: I» -kiik du général Villa n'ont pas liié ■a site a seu prendre' aux biens et à ia vi< •a S ULiaIioers résidant au Mexique, it -nous avons relate l'incident de l'Anclai-eJnlrni v?nilé P,é!«udument, par ordre d{ :y lerMer m ,a ,puur ^ osé menacer et , . eu réalité assassiné. s> délier 163 '""Cues commencent à s< ,x l'ition ri'LapiJ',X"d la mon ou la dispa-■■ ' f . dant'es. étrangers, français, Aile-ir ..îaïuib et, Américains. ;e W gouvernement anglais, iiiterbelïô aiw 11 St mcef;'e ci »*™e®S r«n" V- c" saurait être conduite ° 'nës <rui?" w?U0Il dCS autorilés américai-s •-> réelles S C" reiations suivies éli^do?UuPSi''S du oadavre de Benton peut 8 uaudei le drame. .Mais le général Villa 1 f ™ i' a ?» réellement '■ SîTf1' !,uc !" Jrra taire l'Angleterre, t (levai.t la volonté des Etats-Unis de s'on ' fira étn:n»èrt i,,îcrvenUo" ou démonstra- 5 ♦o^,:î;;dii;Ct'i?e dc ^'ionroc est redevenue in-tangible grâce à la division des puissances européennes qui n'osent froisser les Etatï cr^mtc de perdre un client J ,c®ltaia..f^e plus de solidarité en . i.iOpe ferait reiiechir la république amé- I lance a"^»erait à plus de bienveil- mmmmmama,'lll*^SÊiÊÈË!ÊËÈËBËÊBSB Ma etSradî 11 n'emp& que ce sont pn r la nré" u ux ,qu elfe,a soutenus contre le 1 ni? lt ,Huertn £!'." 'a mettent en très fàeli P Ie ture et ridiculisent sinistrement ■ uède se ,SUe. e5Sentiollenient égoïste ma ueae se masque humanitaire. sembla n ,»eS ®ta-fa;Unis n'ont pas voul des in" m ,''5 Hl'eiia. pour aïoir fait a ède Ils Continueront-ils à soute ai^'mli a- Ct Villa, qui viennent de fa lement, SSSSct t'"8^ Fra"Çais .ys con- ice. — &rrt SEANCE nce al- Affaires cJ'3"îo^încur e^lVC,io , 1>aris', 1* Samedi matin, à Ne s les /amcs* t l^'aolissement Chéri-Ualt Stés en 1!,0bert La Vavasseur et U iim ^^Cuuel se sont roncoiurés à l'ép faire T" aiyan qui remo r iaire plusieurs mois déjà. ae ,LOci conditions c'.u duel étaient s e con fii'a<iu0 eotn^ttaw avait quinze fcultés denyre lui et le terrain n'était ioi no j10 Pi®.' combat ne devait ces 'athies moins! décla"atioa du ^ et de scritT i 11 CSt ,di'; heures et demie exac lorsque les deux adversaires sont ; pie(sence, ia direction du combat es native. M. Georges Breittmayer dirige 1 faire miere reprise. de la . Immédiatement après 1' ,< Aile; icaux- sieurs >,, le baron Le Vavasseur attaq le re- ties naute stature, il a l'avantage nt la taille sur son adversaire. Mais celui-, 3. Le >lait admirablement los armes U; iriger terme, il i:arc et riposte avec beo nptei* d autorité. La combat a lieu do très leur e(s epées sont franchement engagées •tions Lo baron Le Vavasseur procède pa s par très nombreux et bat quelquefois poui tirer droit. Une ou deux fois soi la loi arrive à un ou deux centimètres du mees «e son adversaire. Pendant tonte la orees de la rencontre, il conservera une n de longue, qui couvre bien sa poitrine, ment sa mai» est souvent basse, et le d Heursel, qui s'en est aoerçu, r rieu- maintes fois au bras et à lavant-bras c'est Deux ou trois fois 011 arrête le ce r de parce que le baron Le Vavasseur v ls le être touché. Les trois reprises sont des issé, animées. On change souvent les épée, A la troisième reprise, le comte d'Ile l loi provoque l'attaque" adverse, et il l'c 10U8 j ttar un coup très net et très fourni l'hu- j gninoit le baron Le Vavasseur à l'avant Clé- j oroit. Ijne hémorragie abondante se i dur,, îa màtn enfle... Le blessé est en nisé j d infériorité manifeste. Lui et ses tén ie a ! doivent déclarer qu'il né peut contii teur ■ une art. ro a été atteinte. Les deux a î saires ne se sont pas réconciliés. Les aire f teurs I*raisse ot Bondcr les assistaient ans j D autre part, le Comité du Cercle H-les ! saisi dc l'incid'-nt Vcdrines-Quinton, r> 311, : 1P vœu suivant : j « Considérant cru» M. Védrines, doi ex- courage, maintes fois mis à l'épreuve ous : au-dessus dc toute discussion se trou ; comme il l'a dit lui-même, pour la es- i mière fois sur le terrain de l'honneu loi , P°"vait ignorer les lois qui régissen aix ' duel, le comité souhaite que Les tém ion 1 f'e Hon\ lèvent In carence prono: na" ! PGr . eux contre M. Védrines ct accer, :ice I «entrer de nouveau en pourparlers avec ^le I lyî^oins dc celui-ci. » M. j r-? sentence, si attendue, est ainsi rent ei.f j après nn examen méticuleux r?o l'affaire 3b- | Rewrijon du Congres ouvrier rer , P^'is. 1. — Le congrès constitutif ]e : J arti ouvrier s est ouvert ce matin, souî 10- j présidence de M. Allemane. 10- i , i~i délégués, représentant 168 îrroui 5U" j étaient présents. et ! Le congrès a adopté la déclaration tee parti qui indique notamment que le m ouvrier n'est ni allemaniste, ni guesdi: fie syndicaliste, il est le parti social; ei# tout court. -S- nr propose dc grouper dans son s — tous les travailleurs en vue d'organiser 01. paru de classe distinct. 11 poursuit la trâ •i- î •,I^iatl0,lJ d.c .Ia société capitaliste en it. ciete collectiviste cu communiste et c'e °~ !!![• ® manifeste du parti, parce que ? H ?ocia sie unifié n'a plus le droit u_ ^e réclamer des ouvriers que nous con; n- lo, l>ai;1] ouvrier seul qualifié pc îepresenter désormais en France la léi rt vrièr°>n ^0^ 5' ^ Internationale c ï ®or?«rrôs Natiorvaî dos minsurc m T1 avis\ J- "7 Le Congrès national des r ' r £* % snV ce matin au siège de 3. ; FOUcr auPconflft!SCUler leS SOl"'tion8 a 3 »- La première séance a commencé à • Item es et s est poursuivie jusqu'à 3 be ■" î après-midi, mais les délégués n'o *in„ "c'ore voul'J faire connaître la dé. sion prise par eux. en séance vers 5 heur » de lia?A»£ .'iP0UI' discuter les term i" minfors qU envcl'ront aux syndica * ]'.,vi«n, !!e peut encore permettre d'indiqu ;.Xï ,t-' xa exprimer le Conseil nation oeo mineurs, mais 1 impression qui s'en d 5 °.?S°-iCia/ 1""" y°te à la majorité pou 5 { ? a llssua de la réunion pr 1 irep"S8 du travail P°U1' déniai i "U après-demain. j Congrès du Syndicat des mineur 1 Bouwi, 1. — Le syndicat des mineui i r,0 " .aujourd hui son congrès à Sin-le-N< j- .e, sous la présidence de M. Goniaux d( , pute. ' o w?. Sûctio;is sont représentées par SO déh Le Congrès a discuté la loi des retraites récemment votée, et lout en déclarant celle ci acceptable, bien qu'imparfaite, comm un projet transactionnel, il a décidé d poursuivre la lutie pour obtenir satisfac tion ,cesî à dire deux francs par jour à 2 ans de service et 50 ans d'âge. ». congrès des syndicats des mineurs d" ît' i f osl, déclaré partisan du miniinun de salaires pour tous les ouvriers mi neurs et s engage à faire le nécessaire pour faire aooutir le projet de loi relati a Cette question en suspens devant U Liianibre: Le congrès aecepie lai loi de 9 heure c - :.me pis aller mais affirme sa volonté d< fane aboutir une loi fixant à huit /heure: * tr;-:u;i., montée et descente V ' *' applicable à tous les ouvrier* uu loua et ae la surface. I-as. cirâmes, de la montagne '■ ~ 5 alpinistes dc Lcius,.ni.j ctaient partis ce matin, vers ,pure-> T^compagnég d'un guide,poui rbî. rtw"''»n" ias la Puintc Itesa-Blan-I j- altl"-ude de b:MS mètres. S i11 v?' <v^ mal'chaient en deux | co.dtes, étaient arrivés à environ 1ÔG0 mè- ^résident I mr" ,oraIV'un® avala»che entrain, - restent | miera cordée comprenant trois al ause pos- Tous trois furent tués. îrét0sci saufs. ^ cxclu-sionnistes sont i recon- I „n. . r isassiner j llALIE iir Car- J ire mas- | papo compDSlîour cjo i?,i et des I Rome, 1er. _ f.éon XIII eàarmait ï. M. I su en écrivant des vers latins. S'il -w» I D0"»? Io TirsO' journal artistique I t ie \ occuperait les siens en comno J la musique religieuse. | En effet» ce journal annonce que " la composé un mottet qui sera exécu nilly-St- j la première fois le 19 mars, jour de i-onn, le | de saint Joseph, son patron comte | Non seulement la musique, mais ai ce à la j ^ers sont l'œuvre du souverain non* ntont a j rythme est le même que celui do Vcn J tor Oc Je morceau débute ainsi • Sa; Avères : j ViQfur j.-saph. ' mètres j se^que ESPAGNE 888 le* I v Lc-S OBdaa exp!c«:vaa tcmeiit 1 «» f®,rW.' % — Un inventeur esp irs en I à8flas B!a"c0, a %t, avec un Tlfer :;;,ccès' aiix environs de Madrid, - «*«"- j d oc appareil très simple destiné a a nre "i1-1'-' au mto en d'ondes électriques '<j Ple" I picsions à longue distance. 11 à fait Me- I f!:i03,e' 'rois dépôts de dynamite sit uc De 'f°î? ^'omètres dc l'endroit où iJ or dé 11 ?'.V a déclaré qu'il aurait aussi pu ■i con- I jaï!ti'r' o" augmentant io voltage, "la ■ pied I .rKr? militaire de Carabanchelle, sit 'ueoup CUr't: k^omètres, près A 3:1 lournau)c incitent, le gouverne •las assurer la propriété de cette invei r con- sàïuftdlrn^É'"i8Si?ncé3 étl'a"Sères 11 le fer j offres à l inven.teur. l épée I corps BALKANS duree . . garde j L prociamo mais ( soîï îmiâponda iomte j valona; 1. — La commission de con poste a reçu aujourd'hui un télégramme de i fou, signé Ziagrofas, dans lequel on mbat ; lomie que d'après Ja décision prise il arait Que.ques jours à l'assemblée d'Argyn {.dus ! Jro- Jes Epirotes ne reconnaitront ja: i fa suzeraineté albanaise et qu'ils "co ursc-1 mueront en Epire un Etat autonome. IV rrète ! ;S1 la Grèce retirait ses troupes de i'l< attei- ):* popuIationJocMft opposera à la gen -bras mené albanaise, qui fera son appari pro- dans le pays pour occuper ces ten éi.ât . re^', toutes les difficultés passibles, loins '^>utre part, l'Agence H a vas publie mer', uepeche suivante de Janina, 1 : Iver- ; On confirme ouo les dé.'égués épirc doc- ! jaunis a Argyrocastro, ont proclamé aepenaancp des provinces uiéridionales •che, ' Albanie, ont décidé de- iVrîiW ut> gou 5mis nement provisoire et au'ils ont adressé message à la commission internationale ;t le contrôle pour l'informer de cette pro est mation et l'aviser en môme temps qi /ait, •^n:'.;..lereraia:it comme tun acte d'hc pre_ h té toute incursion des forces albana r et sur leur territoire. t le ' l^ne dépèche de «Janina au Temps 3ins ' ffna.'e le désespoir des populations épirc icée et particulièrement de celles des distr tent . condamnes là rester sous le joug albana : les 1 D autre part, une dépêche de Janina lemps signale le désespoir des populatû lue, ,• épnotes et particulièrement de celles ' s districts condamnés à rester sous le ic aloanais. 1 • j.?*11'011*.' -a dépêche, les préparai du 1 ci6.vaciiation des troupes grecques se po i la ' Rapidement et les malheureux 1 I bitants dos districts ainsi abandonnés >es, | trouvent-dans un état -d'affolement, inèxp . mable. Craignant pour leur vie même c du . centaines de gens quittent le pays abc irti ! ^0nnant tous leurs biens. >te, j iMckfeivt de frontière ste 1 9ërbo-autrichi< i Oùi mande de Belgrade au Temps • 2in I pretc-t du département d'Ouchitze viertt'd: un ; viser telégraphiquement. le ministre de l'i tis- j teneur qu'un incident s'est produit aval S(?" ; «î a- frontière serbo-autrichienne. 'Si ! 1,-J?habitants des commune.-; de V t 1 lin1 ri' \df îv® i qiV étaient nJlés da: de , i îlot dAdtiza sur Je Danube, apnartena iU" ' ront Si 'le'J)0Ur y ramasser dû bois, ï ,u.r ! Ji , ■entourés par un certain nombre < n" ?^rSt°^eS autricbâens, venus dai m I nf' Jm canot à 'vapeur, et sor més d.e ..-e rendre sans résistance, —es gardes-frontières transnortèronf )i il- «î?6 en, ^nie où ils fnrent mis e la chiennes""0 " Par Us :aut°rMs auto p" gouvernement serbe a décidé dc r. m *uX-Ci4erffi<îiie au soùverni f TEIPOLITAINE Succès italien 3S o-hir?S .lei' ~ Los troupes de Ber 2s Shazi, sous la conduite du général Ame ts ?lio, ont attaqué le 23 février 1® canin 4 h- "ïio'hciitmc-" ra SîleMi"a. qui comprenai .1 £* u hommes. Les troupes italiennes sP son il ovaiaiees en deux colonnes. La coion.r5 Set r bw fe'nfvî? di,lis6e sur le camp ennem • Mr ' r"e ,a colonne Latini, formé n hauteur. 'K' SCSt aPPrQel>ée par le L artillerie de l'adversaire a ouvert ht 3 to» de courte durée siw les Italiens L'orne s "© à Ia «4^ -ur tes hau ias ' SrrS i1 "ta!s il ne s'attendai i- * i' ï-ii t ; 11 ans deux directions. ràiK» eî ,,acU°n efficace d, I- ® italienne ont provoqué une iviiv panique, paraît l'ennemi qui a pris bientù J imx askari8 ont été Les inaigènes ont eu 235 morts ot nin • .Menws^tb^^d1'1'58^ tes trouPes ita 3 14 deux campements et on1 irSL1:"?, g'"a!:'10 quantité d'armes " 1 (ion® In ^ 'UMr*!,n a reçu les félicita-^ tions du gouvernement. ; , M-EiXIOUE f L o ccnCÀi! britannique commenco i son cnquëto . la-'-;'.,'w0''2r'.,i7 }!' Po'ceval. consul «ri. : Gah'::- oui a reçu mission ! J*. .-me une enquèle au stiiet de l'affaire i Len.on, a commencé cette enquête d'une . façon absolument indépendante. ' v'slfe Scou a fait une ■ Perceval, mais il n'a ton ieDx ti0 l'araire Ben- y" des enIôyé I'«r le tro le^ affaires étrangères américain et r»'- "nt^.^21? d?f à Jua- V " ^ ]i'- a rcP°IK,re 'à une coopération de 1a part de M. r.e■. att, :najs aucume demande de ce leur a encore été faite. c?8ials a eu nn® conversation a>0o Mrs. Bcmton, avec M. William Benton frAiiij j LA sauve i la pre- ex-gouverneur du nouveau Mexie pinistes. sin du défunt, ot avec M. C\irr> _ . . Curry a soumis une liste < sains ct nés que M. Perceval pourrait dés ro ger Nouvelles do -Mexico, 1er. — Le général G commandant fédéral à Pietras Ni 33tquo -uonec dans une dépêche adresse ses loi- Pa.rtement de la guerre que M. V( faut en UJe,t ;:::iléncain qui aurait été p< italien, a plusieurs jours à Hidalgo, s'es sant de i Cc:naPPe des -mains des fédé pais une semaine et a rejoint les !? r'apD liea hte?soir1^etin® de sujo,s aI>8 ^e pour \\~l sau- la féte llssu® de ce meeting, une d Slr Grei'. demandai issi les . 0 britannique de faire tous s, !/». l e S'ïf/ ùe ses collègues du gouvi ;' Créa- a r " fi?uf ««f ce dernier fasse >e an!- Ia l»ns minutieuse sur eilciii ^ ^ 11 " l'essai ~ -————— îrovo" „/rtr's,.^er- ~ Lc conseil national es ex- »>•<:»* vient de rédiger une longui ic'"nùs du laquelle le ues> des mineurs, ne voulant i: Tait' fËhf™ po,1"' u" se"' déski jaire %<tteide ainvitei- les organisations P°«- cliain tra'vail le 3 ma n. * ment )i„„I!az?'0'. 1- — A l'occasion de la ition, t'on du prince de Wied, on attend , fas- tta$||f™t de gendarmerie à cheval, 1 V ,au 0 detachicment de ; Va'"''.=. Ces troupes avec ci neur organiseront le service neo ,7 ,La délégation alb: trôle I no®?, -i.'8 Sacha. est partie ce Cor- Dilrazzo. ' s'embarquera l'in- )cyasa 1 ~ Le * mte et la co nais ?r? frj i - soat l,artls à midi pour vLc <ll°ïï™Lte ptésontés au roi e dar- ; safre1<1'n A r°ccf3ion de son an tion tati- Ils rli nnmi'1,;a dfs dépêches de itoi- I ment d,f ro?^:'enX,chefs d Kta; et 11 I ™ i" " Belges et de la rei s la i " t0.. | . Çonstantinople, 1er'— Saïd IjRaeh ■ & I de 7? «as*1, CSt mort a"« $ I l'^taî)Iissement |^o|fe,mS " su- ' tnh-cf'ïïtin3>,1,e' 1 ~ Los aviaieurs ses S ■ ont prié le ministre de la suer ses désigner l'un d'entre eux et un nas si- "cr le raid Coïstantifop f ! Victime au i iâSf1?ent 0 aéroplane d'avant-hier, a ms j bie rues et une pension militaire ug local8. fn3acro d<! longs C-^S deux aviateurs, ifs * ia- IoI\ — pes nouvelles d'Ar i ^ppmwnt^ sur les événements oui se ri 1 à Saint-Jéan^Baptiste (Congo) n- ; renseignements suivants • ° '• n- actcs révoKe s'étant proc ®iire la souveramete portugaise au Co pu,- de Sao Sajvador, et sur d'aï points de ia région, les autorités porti -?1 eMp ''1JIjen ès.Ie aî0i3 /J,e novembre des in , reP^ésaililes et eurent recoui a- la tioupe qui .fut chargée de maint J soutevfea"!eté portusalse dans les rég 1! semble que le point de dénart d, é. révolte ait été Sao Salvador » K.3ei„rétramohés dans l'imn K nie de Sauit-Jean-Baptiste attaquèrent '* (ro 'POs du gouvornement ainsi que les Le tontés portugaises. q €s 13 "onv»™l?nd l'arrivée à Sao Salvador «. ■ ' -*1111 enquêtera sur les évi dèn nnS" vennent de se dérouler, et * ! {W ar.dera dos explications aux pères n la mission, dont l'immeuble a servi n i ïn^ainement' de retranchement La prétendue détention d'un des missi ?ea bSrï-'r B°"Zki."' doit pro'baS se l.oine, à u.ne invitation qui lui é- Initiât de'neurer parmi les autorités ) Ce ?»V^U à •'arrivfe du gouverne! re-rutemmî ?„nia aucun rapport avec ie.ruu.ment de la main-d'œuvre indi^i - pour 1 ne oc Sao Thomé. ' K,,-a a*e.des indigènes doit être at - buée au désir de ceux-ci de se soustm i au paiement des impôts. soustra t I.es mesures "nécessaires sont prises n, - la pacification de la région. 1 ■ Frr-mnsi ^ /Sur indigènes de 1 ' S t>' accusés de conspiration, 53 ( été condamnes à des peines de trava i forces variant de 5 à 15 .ans ■ ... HP» du complot a été condam 8/ mort. <aCTe~" — —-—- : Seul dans Sas glaces D'à Pois S Le 2 décembre 19-11, le Mivire 4uro ïf"lt « utor<i l'expédition antarctique uoeteuf Mawson quittait la Tasmanie ouc de l expédition était d'explorer les ; gions relativement peu connues qui féu uuh cuir,: la Terre de Soutk-Yicloria et. lerre de l'Empereur Guillaume U où l'c lieauion allemande Gausse établit ses que tiers dha-er en tm-fm. Ces régions rJ Vateni pour ainsi dire pas été explorées a pais les voyages de Ballcny, de Witkès de bumont d'Urvilie en I83U-W0. t'Aura iiC7it. de rallier Port-Adélaïde ramenant aoci.cur M aie son et la plus grande part çc L expédition. JCn effet, deux de ses mer ■Ore; oui trouvé la mort. Ce sont le lie tenant .\onns et le docteur Mettz, avec le quels le uoete-ur M dm son avait quille s quartiers d'hiver au mois de décembre 19'! pour se livrer d un voyage de reconnai saute, v oici en quels termes le docte i Mawson raconte cette expédition, au cou, de laque,(c ses deux compagnons succor Ln'pa:>L leur chef complètement sej aans le de sert antarctique. Mes compagnons étaient le lieutenar Royal Fusiliers, et le doctei ^Zcrtz. Aotre but était de pqussèr dans 1 diiection de 'lest aussi loin que possii)] 3t do nous VI'PI' ..a..: . . 2EEEl1s ue et cou- tioas sur la nature du terrain. No L no^onn ; a oiKp.agnés de seize chiens, qui t ® ?h5ïï" j U1i P°^s de plus de 1,700 livres, i mtei- , Le H décembre 1912, au mati ' Par, 68053 de latitude sud 3 t tois,o de longitude est, après av uarjardo, I 92uru une distance de 311 mille tgros, an- étions tous les trois dans d'excelle: e au dé- l positions d esprit, car nous estimi >i!gara, 1e f au bout de nos peines. mdu il y -e H décembre, il faisait une t en réa- | splenc-ide. Nous nous abandonnion 1-aux de- JO'e, lorsque le malheur s'alba rebelles. "0l's Mertz, chaussé de ses skis, lais a eu ««swebe ; il se trouvait a un q ' ' eo avant de moi et du premi ipechc a oeau A une faible distance derrii :t au mi- ^e'uns, avec le meilleur lot dc is efforts ffifejes au traîneau portant nos pr, irnement P'W précieuses. Nous avions précéder ?'lc disposition estimant que si u l'affaire dent se produisait, c'est te premU lïors^dpUii' Offrirait. Nous croyant —""' ' ,, la zone dangereuse, ic fus ti Ênld &MSmiv la distance 1 °« îoo'j- alfaiblis d'une crevasse nous 1 fi.. : Itu™™'"- ilertz la franchit sans 1 fi™ i a,., ,, ,comme spécialement dang ' (? ses bords ^7' ■16 "-le trouvai l)ic"; wSl' J° o.^frouvoi non pi lu ne crainte, car i en avais déi-i tv ' h-! 5raL<' I:0Inbre- Cependant, suivan i decla- bitude, je criai : ,, Crevasse I » non "S?! hennis sur ses gardes, lîeg'.nxlai as pio- Hère moi peu après, je fus stUDéf -ratum, n'avoir devant moi que l'immense él ouvrie- de glace et de neige. Où étaient don rs pio- sés .\ennis et los chiens >°r\ e danger de la crevasse si 1 esprit. Revenant rapid cep- soi DM '1-as, nous nous trouvâmes b un dé- au bord d'un abime béant. Nos yeux le Scu- bituant peu à peu à la lueur bleuà't ;endar- giiant dans ces profondeurs, nous lies de punies sur une anfracluosité un dhon- bléssé, qui bientôt commença à j plaintivement. Nous aperçûmes égal, d autres débris, mais pas la moindre maise, de notre compagnon. 11 avait sans . matin été précipité dans l'abîme et sa mort pour certaine. Nous appelâmes pendant néures, mais sans obtenir de réponse, tôt les gémissements du chien cessèrei nfesse un calme surnaturel s'olendit sur l'a lumcli j lui se troumit à nos pieds... t à la I Le ira-neau qui nous restait 11e pc j que pour une semaine et demie de v pour nous-mêmes ct absolument au ?i,V—" uourriiure Pour los pauvres bêtes qui fehci- accompagnaient.'.. otam- Nous décidâmes de manger les cl ne de afin de nous procurer assez de nourri poui atteindre la hutte située do l'a cote du plateau. La débâcle des glaces < • Pr{- Neuf heures après l'accident,! ui, a lume^ ie service des morts et réprime .... chemin du retour. .\\ us avions ratH .onm- nos - a :tes d après, la distance à pârcoui cinq 1 ar suite des retards causés par le n epuis mais temps et ia réduction des rations réserve des chiens diminua rapidem mil? 1r^'lù\ 11 niei- resta pIus un seul- u min- leuis leur chair ne contenait aucun n e cipe nutritif et il n'y avait pas de me >ager dans leurs os... le-Lo Au debut de la preniière semaine de Iier T1J'.,ro^ atteignîmes un point s îdles a cent, milles dc la hutte. Nous souffri 0 de ae la nourriture défectueuse et insuffi: v ii- te. Mertz était encore en plus mauvais ' dou- que moi et j'étais très faible ; le temps é abominable ; la neige tombait abond, aiti- ment\ ; tnous souffrions cruellement froid. Après quelques milles -parcourus prix de grandes difficultés, le 3 jariv 1 état dc mon camarade empira : cépend ôCia ii conservait sa bonne humeur... soin Le G janvier le temps s'améliora légt Pej;1' "ïais par balte de la nature gliss iiitc ï? ri u- ' xlcs ch.ules étaient nombreux ts il lut bientôt facile à voir que Mertz ngo, pouvait plus marcher. Je le plaçai sur très traîneau, mais môme avec l'aide de gai- voile la marche était très lente... ,.Dans la matinée du 7 janvier, l'état ■s a Mertz s'aggrava, et vers minuit, dans mir, nuit du 7 au 8 janvier, il s'éteignit M ions état me laissait peu d'espoir ; je réso pourtant'de lutter jusqu'au bout. 1 la Dans le mois qui suivit, épuisé d'u part par la lutte continuelle que j'avais teu- soutenir contre la famine et d'autre p; les obsédé par la distance que j'avais encore au- accomplir, je me trouvais dans un é cl esprit dont je ne tiens pas à me souven du Les rafales ide neige étaient fréquentes y:e- j franchis un glacier rempli de crevasses qui ; à plusieurs reprises je tombai de toute de longueur de la corde qui me retenait eur bord du glacier. J'échappai par mirac lux car j étais si faible qu* c'est à peine je pouvais tenir la corde. Ma peau, m on- cheveux et mes ongles tombèrent. Par bo e.nt heur, je trouvai une cachette laissée p ait une expédition de secours ; j'atteignis or- naloment la hutte. r. J'étais sauvé ! !e Docteur MAWSON. me — — iro Eacore le Miwel Emprunt •ur ça». jjô Dans son numéro d'hier, le Moniteur d< int ; Intérêts Matériels revient sur la questio ux i ^ emprunt anglais : il annonce que 1 seconde tranche do 150 millions de frant n(i sera offerte au public, dans les premiej jours de mars, aux environs de 80 p. cen » il ne dit pas si, comme c'est probabli cette plus-value de 3 unités sur le tau ji/j d'émission de la première tranche ira e: clusivement aux banquiers anglais qi s'étaient réservé l'option sur cette second ra Manche à un prix fixé d'avance et qui n lu <Ju.iL pas s'éloigner beaucoup du taux d ie ! prise ferme de la première tranche, so: | tô p. cent; n. | Moniteur ajoute cette réflexion : la i l( Le type ,(Iu 3 p. c. amortissable en 2 x- \ ans P'ar radhat, est dans les convenance ! tlu marché anglais. Beaucoup de compe (._ • gnies d'assurances et d'autres institution c_ i qui recueillent des capitaux pour les cor et J server sont friandes de titres, fonds d'Eta •a 011 autrcs? ont un remboursement a? lc suré et même un remboursement à un tau progressivement plus élevé pour arriver ai pair. La durée de 25 ans, longue pour u: L_ pa.rticulicr, convient parfaitement à ce 5_ caisses communes. Pour ce motif, nou ,s croyons que le 3 p. c. amortissable belg y est bien logé et y restera sans que les ti s'_ trets rte viennent en Belgique, leur pay: ,r u'origine. » •9 Mais s'il en est ainsi, ne tonibe-t-il pa: i. sous ^ que le rachat à la Bourse mê U n}e a" <v>urs actuel de 80 p. c. est un leurr; et que le tirage au sort avec rembourse ment au pair fonctionnera bien avant 21 t ans. i « Logiquement, .lit le Moniteur, pendan* a les premières années, le 3 p. cent amortis .• sable ne sera pas à l'abri dés fluctuation.* ,^w —. ^ ^ JL xn TÉLÉPHONE Bill •Tin^âhf f étant tr0i) lointaine pour qu'on 1 aimaient isage comme un élément 'essentiel de i tenue du cours. Mais, au fur et ■'< mec Py nous I que cette échéance se rapprochera et par rente amortissable s'éloignera de n'rr on- par- perpétuelle pour devenFen dernière a s Nous I lyse un bon du Trésor à deux ans m, ltes dis- | six mois d'existence. » ' ms être j "J» même certain que par suite journée I feuille des coni^^nie^d'assunmce les" tut 110" I rnT 1" loa't capitaliseront près ttit sur pair beaucoup plus tôt que ne le smï, ouvrait I la dernière phrase. uart de | Le Moniteur calcule' quelle est la vile er trai- intrinsèque du titre en ?aison de son™n ■re ,mo1 I tissement à la date certaine de 25 ans! : chiens I l?n escomptant au taux de 4 n cent l'i ►visions I térôt de 3 fr. à toucher chatoie onn'/fo L adopté 100 francs de remboursemem à^^ oucher » ?î?î- g» |1 établit que la vnteufintrinsèque , trai- | titre pour ceux qui l'achètent avec le fera en de- I propos de le conserver, atteint 84 3S fr ès sur. ! première année, 84.75 fr. la seconde, 85' 'S con- I fr. la cinquième, 88.35 fr. la. dixième 91' errant I fr. la Joe, 94.76 fr. la 20e et 99 04 fr la a con- I année. * re aversé étaitdeWfcf, ^ calcul( 4 Lhï" I „f0a' '' y a des gens qui savent calcule: !, dis I Anrf»L caîsses d assurance ailleurs que t der- I Angletene ; si le gouvernement, avait o! ut de [ feit en Belgique un emprunt 3 p. cent rem endue boursable au pair dans S5 ans aS plus i : pas- | ertt trouve nombre d'amateurs en Beleique . If l'once, aussi bien qu'en Angleterre e : pré- I il oftt certainement obtenu un taux di sment I Prise ferme et tin taux d'émission notable lentôt I ment supérieur à 73 et à 77 francs. ?" „ £na!ons à la Gazette de Liège, deve e ré- | nue muette depuis notre dernière réponse, aper- I ces intéressantes considérations du Moni-chien j teur des Intérêts matériels qui fixent à 1(1 urler I p.. cent, soit à une somme de l'ordre ,1e ''(1 ment I millions le cadeau fait aux banquiers et aux tente féînpnfnt?n^'8'S' MU'8 admi8^^usc?"re était I II est vrai que M. Levie était un si des charmant homme, un si gentil garçon, que ien- le pays ne saurait nayer trop cher a it, et bonne fortune d'avoir eu un miidslre si bime I beau parleur, si plein de bonne grâce. SI Les fteîiis LéflÈte iens I 5 U L'ASSOCIâTIOI LÏBËI1LE JOUS I «aB-oc*'.- .uni | Co'u?¥ général de l'Association LSi:é-w-.'.- T'S ôéance uau- I ; dimanche l-er mars, des candidatures , La I vv'5 Prochaines élections législatives, ent. I „ \t' UJI Iloc=acrden-Braconier avait, pour 'ail- ! tY circonstance, cédé la présidence à iil. rin- I L-ce^;Remy, vice-président. elle I epmhîi1^1 a d'ab^;d fa't connaître à l'as-I oiff° !Xie Ie Lorr^ représentait aux an- I ^ '. rafl'Association, comme candi-itué I ? électif, M. Xavier Neujean. député sov. ons I fie'!-! c^Çomme candidats suppléants, M'M. ■an- I ^.I'e Digneffe et Léonce Neef, également Hat I f,ort.ants» oui acceptai}t le renouvellement tait I cle icur raandat. un" I co!? au,tlc part' ^ a P0|rté à sa connais-du I la seule candidature nouvelle parve- . au I !î^au Comité pour occuper le second siège ier, I vacant par le départ de M. Van ant I 5 c .e M. Van Hoegaerden-Bra- ■ ! S' ^,5; anewn député, ancien sénateur et ire- j Résident de l'Association libérale. in- I . û Comité a décidé d'attendre auelques es. a;vant de compléter la liste des can- I uidatures. le I Chez les Cléricaux Liégeois ! ? ^ Union catholique dc l'arrondissement de | , ? ,3ége a tenu hier son assemblée a v-la ïfe:„a" cercle StJiubert, p-. ur la dé-011 I ï! 1- °n "es candidats aux prochaines us j élections législatives. r.^,éto ^slS'/és eomme effectifs :'"l. M. ne I PcWet, 2. .J. Jules Dallemagne, 3 v Hva-à I cinthe Polet. ' ' " * «rt p CMli>'gï suppliants : 1. M. de Géradon, à M, Henri Francotte, 3. M. Paquay. ,at n _ ir. Au corcle Progressiste Je clo Vcrvjors et Le Cercle progressiste de Verviers éfnit la convoqué hier en assemblée générale pour » hérn'î» Premier suppléant de la liste li-le, |)él.ale pour les prochaines élections lcgis-si lativc-s. Deux candidatures étaient en nré-nS Sf'ni ?U8tavs AndeltroucL et Ln-fv ffr"i, cfays> et cette compétition avait at-}. tiu- 'a grande majorité des membres, à tel \£"f p"8 a s , du 1er étage du Café des Neuf 1 loyinces s est trouvée trop petite Lassemblée fut présidée par M ,1-cfines vice-president du Cercle et député perma^ m On piocedé tout d abord au renouvellement partiel du Comité. Sont élus MM Al-phonse Jecques ;spo.) ; Marcel Beaùpain, pu."8T®?"nay (Battice) ; Henri Proumen, iolix James (llieux ); Francis Grùn Pierre Franquet et Matlhieu Deruard (Dison); Emi-... 1°. l^egros (Dolham) ; Charles Fraiiiont (Pe-n pmster), Joseph Lejeune (Stovelot). a i«ASl!w,ée ''^8e C"su1te a ''élection de is mare' 1914 Congrès progressiste du 8 t .,..L,n Président donne alors lecture du con- Î, fa'. i?i lancev avec l'Association Libérale x Kt l" . prochaines élections législatives :: PassemWée !CCOlt iadhésion unanime de e camndlfn?»=éch£U1Sei do vues a" suiet des e canuioatuies en présence pour la premiè- e H„ïupl fuce'. 10 1'"" est ouvert et no sera t mrmhm d!mi}ln uiardi, pour permettre aux au vote campagne dc prendre part A Cftarjeroi s ,,inI'ri?n?.nJa'" n l'Ivraie de l'arrondissement - m/. l- -11",1 a tenu dimanche son assem-s Senerale annuelle ; les assistants » etaient extrêmement nombreux, t , Edmond Dewandre présidait, assisté des membres du comité. " Le président expose les pourparlers qui ont eu heu avec les socialistes au sujet de J 1 éventualité du cartel. Les socialistes ont exprimé l'avis qu'il v avait, heu de lutter séparément, parce que ï mÂfftâL' exprimerait plus éloquem-. lne|lt 1 opposition au gouvernement actuel. La propagande serait donc particulière :i chaque parti, mais elle aurait deux points communs : la résistance à la loisSS ' et la conquête du S. U. ; Une longue discussion s'engae-e à ce sujet. Certains membres expriment 1e regret , rtrt,7ïi 4° 8nrtei : d'autres défen- en. la thèse contraire, d'autres encore nré-comsent la juxtaposition dos listes. M. Buisset rappelle que la raison déterminante de la fin du cartel c'est, que la lut-

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Cet article est une édition du titre Journal de Liège et de la province: feuille politique, commerciale et littéraire appartenant à la catégorie Liberale pers, parue à Anvers du 1832 au 1940.

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