La Belgique: journal publié pendant l'occupation sous la censure ennemie

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s.n. 1917, 19 Fevrier. La Belgique: journal publié pendant l'occupation sous la censure ennemie. Accès à 24 juin 2024, à https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/fr/pid/4q7qn60k3b/
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LABELGIQUE PRIX DES ABONNEMENTS ADMINISTRATION ET REDACTION Petites annonces. , . . « s . ls ligne, tr. 0.50 Un mois (mars) » i » » ... t . . , fr 2 55 Montagne-R.Tix-Herhe^-F'ota.ÇfèTes, BJFtZJIXJBjIjIjES Rr-clamo avant les annonce» . « 1.25 * ' BUREAUX : DE 9 à 17 HEURES Corps du journal _ 5-00 LES DEBANDES D'ABONNEMENT SONT REÇCES LES RECLAMATIONS CONCERNANT LEBABO» ^m^CTION ET ADMINISTRATION r De ÎO 1 3 è. iS 1 S et de 1S l'B à 17 heure* PRIX DES ANNONCES Faits divers — 3*73 EXCLUtaVEMENT PAR LES NEMENTS DOIVENT ETRE ADRESSEES Nécrologie BVKEACX ET LES FACTEURS DES POSTES. EXCLUSIVEMENT AUX BUREAUX DE POSTE. Jos. M «DRESSÉE, DIRECTEUR Coin de, Éleveurs'. " ,ioQ LU GUERRE S3I1 jour de guorrs r Les hostilités conservent sur tous le fronts leur allure habituelle, qui n efet p. s dépourvue cl'une certaine anima iion* L& KGTE pE U£SP&&îàE 1 Le G février, le gouvernement espagnol a ;• transmis à 1 um IxiSsaxieur dAl.cmagne a iMa-cl-il, au sujet de la * guerre reaiWoee cltis , siyjs-mtiriiis, la note de réponse au goufser-.ncciieui'. allemand dont voici la teneur : — Le gouvernement royal a e-.aminé avec le plus gramu soin la no-te que V. E. m a transmise Je 31 janvier annonçant la dçci-'sion formeLc (Du gouvernement allemand do couper net, de» le lenilamain et par tous les inoyeas dont il dispose, toute (navigation autour die la Givwido-^Breta^ne, de la .France, de l'Italie et dans la Muliiterraaue orientale. Le gouvernement royal a le devoir de* faire observer que la teneur do cette note l'a doulouuausement ému. L'attitude die stricte neutralité que 1 Espagne a udtup&'e (Sis le détail do la guerre et a la/jucllo ele a pu se tenir grâce à une fermeté et une Loyaut inébranlables, lui donne le dirait d exi_er que 'a via des sujets espagnols exploita;it. le commerce maritime ne soit pas exposé à d'aussi graves dangers. Elle lui d.*i. e, en outr e, le droit d exiger que ce commerce ne subisse nj entrave ni restriction cfcanx toute la zone dons laquai e le gouvernement impérial allemand déclare qu'il se voit fore-d-'user de toutes les armes dont il dsprjse (te renoncer à toutes les restrictions qu il sV-tri.it imposées jusqu'à présent dans leur emploi. Dès avant <|ue le gouvernement inupétial eût renonce à cas restrictions, Je gouvernement ri\val a protêt aiupr.'s de lui, no les estimant pas concilia!ies avec le3 prescriptions du Droit international relatives à la guerre maritime- I^es m thedkr>s elle guerre annoncées par l'A Lmagne atteiguont maintenant* un degré imprévu et sans jpréoédent, foixt au gouvernement royal le devoir, bus-sur les obligations et les devoirs que lui Mnpese sa neutralité, d adlresser au gouver-necne if im^ri.-l uno nouvelle j>rv■e-t?a»,ii«>n t rat aussi niûre'no. t nosôe et d!'y insister. Bimn.l a- nécient il Oii». se, réserves et soulu-jne les les-ponsibil t s, am'/ireVlefe fc» pouvemamemt impérial ne pourrait se soustraite, que pourraient entonner les pertos de vies humaines à résulter de se* d ci ions. Le gouvernement royal base sc< paotCKtotion sur l'imjposs'ihilké de concilier avec (es règlements maritimes intejnn" t) onautx le barrage complet d une zone mari; nue d lim t e et la su'os>tiuutl-on aa droit) incontestablement acquis ' aux navâgatejxs de choisir leur route dans des conditions déterminées, aJun prétendu dro:| de destruction applicable sors res -ic. non aucune. Il proteste surtout en raison eu fait que l'extension annoncée de ceUe nouvelle conception <lu droit qui pourrait éveu.i : jllemeut avoir pour con®eciîuqr<cte la ( mort de non combattants sujet» d'un Etat , neutre comme l'Espagne, est contraire aux principes toujours observés par toutes les nations, môme dons les fxSi-icr'es les plus ! critiques qu'elle ont traversées. A n'en pas douter, ie gouvernement im- ' périal est convaincu que le peujxie es|>a- f gnol ni son gouvernement ne méconnaîtront 1 les raisons qui lui ont dicté sa décision ot * il escompte qu'ils ctiîilaboreront pour leur 1 part a empêcher de nouveaux sacrifices de r vi«s humâmes- Dès lors, il comprendra 1 qu'il est im|>ossible au gouvernement es^a-gnol, toujours prôt à une inituafiive oi>por- u tune et dis^xs^ à. donner son appui à tout 9 effort capable de ramener la peti'x si ardem. '' m^iit d'Jsiree, d'adaiettce la légalité diu droit 1 de guerre extrax^riinairo que s'arroge l'Ai- c lemâ^ne. n En (iSpit de-: droits qu-'assure à PEsjkv '■ gue sa neuîraJité ot la conscience qu elle med à accomplir les devoirs qui lui m-oombenî, les nouvelles méthode de guerre sous-marino rendent non seulement le commerce maritime de 1 Espagn^ plus difficile, mais elles vont même jusqu'à le suflpendire! c ce qui est de naUu,e à menaoer son erus- di tenco économique et à exposer en m<ane V tempe à de sérieux dangers la vie de ses to nationaux. p Plus que jamais, le gouvernement mval s'appuie sur son bon diroit. 11 ne doute pas n« que lu gouverneenont impérv'il se -UuSc^ra gui- I der par les eentiments de l'amitié qui unit p les deux pays et qu'il ttrouvera, maigri les dures nécessités de ta terrible guerre présente, les moyens da faire droit aux protestations c5o l'Espagne. Ces protestations ro- v posent sur le devoir inéluctsible qu'a le gouveruerneafc royal de protéger la \ie dj i ses naXioîvuLx crt. de màtïntenir dans toute st: son ampleur sa souvei*ainet-^ pour ctaprbieir 1 l'exisî<^n«e nationale du pays d tire mise eu m péril. 11 a la conviction d avoir pour lui la justice et le cProifc. m ♦ ta prérogatives présidentielles ï Un heirpux hasard me mit hier matin vr en preseiic© tlb citoyen américain qui m'a- tue vait fourni jadis des renseignements iut6- le rehsautç, sur . jetions de son pû|ys. t-u i .~2OUS^ilà à dGUiX ^ ll gueire, m ' ÎL Cr°Vœ.-vou& que M. Wilsoa fasse m . prérogOaves qui lui permettent w On déclarer 1", guerre à 1?Allemagne t fo ♦ T ^me^ez'~inûi de vous faire obsei'vei- tout c abord que, contraiiement aux id>-e> du U n'appartient pas du t»ut au Pré. ai( siiieat des Et its-Unis de déclax8r kl g:u,irre. ne te te prerogïitJve apprirent au Congrès ™ oes-Uudbre à la Chambre des d^pnit s et aj ço ^enat i-éunis. Si vocis avez suivi attentive- Le ment les événements, vous vous rapi-cllerez no qiw Sî. \\ ilvm, dans son disc(»nrs du 3 fé- oa vrler, a déclaré au &énat que, si le besoin ren imjio^at, d pro^josei-ait au Oongr.- s prévoi e icq mesures n .'cessai res, ce qui, à tt'en pas douter, signifiait bien kioo déda. ratiixii de guerre en perspective. foi — Mais alors, le pouvoir présideaiiel, no | tous, qiv'oD disait eurpasser eolui d uû souverain constitutionnel, n'existe pas ( rcalifcô ? -— Entendons-nous- Le pouvoir ex^cu lui^ app-irtient incontestablement, avec cet ili^férenoe toutefois, que 1',,instrument ' e cmtif, c'est-à-dire le conseil dos miiristi e est absolument indépendant du pouvo législatif. Ix) pi'ésident choisit lui-m Ame s ministres; ils ne lui sont pas imposas p; s f? Parlement comme en France et, par tan iis n ont aucun <x>mpte à rendre au Pari ment. Le président peut s'adre^srr au Coi grès pour lui adresser un m^sage ou li r proposer dès mesures d'ordre législat'f, ma son pouvoir ne va pas au delà. — l'amendant, dans les affaires d'ordi L international... " 1— Ici encore, son pouvoir est parfaite 3 ment limité. C es le Congrès qui lait 1; - traités, qui sont, il est vrai, soumis à l'a] probation du Président, qui peut y opjN 3 ser son veto. Les affaires international{ i sont traitées par la commission des affa.in étrangères du Sénat, dont l'influence e i flono indéniable. C'est qo qui explique qu ' la dernière mesure prise par M. WiLso • a donn.' IJeu à une discussion au Sénf i m%ie, discussion qui amena uu vote appix ; bat.f. — Mais pourquoi parle t-on toujours, chc vous, du S-înat et si rarement de la Cha.ni bre des dôputés, contrairement à ce qui s j passe ailleurs î î — C est f|uo le Sénat, en Amérique, quoi que isjsu d une élection au deuxième d« gr', y joue un r >le prépontféranit, |>ossèd! m<îine une part du pouvoir exécutif. Ces aussi que le ijénat peut se constituer e , Haute Cour de Justice poor juger les mam bres de la Chambre basse mis en acou sation. — Bref, si les événements se compli quent., ce ne sera donc pas M. Wilson lui même qui déclarera la guerre ?... — Non. Ce rôle est riservé au Congrès oui délibérera sur la proj*>s:tion du pi^si dent et décidera, en toute liberté, s il etx-st ces ra.isons d ordre majear pour se lancea dans cette aventure. La guerre sous-marine Londres, 17 février : Lloyds annonce que le vapeur ang-laiï >>i-ady Ann' a somrurii, aprt.s avoir fou ciio une mine. On annonce que doux liom mes de 1 à t-iipa^e ont peii et que cint aucres ont été bleàsufl. RotferJam, 17 février : On v.ent de recovo*r ici ia nouvelle que. le 12 février, un transport anglais a som-bré, après avoir touche une mine, cLuis 1 embouchure de ia Tamise. * Berlin, 17 février : L',,Aftierapo6ten > a publié hier sioir en évidence un tjlégradnme de son corres'i.ou-dant londonien, oisant qu'on eS'ii^e actad-hïme t eu Angleterre avoir maîtrisé le danger d'3 la gucire des sous-ma,ians. Il est vrai, dit le corraspondîant, que le oiombre deg sabmer-siblets coul' s et eipciu-.'g est tenu -eci et ; tu-is le moment où la navigation pourra être reprise sa s danger n'est plus qu'une question de temps. A propos de celte nouxelle, l'Agence NVolff déclare : — Il résulte de nombreuses ilnfonmation^ que les milieux officiels anglais, 6 ils vou-laieut êtie sincères, diraient tout aiutre ohose que ce qui a été raconté au corre^j/oîKkiiit I de r„Aftenposten'". Si ies autorité^ bintam. niques, en inaugurant depuis quelques jours le syst «ne qui c.>ns ste à cacher à la population les informations sur les pertes de navires marchands, veulent persuader au pn. 1:4ic que le d*in<;er de la guer\© sous-marine a (lis-parui, elles lui pr'jparent à bresf dl lad une grande d ce, t on. (^uant aoix pertes da sous-marir.s allemands dejmis l • i er févriei", les au tories compétentes à Be^lia em ignorent le pixïmier mot. Plus maladroite encore se révèle l'affirmation que des sous-marins allemands auraient été oaptuKs: on ne saurait a.^sez répéter que tout navire quj se rend dans la zone hoirie doit y1 périr." * * * Loudres, 17 février : On mande de New-York au ,.Times'' : — Non seulement des trains entiers, mais encore une cinquantaine d'allèges chargées de froment se trouvent clans le j>ort de New-York. A Mi Jïisapolis, quatre miPioais. de boisseaux de fit/ment sont prcts à être e\-porti^s.Pendant les deux derniers mois, il a nécessaire d'orgtuiiser deux fois par semaine-l'envoi de farine dans les Etais de 1 }>t pour rcffnéf-icr à la rareté des vivres. * * * [/ondi&-i, ]G février : 9 février, lo „Daily Clironicla" écrivait (Vt,ns un .'flitorial : — Pouvans-n..«us tenir jusqu/an mranont r': lo d.-!i'.;'t;r de la £uorro do9 sou^-maiius seijviit <>par n importe Quel moyeu t 'Ifl'le 0-st la qtigs^ion vitale qui qe i»ose mantuaiaot pi/ur l'An^etcrro. Ua conAtruction de iioi>vcïwkc ua-ren-o est im rwaàte qui ne peui ôtre efficaco <tuc pi as utrd. La (lOpuUitujn l>r'taituiqi:e n« as rond pas compti do la gravité de la situntioai «ars !a/iuella nous iioiik aehaTlinittfjs. Nour, L-eniporterons la victoire 011 nous sero s raincu» lyu cours des trois mois qui vienv «ait. Les «pirations qui se poursuivent sur les difrérent^ fronts eu Europe no oon.-?ti-iuent pns un fjeteur d>'ciitfi tnais ce que irais devons éviter à toot, prix, O'es: cl,: indiquer de vivres et c'ftre dans 1 upp «_ ■â'.ilité <ï «!TO(ver à notre apmAs Qi*i ivni-'oits, ctos nwuniriias, du matériel, et»:. La criso éclate à tiue saitom 011 la pro. fuoiion a^rieolo net ft surn nnluirnuan eti I>lu-■Aenim mois s iVy>nJcrrmt avant que la ttTro loua donne dw rteoltas appoVr.i/rfjDta. a ie nous t«5'e donc ''m' -, menacer nos r<X-wtrees et nos approvisjocmemefi-t» «tistor.is. > ponv. rn«n>ent hésite et nous le oompr0-ions aiâ/iment, à app'i-iuer 1e s-.stiœa si impliqué d'à mlionj«!rj«n.t forcé." * Paris, 16 février : * iA.Voho (is l'uris" écrit ! — Môme ti 'e [ianrrer de la (juorie ren. [>ro6e des soiifunarins pa.r<tis8ait é«i.rtA, •0.1K ne ilevona pas nous 'créer d'illusions, aai8 continuer à noua (Moudra jny fous lté " ^ ■ 1 rw ■■ MÎT.UwBBBi n moyens. U Allemagne cherche mai rtenan ojMii.ser 6es ad'\ ersaires en menant it' giuerie d'usure; nous devons en oonpxjrjv ' ' prendre les niesjurcs que oomrjprte lai sis i- tion. • r Paria, 16 février*: * s M. Nail, sous-seen-taire d'Etat de la i r ri ne marchande, a déclaré aux d l 'gu 's , armateurs et dés propriétaires die chauti 5' navals que 'e gouvernement assurera t cliai(.:ers, dtins le courant de liuuve, i mn.ti.-res premières nécessaires à la. c s çtnuction de na\ires marchanda. A ce sujet, le ,,Petit Parisien" apper- 0 que tnjis gn*ands navires marchands ,-er vrai on'lalablement terminés en VJ17, i - neuf autres bâtiments seront mis sur ch s tier et que l'on^ pourra (y>m,mencer «'es t vaux préparatoires pour la constmcu d un certain nombre de petits navit-es m ■" chands. -1 * 1 Copenihaigue, 16 février : 3 Les arni.iteurs danois vicnnonti cfe r | tror de Berlin, où iis ont assista a » ixiiu-parlais engïigée au su;'"t do-i d:if irait que le bl00u3 aileuiaaid c;r''o au Daneima Lis annonce it que l'Allctina^ne m rend comjîte exact de la situation du Dareinf , rt qu'el'c fera toi t ce qui est en son pi ' voir pour y porter remède. * Kio-de-Janeiro, 17 f évrier : ; pe:>uis la déclaration au M oc us a^l^mai trois vapeurs brésiliens sont parts oc l'Europe. Nos réformé! Te gouvernement belge, plac(3 par prolongation de la gue.ne dans une si ta. tion assiu» ment oiff c.ile, rencontre con nudilement des problîimes qu il lui est m; aisS d» résoudre de manière eutièremeait s tisfaisaute. Notamment, ia situation don soldats pvformés à Lï. sui:e de tlcssu.ix» çues sur 1e champ de bataille a 0t£ po nos dirigeante un sujet ce -graves préoec patioas. En ce qui concerne les soldats réf?>rm beiges' ^e trouvant en Gnuidr>lîmagi] 1 „lud^ij)endance Belge' du il) ja-ivier c* state toutefois avec satisfaction que l? C :ni'U3 Officiel Beigo, récemment» renforc s occuçjc ac ivement de tout ce qui ml resse les Belges se trouvant en Angio'e-oft <j«e, notamment, le sort des Rj>ldate r formés a ét5 l'objet de la s:Licuu<le de -comito au cours de sa dernière sén.noe. — Si nous avions été p.us r.cî.esc, (i très Jnstemenit 1',,Indépendance Be'ge ', oh que brave réforme à La suite de bicssur re.ues sur le champ de bataille recevra une pension suffisante pour assurer si existence. La nation aurait ainsi fait po; les mutils de la guerr e ce que P indus r fait pour les victimes dui machinisme c'eût été jusifcice." Mais, en attendant des jours meilleur noîro confrère constate que ,,les soldats qi ont versa leur sang pour leur }iatr.e et q< reviennent du champ de bata.il!e »>nt sii; idement mis' en r<iforme av^-c congé sai solde- Qu allaient-ils devenir 1 Etre à i charge de la charité publique f C'eut ( Lamentable et il y allait do- notre devoir de notre dignité à tous de ne pes. lai'-Sf sans ressources ceux qui nous avaient (t fendus." — Pour éviter une pareille injustic* jKHirsruit notre confrèie, le gouverneuieni i uût, à organiser des ateliers et à s oicoup des réforuvés capables de gagner leur v i>ar le travail dans les usines de mun tion s. " Ctette solution provisoire e«t aeciueil^ a-veo satis actiion par l'„'ïn;lepemiance Bel^o et nous serons tous d accord j>our re x>r naître qu'il n'est guère possible d'uxigv davantage du gouvernement belge dans le circtuicvtances actuelles. Aialhoureusèment', 1 airactère satisfaisant de la mesure prise ; été énervé par les exigences dw auorit m 1 taires, exigences contre le^uelies 1 ,,in déjjendiiiice Belge'7 protesi# dans 1^ ternie suivants ï — Il nou^ parait, que les auîoritics mi biuires sont all.es trop loin qurnid efle ont entendu cv»nserver sous leur commande ment des hommes qui ont payé leur deti, —et toute leur aet^e — envers la Patrie Ils ne peuvent pius porter les arme?, e: 1; bl*595ure ^qu'ils ont re^ue dlims-nue leur ca pacité do' /production, affaiblissant leur sa lauro quoiidien. Le soldat réformé mis en congé sao! solde doit, eri effet, souscrire au^c prt» criptions suivantes : 1° Il continue à être soumis a/ujr loii militeirœ; 2" Sou congé lui sera retiré si 6a conduite laisse à désuer; 3- Il doit, en tout temps, tenir au ooi& rant de ses changements d'adresse le corn, mandant che' de la main-d'eeuvre militoin qui lui a délivré le congé; 4° Dès son arrivée à destination, il es1 terni de se faire enregistrer au bureau- de police de son quartier; 6° Il lui oa: interdit de quitter l'usine pour laquelle il a étô ceigne s.ans l'wuto-riscaUon du comuiandîint Noterman, liû, Crix>^. venor PLiee, IxMwlIres. En cas de départ de l'usine pour urne . cause qtteloonqan*, il l^viendra cet officier, qpi lui fi.ra parvenir un ,,travelling warr;mt" jiour reyun-i3re le Bureau de la Place, Mary Place, Notting HiU, Londres. Comment justifier cette mise, disons sous tutellci, pour Hr<3 modéré ? Pourquoi imposer à ojs travailleurs teile ou telle nsouo t PfMirquoi les parquer dans tel o.i tdl «ta»-blissement ^ Pourquoi leur enjoindre le «tft-jour dans telle ou telle localité ? Pourquoi les obliger à travaill.:r pour tel ou tel sa.la.ire t Pourquoi les rt-nvoyer brusqaw w ment, dans un camp en France s ils se plaignent de lair besogne ou d'un conire-naitre — ce que nous avons constaté 1 En un mot, pourquoi tenir sous la sur. peillanco de la police militaire le brave lui s'est bien comporté, qui a subi une >lessure l'empcchant de rester dnns les con^s t N'a-ti il pas douhlem^mt mérité La ilxrté î Liberté d'aller s'embaucher ort il 'eut; liberté d'habiter où il veut; liberté l'arranger sa vie comme il le veut V" • » Ld critiques ainsi émise» pir r„Indé- nt à pendance Belge" nous paraissent aussi jus une es que mod. r. es et il faut souha.it>;-r qu< Acnce notre gouvernement pai-vienne à do ilerlev îiîtua- (.utorités miliuares à traiter nos reforme* de t'a^on ]>lus paternelle : ils 1 ont certet b-en mérité. Nous ne douions d'ailluri pas que les protestî«tions de noire confrèn ma- trouvent rapidement un écho Eavoral île. l'ai s de - 'es récriais nations acerlxiS de la plupart de-btier. ..onrnaux belges paraissant à 1 étranger — aux journe.utx que les maladresses d un oontrèrt les of.ieeux ont peu à peu amené à ap-jr cei C7n- les ac es g'ouvernementouix s.ins la moindre indulgence — nos dirigeants ont eu, danfi ire 'd ^ derniers temps, de nombreuses ocjo-sr Mit vions de s apercevoir, combien il e~t de qus? venu ind'.spcnsable d éviter de froisser I03 ,han. sentiments ou d aigrir davantage le earac-t a- ^ro d une population émigreo, dont le mot tion rai est depuis si long.e.ups déjà soumis à iine ép*3®uve evtrâmement dure. Il est cer-tain qui ils tundrunt compte de cer. étal d csiprit» inquiétant, au sujet duquel nous ne nous expranerions pas ausfei nettemeut si des indices certains ne nous avaient réL auix ^ étendue du mal qu; a déjà été fait., notamment à. notre armée, par d'inoptuor-^ans excès d au ori-tô et d inadniisébiles Ui* uaanees de favoiitisme. aark o ■ DÉPÊCHES DiVEIlSES and. La Ilaye, ig février : xmr Le j<urii'al belge ,,V r. j Bclgië", qui se pi^-blie a. Lrà. lln-ye, a^preaoj du .iiaviq qu U es-. I^vuaibie que AI. le ministre Y aiidicsrv e^k tÂmcie txi d>^m'S>ion. 'S Les divergence^ de vues se seraient produite» outre Al. Vandervelde et ses colio-la ;i 1 occ.ision de ceruunes mesiuie^ disu tutir- c*-l>:iliair^s pr-s-es contre un. groui-o d ou-tmi- vriei® des munitions. nal- * * • i sa- Paris, 17 février : n<r, ^M- Alagirnot, ancien; sous-s crétaire d'Etat re- ^ prosiueut de la Oorumissioai <je 1 anni, e >our la Chambre, a d ciaré textuel e.uouiii a-un 3Cu. collaixxrateur di.i ,,ALnin ; qui lui drjiu indiii^ s il éuii exact qn , ta situation o^s t^fectifb m's ttiit vroimeut aussi mauvaise que d aucuns fne, le pré e î^Qnt : >on- Cen.es, cette situation pourrajttt tH.ro Co- nieiiieuix». Ai l'ou s'était appli jjé du viintage ici, a iiK-nu^etr les efi'ectifs, si nous avions une ute- direption de ' guerre meijleui'e et adaptée aux 3:'re circonstances; si, eiflu, au lii^j de pfixmun-ré- coi' [Ktîii'dant de long^ mois des ofieusives i Co j jxirtiei les ne pouva. t am 0,1er aucun ri s l tut et coûtant finalement tr.!« cher, nous dit avions mené une véritable guerre d1 <:p..Lse-ha- ment, nous ne nous trouverions vrtiisem-iros 'blablennent pas devant ies ciiificult s ocrait tue'les." son Comme témèdtg, M. Maginot préconise une our eJiasse sévère aux embusqués; toutefois, il r'-e ne ion/je pas un grand espoir sur pareil e mesure, étant donné qu il r-cAame on fJu oe compte 1 appui d^s Alli s. Il ajoute : 1rs, _ Nkjs amis ljs Angiais ne sauraient res-qui [Cr sourds aux 0vi^enc;;s que les sacrifice-'ai que nous avons f-iits pf^ur la cause com-m? m 18,1(3 UOilS dQjme,it li dr„it de formuler." ^ Paris, 17 f vrier t * l/' '-es journaux .annoncent que le» créê'its t"ef1iano s c-ePa 3 le d l a t de la guerre dé-Posent 80 m lliarvs 300 mjliions de franco dont 58 Y% milliards de francs pour les d"-pienses puro'-nent militaires, l^i moyenne ' mensuelle des erédi s demandés a atteint, rr tin lf^4, 1 milliard' 34$ nuLions die francs ; P^r en 19].\ 1 m Liard W millions; en lîilb,* e 2 m U lards Cà7 milions; pendant 'e premier trimestre de 15>l7, 2 milliards mil. lions «I, pendant j,e seeon»! irimestre de 1^17, ils atteindront 3 milliards 191 nul. 0 lions de francs. "l~ > i o déficit des recettes budgétaire^, pen-«ant les trente premiers mois de guerre, ^ atteint, cotupir tivemont au/x périodes nor-ij male3 correspondantes, 1 milliard 600 m!ii-a lions de fr;mcs, soit 15.81 p. c. 1 a Le montant des obligations de l'Etat fic- tiiel'ement en circulation s élève à 12 mil-" liards 421 millions de francs. Dans son rapport, M. Ri bot expo«e que les puis grand«s difficultés sont dues arx , énormes admis faits à l'étranger, achats qui °* in ligent à la France mie dette qui préoc-;'ie >u|»o le gouvernement. Il y a un cer ain p. danger à tléjx»ndre de 1 étranger pofir les produits alimentaires et pour ie matériel à* guerre dans une aussi large mesure que la France en dépend en ce moment. Il est indispensable de mettre tout en op.uvre pour réduire les emprunts contractés jusqu à présent à l'étranger. En conséquence, La foro© . :fe production de la. Fronce doit éiie aug-r msntee. « n. * • Pariâ, 16 février : jjj. M. Ivibot, ministre des finances, a d^^posti 1U ^ ia f'hambre un frojet de loi concernant les créd^s provisoires pour ie dei1 v ème trimestre de 1917. Ces cr-dits s'élèvent à Bt 9,57 4,.S02,9ft2 francs pour le budget g^nè-k ia! et; à 92G,710,792 francs pour le budget complémentaire. ie « * • ^ Paris, 17 février : 1 & Un nouveau dcoret, 00m minant de for (es rt peines, ordonne auix particuliers de ?ivror il toutes leurs armes aux autorités. Le dé- a. cret prescrit) des perqj-xisitions domiciliaires. > * * • es, Paris, 16 It*vricr : Le ministre du commerce a déposé à la [g Chambre un projet de loi- portant (fe 3 à î x 5 "francs la prime accordée aux cultivateirs i •î par 1U0 kilo3 de froment produits. Jr * * • 1 t- Paris, 17 fév.-iar : >i Un incendie s e<t déclaré dans la scierie 51 'e la filiale des usines SchneideiuCmizot, 1 > Bordeaux. Quoique les flammes aient t+à <-jq rapidement éteintes, les déglis sont impor- i ^ toats. 1 » * • i :. Pans, 17 février : e le écrit que îa situattoiî cT«s e I:alv«ns prés de 0-orz donne à réAèohim 1 ■s Aant donné que, jusqu'à présent, i's n ««t l a- j as réussi à gagner du terrain au d'elà «^cs 1 1 t .au bourgs. Chacue poue^ de Lorrain ion .i j être arraché à ^ ennemi |>ar des combats acharnés et toute retraite, si petite soit- ' elle, met le secteur du Iront de Gorz en péril. COMMUNIQUÉS OFFICIELS ;® Communiqués des Puissances Ceatraies 0 Berlin, 18 février. — Officiel de ce iniài r ^ Théâtre de la guerre à. l'Outest. - Armées du feklmarochal prince héritie e Iîuppiwht de Bavière : T Après une violent pi"éparation d'artillc e rie, dvj forts d t umeajieuis ;ui6Lais ont teut "s do penélrer dLuus nos trunonées au nor ^ d'Armeuitièix» et au sudLouest de Liiit iiiiiifsi qu au nord du c<ina-i do La Bass e e 5 près de Itansirc. Ils oint été repoussas ei piitio, après des corps à< corps au cour desquels des prisonniers sont reefcis entr ' nos muôns, et en partie par notre feu. " l^e 16 £évr er au soir, a[)r..s l'échoo d „ l'attaque qu il a prononcée au sud de àli s i-aumont, 1 eimemi a tenforc^î pondant la nui 1 l action de son artillerie et, au matin, a d< nouveau pris l'offensive sur les deux rivei ' de l'Ancre. Au cours du coin but qui s esi poursuivi pondant la journée avec des al 9 teriuuives variables, nous -avons fuit œn jrente prisouniers, nous nous sommes em parés de ciuq mitrailleuses et nous avom ensuite abandonné à l'ennemi nos position les plus» avaneikis étûb»ieis dans des entonnoirs creusés p-ir des explisions. Au sud de Pys, une violent3 attaque an»-glaise a été rcpoussée ; nous maintunonf „ toutes nos posi ions. Sur l'Oise, pr.s de Dreslincourt, une at . taque nous a valu quatorze pris^Hiuiers. Armées du prince héritier allemand : En Ch>unp:-rg-ae, nos nouvelU^e |/osvtione au sud de lui pont et, sur la rive cxxîid*n-" talc de Li Mea.se, nos tranchées étarjln s dans lo bois Le Pr-trc,, ont éîté prises soua un viol»mt ftm ennemi d'artillerie et de lance-mines. Notre feu destructeutr a empd ché des attaques de se développer. ^ Pendant lia nuit d!u 17, un de nosi diri-; geables a copieusement bombardé 1a ville et le port de Boulogne. Théâtre de la guerre î\ ï'Esb Front du feldmaréchal prince LéopoîxJ dia Bavière : Sut la Lawkessa, au sud ouest de Dwin^k, des troupes d'attaque allemandes ont pénétré dans les lignes russes et ont ramené une cinquantaine de prisonniers. Front diu généra L-colonel archifîuc Jo-se]>h : Dans les montagnes situées au nord! da la vaJL c d'O tos, les Kuseas ont cessé leur attaque lorsque leurs premières vaguas d'as-siut ont reflué sous notie feu de d l'en se. Armées du feldmaréahal von Mackensen : Kien de nouveau à signaler Front macf'jdonien. A l'est du lac de Doiran, un d'^taohettnent anglais qui avançait contre nos avant-postes a été mis en fuite par lo feu de notre artillerie.* » * Berlin, 18 février. — Officiel d'hier soir : Des combats d infanterie accoinpagn is <iie vigoureuses canonnades se sont engouas, dans 1a ni.it née, le long de l'Ancre. Dans l'Est, point d événements particuliers.* • * Berlin, 17 février. — Officiel : Dans ia nuir du 15 au 16 février, des ( hydroplanes allemands ont bomb«irdé les stations d'aviation de Saintt-Pol, près de Dunkerquc* et do Coxyde. Nos observateurs oomUier.ent que des bâtiments et des installations de stat ons d aviacion furent atteints. En outre, un hydropiane, s attaquant aux na\ ir<_s do commerce muais dans les Downs, a lancé sur eux une vmgiaine de bombes. Tous le? appareils sont rentres. « « * (Berlin, 17 février. — Ofrioiel : l^ 15 février, nous avons sigsaalé qu'un de nos sous-mari us avait cou-la au te toi ;*5,OOo tournes brut. Parmi les navires oou-b's se trouvent les bâtiments sni-ants dwnt la pressa n'a pes encore publie les nome: ie vai^jur anglais „Gravina'; (1,142 tontes) chargé de, primeurs; le voilier italien ,,Mario" (1,002 tonnes brut), cJiargé de aifé pour Londres, et 1e voilier suédois „Ilingo Hamitfjn ' (2,563 tonnes), chai-gé do saL jiêtre. Au nombre des auftres navires, il y a un vapeur de 4,500 tannés brut chargé tie mi.\î(ériel cjo guerre d'une valeur du 60 millions destiné à l'Egypte; un valeur de 8^.K) tonnes cliargié (le salp tre j^our i Australie, un voilier de 2,000 tonn^ chargé de ma s, un vapeur de 8 000 tonnes ohatgé 00 chaiijKjn pour la France, et un trois-mAts de 2,700 tonnes transportant du sal-le à Boidic-aux. Lo SDas-marin a fait, dix-huit prisonniers, dofit quatre ca|itain<3e. On signale encore oomme ayant, été coulés, troip vapeairs jaugeant an total 9,5<jo tonnes et six chalutiers "augearffc au total 900 tonnes. Il y a lieu de signaler, dPautro part, c.u'uiue série de sous-marins rentré do la mgr du Nord annoncent qu'ils n'Jy ont vu de trafic maritime. Communiqués des armées alliées Paris, 17 février. — Officiel de 3 heure» : En Cfcamrçiagne, activité des deux artilleries dans lo secteur de Maison»-d!o-Champagne.Lhms la région des Epargna, un côup de main ennemi a échoué sous nos feuix. En Alsace, hier en fin de journée, c.près un vif bombardement, un do nos d"t:toho-roonte a pénétré da-ns lie saillant ennemi d'Amertrwiller, complètement bouleversés et a coinça té que l'ennemi avait subi d« « jiertea «eosibleç. N'eus avons ramené des prisonniers. Nuit câlins partout ailleurs. Aviartàon. — Des lens-agnemen'al complémentaire fooit coiwiaàti e que, le 23 janvier, 10 capitaine Doumor a abattu un avion ennemi ; c'est le ciniffuièmo appareil dJétrudt jusqu'à ce jour pnr cet officier. Ifier, 1111 de nos pilotes n defcenrhï un ballon captif ennemi dans la région de Marvaux, près do Vouziors. » » * , Paris, 17 février. — Officiel de 11 heurdi : CauA>unade miei,|micteiiitie sur la piuJt . granxie |*iriie du front ; lutte plus activa vers liiljo^ourt. Lî'n c»»uip do main ennemi sur un de nos r petits postes au nord-ouest de Be/onvauix a échoué sous notre feu. * 1 • * I Londres, 17 février. — Officiel du soir :( Sair les deu >- rires de l'Ancre, nous » avons ex oc 11 te d heureuses opérations. J Las? positions €ttinemi«s établies eu Iiced0 1 Miraumout ont été conqu sfts «sur un fronU db l 1/2 mille et sur une profoud-iur d un 3 deiui-mille. Nous nous somjnes cm^irée, eiï outre, d une itn[sortante pusù.on enntaniQ 1 établie au nord de BailMsmurt. Ijcs ALq- mands ont Subi de fortes pertss. ' N\»us avons pronoace dis attaques effi-' caces près de Neuve-Chapelle et de Plo^g1^ 1 steert. Un gr-uid nombre dé sokliats allemands ont été tués. * * • Petrograd, 17 février. —• Officiel1 du granicj énat-major général : Sur le front à l'ouest, canonnades réciproques et opérations o« reconmiissarice. Dans les Carjvithe', temp<tes de î edge. Sur le front, en Roumanie, duels d artiifay rie et escarmouches eatre avant)-potst«s. De^ecnes Diverses Paris, 17 février : M. Octave Mirueau vient de mouiir à Yêgt* de 67 ans. * ' * * Milan, 17 fétvr'er : l^s journaux profitent de l'arrivée de la délation par eu on faire fran^aiiSM [tour S;^ hauer que les Allies prêtant plus d'auten-tion à la situation générale ae 1 Italie, ^l 'CiTSeveraiiza "en<i-e auii'es, est me quoj depuus quRilt^es mois, les intérêts itofiieoS ont été de nouveau foi-1. négliges ;par l'Entente et eile esp»;r& que les nouveaux pourparlers qui vont s engager à Rome amptliou reiont la situation. I>es vuigt-ciuq députes et sénateurs franf ça<s se reucj-ont d'aliord à Turin, puis à Venise; ils seront ensiu.ee les hôtea du lloi. D autre paît, pour mettre davantage eni lumière les intérêts do 1 Ital o, M. Biea>> lati so rendra en France et eai Anglcteire. Dans les milieux politiques italiens, on attache une gr an/le împurianee à son vo^e- , i-LixuULLLlîJâ Rotterdam, 18 févr er*: Hier, dans un discours qu'il a prononcé à Manchester, le ministre Ilenderson a déclaré : — Nous avons lo sentiment que notre grand jjeuple ot ses vaillants alUîs seront mis, durant les prochains mois, à uns épreuve comme ils n en ont jamais connue depuis que la j/ieniiî're batniilo de cett^ guerre a été- livrée. Je partage en ièreme&it ce sentiment." Le ministre a d'olaré ensuite que jamaîg il n'a ou autant de confiance dans la victoire finale de l Entente. Lee che?s de l'armée de campagne seraient sms aucun dioub* déç,us si, au cours de l été procliaiu, ils [>arvenaient pas ù porter à l'ennemi uni coup qui, «'ajoutant aux autres facteurs connus, n'aboutii-aiii pas à la victoire complète que nous désirons. * Afjvîrid, 17 février : On annonce que fat'aque que M. Maura^ [ chef du parti conservateur, a dirigée oonu-a le cabinet Horminonet? a ét^ approuvée p?»© lo groipe de 1 extrême-droite. M. Bioma-nones a déclaré que le cabinet donnerait s<a d^nission si sa politique no réutiiiss»idt pas des votes eu nombre double de celui' que J.ui assurait son propre parti. * Londres, 18 ffvriei- : Le ,,Manchester (iuardian,ï annonce qua les autorités établiront peut-être à titre d'esfcai des cartes de sucre en Angleterre. Berlin, 10 février : On annonce of; icielloment que lo Conseil fédéral a dioidé que i heure d'été sera en* core appliquée cetie année. I^e nouveau sç/s. tème commencera le 16 avril, à 2 heuita du mâtin (H. E. C.), et finira le 17 sep. trmbrc, à 3 heures du matin (heure d''£té)< * Stookholin, 16 février : Le gouvernement a saisi tous les stock# de café existants en Suède. La population sera rationnée et resevra 300 grammes do café par tête et par mois. » * * Pétrograd, 17 février : Le „l.'ie^ch" annonce que M. IBark, mJU nîstre diis finances, se rendra amx Etats* Lnis pour négocie: d'importantes afiiaareg financières. <* * * Berne, 17 fé\Tier : A la suite du conflit qui a éclaté entra les Puissances centrales et les Etate-Unif», M. Henri Ford a supprime les su^ideS qu'il accordait à La Conférence neutre. NVank moins, celle-oi a décidé à l'unanimité dla continuer ses efforts en faveur do la pa^r. L'œuvre entreprise sora poursuivie princi< paiement par le 1 >anemark, les Pays^Bw^ la Norvège, la Suède et la Suisse. • « 1 •' Ottawa, 17 févr er : M. White, ministre des fmtFtices, a ho* noncé aux hanquiers canadùens que le pro. chain emprunt de guerre «era v rassembla» bleanent émis on mars prochain, » * * New-Yoïfc, 17 fr-vrier : D'après un «ranime de La Ila^wne, an violent combat s'est livré à 17 milieu ie la ville; l»s troupes du gouvernemcnS 3nt infligé une dé*a te auix rebelles. * .* * Londre', 17 février : On mande de Sidnrtv au ..Times" : — Le premier ministre d'Australie w ao« aoncé la consiitution d'un gouveroeaiveyit national, qui ne traitera pas la question diu ser^'ice obligatoire. Lundi 19 Février 1917 JOURNAL QUOTIDIEN — Le JSTuméro : 10 Centimes * 4e Année. — N° 354 . j""»*1 1" Il II)' l — m I m n»i M^-nTTn-.r-TT-.ii i\>qm*i imj n m mimi.iii;h»ii ii w iMiiiHM m ■mu . ,,,M „ __ ,

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Cet article est une édition du titre La Belgique: journal publié pendant l'occupation sous la censure ennemie appartenant à la catégorie Gecensureerde pers, parue à Bruxelles du 1914 au 1918.

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