La Métropole

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s.n. 1914, 19 Août. La Métropole. Accès à 05 mai 2024, à https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/fr/pid/0v89g5h60h/
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Y LA MÉTROPOLE EDITION DU SOIR « 121e Année 5 EUR lu lira Mercredi 19 août 1914 229 WMmwm m m* e«raph ,, I ^ition AS au I - - EGR0» ¥ A TCOOF? est.dà 4 I IE COMBBT DE D1ES1 '"'•■Escarmouches autour d'Anveri aits H l'rttnhat A isolés en mer du Non ; MilUoi» ' 'uiaircs^H comb* ■ ftds onn _ _ bouclJ I | il8!1 m is hostifiti un ar-fl Us ou^H -« « *• Si® Cavalerie alternant jour ,lâ j jet repoussée ues ou|| r ers, dos- a . . I Les prisonniers arrivent du <h Anvers, mercredi iq août, midi. (Ofl I ,pCe matin, de la cavalerie allemande fort dJ <nt probablement la leçon qui a va tinué à fifligée hier par certains de nos détache rmés et rès avancés à plusieurs de leurs pai hissé ]« «enté à nouveau de se frotter à nos hoi I le résultat a été analogue à celui qu* du fe i-jfe:; nons signalé à Turnhout et à Henei ns allefl (fous leur avons fait subir quelque dom ■les solJp < aujourd'hui môme un convoi de prise tire prifl ifcmands blessés sera dirigé vers nos porte® eux militaires où ils recevront les pr feu sub| fins, pour être ensuite dirigés vers l'ini I ti pays. J La situation reste donc excellente d . fl josibioai fortifiée d'Anvers. mt j Dans la s, a Campi *ÀBm —<o,— st <JI Hne panique injustifiée. -"fiai tactique de l'affolemen1 . m-:> J1 Une razzia du bétail ? efh'na^t (0e notre envoyé spécial.) ie foriéH Turnhout, 1 seconuèB Le système des Allemands qui con mes - stH envoyer en éclaireurs des uhlans chaj - l'AUe^B provoquer la panique a produit en C armées® ['effet le plus complet. les opé« Les journaux ont dit en quoi consl Irons s» système: Trois ou quatre uhlans arrive fort ai» une localité et déclarent sans avoir ] 5 atten® rioii qu'ils sont suivis par ^,000 autres l neB Vous jugez de l'effet. J'en ai pu jug îe.nacé^B même aujourd'hui à Turnhout d'où lie Le. Il adresse la relation exacte des événenv it d'en- a g h. 10 du matin, dix-sept uhlai Jrandes gèrent en lisière de Rethy demanda chemin vers Corsemdonck où ils an 0monts niais oh Ils furent mis en fuite par le it dé]à . (fe feu de la gendarmerie. Ile pro- Un uhlan blessé apporté à Turnilu forces produit une émotion indescriptible : 1 ipes au générale commença aussitôt provoqi apport< rarrivée die #nns de Kessel et d'allié llr leur avaient ajouté foi aux raconta*^ dses ;ndront "• ' et de •st pas "Nous avons pu recueillir aussi le rapide gnvage du ohei de gare die Bourg-I ws; ks D'après se® déclarations, la dernière < L'ucu ne- nicatlon qu'il ait reçue signalait la : s P?3" ^ iço Allemands de Beet-Betz sua* u s. Lu Mais il y a eu sans doute une p -S son* oe détachement qui s'est dirigée sur n mili- Wesel, c*r soixante-dix uhlans seule; tribuee sont pre^vilés à la gare, ont détruit le lépense téléfjhwwques et télégraphiques, ont e n c-ustc, bref se sont rendus maîtres de . Ils ont, il est vraii, tiré quelques o 3t 11 e® fusil et mw le feu à deux ou trois <cbl> a' ,y°n camp nWw on a hissé le drapeau bl qui v ont pu voir que les chasseurs de li >es, les civique de Gand commis à la garde c n 'étaient, plus là et dès lors l'intin f s P31 a cessé. te cou- * * * graine Honenthout, fensive (s aille- On annonce ici l'arrivée des uhlan ». A en toujours la môme histoire. La fuite ds ont irréfléchie se produit. Mais il nous fa i court, menoer à ajouter foi à ce qu'on di ; forte. mous voyons arriver des gendarmes \ s éner< tre ou cinq qui n'ont pas osé accepter ut-être bat avec des forces supérieures en ne consi- Le village se vide. Ceux qui fu'w i fran» surtout oeux qui ont des jeunes fil abandonne tout, maison et bétail. - fraiv Cela nous fait penser que les tentai s trou- uhlans pourraient bien avoir pour razzia du bétail. s dans Mais voici que l'on annonce à ... ^lgo e( de forces de cavalerie belge venant d s sans Bientôt, en effet, je voir arriver sur ensive de Bouwel un lieutenant de chasset ont ce deux lanciers et deux guides. (On sa tetnp> cavalerie d'Anvers groupe des cava mésa- tous nos régiments.) D'autre part or t esé' l'arrivée dt uhlans de la direction de emont hoven. ^ >\f*' "* r v * prévu. ait en c'est fa fuite dans La direction oc i5o< corp^ en. passant les fuyards racontent au K< ^e qui qu'il peut s'avanoer sans crainte, l< nmaav n'étant pas occupé. Mais l'offioier po deux vers Herenthals tandis qu'un d « ïiors file au galop vers Bouwel. En Bouwel nous trouvons un parti de c 0 be^ge qui^est prêt à oardr vé e^ - " ipreiv Es Toujours us faux bru 2rT&ur Londres, 18 août. — Le Pressbui viser glaiis dans un communiqué dit que _ ,;,nf est averti que l'ennemi essaie de 1« fausses nouvelles sur de prétendus < . An £,ue noirs ou 1103 aurions subis. y. et, seur a déjà reçu une histoire de ce disant qu'un régiment irlandais aura — bataillon entier anéanti. Ces bruits^ -o aussi en Belgique. Des bruits ont é ment lancés que des blessés auraient destinement débarqués dans les hôpi igLa lutte est engage |0 Lo moment est venu d'avoir une âmi bronze ! I^a baitaMe s'amorce et de sangla nouvelles vont nous parven'ir. Jusqu'à présent, lés combats rie miren présence que des quantités rellativementn mes d'advensaiires. Les distances ét? I grandes entre les armées de campagn seules ou à peu près les cavaleries étaaeroi iciel.) gagées. iitjio- La situation peut s exposer larger it été comme suit sans trahir pair le détail la s ment s t ion de nos trou pes. Chacun sait que tils a Français sont à Namur, à Dinant, que mnies. Belges sont à Huy. L'on nous a annoncé • nous avancée française puisque les Alterne ithals lundi, s'étaient repliés sur Asch en ReU mage, RaimilVties et s'y étaient organisés défen nncers ment. hôpi- On sait aussi où se trouve le gros de îmiiers troupes. . érieur Et nous apprenons l'avance allemande le nord-est. # . . ans la Nous savons aussi que 1 armée anglaais entrer en ligne.... Pouvons-nous conclure? On ]jourralt certainement sans ns< dire que les Allemands arrêtés au Sud de tes parts cherchent vers le Nord une d'autant plus commode que le Nord es Il garni. . , ^ Nous inclinions à croire que cV?st pour une situation extrêmement dangereuse notre optimisme ne se départ pas et - La cause.. le combat d'hier e 18 Les Belges se replient m Tirlemont-Diest. - implne stait oe :it dans 'air de er moi- Bruxelles, 18 août.— Le «Oeinièro H e vous annonce que l'ennemi qui se trouvait n>ts. sur le front Herek-la-Villle-Str-Trond, ( ns pas- replier nos troupes en bon ordre sur la rot leur Dies"t-Tirlemont. .v •ivèrent Pour garder notre preraiore ligne qui s s coups dait sur la ligne de démarcation Siehem- Haelen-Geet-Betz-Budingen-Neeriinter-' >ut y a de-Tirlemont. nous n'avions que notre >a fuite sion de cavalerie; une simple compagr iée par carabiniers cyclistes gardait le noint. .< urs qui menacé : les vieux remparts de Diest. uhlans 1 Un avion allemand atteint a Geet-Jie ailé s'abattre vers Rummen, o'est-a-di , côté ennemi. C'est vers six heures du matin que 1 témoi- fut la plus vive et c'est sur dix kiloinètrt ,éopold. le combat s'engage. Les Allemands atota îommu- Haelen, Loxbergen Corteinaeken et 1 marche gen, mais c'est su.r Geet-Betz qu us t€ Beerin- leur trouée. No-bre cavalerie lutte pied a artie de et résiste dans l'oidre le plus parfait Baelen- en subissant des pertes sérieuses. Les lient se mands ont contourné la position et ti s lignes chevaux à bout portant. nlevé la A Budingen nos troupes montées se a £?aire. vent dans une tranchée et résistent >ups de encore. Le comte Wolfgang d Lrael >cs » du frappé à mort, mais là aussi il faut bat inc. Ils retraite et on le fait en bon ordre. Us e 1 garde là .240 contre 2QQQI,. iu camp ~T ^ îidation le 18. s. C'est la plus ut com-t quand >ar qua-le com- , mbre. ait sont les. On ives des m " Combats isolés „ 1! 'Anvers. « n • rB la Ker du Nord liens de • ; Londres, iq août. — On annonce off J ment que quelques combats isolés c AuccUAr lieu pendant la journée d'hier entre le ' v 1 dres anglaises en patrouille et des ct*< .1'' allemands en reconnaissance. ; vMItn&o On ne signale aucune perte. ;.«S £* Une certaine effervescence se ma dans la partie méridionale de lû mer du es cava- ^ ^Router's Tel. 1 effet, a avaiei'ie La passe de Wielingen inte Paris, 18 août. — Un communia • _ sous-secrétariat de la marine marchai que le chenal de Wielingen,_ dans 1' occidental, est interdit aux voiliers, m< eau an- Tous les abords de l'Escauit occ e public ne sont- désonnais accessibles qu'avec inoer de la,nc0 de pilotes néerlandais. (Haï lésastres Le cen- r r ite sorte Mort subite d un général an it eu un 0 circulent é égale- Paris, 19 août. — Le général Gr été clan- commandant une partie des forces an taux an débarquées en France, a succombé à u: Vers Namu La marche en avant des Franç , - Geanbloux,. 18 aoû La situation peut se résumer ainsi: Allemands dont les avant-postes oouvraier région de Gembloux-Walhain-Thpreml . Piétrebais-Jodoigne se sont repliés depuis 5 di soir devant le forces belges qui s'a' . çaient. Les troupes françaises qui s'avança 11 sur l'aile droite de notre armée sont ent en liaison étroite avec celles-ci et ont p . .n cliassé les Allemands qui se sont repliés V'm" qu'à Asclie en Refail et llamil'lies, se rai sant et prenant de fortes positions do dé ? e se. Les avant-gardes des deux armées e en~ mies qui se font face de oe côté du pays pris le contact ob le ohoc est imminent, nenit puisqu'il s'agit de faits accomplis, e: .a" quons ce qui s'est passé dans cette con , depuis quelques jours. La cavalerie enne procédant des foroes assez nombreuses et ; on estime le nombre à 15.000 hommes envi 9, s'était avancée jusqu'à proximité de ( . et bloux d'une part, de Wa^re d'autre par ?ive" de Jodoigne, sur leur droite. XJn millier d'hommes, par exemple, s < nos dans le bois de Buis, à 5 kilom< de Gembloux, et <leux ou trois autres mil vers à Tliorembaâs-Saint-Trond ^ à l'interset des routes de Huy-Perwez-Wavre et de C 10 va leroi-Tirlemont \ iâ Fleurus, Gembloux el doigne. C'est de là qu'étaient partis oes gro îues' isolés qui ont tenu Gembloux durant j. .t'ou" quatre heures, de dimanche midi à lundi 1 ts^ue ^ jont une dizaine d'hommes avaient n ^ poussé jusqu'à Sombi'effe... ce qui leur reste coûté la vie, les dragons français eux vaut-garde les avant pris a revers. ^ Nous avons dit ce qui s'est passé à < P°ur bloux et la manière ignoble dont les 1 modernes s'y sont comportés. Jusqu'à lundi, vers midi, ils patrouille semant la terreur dans la ville abando sans défense. Les chasseurs à cheval fra les mirent alors en fuite. LTn habitant de Gembloux. qui s'étaa* prudemment avancé pendant la fusilla< _ été tué. . SUT A Walliain, à Tourinnes-Saint-Lambe Thorembais-Saint-Trond, à Perwez, les ! mans se sont — les plaintes sont généra-1 très mal comportés. Les officiers affect de se conduire en gentlemen et de se co ter do rien, mais ils laissaient faire leurs ms, qui se .sont livrés à un véritable pi: Les habitants, pleins de rancune et de nous ont accablés hier de leurs doléanc eure» — Tout le monde avait fui. Ils en ont lundi fit© pour enfoncer les portes, Jes fen« l, fait p0ur tout démolir, éventrant même les 1 ligue fas pour y découvrir de l'argent. Tout c les plus pauvres gens avaient, ils l'ont 01 éten- ils nous ont dépouillés de nos montres e )iest- qu'au dernier pain, jusqu'au dernier gra Sri m- ca.fé, tout a été enlevé. Lettres de soldats tz est 1 * allemai «quo Paris, 18 août, 23 h. .^0. — Commiu □uent du ministère de la guerre : ludin- Près de Dinant les Français ont abat ntent 'ivion allemand dontt le pilote a été tué C terre servateur fait prisonnier. L'appareil e tout tact . . . ^le- Le9 troupes françaises ont saisi de 10 les breuses lettres de soldats allemands \ niant de Badonviller, à quelques kilon trou- de >la frontière. Plusieurs de ces lettres d( nieux trent que tes Allemands ont fait soi y est lviliomètres en France ! L'une d elles re en « Nous 9©rons à Paris à ta fin du n aient Une autre dot: «Nous sommes dans 1 de la France. » . La plupart des lettres iniurieot les s ! français. Il convient de remarquer qi soldats allemands qui les écrivirent re t depuis quatre jours devant les Français • soldats allemands déclarent qu'ils ne quont pas d'argent, qu'ils en obtiennes menace du revolver. Avant d'inoendi villages les Allemands empoi'tent tout 1 est mangeable et buvable. Un autre écrit que la première vill nontrée à la frontière fut complèteme truite. Tous les Français civils furent fi Si on a seulement la mine suspecte or veillante on fusille tous les^ hommes, gens, adultes. Un autre écrit qu'il a v trois convois de paysans français \ ruLctrs et que tous seron.t fusillés. Dar autre îettre on lit : « Nous^ avons fusi nnn habitants de quatorze à soixante ans. Ullu avons abattu trente pièces.» Vingt lettres portent constamment ces pn ccTout fuit fusillé ou tué. Nous ne laiis aucun habitant vivant, sauf tes femme Cette fureur est motivée par l'acci que les civils tirent sur les Allemands • vii*» 'lie gouvernement français leur a fait îcieiie- d)es armiG£ dos munitions. l< 'II 11 monde, même en Allemagne, sait qu > esca- egt fa(UX >rseurs ^ lettres saisies indiquent que de breu^ réservistes allemands sont mo „:rchaleur sur la route. NrtS ^'îment allemand engagé dans N ^'lon a su^ de gran<les pertes. ' Le maire e.t les notables de Blarnc été condamnés à mort par les Aile nHito mais l'arrivée rapide des troupes fran I UUC ,e désordre de la retraite des Alleman< sauvèrent la vie. (Ha^ "é L'héroïsme d'un mairi ide dit _ . Escaut Paris, 18 août, 23 h. 3.^. — Le ((.| :me de Officiel » publie un décret nommant dental lier de la légion d'honneur M. 1 ['assis- Joseph Edmond, maire de Badonville pas.) après des actes de sauvagerie et des m-commis par des soldats allemands d . commune, l'assassinat de sa femme < QiaiS cendie de sa maison, continua, avec ur froid et une fermeté admirables, à : sans défaillance la protection et la s ierson, de la population. Il sauva ensuiteJa v glaises prisonnier allemand, malgré la juste ie con- deç habitants, donnant ainsi un mag mbbmbb—————a—«b— Autour de la guerre Généreux et galant Lundi, quelques jeunes filles de la sook Bâ anversoise portant de gros paquets de tab *8 de cigares et de cigarettes, attendaient Vi 9 rivée des trains à la gar< cenitrale. A chaq soldiciit qui descendait de ces trains, elles 1 mettaient un petit paquet que tous aco( •talent avec joie. A certain moment, un pioupiou, couvert 1 poussièniN la figure .hirsute, descend d' train et s'avance vers la sortie. En cours route, Il est arrêté par une jeune fille qui met un paquet de cigarettes dans la main. Le soldat, quelque peu surpris, s]arrête, ^ garde ce qu'on lui donn", puis, la jeunè fi ^ et galamment explique à cette dernière : ^ — Je m'en voudrais,' Mademoiselle,de v< refuser ce que vous m'offrez, avec -tant grâce, mais à votre tour, vous me permett Ide \ ous offrir ceci; Cela vous servira à ac ter des cigarettes pour mes camarades 1 sont plus à plaindre que moi. Le soldat met un billet de vingt fnancs d< la main de la jeune fille tout ébahie et s'éc se avec son paquet de cigarettes de six sou Personne n'avait reconnu dans ce petit fenseur de la patrie le 1 ils d'un de nos p rgros négociants an ver soi s. Les pêcheurs de mines SI S n,'ous avons rapporté que les Allemar t contrairement à toutes les lois de la gua LeS posaient des mi nies en pleine mer, da.no t la parages fréquentés par des navires neuu ^aîs- Il ne faut pas croire, dit à ce propos [un- «Daily Telegraph», que oette pratique •an- pris l'Amirauté au dé|x>ui~vu. Elle pen ient bien que l'Allemagne violerait, à cet egj rées la convention de La Ha e. Son attitude d >ur- la discussion relative aux mines, à la Co: jus- rénoe de la Paix, avait toujours paru ; nas- pecte. . fen- En conséquence, l'Amirauté créa une e 111e- dre de «balayeurs de mines». Elle fut c ont eue lorsque M. Me Renna était premier , de l'Amirauté et grandement développée epli- puis. Elle se compose de robustes chaluti trée spéciaiemenit adaptés à leur fin. Ils sont n mie, tés par une section spéciale de la _ res. lont royale navale, de hardis pôclieurs qui sa* rou, se servir de ces bateauv et qui connais: iem- ia mer du Nord. Il y a 142 officiers et 1 ©t hommes, le tout sous le commandement capitaine Thomas P. Bonham. >tait Maintenant que l'Allemagne a montre >tres jeu — et perdu un des bâtiments qui lui liers vaient à poser des mines — on peut bien ition citer l'Amiirauté de sa prévoyance, bar- L'escadre a été renforcée^depuis le débu • Jo- la guerre et ne manque ni de chalutiers d'hommes de cœur pour les monter. L'état d'esprit des allemand Si1' Un Belge, qui revient de l'Orient, a ' H1. versé l'Allemagne ces jours-ci.^Le voyaj (Va_ été pénible, naturellement. Mais nptre c patriote est parvenu à l'accomplir giace parfaite connaissance de la langue allcma Tuns 11 a Pu constater partout que l état < prit de la popu'-tion ?t <lé|a bien diffe •pnfc de oelui qui a été noté et signalé partout nnép les nombreux Belges revenus d Allemagn nçais moment de la mobilisation et pendant premiers jours de la guerre. , im- L'enthousiasme belliqueux et trenet L t qui se manifestait partout, l'exaltation c foule qui braillait : «Vive la guerre.» rt, à «A Paris!» ont fait place à une visibk Aile- pression. . , ... es — Si niai informés que soient les Allem aient des résultats véritables des premiers en* [item- mente, ils commencent à se rendre co: hom- que la guerre, dont ils attendaient mon lage. merveilles, est pour eux une déplorais rage, faire. D: ns tous les trains ou il s est tr es: en contact avec eux, et à Berlin ou il pro- s'arrêter quelque temps il n a entendu >tres, plaintes et récriminations. . , rvate- L'insolente Germanie entrevoit qu el 3 que commis une gaffe gigantesque et qui Km ilevé. tera cher. . t jus- Ce n'est que le commencement ! LAke in de prendra de mieux en mieux cette vérité, oui, ça lui coûtera. Séjour tranquille Dimanche soir, alors qu'il annonçai a/Ici première page la violente action dont LUS niant venait d'être le théâtre, un 101 bruxellois publiait en quatrième page niqué suivant : <( I^es familles désireuses de trouva Lu un séjour relativement paisible en ces temj : l'ob- trouble^ trouvent chambres et pension a »t in- ble, 'tranquille, à Dinant, 11, rue du I de Justioe. B. soins. Prix modérés. » >rove - Le martyre d'un gendarmi imonr Un de nos confrères fait 1 .horrible réci xante \'oici, qu'il tient directement de la vu dit : même : ., ois.» Un gendarme belge porteur d un me e sud pour le Roi, fut fait prisonnier par les mands au cours d'une escarmouche. Ll . >ldats la lettre qu'on lui avait confiée, nia îe les geste n'échappa point à ses bourreaux, 1 juilent rouèrent de coups. Ils le conduisirent^©r ;. Les auprès d'une ferme qui brûlait, et lui o mam- nèrent de traverser le brasier. L-e malnçi t sou^ dut s'exécuter, il traversa d un bout a ?r les les bâtiments en feu, gagna les jardins c » qui la fuite. , Mais 11 fut rejoint par des cavaliers ï ren- miands ét obligé, sous peine de mort, . it dé- verser une autre maison en flammes. 1 jsdilUés. qu'il se pliait à ce nouveau caprice, il t l mal- asphyxié. Les Allemands le reprirent jeunes soignèrent de leur mieux afin de le rar J ils y réussirent. «rison- Sur oes entrefaites, ils durent batt s une retraité, et emmenèrent leur pnsorvn.e Hé les robliigènent à porter sur ses epauies Nous leurs blessés. Le pauvre gendarme, qui autres bail d'épuisement tous les dix metrea rases : faire plusieurs kilomètres de_ calvaire, sâmes n perdit la notion de ce qui se pass 5. » entendit le bruit d'une bataille, et sation retrouva dans les bras des ambula et que belges. . t , distri- l>eux journées de traitement dans un «ut le tal l'ont remis sur pied, et a lTieure c e cela naissent oes lignes, il a déjà rejoint son "La "Kultur„ allema la rf- Du « Petit Bleu » : nt ont _ p,.115s;ons ont incendié mardi msmds midi je vn)a„e do Grand-Rozières, p çaoses, Pcnv ez. „ ..... Ls leur _ Les p, us&iens ont fusille ft Grarn ras.) uu p^tit porteur -de télégrammes qui t refusé de leur donner sa bicyclette. ^ •— Les Prussiens ont assassine a 1 ournal deux bourgeois qui fuyaient à leur app cheva- — Les Prussiens ont volé aux paysi Benoit. Thorembais-Saint-Trond leur argent et r, qui, montres! En 1870, ils accaparèrenttou :urtres pendules qu'ils trouvèrent en Fran< ans sa 191-1, ils se contentent des « toquante ït l'in- nos cultivateurs. Leurs goûts sont d^ 1, sang- modestes. issurei* — Les Prussiens ont fait mettre a g< éourité à Aischc-en-Refaille, vingt-deux homt e d'un femancs qui, sous la menace de leurs rev colère durent leur demander « pardon » ! nifique — Ils bombardent des villes ouvert! t.ûc "PmwïiATiR Ront déeidémeub do t iïïERS CAPITA Nos petits princes e, Ce matin nos petits princes, aocon tr- de deux précepteurs ont fait un© vi 11e port. Après avoir parcouru le proment ■e- où ils admirèrent le fleuve, ils priren p. rection du ponton et traversèrent le ] génie jeté sur l'Escaut. A maintes rep: de enfants royaux questionnaient leurs m teurs qui s'empressèrent de leur de toutes les explications nécessaires, lui Oette visite terminée,leurs Altesses retournèrent au Palais en s'arrêtant re- à la G ranci'Place, devant la Cathédri le, la statue de Rubens. Tout 1e long de la route les princes •us aeolamés par la foule et iLs rentrèrent de lais au milieu d'une véritable ovation, pez ■ mi • ■ ^ E11 Bel^iqi ms s;i>- A. Bruxelles dé- un ATELIER DE COUTURE lus AU MINISTERE DE L'INTE Les étages supérieurs du ministère teneur sont, en oe moment, transfo ateliers de couture: Des tailleuses b ds, ses, avec un zèle désintéresse, coupe re, dant toute la journée et toute 1a soi 'es blouses de toile bleue, destinees a 1 *es. civile. Biles sont aidées de nombre le vrières. Ik POLICE BOURGEOISE ET POLia urd, OUVRIERE A BRU) ^ Deux par deux, comme les genda ltc" Nadaud et les canards tyroliens, le« a ;Ufi" la police bourgeoise et de la police déambulent par les rues ; une band ;oa" calicot, aveo inscription monitrice, le le torse ; comme armes, ils portent u: ou une parapluie, suivant l'état du <te" tre. &rs' Modestes, sérieux, graves et atte l0n" incarnent l'image du bon citoyen dé\ )rvc chose publique; à l'exemple de Pan r011'1 ont u coeur de sent 136 garantir la propriété du Protéger les champs et les vill1 Du vol et de l'iniquité... son s©r- jis font quatre heures de service féh- _ ot les plus zélés, les plus irréprocl nos (( gardes-ville » n'ont jamais fa 1 . qu'eux leur service de police. , ni L'un d'eux, le sénateur Charles qui ne compte que des amas — dont C de joyeux amis — à Bruxelles et au fréquemment abordé, tandis qu il _ tra- sur la voie publique ses armes paci fe a son ventre déjà rondouillard, par des om- qui, faisant mine de ne pas le reconn îi,sa demandent: . n^ç — As-ta-blief, menier den agent, l'es- Rova.le. s'il vous plaît?... reiU Et Charles Brunard, imperturbab JX,r il sied de l'ôtre en service, leur 11 e au chemin à suivre, le chemin le plus d ks ENTR'AIDE PATRI0TIQU ique On a dit que des tranchées avaient 1© fc* sées en certains points des environs d et : par mesure de précautions con dé- attaque sur Bruxelles, quelque ir qu'elle soit. Toutes les éventualité ands en ce moment-ci être prévues, sans age- Cela, il v ait raison de s'effrayer, npte xi était curieux de voir dimanche, ts et ^ endroits, l'ardeur que mettaien • des civiques à exécuter ce travail. I ouvé nie ils ne suffisaient pas à la tael 1 dû su ient appel aux passants, qui no que ohandaient pas leurs secours, et, bi dimanchés, enlevaient bravement le le a ou leur redingote et se mettaient i coû- L'exemple se gagnait et l'on vit d neurs abandonner les femmes et 1< com- qu'ils accompagnaient et se mêler Ah ! railleurs. En moins d'une heure la fut terminée, et les braves gens qi aidé à la creuser endossaient de non vêtements et continuaient en comj leurs leur promenade un moment t en P«e- Dir LES CONGOLAIS SONT L irnal . . 'avis La légion des Congolais, sous les colonel Chai tin, est à Namur. Elle s • un on le sait, de plusieurs centaines d( >s de patriotes, aguerris par les luttes si gréa- d'Afrique. Ils vont avoir à comba alais très sauvages. Ils 1e feront avec énergie et le même patriotisme. ) «l'affaire do " Goe isage Aile- I/ATTITUDE DE LA TUR< ivaJa Mitylène, 14 août. (Dépêche ret is le Le correspondant de Reuter's Iele jui le Après être resté cinq jours dans ouite «elles à bord diu steamer italien « 1 rdon- que 1 s Turcs ont retenu dans l'es ureux tenir qu'il remette son chargemea au'tre j'ai été transféré 9ur un petit na\ t prit cain quii a quitté le port hier et es matin ici'. _ aile- I>es croiseurs «Goeben» et _ <i t tra- fuyant devant la flotte anglaise andis dans lies Dardani?lles lundi soir, omba main matin les officiers allemands et le plusieurs navires y compris un imer, leur ordonnèrent de ne pas bouger. s'iront une partie de l'installation re on ^hie sans fil du navire français «.. r. Us qui avait à bord 600 réservistes. I) un de turcs visitèrent les croiseurs allen tom- ies vis avec mes juimeldes qui fre ;, dut aVec les Allemands. Le «Goebe Puis VCrs l'Est mardi. I^a rumeur se réj ait; 11 était acheté par la Turquie, mai: il se navire le jeudi suivant dans la ni' nciers mara battant toujours le pavillon Le « Bi^eslau » aussi sous le dr hôpi- mar.d était encore dans les Dar ù pa- jeudii. poste. D'après des informations de soi se, la Porte cherche à justifier lt B arbitraires des Allemands^ mais au Hrip cation n 'arrive en ce qui concert StuU seurs battant pavillon allemand. Les Turcs procèdent de la façon bitralre dans les Dardanelles re après- sieurs jours les inavires de la Tri •ès de et les navires italiens# sans explic a une censure militaire très sév l-Leez stan'inople. I-es journaux y soi avait, d'articles violents contre l'An; Smyrne les Turcs ont saisi les pn 2nines sujets anglais. (Reuter's roche. _ ms de - " '"'r S£î En Fran» e; en . — ; yt de avenus LE PRODUIT DES COU; Paris, 18 août. — Le «Jouira mous, publie un décret autorisant .les nés et courses parisiennes à affecter à >lvers, et au fonctionnement d'œuvres p< sés militaires une partie des reâs ss. venant du prélèvement sur le 1er s et pour frais cLe fonctionnement ©t LE En Hollande Paroles néerlandaises * De « Dagelijksche Beurscourant » ' îiu j°uirna' répandu à Amsterdam, publia ►ir sud I article dont nous extrayons le passage t la di-jvant : ►ont dul « Que deviendra l'Allemagne aprè: •ises lesl^uenne? Qui pourrait le dire? Tout oe q précep-ipeut assurer d'une façon certaine, c'est donnerlles Aittecnaods ne jouissent nulle part de j pathie. Ils ne sympathisent qu'entre eu> [loyales ' » La sincère bienveillance que ocrU encore personnes avaient pour l'Allemagne de et àI changée en aversion et en haine. La viole du droit des gens qu'on a accomplie, «f furent!qu'on ne pouvait faire autrement», au Pa-M'appelons déloyauté et rupture de contrai qu'on n'aurait jamais pu supposer-de l'I lueur allemand et de la Foi allemande produit. L'Allemagne a méprisé toute: 1 gtàpullations du droit des gens. Ce set J-V/ travers les siècles, une souillure pour le 1 pour le peuple et pour le nom de L'empe » Le même pays, qui considère co Inexistant le droit des &©ns, exige des B qu'ils ne se défendent pas, p.uce que si RIEUR fendre serait contraire aux lois de la gt , » Les officiers du Peuple de l'IntelMf de m-1 çQH^^isent comme des chefs indiens rmesenl^ yj^iards, des femmes et des enfant ruxeuoi-l&é assassinés sur leur ordre; des village nt, pen-i^ jinoe,n<iiôs. Un de oes barbares de 1 c r°e, j j rcur Guillaume se vantait de ce que se; a avaient tué 1,800 des> 2,000 habi «ses ou- d>Uine commune.Ils ont, oes jours-ci, fail encore; ils ont pendu les Belges qu ils av r fait prisonniers. Les cosaques et les P- 7e. 1 pq Rouges auraient-ils pu faire plus. kt | „ Nous, Hollla.ndais, nous sommes nei rmes de bien qu'il soit répugnant que les officiers geuts de hnaruds à la frontière assurent qu ils ouvrière!épargneront et qu'ils nous îndemnis erole de ph^s tairxl pour notre neutralité. t ur ba-rre „ La Hollande est neutre, parce qu e îe canne dierche pas la guerre comme 1 emp baromè- Ouillaume. Elle restera neutre aussi temps qu'elle ne sera pas attaquée laoh< ntifs, ilsI par l'Empereur, comme l'ont été nos v oué à la diu sud. Mais rester neutre ne veut pa dore, ils qu,© nous n'avions pas de sympathies. nous ne voulons pas les cacher. Nos g j tlvies sont entièrement du côté des 13 Nos voisins du sud ont montré, dans * fenee de leur pays, une force qui n éla plus grande au temps de César. Ils ont donné l'occasion aux Français de se pr< par ]ourl^ d'arrêter le plan des Allemands, qu îables de entreprendre une promenade n ts it mieuxI ^ ^.gique. Nous sommes les ennemis , Guerre? mais oela n'empêche pas que Brunard, exprimions notre admiration, pour les M jeaucoupl • n»ont ,ws craint de se mesurer a ,eurs, esil^g^noe alftomande, qui s'estimait ir promène fiques et }'t iiaii,ne est mauvaise conseillère, passants ^ ha-lîic qui a 9Ulrgi maintenant^ contre aitro, Mrnagne ^ si gnandc, que, d'ra à cjjk , ans et plus longtemps encore, les Allei lu placeI 20^0^ plus lier des relations an Llnns l'Europe occidentale, et le déve e comme ment dlQ l'Allemagne va recuDer de cent ; îdique lel rect. m mm • — " —— Ssss En Russie tre toutel iprobablel REGIMENTS AUTRICHI1 5 doivent ""V «■*- ECRASES lue, pour en «n de Paris, 14 août. - Une dépêche t les sar- dans l'après-midi relate que les Russ lais <Sm- remporté sur le Dniester une impç le ils fai- victoire, écrasant 4 récurients d wif. leur mar- autrichiens et un régiment do cavalen. ™vqS„ LES ALLEMANDS BLESSES tra- -nt à arr^à Moscou. ,itravS Stiiïï SS-hr» de famille de S comte Tolstoï, ainsi que sa veuve, ont £5T£ tau» services au gouvernement pour la interron. |B«^-consuj8 d,Aubriollf et d'AJlema« A «"LESRPRETENDUS SEVICES RUS Saint-Pétersbourg, 15 août. (Depe< ordres du tardée). — En un jour quelques unes d< e composeLip^ea maisons de Moscou ont verse , , nos 00m- Lfvrag Sterling au fonds pour la guer r la terre ^p^ntant de Reuters lel. I ttre d'au- î, Moscou pour faire une enquete a. la même dc6 étendra mauvais traitements ml des sujets allemands. Ces allégation complètement fausses. L'ambassade des lllnis donne un démenti formel ans îr I tions qui ont été répandues en ce q Lpn oerne les cosaques. (Havas-R SqEn Angletei tes Darda-J ^omania » I ,iirn jpon-r d'ob-J DANS LES COLONIES lit de blé ;| , ire améri- Ottawa, 15 août. (Dépêche retardée, t arrivé ce rapports parvenant de tous le6 cotes nada, disent que l'inscription des vol< Bresilau», î>our le sei-vico d'outremer, se con tin ; entrèrent un entliousiasme inlassable. Le pa Le lende-Logera mardi pour voter un crédit de abordaient mijii0ns de Livres Sterling. anglais el (Reuter's Tel. Ils détrui- Merbourne, 15 août. (Dépêche retai de têlégra-J 150 réservistes autrichiens ot allemai laghalien » avaient refusé de donner leur parole, es officiers internés comme prisonniers de guerre lands et ie Jockey Club de Newcasw© a don iternisa.ient x/lvres Sterling pour le fonds local, n » a\rançal (Reuter s Tel. >amdiit qu'il Melbourne, 15 août. (Dépêche rctai ; on vit oe!— I^e steamer du Norddeu tsclier yr de Mar-L Lotluingen », qui n'a pas d in&tails allemand, télégraphie sans fil, est arrive ici e aipeau alle-Joonfisquo. (Reuters lel. daneMes le iree sérieu-J — " rSiL'attltiiile des nei la plus ar-| L'AMITIE GRECQUE :enant plu-J pie-Entente Athènes. 18 août, — A la suite cL liions. Il y delà mission militaire française, M. ^re à Con-hos a adressé au chargé d'affaires de vt rempli? un© lettre dans laquelle il dit quo 1 [leterre. AI entière gardera lo souvenir im.penss ypriétés desjéminents services rendus par^ la mi rel. Co.) des grands enseignements qu elle <.< Le concoure de la France à la Urèc * (tuera un chainon de plus pour la sec immuable amitié que tant de souv d'intérêts communs ont créé et de sans cesse entre les deux pays. ( LE PRESIDENT WILS0N ^SES N'EST PAS CON il Officiel» Washington, 18 août. — Le Présid société de son a lancé une proclamation met la création! garde contre l'esprit de parti. La p >ur les bles-l tion ne fait aucune allusion^ a_ 11 ources pi'o- Orient, mais on .sait que le Presiden pari-mutuel voit avec déplaisir certains efforts t' de sau veil-l impliquer les Etats-Unis dans le con! li. T — Il AlUmoima I lu î ! L'adversaire autrichien j Du (clournal»: J La flotte française vient d entrer en &ci^ un!dans l'Adriatique où, pour début de jeu. eaU i unja coulé un croiseur autrichien. C'est le coxrv SU':- menoennent de la seconde phase des opéra» tions navales. 1 De la première on a peu parle, et pour *,» ® cause, car jamais le secret n'a été de plus ^2 absolue rigueur. Il s'agissait d assurer la ,Q" liiberté do Ui mer aux convois Qui ainenai«rf * d'Afrique nos troupes de Tunisie, d Agérw : et du Maroc. Ce n'était pas une petite affaire !fjque de surveiller le transport d'une oentauno i (ir.nl de mille hommes. . ^ Maintenant un autre objectif sollicite nos marins. La déclaration de guerre a l'Autriche leur a ouvert les portes de l'Adriatique l es: j rr poir de labeur moins monotones. Lt voici cW, que sonne la dione du canon. W II y a une dizaine de iours, la flotte autri-' ^ chienne, escomptant encore 'a neutralisatiofl des grandes forces navales méditerranéennes, ÏS- avait établi le blocus des côtes im>n.téné«rmcs ™lt bombardé Antivari. Il s'agissait d a fa«ia S™ Jle nid d'aigles de la Tchernagore çloiU I accès, TfJ; du côté de la terre, est fort pénible et qu-i n a . UttLcre comme voie de ravitaillement ciue W >cn« petit port italianisé d'Antivan. On pensai que l'opération avait été suspendue après U 1 ^déclaration de guerre franco-britarm^ue , on.; L'impression générale était que la nioe autrichienne abritait son infériorité demen S les fortifications et les champs de mines d. Lmts son arsenal de PoSa. L'événement d'hier n es ■^tu® pas de nature à démentir cette suppœit,™ aienj rationnelle. Ce sont sans doute des rel a. < - Uv [aires que la rapide offensive de 1 amiral d Lapeyrère a surpris. Le oroiseur coulé doi tires (être le «SzeKetvar», un petit bâtiment n auL 2,000 tonnes, qui avait naguère llionaiçu nous d'abriter le prince de Wied, qui r. a pas QOJtt tront depuis lors les parages albanais et a l®1"5 principal rôle dans le bombardement d AittJ ^eur VaOuoi qu'il en soit, ce coup heureux n'es ÏÏujL que le prologue d'une campagne qui sajmon ■ment oe extrêmement mtéressante. L escadre ai Sis trichienne est sans doute très inférieure à ' i dw nôtre. A nos quatre c.Courbet» de 2-i,,w Non. tonnes et à nos six «Danton» de 18.000 t«r ■mpa- ne® réunissent 72 pièces de wmm et 7 Zes. de 240mm, elle ne peut opposer comme umu a dé-de première ligne que les trois <-\mbu it nosI Uruitis » qui montent seulement 16 canons il au^hosmm. La disproportion n'est pas,.mo«r ,oarorh;ramde dans les unités antérieures a 1 ère <k vou- «dreadnoughts». L'amiral de 1 vers sous ses ordres une escadre composée des chi de la «Patrie» et du «Suffren», sains parler d< nous sept cuirassés plus anoiens ayant tous quau elrtcs pièces de -,o<;min et une nombreuse artiïïer rec la j moyenne. I^es Autridtiens ne disposent e vi,nei- face que des trois «Radetzkv» très anal» îues à nos «Démocratie», que des six peu Mais cuirassés des classes «Habsbourg» eti.A l'Allé- ohiduc-Charles» dont le calibre^ sup^riw uati'te est le 240. Nos six excellents croiseurs ou nnnd' rossés des classes «E.-Renan» (14,000 to iicales nés), et «Gambetta» ( 12,000 tonnes) ne tro loppe- vent en face d'eux que deux petites un«és< ,ns „ 7,000 tonnes, le «Charles-VI» et le «Sain [Georges», encore oette dernière seule est-el récente! Aioutons neuf petits croiseurs pr légés dont trois seulement avant moins 1 dix ans, dix-neuf destroyers, cinquante o: i torpilleurs et huit sous-marins. La flotte autrichienne n'est pets une gran< flotte. Mais il ne faut pas la dédaigner. Ll a de brillantes traditions, un entrawieme :NS J certain ot une admirable position stratégjqu Le chapelet d'îles échelonné le long de côte dalmate de Fiume à Cattaro, avec < -venue arrière la puissante force navale de 1 ola, ^ es ont! prête admirablement à la défensive, à cet ■ptanite guerre de surprises, de coups^de torpilles et ■ interie mines qui constituent peut-être 1 élément olus dangereux de la guerre navale modear L'attaque sera difficile. Mais elle a c aussi de bon atouts. Tout d'abord, 1 alhan anglaise nous procure, avec le concours ho re- quelques bons croiseurs, l'appui inlimme aunen_ préoieux de la base navale de Malte. Il se possible et même peut-être désirable de cs< ultérieurement dans une des nombreuses » feu le dc j,a côte dalmate une base avancée. M; offert dès maintenant notre flotte est dans les m< ^5rolx heures conditions pour entreprendre l'anni lation de la flotte autrichienne par le bloc £.f>t ^ fh0C' Saint Brlce ;SES s prin- !5o.°o° j_a navigation 3o. est AVIS AUX NAVIGATEURS 5 sont! Etats- 03^ porté à la connaissance des intér forma-L^g suivant un avis émanant du dép ai eon-l bernent des affaires étrangères, le phare Buter). Strophados (Stwvatti ou île Stamphani) (caiie anglaise N° 207, y et 2i° o' 23" longitude Est Greenwicn) ayant été restauré fonctionne à présent rej »"t» £\ lièroment. JL Ky\ SUEDE Il résulte d'une communication de la lé ! don du Roi à Stockholm que la Suède j éteint tous ses phares. FRANCE »— Dos jj régmJtc d'une communication du gou\ du Ca-I a^fuent de la République Française; qu ntairefil ra,-lson de l'état de guerre existant entre ie avec F^nceet l'Allemagne, certains feux pourr •lement I - tre motmentanément éteints en cas d urge 10 à 121 gu,. 1^5 côtes de France, des colonies et . I pays de protectorat. dfej- RUSSIE :ds, qui II résulte d'une communication du déf ont été tement des affaires étrangères que le goui nement russe a donné ordre aux autorités né 1000J la Baltique et de la mer Noire d'assumé* protection du pavillon belge. déH)*- DANEMARK "lIoviI H résulte d'une communication de la li ition de tion du Danemark à Bruxelles que des mi t a été ont été placées dans la partie méridionale Co.) Suind comprise entre Seeland et I île d Ai ger, ainsi que dans les parties limitrophes la baie de Kojje. rï | Nouvelles diverses rappel LA SANTE DU PAPE Venize- Rome, îS août. — Le «Giornale d Ital France dit que la fièvre dont est atteins le I af a Grèce diminué l'après-midi. La maladie suK able des cours régulier. Il n'y a aucune raison TZ TataTE PAPE ET LES PAUVRIIS a consti- Rome, 18 août. —- L'«Osservato<e nlaire et mono» déclare que le Pape a ordonné de 1 enirs et tinuer dans les air constances anormales veioppésl tueliles les importants travaux exécutes < Ha vas). Iles églises et les écoles et qui ont lieu poi I compte du Saint-Siège à Rome. TENT Ijc Pape a exprimé sa volonté de les ent Wil-| tinuer aussi longtemps qu'il sera poa tant en!pour contribuer à diminuer le malaise roclama- classe ouvrière. 1 navas ixtrême- b Wilson! — Ht entrej VOIR SUITE AU VS»04 ?uiterL

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Cet article est une édition du titre La Métropole appartenant à la catégorie Oorlogspers, parue à - du 1914 au 1918.

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