La presse de Bruxelles

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s.n. 1918, 17 Novembre. La presse de Bruxelles. Accès à 26 avril 2024, à https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/fr/pid/zs2k64bs2b/
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A 3 Q-:* :* E 3ï £ M T S : pu aïo.» ff. ?.îb '/t- - .r il. i.*} ' .•» ii.sf Ce r'd*i>i>ri« Sans t^ai i"i 'irmas t'e poste ou ;>*yï e; aci euroux <n journal. f.J, RUE OJ LOMBARD, Bîîl!XELi-£3 i ir m ^; ^P®jb m Wj-m& %ïïï£;IË uL^&J m& -J? m%£F' UU Wt+j***' L« «» •• PUBLICITÉ! Petites annonces. Ja lipme „ ..fr. C.23 Annonces coumierciales. la Jign« » t.53 Aontmcoa not.. Judio., ttnanc., ia ligne » 1.G3 >aits-'Jivers # ., # _. . [ ;8lisne.. ^ ^ ^ » \ .53 \ e ea prwmce > l.ctios » ... jo » 7.^ Kécrologie » » M - M .. M • i.Ctf niiieur^Les manuscrits Bon Inaéris ne son pus r en Jus, joana l quotibieh go OHUKELLEC3 ...Et maintenant, Travaillons ! ; Le tribun te plia populaire et le plus ve ''écouté de la démocratie beige, le m> pi ^ciologue érudit et twuibatiï dout la. va .leur a justement acquis une réputation re ^mondiale, l'organisateur méthodique j-j dont notre gouvernement exilé au lia-I vie par l'invasion teutonne voulut s'as- m I surer les services poui' ia grande (tu- tr ^ vit; du tnoinplie et de la victoire, le mi- o< * nistre Emile Vandervelde teniiiaait par l ces mots le discours éloquent dans le- j, i jçuel il saluait l'éclosiou d'une'èu» itou- H( . velle et qu'il prononça jeudi ton- à la le liaison >j Teup.'e : ^ | « ... lit maintenant, travaillons! » j. Au lendemain du gigaiite&que effort n que s'imposa la civilisation nouvelle ci Vour triompher du despotisme et rayer « la guerre des fléaux qui asservissent d ji*Humanité, cette parole, dans sa ^ m- si plicité, ne manque pas de grandeur, a ; L'évolution des idées, en effet, ne o I s'arrête jamais; 1e progrès, tous les ! progrès, ne sont que des étapes succès- p j sives de notre marche vers un avenir ri meilleur, toujours reculé. Cette marche s ; peut être retardée, enrayée même par ti certaines circonstances, mais i'efi'ort i< •! toujours latent est là, qui s'ailirme plus d - volontaire en raison même de la cou- a • trainte et quî, tôt ou tard, brisera les ti ' obstacles accumulés devant lui et qui a toujours seront éphémères, alors qu'il à est éternel. ' Travaillons donc, attelons-nous uans tl plus tarder au grand travail qui noiu> q lest imposé. Après avoir fait la guerre à la guerre, après avoir tué la guerre, j, •il nous faut reconstruire tout ce que t la guerre a détruit, matériellement et moralement, dans notre Belgique. n . La nation voisine et sœur, la France, a ne vit qu'une partie de son territoire j, 'occupée par les armées ennemies ; cnez i, eiie, si la plaie fut profonde, elle fut heureusement limitée, la source vitale ne fut pas atteinte, l'outillage économi-! trae tout entier, aiguillé vers ce but uni-■ que la guerre, fut un instant détourné • de ses multiples destinations, mais il :ne fut pas amoindri, bien au contraire, let on le retrouve tout vibrant d'activité pour l'œuvre réparatrice. : L'Angleterre et l'Amérique ne connurent. pas la contrainte et les spoliations de l'invasion: à peine l'Italie on fut-elle un instant menacée. .Nos autres alliés: la vaillante Serbie et I'hêroîq.ie "Monténégro, entraient à peine dans la grande lutte économique quand la guerre éclata ; ils n'ont pas à réparer ies désastres occasionnés par ia guerre .à tout un passé de labeur et de prospérité.Chez nous, il en est tout autrement, ear l'Allemagne ne fit pas seulement la guerre à nos soldats, elle la fit aussi à notre industrie que délibérément elle | •voulut anéantir au profit de la sienne, j quand, escomptant le triomphe de s«> j armes et la réussite de son acte de bri- , gandage, eiie fit méthodiquement vi- ( der nos usines de leur matériel, razzia nos matières premières, nous vola jus- j qu'aux dernières parcelles du cuivré i ,qui décorait nos demeures pour en faire , ,Wcs cartouches destinées, à tuer nos ( frères et vint arracher à des malades la ] laine des matelas sur lesquels ils repo- j saient leurs membres anémiés par la la- , mine qu'elle avait systématiquement | e<omisse chez nous, en nous dépowl- , lant de nos vivres et en facilitant â ses millions de soldats un trafic individuel j qui, pendant toute l'occupation, rau-j , tailla l'envahisseur aux dépens de sa , 1 première victime. , L'armée allemande évacue la Belgi- < jque; au moment où j'écris, une colon- < ne de ses soldats passent sous ma fa- i 'nôtre en chantant une triste mélopée ] d'outre-Hhin. Un nombreux charroi i< l'accompagne et les bâches qui recou- | .vrerit soigneusement les voituies laissent cependant deviner tout un brie-à- < brac hétéroclite de meuble^ et d'usten-ij siles dont à l'ordinaire ne s'embarrus- i sent pas les armées en campagne. < , En 1870, le Prussien montrait une ] prédilection marquée pour les pendu- < les; en 4918, il est devenu plus éclecti- i que et surtout plus pratique; tout h,i est bon, et le pillage a pris de telles ;i proportions qu'aux heures douteuses fl ,du crépuscule et même ouvertement enjl plein j o , aux abords de leurs dépôts! et lie leurs casernes, ils revendent pour 's des sommes infimes une partie de ce! butin qui les encombre et qu'ils ne peu-1 vent emporter dans leur retraite précipitée.Oui, c'est à un bien grand travail de restauration que doit s'atteler aujour d'hui la Belgique razziée par les hordes du ci-devant empereur, qui m; proclamait l'instrument de la divinité. Lit ce ■ travail, ne nous y trompons pas, sera de longue diu'ée. Ce ne sont pas seulement nos villes détruites qu'il taut réédifier, nos usines incendiées "U il taut reconstruire, leur outillage qu'il faudra recreer de toutes piéccs, nus approvisionnements de mitUcfes premièies qu'il faudra réunir, c'est aussi la prépondérance ancienne de nuire industiie que nou» aurons à reconquérir, cette prédomina 113e dont peudaîit si lo:igtemps nous fumes si fiers et que la Belgique, rie par- son attitude généreuse et vaillante dans ia guerre actuelle, a mérité de conserver. Le-monde, libéré du militarisme, un peu grâce â nous, grâce à l'héroïque résistance de Léman a Liège, grâce à la 1 sublime barrière dressée par 1105 effee-■ tifs épuisés derrière ies boues de l'Yser, , ie monde ne l'oubliera pas et nous ai-: dera à reprendre ceite place que nous avions conquise à ia tète de la eiviiisa-» tion; mais si nous voulons qu'on nous i aide, commençons par mettre la main I à la tâche. Et travaillons surtout avec cette raê-i thode, «jette discipline et cette enteute i qui seules peu\ent assurer ie succès. ' Au début de la guerre, l'impérieuse , loi du salut publie avait déoicté La 1 : trêve des partis. ^ D'un commun accord, les groupements politiques les plus divergents > s'étaient imposé la discipline du si-î lence. Au gouvernement qui assumait s la mission salvatrice, il fallait aocor-1 der confiance, au mépris de toute au-i tre consniération. IJt Uioiiit>Le était a - ce prix et l'ennemi le sa\ait si bien - qu'il tenta par tous les moyens, — - mais heureusement eu va m, — de jeter 1 la dissension tnUe nos abiés, de com- > baltre ia puissance ue leuis gouverue- - ruents en y taisant surgir oes querelles intestines, de provoquer chez nous ce - que l'on pourrait appeler ie « schisme - flamingant », si le mot n'était pas i énorme appliqué à ceite grotesque s equipée. • s Et bien, cette trêve des partis juste-4 ment jugée indispensable devant 1 œn-1 vre à accomplir, cette uniie de vues et r de direction qui fit s'incliner la victoire e sur les années de 1 Entente dès qu'elle ~ se cristallisa en une seule volonté, nous , croyons nécessaire qu'eile se continue , pour l'œuvre pacifique et iéconde oe a notre restauration patnaie. ^ Notre gouvernement, déjà, a marii-e festé le désir de créej* un Laninet d'at- • fa ires, constitué en dehoi-s de tout es-s prit de partis. Ues noms ont ete cités, * qui font augurer favorablement du soc-' ces de cette coopération. 9 Faisons confiance au gouvernement. ^ Il a annonce également son mte.nti.j4i e d'aiiorder sans taider tes réformes ^ui | e depuis longtemps sont au programme s des revendications démocratiques, ai-a lant ainsi au devant des exigences du h peuple, exigences que justiiie la seule équité el qui furent consacrées par l'at-titude de ce peuple pendant quatre an-" nées de luttes et de souffrances. s iNous acterous ces promesses et nous ferons confiance au gouvernement, "j L'œuvre répaiatrice est urgente; a que cliacun de nous sacrifie pour l'instant ses aspirations et ses préléreu-i- ces [>ersonrielles. Les étiquettes dont se 1- couvrent les jiiU'tis sont trop souvent !- illusoires ou mensongeres; laissons les e reposer dans le carton où, oepuis plus ii ide quatre ans, elles se couvrent peu 6 1- peu <ie la poussière de l'outli. t- Peut-être un jour faudra-t-il les or .- sortir; nous ne ie souhaitons pas, car 1- nous 11e considérons pas le parietnehu-i- risme comme la pan acte îmanlibie qui doit assurer le bonheur des peuples; le ? parlementarisme, iui aussi, n'est i- qu'une étape ue l'évolution uont nous - pariions au début oe cet article, (v i jour-:à, la Presse sera des premières s jà prendre la cocarde pow ie bon com- > but, pour ia liberté (ia tous, pour l'éga-[1 ! blé ues classes. •! En attendant, faisons confiance cvu r [gouvernement, i>| Vive la Lclgique et vive ie Roi' -j DE BaI-MONT. ! ".'Z'&asrmn: -. v,^r.-s.rsasaoew-x5» NOS BRAVES REViENHENT 1 > çréa'hle surpris*, fcîcr. pour !im» hubilante-de îijil. A huit heure» <iç noir un- nrrirée mit e-.uojiio!>ile jivtc trois de no* cher* liwj-s teû/ii : deux Angittis et ua iiei.tô. C'a leur a lait iui« réception ectl.ous'astA. î'. le Bourgmestre, Cfcarl. s Nor.ixckz t. esi ouel.jCc;! mot» cljfiîiileinei»t e>j/n- ini Je Uonbeur (ju'il «prouvait <.v pouvoir ,fâi!ciiar *t raioercicr le» rsprsitî iiij.i» dt:s ftrméee ju-gUiise et l,el(ïe qui oouii uar ' éc'.i\i'us de l'insupportable joug allemand. ] ( M. Jean ïedesco, *a guel^ues tuote eina*r | i a remercié ac nota des camarade# anglais et c »iea. l'rej.ajjt i acii toitr la paTola. aa deKAjïgla.!» a, (ÂH./2.S uîi bou orig^îJi^ < t#.r uc l miml- » rtiliLra UÔ *r€8 couiis&iruiUt* pour in • * pouràonCiUiriraJerctK]U« ®tiuvera.ia- r & ia lie gi<jao, tOMt i». rA.j&^ietci.*r<*v b u l ï r»jice auUa \ t) t î riiiftulte Uj&oI a k'A.uïvi'iei u vuus | ico Àxiiua. RÎAÎC ESTREVENU ! Bruxelles fetera aujcardliui . son Premier Citoyen " - M. Adolphe P.îax est rentré eu auto, après un -.v.yage aussi mouvementé que difficile, con^iaiutaeni, mteironipu par ia uebdc^ uas troupes aileinauues en retraite, il eat anive a Bruxelles, laer bâineu^ a y iwaies du matin et s'est rcu;.u direcw-inent a M)n doinicilc, rue Jo»eî>i'-U. il et! eu panait# suiite, et sa tenue, autant que l'expiesSion de i>a pn>oi-.> ioniie, expriment toujours celte iuuomptaïue énetgi'e lut tu caiacUais.. ] ,j ue son aUitude aux jours giiii teux de 11j14. Maigre la tatigue qui aurait dû l'abattre, M. Max donnant une preuve admirante d'endurance physique et de force uwraie, ne prit pas même un paa ue 1 >pos et repartit un peu avant y heures pour ie grand-quartier général, a G and, ou îi arriva a io n. i/2. il se rcnuit inimédi • ornent auprès oe S. SI. ie Koi, avec lequel il eut une longue et émouvante oonféreuce. ut nouvene s'est aussitôt répandue dans ia vilie et les Ga: ris eurent l'honneur de ' faire a Noue bourgmestre une vibrante ovation. Hier soir, M. Max était déjà de retour à l>rux<i,les, où ii put enfin goûter, ; dans le seul de sa tanulie, un repos bien gagné. Aujourd'hui, à 2 h. 1/2 précisé», le gtanu citdfea sera reçu officiellement 1 à l itote! de ville, qui fut le théâtre de sa t ,aduite heroïque et aux fastes duquel ii a ajouté ces {juges îaunortelks. 1 Ea cérémonie revêtira un caractère très intime seuls les membres du Conseil communal, les lonctionnaifes principaux et les représentants de la presse seront admis à y assister . La chorale « Les Artisans Heunis », dont M. 5".tx est président d'honneur, se fera entendre durant ia réception ; elle sera ■ renforcée du « Mo-de^ty Club ». , > A la môme heure, Bruxe'les sera débarrassé des derniers soldats -alle-1 mands I Vive ia libération de la ville I Honneur à Max, le premier citoyen de Bru-- xelies 1 : —T.»—• iTfMi IIMi n 1h i IH'll » Il ■ i I |< 11 rl I 1 '■■'a'ffr-'M-V j-nru-r-T—T—-Ttn— 1 iri~r»wra !A L'ETRANGER ! ALLEMAGNEi' LE PROGRAMME DU JSUUVKAU GOUVERNEMENT. I Le nouveau gouverueiâciit publie ie maiii-fesie suivant : « Au A'eu^ie allcâiaud. L* gou-. vemeiueui 1*6 ue ia r^\oiutiuu et uoiu ia politique t-at pureiueut socialiste bo uuiiiie pour but ia retiiisttèjoiî du pru^rauiuie soeia^ liste, il Uetîlitre ues ** presvut que ies uispo-sniuiis sui\au(es preiiueiit iureo ue lui : , iu 1 état tie *rège est icvt?; ^ aucune restriction ii t&t tuis»o >iu urou «ve reuuiu^; à» ia ceu- ! sure est a^oue; 4" liberté ue religion est | * garantie; o» i an&nisue cot e tendue a koos les j ueiJts politiques; o° la iot »ur ie service aiixi- i itaire est levee, a l'exception tics tiispositions j ■ ilcstinees a eviter ies couiniÂ; 7^ies loi»1 5 u exceptionsoiit suppriiné^s.Uca uispoisiUons i prises pour la protection uu trav ail ie\ «es au 1 ' uebut ue la guerre sont remises en \igueui. i î ii'auUes rcioriiibs sociale» et politiques (se-5 ront appliquées j>rof uaiiietueiii ; la journée ue b lieui'ob sera imposée partout a partir uu ' i4* janvier 1 liiy. Le gouverneiu^nt tera tout son possible poui*.procurer au travail a tous, iv oiganisatioii ae secours aux e no meurs esL j prete a loncuouner ; les irais sout partages 1 - taire ie gouvernement, ia commune et i'Ji*tat. ^ JL.e gouvernemeat protégera la vie et ies biens ae tous ies eitovens; le sulira^çe siittpxe, : - secret, uireci et ^vuerai sera ac«.ortie aux j 3 nommes et ietnmcs ue plus Ue uo aits. i . C'est par cette me^noue que sera eiuo ia ! > Isonstituanie. i a (S) Ebert, iiaase, Scbeidemann, ! !» lltmU&oer^;, i>ittmann, ! Berlin, i a novembre | jLii» (^ljÀitiii!<ii uiii*LRA.Lê Le m arec u ai von iiinUieuburg a transféré 1 - le granu quartier gênera* ue bpa a liomourg, pieo ue i: ranciort-sur-Alein, LA K&TKA1XE ALLGMANL'K. ' On nituiuo u'Anistcruam que a.>,ow soldats • aliemaix^» traverseroat ie Limbouvg iiouau- } uais. x^e» Ames n eie%eiit aut iuiv objection ^ . Ce sUjoU Les solda»* ai^eiiiauos «eiout ue- | bui'iiiuo et pourront icgagner xeur pu,) 6. 1 »-rtANC£ ! l LE RELEVEMENT ? Oi-S PAYS OCCUPES L« de lJAgJ ^ul'»uje <io 1- iaut« a. , j 011 voy** uu «rain <>) tii^cli.u^fc «îyxi- jj colas, a.oc l« peit-uuiici uéoeaiii», oa-ui la _ regon a-t L.iie, I'<j« pauswa unuié- i uiuvr® reiev«ui«u-uô. a nLii-om traiiçaisc. EN ALSACi.-LORP.AIXK. ^ Ou inRHue ce hi.ri^-1/uui'g cjU«» .m membres do i«i CliuUii.:'» bft soiii coubuluc» ' . Ci. Lui ! ri tl 11 XijClJ .>1. ;'.t u A .ei^-O-Lui ïlillis: vi ont. ' iiuiuaio un «uiuiio ti jiu_iui_ui3Uttuou yrvvi- 1 ~ buil'e. - SAISIE des biens e DE LA CUUKUA NE PRUSSIENNE t On d* ^ui» W | ^ pi H «a-tfrl K>U» U« U dm «A .w | ^ : acmuiu»!Ï'-wû «ii uout«w au ! r Al-Juf'èr» ces f îuiiuOi» »• Piusitt. u>s- i U »• |>a» * Jù i«*r*uu« pO\£«j o-u Ko» ii « ii t atr.iJie r«y aio. » s ABUICA'liON DU Rui UE SAXE r (}li cj*£. Di^Ov {+um uC i> T-ik* A - abdujuA i UiNJa. ANNONCE DU CONSEIL r-> jujlS OUVkiâKA t-T iULDATS j On pciit ii;« ûj-îk» In « V'oiwiitrï* » l'm- ^ IK»l» iUiVIÛHI <iU CAi t>"UV0* : : E On chirch* û--B orgr^r.»«<«;ur*. M S L^ifc «>i...-.i* Qai fc*"3 • J i'iunuuw»tu*»>« td m O > d'yAUji-^ ou * n» ;Ai.o-, paux, toa1 pr >«x«< frt * s»^«s4w«r fruité,u <hî : O*?Ï# o uvnoi» ^ -**- * HOLLASOS LES PROJETS D3 î "Rî ESli'ErtELK D ' ALI-EM aonk Oa raaod* c« La *a « IJaîiy MaJ3 b t qnfl i'ex-ka.i*«* ru» n><v* de ttnnpa k Aiï.<roi<^ct». U * PiavcaïtJtrt» 6* cwm-è-;*v«.ai i. Cosivu, Jm- iav* de J'Acfniitoij. Lorsrqïic Pcx <Œ;W«af «rriva »n HcUah-! de, ù I><5 ciéoûrïtu^a. Li.6 Al-LLii.S KAV 1 J.AÀLLEN 1* , LE MONDE ENTÎT* t Oa ÎP»!xi« <j\ït4 1rs- wt' ]'l3.:i'i.:-,oii ciy v. 'o7—a; lua AjflliiaJMi-. A 1 «i» tï* ■ u« as«uj'rMX\o* i* en noArack «Mr " , ii i. L'argfca' Wmussim k <«fl« •«*» j ' ' pieiwé su. 1'u^u<-'jiui'-58 ca ^aasjro. s KCSC-Sii '1 LES ROUMAINS K* THANSYLVANiS j Lj'oa, ii aoTcmlut*. •— !>• tJL* fc^er latlon roum^mo s'est soulevtie d^-.s plasieui-a vilics comr t in iyeauiuu magyaro. iîlio a ci!is.3bé les y.uwrii/ùs iting}<u-e&, libère se» comjialrio'v • prisonuiera uej)U.i» VJ14 oi arra-! eue ies bcuv'" ^ ii^u^rois. i.e ura;.co.u rou-I liiaiu ïlOiUJ . .a' ïfcâ btuiiiimUiS iiuoucs. Lieux 1 agents c.0 k. aolj i oui oto 1^ «cho». i^ti Conseil . ii<iUoa;ii i\- ; - ii u a f.ul un .pptsi jtour la. , loruiatioa a ïuio iki'mào li-iuusy i v aaùttiiu*. suisse ! -LA SITUATION Berlin, i3«o\cm}>re. — La Deutsche Tagèt Zift. Ud /.U'*jCil : i->C^Ui3 bCUildUÎ au>.uu 4uUi »..l bourru.d a'a ;«rti. ' | 1. u j oui'. Mi bo«iiui.itd t.iu ta an il 0 ' 1 cjuu k-» u,.t doçiUù j-ro\ isoife- ' ' meut us îij ifvua iinpi-...i^r uù juarmiui ouiu -' I gevis. iy-s i£fuve!iu»iM. uu t..rj\ o vo^uuu» <lo ' ! laçuu uisciSAiiieu, 1. ^ ..i'oruro so. 1 ' ^ troui>lé. . j Les Pris<i:;^ierl Anglais j k Bruxelles 1 ÉI * l Us eontia jcnfc d'être l'objet d'une curiosité . s"1 mpatji ^ »iO la part v.<es jL>ruxeiiOis et par-t | 11 euii01*eilïCi.t UCj x»x'ÙaÛiOlSÎJo tp» » Se j/iUl£>ex«t s ' a les aooruer sur le» oouicvalus et a 10s taire . parler. ^ i 3iaÎ3 ils sont en générai i)éu eoiamuiiica-, ! tiiâ, ies prisonniers anglais. l ! j^eur iar uepa> sé% leur pnysionomie triste . 1 et leurs VeUMuents nnnabie» — n y eu a qui * sont « veryiriiggoa » près ^ue en ^ucuiiies — 1 inspirent ues n&ouveiueiîts ue pitio toucUants. , ! ii n'est j'»s rare ue vu;r ues uames ou ues ►ï | demoiselles uu meiiieur moaue >eur jireuure !ie bras et les toauu ne uans ues palisser i es ou us sont regaies princièrement. Certaines ^ ] personne s ies amènent et ies îont s'<j,sscuir a ia taule miuiiia^e. i>'autres ua^s un ci. 11 de ' cuarite improvisent uans ia rue une c ollecte eu laveur uu prisonnier tjUi, au milieu u'uu attroup^i»6nt aeiueure tout llcgmati^ue ; 11 s • semble 11e pas compreuare pourquoi ceti./ -|« ^Vuss >» ou ty « >iasier » lui moalre taut ^ j Ue uiart|Uvrs u'amitiu spontanoe et ie comble - j ue oanxnoces, { Cependant ils inclinent la tôie et pro-l ifèren».: iuank. a oui xixiiuk youîpui3 lis s'en | vont piu.n |om toujours escortes ue bauauus. ■ RIRES ET LARMES I - — - — Rsviendra-t-ii ? C'était hier, tu immiony. Lu uoum e eUtU an cite, a la Porte de Schaer* beeu, jjus Le pus^tt^e de» iroti//éa. Les» oo%\ a- geura, en*est les un# couUt le# autres, ciuuf- i jeu jjitàijue, 1 e^ardmem en aiieuce ie ioug lie file. uu^e ue sud, une bonne ou U f ton ma ! ail Loin haui, couuite m eiie tioti;L.ut uue con-iciustou u #£3 peu**ex inUHeures : — C ct>l /lui i ijuet souiéigeuuht, tout de même! weia h'guidai. C'était une femme du peuple, \ jtauvremtul mise muis lif.s ^roprt. Lu umL\ [ pei.it £ixiçont m cote aei**, t& regardait avec j une aoiie ue ci ut nie el, bien sttfctuieiil, cucitait { ' .ia peine uteuoUe iiuns nt m*uu peuie ue lu ! ineiUe. " ; j — C est demain, bozuie-mammi, que pupn j ] i êvitm ' — Oui, Jeun-Jean» b't in gruuU uivie ne tourna ver9 moi. — ùou pcie cm a la gimtiiie, monsieur. De- r puis irois jour*, it ue juil yue me u^uinnuer si j p'tjjn 1 eu fendra ùienlù*... j*ne kuupi/ a el une Augx/Ut*ê soudaine puz&u \ dans son ingiait ue jaunie JiUUiOie. — jjieu suit si tjtOii fils i eoienars. JL'4eeëiii ue ces parûtes ii>* pentwM et je de- pinut une &vujjrauce vucJieé. — Vous lé 2*l'Hit* biCAUÙi, MU.ldiJiUt. Kiit: vourU instûu ci»/. — Ji y c si longtemps qu'il n a plus donné ide se* nouorttes... Ll tlit me j ncunia toute ton his(oTre,uvte j des mois simples, iiejnituiis, tjui 4«i i muluitutl \ as poig-fitijue tnco/e- » *tMil ntbj lé er. juUict. Il U pi-entier jout *1e m 1, \ eJ * c. :>y«tu • ïl ->d poi La.it bien, uismi-u, ei uum>.m» ua ; 4cour&jfs aux Ueux fanmiie y m 1 mUenti&ieni. : Puis, ±ou*.filnt 1 i y * un *«*, l*ts noiloetles ctsm ' &£rejùt. ij tii'vfd, iëpoimt ti là ixo-.it j.-cihetao j reui. Les ju^Loeiioz **.rriouiem difjhAieu.eui., \ r. csl-ce pfts? Fuis, ûen&jtf ie silence ( du toiîitài, tllus s ufjolir*ni, e**Mtueiu êtiue legH.iiOJ»>, à iMi CrtiiJ^'JiOij^sL. (j/t i*£ put f/C/J leur titre. h.i ve fut l a jouisse, »* ierus $<mf» fi'aïu-e, ies yotirs ci esp-Oif if* ic* Juourx* u ef-froynole ut^tepoir. o f A présent, te moment tragique èlzit »etia. Klii>3. i sio&ient repéré iot*$,. empt ««# touie* | leurs /bri'es ev, m&u»ier*Mi*it *c cj *.i£f**iic/U j iexrib»enieïu. ;<SUJS, ien* i î le* ne et pxs en uvu' ; teuur h&rribief j — Dira Ai11 e tl revie/idr*, er.oneliJrt j Ji iot reputnils rixn, «a /5* *»s ' e. /.x l grumi £t»ùre * *i*uÀ r. je i»n*cr ' deux ga ossts Lurtnts sur ses /vues. r eum ê mtti—. piLMÂê 1*1****... peu*re pe~ Htl 1 —- , . La couine biographie d'Adolphe Max publiée ici-mem« vendredi, nignaïai' »-s «>uixca v d econer c nu* U iki;;iii. îve n^raii^. t h.n elle4, suivant le;» Lrac«» 6i>n pèr© qui, t lui atn»i., lu' ua « tort ea s^yie », Auoipho Max, si sa debMuôo ne l avai1 pas kwiaiim: vers la poiiuquti, serait pt-u'-eue dovonu, si * 1 un en c.oi' bd. réeJ.e vocanon, un cai nos pins spirirtîeis ea ivai as. , U y a, ceLa, des élr« privilégie» que i>js lccs &om<b-ieu« avo»-r umv-êrao«ier ^ aïoiiû d-ouea et qui a;om< que l'eut!>alias eu ^ ciK>ix parnn ies xouKa qui cou<u,uj«»ciifc au succès. i^aiDi éat dtis concoui"3 4e s^yie, ie fu^ur bourgxuv^ tv avam u*on *a betoô de ta a^e-ES^uie que, ues i^à bancs <ie 1 ecote, u iou-cia , uu jouiuai ; i^aS ne j>oi4l'*que, i^en qu»e de ia , atueia^urc, éurue p^ur écrire, i'ait poui , i ar*1... ie ié>a que iious taisons k>uu quauu , «.MUS a« sùv b encore K>ut ce que ta vit , jl. à» t*i 'ÉiSomant prai'que. Co jouraai-là, — Aa coUocUon et* épuisée, ^ —— ^ xa*« Le 11 x a^> ». 1 imc n»o- eans te preaen*, nia is yroa d V^posr pour l'avonir : si ce premier pas avar' é^é swvi de iX'.iuiAMJ.p u «u.i-î-:, qui fcHit' ou ia rou-« pu aboi_'-.r. La d^C'ion & la reuac'ftoo du < « PrcL'i-«T Paa » so conipo^ainu' u AaoijjJie 1 ila.\, aa gooï3«s Iviax, *uu trère, c de (iuuJ- < quta ami» : son ex's^iicc lu1 ttpaéinèx^a. ^uuiqu---i a iui &■« apies, Pôcoaut eiaii claveau é*uà.au^ isea jjou«s iii''«ra.it=s, continuant > a se '1 co^alioira-»1, aux tuvi-rons Ue ISo-J, au journal « L'E'uùiant » Si jauian. , queitiae nuijaeio >io ce journal univ"i/-i-a«ie . voua ioiiio« enître Ka unaiii», o1 si 1 vous y tiou-vez un at^icie «Jgn« Patu i! <lol, fsez-te : U e»1 d'Aaoipûe Max. Voua y trouverez les prc^oiètea maiute«<'atu>as <1« ce'»e Di^feu» a t oïd, <lc eu1 nuaioui « paice-fraits-rire » don' son' cmauiée» les kMt& qu 4 écrit a se» 111 Hrùca, qu'aiiUis sonatt na'èea de Bru xelMfc avant la gut-oie ou d'une des prison ou ii a *abi la u dlc'^en-Kjû bonoiabxe u que 1 on conaaî'. L t^uoian* devint avocat : l'écr'vain changea àu s^yle '• comme troisième étape, nous ie . .éprouvons a « La Liberté », ou, en cuuiipa-; gaie de Paul li; maus, il commence â *'occu-1 per cis po.u'ique. Mats c'est à ia poétique k i aci-on qa'il s m'tjretsa piutô* qu i ia p>a »iqu« do presse. Lcaruie u eoi pour lui <ju ua ; dije-'euipi, ane ai'--ract»oii apiéa Tes hwjffes wavau : t»1 01 qui tai* qu il pat» bientôt au « Potit-Bk>u » ne Coraid iia:iy eotume , cj;i*tqL-e li.vaiai. Omit» ce cx>nja'Ue-ia au-si. tu 1 a» a»» v uu. u, U auiai' pu reu^tr : te» e r<-3 tiqui's sont ce>uiui« auu caiac-ea» ; tee-p. .<j uca ~ .xwoviv-^jji, ï>ptii^ueii^!» atius ult>e41^nce"(i. iu<ui3 u u a pao «e H.uaps s arreier i*mg-^wiip» a cetve qualr unie c-apu de «a vu> n«*c-ranesi ; ia iitk-n-' i«e ' n-Usoi^e : il uovient tclie-vui «> Û'tCUfSViU trt>uiijiues,»ie. Ceu eiA tait: i ijonune poi.i-iqii<j a i'écrwai» «i» sa piu-uio iait connu^aiieo eiu s^yie oii»Ciel uan« i .e^aui poui-ja», ei mal^^é tou*, pi-rce <a u\>iv pvrs,oiuiotle. j lu*, il !• vouikait b«ai.. mars il r'a - plus le 'vrnps I » 1 Ou.r>an-, -_= dc-.vir." s'accc.aipl''=scnt- ot l'i»n-J pvevu de ia se enuie-ra aap^rier «d lioui g ai^SixM nés lois^vrs... 1 o p tia 10^.1 s. 1 v il I i invasion ou pays, 1 oocupawoii du la a vnlel Les i« premier jour ,ie boargoiesyre .1 te 'iou,a aux pïitcs avec la <*Mua-*>sv.u«; ie - L>roi' kiouiit aux pr«co avec ia force I [ E1 le ii-erateui re>paruil, aruent, morian', ^ énerg.que, b-eroîque ; s^iuveiiez-voufl d'es <illi-s cniis c s..é<» Aûoiplie i.i.»x : ei.es sont U6se>r-à cua:s cius pc^es oe no'-ie bistoirs... «t quelles "■ pa^eai 0 .nais il es4 dangereux pour David désarmé J de due a ses quan'e véri'c» ; on tara j laue la voix qui prews-e, la i or te pi^mo le j Droit j 1 o.ci Adolphe Max en prison : il a dee loi- 0 sirs aéfortnai», des ioii».is jaterinioaiBle» que seules ton cixag'e e-i sa coni;ance ea l'ave- 1 lur iui perme-i-ens de s.upporter. £t i cenva a, rap^iatasain. encore, devient, ce-té fois» pje-e ; poète céiicat," un pe-u railleur, un pou lufciâJicol'ques .ubissaut a *a 1oj« Les intiueuces de* souvuair» et du pniteai». Votci un « envoi » et une « réponse » • l'** voi t»4 extrait d line petite pièce que j"ai publié* voia treize au* : je ne l'intercale K3 qu* parce que ia r<iponse... y 1 pond au«C«uiea* 1 "ENVOI Eh. bien, la vie aussi a £on hivor de Sjirrae» s Auioi que 1» pf.niejui«, ha j.-uii*»» a lien cimrm««, iVlius les eiuuiia d aujouid lidi seront. d«K l'unira IduUMiiUj Oaj la rose se làne au .bord d'un Ion* u «m» 1A is buuneur «envoie su couli.e ce Ub U». .Mais ctui a-ors <|U U luut, dous sou tenir mvKy (Joueurver u» oiuiiujs dt» joui-* uoy tût tw&i* til laui-e revenir la» ton ne tu* ellaces; U eoi a-ors qu d nous iaui, dikna lu, ombres wtute*. Nous souvenir d Uier et ues nuu.1» ùtoiieua , Li Mivïuii de ebaucon», de soj«i et d aiior, \our toujoitn ka oliamps vvsr^ et Uhiîoôj* le céei \ivre Ue si>uvenu', s le jaT3«at nous b.«B» [pur; Ei, doiixj ne le Oonne'ur nous fuit et twai Avoir, eontrv le. ^eurï et lanière ran\*jftu, JLt. soied uuxm son suie et i dan» mnx «rnixi (im iettie i i'iurreUe. bc/iv.J, REPOKbfî « Tjo sotei] dans «ro finie et l'M dans gon esor », Vus vouuiais-je oe plufa? C'tei io t*ei"f<iit bociasoil Un a dm auUeiois : c Béate so'ituuel » De ue precepM anmon, ;« lois m longue éend». iJnr dus iot^K^s piolutxis et u «piiii bou>evû*ii«, On iiio tient ii 1 aoa du monda de* baviuas. Dans ka bert>es.le soir, guaud cluiata 1* u«al«, 1 d entends tomme un écho as uion buui%Hjrr w<iije... j J'ai, pour auge gardien, l'Esi>oir ivu fttsi» mmMl. 1 Couue iiu, tout 06 bx-ise tuasi ynu sur i fciifci» , lit, tandis que là-bas, pur la terre lougr», ti'aobèvent L» narre ai* cis la. tm^-igue mvm, : fwiii, muet, to.n de tout, je ne pu .s qu*. 1«>* - La lenistçdani au oial les astres ce lev«l 1 Adolpha MAX, (Fortereaso o» Oiatz, HTlS-t ïje vors es* facile e' coule de eourc» : 1 ancien critique ea1 aucJi poè.o. La voici taicoxe um preuve x » A Madame ..., dont t» main gcuéreuae a k1u**> un jw1 t*t-t tieuue à travers les baizoaux <i* ma prison. 1 D'une utile venu faisant une scienoe, 5 Voliv Ëetila ( intimant m tnviie A ia patienos, Grae-e à votre UntU, je sjis tiès «.ujoii.-J but L» ilio>ou Is plus sur (le tromper mon ennui 1 Je me uoubo orai de mon son larnentatvi* La etataut, ie voir, dus varies sur la tabla, 6 " Ja ne serai plus seul et vos cartes feront Ca qu usi I on defuud : eues u<& par.oroni! Déjà tour von seieve et lomput le stleuot De ta tombe où, vtvant, je fttia te rêe« uutnenM De voir, à 1 iiociKon, rouge d un saii^ v*rtu*M, Aprûs cca nuiJt d'enfer, luututre le sol«i. e u J>ar.s vos cartes, je lis comme on lit dane ita sitfroa: J'y trouve en frémissant la hn de nus <bs>a<-'-r>« a lit le si>ieituide eupoir que n«ms uiarelioo. u»i,t «uo.6, A travers le oarnu^e, au trionipe du Drtat... Bt qtis tf'at (le ii-uxw, par u '• 1^54, «lfrr.n<l«. Auront lait, de leurs marna, une Lurent» [gxaad», a c Et tomt ©n écoutant oee mviaiM«i voix, M Dana io canne du so.r, disunctometu te «w§ Se pertcliar vers te» morte (J.a viGagcs dw furoroa, '• Et ka reEMUSutter, par ia rivanie iibjiui»» '' Da leur divin ru^at-d où se ht i» bouté r- quj, dans ces jouis de deuil, sauve 1 Humanité 1 JS Adolphe MAX, ^ Forf~ir€S550 de (Jlatz, SO mai 1215. a le II ne faut aucun comment-aire i c«a Wè* jo.i« vors : J.se* les, reirs«z-ie* 1 Vous cotupj'.sa-1- drez ce qu'a C U e-prouvor ce* Lomiai. iX ie cu;uir, exue penaant plua de quatre an», e«v-a- fermé ave>c »-• puusées, rvnfe-rriié dans trea puunees. ruis^e-m un jour se dectehsr à pu-t, biiei «u un volume ia <le jxjee.«» qu'à a i- dti composer ia-b-a : ce sera ua brevuurv U or ,6 que nous porterons sur le cueur. Paul MAX. Honneur aux Héros ! Bas ïUstâssotîea;» r.sît^i*îca«sias ïtiS.X Londres, 14 novembre îyiti. lie» aibiiiictiou# liouoni*que9 américaines aecordéee uitr ie Vv îisou aujt ijiare- ( chaux Jbocu et Joili'e, au ielu-aiarecuai bir I>oUgias iiaig, et nu geuerai ^eiaiu euie-coa^aisbaiiCfe ue» service^ rendes peiufciiui in ; guerre, ivur oui ete trausiuibe» par le geuerai ( « i'ersiiiug, reppewjmtuiii ie i'rebiùeiiia 1-e îua-rueùai !• oeù * ete uevore au «quartier gcucrai i ue 1 t^ruiee oe caatpa^fijto- JLe goueiai uoilre , t)t ie jouerai i cia^u ont ete iiceorea mer, le 1 premier a i-'ari», ie second aa lroat. l.e ^e-» lierai JPer*iiHig a îeiicite ies» iroi» couiuiaii* Iuajii»? ir*uyaio et les a m»iLce* ue la recou-uaioeaitce uu peuple américain, l^a cerenio-me ue la 11 teo ration tiu ni arec h al x oc U lut ■ ! brève et b«wpie. Lb générai i'erfcaing prit m i î j^AToie en lr«ât^aij# ti uit i^uil tee S càarge ue présenter ^u ntarcciKU ie premier 1 1 de^ orure*creeapàr .iec,oïigrèé tles i^taih-Oni» pour re-uu.ro quoiiauj^e i.ui »er\ice» renutii» ita et qu'il eiait heureux ue teiuoigner - ain*« oe i'auiuirrttion et ue ia ^ratituue oe i'ui'iitûe aifoi'i cajne. Le intérêt? Il m i oc h répondit qu'il serait heureux ei lier ue porter cette ùecoratioa. r ' Ses pela» i5*è biôii bouveui }.*ortera»eal *.ut { la |K?rn»u« gruH* et criltt|ue «ju'il a\a:t tru- ■ ! ^ei e-ee en couipugnie ttu gênerai i'er»uiay et r ' »î u onïù-eraît jainai» ie u»oim;t!t ira^ .^ue ou j ie jouent! Vers^iug mit a ea tiij>po»itiou I ! tvutets -e* ressources ue i armée americ;uue. 1 triant ue* ut.iicuiîc» avec ios4U.t;iit>b ie» II truupc* ce* i-ataib-> iiiS avaient uu iutier ; J tsm»l%li\ Ciesh IliùU; le m arec il ai i'OCli (ltîClaia -1 », ue leur e u ac e» euvit Ua â ia notion ciaire et -1 udtUs qu'ils» arft-Jeiit Ue .a situation, a 1 «nuvre j , ! u i;a excellent etat-major et au courage et a j I -e UeidriiiUiôa *«' à ê»oiunt.h., l^e mare-; t î e<«--a. u;oala * fcrinee feutcricaïue av ait i îu-> j it-uUoû u rubcrire ie W"i ue ia àvieuoe eur &ee - J éteuiiarù^,. - ! rru»M la rofitia dti g<î«èral Fershiag, il le ] rtuiffi'Ui pruioaucmeiât, ei lui uec.tiiu tju u ! lurait tôt jour* « cpo«£ue tiurai»^ lu-- t j <;u«iî« i«» eut ; ut u; maexnt»4« pour m iiiierte, ; f Ia jtuetecc t'i la lu uero- j . î u'.ioi iet proa^ztte^ au luîs-i i a -i vo.'ire, j . twiuK i ciétùyrà <;u ii était her «l'avoir oce s e . j l'arme* asu^ricainu, ^ui uva«v i | ooci<".<•. uv <4 \u-uj:r# «i*"* Alîie*. iu» m^echai j 1 ' le* amei ic^uo noixime i • • pi e» j bir lioagla* Haip »er# décoré 8njour«i*bni. i -k Lé général Per*ma^ » C8t i'ônuu au quartier i gênerai augiai» ue 1 ti'aieô ûe eam^/a^nw ^oui* or^unibei- ia ceremoiuo, LA POLITIQUE EXTÉftlEXJ^E s La déma^oKie, «ji iiouaiiae, be j-ai* <fe plus ua pi.13 nieiwyante. M. Trotustra a iauce uik f j. sorte de eltfi au Pariotnen». b'atiitste^ua' au n gouvernerueiit, ii s écria orglueiiien««.iaie!ù* i 11 u Voui ne puutez compter tu but ia po.«c<, ai 11 t- 1 aru.ee. isous avou. vviûé k ceia i » h.4 0 un dépu'ô a vivoaie-nt aefetiUu covaat io Fais e leirient un voie>ur île vélo, contre l'ageaa an jxj-f iKo <rui t'avu-» arré^ Tiiee>riesi rtouveiucbl 1_ lieure-usvuie-rit, bon tens <lu peut«i« nol- ,t i-iUX-ni«( trio.ïipbera eaità <iouW d*e tlan^eiieu-- 11 .-eï erreu'î# e|U oa eacàie Ce 'ui >iiipOL«r. La * e . c sitoa'-ioa nea ««•> mo n» grav». la maJ- '» ïoi m vo.onùaîr» a é:â api>si£« sooé. je» ar- rues dans tou1 le payo, d-^s, pa'routl** ca- »o Vaie'rie circule»1 à i-a ila\e pour i» tnata- tton de l'eirilre «* coiu«rvaleur* u_ iami leuia journaux, U.s eu» <if> ruiiarient, j' a extioirta'ion à l'union iiationaiv, août ms t4"» ^ es* prewiuc des-Jt-per^. m • * On ne s'cjpbque guéri qtîe, dans des pay» oii aucune autocratie n ie» à tcovtutei, ta |.r it:vo.ution, du uieuns sos pro tj'iut*», r» aiar ru mlu»<eni au»7 ne'"ftuent e,u à pK.-a.~a». la : iîuie»*, Képabhtjue tétiérative, p.;yn <ie ■tûer- a I tfe» é'-e:idue», u'échapp* }>a» à la cosijasrv« 1 quï aiiss; Ja Suèfie «t la Norvt.jff. l---=v ce uotitc une inala«iie aoctaie Quj fait p^a ^>111 d r. if-e tout ceu aine ta dé^es* aùie £Hppfc 'c «t'ij.'-je/k1 ? Le». AUi'éa, ht-\trv*UEfattieii», p-'£■ n /. - .* ,i< nieii.e'irr &6uani cou".® -ep'uloio"» eoi-ciw»vat!<j ; c ' 1 ■« su'.cèi, ta iwree rii-to .w " I servie* du Droit. e. I u :-i-«e ^rvrym--jÊ — ■ r ■ "■* | • c **f C T r>. ? p Aï \ C F* 1 »»!; WiJliiL L jrïJLèX'iuK'i^ J|S D'ETT£RBEEK « | ^ ' ^iïl3ns:la ^ ngYâ^ars | ' DIMANCHE 17 NOVEMBRE 1913 DSX CENTIMES LE NUMÉRO ^ 1™ ANNÉE. ~ N" 3

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Cet article est une édition du titre La presse de Bruxelles appartenant à la catégorie Katholieke pers, parue à Bruxelles du 1918 au 1919.

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