Le Brabant wallon: organe de l'action catholique de l'arrondissement de Nivelles

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24 mai 1914
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s.n. 1914, 24 Mai. Le Brabant wallon: organe de l'action catholique de l'arrondissement de Nivelles. Accès à 12 mai 2024, à https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/fr/pid/zs2k64bz31/
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Organe Catholique Me F Arrondissement de Nivelles 5 centimes U om&êto. G&touméro eontienïfyn supplément. Pooi» ftteü eh la Belgiqtte taeateactt! S5SSHSS2 trlMDAfe^GSN wf| ADPI JISTRATION A gg[CÖtÊÉ$Sfl |?A-tÖVÊIXÈS **, Rue des Pamissietis, W "TELEPHONE'^«K>3 Ajuionces (4m< page) la ligne fr.-«*40. —Rédames (aprèa le texte) la ttgM Ir. «.r». tfrvcrs (2me page) la ligne 2 mW^^m^^ Ech°« rtn*weltes(ta« page) la «gate • tr, Reparations Jodiciaires, la'Hgne 4^4r. —Necrologies, tahgne l fa. Vont %* pnbHcité s'adresser iv 'rAjt^e ^èJ^^t^^Fiïfellctlé generale, 16, rne des Paroïsstens. Télépliene A W53. N», Av^ü* éi* Burfst, '47 dë^Hgieux "ou 'des '•feligieuSès. Du.'toom). " CES BONS LIBÉRAUX [fcainpagne ék&tat&le év& -libéraux i3göudre4e depute^odaMstejF. •. 'Huys 9- -übéraux, écrit-il daas «on journal t F-i^pëfeafble pour rassurer -lm tifs et ramener les'brebas égarées. Ils JésdMdarisent comp^ïêtémênt -'-de töute sjbn soeialiateet par lent ^ langage traduonnel de la bonn© conservation sokille.' jj jfj^''3p0Gta.ci®;e^t d'un öóJpïque'aclifvé. Sm^^^^^e^^tuluii *#5W~i!l*?9?»1 ■ p^4^ quj.ils craignent de perdre encore Tappomt des éternels flancheurs. Ils dénoncent le byndicaHsme clerical-"-^arce-^ "qu'il n'ont jamAis été' Gja^blies' -de--or^er un #jrn;dÈkfe? mé lèBÖral.^* 4UE8TfON 8EMEUREE SANS RWONSE Le 5 mai, 1'Independence indïgnéê die» sauvages manifestations des ao^aK&tesj séresièns contre M. Hymans et les töbé» raux, imprima ceci : Il: •est- une-ohosé- sur laquèlle;' en 'fin de compte, il :seraiti utile •-'cl''teB' 'fyfcé : qüi parle et qui agit réeli^mènt au -nom- du parti socialiste? Sont-ce fes >mandataires qui/ au'.Farie^ ment, font preuve "de sens- politique- en préconisant la-mar^he-:-^r.all4Le dee deux. gauches ? Ou bien sonit-ce les - ésnergumènes -. q-u.i vont troübler les' réuniións- publiques des libéraux et qui'traxtent?le-parti • liberal- en parti errhënii"'de la-démöcratie? ^ Si les mandataires du parti ouvriier socialistene sont des chefs que de nom, impuissants- a contenif efc a dir^ger-^es masses populaÓJea, qui vont-aii :^rêdê leurs énstincts-niauv.^is, plus possible de se tromper sur la valeur de leurs gestes politiques. Aucun ^ökef- sociaEste, 'rèöiatque le Pa-, Ütèïïie, n'a répOndu:a•-cette- ^aise-'en-de* meute. Les « énèf^u^ïïènes »-"öijntaiuent; a parler seü-ls/en-'-m%1%es, au riom du pjaixti socialiste. m LAMiNTATIONS Ijl Wa&6tt€i&& ételée-jdu « manqu^ d e tact »4t -HM. .. le^ soeiaMsfes. ."Fourquoi c^ux-ci von Wis "Ö^ftfoler ïlês^r-éuniöiis-^ de istf^É? C*eat d'une noire' ingratitude! I^ parti übéral/'iécftVeUe,* * sembl©^ti il|' dor^è"un-appu>ï'^ss^e ^pnwant -e-t^-assez p^éciéux a /touf-^^^y a' de juste et de tolerable dans'les 'rev^adications êc& clasMs ouvrières pour avoir- droit- a-un- peu p us d'egards. Ce n'est pas au moment oü il faiC ?ce ^tl'il peut pour*leur -faire"-' [ njr.' le suï:frage" untvefsel et niettre a. leur iaappsitfon la plus large part '.Bè'^la narration des faits,'résumés d'une^fa-. con objeéti^ej'ilrésulte que les libéraux, tout au moins les plus réactionnaires, ont;'^ü.t heiireux, .saisi l'imcident au vol, pour la^er/précipkamment la séance et empêcher Troclet de pwSTCnne facon." claire et' pr^seZ-devanti^eS; mandataires libéraux,'les .questions sur lesquelles la classe -ouv-rière et" l'opinión-pubtiqüe attendent des engagëmeute •sins.^pmcerites, c'-est-a^jje sur. la réyisiou et le S. U:"!pur et -simple a tous 'les dégrës. » Le Peuple devrait bien ne pas trop at"teridre" d'engiagements sans reticences. 11 y a eu un' -reeul :dèpuis 1912 et 'les dibér'aux ne sem'blent plus tenir a accorder a leurs cousins le-^byen « d'aecroi>tre leur force d'attaque et de destruction » et ils pensent tous u-n peu comme le Journal de Liège l'indiquait : etit -artisan,- ^un-' petit'9ropriétaii| re. Ce^la se-corrip'fend, le^-petit- pr-Opri-étór^ échappe- au;socialisme. Le Peuple vieut maintenir I'ouvrier dans une situation inférieure, pour le ter nir bien en möin. Il est escla^Mste. • Eri voici la deraière preuve : il critiquait derriièrement ■- ^-ractJomiariat^-»" ouvrier parce ^ue> entre autres.-rabons,: la^formu-le-cont duit « a créer de ei de la quelqües; privilegies, matérie^lement, a écrésaer Ja classe ®W@fe& ^e^s ^éffö®pss ^éiéments^xe qui est une vieille tactique, percée a-jour, qui ne peut avoir qu'un-' succes- r>assager ». -' Erreur. De tout temps -Föuvrier- a eu ■ceifete--tactique -'de' ^ro^ir-^de sa icomdètaon. :Rien- de' _-,pl-us'-"-Mmain ;';:-qui ne chefcfae' a. ^mo«te¥"?'Mais^a" démrrge A^tytïple dans :ses ^lans de 4'omiuat^. MOS LIBÉRAUX JU MS Le fownnPdes'Débanq}iï ïfesk jSa&'ea- .tholique, disait,, le 18. mai, toutes leurs. -:vérités- --aux-- libéraux beiges. Cueillons : • «b&e^^emfeïes:deviaf^uchè^l!J^ale 'XoiWaatéjveErgrand rromfefre,.^la^éforme militaire"--ILS@f ISÈÜXÊ7T'QRT DE !^SHBGra!t^8ENniMSjT"'^ssissa - LA'lRE" pour ^unique :r.afeon que celui-ci encourage les écoles libres par .des. .subsides dont un million ou-uri mi-ilion et demi ka aux^ét^biisseioeütg, ^dii^é$'- paj Le mi-nistre'des- SdieiÈG&s"'et dee-Artis viemt^a son to-uir,- de porter a. la connai«sanioer dies M. .Foutief^e&time-que « :cettev pratique: de ■'le^JÈ^rt' de fonctionto-aires publics ^est-Vabufeiye et qu'Jill' dodt leur être intewiit de -iaipe^ trafie de hrefnseigniemenJts qu'ils po-ssèldemit- '"coaam-e fonctioinnaiines, ieï de cumuta avec leuns fonctiOns ceÉes d?ra'gentsde:ïeïïseï#nem!©nts. ' «"E'n^éffet, -la divulgation;d^a^téfiMeBts^an-cionis^: peut' être de lïaturé a iruiniefeedey>WégociantsQmii' out o?acnrèst;é leur-passé "par rune vie :'^'J*ÉÈéu^t*^€?ièlro|bité. D'autre part,/«ettie divulllga^on,' «salariée, de la part des édlucateuirs euitout, a quelque chose qui frois&e-I^laOinr ;nêtèté et -eUtaime >ea tout oas le prestige de ceux qui s^'Uvireat ».. mam ABONNEMENTS*\ .^ ***** . #fc «.H» I Sfcrttabte.: . .*. . . * tfc^^P-: "ffiSo (T^ismob 1.10 On iHibonae è Hl Dlreotion mt ««x Bt»e«a«« 44* pastes Trocle.t! ÖM Dimanohe 24 mat 1914. — Nü21. Entre bril et maraf re Il y a brouille au ménage eart-elliste. Dame Doctrine se debat contre les arrogances de sa belle f ilk Marianne. Et c'est un spectacle émoustillant ppur les voisins qui, par les oarreaux cassés psuvent / contempler les attrapades heroïques et les attitudes majestueu'ses our amp antes. L'histoire du faux ménage est xemplie d'episodes varies et féconde en enseigne-| merits. Les premiers rapports qu'eurent la bru et la maratre, furent plutot... refrigerants. Il • nous souvient : vers Tan de graces 1900, un petit con-flit, Ie centième déja, mit aux prises F.:. Emile Cauderlier, un fits de Dame Doctrine-Pipelet et Ie citoyen Louis Bertrand, un adoptif^e Marianne. Celuici ayant exposé d,ans 'une| brochure « ce que veulent les socialistes », celuila présenta sur ce programme un rapport tres cassant a la R.\ L.\ ^s] Amis PhM'anthrojpbs N° 2; un -extrait "--qui | rrrontre la cordialité des rapports de familk et qui, approuvé par totute la Loge, doïine F impression que fit sur les'doctrinaires Ie programme des socialistes : « Activer la- transformation sociale, c'est pour 1/. Bertrand, supprimer, .de gré ou de force, l'ójpganisation industrielle exist&n-te, qui a donne tine si magnif ique expansion a notre activité nationale; c'est abolir Ie patronat' par voie lé-J galeet au basoin {sar voie róvolutionnaire. 0'wBt. pour oette besogne que Ie socialisme tiemanoe «os votes; c'est pour la réaliser qu'il demande, la menace aux 'lèvres, jusque dans l'encejnte du Parlement,qu'Gn aooroisse sa force d'attaque et Uö destruction, en lui dormant Ie S.-O. pur et simple; c'est pour en aboutir la qu'il veut pSWelavoix d'un illettré de vingt et uu- arts vaille 'TfcB^'^sé^röciiit; ui &, des "'rptws - oxpéïTüi-eilféb' d'entre nous. C'est pour cela qu'il pré tend que sa force politique s'accroisse de tout ce quJelle ealèvera a la force de la bourgeoisie. Peufcetre GOmprendra-t-on que la bourgeoisie et Ie patronat, ne s'empressent pas d'y prêter les mams. » ' (Bulletin, 5900, $P*~fasc. p.-llt.) Un autre souvenir encore, entire' mille, plus récent. ïl s'agt d'un artick du eitoyen Vandervelde, un des fils les plus aimés de Marianne. Il disait ceci dans lel «•"P-OTpk )), Ie 16 mai 1909 : « Nous ne saurions assez Ie dire et Ie redire : Ie parti socialiste est avant tout un parti de olaeee..^ jl^'a/pas pour but de coïïqliëSr uméj place plus ou jmoJns large dans la société ac-. tuelle; il poursuit, sans Ie perdre un instant de 3^é,Ve but final : ^expropriation politique et social e de ia bourgeoisie. Pour arriver k ce rëisuitat, ii a besoin du suffrage universel. Tl e'sf'ipt a soutenfr^l^r'l^^ tout gouvernement qui acceptera de'lui con ceder cetté arme indispensable. « S'achons dire, haut et ferme, ce que nous voulons. Faisous front a la fois contre tous nos adversaires et plus nous serons énergiqiies, ■ plus nous-'serons audacieux , plus nombreuxviendront se grouper autour du drapeau Tougpp..? tous ceux qui attendant du parti ouvrier, autre: otiose que^des réformes : rabolition radicale* des" privileges" de la bourgeoisie, |/j^fayj;at1p.n| d'un ordre nouveau, dans lequel les travailleurs eeront les maftres du capital...^. Comme on le voit, en 1909 comme en 1900, les fils de la mégère Pipelet et les enfants de la rougeoyante belle-fille, -iï*étaient pas en tres ,bon accord. II n'en fut pas toujours ainsi, s'il faut en croire-rhistoire. En 1912, il y eut emforassade générale. Et pour que parut plus douce la reconciliation, M'a-me Pipelet offrit a Marianne « d'accroïtre sa force d'attaque et de destruction en lui donnant le SvU. .pur et simple. » =#^#- f Renseignemenfs Oaiinnereiaux La guigne voulut que la galerie siffla la coniédie... et les acteurs dépit-és se lancèrent a la tête, mutuellement, les] pomimeê cuiïes recues. Aujourd'nui le spectacle, pour, gratuit, qu'il Spjit, est charman-t. Alors que des gars turbulents comime M. Lor and la Gi-: rouette, veulent réconcilier la maratre avec sa bru intraitable, d'autres fils tout aussi importants rechi^nent a ridée de se Ternettre en ménage avec Marianne3 Et c'est joyeux de voir M'ame Pipelefc tiraillée a droite et a gauche et laisser dans l'aventure de grands morceaux de ia -toge--pkine de dignité dont elk co-uyra?it son déchamement. Le dernier incident eut lieu dimanche a liége. Ce f uit épiquie. 'Après des escarmouches oü le citoyen Donnay attrapa M. Van Hoegaerden, oü le citoyen Destrée tanca d'.importance tout le liberalisme, une batailk' decisive s'engagea au Cirque des Variétés. Le Journal de Liège, pipelettard enrage en dooïïie un récit-dont nou? reprodu-isons la fin (après un discours de M. Devèze): 'M. .Magis donne la parole a M. Hymans. Une ovation est faite par les libéraux. 5?i ce 'jSfföttient, comme o^éissant |r u-n^gcal, des'cïis ffipiiSence liberale Le.Cxmseil communal.cartelliste d'Auvers a vötéten principe l'e^pulsion.des-sCeuansjde- tous les' Hópitanxxivils. b'EWe se^koyne i a'-las .-ssip-1 portér-faAite 'depoUvoir'-ïes rempla^er -ïnstan-tanément. .'Arrive, -pejidant iet-^épit '■que.-leurs; petóéeuteur.3 ;de Eadministóation-.laissent-.vanx sceurs, l.e'700e' aüniversarre de- Iventrée- ?du i person nel religieux dans les höpitaux" d'An vers. A cette occasion .une fête est célébrée, un écüeySi qui a vote Texpuision, M. Desguin, et :un M. Van • ^ienwenliuyse, président du Conseil des Hospices y assistent. Cette pai'ticipation^es't-un-.désaveu.- im-pliéite de 1' expulsion, done un aveu qui^n^éècidant d'expulser les sceurs le Conseil-.a .iait -. acte d'intolerance. Seüiement le -"désaveu n'cst^accompagné' ui d'une protestation de: regret, ni d'une promesse'de-retrait du vote. Sans contfition, s'ans bon propos, il ne prouve que l'obstination oonsciente dans l'injustiee. Mais la Loge a si --bieai dressé• sesir.adeptes a détourner ies "mots de leur vrai sens que VlncLêfencLance "Bëlge ose imprimier : r J c- Cette-' lecpn de tolerance {sic I) •.•m-e saurait évidemment pas:être: comprise; par les sectaires (resic 1) qui feignent'de^roirecque le parti liberal, en se déf eridant - contre les curés >po:üticiens, attaque la religion.» D'abord, s'il vouo plaït3-;n'^mbrO'tül-lö-ns^pas: deux choses. Ils'agit non de cttrés., mais-; de sceurs expulsées. Ces.Bceura, vous n'awez, MM. Desguin et tutti cquanti,- aucun'-motifv'de les expulser, en dehors .de leur titre et de leur Et vous, madame l'lndépendanoe, c'est passer insolemment toute permission d?abuserc;desmots que d'appel er tolerance une politesa^quirevienr7a^dire : ƒe-'-vous' rejöds; hommag'^mais je^ n' en " :suk:^-pas,*- moins déddé:è.'-Y.oss^iJSisé--' cuter seïemment et lïbrement»;^y Ce n'est pas ds la tolfoanap, cs^Ay-^tftt^ de rïronie cyniqij'te. _ ^»^. ....: ou,■ ■—, -k^JIIII JHBft..ffJ i La Grève dite General* de !Ö13, susci-i tée par les meaeurs socialistes, continue a faire semtir ses effetsjdésaatreux. -Xa criseséGonoinique et3ïiaricière.. 's;§grgrave-vtous des: .jours. • Aucmrr^a-ysi.anotre connaissaöce ■•rn'^st^éprouvé^plus "icruéHe^ ment. LJindustrie — tout© l^du»fe«|**^-,estjÉ [ dans kA'marasmep la Borxese:\estc^atrdly--"sée^;: or& vit daB»un«^3fenoispihèKe de cata«-. ■ —La^tentafeivfi^d^jgrè-^/gé^éra?!^ du -Qrr-ne,corapts plus/ieso-msin^s r.-^errrepes,. m;étallurgaes; flaminoksy'^tc. K^iwöntdiminué le ïiömbre^des';feeures. de £tra,vail du personnel"-ou^ con-fëiii-é- .une^pai^eide peluirci. V'Elu^:euirsTr&è^L^X)nt: .ferme "leurs porl3eej5Bfcïn^SQng«rit pa* a-etes- iHMCwtór.-.-d« kt6t. pÉtó^lÉêM^'l'in- xkatriec^be^g-e : s^ïisrks,: éAié&kM^sr^ tihaa^bt^nagös, ."Tous cles iè-ddisètwU,-'. libérarax5- et:anti-al^icaux:. pauxido^tof grand, noinbre,- di[sent[ j que il'aaanéé." ;der^rère,--d.ès.vque. ë@rl "comrtï'en^a/i èp^>a^ier de .^gtósre c-tgénétfale, leurs clieniteétrangers,: rèrloutant:.des retard3.-.-dans -;rekécufea; de -leursTCOmman-des r"ont passé leur©ord3?e3 ^UxrKïdustriels : francais et surtout allemands, * qui font auxifigtges .-suê?les grands marcliéD mondiaux uneooncur3:eHce:i.sivrèdouliable. Tp'ub le^naond» -:sait -qukur .-client .perdu [se'rattxape--m^alals-ém:ent."Quand il a:,pris rhabitiide.''d'un nouveau; fournjsseur,":'il faudrait • qu'ik'Mt bitowmal «servi -^pqur quitter -"eeluïrci. Aux'dommiages ''^dlrêets^hépro^mfés -par l'industrie beige du chef des commanded qu'elle a perdues, aux approches 'de la -grève -generale et pendant^oel-le-ci, il faut •done ajoiïter la -perte, bien plus considerable encore, qi^èile a:csubie^: du /chef des clients étrangers: ; qui' -ont- -prïs. "l'Habittidè -de sadresser. a.rcos -conicurrgnts. C.G-est principalement pour le roi dè -Prusse,nous voulons d:ire p-our les industriels ..allef mands qu'ont travaillé, au printemps de 1913, - messieurs-les meneurs .sodaUstes- j Tout le monde patit.de cette folie.criminelle. Et les ouvriers-ien premier lieu. Si les industriels et les capitalisfces. sont atteints --dans-- •: leuxsr^^venus, „4es, otivriers-, eux, tsont atÈeinta; dans .*» kur.v!^alaire?:et I -dans.'/leu^.?pain.' -Ce:n'est pas sèuletfegnt le boimbre ,des ;daewes- d«-icavail .qui:.dnni» nue, mais'.'fiJesfe-encore le-;taux des salaires. Les ouvriers en - souf fenft; En regie -générale, ils.;se.; ré^ignent en silence.'"On -les voit acceptersans mot dire toutes les mesure» pjs$s è,- 1-eur üétmml 1^-ks es:-seuls ooupables en cette affaire. S'ils n'av^Bttt pas été encourages par les complaisances ou l'appui declare de beaucoup. de libéraux, . ils "rie se seraient -pas lancés dans raventure. Cela aussi doit être-retention Ce"töoment oü les libéraux . quémandent les voix des électeurs, *en se ^retódant le \p'drti:du juste miléeu. ^^^»r ËCHOS ET NOUVEfflm SALON DU CYCLE T3E-BELGIQ-Ü-E j Gertte Exposition • aumuelle 'in-ter-nattoiiale -du CTcie, die la Motocyclette, -"du'Tnieu, des~Acces-■soiries eit des industries .qui sJ y rappo'rtent^è'st, comme on Je sait, -orgiamisée par la Royale^ Ligxae Vêlocipédïquie Beige,, sous le Haut'Patronniagie de S. M. lie' Rod, - d'e« Mom&ieur le '-MimisW'die -Plnidfuisitrie et'dtu Travail, de^^Onsdeur^Ï4.JGöuivetrneaiir d'u'Braibamt,de Mes-sieurs 'les 'Ele aura fieui du 19 au 28 diScembre 1914, au BalLaiis des Sports de 'Braxelles, et son succes -est dès a -pir-ésemt assure: presqtce tous les exposantsdes Salons de 1912--'ef -iq-x^'OiDrdeja donné leur adhesion au 'Comité- exécutif, et la première Este des Stands ser.a.pulbliée a bret dièUai. Le "Gomdté . espère :reoevoir un grand nomibre d'adhesions niouve-lles a -cette dmportante manöifestation iniduigtpiieüle- ef commetiêiale. Une 'section .s«pé*ale de petit 'Outiltee- y sera .amnexée.1*3^^1 """Pour tous •r^'seign'eimenfó,.. -V/|d|re-sse:r-Cpa!; lóiiBira.'M'. GsLaT^p^^SS^SS^^^^^ bs>acuil3(f v" Boulevard) Anspacli, 147,' a?' Brux%Mes„ KENNEL CLUB BELGE . Reconnu par lê"Gouvernement 28 et 29 juin 1914, au Palais du^Cinquanteuaire, a Bruxell-es, exposition internationale "pour dhiens de toutes races. — Trente mille'francs ^e prix. ...Cette exposition annuelle réunit, l'année der-nière, 1,106 dhiens, chiffre -o.ui ne fut jamais at-teint précédemme-nt en Belgique. Elle-ne' dureqïie deux jours. EUe of f re, au point de vuedela competence Pt de 1'impartialitéVdes' jeg-es etd'pCla 1-ovaut-é de toutes les operations, des'ga-rart'ies dont les amateurs apprécient aujour-,d'n-ui ■ toute 1'importance. Les chiens y eonf io-gés:dans le magnifique matériel-'de niches"fer-mées du-K- C. B.; ils sont separés les uns desautres paf des cloisons pleines aui leur assurentle repos et le calme, si nécessaires a des ani-maux de^prix. •^^ •Dest. p'-r-ix tres -impoptan^ sont- fésenvés^aux chiens de-trait et la"'Commrs>ip.n gouverrremen-tale chawjpés de ra^hat des chiens destinésr a4a traction des mitrailleuses viendra officielfement ^iatr^un, choix parïni les sujets exposes.. Le-'pT-ó-g-ramme' a paru'. Les amateurs--qui- nè"Pauraient -pas regu «ont ori^s de vouloir Ven---levdemander au Kennel Clu.b Beige, ?5,'

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