Le bruxellois: journal quotidien indépendant

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s.n. 1918, 20 Fevrier. Le bruxellois: journal quotidien indépendant. Accès à 20 septembre 2024, à https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/fr/pid/x05x63cz90/
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BRU.KELLE3, 33-35, rue de Ja Csserna TIRÂûE : 12S,0-90 par joasir m <mm<ÊW êm» <m .TOC JRKAL QUOTIDIEN IMBBPBMBAMT IÎLsg** iy^^ n W ^ ^ £■ a; « 'Stessa 'Ss,-. s» b <> s » ®a» Ili .,::.- -i-'i -iSS 2S tiSSE ÀiA£18&iê£félS BERLIN, Î9 février {Officiel), midi i iiiC-i.iïe do ia ^usus ae i'Oasst. ©renp© dann-se du lelû-Biitecwa» g^nésaï prince bénitier Euppiecnt ûo js&vkjre : Des agressions nocturnes de l'ennemi à ia f^rê d'llois,,.uljt ont été repoitssées. A l'est d'ipre ci de -part et a'autre de la Scarpe, dans la sotrét auel d arti terie renforce. ^Groupe o'Km;.a au prises itupéïiai allemand ; Au cariai Oise-A sue, tics détachements d'in fumerie ont exécuté des reconnaissances fécoti des. Au sud-est de ! ahure, des compagnies ba doists et thuri.geotses ont attaqué Us tranchée reste t s'au-, mains as t'ennemi ic 12 fevrter c oi.t ramené 125 prisonniers. Le gaza de terra» fut cédé ae nouveau devant, de forte* contre attaques ennem es. Aviation : c.u combat aérien, sept avions enne mis ont tte abattus hier. Le premier Ueuienan Lorser réalisa sa 21e, te lieutenant b'det et 1' lieutenant KtoU réalisèrent leur 20e victoire aé tienne. Tîiéâtï© da la gusrïe à l'Est: Des troupes allemandes, sont entrees hier, sot: daAs Dunabsnrg. Elles ne rencontrèrent que fsi de riststa-iee. La flufart des ennemis -nva.cn fi t. L'en t: nts «',3 réussi à faire sauter h ifixi ta isW-r.at tMt'.grg ses fréfaraUfs. Nv. d. ■ > ; ohs sont en progress on de part et d'ajitri de Lttfb. Luck a été occupes sans coup férir. Des attires 'heâtres de la guerre, rien de non V.'tlU, b ',/\'Ll."y, 18 février ( Officiel; ; Au tu Ois de janvier isos adversaires ont ferai sa* L'ensemble des fronts, par suite do l'activai ae nos moyens de com at, un total de lâl avion; et 21! ballo is-ca-pUfs. A ems avons perdu de nocri , côte ti8 <iv cas et 4 ballotis-capùfs. De ce nombre 17 avtems sont tombes en-deça de nos lignes, te. S1 autres ont éti abattus au-dessus de nos régions. L'es làl a: ans trinemiS, mis hors de combat, 13C Tcltisnt du seul front de l'Ouest, et (il des Ci: ollcinaiuls. An détail te total des -pertes ennemies s'établit comme suit ; 107 ai/ions o;it été abaims ai ctmbats aériens, 35 par des canons de uétense, un ae terre par le feu des n/itrail-lruses, un far des projectiles d'infanterie. Cinq ont atterri involontairement derrière nos lignes. De ces av- ni, t)7 so»t en noire possession et 8-5 r«* été ittënifestc; ert abaltvs au-4elà des l gw s. i-SPaïàL 1WS3 SOSiiX^SS m FFvOlii' Busas BERLIN-, VA février (Officiel du soit) » Au sud est de 'i ahure: des cotnbuli loca-ix se s,/ut développes. Au front grti»d-russe, les hostilités ont commence «ujvurdUmi a midi. Dans notre marche. i ut Dvnaèetii g, tiens avons atteint la D%ttn* sa:-s lutte. Appelés à Vende par l'Ukraine pour la sou-tenir dans : es uurs combats contre les ùrands-iiusses, nos tr :upes ont entamé de Kowel leur marche en avant. Sur E3»r; BERLIN t 18 février (Officiel) : L'n de nos sous-mctruis a détruit dans la aont de barrage à ta cote ouest anglaise cinq vapeurs -fangeant £i;<V.)0 t., dent un grand trans-£ïlan'i<ine anglais a'environ ji«.00l) t,; les autres, 4 vapenrSj étaient tous lourd cm 'ni charges. AUTïUeiKIEM VIENNE, 18 février (Officiel): Pas d?événements particuliers. TURCS CONSTANT/NOPLE, 16 fév. — On Q ar-tiet de ta Presse : Au iront du Caucase, nos détachements de teuverturs ont, en dépit des mauvaises c on d.tiens tUmaiér.ques, chassé des bandes ennemies ren-centrées à chaque instant de leur marche, et ont atteint, le 15, la région de Tohmode, à 23 kilo-tnèttes à l'Est de helk't pou* arriver ensuite ait littéral à Vakf Kebir, situé à 30 kilomètres de Oeusele. Les bandes refoulées se sont enfuies de Ktiin-aian et des enviwns dans la direction de lia,)ia Katar. — eoœ^MiatSES 02$ ARMEES #s 5V -tLv* Zf-?#r L\ $ Ofe L'Éira rSfciiTg FliANQAI» TARIS, 1S février (Officiel), S h. P.M.: Actions d'artillerie violentes dans la région du bois Mort er et de r cn'xaillon. En Champagne, après une <. ve préparation d'artillerie l'ennemi a lancé une ai Ut que sur les pasitto'tri conquises pr> ' ous ii: î3 au ■■ td-o.*esl de la Butte-dn-Mes- Ivi. Apr, , ... s,if c mb.it nous avoûi rejcie l'en-tie mi de quelques élén cuis de tranche es où U av tt f',i. pied i. 'abord. LU prisonniers sor.t res te, entre vos h,a us. Sur. Ta- rive droite de là Ifs use1 ■ s deux .itUUari'es ont montré une eer tatne activité, pen-hmt la prem.ère partie de le. m it. Rien j signale' su, U reste du front. PARIS, lh lévrier (Officiel), il h. P.éd.: Aet'vrté des deux arltUertes dans la région du le Mietti. En Champagne l'ennemi au cours de T après >u i. a fait une nouvelle tentative sni ms positions ,:u sud-oue t de la Butte-du-Mesnil. h os feitr c nt arrêté .'es assaillants qui n'ont pu aborder nos lignes. L attaque déclanchée ce matin dans la utême région a ci nu née par trois fartai liens ennemis eniratius par des éléments dt Sti,sstnii"pe >. f. ennemi, partout rejeté, a subi 'des ferles ébvées ■"! a laissé une centaine dé prisonniers dent fn officier entre nos mains. Jonrr.it calme sw te reste in front. ITALIE NT ITALIEN" ROME, 17 février (Officiel): Des combats d drliUerte animés à l'ouest du | la. as i,ar«e. a l'est de la Itreu-ta ci au Riave moyen. i\os bMienei ont efficacement combine leurs roux contec a.ss troupes ennemies qtu se trOi.vaieui tn marche à Test de la vallée de ta fr ennemi et sur Us versants du col Bcretta. La lourae artillerie bnUinnsqise a effectué avec des résultats ballants «»e contre act.on du Mon elle, jt£ Dans iu vaiiee .le la Lagarma et au sud de Ca-ts Hove (Astagu), a.es patrouilles ont eie repous- ~ iées par MrUe jusUladt. Près de Grave di Ta-»i>ado'pou ( ttnv<ï)s un &ft nos détachements de tefOHuasss&nce a provoqué un grand désarroi catis les lignes de l'adversaire. o- AlfeteL/ki® LONDRES, 13 fevner ; a~ Environ (i u'.-tons ennemis se sont approchés r>ç hier soir vers U h. 4b, de T embouchure de la 'Tamise, et ont exécuté une attaque contre Lon-d*es. i ous les avions ont ùte mis en fuite, sauf e~ un, qui, suie sut ici rivière, pénétra dans la ville et tan^a une seule oombe a-ans le district du e~ sud-ouest, tell'-t.i détruisit une maison, enter-rant sous ses ruines un officier invalide, une femme et deux enfants. Plusieurs autres bombes turent jtiees par l'assaillant sur les districts subtf-tbatns at t'Est, sans toute/o s causer des pertes ou dommages sénëux. \ ers 10 h. 45, une lr attaque tut entreprise contre Douvres; elle tut a repousséc. Uue.qnes bombes tombèrent en rase 11 campagne Quelques-uns de nos aviateurs ev.ga-•e .. renl des combats avec l'ennemi. Un de nos rs aviauurs une lutte au-dessus de la côte e du Kent. Peu ap-és, on put voir de la côte ur. gtand ai loh ennemi s'il-îmer dans la mer. On . ne stgsuUo encore ni pertes, ni dommages, mats elles doivent étte légères. (Voir le commumquè Dernières Pepëcfaes L"*J £ââ^8 %/& ■t.re a bre les Les €0ïxlit-i0ns de pajjs dsa Alll&s. ^ De Log.iiso ù la « Victoire » : La Confdrcac ^ ctromtuïe dss Alliés pïo^K>S4?c par le l'résiden Wii9c-n, *ux fias d'établir les coadiii&aà ci.m , . moaca do paix, aura lieu te 21 mars à Versailles été ytts Ic-3 ciédits iraaj^is. xii. Berne, 18 îév. — Du « Peut Parisien » : L ,n(! gouvernement a déposfl à la Chambre un pr«je es_' de loi d'apiès lequel lec. crédits provisoires pju g.j 1917 seront trr-.nsfonr.és en ci6dit3 définuifa .t D'après ce piojet log dépenses pour 1317 s'6lt vent à "i0,ti'3,531 francs, dont 4.t.'2sJ,lé5,S)& francs pour les défasses extratrrcfic^i:es. L: dette puhhciue est représentée dans ce crédit p^>u •'i,S73,i?S4,'îOO frases, le mi»islère des rritaiiiioa pe>ur 1S,034,(SG,(Ô5 francs, la section des poa drea et salpêtres pour SjÇiêS, 191,00g francs. ^ Isa générai Fayode à S'a^ls. ^ Geaève, 18 iév. — Les journaux parisica.s an nooeent le général 1; eyollc, qui c»mînand: u les troupes françaises au froct italien, est arsiv , à Paris, où il a eu un entretien avec Cleraen d$- -ur 4a© EGttvejaecvàat sjxgjùa suf la ssût^to. Berne, 18 fév. — tn séance du 1S, M. Her mCCc e t Jr V usr jsi- ,," -l i qoi, en fonctions depuis ii m >is, s'est révélé in suffisant. Quant à pouvoir coniWer les v.de dans son armée. I'Ansrlcïerre en est au merc HS" point qu'en 1^16; les augmeatati-oos «e rentiente,, dans l'agriculture et la coititrucUon de r.jv rc restent bieJt inférieurs aux promesses de Lloy-i George, et les dépenses ont augmenté de 2 mil lions de livres pnr jour 150 million# de fr.) soi ■éi p. c. au-delà de.r prévisions. Bonar Law vit dans ce discours de Saniue une charge contre le gouvernement, chose don ar~ il taudrait s'abstenir jusqu'à ce qu'on ait jug1 devoir changer celui-ci; le cabinet de guerre dit-il, est loin d'avoir abouti à des résultat ■ns aussi défavorables; la production des denrée en~ comestibles a augmenté en 1917; on sigaale ui mt surplus de SXOJJ'M tonnes de céréales et 8 sni! 'a~ lions de tonnes de pommes de terre; en France a" on signale une augmentation de 30 p. c. d; de nombre des canons disponibles, 25$ p. c. eï ^ avions. Il préfère voir la gestion confiée à ui d-e homme tel que Lkiyd George, sujet à des er reurs, mats de tempérament sanguin, qu'à un es prit pessimiste. -S Le leader oûVrier Adamson signale la divci gpnee entre les conditions de paix de Llovd Geor ge et celles du parti ouvrier; il regrette que le Puissances Centrales n'aient pas répondu plu favorablement et dit que, s'il faut se félicite de voir les Alliés d'accord quant aux buts d du guerre, la Conférence de Versailles eût dû pas ne, set à la discussion de la paix; il engage le gou •;/it vainement à "laisser toujours une porte ouvert ses aux négociations. es- M. Holt et Lord Henry Bentinck trouvent 1 en- moment venu pour la diplomatie de s'efforce il de mettre un terme à la guerre. cs Le major Herbert, parlant au nom des député là en service à l'2rméc, fait observer qu'ils vou ** diaient savoir exactement pourquoi ils vont s battre. Un autre orateur propose que les pays allié se rallient aux principes de Vv ilson et en fassen de l'application à la Conférence de Versa Iles; i (te blârae le projet d'amener une scission entr sut l'Allemagne et l'Autriche. lit. M. Balfour estime, au contraire, qu'il tau pu s'efforcer de provoquer cette séparation de tia- Puissances Centrales et que non seulement 1 ois discours du chancelier von Hertling. mais égale de ment celui chi comte Czçrnin ne ménagent a« itbi cun accord. de M. Rtineicman engage 1»" gouvernement à pei hs. suader la nation qu'il désire réellement la pais M. Snovrdca juge que le gouvernement a prot vé son extraordinaire ignorince tant poux ment la guerre que peur négocier la pais, et que 1 nation est couvai nette de la-nécessité de le révt quer. M. Anderson trouve que si l'Intel tigsner de politiciens anglais était à i'aveaant de la brs voure de i'arnaée, la guerre serait ternairaSe d iongue date. jRatitvuss mti& ï£. âiiquJtJi et lord Laaisàowna, Loadvea, 19 février. — D après la « Dai! Exprès» », M. Asquilit et, lord l/ajisdowae 01 eu ces dernier.-a jour» plusieurs entretions ui jx>ria.nlfe. Ck&£ las Sfea-F«4a«ra tcUaàMs. IjO « Daily ews » -apprend qae 17 Sintt-l;'o ners arrêtés ae wwt évadf-s do leur prisaa Liincncfe. lis »o sonfc eHrpjiréa d'nrte auto m liiairo et, déoofés 'k- leurs.iîaigties Sum-Fe.t ils se sont rendus sans être, importunés, à tir ni s, oit jça*écisénieQ(. i-^w pro-oès avait lica. J] oiit rouas;1, avec l'aide du pa.bh(i, à wiser t: tuaituL'® âsrn,i ki salld; dftudksnoo, at po.îit qos îa séanije n dù êlxe s\i peitidae. Quoique 100 ag-ents de hiase at présent» àtvn-a la «aite, Us h'oîs pas pu eapturei1 ua se^il des évadé--*. Plus .8ri des rétiaacu-s ont été tenues, au cours desqu«s les ou a foraiulé cocaïne esugenos princapat rie la futurs république idaise la natio-na iisation do toutes lai torre«. Oats les dïrjitjôEs BèreSs sogiais. Loodz-ea, 13 février. — 20,000 ouvrier cwi structeurs ci» nanro», qui èervaiaat daaa l'as nié-e anglasso, ont 6i6 cocgédicc» à conditio qu'ils isavaittertsit daias eb^-ittiers m,\si qui leur s croc t indiqués pair lo gouvernement La cosmaUoa seoràts e»itîe i'Itsil» et se* si Usa. En publiant la cb^cumeataticm secrète russe l'e Isvestija » vient de mettre en luna ère les clauses qui liaient l'Italie, aux Alliés, entre autre; cellea-ci : u Le 26 avril 1915, ces derniers avaient as-sur" à l'Italie, comme p.i.ï de sca alliance et de sa piouie.-_.se de s'euiployer par w.-us les moyens à coopeser ai'ec i'Eatenîe. l'annexion du irentm, do tvut lo Xyroi itKïfidioaal jusqu'au Brenner, d»; Tneste (viilc et cnconicçjptioa), des comtés tic Ciorz et «e Gradiska, de la Dalrcatie telle qu'elle est ftel imitée, dtï» U;s situées au nord et à l 'ouest de ia côte de Dalaiat e, de V;ak-»s, de l'île de Sasseno et de la région s'étondant dep..">s Wajusa au nord jusqu'à la limite d j district de Clikaara au Sud, ainsi que de-> ils.-, de Dodecaacs, i4d» la sauvc-gaida des intérêvi iuiieos aux cQtes de la i4 l'î«r»tH-»s <}■■< - ^ .c- de in Turquie moicciùe ou d'uas filière d'influence en furqvie, le» droits sur la Libye aux termes du traité de Lausanne, ainsi que des coaipensa-tiens (.comme contre-valeur au partage des colonies alieinriades entre la Franco et l'Angleterre), an Krythiée, au Somaliland et dans les territoires limitrophes des colbnies françaises et anglaises.En eutre, l'Angleterre s'engageait à un prêt minimum de 50 millions de livres sterling; la France, l'Angleterre et-la Uassie contractaient rengagement de siiuteair le gouvernement italien dans son action anti-pontificale. » L'importance de toutes ces concessions, dit le u Beig. Kurier », démontre combien on tenait à l'appoint de l'Italie; et quel ne doit pas être le désappointement des Alliés, à présent qu'elle ne leur est plus qu'une cha-ge? SvHîveila révolu loa au Portugal, Genève, 18 fév — On coufinie d'Op-^rto au « Time» » la nouvelle d'une nouvelle révolution .a Lisbonne. Le manque de, ccmraunicrtions télégraphiques entre ces deux villes nous empêche d'avoir les déta:ls des événements. La politique cl'exyortaUoîï à Cuba. La Havane, 13 février. — Le gtarvcsn«aan do l'îk de Cuba vieufc ù'kitcrdirei l'exporta xoi "du tabac vers les pay> on guerre avec t'i-Q tcaits, ainsi que vers les paya aeutfés. Cetti déieikse d'-expoïtatierti s'éfcc&d enLr'auti'es .a 1; lio-liar.de, à la faiiisse, au Danemairk, à la Buè de, à îa ÎNo-rvège ot à la Eusai-e. Acdicatica du roi do B,cusnssd&. Bâte, 18 février. — Les journaux françai du 18 apprenaant, par uae voie ilaUerux-ô, qu le roi de iiournaui-e aurait awdiqué. IVatefa s à Paris, ewi n'a pas reçu çonfinuaiion d© k. nouvelle. Au paxloia^iit roumain. Le « Seooio » apprend que ia e -uvoeatic] tio la Chambre roumaine a_été ajournée au l1 mars. Eiie se réurara uoiome un ©orte d'As semblée nationale. LES EvmsiMmTà ssr EUSSES. Le brigandage. La Haye, 18 tév. — Un mande de Pétrograd ; Les actes de brigandage et les crimes se mal t plient de jour en jour; à Moscou le trésor de l'é-gl:se du Patriarche, les misseis reliés en or, les ostensoirs et d'autres ornements d'église enri-ch i de bijoux et pesant 400 livres en or et valant plus de -il) millions de roubles, ont été volés. Appréciation de la situation. par ua téaaciïï o-.vrshe. Berlin, 19 fév. — Un membre de la Commis sion allemande qui a séjourné durant des semaines dans la capitale russe clans le but d'amvei à taie entente concernant certaines questions de détail avec le gouvernement bolchcviîte a raconté î.e3 aventures à Pétrograd. Il dit entre au (.tes : « L'insécurité augmente de jour en jour, non seulement hors des maisons, mais encore "3 l'intérieur. Il n'est pas rare de voir des bande' armées surgir dan- les maisons particulières. Les Gardes ronges se recrutent dan? cette lie du peuple qui a en horreur le travail et la lumière, Ils reçoivent journellement1 30 roubles et n'oni rien à faire lis courent en te'nue civile déguenillés et le fusil sur J'épaule, symbole éclata a: d# la Russie. L'Etat n'a aucune autorité. • La paix avec l'Ukraine et îa Pologne. Berlin, 19 fév. — La « Gerraar.ia » dit que paix avec l'Ukraine ne présentera pas do dif cultés particulières, mais les conséquences po tiques semblent remuer davantage la pcxussiè amoncelée dans tout le camp polonais par cet paix. Il peut être exact que les Polonais ont to jour3 fondé leurs espoirs sur le pays de Choit mais ils ne pourront rien y faire, le vieux pi verbe reste vrai : « Celu' qui sème d'abe-rd, r coite le premier. » Que exîtte aventure se se terminée au détriment des Polonais, c'est < grande partie leur propre faute, Gr.tce à 1a poi tique des Puissances Centrales qui leur ont a porté l'autonomie sur les genoux, les Poiona avaient une grande avance sur tous les autr peuples limitrophes de & Russie, mais ils n'o pas su on profiter. Le régime terroriste est ïïussie. Amsterdam, 18 fév. — Le correspondant rus du « Times » signale l'augmentation de la ci rtiin.ilité dans la capitale et en province; en pie jour, on attaque à main armée les voitures po taies. Dans les campagnes, les paysans se ba te ru pour la possession -des terres; ainsi, ceux d gouvernement de UjasaD se sont entendus pe>i pilier les grands damâmes. Des combats ont lie également lorsque la Commission des répart tions de bien s veut faire son office, et, natt Tellement, ne satisfait pas la majeure partie d' paysans D'autre régions se plaignent dei solda' revenant du front, qui voudraient participer ces piliages, et pratiquent d'ailleurs eux-même la rapine dane les villages. Quant aux effort du Comité d'alimentation, ils font fréquemme: contrecarrés par les ratnpajrr.ards; oa g Vu de bandes eje ceux-ci attaquer à coups de feu U soldats qui, par ordre d'au comité de raviiail lement, venaient cherctier de la viande dans u village. Oà e-st Koïsoski? Bâ!e,lS .février. — Le 10 .evrier le Co-mii con t re-ré va ' u ni o miau-o a reçu la RC-uveUo qi Kerc-nsfci se trouverait à CtirUsfcjuaiia. L?s maxinsa2ist33 contre x'îf«:ïaiîie. Paa-is, 18 février. — i.-e gouve-rnetoeut mi xirnaiiste a décoicé un tei-ndat 'd'arreetatic contre les membres ti-e ia i'acta tft-:iianiéon.e i eoïit-re tous les membres de jfa tlé'égaiîon c paix u bran i en ne. La t3aii28-EÀ3se quitt-oraii la îwsaie. Pari», 13 février. — i-te .Pétrograd : Ija riiie-mère a reçu du Conseil des Votrjaaasa res da Peapi-a i'autorisatica do- partir ^xn Copcoliague. Ineesdie uu poït de Pétrograd. {Ilavari). — Un i^oard incendie a éeia4 dan» 1? p®ït (le Pé-'v. IX- giïuadoa quai titéa <i- vivre-j ont été détruites. IVinoeacii doit êtio attribué, à ia nfâiveiiisïie». L'aaaarchio ou litissie. Pétrograd, 18 iévriorl — (tiUfts*¥.) Au cotii dua p^..-,ioia oo&bfe le t jnjxs qui a em itm ; Kierff, 900 maisons ont été pil-iéfs». On roaau eieera de Pétrograd q« une »sm« n.c'aaitui grquo, où se trouvait uao scaiane de 1,8 mt nom de rcnible», uostinés à la paye des ot; vrier*s a été attaquée par fine baa.i© armée la ftiiiùta-de a dure deux L'attaque pu être rt'ponasée. 1/t» entrepôts de ia eioiu ne, ainsi qao lets dépôts de vins et do sp.r: tueux ont été pillés e-i, • iii été îacenaies âpre des combats qm ont duré quitiae heures. Les eîîete de la gu3eîs soss-marise, Berlin, 19 fév. — Oa peut juger de la façew directe dont la guerre sous-marine entrave 1 trafic maritime de i-.os ennemis et de la façœ dont ii amoindrit l'utilisation du torpillage en liemi non coulé !>ai 1rs dires d'un rescapé, d' var*.ur uAllantoîj» jaugeant brut -5,253 t., signal comme coulé dans la Méditen?née. Ce vapeu anglais chargé de 6^)U0 tonnes de charbon à des t:nation de Malte a mis 30 jours pour la traversé de Hall à Bizerte, dont 15 jours de séjour dan divers ports par mesure contre le péril sous-ma tin. En temps de pais le vapeur aurait pu ac comp-lk le trajet en 9 jours; par la navigatioi 30us escorte, en attendant d'autres navires e par son séjour dans les ports comme oonséquen ce immédiate de notre guerre sous-marin e, c vapeur a nécessité ainsi trois fois autant de temp que ce n'eût été le cas sans la guerre sous-ma rine, ou en d'autres termes, le tonn ge, en-tenan compte des temps d;; magasinage et de décharge n'a pu être utilisé eju'à concunence de la moiti de ce qu'on aurait pu en tirer en temps normal Ce cas n'est nullement une exception, il es plutôt caractéristique pour l'insuffisance éconc mique des compagnies d'armateurs actuelles. M Allen, président des Compagnies de paquebot kbédiviales. constate dans une lettre au « Ti mes ». datée du 28 décembre, que le systèm cies convois double le temps nécessaire pour un traversée et réduit de moitié les tonnages à dé « ■ " i ■ i— , , . ... ■■ DEPECHES i DÉPÊCHES îs ( Rt-prortunts de l'édition précédent e.) 'i- 3t Les Américains au îroat ovost. Rotterdam, 17 fév. — Un journal de notre ville est informé de Flessingoe : Dans un village voisin, une famille vient de recevoir une s- communication écrite d'un certain G..., parti i- pour l'Amérique, il y a deux ans, et actuellement 2T au front français, et'où il annonce avoir déjà pris le paît à des combats dans les rangs américains; a- or lui avait accordé neuf jours pour quitter les a- Etats-Unis au cas où il aurait refusé le service r, militaire; n'ayant touteferis pas eu d'occasion de A partir,il avait été mcorporé comme tant d'autres,, es L ar-e tatlfia du tfénatsur Eumbasct. • ss Paris, 18 tévr. — Le sénateur Charles Hum-lu bert a été arrêté ce raàtiii dans sa propriété, e. di.us le département tle Calvaeïos, oti il est ar-at ùeé hier. e- T'erie cl"nu naviïs-hôpit^l fTâîLQSis. "t Amsterdam, Î7 fév. — Du « Maasbode » : Le vaisseaa-hôpital français « Asie » {8,580 tonnes), qui a pris feu par une cause inconnue, est cotv la sidéré comme entièrement perdu. Le voilier an-i- glais « Golden Light » (12C tonnes) a été coulé, ^ J\OiiV'SaU C.^Uii %OlO , te Paris, 17 fév. (Havas). — La Coinm.ssion du te budget a approuvé un erctiit de UU millions eie- î- mandé par le gouveinemeat dans le but d'affrô- i, ter des navires brésiliens. -t- - ( ie-.iia 5- Berlin, 18 févr. — Les informations plus exac- it te* que nous possédons à présent sur 1 attaqtie n de nus torpilleurs dans la Manche duraat la nuit i- du 14 au 15 teviier montrent epie les succès al >- leinands ont été beaucoup plus étendus que ne s l'a dit le premier communiqué officiel. Isos un is pilleurs ont pénétré dans le détroit entre l>ou- tt vrwsj v^iuaio v i, Uri iïisctL Ch. Oi-ki. w ucviid la Manche une forte surveillance cornpot.ee de petits vapeurs et de bateaux automobiles r^pi* ;e aes. Toute la région était éciairee a g.orao par j. des réfitetears ai par oes botuets lumineus au n magnésium qui flotiaient sur les eaux, i. Sans tarder, nos navires attaquèrent d'abord les navires qui éciaaa.eiit le «étroit a l'aide de 2 réflecteurs. Un grand «Avire, paraissant eue r un ancien croiseur ou un navire chargé spécia-a iement de la surveillance du cacai, fut tout d'a- b»id incendié pat un boulet dartilletie lancé à courte distance et coulé tiumédiatoîtient après s par un coup de torpilie. Quatre bata-ux auto- 3 re obi Les furent o-mipletement mis en miettes et ^ anéantis par notre artillerie. 11 convient de si-3 gualer l'entrain avec lequel ces -bateaux armé» 3 de torpilles attaquèrent nos toues de combat. Un t U>rpilieui paraissant pkrs ancien fst également s incendié en quelques salves et se retourna eu-g suite la quille en l'air. Un chasseur de sous-marins inarqué 1013 fue j atteint eu pleic dans les chaudièics et unaaob» lisé à b0 mètres de distance, et coulé ensuite Les boulets lumineux au magnésium qu'il pot-ô tait explosèrent avec une forte détonation et ti-e rem sauter avec use vive clarté les parties du navire avec l'équipage. Nous avons pu également observer indiscutablement comment au moins 12 autres navires armés ont coulé, ainsi a qu'au moins on:e navires armés, atteints et mis .1 en pièces, de sente que l'on peut admettre avec 0 certitude que ia plupart d'entre eux ont également sombré. Seuls quelques navires isolés pu-* rent se mettre en sûreté dans le port de Do..vres, éloigné de quelciues kilomètres seulement. Les pertes en hommes de l'ennemi doivent être, d'à- f piès tout ce qui précède, considérables, et dépassent, à notre évalimon, 300 hommes. Tous les navires ennemis attaqués étaient armés de k canons et d'hydro-bombes. Toute l'oeuvre Je c ;iiuction s' -A déroulée E îmnaediatement devant îa côte anglaise et fran-çaise, sans que d'autres forces eie combat ua-vales ennemies vinssent parer Pattaqué. Nos ^ torpilleurs entamèrent donc leur retour aprèe avoir accompli avec surccès leur mission sans rencontrer de tirces ennenraea sur leur passage. Lugano, tS févr. — De Londres au e. Seeclo »t Une vive indignation se manifeste en Angleterre contre la direction eie la marine, à la suite de l'attaque couronnée de succès des forces de com-' bat légères allemandes contre les navires de surveillance anglais dans ia Manche. Le feu d'ar-tilierie a été entendu à Douvres, durant la nuit j du 15, pendant toute une heure, depuis 12 h. 1/2 jusqu'à I h. 1/2. On se montre très excité parce qu'on ne peut comprendre pourquoi l'Angleterre, en dépit de sa flotte numériquement supérieure, n'est pas à même d'empêcher les audacieuse» attaques de l'ennemi. L'oppoâiiion caa'îe Llcyd fô-îorga On mande de Londres au « Seceilo » : Les né-; gociations de Lioyd George avec les libéraux au sujet eies décisions de ia Conférence de Versailles ont échoué. Il n'y a plus de médiation ■possible entre les deux points de vue. Il fatn ; dor.c s'attendre à une opposition serrée des l* béraux contre le ministère Lloyd George. Les Allemands ti la n&vigafcoa neutre. 1 Berlin, 18 fév. — Le « Betlingske Tidende » de Christiania annonce que le consulat général d'Allemagne en cette ville aurait été informé de : ce que, dorénavant, les Allemands délivreraient i un sauf-conduit aux navires partis avec des car gaisons des ports neutres, sauf-conduit qui seri respecté par l^s navires de guerre allemands; ; La Su -ïi.ï ces ïo ia Ecuman e. : Pétrograd, 18 févr. (P. T. A.) — Sur l'ordra du tribunal révolutionnaire, le chef du mints-: tère roumain Pantasi et tous les agents militaires de la mission roumaine, MM. Kampili, Spavri et Bratianu ont été arrêtés. Les sénateurs ' roumains habitant à Odessa ont tenté de s'en-iau-, ii, ;. o.,i i .a ret*«us. On a piopcus^ : de confisquer les biens roumains. IiO caleadAifti' grégorien daaio la Eôpubii^ua iu.âe. Pétrograd, 1G fév. — Un décret des commissaires du Peuple ordonne l'introduction du calendrier grégor.en dans la République russe; on y date donc du 1er février c^ qui, auparavant, comptait comme étant le 14 lévrier. i&i3 EVjsH^ÊîSHî» Biï &08âIS. nouvelles cssttaàicioiies. Pétrograd, i8 fevr. — Kiew aurait été défini-: tivernent prise par les troupes révolutionnaires, i après un combat achainé. t Stockholm, 18 févr. — Cette lutte aurait été terrible et dépasserait en horreur les événements d'octobre à Moscou. Toute la ville n'était qu'un nuage ele fumée; toute l'artillerie bolcbeviste a pris part an combat; partout il y avait des canons. On signale l'activité de plus de 200 beu-ches à feu. Le combat principal' a eu lieu aux environs de Petschere, point de concentration de-, forces ukraniennes. Des officiers et des ca-, dets se seraint joints aux troupes ukraniennes. Il résulte d'informations bolchevistes que des officiers rouma'ns, anglais, belges et français combattent sous le drapeau ukranien. Tont te e comité révolutionnaire de Kiew a été fusillé juï-, qu'au dernier homme. i e®* «m»èe, • îla ISiss - Ed. B ni Y rPMTiMF^ Rteror^i 20 IFSv«er 1^13

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Cet article est une édition du titre Le bruxellois: journal quotidien indépendant appartenant à la catégorie Gecensureerde pers, parue à Bruxelles du 1914 au 1918.

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