Le nouveau précurseur: journal du soir

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s.n. 1914, 27 Juin. Le nouveau précurseur: journal du soir. Accès à 07 mai 2024, à https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/fr/pid/vm42r3q17q/
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Samedi SI et Dimanche SS Juin 1014 CEIVTI1IR6 HO™ année X» ir« et 119 Le Nouveau Précurseur A.B03SnSTB1M:E3SrX,S : ANVERS, un an 12.00 fr.; sii mois 6.50 fr.; trois mois 3.50 fr. INTERIEUR, » 15.00 fr.; » 8.00 fr.; » 4.50 fr. HOLLANDE, »• 32.00 fr.; » 16.00 fr.; » 8 °0 fr. LUXEMBOURG, « 32.00 fr.; » 16.00 fr.; • S.00 fr. UNION POSTALE, » 42.00 fr.; » 21.00 fr.; • 10.50 fr. Tout abonnement se poursuit jusqu'à refus formel. ON S'ABONNE à Anvers au bureau du journal et dans tous les bureaux des pofltes en Belgique. JOURNAL DU SOIR TÉLÉPHOHES { *• { 39, VIEILLE BOURSE. - ANVERS. A.KTKT 03ST CES- Ordinaires, la petite ligne, fr. 0 30 I Réclames, la ligne. . . fr. 1.50 » i 14 lignes . » 1.00 j Faits divers, la ligne. . » 2^50 Financières, la ligne . . » 0.50 ! Chronique Anvers . . . » 3]00 Les annonces de l'étranger et de la Belgique sont reçues aussi par ? Agence Havas, s, place des Martyrs, à Bruxelles, 8, Place de la Bourse, à Parts, et 29, ÏJigh Soîbom. à Londres. Au Deb-ors ANGLETERRE Autour du Home rule Une importante réunion de membres unionistes de la Chambre des lords a eu lieu dans le but d'étudier la situation créée par le dépôt du projet de loi amendant le home rule. Il a été décidé de ne faire aucune opposition à la seconde lecture du projet de loi. On croit savoir que lorsque le projet de loi viendra devant la Chambre haute constituée en commission, l'opposition présentera des amendements tendant à l'exclusion complète de la province de l'Ulster de l'administration du gouvernement de Dublin, à la protection des minorités protestantes dans le sud et dans l'ouest de l'Irlande et au maintien de l'administration des douanes et de Gelle des poste* sous le contrôle "du gouvernement royal. FRANCE L'emprunt souscrit 15 fois L'emprunt de 800 millions en 3.36 p. c. a été accueilli par le public et les établissements financiers avec une faveur que l'on n'osait espérer. A l'heure actuelle, il se trouve déjà souscrit plus de quinze fois. Comme chaque souscripteur doit verser à l'émission 10 p. c. de la valeur de sa souscription, c'est donc plus d'un milliard qui va se trouver de ce fait décaissé. Il est vrai que les établissements de crédit et les banques peuvent offrir en couverture des bons du Trésor. AUTRICHE-HONGRIE Les attaques italiennes. La «Deutsche Tages Zeitung. reçoit de Vienne une dépêche où il est dit: •On est très ému des attaques persistantes de la presse italienne. Dans les millieux diplomatiques, et même dans les milieux non oficiels, on commence à devenir nerveux. On se demande si l'aventure albanaise ne va pas être une seconde édition de l'affaire du Sles-vig-Holstein en 1864». On sait que l'occupation en commun du Slesvig-Holstein par l'Autriche et par la Prusse à conduit au conflit austro-allemand, puis à la guerre de 1866. ITALIE L'obstruction à la Chambre La chambre a siégé vendredi 10 heures du matin jusqu'à-1 h. 45 de l'après-midi et depuis 3 heures jusqu'à 10 heures du soir. Les socialistes ont continué leur obstruction sur les mesures financières. Les organes socialistes réformistes blâment vivement cette façon d'agir Les socialistes réformistes ne prennent pas part, en effet, à l'obstruction. RUSSIE Chemin de fer stratégique La Douma a adopté en séance secrète, quatre projets de loi portant ouverture des cré- $îf liiazanXVarsovie, qui passera par Toula, Souchinitch et Bozanovitch et pour la construction de routes stratégiques en Extrême-Orient. ALBANIE L'armistice de paix L'armistice entre le prince de Wied et les insurgés a pris fin hier matin. On projetait à Durazzo de recommencer les hostilités par une attaque générale de l'artillerie Pendant que les batteries bombarderaient les positions de Rosburt, l'« Herzégovi-na » bombarderait toutes les positions dans la direction de Kavaja, près de Saxovianco. On ignore encore si ce projet a été mis en exécution. Il est bien possible que non, car la veillo — jeudi soir — un parlementaire des insurgés est arrivé à Durazzo, affirmant qu'il avait des lettres avec des propositions définitives de paix. Le gouvernement nie qu'il ait reçu de telles propositions. A Durazzo La «Gazette de Francfort» annonce de Durazzo qu'en prévision d'une attaque contre la ville M von Lucius, ministre allemand, a fait débarquer du « Breslau » plusieurs canons ù tir rapide. Préparatifs de départ On commence au Palais du roi à faire des préparatifs de départ, de sorte que bientôt le prince Guillaume s'éloignera de sa capitale. Le prince a fait savoir aux grandes puissances aue le séjour dans les pays lui deviendra impossible si on ne met pas a sa disposition des troupes internationales pour rétablir lor- ^r\Iais les grandes puissances ne sont pas parvenues à s'entendre sur ce point, et dès lors le départ s'imposera d'ici quelques heures. Tout dépend donc de l'attitude que prendront les rebelles, maintenant que l'armistice est a sa fin. pour secourir le prince de Wied T es iournaux de Vienne reconnaissent la si tuation grave du prince d'Albanie. Plusieurs d'entre eux considèrent le prince comme pei du si l'Europe ne lui vient en aide. Plusieurs journaux publient un appel au; ieunes gens d'Autriche-Hongrie pour former ui corps de volontaires pour l'Albanie Au sujet de l'idée émise par 1 Autriche de con Situer immédiatement une armée albanaise ili Vooo hommes, avec des cadres et des troupe: européennes, la «Tribuna» se demande pi uni pareille armée serait composée exclusivemen d'éléments chrétiens. Elle ne se fait aucune il lusion sur l'inefficacité d'un tel projet. Autre dépêche de Rome; Il semble ilouteu: dans certains milieux que la proposition autri chienne relative à la création d'une armée al banaise «oit bien accueillie par l'Europe, qu se verrait ainsi engagée davantage et h contre cœur dans ta question albanaise. 8iie-Poda La nouvelle publiée suivant laquelle le prir ce Bid-Doda aurait été fait prisonnier et relé ché sur parole, est de pure invention, affirme-i on à Durazzo. , _ Est-il prisonnier? Ne l'est-il pas? Le «Temps croit qu'il cherche tout simplement a «ruser pour n'avoir plus à intervenir en inveur d prince de Wied, définitivement compiomls ses yeux. «L'échec dé Prink Bibdoda, dit noti confrère, n'est pas officiellement confllrm mais les 'hésitations du chef des IMirdites.quai À l'appui qu'il devait donner ft. un prince doi la situation paraissait définitivement compr jniae. rendent vraisemblable une défection, il guisée. Nous avons dit ici, il y a plusieui jours, que Prink Bid-Doda, bien que catholique jouissait d'une bienvailla'nte sympathie de la part des éléments musulmans de l'Albanie > centrale. Simuler une défaite et se faire placer : dahs l'agréable position de la neutralité forcée par la mise en liberté sous promesse de ne plus ; porter les armes est d'excellente politique pour ; qui ne veut point compromettre davantage ses intérêts. Prnk Bib Doda aspire peut-être lui aussi à la couronne.» Projets en l'air < j Les nouvelles diplomatiques, qui nous arri- j vent de Rome disent que les pourparlers engagés par l'Autriche avec les grandes puissances au sujet d'un projet de constitution pour l'Albanie, ne semblent pas devoir aboutir. Ce projet contiendrait les clauses suivantes: D'abord on recruterait immédiatement un corps albanais de 3000 hommes qui seraient formés sous le contrSTê du commandant supérieur anglais de la flotte internationale. Dans l'entourage du gouvernement romain on se montre très sceptique au sujet de cette clause puisque les rebelles rejettent à priori tout service militaire pour l'élément musulman. De plus, Il règne dans les milieux albanais une anarchie telle qu'il ne faut pas songer au recrutement jl'une pareille troupe de volontaires.Au ministère des affaires étrangères on fait pressentir que ces pourparlers pourraient- bien conduire à l'ouverture d'autres négociations, mais que pour le moment, cet article rencontrerait tant à Rome que chez les puissances la Triple-Entente une opposition formelle. D'ailleurs on se montre très mécontent de l'importance des enrôlements autrichiens dans le corps de volontaires et l'on fait remarquer que l'arrivée à Durazzo de 3 à 4,000 volontaires autrichiens serait de nature 'à mettre en danger l'équilibre des forces internationales à Durazzo. GRECE ET TURQUIE Vers l'entente Le docteur Dillon télégraphie de Smyrne au «Dai'y Telegraph»: Après 23 journées bien remplies d'un travail assommant le ministre de l'intérieur turc Talaad bey, retourne à Constan-tinople. Pendant ces 23 jours, Talaad bey a j dépensé le meilleur de lui-même pour défen- j dre les grecs habitants l'Asie Mineur des ; jièssurations et des persécutions, des mu- ■ sulmans et il a tant fait que ce sera ; grâce à son intervention opportune si les j horreurs d'une nouvelle guerre sont épargnées ! aux malheureux habitants de la Turquie et de ; la Grèce. On peut assurer, pour autant que les ; provisions humaine., peuvent se vérifier, que le conflit se terminera pacifiquement. Talaad ! assure au Docteur Dillon qu'il était satisfait d'un voyage qu'il venait d'effectuer. Une escadre pacifiste L'achat par la Grèce des deux cuirassés américains est définitivement conclu. Ce renforcement de la marine grecque fera certainement plus pour le maintien de la paix que toutes les démarches des puissances à Constantinople. sans doute, les deux bâtiments en question l'«Idaho» et 'o «Mississipi» font, sur le papier, assez pauvre figure à côté de l'ex «Rio-de-Ja-neiro» et du « Reschadich», 'es deux cuirassés que la Turquie vient d'acquérir et dont elle «xttoiid onoorc la livraison. Ils n©--déplacent pas tout à lait 14,000 tonnes. Lancés en i905, leur vitesse est de 14 nœuds. Ils sont armés de quatre canons de 30 centimètres, de huit canons de 20 centimètres et de huit de 18 centimètres, mais la dernière guerre a donné de nombreuses preuves que le perfectionnement du matériel n'est, après tout, qu'une question relativement secondaire. Si les deux cuirassés achetés il y a quelques années par la Turquie à l'Allemagne avaient été montés par des équipages exercés, si leur artillerie avait été mise aux mains de canonniers et non pas de simples manœu-j vres, l'escadre grecque, y compris l'«Averoff», i n'aurait pas bloqué aussi longtemps les Dar-i danelles Sans doute, sous la direction de la j mission anglaise employée à Athènes à for-I mer les équipages, on peut espérer que long-j temps encore l'avantage sur ce point restera i à la Grèce. C'est un avantage plus sérieux i qu'on n'est souvent disposé à le croire. Marins réservistes- rappelés Par suite de l'accroissement de la flotte et à l'occasion des manœuvres prochaines, sept ! classes de réservistes de la marine grecque ont été appelées sous les drapeaux. Guillaume II en Grèce La «Néa Hémèra» apprend que le Kaiser viendra en automne rendre visite à Athènes au roi Constantin. Il sera accompagné de l'Impératrice et d'une nombreuse suite, et proba-gères.blement aussi du ministre des affaires étran- MEXIQUE Les médiations On commence, même dans le monde diplomatique, à avouer l'échec de la médiation. Les médiateurs ont reconnu officiellement, ! bien qu'indirectement, qu'ils n'avaient pas | réussi à proposer un gouvernement provisoire acceptable à la fois par Washington, Mexico et Saltillo. Or, la clé de voûte de tout règlement de la question mexicaine est un gouvernement provisoire. En attendant la Conférence qu'on espère pouvoir organiser entre les représentants du ; général Huerta et les constitutionnalistes, les médiateurs ont suspendu leurs séances. On a signé un protocole qui reconnaît le fait que la seule chance, de règlement repose i sur cette Conférence. Aux termes de ce protocole, un gouvernement provisoire sera formé par les délégués des factions mexicaines en-i tre eux; les Etats-Unis reconnaîtront ce gou-; vernement provisoire et ne réclameront pas ; d'indemnité. EQ'-'ATEUR La révolution i La situation politique continue d'être très troublée en Equateur. A la fin d'avril les troupe» révolutionnaires, après avoir emporté d'assaut Ibarra, la grande ville du nord de la République, s'avançaient rapidement d.ans la direction de Quito; la capitale courait risque d'être pillée par les bandes sauvages dr général Andrade.Lcs troupes restées fidèle ai générai Plg-za réussirent à dégager Quito. Mais la lutte que Coucha soutient dans lef » forêts et les savanes de là province. d'Esme » radas est plus âpre que jamais. Les partisan! ii de Plaza, envoyés contre le chef révolution à naire ont subi, le mois dernier, de véritable: e ^.astres. On calcule que la guerre civile f é déjà coûté la vie à plus de cinq mille soldat: tt constitutibnueis.îiiipiudsant à'rétablir Tordre ît le président. Plaza voit sa popularité déprpï )- tre de -jour en jour; il os! hanté par là peu 5- d'être assassiné. Le triomphe définitif de Con s clia paraît assez prochain. LE„GOTHLAND" EST RENFLOUÉ —— Le ,,Gothland" qu'on croyait déûnitive-ment perdu est renfloué Un télégramme des îles Scilly,expédié via Londres, annonce que le steamer «Goth-land» qui, ainsi qu'on le sait, s'était échoué sur une roche sous-marine aux îles Scilly. sur une roche sous-marine aux îles Scilly a été renfloué. Le navire a été remorqué au port de St-Mary où il sera examiné. La nouvelle du renflouement a d'autant plus surpris que les dépêches arrivées ce matin même à Anvers étaient fort pessimis-tesjelles disaient notamment que le navire se trouvait dans une position qui devenait de plus en plus dangereuse et qu'on désespérait de le remettre à flot. Nouvelles de l'Étranger L'empereur à Kiel L'empereur s'est rendu vendredi matin, à bord de son yacht à voiles, «Meteor», pour prendre part à la course sur mer organisée par le Yacht Club impérial au large de Kiel. Etaient invités à bord : le prince Henri de Prusse, le grand-amiral von Tirpitz, l'ambassadeur de Grande-Bretagne sir Edward Gos-chen, le vice-amiral anglais sir George War-render et les capitaines de vaisseau anglais Dampier et Hugham. Mort du duc de Saxe-Meiningen Le duc Georges de Saxe-Meiningen est mort à Bad-Wildungen, où il' était en traitement.Il était né à Meiningen, en 1826, et avait succédé à son père, qui avait abdiqué en 1866. Il avait épousé successivement en 1850 la princesse Charlote de Prusse, en 1856 une princessè de Hohenlohe-Langenbourg, enfin morganatiquement en 1873, l'actrice Hélène Franz, qui fut faite baronne de Heldbourg. Le duc Georges de Saxe-Meiningen s'était acquis un grand renom dans toute l'Europe artistique par les soins éclairés et la direction personnelle qu'il avait donnés à la célèbre troupe théâtrale dite des «Meininger» par laquelle il fit représenter dans des conditions d'éclat et de pittoresque rares les grandes œuvres dramatiques de Shakespeare, Gœthe et Schiller. Le nouveau souverain de Saxe-Meiningen est son fils du premier lit, le duc Bernard, né en 1851, marié en 1878 à Charlotte, princesse de Prusse, sœur de l'empereur allemand. Les Etats-Unis de jadis Lord Eversley.qui jadis remplit les hautes fonctions de «Postmaster général», et «First Commissioner of Works» dans le cabinet Gladstone, et qui a 82 ans, est allé faire un tour aux Etats-Unis. Il y était allé déjà en 1853 et en 1867; et les transformations qu'il y a constatées ne l'ont pas enchanté. En 1867, il rencontra, là-bas la plupart des «grands Américains» de l'époque; et l'on n'en a point vu surgir depuis pour remplacer ceux qui s'appelaient Lowell, Emerson, Longfelr low, Agazziz, Wendel, Phillips, etc. Il regrette bien la vieille simplicité démocratique qui a fait place aux skyscrapers el aux millionnaires. En 1867, a-t-il dit aux reporters qui l'interrogeaient, la classe des millionnaires était en core inconnue. La famille Astor, qui devaii sa fortune surtout à l'accroissement de la valeur des terrains à New-York, était à peu près seule à en représenter l'espèce. J'étais souvent frappé alors de la simplicité de le vie et de l'égalité des fortunes. Les millionnaires maintenant sont commc les gratte-ciel; il y en a quelques-uns" d'excel . lents, et qui ont le sentiment de lèur haut< responsabilité; d'autres, tout au contraire. En 1867, dit encore lord Eversley, j'étais en traîné par l'activité et l'entrain de New-York Maintenant, avec 50 ans de plus sur la tête je ne suis plus à la hauteur de la violence, di tapage, du tohu-bohu de la vie qu'on y mène Je me sens perpétuellement en dange: d'être mis en pièces, ' comme un vieux bâti ment qu'il faut remplacer par quelque chosi de plus neuf et de mieux. Je me souvien avec regret des amis que j'y ai laissés- et qu n'y sont plus. Il n'est plus aisé, à mon âge d'en faire de nouveaux. Je ne serai pas fâch de reprendre le bateau. Il y a bien des gens qui, sans avoir 82 ans sont heureux de reprendre le bateau quant ils ont passé quelques jours dans l'enfer de 1. grande ville américaine. Suffragette eontre le roi ' On a arrêté mercredi à Nottingham, prè de la tribune élevée à l'occasion de la pre chaine visite royale dans la ville, une suffra gette dont les intentions criminelles ont p être clairement établies. Elle portait, en effet,une petite valise dan laquelle on découvrit deux petits fagots, deu lampes électriques, des allumettes, une boi teille de benzine, un diamant pour couper 1 verre, une paire de petites pinces, un pla de Nottingham et une grande quantité de bre chures suffragistes.Une autre boîte contenai d'autre part, plusieurs paquets de chedditt des fusées, une paire, dec iseaux et des çhau. sures de caoutchouc. Elle aurait été récemment libérée en vert de la loi qui permet de remettre en liberl provisoire un prisonnier qui refuse de prei ; dre de* la nourriture, 11 s'agirait donc d'un véritable attentat pr ; paré contre les souverains;aussi l'indignatio j publique a-t-elle atteint des proportions telli ! que les suffragettes pourraient se trouver e | danger. Une grande faillite La faillite la plus considérable qui sojt su venue depuis la désastreuse année finanpiè de 1907, a été déclaré aujourd'hui. C'est cel de la maison d'articles de nouveautés Clafl et Co. La maison était très ancienne et fais? le commerce de gros depuis plus de soixan ans. Le passif ne sera probablement p moindre de 17.") nijjiiqns de francs. Outre la maison principale de New-Yor environ quarante succursales vont se. tro ver fermées sur divers points du pays et mille ouvriers seront réduits au chômage. Il y a quelques années seulement, la m! son Claflih avait entrepris le commerce dp i tail et ouvrit ses succursales a travers pays. Sa clientèle, qui voyait ainsi naître u l nouvelle concurrence, en conçut du ressen 5 ment. Plus tard, la maison se refusa toujor à suivre le mouvement - du commerce ne vnrknis et à transférer son siège dans le ne Vëu'u 'quartier conihieiciol. ced, égalèïlaei eut sur ses affaires une influence déîavôi bit;. Dans certains milieux financiers, on croit à la solvabilité de la maison, et l'on dit que l'actif sera suffisant pour faire face au pas-1 sif. Il n'en est pas moins certain que la fermeture brutale d'un aussi grand nombre de magasins aura un effet déplorable sur le commerce du pays et d'autres faillites sont à craindre. La population en France et ailleurs Le «Journal officiel» de France, a publié hier le rapport du directeur de la statistique générale sur le mouvement de la population en France et à l'étranger. Certains chiffres ; sont très intéressants parmi les documents : multiples que renferme ce rapport. La popu-. lation de la France était de 39,602,258 habitants en 1911 au dernier recénsement officiel. Or, en 1913, il y a eu 745,539 naissances contre 703,638 décès, soit un excédent de naissances de 41,901. Cela représente 188 naissances pour 10,000 habitants, et 178 décès pour le même nombre. • Notons que l'excédent global des naissances en 1912 a atteint en Allemagne le chiffre de i 839.S87, en Autriche 309,764; en Hongrie 274 i mille 169; en Angleterre et Galles 385,000; en ' Italie 498,197. Pour l'année moyenne de la période 1903-1912, on a enregistré en France 191 décès pour 10,000 habitants. Une proportion plus élevée se rencontre en Russie (298), Roumanie (251), Hongrie (250), Espagne (242), Bulgarie, Serbie (230), Autriche (228), Italie (211). Une proportion moindre existe en Allemagne (181), Irlande (172), Belgique (162), Ecosse (161), Angleterre et Suisse (149), Suède (146), Pays-Bas (145), Danemark (145) et Norvège {140). On voit que la «comparaison n^est pas favorable à la France, surtout si Ton tient compte de sa faible natalité. De 1903 à 1912 la mortalité a diminué presque partout en Europe, tandis 1 qu'en France elle est restée stationnaire. i Le record de l'amélioration de la santé pu-, blique appartient au Danemark et aux Pays-Bas, qui par une hygiène bien comprise ont fait baisser leur mortalité respectivement de 20 et de 21 pour cent depuis 1891. Le demi sou Après avoir imité la Belgique en imitant j la monnaie de nickel, la France va imiter le Grand-Duché de Luxembourg, en créant la : pièce de 2 1/2 centimes, le demi sou. NOS ECHOS AUX NOUVEAUX ABONNÉS JLe ^OUVKAU PRÉCURSEUR sera servi gratuitement, dès ce jour jusqu'au £*O juin à tous ceux qui s'abonnent. Le prix de l'abonnement est 12 francs par an. * * * .... s'en va-t en guerre L'attaque violente et injuste d'un confrère à trois plumes, dans le Matin, Y Etoile i belge, et le Journal d'Anvers, contre le bourgmestre M. De Vos, parce qu'il n'a pas assisté, à Berchem, à la translation des cendres de Frédéric de Mérode, se termine lamentablement.Notro contradicteur doit abaisser sa polémique jusqu à insinuer cj\xo ouveau Pré" curseur n'a qu'un seul abonné. C'est cela , n'est-ce -pas? qui prouve que M. De Vos n'est pas à sa place à la tête de l'administration communale de notre ville. Qu'il ait un, deux, cent, mille ou dix mille lecteurs, le Nouveau Précurseut malgré son âge, est de taille et de force à imposer silence au jeune et talentueux tombeur — !• poids plume — du bourgmestre. Est-il Malbourough qui s'en va-t-en guerre ou Don Quichotte? Non, ce n'est que Tartarin de Tarascon. •* * * Le ponton Marguerie Jusqu'à présent l'entreprise de relèvement du ponton Marguerie n'est pas encore parvenue à mettre celui-ci à flot.Il faudra finir 1 par passer des chaînes sous le ponton pour le retirer de force de l'eau. ! Ceci est une leçon pour la Métropole et ; ; Ilet Handelsblad qui, sur la foi d'un quel 5 ■ conque agent douanier, absolument incom-i pétent, ont accusé, les services de la Ville de graves négligences parce que la nuit de - l'accident ils n'ont pas fait amener des pom-' pes pour retirer l'eau qui entrait dans le | ponton. L'entreprise du relèvement a installé non pas une, mais, cinq ou six pompes; et toutes . ensemble ne, sont pas parvenues, à franchir l'egiu venant en abondance dans le caisson s du ponton. C'était à prévoir, le ponton a sombré, non par défaut d'entretien comme l'insinuaient les journaux cléricaux, mais i à la suite d'une voie d'eau provoquée par un choc violent. Çe Ghoe violent est dès à s présent, acquis, puisqui'l est établi qu'il a K brisé aussi un pieu sous-marin et arraché ^ une tôle. a Quand on pourra examiner le ponton coulé et procéder à l'enquête, on trouvera t, l'auteur responsable de ce choc violent el ï, alors, les journaux cléricaux si prompts è »- accuser les services de la Ville, riront jaune et verront, qu'une fois encore, ils se son' 4 trompés et ont trompé leurs lecteurs, i i Les concerts publics 5 : Les concerts suivants auront lieu pendan n le mois de juillet: iS ! A la place Verte: mercredi 1er juillet, pa: n le «Broede-rband»; samedi 4, par le 7e ri. ligne; mercredi 8, par rcAp/tW^ipersch ilar morne; samedi 11 par le 5e de iigne; mer r: credi 15, par le «Werker»; samedi 18, pa l>e . le 8e de ligne; mercredi 2$. p;ii' les «Wàri ^ Yrienden-..; samedi £5, par le 7e de ligne [J mercredi 29, par le «Broederband». te Place de l'Aurore: le mercredi 1er, par 1 is «Werker»; 8, par le «Broederband»; 15, pa I l'«Aîitwornscho ] l;i rmop.io •; 22, par le «Droe k, derband»; 29, par les uWare Vrienden». u_ A l'avenue du Sud: les jeudis 2, par 1 i0 «Broederband:.; 9, par le «Werker»; 16, pa n le «Broederband»; 23, pa? le «"Wçrkeru; 3C L,_ par r«An$werps<jhe Httrmo.nie». lê Place Ste-Elisabeth: les samedi, 4, par le ne «Ware Vrienden»; 11, par r«Antwerpsch ti- Harmonie»; 18, par les «Ware Vrienden) rs 25, par r«Antwerpsche Harmonie». ;v" Au Parc: les dimanches 5, par le 5e <î U" ligne; 12. par le. 7e de ligue; 19, par le 5e d ligne; 26, pur le (Je de ligne. A la place St-Jean; les lundis 0, par le 7 de ligne; 13, par le 5e de ligne; 20, par le 6e de ligne; 27, par le 7e de ligne. A la Pépinière: les lundis G, par le «Werker»; 13, par le «Broederband»; 20, par IVAntwerpsche Harmonie; 27, par le «Werker».Les concerts, au Parc, ont lieu l'après-midi, de 4 à 6 heures; les autres de 8 à'10 heures du soir. * * * A l'adresse de M. Segers «On nous avait promis que M. Segers s'étant rendu compte de l'absurdité du système mis nouvellement en vigueur dans l'abonnement du téléphone, allait le faire modifier dans un sens raisonnable. » Il serait grand temps, car du train dont vont les choses; l'abonnement du téléphone deviendra bientôt un motif de mise sous conseil judiciaire.» C'est un confrère qui écrit cela; ce n'est pas un adversaire du ministre des etc.. etc., etc.; loin de là. Il s'agit de la Patrie de Bruges. Vraiment,, on ne peut pousser aussi loin la naïveté; même un journal clérical est sans excuse de compter sur l'exécution d'une promesse du député-ministre d'Anvers.M. Segers a repris le rôle de M. Helle-putte; il est le ministre touche-à-tout; mais pas plus que M. Helleputte, il ne fait et n'achève quelque chose. * * * Les insinuations malveillantes Un journal qui se dit l'organe du commerce maritime d'Anvers, mais qui semble s'être donné la mission de dénigrer notre port au profit de Rotterdam, le Neptune, puisqu'il faut l'appeler par son nom, y va d'une nouvelle insinuation méchante. Il annonce qu'une société de navigation intente un procès à la Ville parce que celle-ci a refusé l'entrée en cale sèche d'un de ses bateaux, premier inscrit pour y entrer, et ce en faveur d'un autre bateau inscrit après le sien. Ne dirait-on pas que c'est le favoritisme qui seul préside à l'administration du port i d'Anvers. Et la note est d'autant plus méchante 1 qu'elle paraît quelques jours après que la malle congolaise avait dû se rendre à Rotterdam pour entrer en cale sèche, aucune des nôtres n'étant disponible. Et bien, comme presque toujours, il n'y a là qu'une insinuation méchante et nuisible à notre port. Disons tout d'abord qu'aucun procès n'est intenté à la Ville et on se demande sur quoi pareil procès serait basé. Un steamer était inscrit second sur la liste pour l'usage de la grande cale sèche; avant lui était inscrit un cargo-boat de la Red Star Line. La direction de cette dernière ligne avait également à faire entrer en cale sèche, également pour être soumis à l'examen des experts des assureurs,un autre steamer; mais celui-ci paquebot à voyageurs devant partir à jour fixe. La Red Star Line demanda à la Ville que ce paquebot prît la place du cargo-boat et entrât en cale sèche au lieu de celui-ci; cela fut accordé.En quoi cette substitution d'un navire à un autre p«?nt-elle. léser le steamer inscrit en second lieu pour l'usage-de la cale sèche? Absolument en rien. On voit qu'il ne s'agit ni de passe-droit ni de favoritisme et qu'on a tort d'en induire une critique à charge de l'administration du port. Le Neptune dira qu'il n'a formulé aucune critique. G'est exact, mais il en a fait naître de graves et de préjudiciables à Anvers. Un concert Un concert sera donné demain de midi à 1 heure sur le kiosque de la Place Verte par l'harmonie royale «Les Amis du . Progrès» de Laeken. Le programme comprend les numéros suivants: Fakkeldans N. 1, de Delannoy; Ouverture, de H. Maquet; Les Pêcheurs de Perles, de Bizet, arrangé par M. Steinebrug-ghen; Taranteila, de Baudonck; Ange d'Amour, valse, de Walteufel, arrangé par J. Blanquenois. * * # L^ bateaux géants Si les grands armements allemands, comme la Hamburg-Amerika Linie, continuent à lancer toujours des colosses marins de plus en plus gigantesques, nos armements anversois, eux aussi, suivent le progrès de très près et dôtent notre flotte nationale d'unités qui tiennent fièrement leur place dans les premiers rangs de la flotte mondiale. Voyez la Red Star Line, qui, pour être un armement fondé en Amérique par des Aîné-1 ricains avec de l'argent américain, n'en est pas moins en grande partie belge par ses nombreux navires — les plus beaux de sa flotte — navigant sous pavillon belge, par ses officiers et par son personnel belges. Cette société, fondée eii 1872, par M. Grif,-coin, lança en 1873, sop. premier steamer belge, le «Vaderlond», qui à Oette époque, fit l'admiration de nos pères. Ce «Vaderland» était un st-Càmer de 2,748 tonnes qui avait 97 mètres de long. Aujourd'hui, la Red Star Line possède un autre «Vaderland», qui a 176 mètres de j long- et a une capacité de 12,017 tonnes. Ces derniers temps est venu le «Lapland» qui, avec ses 18,694 tonnes brutes registre, déplaçant en charge environ 30,000 tonnes î d'eau, et sa longueur de 189^mètres, peut ; empocher, en plus de sa cargaison, 340 passagers de première classe, 350 de deuxiè-2 me et 1,800 de troisième, soit en y conipre-r napt l'équipage, une population de 3,00C personnes. C'était déjà fort coquet, mais pas asse2 - au gré de la Red Star Line. En ce moment, f elle a sur chantier un nouveau steamer qui sera le plus grand navire battant pavillon belge. Ce sera le «Beîgenland», un steamei s de grand luxe à trois cheminées, qui aura e 204.21 mètres de long, 23.77 mètres de largç ; et une capacité de 25,000 tonnes prutos. Ci nouveau.' gé^nt pourra embarquer 880 pas-sagers àe cabine et 2,000 émigrants, ce qu e I portera sa population entière à près d( j 4,000 âmes, — un gros village, quoi! s ; La Red Star Line a déjà eu un «Belgen i land» en 1879. Celui-ci mesurait 125 mètres de long, 12,03 mètres de large et jaugeait 3,702 tonnes brutes. Il pouvait prendre 140 passagers de cabine et 700 d'entrepont. On voit qu'il y a quelque différence entre le «(Beîgenland» de 1879 et celui de 1915. * " -X Jamais contents Laatste Nieuws et Vlaamsche Gazet sont difficiles à satisfaire. Ils se plaignent que les journaux belges, écrits en français, n'aient pas signalé qu'au banquet de samedi dernier à l'hôtel de ville d'Anvers, M. Marc Réville a parlé en néerlandais et puis en français. M. Marc Réville est ancien ministre en France. Mais comme le Nouveau Précurseur non seulement a signalé le fait mais en a même induit qu'il y a des gens plus courtois que nos flamingants qui n'admettent pas que l'on parle une. autre langue que la leur, les mêmes journaux se plaignent encore et prétendent que. nous ne sommes inspirés que par la haine de la langue flamande. Ces confrères en sont-ils encore à,s'imaginer qu'au Nouveau Précurseur, si on écrit en français, on ignore le flamand. Nous n'avons aucune haine, aucun mépris pour la langue flamande que parlent la majorité de nos concitoyens. Mais nous connaissons la grande utilité, l'indispensable nécessité pour nos concitoyens flamands de savoir s'exprimer convenablement en français, s'ils veulent parvenir à dépasser le niveau de l'ouvrier manuel; et c'est pour cela que nous réclamons un meilleur enseignement de la langue française dans nos écoles communales et que nous applaudissons aux efforts de ceux que les flamingants appellent avec dédain les «vulgarisateurs». Et les flamingants nous objectaient que sl'enfant ne (peut bien apprendre qu'une seule langue, sa langue maternelle. C'était absurde. Et M. Marc Réville, dont la langue maternelle est incontestablement le français qu'il manie très bien, prouve que l'enfant et le jeune homme peuvent apprendre parfaitement une seconde langue, puisque, né en Hollande, il parle un néerlandais très correct, bien plus-correct que le français que nous réclamons des jeunes Anversois voulant devenir autre chose que docker ou portefaix. Et c'est cela qui fait enrager nos con« frères flamingants. * * * Fêtes jubilaires de l'école de garçonS n° 7 La manifestation qui aura lieu demain à l'occasion du 50e anniversaire de l'école de garçons N. 7 sera imposante, car 104 cercles, dont 10 corps de musique, ont envoyé leur adhésion. Le cortège sera formé à 10 heures du matin dans les rues Anselmo, Sanderus. De Bom, Brant et Fourment et suivra l'itinéraire que voici: Rues Anselmo, du Palais, de la Brèche, avenue du Sud, rues Joseph Lies, Bréde-rode, de Bruxelles, Braeckeleer,longue rue des Aulnes, rue du Compromis, longue rue de la Batterie, rues du Siège, St-Laurent, Diercxsens, Boudewijn, Van Ballaer, avenue -des Petits Coqs, rue Van Trier et avenue Margrave jusqu'à l'école. Immédiatement après commencera la séance solennelle. En cas do mauvais temps, cette séance aura lieu à midi précis, au local d'été de la Société royale d'Harmonie, chaussée de Malines. Dimanche tous les amis de renseignement neutre ont pour impérieux devoir de se joindre à la manifestation. * * * L.e banquet national du 12 juillet à, Hasselt Les circulaires annonçant le banquet national de I^asselt du 12 juillet prochain, qu'organisent nos vaillants amis du Lim-bourg pour commémorer leur triomphe du 24 mai, sont à peine lancées que déjà les bulletins d'adhésion pleuvent an bureau du comité. Plus de deux cents" convives se sont fait inscrire en déu'x jours, parmi lesquels tous nos chefs de parti, tous ceux qui au Parlement, dans les conseils provinciaux ou communaux, défendent nos idées de tolérance et de progrès avec le plus d'éloquence ou d'ardeur. La manifestation sera donc nationale vraiment, comme l'ont voulu les organisateurs, Ello constituera pour les députés libéraux du Liinbourg un magnifique hommage d'estime et d'admiration et pour le parti libéral tout entier une belle et réconfortante démonstration de force et de foi agissantes. Rappelons que les adhésions doivent être envoyées sans retard, avec le montant de in «c-îl.scription (fr. 5),à M. l'avocat S. Hech-termans, président de l'Association libérale à Hasselt. * * * Naissances et décès ÎDans la semaine du 14 an 20 juin 1914. il est né à Anvers 97 enfants dont 2 de parents étrangers à notre Aille. Le nombre de décès a été de 59 dont 6 de personnes appartenant à la population flottante. La population normale s'est donc accrue de 42 habitants. La mortalité infantile a, été assez faible; il est mort 14 enfants de moins de 2 ans, dont 7 n'avaient pas 6 mois.On a aussi constaté le décès de 2 octogénaires et de 9 personnes de 70 à 80 ans. Cette semaine ce sont les maladies organiques du cœur qui ont occasionné le plus de décès, soit 8. Puis on a les affections de l'appareil respiratoire, 7 cas; tuteurs malignes, 5 cas; la méningite simple, 4 cas; la diarrhée infantile", t cas; les tuberculoses seulement 3 cas, de même que les maladies du cerveau. En traitement dans les hôpitaux 4 cas de rougeole, 2 de scarlatine; 1 d'erysipèle et 11 de tuberculose pulmonaire. * * * Cœur malade — Qu'a donc votre demoiselle, madame Benoit? Je l'ai trouvée toute pâlotte. — Le coeur malade, madame Gibou. — Diable! ce n'est pas un anévrisme au moins? Non, c'est un employé des ponts et , chaussées.

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Cet article est une édition du titre Le nouveau précurseur: journal du soir appartenant à la catégorie Liberale pers, parue à Anvers du 1902 au 1914.

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