Le rappel: journal politique, industriel, commercial et agricole

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19 août 1914
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s.n. 1914, 19 Août. Le rappel: journal politique, industriel, commercial et agricole. Accès à 11 mai 2024, à https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/fr/pid/gb1xd0rn3j/
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----,—_-, ._--,- V- j? / Quinzième année, ft. 231 5 CENTIMES le numéro. ~ Abonnement pan semaine : 20 CENiïMtà Mercredi 19 Août igi4 i-vu ,".l^* »..».«»-.v a LE RAPPEL Journal Catholique Quotidien G Nos dépêches de la journée Ince. il était jus^o ]>n moi. Vingt années jornes, et toute dés-, Ice il avait sur moi! j ]la chambre de Kayv it au bord de la *e« ■ comme indifférenlimpatience, ma tri** [ne devait p rend r s Ir. Les avantages nia-. lage, n'intervenaient! iment : îux pas. las un mari pour moi,bénir là. Un preseenr de I'egoïsme pater-, he l'a avoué, de ne'Iule de conscience, eVlents en faveur de oe^Ita : _A t'aime. raucune réponse. Ca' |ion. Il n'avait plufii les pas? |ais~je 1 >lle pleura... fes, je ne îes ai pa* lur devaitil lui ^n Inconnues, plus secrè-f |vis pas davantage! (A suivre.ï. Cadets Boittiai C0NTKK MIGRAINE la boite de lu, fr. 1.26. Dépôts : Bruxel., Pèlerin, Vernauwen. Frédéric. Dewandre, Pelgrims, Pharmacie Centrale.788e ir Distilleries. ' brasseries, sucrerie^ mpapes, vannes.tuyaux, lerie bronze.5363 frelecoro Braxollew-Midi, |als Hippique Lgiqiie. IANONYME * Istration a l'honneur de lionnaires, conformément à l'assemblée générale |29 août 1914 à 4 heures, 33, rue des Deux Eglw )TJ JOUR: LA SOCIETE. atte assemblée MM. le* onformément à l'article .jarvenir l'indication dea f dix jours à l'avance, am b.1163 A ven. Belle Vue, 81, S üccle à louer villa façade 5 m. 85 2 et eau*gaa. Jard. 2 ar. arb. arrtram.Répert 1849 A louer gà* mais. comm. Situate 1« ord. (plela centre). Prix avanta*. S'adr. 18,r.del'Eouyer. Répertoire 1071 A v. Albert JSllsabetn 38( ClnouantJ a Tendoulouer mal», rent, facadt 6 m. a 6t. chauf- cent.jardln 2 are»Rôp.1875 4 louer mal», rent. av« jrr. jard. saL bain», eaux, gaz, étage», 73 av. Zamaa, Forest U.000 tr.\ Répertoire 1917 R ue Arum. 63, Sen. à v, mal», rent. pL pled.lacade 5 m. 5. 2 et il plac* gr. cav. et laver, eau. gas w.-cRépert 1807 A louer gr. mal», rentier ou comm. gros. 64 av4 Porte de Hal. 3 et. VI», lundi, mardi. Jeudi de d à 6 heures. Rép. 1960 flkue Rogier. 79, Sen. a ft louer mal», de comm*faç. 5 m. 25, 2 61 man», écur.. cul», cave, eau, g..Jardin.Rép. 1918 R ue Munich 67 St Gilles à louer bon. mal» av« ateL faç. 6 m, 2 et eaux, gaz. 1450 £r. l'an. Répertoire 1834 A v. Tervueren a vendreterrains a bat a côtédu num. 262, à 80 fr. lemètre carré sort, rue dt» Duc. Répert. 1949 B 1* villa mod. fraîch* déc. ^pL.gr1jard.face tram 15 mm. Bourse, à vendre, IGObis, ch* de Gand.Bercb.» Répertoire 1990 B oule?. Jamar 39/41 igare Midi) à louw Hôtelconv. p. mal», gros. 3 et.â 3 pL, magas. écur Jardin^Rép 1854 R ue TenJer*. 21. Schaerbeek. à louer maisonrentier, faç. 5 m. 50. 3 étag., annex, eau, gax.petit Jardin.Rép.1051 ANNONCES DIVERSES TIMBRES Prix courant séries grata» et franco. Misson O, Spa, Belgique.654a MIEL snrflii de Ctompape garanti pur, 2fr. le kilogr* rendu franco par 3 et 5kilotrr. contre mandat. —* S'adr. à M. l'abbé Gillet, curé de Pringy, par Loisv (Marne), France, 7223 lendant, si je meurs. Relis pas... Que ton fiancé iès... et l'oblige à prou-* [m'entends bien? Iii, père, répondit MarLis arrêtetoi, au nom dol [de forces ! lie-toi le plus tôt possi-* (égara... le toux ; MartHe s'éîança ■rde-malade. |encore le îorceau de plomb... J© j creux de rocher... sous \. Il y a quelques jours... lia femme qui se disait ta tttends... qu'il y avait un. | ta naissance... lupplie!... Ite femme, c'était... I pas. Une sorte de spas-» Igorge et il retomba d'un.' li cri déchirant. Geneyiè-» Iles-malades se précipite-' Ire. L'une d'elles se pen-. dit î ^te ! Il n'a peut-être plu* re, XVIÎ; in, dit René LavardaC", [ici qu'il est plus de six [e le temps d'arriver au babiller pour le dîner, va tomber.La 53££ &* RÉDACTION Se ADMINISTRATION ' Rue Leopold, 39, Charleroi r abonnep/ifünjts Un an. . . fr. 10 00 Z'sx mois. . te. 5 50 Trois mois. fr. 3 00 Adresser toutes les lettres et communications au Directeur du RAPPEL Rue Leopold, 39, CHARLEROI. — Téléphone 83 A LA JEUNESSE BELGE Mes chers Amis, Vous suivez, je n'en doute pas, avec une poignante anxiété los périmètres terribles cîc la lutte de géaats dont la Belgique est le théâtre. Vous portez au cœur l'amour de laPatrie, et aussi, puisque notre Belgique est'lâchement ai Laquée, la haine dc^l'agresseur : et ces -deux sentiments s'entrechoquent en vous, votresang boutdans vosvol yeux s'allume ni.de l'ardi m des batailles, et vous regrettez une chose, c'est qu-é vous soyez trop jeunes pour qu'on vous donne la permission 'de vous ^enrôler sous les ârapeaux. Gomme vous feriez votre devoir, làfoas ! Comme vous seriez hem eux. n'estce pas .'t Notrejusqu'à la dernière goutte, pour sauver la Belgiqueet refouler par delà ses frontières l'ennemi détesté ! C'est bien, cela, jeunes gens ! Et je vous reconnais belges à cet amour du sol, à celte fière vaillance ! Mais, si yous êtes trop jeunes'pour respirer la fumée des baiailtes, n'allez •pas croire que te noble enthousiasmé qui vous gonfle le cœur est le seul tribut que vous deviez payer à la Patrie : tout Belge, en la détresse commune, a des devoirs très clairs dont il ne peut, sous peine d'être félon, refuser de s'acquitter. Vous aussi donc, jeunes gens, vous . avez vos devoirs. La Patrie attend de vous, en premier lieu, que vous vous prépariez, par une noble énergie vis-à-vis de vous-mêmes, à devenir pour elle de vaillants défenseurs : que rien ne souille votre âme, que rien n'altère la pureté de vos pensées. A l'heure grave des périls qui menaceront encore» peut-être, notre libre Belgique, il importe qu'elle trouve, pour la défendre, des âmes de héros ^*/%/%r- IES ATROCITÉS ALLEMANDES A HOUX Samedi, vers 11 heures du matin, 400 hussards pénétrèrent dajfti le boas de Houx, en reYvoir et Inmmf,où ils mirent pied à lerre.PuiSjS'étant àtfparés de la personne des gardesde Blocmont et de leurs enfants, au nombre decinq, ils les attachèrent à des arbres, les rne'it' dos puis terribles supplices. Ce haittexp#oîï accompli, les Allemands descendirentle village, situédans la vallée de laen face du pont de chemin de fer qui trail il ir.droit. \i mes de b< ' les barbares défoncèrent partes el fenêtres deles maisons et saccagèrent tout le mobilier qui se trouvait à l'inlérjeutr, en poussantdes cris sauvages. Les habitantsterrorisés se cant. Treize hommes cependant furenI découverts. L'un d'eux, couichésous un lit, fuit traînépar les pieds jusqu'auu de la rue. Les femmes et les enfants lurent i dans l'égii vanl d< - 93 uni' d'un bouclier, les hussardsii enl mai ch< r sous menai e de moi i au devant d'eus, vers le pon. défendu par les mitrailleuses françaises. Les brutesi descoups de crosse de fusil et de sabre a ceux qui,forcément, les protégeaient. L'un de ceux-ci, ju• les Adam, reçuil de la sorte des blessives quïmettent ses jours en danger. Toutefois, arrivés au bouit du vrtfage, se voyant h découvert et craignant, malgré leur rempart humain d'être atteints par les bailes françaises, les Allemands n'allèrent pas plus loin. Ils se mirent à '«'abri d'une banfcado qU'ils élevèrent à Paid Tandi- quelis ne pouvaient se que de fusils, les Allemands action pt accoi mais avant d'êtrerelâçli les deux mm l- tilemahds. Quant au comte deLevignen, les brigands le gaimme ota- ge. Ils lui bandèrent les yeux, lui lièrent >cs mains et l'attachèrent sur «urne mitrailleuse.'Puis, entraînant leur victime, us se retirèrent. Quand ils.furent partis, les Francais firent évacuer le viMage. On était encore'incertain, à l'heure o darts la périlleuse descente de l'escalier. !ri gèrent vle par la rmeiSaintJacques qui contourne la citadelle sur laquel' nt planté le drapeau du kaiser. qui barraient la rue durent se rep'icr, traversèrent le pont sous le feu des" Allemands et allèrent se poster au passage à! niveau de la rue de Philippevilie. A ce moment, il était4 heures. L'artillerie française entra en action. Elle vint prendre position sur les hauteurs de la rive gauche, près du i hemin de Bon-Secours. Eilet dirigea sur la citade'l'le et sur le plateau qiiir s'étend derrière un feu très nourri quti, non seulement fil taire les canons allemands, mais obligea l'ennemi îi se retirer. Cependant une cinquantaine de fantassins aids avaient pu passer le pont. Ils arrivèrenttoujôia Centrée de la romle de Philip- peville, non loin de la gare.iraisren- 1 or ces, se ju euJx, Len avant,, et, dans une charge furieuse/ les massacrèrent :>- par 1 escali r, jonché do ca- s, les autres par la rue Saint-Jacques, et, toujours soutenus par le feu efficace de l'arul- lerie, ils refoulèrent les Allemands 'toin sur le* au. A 6 h. 30, un soldai français arrachait le.drapeau» allemand de la viloi le, qui, de- pm- de nombreuses années, n'est plus qu'un vestige iiistoriqaie sans valeur militaire. Les Allemands auraient eu plusieurs millier^cFliommes hors de combat. Les perles françaises, quoique sensibles sont beaucoup moindres.,Ce grand écart entre les perles des uns et cellesdes autres estcompréhensible par ce fait que tesforces françaises surprises à 5 heures étaientrelativement faibles tandis que de vérilables^nasses allemandes ont été balayées dm plateai^par* I artillerie française qui assura le succès-de Jajournée. - s il n'y eut pas q\m des soldats tués auncombat.' Léon Moussoux, propriétaire de l'hôtel do la Tête d Or, reçut une balle en plein f remt e8 fut tué net, au moment où rue Saint-Jacques, il relevait un blessé. D'autre part, le facteur des postes de 'Bouvignes lut frappé à mort par un éclat d'obus, au moment où il rentrait chez'lui. Un obus est entré par la fenêtre au caféPir-son routé de Philippeville, et s'est installé dans un fau le util. Plusieurs maisons ont souffert, surtout dans le quartier Saint-Médard dont les habitants, eîfra.yes, sont partis. Pendanl la bataille, les habitants do Dînant, terrorisés, s'étaient cachés dans les-caves. Sur la hauleur le château et ia ierme d& Meez ont été incendiés. DOUZE HEROS Juste hommage rendu par le Matin u\\Hvers aux braves qui défendent les forts de Liège : « Ils sont douze, douze héros vers qui se porte l'élan de notre cœur angoissé. Que di-sonsnous, douze, ils sont quelques milliers, les soldats qui se trouvent enfermés en ce moment dans les douze forts de Liège, résolus avec leurs commandants de se iaire sauter plutôt que de se rendre. Ah ! oui ! l'héroïsme sur les champs de bataille, l'ivresse de se précipiter en avant sur. les lignes ennemies dans une exaltation crois-j santé où se décuplent nos forces physiques et ' nerveuses, toute l'épopée en action, c'est toujours ainsi que nous imaginons la nravouie > et la vertu guerrière. Celle-là, on la com-; prend et, comme malgré soi, on voudrait y', participer. Voilà qui est beau, oui, mais yoi-? la qui paraît bien facile... Facile, oui, si l'on pense à une autre qualité d'héroïsme, à celle dont les commandants et les garnisons des douze forts de Liège nous donnent en ce marnent le magnifique exemils ne sont pas, eux, enlevés dans la i ie de l'action, de la ruée, de la batailm. Ils sont là, dans les casemates qui, d'une heure à l'autre aussi, peuvent devenir, leurs tombeaux, qui, déjà maintenant, ont dela tombe tout, tout excepté le silence. Car l'orage gronde au dehors et au dedans. Sans répit, au-dessus des coupoles, pleuvent les obus lourds dont le fracas se confond avec le bruit formidable de la pièce, à l'intérieur, 'qui répond coup sur coup. Cycle d'enfer que inte n'a pas imaginé, que l'espace étroit, l'alvéole réservée autour de la culasse cfii canon vers où le monte-charge, automatic ment, amène l'obus qui doit rendre aux autres, làbas, à une lieue, la mort, qu'ils font pleuvoir ici. Et la grande voûte d'acier, audessus, résonne comme le couvercle û' formidable boîte sonore, résonne lugnl ment chaque fois qu'un de ces cônes di dun poids de cinq cents livres, lances par les lourds mortiers de 28 cm., vient heurtei cloche près d'éclater Et dehor!ite et à gauche, partout où ?ard se porte par les étroites meurt res, c'est la vague des assaillants qui se sou lève, afflue et vient battre jusqu'aux gla< C'est contre elle qu'il faut lutter, c'est à ello "ûi faut opposer une digue infranchissable. ------r-""

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Cet article est une édition du titre Le rappel: journal politique, industriel, commercial et agricole appartenant à la catégorie Katholieke pers, parue à Charleroi .

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