Le XXe siècle: journal d'union et d'action catholique

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s.n. 1916, 09 Fevrier. Le XXe siècle: journal d'union et d'action catholique. Accès à 26 juin 2024, à https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/fr/pid/930ns0mv94/
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22e ANNÉE. — Série nouvelle. — N* 457 Le numéro ; 10 Centimes (5 CBffTlMSS AHf FRONT) Mercredi 9 Février 1916 , HÉDACTION & ADMINISTRATION tfui ras de la Boarso —• îÊ HAVRE Téléphone . Le Havre n° 14,05 Directeur : FSBSàSS HEDRi? Toiles les communications concernant la rédaction doivent être adressées | „S"-,r:;c de la Bourse, Le Havre. LONDON OFFICE; £1,Panlon Street (Leicester Square s.w). LE XXe SIÈCLE ABONNEMENTS franco ....... 2 f<*. 59 mois. » 7 fp. 50 par tcinrtfltro Angieterre.... 2 sh. 3 d. par mois. » .... 7 3b.3 4. par tri nostf* Autres 9ms,. 3 fr. o par mois. • « 9 fr. t> par trima»!»# V - PUBLICITÉ S'Adresser à f Administration du fournit au Havre ou à Londres Ann?ns»3 4' page* Ofr. 4> la llgno Pôtites annonces*0 paga: <>rr.30la!lgrt* Les petites annonces sont également reçues à la Société Européenne de Publicité, 10, rue de la Victoire, Paris, qui en a le monopole pour Paris. Quotidien belye paraissant au Havre Les socialistes belges et I'Internationale ■-iJO" Il ariicls fespis I- Lis Briclln I T'n nolitieie» sentimental — il y J» a "" lifapp^f- runc vteUl" école <F« s'imagine qu'il aul I; ,](. taire un mal pour le supprimer. Ivra bons iartisessuyé «tesreprodvwm^^ bout avoir d黫noé une .:ampagne_d^e feuse dos mauvais hersera de che Stem »■ Dopaie lors cependant, nou ■tons ra la joie de voir nos protestât,.® aippuvtes par «m qui auraient <Ju« tarendro l'initiative et pro-voquei 1 êche femniet de manœuvres qui avaient -ta»U karer une fonte de braves gens. fvoilà de même tous les socialistes belge d'accord contre les thèses que nous avon |ombattues ïnnnses directes fait?» f' jours d'Amnem par des -socialistes flamand «t wallons, nos lecteurs ont pu apprécier h f, l'or ce du inquisitoire doctrinal de M twinfle, m&acteux en chef du « Peuple «oui!^ r « Internationale. » Un predéce* |eu>- do M. Dewinne à la tôte du joumr Socialiste belge, M. Louds de Brouckére, ! Socialiste belge qui jouit pent-êtr» «tan Son pa rti de. la plus grande autorité me Taie ûent d'adresser à 1' « Humanité oui l'a oubliée dans son numéro du 6 6 prier une lettre non moto» vigoureuse, no fcoins significative «Vautre part da - étf tesprit auquel la guerre a conduit les ii ■rprêics les plus autorisés de la peu.* ftciaiMste. I Nous tenons à reproduire ici la parti fcsoritielle dece document : I » 11 est. écrit M. de Brouckére, des chosf Bmples. évidentes — nécessaires — qu' importe de rappeler sans cesse, ne fût-c qnie pour dissiper chez certains l'espoir (I nous y voir nenoncer. Nos amis de Franc les ont affirmées bien souvent. Sans doul É&Vit bon qu'un Belge les répète ici à so tour , un Belge qui ne peut engager qu lui-même, mais qui a pris soin de consu ter avant d'écrire les compagnons d'ex qu'il a ou rencontrer et s'est trouvé d'aï coi-d avec eux sur les points essentiel: ;f » Je oomprends comme vous-mèm. «anime le dernier congrès de Paris, devoir eue nous avons ù cette heure t-r. jfiqua envers nos patries attaquées et ei vers les prolétaires de tous les pay L'écrire, c'est prendre ma part de res ponsabilité et vous comprendrez que tienne à l'écrire. J'en attendais, depu longtemns, l'occasion. Voici que mon an Camille Huvsmans vient de me la fourni ... h Son discours d'Arnhem, dont voi rendu compte aux lecteurs de 1' « Hi ftanité. » a rencontré un accueil entho Biaste dans plusieurs pays neutres. Ma l'immense majorité des socialistes occ ientaux refusera, sans doute, de se rallii •Sans réserve à ses conclusions. C'est efn di cut-ant son point de vue que je veux précisi le mien. B» Je m'occuperai tout à l'heure, s'il n Best» du temps et de l'espace, de la pr iédure (rue notre ami recommande poi ■établir en pleine guerre les rapports i: Bmationaux, comimi si les prolétaire — qui sont l'Internationale — pouvais ton), ii la fois so combattre sur le i'i'o. »t s'entendre dans les congrès. Ce qui m'i: qumtè bien davantage encore, c'est le pr Ira mmo criTïl esquisse comme préliminai à une réconciliation. On pourrait vraâme croire, après l'avoir entendu, que rien i s'opposerait plu3 à une collaboration fr tonnelle entre Scbeidamann, Sudekum ïi&us-mèmes le jour où, ^ràce aux bons c files de quelques intermédiaires bénévok l'on aurait voté des deux côté de la tra <w:e les mêmes résolutions vagnes, aff] lAnt les mômes principes abstraits. ■ » Ah ! si la difficulté était de cet ordi Bu /amans aurait raison cfe se montrer c ■niist-e. Cet accord sur des formules < déj i prtus qu'à moitié réalisé. M » L'Internationale a proclama lo dri des nationalités, et toutes ses sections ( c&j-ent le reconnaître toujours. IR» Pas une voix ne s'élève — du moi TOK: voix qui compte — contre l'arbitra^ te désaimement, l'établissement de sai ttoi's internationales. t» Encore un petit effort do conciliation il no resterait plus qu'à constater cette m limité uarfaite, A considérer la guerre c« fjïn^ un incident i-egrettabie, à la tenir •ommun accord comme non avenue <&l vttvî'e sur cette équivoque* jusqu^an jour ■. un nouveau conflit fournira à nos can Ëj*a>)<îs une autre occasion de brûler t. «jaisons et de massacrer nos femmes, po lu plus grande gloire du roi de Pruss< Beprenons-donc le sens des réalités. |gl » La guen-e a eu lieu. Je me tromp eil'! a lieu. Aucune bonne intention ne p gaudra contre ce fait brutal. Elle«st î'é ^pe'iient le plus considérable, le plus ré nii ionnairo qui se soit produit depuis 17 Jîile coupe en deux les temps modem «ien de co oui existait avant oîle no ^trouvera atrprès de la même façon. Lv nationale non plus n'échappera pas «eue loi. Le conflit qui se produit aujo d nui entre 1-es éléments qui la ctwnj; «aient hier est de ceux qui ne se résoh< pa.^ par une « motion d'unité », com cela peut se faire quand il s'agit d'atténi ^yieurue divergence de vue secondaire ^eTls Ranime un môme esprit. Nous Das 611 P'^sence d'un problème , °u du verbiage — mais d'un p pèmo de l'action. 'a " 'mP°rte que Sclieidemann vc l'indépendance de la T i] y?te ,au Reichsta^, les crée *la C0n(iuôte de la Belgirru •Ho? ^Î? affirme son resp ? ê5' a ? °^C 'l maintenir ,tvrn5J.c , rf v00^0' "Bohême sous annie des Habs,bourgs et môme l'Aîso IJ-orî aine sous celle tics Hohenzollern ? BL- lJ 1 ]TÏ)porte quTil jure par l'arbitra I S', fv./^^ ^^^^nnent sur les champs j^atail o le kaiser qui a refusé Farbîtr: IjHQrs puissaaiee» ? > h Internat»onflife- ne peut nas ôtre i frém^e de niifînsBnh:^ • itv- sur les événements, mais d'»-gii' sur ceux-ci. » M. de Rrouckùro déclare e»smte que si l'Internationale a beaucoup fait dans le pa-i-«é iKiur retarder le oomiit actuel, ce n'ei*t que n grûce à l'aotion redoutable par laquelle elle se proposait, pendant et après la guerre éventuelle, de châtier l'agresseur. » a Maintenante conclut-il, que l'agression <s'fcst produite, que l'échéance redoutable est i arrivée, il faut, sous peine de perdre sa rai- I son même d'existence, accomplir ce qu'ell-; avait annoncé. Si l'Internationale est de Indle à frap]ier mortellement ceux qui ont «iéclanché la" catastrophe aelnelle, elle connaîtra une prospérité nouvelle et ineomi>a- ; rabie. Si elle s'y applique du moins dans to'i -. te la mesure de ses farces, elle aura sauvé i son honneur et préparé sa reconstitution ' prochaine. Si, dans quelques-uns des priwa-i paux pava belligérants le prolétariat faillit , à sa tùche, elto ne sera, plu® pour longtemps qu'un co!"j>s sans ftine et toute la diplomatie . du monde ne saurait lui rendre ie souffle » 3 Et M. de Brouckére termine en déolaranl ^ que m la reeon«tituiton de rinternatipn il>. ! r.e peut être l'œuvre de eomités ou dé par , U-ttes, qu'elle ne peut résulter de l'accord ï sur des formules relatives à la paix mais seulement sur i'aceoid dans l'action relative , à la guerre. Tout le reste ne serait qu'illu-, sion, duperie réciproque et conduirait i Ui 3 pliKs irrén.édiable des faillites, la faillite mo raie. ;> ç • i a a Il y a là de fortes, de vigoureuses pem-" sées. M. de Brouckére a raison iorsqu"l dit que si la guerre n'a pas tout changé, ^ ollo a. du moins changé beaucoup d'âmes et qu'elle coupe vïaiment en deux les temps 3 modernes. ■" C'est aussi notre conviction et'c'est pour-«juoi nous avens travaillé résolument, dani ' la mesure de nos forces, mais isans nous 0 soueier des critiques ni des injures, à l'aire 4 prévaloir la politique d'union que nous l" croyons indispéneablé pour le relèvemenl 0 et l'avenir de notre pays. La guerre nous o prouvé nu'il e-rt possible do noua rencon- e trer. pour un travail utile à l'intérêt supérieur du pays, avec des hommes doni nous avons combattu la politique et don: ® nous continuons à ne pas partager toutes II les idées. Lorsque nous lisons des articles ® comme ceux die M. M. Dewinne et de Brouc e kère,. nous ne nous repentons pas d'avoij e eu cette confiance. e e '•*** i) Un nouveau discours ! de Ai. Camille Huysmam i- Le « Tàegraaf » du Si janvier nous appor 9-. te le compte-rendu d'un meeting public e 7 ooatrudvctoire teaiu h Amstcrdaon, où M !e Gaciilie Huvsrn s'est expùqué à nouveai 15 .ur T internationale. 11 Discours b,/.a»où le patriotisme et il sectarisme se mêlent et se confondent. 16 « L'orateur, lisons-n-ms dans le compte 3" reindu du « Telegraaf n, ne veut prononce aucune parole gui puisse blesser les socia '.s listes allemands. » 1_ Hélas! les socialistes allemands n'ont pa ir eu si peur, eux, de blesser, et non pas fu s" sens figuré, les socialistes belges, d'éventre îr le coffre-fort de la coopérative socialiste d Louvain, et de massacrer an hasard les l'en ie mes et Jes enfants de Belgique, sans se soi 3- cier de leurs opinions politiques ou reli il' gieuses. i- M. Camille Huysmans ne s'en souvient, is pas? Il faut vraiment vivre dans les nuage it pour prétendre, comme nous voyons par 1 ît compte-rendu du ci Telegraaf » qu'il l'a fa: :i- dans ce meeting, u que le parti socialiste a o- lemand reconnaît la légitimité de la pos i'e tion de la Belgique et le droit ù la légitim at défense ». Si nous étions en temps de paiî ie nous dirions que M. Camille Huysmans £ a- moque du monde. Bornons-nous à dire qui et aveuglé et emporté par la passion, il pren n"- avec la vérité des libertés extraordinaire! a Toujours d'après le « Telegraaf », M. C; n- mille Huysmans a raconté dans son meetin r- que, voulant faire comprendre à son fil: âgé de dix ans, pourquoi l'Intcmationa; n est pas morte, il lui a dit : JjT « L'Internationale est une grande famil.' dont l'un des membres, Guillaume, ei grimpé au grenier de Franz contre la vi 'u lonté de celui-ci. Cetlc famille est-elle mori parce qu'il y a eu des querelles entre 6f membres? » ns ;e, Grimpé au grenier est tout-à-faît ctéScieua ic- nous admirons sincèrement cette histoii en raccourci de la guerre européenne p< «t M. Camille Huysmans. Une dispute dans a :a- grenier, et voilà tout. Pourquoi pas, tai n- qu'il y était, une tempête dans un ven de d'eau 1 à, Nos lecteurs nous en voudraient de répoi où dre longuement à de telles billevesées. ,a- Dans la seconde partie de sa imrangu os M. CaimiMo Harysmiïns a eu la délicatesse t ,u. signaler « la situation des Hindous n pi.n . i les problèmes qui s'imposent actuellemei il l'attention des peuples. Puis il s'est van j : d'avoir été parmi les politiciens qui ont pr testé le plus énergiquemenit jadis contre ! ci astrooités congolaises ». Son excuse, sbj ,,0. doute, est d'ignorer cjue toute cette coméd 33 des atrocités congolaises fut organisée ,>■ es' l'illustre M. Morel à l'instigation et aux îra s(' d.i l'Allemagne, ainsi qu'il en résulte de r [n. ci-ntes déclarations de journaux aiigln connus jadis pour leur congopliobie. C Jr. homme universel a traité également 0. question de l'Alsace-Lorraine. D'après a,. " Telegraaf », il a démontré la possibilité > ne concilier & ce sujet le point dfi vue aHemsi et le point de vue fronçais... Après c«'le-là. On peut tirer l'échielk. I dépit de ses proteslations de foi palriotini ^,1 'le dliscotirs de M. Camille Huysmans, il n'< rnî faut pas douter, sera fort .applaudi il Colog et à Berlin. t„ Heureusement pour les Belges, sociaJist 1 ,,' et autros, qui mellent la patrie au-dessus i fil tout, la lettre de M. Louis de Brouckére f: 9 avec ce malheureux discoure le plus heure contraste. Rendons grâces an ciel d'f.vi f, pu publier oes deux, documente — côte la cûl«- ce- ,— m ' ■ Ce Journal ras peut être veeeJ $ que 10 SEMTÏMSS m 8 PENSs |We en Angleterre, 5 cents ï M12 PÉlipSSIHSllL. t?O0 Mon ex-collaho -itcnr M. Franz Van Cau-vv^la«rt,. diéputê d'Anvera résidant à I^a Ho-ye, vomirait trouvea' dans le plaisir d'une polémiqua personnelle, ion- adoucissement à ses amertumes poJitiqiiies. Aprenœnt et (u-ï-ieusément, il s combattu, dons son journal, au nom de la Constitution, l'entrée dans le ministère de MAI. Gobiet d'AlvieVIa, Hymans eï Vandervelde. Hélas l si le Capitolc était en péril quand les oies te sauvèrent, la Cons-tstotion ne courait aucun danger quand M. Van. Cauwelaert donna l'alarme puisque tous Ses membres du cabinet fîont res' :s à teuriposte. A qui ieia-t-on a'oire que 1 ho-noraWe M. Hcl.eputto, déanissconnuire pendant 24 heures -i peine, aurait cons.aiti il de-nwarér dans ufti ministère dont l'existence, et la composition auraient constitué pour moire charte fondamentale l'abominable où-tarage dénoté a l'indignaticpn du- monde par le journal de M. Van Ca'Vrwelia»rt ? An- !>:eu de s'en prendre, à ses insp.ratera s, c'est au dfa'ectew du. XX'1 Siècle » que> l'ho-n»ral>ie M. Van Cauwelaeirt piKl4end faire CÂ/pier son dlépit, sa manvria- humeur, et tous les fruits amers de son splendide isolement. D'où, à mon adresse, dans son numéro dfu 21 janvier, une cocaïne et demie d'invectives. Le directeur du « XX8 Siècle » refuse for-: meî.'elriènt ds do;nnor à l'honorable M. Van Cauwelaert la consolation qu'il attend. Et cela pour dsux raisons : 1) C'est la gueiTe ; quand te temps des po-' lémiques personnelles .sera revenu, l'honorable M. Van Cawvelaort, s'il en a encore le goût, n'aw-a qu'un signe ù lairo ; il nous tro avéra à sa disposition ; 2) Le'tournai do l'honorable M. Van Cau-WKiaê.rj. ressemble, à un phonographe dont le pavillon- serait à La Hay e et la manivelle... «i France. C'est qpe'.que chose qu'un pavillons nous ne disons pas le contraire, mais ; c'est tout de même la manivelle qui commande ; c'est .avec la manivelle Que nous nous prornettons lie reprendre, le moment vesiu, la couveisntion. ; Quant h la. lettre que j'ai écrite à un ! eonfrtre die Paris en vue de l'éelairei-. sur les sentimenis et. les manœuvres des parti . sans «le la neutralité quand même, loin de la regretter, j'en suis fier. Le cas échéant, je recommencerai. La. presse aHemande, «lui-ne-dite le « XX' Siècle » que pour l'insui-téir, a reproduit, avec joie l'artic e ilonn-i j au ci Betgisclie .Stoindan'i-d » par. M. Vanile-parro. Comme M. Vandeperro et le « Bel-gfeohe StamEiai'd », la presse boehe veut qau ; ta Belgique soit neutre, parfaitement et per-péctiaeiîement neuft'e. j'avais te droit et le devoir de d'énoncer celte aboiTation. Je la dé-mnneerai- tant ffu'il fondra, dans le n XX' . Siècle » et ailleurs, de la façon qui me p'.ai-i ra, jiereuadé de servir ainsi mon pays ci d'être d'accord là-dessus avec te3 Belges di \ Belgique et les Beiges de l*Yser. D'airtrss port, la; « germancph'lie » — » , consciente, je te veux bien. — de quelques-uns des amis de M. Van Cainvelaert . maf-ïreureusermart enracinés dans une a.ver ? son, héréditaire pour la France et la .eu'tim . lTOdiça^se, sera établie, démosntréà et af fichée on temps et lieu. Les preuves ne nous 3 manquent pas. Nous n'aurons même qu< i l'embarras du choix. Ces Messieurs ont gnr r dé l'habitude, hélas I d'envisager les intérêt! e de Ja ESevgvqiie sous l'angle de cette passior i- mal éteinte. et qui se rallume tous les jours i- Le fait qu'ils ne sont qu'une poignée et nu< -. le ipeuipi'e fteniand échappe & leur houletU ne .nous /J étouraera pas de tes observer et d< il nous mettre Cia travers do leurs combinai s sons. F. N. e t »— : m mmm A U fusion \ AUSIRO-HONGROiSE d »o« LA CHAMBRE DE COMMERCE S DE PP.AGUE SE PRONONCE CONTRE L] e ZOLLVEREIN Nous signalions hiei' l'opposition de c agirariene des empires centraux au projt ît d'union douanière que le gouvernement d > Berlin s'efforee d'imposer ù ceJui de Vienn( e Une dépêche de Berne dit que l'oppositio s la plus importante part de Prague, centre d la vie industrielle et commerciaile de Bohi me, la province la plus industrielle de l'en pire des Habsbourg. e La « Neue Freie Presse » du 5 février pi ir Mie.en effet, 1e discours prononcé par 1e pri '] sident de la chambre de commerce de Pri " gue, grand industriel, à la réunion de 1 1 chambre de commerce de jeudi dernier. M. Nemec a fait tes déclarations suivai tes : « L'avenir de nos exportations économ que3 n'est pas en Allemagne, mais e 'j Orient. C'est de ce côté que nous devor 5 tourner toute notre attention. Tous les argi ments présentés en faveur d'une union don; ,1 nière avec l'Allemagne ne résistent pas u J? instant à la critique. Un obstacle infranchi sable s'oppose à une union douanière intin i; entre tes deux empires : leurs intérêts r t sorti pas solidaires, mais concurrents. L'ii C limité économique des deux empires n'asc I"" rerait à aucun d'eux l'indépendance indu L tiielle. .„ » Tout comme avant ils seront oblig> je chacun d'im'porter de l'étranger tes matièr» ie. nécessaires à leur industrie : matières te l(l liles, caoutchoue, résine, produite colonian «Ypices. métaux, produite chimiques, fruit etc. C'est notre industrie, somme toute, q 'e courra te plus grand dangei1 «n cas d'uni< !rJ douanière. » La Chambre a écouté avec intérêt les <1 ei! clarations de son président et a adopté je l'unanimité ses conclusions. lit i i » f Au Grand-Duché de Luxembourg —' L'AVOCAT NOPPENEV EST DE [a NOUVEAU GRACIE •a Le tritmnal militaire allemand avait, • le sait, condamné une seconde fois fi ln pei in d ' mort l'avocat Noppeney, de Luxemboui accusé d'espionnage. Toujours les ma&œu^res ds pais allgmaadss Le m Journal de Genève « Cn° du 6 lé- j vrier) signale sans se porter garant de son exactitude mais en notant que le bruit on court dans des milieux très sérieux de nouvelles manœuvres allemandes pour la paix : « On affirme, écrit M. Albert Bonnaà'd, qu-e la haute finance allemande, qui a une ! très grande responsabililé dans la guerre, éprouve a.ujouTd'hui le besoin pressant d'y mettre un tonne et exerce, pour cela, une pression de plus en plus forte sur le gouvernement impérial. Elle pressent une crise économique redoutable, dont plusieurs symptômes sont déjà patents, et fait savoir en haut lieu que les ressources vont ètne complètement épuisées. » Ge serait de la finance, et non du gouvernement, qu'auraient procédé les fameu-ives « Pensées de paix » de la « Neue Zur-cher Zeitung. » ' » ïîîlé insisferaït pour que l'Allemagne j'énonce aux conquêtes projetées en Balgi-cnie, en France et dans les provinces b-1.' tiques, et se contente du « statu rruo ante bellum » pour tout ce qui est territoires, sauf à doter la Pologne russe d'une sort-r d'autonomie sous une suzeraineté allemande fnit sinon de droit. n Dain«s cette campagne, la finance allemande trouve, dit-on, en Allemagne dies auxiliaires pu^-ants. et la chanc^i1'1-rre /ne gere4«t pas très éloignée de se rallier à ce programme. » J - Ls ôrapan lielp flotte m Caienii; L"S TROUPES BELGES ONT ATTEINT JAUNDE ET OPERE LEUR JONCTION AVEC LES ALLIES • Le Iïavre, 7 février. — Officiel. — Lï com-mandaut des U\>upes bt^ges qui participent à la campagne du Çômoroun annonce qu'un détachement sous ses ordres est 'arrivé le 28 janvier dernier, à faunde, où il a opérô jonction avec les forces britanniques et françaises. Les pavillons-des trois nations ont été hissés sur la place et les honneurs militaires * leur ont -été rend-us. Le îoyaiisiiie des flamands l.'un dos plus gros efforts de la politique attcmaind<> en Jtegiçue occupée est assurément ernti çpii vis; ù diviser les Belges et, . notammemit, à rendire les Flamands suspeclf! «tt reste (te ierjrs compatriotes. Chacun- sait comment ces efforts ont tous : pitoyabtem>c«iit échoué. D'ailteiure, si quelque doute était possible i sur l'égal patriotisme de tous tes Belges el : sur l'admiràbte loyalisme des Flamands en . particulier, il suffirait, pour te dissiper, de i 'recueillir tes attestations, catégoriques <ju: i échappent sans cesse aux journalistes a'-temands en Belgique, et qnii leur sont i-mno-i sécs par l'é-vW-nce même .de la .réalité, fin. voici le plus récent exenupie» - Dans une longue lettre, adressée des Flan . dires aux principaux journaux altemand* (voip Norddeutsche Allgemcine Zeitung di 2 février 1916), 1e correspondant de guem - Hermann Katsoli, attaché au grand çuartie' général des armées allemandes diu front oc |«®dcenta.l, fa-ib cette constatation sigmd'fica-trae : n Politiquement, -en- dépjt -de teur indMa ! foie parenté avec nous, les Flamands.se sen 1 tent complètement Beiges. » ! Des témoignages die cette espèces, dont nu i ne contestera l'autorité, sont préc'eux & en ■registrer. Ils sont propres ù confirmer nottri 3 oonfiainice. t L@ pajs s® geimeal». —-j ru.— a e « Le pays se souvient.. » écrit le «Temps ' en parlant de la France et des erreurs ant i_ militaristes où on l'a trop longtemps endoi mie. l" 11 n'en est pas autrement ailleurs et 1e - antimilitaristes de tous tes partis doiver l' bien y prendre garde avant de vouloir iir a jxiser à leur pays une tutelle dont l'expériei ce a coûté si cher. !- « Le pays se souvient, l'histoire est réeer . te, écrit 1e n Temps », que les éléments qi '' prétendent diriger « aujourd'hui » l'ASBeni " , blée sont précisément ceux qui l'ont rni 3 | conseillée hier ; que ceux qui veulent aes 1 gner à la conduite de la guerre ses règle souveraines sont ceux qui n'ont pas su o " voulu prévoir l'imminence et jusqu'à la soi sibilité de la guerre. « Dans ce somrrieil liai '® lé de eaucliemare qu'est te paix de l'Eun ' pe », écrivait, dès 11112, M. de Mun en un image saisissante, ceux-lii s'abandonnaiei mollement ii des rêves roses ; tes pessimi; tes des journées actuelles étaient hier d» , optimistes incurables ; c;était le temps idy iique des baisers Lomourette du congrès t .r lîil'le. Des urnes électorales de mai 1914,soi sortis 101 socialistes — le sixième de ï' Chambre — dont 1e programme, figurant la première page du Barodet, entretena ' pieusement l'illusion « du raij>prochemei ' franco-allemand ». Au grand jeu de la lot rie humaine, les partis qui ventent guider a_ Chambre .actuelle ont tiré un mauvais n . méro ; pacifistes, ils se sont heurtés â guerre. Ils y ont perdu en autorité : 1e pa; v perd en oonfiance dans leur clairvoyane - te ne sont pas des guides de tout repos. 1 souffrent de teur méprise dans letir amou propre ; te pays -pourrait pâtir dans sa soc rité' de teur zèle tardif. A vouloir trop rôp rer de ce qu'ils n'ont pas sii préparer, i risquent souvent de dépasser 1e but. » Répétons-le : ces vérités ne sont pas seul ment pour la France et pour tes socialiste m -lies sont pour tous les hommes de n'impe ip te quel parti qui aspirent à diriger tes aff; g, es dans leur pays. A tous on demandera •c Que îiiisicz-vous hier ? » et ils feront 'oi< Les Belles à Rome »o« LE SEJOUR DU CARDINAL MERCIER. — UNE MANIFESTATION SIGNIFICATIVE. — UN SERVICE POUR M. GODEFROID KURTH. (Correspondance particulière du XX" Siècle) Home, le -1 février. Des dépêches d'agences ont, paraît-il, alarmé 1e public belge sur la santé du cardinal Mercier. C'est à tort. Le cardinal était, en arrivant ici, atteint d'un gros rhume que 1 '. surmenage auquel il s'eai astreint a transformé en une iniluenza. Cette indisposition est heure uiement bénigne et on peut espérer que 1e repos relatif que J'éminent prélat a consenti à prendre suffira à le rétablir complètement. Le cardinal s'est installé pour quelques jours à la maison généralice des Hédernp-toristes où il peut travailler plus tranquillement aux études que lui a demandées ie Pape- en vue d'une réforme des Séminaires. Bien qu'ayant ainsi suspendu ses audiences. et ses visites, le cardinal Mercier n'en continue pas moins à être l'objet de l'attention la- plus sympathique du public italien. On en a eii une nouvelle preuve hier ft l'occasion d'un banquet organisé par un groupe de journalistes italiens et étrangers en l'honneur des trois'.députés belges Ver-mersch. Destrée et Lorand. Nos confrères Curry et Sohrero ont complimenté tes héros de cette petite fête et onl salué dans leur union l'image de l'union de? alliés qui doit obtenir justice pour la Belgique.MM. Vermerseh, Desti-oe et Lorand on remercié, exalté l'Italie et affirmé Tentent* parfaite de tous les Belges pour la lutte con. tre l'ennemi commun. l<es membres de cette réunion si cordial' ont si bien senti quelle place tient le cardi nal Mercier dans l'affection de son pennit et dans l'admmition de tous tes pays allié: qu'ils ont adressé au pi-nnat de Belgique 1( télégramme suivant : « Cardinal'Mercter, Rome. » Des journalistes étrangers et italiens réunis pour fêter, dans la personne des dé putes belges Veiroerach, Destrée et Lorand, l'union et la cause sacrée de la Bel gique, ne peuvent, oublier 1a présence : Home du cardinal Mercier et lui présentent avec leurs sentiments de syrrrnnthie (léfé rente, leurs vcrnix pour la restauration .inté g'rale de la Belgique. » (S.) Cnrry, Amicucei, Javicoli, Bclcredi Dahritta, Sobrero, Morabrto, Meekenzie. Le rend. Profil i. Beniamino Rinaldi, Cliarle Tower, Destrée. Cartier, Bargellini. Moretl Mainard, Ncsti Gustave, Vermersch, W. K Me Olure. » Le cardinal Mercier a fait à cette dépêch la réponse suivante : « Je remercie cordialement tous tes signr taires de la dépêche collective de teur aimt 61e pensée Leur sympathie m'a profond» ment touché. Il esi beau de voir les pu n1 cistes de nations différentes si fraternelle ment unis par 1e même dévouement à 1 cause qu'ils veulent bien, saluer comme cell de ma chère patrie. » * * * • Aujourd'hui matin, le* Belges se sonl réunis en l'église Saint-Julien des Belge: vià del Sudario. pour assister à une mess solennelle célébrée pour 1e repos de l'ftir de M. Godefroid Kmtth, directeur de l'Inst i tut historique belge. Mgr Vncs, le distingnê recteur de l'églif : nationale officiait, assisté de Mgr Pelzer i de quelques élèves du Collège belge. Mf Van Roey. vicaire général ienrésentait ! E. le cardinal Mercier, empêché. Une foute considérable de personnages c te société romaine et dos colonies belge 1 . étrangère avaient tenu £i rendre homrnaf par teur présence ii te mémoire de l'illusti I savant dont te nerte est si vivement resseï . tie ici. Aux premie rs rangs, on remarqua , MM. Jules Van den HeirvPl, ministre i ' Belgique auprès du Saint-Siège et Pierr Van Zuylen, secrétaire, de 1a légation, comte van den Steen de Jehay, ministre t Belgique nrès du lioi d'ftalie et Je comte < T.ichtervelde, secrétaire do la légation, t Cnmont Mgr Raîli, nréfet de te E bliothèque vaticane. Mgr Ugolini, sous-a chiviste du Sntot-Stège. Mgr de T' Sereine nrés'dent du Collège belge, Mgr Pottic » Msr Penlnice. Mur nneheone, Mgr Olorien . Aïoi- Vnnnenfville, Mgr Legrelle, te P. I ■- Pie. abbé général des CisteVciens. te P. ' M'snr>n>\ nroenreur des missions de Schet s les re^tpurs des séminaires français et i t landais, etc. La veille, une antre cérémonie funèb: ,- avnit réirni d-- nomtireux Peines antmir t mmo d'une T.iét'eoise. Mme Jennne-Mai Rertholet. femme de Al. Pasebal Jïttn'mM . m'-re de M. n-mis .Tamînet. secrétaire gér !i rnl de la Bcieiété -< ÀnSto-Ronifmn ». Le coros de Mme Jaminet a été dépesé ; j Camno ^'- rrt.no iusou'é te fin de la £?neri j„ n-> fiHT-iftnrit cTii'il puisse être tc-msnnrte s Liéee dans te caveau de J.a famille Tnmiri a nAtnil ton--lie»»t.y: h l'initiative d'un d ami» '1» te fnrvlte 071 a onvert noi'ir honr>r te mémoire de Mme .Tnminet une souscri tton en faveur des Belges prisonniers e Allemagne. it i - i- f. Une ecafésme de Maorice des Oîsbitv it AU HAVRE a il La Société d'initiative d'enseignemt e- scientifique par l'aspect a invité M. Mail: la <tes Ombiaux i donner à ses membres u ir- conférence sur n Traditions et Coutumes lu Belgique ». Cette conférence aura lieu vendredi 11 .février, à S h. 3/£, au Gro e. Théâtre. ls Nous n'avons pas h faire auprès de r r- lecteurs l'éloge d'un collaborateur dont 11- apprécient depuis longtemps 1e talent. 11- seront d'accord avec nous pour dire qu'i ls cun Itelge n'était plus qualifié pour in resser un auditoire français au folklore J: ge. Aussi ne doutons-nous pas que sa et e- lérence obtienne grand succès. s, r- - ■ . . ■ ■ - 1 . _ Un convoi de 130 soldats russes est p în ssé en gare de Lynn»Perra-cho. Ces so da rupic/ifilui,1 m dp« Allemands, ont nu s'évadi DERNIERE HEURE Commuaiquè officiel français Paris, le S février, 15 heures.' Au sud de la Somme, notre artillerie à canonné wn train entre Raye et Cliaulnes. 1 EN ARGONNE, nous avons jail sauter irn à Saint-Hubert et trois mines à Vauquois. Sur le reste du front, mit calme. SUR L'YSER Amsterdam, S février. — On mande do là frontière au u Telegraaf » nue de nombreux blessés' provenant de l'Yser sont arrivés à. Bruges la semaine dernière. Des renforts considérables et de nom-breuges munitions ronitimucint à arriver Les contingents du Nord des Flandres sont rapprochés du front. — -»;-i DANS LES BALKANS Athènes, 8 février. — On confirme grande activité règne parmi les troupes allemandes fi Monastir, où les autorités interdi* | suit les arrivées el départs de voyageurs. M: l'atchitcl-i est attendu incessamment à Athènes et visitera casr.ilK te roi ttc-rre. Selon certaines wwe'.let, l'Italie commen.. ; ce ii-retirer-ses troupes du nord de l'Aftante. —— WO«" ■ ■ LE PRINCE OSGAR OE PRUSSE EST BLEJSSE | Amsterclain, 8 février. — Une dépêche ' officielle de Berlin annonce que 1e Prince ûsçar de Prusse, colonel, a été légèrement ■blessé à la tète et il la cuisse, par des éclata d'obus, sur te théâtre oriental de li guerre,, non APRES LA TENTATIVE D'EVASION Zurich, 8 février. — Les aviateurs français Gilbert et Paris, oui avaient tenté dot s'enfuir, sont, maintenant internés séparément et sont soumis à une surveillance militaire très sévère. Interrogés dimanche soir, ils ont refus# ' de fournir le moindre renseignement. - a LE SORT 0E L' « APPAM » New-York, 8 février. — Cent cinquante; passagers de r « Appam » se sont embai> 5 qués à bord du « Noordam ». L'équipage de F « Appam » et les auti*esi équipages capturés sur des vapeurs anglais " partiront mercredi à bord du « Bal tic f. LES FAITS DU JOUR M. Briand. président du Conseil des fnï-è nistres de la République Française, partira mercredi pour Rome, accomvaoné de M. deI ; Marrjerie, directeur des ailaires politiques ^ au ministère des Affaires Etrangères. q ^VVvVWWWI Pendant que des sirènes officieuses s'ef* forcent de séduire les Belges, les pangerma-c nisles continuent de plus belle leur campa,-gne çn faveur des annexions. C'est ainsi qu'A la Diète provinciale des provinces rhénanes, '■ ilf. Hagen, conseiller ,le commerce de Cologne, et M. Kehren, président du Conseil mtt-5 nicipal de Diisseldorf, ont demandé, en pré-,, senre du préfet Rhcinbaben, l'annexion da: ;e la Belgique. ^ * JiV1/VVWVWW it Le bureau de la presse du parti social-le démocrate allemand u-.inonce que le comité e exécutil du parti a décidé de publier chaque le semaine une correspondance pol tique so-le cial-démocrate^ probablement destinée à le remplacer le Vowvaerts comme organe de f. la majorité social-démocrate. i- D'autre part, le Comité directeur central j r- de la Fédération sociaiiste de Berlin et ses «i environs a approuvé, jmr 25 voix contre 14 . Vattitude de la majorité du groupe socia-liste de la Diète prussienne conduite par Liebknecht et Stroebel et appartenant par "*■ conséquent a lajminorité de la social-dém®-*' cratie. 1 " twvwvwwi La nouvelle crise ministérielle an Grand in Duché àe Luxembourg n'est pas iléniuéc« M. Vanjwrus n'a pas réussi à former «n et cabinet de coalition et a décliné la ints-é- sion qu'il avait d'abord acceptée. (WWVVWVWM m Un ukase du Tsar ordonne la reprise• de' \ la session de la Douma el du Conseil de* £ l'Empire le 9/22 février. WWWVWÈ/lUA PS i er Sous prétexte (Téientre les pouvoirs (ÎIM p- sultan, le gouvernement tnre vient de pré-;n senter au parlement un projet de 'os gui tend,, à instituer la dictature cm profit d'Enver 1 I'aclia. j ~ Le Conseil d'Etal vient de supprimer le i rachat des soldats et d'instaurer le servieoi îS obligatoire. iimmivvw D es renseignements de source sûre, par--venuj de Sofia, confirment la signature d'uni accord ge.rmano-ausiro-bulgare. qui accorde à la Bulgarie la possession définit ve dë toute -, nt la Nouvelle-Serbie, u compris les villes de 00 Monastir, Doiran et Guevgueli au sujet des-Qe quelles an litige s'était élevé entre les Bul-gares el les Autrichiens, qui rev>ndiquaient\ notamment la possession de Monastir. fcWlVVWWM os L'affaire du I.nsilania parait réglée, tes j ils Etats-Unis n'insisteraient pas sur l'emploi1 Us du mot « illégal » ni sW celui du- mot « dàse-iu veu. té mwuvvv%v Un accord économique vient d'être conclu,. après des négociations laborieuses, entre la Stièrfe el l'Allemagne, en vue de garantir — nue, pendant un au, le bois exporté par lu Suède ne sera pas inscrit par l'AUemugne is- sur la Vite de contrebande. En échange dois, cette concession, i'Alh'initgne iiblir-nl la nos-sr. sibilité de faire certains achats en Suède,

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Cet article est une édition du titre Le XXe siècle: journal d'union et d'action catholique appartenant à la catégorie Katholieke pers, parue à Bruxelles du 1895 au 1940.

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