Le XXe siècle: journal d'union et d'action catholique

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s.n. 1916, 08 Fevrier. Le XXe siècle: journal d'union et d'action catholique. Accès à 29 juin 2024, à https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/fr/pid/jm23b5xd47/
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«3 m Ammm . ./ m MS ? _ ^ Quotidien beioe paraisssril eu Havre ÎÉDACTION ADMIN1STR TION Jgiîi ma de Bourse — LE HA 13 Téléphone . Le Havre n' tï.05 Sirssisu? : lïRïAHD îiES 'Aï Toutes tes ccmrr unications concernant Ja rédaction oivent être adrusccs sSUr,rue de la Bourse, Le Eavrj. LQNDCN OFFICE: 21 j Pan ton t treet (LeicesU r Sq are s. '!« MtMKBWL,* .WIHiiwminw»—ii ABONNEMENTS Franc» 2 fr. GO par mois. i> 7 fr. 60 partrJmosire Angleterre.... 2sh.6d. par mois. » .... 7sh.6d. par trimestre Autres pays.. 3 fr. » par mois. » . 8 fr. i> par trimestF# % PUBLICITÉ S'adressôP à l'Administration du journâl au Havre ou à Londres Annonces 4' pages 0 fr. 40 la ligne Petitesannonces4* page:0fr.30!allgna Les petites annonces sont cgalemsiv? reçues à ta Société Européenne de Publi cité, io, rue delà Victoire, Paris, qui en a le monopole pour Paris. LMinim —e—-«n«— , , , ... ■ ; LE NOUVEAU LIVRE DE M. JACQUES BAlNVttJUE ( M Jacques Bainville vient de publier i volume sur l'Italie « telle que la guerre fait annaraltre ». S'il conclut que EU •italien est « un des Etats les plus on; maux M pl»s vigoureux, un des> riches d'avenir de l^uroM COntempoi aiA. qu'on ne.croie pas qui! sç laisw;mspi:t par la sympathie.' N appai tientril pas croupe de 1' « Action française^» qm a t jours reproche à l'empereur Napoléga comme une faute capitale contre la II an uXcoun donné àVictor-Emman^let Cavour? N'a-t-il pas lui-mâme dédié_vm ses ouvrages : « Bismarck et la 1 > ance 1' mémoire de P.-J. Proudhon et des zov t'esmp™aux - (Oui ! Proudhon avec.1 zouaves pontificaux) — Pan*Jpî^mïu 1 Iqs zouaves pontificaux ont cltienau. possessions du' Saint-Siège et combaj l'unification de la penuisule? Il naen \ . que de donner à son pays une idée exa de la valeur reelle de lltahe. Les Bc _ ont trop de raisons do bien yO;r corn»me •un Etat se restaure et grandit, ils ont tr d'intérêt à ce. que l'Italie soit très forte po désintéresser d'un témoignage aussi c .torisé nue le sien. *** Les Italiens sont très fiers d'être enti dans cette guerre en, toute libefte et pleine connaissance des longues et pt bles tâches qu'ils assumaient. Ils n'ont certes pas fait ce choix pour s; regarder les droits d'autrui- Comme le p clame l'épitaphe de leurs tombeaux, loi officiers et leurs soldats se font tuer pc les plus grandes destinées de 1 Italie, «.] 5 maggiori dostini d'Italia ». « L'Italie bien loin d'être insensible au bon droi mais elle répugne à faire de la justice d j droit pur'les maîtres absolus de sa p tique. Elle n'est nullement incapable d thousiasme et de générosité. Mais elle veut pas être généreuse à ses dépens.. Son idéalisme esb surtout natîonalis « Egoïsme sacré, ce mot est l'express profonde de la pensée italienne ». M. jîainvilte ne l'en blâme pas. u L'égoïsi quand il s'applique aux nations, devient devoir et une vertu. Il se purifie. Ne s'a il pas du sort de millions d'honimes vivai de millions et de millions d'hommes à. i tre? Cet êgolsme-là, les gouvernements n'en ont pas le sentiment sont coupables, sont d'une dangereuse vnàlfaisance. peuples qui le méconnaissent s'exposen .de cruels réveils. » (pp. 28i. et 2S5). On se tromperait lourdement si on c fondait les ambitions italiennes avec tédentisme. Sans doute, il faut repren Trieste et le Trentin. La possession rt'rieste étant de nécessité vitale pour 1' î.riche qui, sans elle, manquerait de « re ration maritime » et pour l'Italie qui fa We cela resterait inachevée et continue: 6 vivre sous la mena.ee orientale, on saurait en décider que par une lutte (peuple à peuple, que par la force. ProblÈ sde guerre, et le premier de ceux qui se .sent à l'Italie. Sans doule les Italiens v 9ent posséder les bons ports dalmates et Mes « aux redoutables détours » afin de (miner l'Adriatique dans «laquelle, proe ïnent-ils, une fois l'Autriche disparue, n? souffriront « pas un fort, pas un can fias un sous-marin, pas mie torpille qui Isoit à eux ». (cf. l'officieux « Giorhale ttalia » du 19 avril 1915). Sans doute ai les Italiens veulent consolider les résull joa'ils ont acquis dans la mer Egée par 1 «iupation du Dodécanèsc, point d'appni p conquérir et garder l'AnatoIie, en attend ide pouvoir modifier complètement la. sil fion des puissances dans la Méditerra cil ils se plaignent d'être dans un état grande infériorité vis-à-vis de .la France ide l'Angleterre malgré leurs droits fon sur la tradition 'de l'Empire romain, 8'héritage maritime et colonial de leurs publiques du moyen-âge, sur le nombri 'des services de leurs couvents, de le ■écoles,de leurs hôpitaux, de leurs émigra N'aspirerrt-ils pas à réaliser ce mot d'un Jours, le colonel Marselli : « Les destii: rie l'Italie l'appellent'à être un jour 1' gleterre du Midi » ? Cependant quelque chose de plus gén jet de plus puissant que ces revcndicatii tei importantes qu'elles soient, a poussi cpeuple italien à intervenir dans la gui européenne : « Le sentiment qu'une lie ^solennelle sonnait pour toutes les nati *et que celle qui laisserait passer ce mon [historique sans avoir manifesté la vigu tle ses armes subirait une diminution i ffiarable » (p. 33). Le 13 août 1911, M. Fj w.;esco Coppola publiait ces lignes que je Krctte de no pas trouver dans le livre |iM. J. Bainville : « Nous avons acceptt (neutralité parce qu'elle nous donne le tel «l'une solide et consciente .préparation Sitaire et diplomatique il l'action nécessf C'est pour cela ; ce n'est pas pour a chose, et non pas indéfiniment, ni jusqi tyout, non pas à tout prix. La neutralité •tju'au bout serait le plus sûr, le plus i Tncdiable désastre pour l'Italie, notre cide comme grande nation. Et si cela » vait ce serait justice, parce que les i pies, non moins que las hommes, sont i gnes de l'avenir, quand ils ne savent ■conquérir cet avenir par le risque, l'en is sacrifice, le sang... par la guerre, i tresse de l'histoire future non moins qui l'histoire passée, créatrice infatigable hiérarchies internationales » (« laea ne "aie » du 13 août 1914). L'idéalisme if al disions-nous plus haut, est surtout ni tiatiste et ce nationalisme est impérial Le socialiste Proudhon qui a comb '1 unité italienne avec des arguments die de figurer dans lé testament politique Çpi de France, l'avait prédit dès 1863 : , France, déclarait-il, est une nation fatig incertaine-de ses -, principes et qui seT douter de son étoile. L'Italie au eontri wee de son long engourdissement p» avou< toute l'inspiration et toute la foi (1) Un vol. în-12 : 3 fr. GO. Paris, Arth iLaIg,rd,0eL^ écUicurs, rue. de Saiat 1P de la jeunesse. La première aspire au re-j? pos ;... là seconde ne demande qu'à înar-* cher, n'importe à quelles conditions et n'im-a porte sous quel système. Qu'il lui naisse quelques hommes, un Richelieu, un Col-lx;rt, uir Condé : en moins d'une génération... comme Etat unitaire, elle prend place parmi les grands Empires et son influence peut devenir formidable en Europe ». !î(**â m Pour faire de leur pays une puissance po- 'a litique, économique, maritime, militaire de t premier ordre, les patriotes italiens ont |i- réalisé pondant un siècle des prodiges de is dévouement et de ténacité que M. J. Bain- », ville cite en modèles impérissables à tous er ceux qui dans l'avenir voudront délivrer ou iu relever leur pays. u- Celte collaboration de tous, des inlollec- II tuels et des plébéiens, des aristocrates et ce des marchands, la littérature y travailla i avec une efficacité que l'on ne e» trait pas le exagérer. Tandis qu'au XIXe siècle, de à grands poètes français allaient jusqu'à re- a- nier l'idée mémo de patrie ( << Nations! » es chantait Lamartine, « mots pompeux pour >n dire barbarie »), tous les lyriques italiens es ont été ardemment nationalistes. On a pro- tu pagé partout leurs vers. « Heureux pays, □e songe l'auteur avec mélancolie, heureux :le pays que celui où les difficiles et savants es poèmes d'un Léopardi et d'un Carducci "ise nt débitent pour un sou dans la rue et garnis- op sent le sac du soldat. ». ur Avec les poètes ont collaboré les histo- :U- riens et les philosophes. Ces historiens et ces philosophes — beaucoup dans l'obscurité — ont discuté en commun et ont élaboré des conceptions politiques faites de es mépris pour le pacifisme, les encyclope- c.!1 distes et les (héories de 1789, d'amour exal- 'il_ té de la patrie, du dédain de la mort, du goût passionné de l'activité guerrière et w- conquérante. lis renouvellent aujourd'hui ro- la face des choses. irs Mais ils ne la renouvelleraient nas, mal- "ii* gré toute leur admirable énergie et colle do >er leur peuple, ils auraient échoué sans une est force capable de leX coordonner et de les t : diriger, sans les princes do la Maison de et Savoie. jli- Merveilleuse politique que celle qui ras- ?n- -sembla, tous les éléments actifs du pavs ne dans une haute , synthèse. M, J. Baînvflle . » l'expose avec un art parfait, ainsi que le e. problème des relations futures de l'Italie ion avec ses alliés d'aujourd'hui et ses alliés ne, un a ?it- La masiœy^re... its, iat- 0 • C'était biera ui» coup monté. A peine parti - ,,3 dians VOsscrvatorp Romano, l'article nue l ? îk>us signalions hiefr s'est trouvé aussitilt reproduit avec éîoges dans les journaux nn_ alSlamands et germanophiles. •j'rJ Pour n'en citer que dsux, nous avons soua Jjré les yeux la Gazelle de Francfort nt les Keue d„ Zurchcr Nachrichten du 1er janvier. Toutes . deux attribuent natineMgment au Vatican -ni" ^'article do l'Osservalore Romano et la ' , " feuille pipétendu.mfllnt suisse en tiré pai'ti -ait Pour salâsfaiï© une fois de pkiis les suniii- ' inenits çui l'animent à l'égaid de la Bel- de sitfuc' C'est bieft le bulèetin Wolff qui fait son "lr peB. tour. Il a. sans <loulô «ié.ià trouvé dans P, tes feuilles em'boehées de Belgiq,ue !la place , ' qu/il méritait entre deux ukases de vcoi Bis- 'e si'itg. La voilà, la vraie manœuvre contre . îe Sain't-Siége,.. ta- . . .. __ ^...■■■*11 m* Un patriotisme g* qui stupéfie les Boches 'oc- »Ocr—— Oui* ant QUOI QU'IL LEUR EN COUTE, LES BEL-B8- GES SB. REJOUISSENT DE LA BAISSE née OU MARK ! de i et Les Boçhas ne sont pas au bout de leurs dés élomœments. Le correspondant bruxeSoas sur do la Gazette de Francfort ne vient-il pas ré- ,da î-eeonnaltre, dans uita chronique fïnan. ! nt cière de ce journal (numéro du 31 janvier), ui s que la d'épréeiWion <ta mark cause une toits. nicnea satisfaction aux Belges ? des „ Et pourtant., «lit-il; comme beaucoup 5c ées paiements eru Belgique se font actaeEein^nt Ah- en marks, les Belges devraient désirer que ■le mark conserve sa valurj » Oui, mais les Belges désirent avant tout , ' qjjè l'AHemà'gne soit réduite à merci, et ' „ comme ils voienidans la baisse du mark un ,.p indice, favorable, ils tout joyeusement le 'ï" sacrifice qui en résulte pour leur bonrse. Voilà bien j;:ui inouï ro de quel adrain est 1C, ' fait tour patriotisme ! Ne. nous étonnons iïï pas qu'un boclio s:em étonne. fr®" Le correspondant bruxellois de la Gazette dr Francfort ' constate aussi uïi' relèvement ?" très sérieux des cours. des valeurs eo»-,® niaies. belges : les Katanga font 1575, les Lai.ïon Minière 920 et les Tanganika 63 fr, "P? Et voilà une mamfestaJ.:c.u de confiaiice 25" Qui n'est pas Mon plus faite pour, réjouir Francfort. l'au S: I OBSTACLE i LA FUI «î AISTM-ALLEMAB ndi- pas ,)0(( " nati LES AGRARIENS DES DEUX EMPIRES "de S'OPPOSENT AU Z0LLVERE7N ■J'Z La Gazette de Lausanne, nous apprend, ién dans son numéro du 5 février, qu'on mande lli0: de Budapest à la. Gazelle de Francfort : sle. u L'assemWée consultative des agrarieiis ittu allemands, autrichiens et hongrois a admis :ncs à. l'iinammité qu'il n'y avait pas lieu "abn; l'un \isagor la création d'une union douanière La entre l'empire allemand et l'Autriche-Hon-née, grie. îbîe » Dans une adresse dltommage aux tire, deux souverains,, l'assemblée relève la ré ralt solution unanime des agriculteurs des dtous igue monarchies alliées de mettre en jeu ioutes leurs forces pour faire triompha- la charrue aussi bien, que les armes dans cctU âme- guerre qui leur a (té imposée et d'assitrei -Go- ainsi à "jamais l'indîépondanœ éct'aotttiiiUî «anales Sffiâ* » LE M ALBERT et la presse allenie Il est curieux de constater le change ment de ton qui se manifeste dans la press allemande à l'égard du Roi Albert. Pendar longtemps, il fut de mode Outre-Rhin d railler-et d'injurier, lourdement notre Bo O11 l'appelait avec insistance u Roi s an terre » êt On exporta jusque en plein Bri xelles des caricatures platement grossière: On serra les poings chez nous devant ce; laine « Wochcnsciiau » qui prêtait à note souverain des regards d'envie pour 1 il demnité acceptée par la gc^ndc-duchess de Luxembourg. IjC.s petits journaux allemands ont- gare cotte méthode, mais la presse qui est ph directement influencée par les consigne du pouvoir prodigue au contraire en ce m; ment au prince qu'elle traînait hier dans . boue les fleurs et les compliments. Il y a quelques jours, la « Gazette c Francfort » traçait de lui un portrait extr mement sympathique. Co 11 était pas u accident, car nous le retrouvons à.peii retouché et d'ailleurs du mémo pinces dans la « Neuc Zurcher Zeitung » du t" f vrier. Reproduisons-te pour l'édification ( nos lecteurs à nui il fera mieux compre: dre jusqu'à quel point l'Allemagne qui mis notre pays à feu et à sang s'efforce ( reconquérir notre .sympathie. Voici la partie essentielle de cet artic daté du Havre et signé \V. mais où 011 de bonnes raisons de voir une correspo: dance bruxelloise due au Herr Wertheimc qui a prouvé, on sait comme, sa bienve lance pour la Belgique et pour son Roi : u Une partie de la presse allemande, 1 la presse de moindre valepr toutefois,dai le genre du « Generalanzeiger » bien co nu, aime à ridiculiser le Roi Albert en traitant de Roi sans terre.. Aucun homn au jugement équitable n'approuvera, p reille appellation d'un adversaire cour g'eux. même pas les Allemands, qui save apprécier les vertus, même celles de l'e nemi. Il est vrai que le Roi Albert pour le 111 ment a perdu'Ia plus grande partie de si royaume et. qu'il ne règne plus que sur tre ou quatre douzaines de communes, au li des trois mille communes qui- constitue la Belgique. Mais la guerre mondiale n'e pas encore terminée et' en Allemagne on rappelé maintes fois au cours de la préseï: guerre l'expression de Napoléon I" : « Da la guerre, rien n'est fait tant- qu'il res quelque chose à faire ! » Le sort des arrn peut encore changer, mais même si le Puissances centrales restent définitiveme victorieuses, elles!" ne refuseront pas de \ connaître les vertus chevaleresques du F Albert, qui .l'auréolent. On peut laisser de 'côté'la question de s voir ouelie est la partie qui incombe Roi dans la responsabilité dans la giier que les Allemands mettent sur le comj dé la Belgique ; ce n'est que plus tard q ^histoire librement écrite en dfehors e toutes préventions pqurra rendre un ju; ment définitif. Peut-être aurait-il été pl habile après la chute de Liège, ou après prise d'Anvers de mettre bas les arnv Mais qur pouvait prévoir alors .les êvér nients ? En tout état de cause, le Roi a rem; pleinement ses devoirs d'allié. Il - est. seul parmi les souverains des pays be' gérants qui ait fait toute la guerre au 1: ■lieu de ses soldats, sons la moindre inli ruption et- qui ait partagé toutes les dit cultes et toutes les privations inhérentes la campagne. Il n'est pas encore allé Havre où se trouve le siège officiel du g't vernement ; il habite dans une mode! villa dé La Panne, avec sa femme, 1a. loi sympathique Reine Elisabeth, tout près campement de ses soldats au milieu d< quels il passe toute la journée. Plus d'u fois il a été exposé au feu de l'ennemi et a déjà donné tant de preuves de son et rage personnel, qu'on n'en cite même pl •les traits dans les journaux comme qu que chose d'extraordinaire. La hauteur de ses sentiments na se n nifeste pas par des déclarations solenn les, mais dans la tranquillité, à toutes ! occasions qui se présentent. Nous 11e n pellerons que le dernier trait de son cari 1ère naturel et simple. Au mariage Neuillv d'une nièce des Souverains f-elgi Marie-Louise d'Orléans, avre le Prince P lippe de Bourbon, le Roi Albert.- a envo une dépêche de félicitations se termina par ces mots : « Je ne puis te donner de 1 doau pour le moment : car tout l'ai «ï dont je dispose appartient à mes soïd; et je considérerais comme un crime il' distraire quoi que ce soit. ». Ces paroi' venant du cœur, honorent le Roi et s peuple plus que ne pourrait le faire u brillante victoire. » L'officieux qui a écrit celle homélie po les lecteurs bénévoles de. Zurich et d'; leurs attend-il vraiment de sa ruse q'uelq résultat ? Il est trop tard pour que n'i porte quelle avance puisse obtenir lo mo dre succès. 11 n'est personne oui ait le p< voir d'arrêter la Belgique sur la voie où lancée le crime allemand. L'AUemag voudrait apaiser l'orage qu'elle a déchoit C'est en vain. Aucune force humaine pourrait conjurer les foudres qui doivt la frapper. Les morts eux-mêmes se I<-,> raient des tombes, riue l'Allemagne a cr< sé'es par milliers dans nos provinces, quelqu'un s'avisait do serrer une main r< gie de leur'sang. . L'insistance mise à la tendre nous 1 une nouvelle preuve que l'A-'lemagno ; rait prêle, pour obtenir la paix avec la B gique, à évacuer tout notre territoire même à nous payer une indemnité. « Que tiim mutata ! »... 6o foarsal es psssi êtes v&m qtte 10 CSSTSfîMES on I FlWfJ m Angleterre, 5 ceats t SsElaM© I® sbbIïs. ! Ullli Silfii MM. les sénateurs et députés belges établis en France, en Angleterre et en Hollande ont été autorisés à adresser des questions aux membres du gouvernement. Nous n'j voyons, pour notre part, aucun inoohvé 1 nient, bien au contraire, à la condition qu< e la curiosité .de ces Messieurs ne dépasst t point les limites que lui assigne l'état d< e guerre ni ne paralysé Faction du gouverne '• ment. Nous n'avons qu'un repredhe à fair< s à ces Messieurs : c'est de ne pas l'aire publie; toutes leurs questions au Moniteur. Chacm ;- prendrait ainsi sas responsabilités. Il n'es * pas trop tard, croyons-nous, pour revend-e sur la décision, prise un peu hâtivement de dt'-rober à la curiosité publique le lext: 0 de certaines des questions que les soixanl députés et sénateurs belges éloignés d. 6 leurs électeurs vont adresser désormais ai s gouvernement. s Pouvons-nous espérer que ces Messieur se liicmireront aussi bons princes vis-à-vi a tiu XX' Siècle que le XX0 Siècle vis-à-vi 'd'eux '? Constitulionnellsment, ils n'existent ^ en.ee moment, pas plus que nous. La Coœ litulion cannait le Parlement, non point le ^ parlementaires. Ceux-ci, individuolirmenl iC n'ont pas plus de droit que les simples c ^ '.oyeris. PuTsqsj'ils questionnent, sans dout no trouveront-ils pas mauvais d'être ciuoî î,® tioraiée aussi. Oa peut, dire de la -pliîpai d'entre eux ce que n»us disions diinianch de l'honorabie M. Hslleputte : ils ont de 1 presse unia trop haute idée et' une trop lor , gu« pratique pour contesier aux jounnau • ' un droit qu'ils s'accordent à eux-mêmes . A l'instigation d'un grand nombre de no _* lecteurs," officiers, soldats, simple;; civih nous avons formé le dessein de poseir d temps en temps une question, soit à ne pariemeasbaircs, soit à propos d'eux. Non , acceptons d'avance, pour celte tâche, la co ,s laboration du public. ,. Pour commencer, noii3 serions heure u ip dte savoir si tous les députés et sônateuj qui ont quitté la. Belgique au lendemain ci l'invasion allé m an-de sent en état d'e just fier leur départ, soit, par.de sérieuses ra [,i sons, soit jrar l'éclat services rendit; n. dëpt'is cette époque, à la. nation. Si.gi'ant soit-ei'e, notre curiosité n'est rien, not 0_ ac-sare-t-on de toutes parts, auprès d'e ! lu ™r,'o:>ité, à cet égard, des électaurs de c" ;'s Messieurs. Ceux-ci nous sauront gré, esp tfoœ-le,' de les èn avertir; nt ——« | LE PROCES PRUM •jg ' ■ - ' ' i® LE JUGEMENT N'A PAS ENCORE ,s' ETE PRONONCE IJ* Nous avons signalé, d'après une dépêc] cte Suisse, ia condamnaî,io<n de M. Prum U-ois ans d» prison. Une correspondance de Luxembourg ai , j iVtrue Zurchcr Nachrichten du 1e'-' févri " nous apprend qu'il y a en. erreur. M. Pru it„ a comparu devant iu» tribunal allemand ')e Trêves et te ministèis puSilic a réclamé colle le bourgmestre de Cieiïyaux iine> peit ;e. de deux ans de prison, mais le jugement ;)g été renvoyé a une date ultérieure. ja Peuitron encore espérer que les juges i lg Trêves rendront justice à notre touragei V aitni ? Souliaitons-'ie, mais, quelle que st l'issu» de ce pi'ocès, il n'en"constitue p. jU moins une injustice flagrante et on a id> !p d!e la façon dont les Allemands traitent Ii_ Luxembourg quand on fes voit arracher i 1;_ citoyen laxembourgcois à ses juges nature pour l:a traduire devant un tribunal ail mn.rifl Îles faitsdo joui île »0(c 3u ïs. Le comte Bernslor[j a soumis a M. La ne siug un communiqué provisoire au sujet < il Vatiaire du Lusitètriîia. Bien que le m ,u- « acte Méfiai» ri y figure pas, ce commur us <iuê contiendrait des mots disant que la ml cl- à mort des Américains à bord du Lusitan riélaît pas intentionnelle, parce que la de ia- traction du paquebot était un acte de repr eî- sailles et que* C Allemagne admet que h es aux neutres. ip- U Allemagne regrette donc que des Améi ic- cains aient été lues à bord du Lusilania à en 'oîi're réparation sous la forme d\[ne i ïs, déniai le» hi_ mv\\\rv\v\v 1 M. Sonniao a eu récemment, aire les al n bansadeurs d'Angleterre et de Russie à P>on plusieurs entrantes qui ont confirmé le pie î, accord de. lu. Quadrvplice pour une aclii coopération dans les Balkans cl en Albani 'S, IVVWVUVXAI» Lo 'députe cnlentislc roumain Filipest ira proclutincmenl en Russie pour se rend personnellement compte de la situation < l'année russe. Ce voyage suscite, dan.'; U milieux politiques,de .très vives discussion .'^ et donne lieu à de nombreux commentaire " Jusqu'à présent, la Roumanie a mobili; l"s neuf dixième* de ses forces: Sa plus /eu» classe vient d'être convoquée sous les dr )'•„ peaux en avance sur la date régulière. Tou M l'armée, roumaine sa trouve maintenant j(-, long des frontières hongroise e.l bulgar n(,' tandis que le front russe est dépourvu l c ouverture sérieuse. re- :"7 Lci/i de démobiliser son année, le roi < Grèce vient de signer un décret appelai IU" sous les drapeaux tous les insoumis d< classes 1892 à 1914 se trouvant d l'étrange à l'exception de ceux qui résident en tu ■s quie, en Russie, en Bulgarie et en Roum et "ir- ' ^ ^ gouvernement grec dément de. la fàçc la plus catégorique qu'il ait donne des ordn mu: armées grecijues d'évaciter la Mac doine orientale, afin de. permettra aux a mées turco-bulgares d'arriver sans cncoiï . bre devant le camp retranché de Saloniqu in t» — On annonce que lo chansonnier Botr est gravement malade. II. est tombé a ,j, cours d'une crise cardiaque avec syncop '™ provenant do ilix-sept mois de suinienag-II est soigilé à l'hftpital du doîtciu- Çarrt <i<t C8Hifi«sae. ETRANGE NEUTRALITE «V» Le ssaadale deBaerle-Dac L'aaioîité lyiissisi s ^ W te eiîsjeja Sëlsip Nous avons aujourd'hui des icnscigne-i rnents détaillés sur la façon dont l'autori-• té hollandaise se conduit à l'égard de la t Belgique dans l'enclave de iïaerle-Duc. On l verra que le mot de « scandale » n est pas . trop fort pour qualifier ces agissements de (a Hollande contre un pays ami au mo-l ment où il se trouve mis en péril par l'a-i gression d'un puissant ennemi. i Pour bien comprendre nos informations, l il faut se rappeler que lo territoire belgo de Baerle-Duc, voisin de la commune hol-3 landaise de Baerle-Nasseau, est formé noi; 3 pas d'une seule enclave, mais de plusieurs parcelles complètement entourées de ter ritoire hollandais ; l'enchevêtrement est s 1 compliqué tfu'à leur tour certains espaces 5 de territoire hollandais se trouvent corn plêtement enclavés dans le territoire belge Les Hollandais ont donc ontouré d'uni 0 ceinture de fil de fer barbelé, afin de lei 1 isoler, plusieurs enclaves belges ; certaine; ï parcelles de sol belge ne sont donc pa e entourées : néanmoins nos compatriote; ;1 résidant dans ces parcelles ne peuvent pa: se reiidfe librement au centre du village . les soldats hollandais les arrêtent et le ! fouillent, on fcoui'fj 'de .toute, dèB qu'il; mettent lo pied sur le sol hollandais ! Il y a une petite ligne télégraphique ou ' relie la gare de chemin do 1er do Baerle Duc à notre iioste dé T. S. F. ; ces deu; points sont situés dans la même enclave i la ligne télégraphique ne franchit donc e: ' aucun endroit le teiOitoire hollandais, eli n'est pas reliée au réseau hollandais, ell est ' desservie par un personnel exclusive ' ment belge. Et bien, nos voisins prétender ; s'arroger un droit do contrôle sur cett f ligne. A deux reprises, le li et lo 15 jar vior dernier, des soldats' hollandais on '' lyénétré en territoire belge et ont tenté d'il ' tercepter les communications. Et ils agi; saient en service commandé : le 14 ja-r vier notamment, ils étaient quinze, ave un sei-ijent à leur tête. Ou lîien c'est une violation flagrante d notre territoire, ou bien les mots n'on — ■ plus de sens. Lo danger de voir nos coromunicatior surprises ou coupées est si grand que lt télégraphistes n'emploient plus désorma que des alphabets chiffrés., et ordre a' éi donné aux agents belges de confisquer tov les appareils avec lesquels les Holland-a; chercheraient à établir une nouvelle dér 1C vation sur la ligne. a -Mai5 c'est surtout notie installation c x T; -S; F.-qnt-rarent mtc-iBion dés Hoîiîi îr dais. Des agents du gouvernement hollai n dais rôdent perpétuellement autour du po; à te et ne cessent de poser au personnel t r- la station — on se demande de quel droi le niais on devine sous quelle inspiration -a des questions, aussi pressantes que dépl; cées. le Cela, ce n'est rien ; nos employés foi ;x la sourde -oreille, ou bien rabrouent lt lit indiscrets, et rien ne transpire, on peut e is être assuré. ie> Il y a. pire. Pour empèclier le fometio) 1e nernent de Ja T. t>. F., le commandant m n litaire de Baerle-Nassau a pris un ai-rê 's intei-disant l'entrée en territoire belge c e- tout ce oui peut alimenter la station : cha bon, beaizin'e, pétrolé, caoutchouc, etc. — C'est du même coup priver nos compa-li-ii Îtes de marchandises nécessaires à la vi mais qu'importe ? II s'agit avant tout d'en pêcher les Belges d'utiliser un poste c T. S. F. qui leur appartient, qu'ils oi établi en territoire belge, mais qui pei renseigner les gouvernements et les Etat le Majors alliés sur ce qui se passe dans 31 territoire occupé par les Allemands : di i- lors, toutes les mesures sont justifiées... 'c Que dirait cependant le commandant m ia litaire de Baerle-Nassau, que diraiei s- ceux qui lui ont donné des ordres, si l'ai é- torité beige de Baerle-Duc, usant de repr 'S saillies, interdisait l'entrée des mêmes ma chantliâBs dans les qua-tres parcelles d i- territoire hollandais entourées complot) ment de sol belge i- D'e plus en plus fort : vers la nii-janvie un délégué du ministre de la guerre d( Pays-Bas a eu l'audace de faire subir l'ingénieur belge qui dirige le poste t! ,e T. S. F. un interrogatoire en règle : à qui '■ sert votre installation ? comment le mat ■c rie! du poste est-il arrivé à Baerle-Duc ? e-P D a eu la réponse que méritaient et questions. '° On saisira d'autant mieux le ci ractère v<gs.a toire des menées hollanda f ses, particulièrement en ce qui concerr la surveillance individuelle.de nos comp; ts U-iotes, quand on saura quo les autoriti f; hollandaises utilisent elles-mêmes le sol ,c belge dans des desseins purement mil ,c ta ires. f!; Tous les jours des troupes hollandais* équipées et armées foulent le sol belç quand elles se rendent à leur cantomu ment de Ba.erle-NassaPu ; elles ne pourraiei ■e d'ailleurs le faire sans quitter la grant route, En, plusieurs endroits, le rail hatlanda ,a passe sur le sol belge. Or il circule sur cet; j. ligne des trains de troupes, du matériel' i , gr'erre. et» chose plus grave, des marchai dises die contrebande destmdp-.- "à la JJelg ' que occupée. " Depuis le début de la guerre, de nombre» ses lignos lélégrtïphiques hollandaises oi été établîtes à Baerle sans qu'on -se soit soi cié si elles passaient toujours au-dessus d f sol hollandais : de l'ait, il y en- a pluisieuj qui franchissent du territoire iielge. Nous .pourrions donc user de heprésâillf vis-à-vis de la Hollande, soit en coupant lt " lignes téîégrapiiiquos, soit en interdisant. : — pqssagedes soldats Mlaindais, soi t en exe 31 cant iun com»trô!e sur les convois de chemS u de fer au moment où la voie ferrée travers î, te soi belge. ;. Le contrôle serait d'autant plus légitinn 1, répétons-le, que les chemin? cte ter bolla» dais iraaspsrteBt tou» les jows <=q Belgi^i ■1 r,» , wn ■! H I occupée, des graisses, du caoutchouc et d'autres antircharidîses de contrebande destinées aux Allemands. __ Il serait grand'temps qu'on mette fin a un état de choses qui constitue une atteinte déî.bérée aux droits soraverains de la Belgique et qui parait difficile à concilier avec la neutralité officielle., SESIB 1SSS CommusiquÈ officisl français Paris, lundi, 15 heures. Aucûn événement important à signaler au ■ cours de la nuit. LA REVOLUTION EN CHINE i Pékin, 7 février. — On annonce officielte-' ment que les troupes gouvernementales ont i défait les rebelles à seize milles au nord-est . de Sui-Fou et se sont emparées de positions I importantes, tuant ou faisant prisonniers ' 300 rebelles et capturant deux canons de montagne et une grande quantité de'muni-! tions. Les troupes gouvernementales poursui-, vent leur marche sur Sui-Fou où les rebelles se sont placés sur toutes les collines en-" vironnantes. Les troupes gouvernementales coaiman-j dent toutes tes routes conduisant à Sui-Fou. e -c- —- ! Chut© des feuilles... t —0-- ® La Métropole annca:c2i que la Vlaamsclte ." Stem, après de nombreux avatars, cesse sa publication.. C'est, l'échec officiellement .constaté d'une 1 dé3, prhicipêtfes machines de gueri-e moti-j! tèe,s par les Allemands pour détacher les Flamands do la patrie belge. e' Nous-nous çji "réjouissons de tout cœur, t — — I Une visite à M. IVÎax S » »OK é s Une dépêche de Br-ujK-lles au Tetegraaf. s rapporte que M. Emile Jacqmaim, échcivyn i- de l'Instruction publique, a pu. se à Celle où il o. vu l'héroïque bourgmestre cte Bruxelles, sort.ami, M. Max. e La dép-èct;-' dit. n;;e M. Max ne se plaint jr 'twasnrritt WiHuI est inlligé. Dans l'instant, peut-être, dfepuis qu'il est, à Cellr. c'est-à-dire'diepuis deux mois à peine, ifem e ocras savons qu'à Glatz, où M. Max a sé-(, jouiiraà pendant plus <fe quatorze moîsT il L était loin d'en être ainsi et qu'il y a subi un x. véritable martyre. n L'EXECUTION D'UN TRAITRE —-o— s Neels est revsniipé pour "lasoitBdel'aimBB ÉDemandeJ COLEP.E BOCHE ET RIPOSTE BELGE L'n de nos ainis nous écrit : s- a Ainsi que vàus" l'avez annoncé, le siéur e Néeds, fils d'un major retraite, a été tué le 6 's janvier à Sclia-erbeek. Le t\ janvier, îe gou-ver.ueuir militaire von Sauberzweig a t'ait sa-i- voir au Collège Echevinal de Bruxelles, qnre it « l'assassinat dont l'aufear n'est p-te dôc»»;-i- vert, a été commis à i'aide d'une arme à j- feu ; tjtie d'ailleurs dès arihes à l'eu, cdnti-r- îiueitt à être saisies à Bruxelles, (pie toute e la population du Grand Bruxelles, "doit être ;- randuiè responsable de ces faits ; qu'en conséquence, d'accoid avec le gouvei-nsur gc--, nérai, il frappe les comn>ufi8a du Grand a Bi-uxàKs" d'une" contribution forcée de à 500.000 marks, et, en outre, la commun© oc e Scbaeirbeek d'une eontrilielcon forcée sp^-->i oiaio de 50.000 marfes payable avant le 25 i- janvier de cette année à ïa cai.-ese jnilitaira c de campagne, rue de Louvain, 2. La rôpar-;s tition: de la contribution forcée de SOQ.ÛfX) manlis est laissée aux soins des oormnsiiuw conformément à une entente à intervenir; entre elles. » !■' « D'autre part, ajoutait le factura du go»'. " vemeu'i- allemand, l'assassinat n'ayant <5ê porté à la connaissance des autorités allemandes par une personne privée que plus 13 de 12 beutes après ta découverte du cadia-l vre par la police belge, il est décidé que dc"-saranais tous les en mes commis dans la airfconscri'ptioa da Grand Bi-uxelies et pu.r-® venus à la connaissance des autorités bel-, ges ddivient être signalés sans retard à la lvomiriandaiitua-. ;! » Il est constaté, en. outre, qttt la garde bourgeoise instituée par les communes avec l'assentiment du Gouvernement général, après dissolution de la Garde civique, n'a ^ pas répondu à l'attente fondée sur elle. Eî» 'J_ égard à ce fait, il est décidé que dans toii-tes les communes du Grand Bruxelles, la gante bourgeoise sera dissoute avant le. , 1" février de cette année. Cette mesure ne ,( eauiprimo pa*i la, responsabilité dés com-N mûries - liant au maintien de la tranquiUit'î J, publique, de l'ordre et de la séraimlé ci s quant à la protection des personnes et des propriétaires ; il doit être laissé au soin des s communes d'augmenter le nombre des fonc-3 tioiiiiiaires de police selon les nécessités. c » Enfin, divers év-'-nements des demierB > temps obligent de supprimer tout orgain»? da n police autre que la po;ice légale, tels qicte e agents secrets ou agents im'estigaiteurs et ce sous iKs mesures les pfliic sévèrtï, à !, l'égard des communes comjatoles et de leurs i- administrations responsables. » te Ajoutons un détail tout & tait proo* •* 22eANNÉE. — SérieaouYelïe.—N* 456 ^ tt r^~~" * '.mi.1. Tr* ao -tar1 &U<a^ r « • m Centimes (% Rl!tf¥XflSES AIT PEDNTl ' Mardi S Févrie: ;r I9ïfc

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Cet article est une édition du titre Le XXe siècle: journal d'union et d'action catholique appartenant à la catégorie Katholieke pers, parue à Bruxelles du 1895 au 1940.

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