Le XXe siècle: journal d'union et d'action catholique

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s.n. 1916, 19 Novembre. Le XXe siècle: journal d'union et d'action catholique. Accès à 03 mai 2024, à https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/fr/pid/sb3ws8jq84/
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LE XX Siècle du 19 Novembre 1916. rue et les obus. Des enfants jouant sur le seuil. Une femme étend paisiblement son linge. Et on se demando si la maison ne va pas s'effondrer sous une « marmite » boche. Une large bande qui suit le ritfage, sur une profondeur de trois kilomètres environ, ue pi > sente que du sable. C'est la dune. Quelques herbes, rares et chétives, y poussent difficilement. Le vent de mer s'y joue, y trac, des rides, y creuse 'les vallonnements, £ élève des moiitu-ules, comme le simoun ou le sirocco dans les iléserts d'Afrique Le souvenir des brûlants paysages d'Algérie semblerait ne jamais pouvoir s\vm.juei devant ces terres plates et blondes, noyées dans les brumes du Nord. Pour tes Belges de ia dune, ce rapprochement est devenu familier. Ce sont birn des scè es du désert que leurs jeux ont vues sur les sables flamands, lorsque, dans le premier hiver de la guerre, des campements d'Arabes animaient cette solitude : petites tentes plantées irrégulièrement et dort 'a couleur se etjnfondait presque avec colle du sol. Dr,vaiu elles, des Arabes enroulés dans leurs burnous, assis en rond devant un fou de boiis, buvant du café ou fumnnt des cigareties. les mains frileusement tenùups -"ers la flamme; et tout près, au second plan, des hommes s'empre^sant autour de chevaux richement harnachés, Bautant en selle dans un envolement d'étoffes claires ou éclatantes, en lançant des appels gutturaux. Les civils belges contemplaient avec joie ces visions des pays du soleil. Ne sont-ils pas les fils de ces Flamands qui, partis pour la croisade avec leur comte Baudouin. furent teUer°ent éblouis par les - sulendeurs de Constantinople et les rives ■ du Bosphore que le bon chroniqueur Vil-lebardouin nota, ccmme un fait digne de remarque, cet émerveillement. L'image de l'Orient, qui imprégna si Vivement l'esprit de ces lointains croisés, n'a iamaig disparu de l'imagination flamande. « La pOTMUe orientale fascinera les Flamands au déKrat de leur histoire, a pu -écrire 3Ï. Fierens-Gevaert, et se répandra dans leurs goûts, dans leurs mœurs, dans xeur art, pour y jeter un vêtement perpétuel de ïaste et un étemel mirage d'or ». Quels peintres ont fait chanter plus éperdument la couleur que Les fils de cette terre mélancoliaue et brumeuse ? Où trouver des toiles plus rutilantes que celles de Rubens et de Jomaens ? Un peu plus loin, le polder marécageux nourrit quelques arbustes. Enfin commencent les terres arables, les prairies, les arbres. Plusieurs de ces routes étaient sillonnées jadis par de petits chemins de fer ou des tramways . On en utilise encore quelques-uns pour le transport des troupes et des matériaux. D'autres ne sont plus qu'un souvenir et laissent apercevoir sur le sable des t/onçons de rails ou des traverses da bois. Jean Limosin. > —. La Suisse et la Guerre LA REPONSE DU GOUVERNEMENT DE BERNE A LA NOTE DE L ENTENTE Le gouvernement fédéral suisse a remis aux puissances de l'Entente sa réponse à la note collective présentée par la France, l'Angleterre et l'Italie. Dans cette note les gouvernements alliés soumettaient les demandes suivantes : 1. Suppression des permis d'exportation pour le matériel de guerre contenant, dans une proportion déterminée, des matières premières importées sous la garantie de la S.S.S. ta pour les t.ssus de coton. 2. Interdiction de l'emploi <îe l'huile à graisser. Importée des pays de l'Entente ou en transit par ces pay3, pour la fabrication des tu^.es. munitions et explosifs. 3. Interdiction d employer du cuivre et des installations électriques dont le .cuivre aurait été fourni par les pays de l'Entente après Se 18 novembre 1915 pour la fourniture de matériel de guerre et pour le transport d'énergie électrique dans les empires centraux. 4. Suspension, dans le plus bref délai, de •'exportation de toutes les machines, de tous tes produits hydro-électriques et de tous les lissus de coton" de façon à permettre de procéder aux enquêtes nécessaires. Une information, communiquée par 1' « Agenoe télégraphique suisse », donne le résumé de la réponse suisse : Tout d'abord, dans sa réponse, le Conseil fédéral se place en principe à ce point de vue qu'il n'y a pas rupture au préjudice des pays de l'Entente de l'égalité de traitement entre les groupes de belligérants. La note suisse déclare qu'en général, les autorisations d exporter dans les empires centraux ne l'ont été qu'en tant qu'il ne s ptu '-\Q<a Ho mfitHo] de gnerre. T^ll© re-connaît cependant que la convention entre îa Suisse et l'Allemagnç fait tomber sous le coup d'une prohibition les stocks de fer et de charbons des établissements qui fabriquent des munitions pour l'Entente. La note suisse, dit l'agence télégraphique euisse. passe ensuite en revue les diverses demandes formulées par la note de l'Entente et expose les raisons qui ne permettent pas •d'y donner suite. Elle fait remarquer que les tissus de coton, dans la mesure où ils peuvent encore être exportés actuellement, n'ont plus siien^à voir avec le matériel de guerre. Elle «léclâre que restreindre l'emploi de l'huile à. «raitoser dans les Installations suisses serait «n contradiction avec la pensée qui a présidé à l'institution de la S.S.S. Quant à la demande de suspendre, dans le plus bref délai, l'exportation de toutes les machines. de tous les produits hydro-électriques et <fe tous les tissus de coton pour permettre de procéder aux enquêtes nécessaires, le Conseil fédéral déclare ne pouvoir y satisfaire et devoir s'en tenir aux principes convenus lors de la création de la S.S.S. — * OLYMPIA * Rue Edouard-Larrue — Le Havre Prograrciroa d.e la. semaine LE MASQUF AUX TENTS BLANCHES MADAME SA^S-PEUR 2 h né es ù •) h. lia les Jeudis, Vendredi «/ Vmauche SOIRÉES TCVS LES JCVRS i 8 BEVUES L'UNION DES ALLiES — x— Ik fête franco-italienne à ia Ssruonne MM. les ministres Comaitifini et Sernbat affirment l'ac,ord parfait tle leurs deux pays Samedi après-midi a eu lieu à la Sorbonne devant une foule considérable la lete franco-italienne organisée par la Société Dante Alighieri. M. Briand qui avait accepté la présidence de cette cérémonie, empêché au dernier moment, a été remplacé par M. Denys-Cochln. Celui-ci. dans une allocution applaudie, présente les orateurs : M. Coinandini, ministre italien sans portefeuille et Al. Sçmbat. ^ninis-tre des Travaux publics. M. Comandini rappelle que-les quelques divergences qui s'étaient élevées dans les dernières années de la paix entre la France et'l'Italie étaient artificielles. « L'Italie qui se bat au-lourd'hui dans les tranchées du Carso et des Alpes, celle qui voulu la guene avec lAutricne et avec l'Allemagne, celle qui a vu la bataille de Verdun comme une bataille italienne, c'est l'ITA-LIE QUE LA FRWCE TROUVERA TOUJOURS AVEC ELLE DANS LES TEMPS FUTURS. La jeunesse de la guerre, c'est la jeunesse de demain, L'Italie nouvelle, poursuit Al. Comandini. aime la France, la France savante, la France littéraire, la France spirituelle, qui, à tous les moments de son histoire, a affirmé la grande vérité humaine de la personnalité. Et concluant, il répète, dit-il avec vénération et amour les paroles de Victor Hugo : « l'ensemble pendant la lutte, l'harmonie après la victoire. » M. Sembat prend ensuite la parole et déclare notamment : « Il va sans dire cependant que quoique le plus haut et le plus noble sentiment ait été la source de votre entrée en guerre, un gTand pavs comme le vôtre ne pouvait, sans avoir pesé et calculé, s'aventurer à ;'t>uer ''ette partie suprême. Parmi vos aualités les nlus remarquables il v a en effet une lucidité d'analvse. une finesse, un sens sûr des réalités. C'est pourquoi vous avez eu une vision claire de l'avenir et vous vous êtes dit crue l'Furrvy» d'anrès la guerre ne pourrait être spmblable à l'Eurone du passé. I,'Allemagne et l'Autriche tendant naturellement à former le bloc « Mittel Europa », vous avez très bien compris cru'en face de ce bloc, les nations de l'Europe occidentale devaient sous peine de périr même en cas de victoire, constituer un bloc politique et économimie cohérent et uni. » Ces deux discours ont été très applaudis. La s'arme réonblicainp nrêtait son concours à cette fête, ainsi que Mlle Chenal, de l'Opé-ra-Comique, et le poète René Fauchois. (Voir la suite aux Dernières Nouvelles). — Le Vatieap et tes Stat$ i)etitpe$ Fefiigeqt de peeopaîlFe la Pologne aii^tFO-alIenjapde Londres, 18 novembre.— On mande de Rome au « Daily-Mail », que, malgré les tentatives des Allemands pour obtenir que le Vatican reconnaisse le nouveau royaume de Pologne, le Vatican et tous les Etats neutres ont décidé de remettre cette reconnaissance à la fin des hostilités. —, < ■ ■— L'Autriche va-î-eî!e avoir un régent ? Une ou deux fois déjà depuis le début de la guerre le bruit a couru que le souverain d'Autriche-Hongrie, en raison du déclin de ses forces, songerait s.con à abdiquer, du moins à résigner la partie la plus active de ses pouvoirs d'empereur et de roi. Les journaux de Berlin signalent au-jourd'hui librement le retour de cette nouvelle.La « Gazette de Voss », entre autres, croit savoir que François-Joseph, à l'occasion du 68e anniversaire de son avènement, qui tombe le 2 décembre prochain, conférera solennellement à l'archiduc héritier des pouvoirs extraordinaires et remettra entre ses moins une partie de ses prérogatives souveraines. Tout en accordant des audiences et en prenant connaissance des affaires. Fran-çois-Joseph souffre d'un catarrhe opiniâtre des bronches et de la gorge. ■■ ■— Efi CHINE L'INTERDICTION DE L'OPIUM Marseille, le iS novembre. — Le « Courrier d'Haïohong » reproduit le décret du pré-sid-nt de la République chinoise visant l'interdiction définitive de l'opium sur tout le territoire de la Chine et dont voici quelqueb passages : . « Le délai pour l'interdiction de 1 opium expirera à la fin de cette année. d Nous ordonnons au ministre de l'Intérieur et au ministre de ia Justice de charger les fonctionnaires des provinces de poursuivre activement 1 interdiction d'e l'opium. Tous ceux qui cultiveront le pa\vot ou vendront et fumeront l'opium seront rigoureusement châtiés par les tribunaux. « Nous ne voulons pas que le nouvel Etat chinois continue à être la victime de l'opium. » L'AGITATION ANTIFRANÇAISE Londres, le 18 novembre. — On mande de Tien-Tsin au « Morning Post » qu'à la suite de l'extension de la concession de Tien-Tsin, l'agitation antifrançaise se développe. L'empressement des Français à ai river à un compromis est considéré,comme c'est toujours le cas en Chine, comme une preuve de faiblesse. La presse de Pékin mène une scandaleuse campagne antifrançaise. On devrait faire comprendre à la Chine que les promesses ne peuvent pas être violées et les envoyés étrangers insultés impunément. Le prestige des Européens est fortement atteint si une attitude très ferme n'est pas prise. Les agitateurs antifrançais terrorisent tous les Chinois au service des Français, ce qui cause beaucoup de difficultés aux' fonctionnaires locaux. Ils îavorisent le boycottage en. arrêtant les Chinois qui protestent.Londres, le 18 novembre. — Les journaux de Tien-Tsin sont optimistes ; ils espèrent que le conflit franco-chinois sera réglé dès que Vwitung Fang aura pris le portefeuille des AS aires étrangères. Dans l'entre temps, l'agitation antiff-ançaise continue à sf développer. particulièrement, à Tien-Tsin. LEÇONS D'AUTOS ECOLE DE LA MADELEINE Conduite auto. Brev. rallit. et clv_ garantis et rap. Rcns, grat. p. d'ém_ autorité millt., 29, rue Vii/non, Pwii "(8») Métro ; Madeleine. Nouvelles de la Pairie Belge Comment " ils "travaillent ù ia renaissance de l'Industrie belge LES REQUISITIONS D USINES, LE CHOMAGE FORCE ET LES DEPORTATIONS AU PAVS DE LIEGE Les « Nouvelles », de Maestricht, reçoivent d'un correspondant liégeois (les détails narrants sur la façon dont les Allemands, con-l'onnémAt au principe énoncé -par von Bis-sing, travaillent dans le pays de Liege à la renaissance de l'industrie belge. Voici cette lettre, qui est datée du lor novembre; nous supprimons certaines informations déjà connues de nos lecteurs : « Ici, à Liège, la vie devient triste, surtout depuis cette semaine, ...es Boc.ies se sont empares aes importants Ateliers de ia Meuse à Sclessin, des usines de l'Electricité du Paj s de Liege à iciessin, des Aciéries d'Angleur (dont le directeur M. Renson est en Ai.ema-gne depuis des mois et des mois), de la division ues locomotives de la Société Coclte-Charbonnages du Perron à Sclessin, du Bois riil à Seramg, des ateliers de la Société anonyme Léonard' Outils (Renier Poncelet), des d'Avroy à Saint-Gilles, etc., etc. C'est à pre se.it qu'il v a des chômeurs « ... Ici "à Liège on attend des troupes. A Verviers, on a prévenu également de leur arrivée. A présent Ans, Alilmort, etc. sont bondés de cette race. On a été voir jusqu'à Fon-tin (près d'Esneux) pour en loger ! «... Quand sera-t-on débarrassé de cette sale engeance ? Je ne comprends pas comment les pays neutres leur laissent taire tout ce qu'ils font ! K ... On nous rafle tous nos chevaux Le 26 octobre, ils ont réquisitionné tous les chevaux à Esneux La semalne~prochaine ce sera peut-être notre tour. <( ... A Liège, toutes les machines de la Compagnie internationale d'Electricité, quai de Coronmeu.se, ont été expédiées en Allemagne.« ... La semaine passée, les Boches ont réquisitionné 200 bateaux dans le canal et la Meuse, les forçant aux transports de graviers vers le front de Verdun. « ... On dit ici que les quatre villes, de Gand, Tournai, Charleroi et Mouscron sont « fermées » Personne n'en peut plus sortir librement, mais des rafles d'ouvriers et de jeunes gens y ont lieu fréquemment, qu'on emmène vers l'Allemagne. « ... Ce sont surtout les ouvj^rs travaillant dans la construction du matériel ue transport crue les Allemands recherc :ent, en ce sont les usines de cette sorte qu'ils occupent ou qu'ils ont fermées. Il y a des militaires en masse, r> surtout de1 la cavalerie, aux Aciéries d'Angleur et à Cocikerill. La semaine passée, une centaine d'ouvriers ap-pai tenant aux chemins de fer de l'Etat ont été rassemblés et conduits de force en Allemagne. C'étaient des machinistes, chauffeurs, mécaniciens, serre-frein, pointeurs, piqueurs, etc., etc. « Dans la journée de mardi (donc le 31 octobre, N. D. L. R.) ii est passé à Verviers, allant vers Aix-la-Chapelle, 18 longs trains remplis de civils, du Brabant et des Flandres, qui chantaient la Brabançonne et là Marseillaise ; fis allaient eux aussi au travail forcé, -et ils chantaient (pour se donner du cœur ! » LAÏÏS LE BHABAUT Avis aux collectionneurs Pendant les premières semaines de l'invasion, il se produisit, surtout dans-la campagne, une pénurie de monnaie \raiment moule. Pour parer à la situation la commune de Weisele en Brabant mit en circulation des oons' communaux de 2 centimes. Depuis longtemps, ces billets ont été retirés. Ceux qui subsistent encore sont aux mains des collectionneurs. Actuellement, pour obtenir un de ces chiffons de papier, il faut payer 4.50 frs., voir 5 frs Et la hausse ne s'arrêtera pas là. X dans le limbourg Les travaux allemands sur la canal et sur la Meuse Les Nouvelles reçoivent des détails intéressants sur les travaux effectués par les Allemands sur la rive gauche de la Meuse, juste en face de la plaine de la Gueule, un peu au nord du village hollandais d'Itteren, Près du pont du canal, dit Willèmsvaart, les Allemands ont construit un débarcadère long de 150 mètres. Du canal, une route de dix mètres de large a été créée, qui va jusqu'à la Meuse, où elle aboutit également à un débarcadère de 150 mètres. Sur les eaux de la Meuse, flottent actuellement plusieurs pontons en fer et en bois, ces derniers traversés de madriers qui rendent impossible leur usage à un transport de chargement quelconque. Sur la berge du canal et sur celle de la Aleuse, sont amoncelés un grand nombre de planches, madriers, poutrelles en fer, etc. Un petit Decauville, disposant de 4 locomotives et d'un grand nombre de wagonnets, conduit ces matériaux du cana'l à la Meuse, où travaillent activement un grand nombre d'ouvriers allemands. Les Allemands ont amené ces jours-ci à la Meuse, par pièces détachées et au moyen de camions automobiles, deux dragueurs. Mais ceux-ci sont de petit modèle et se trouvent impuissants, dès maintenant, par suite de la crue des eaux, à effectuer tout travail, leur éehel'.e de plongée étant trop courte. Les Allemands font courir le bruit que les travaux qu'ils effectuent ainsi sur la Meuse et le canal sont destinés à l'extraction de gravier qu'ils transporteraient dorénavant par le canal vers Anvers, Gand et au-delà, pour diminuer les frais de transport des chargements qui ont lieu à Maeseyck par vicinal. Mais les pontons qu'ils construisent sur la Meuse ne sauraient servir à aucun chargement et 'les dragueurs qui s'y trouvent sont inutilisables ! Il est d'ailleurs d'énormes réserves de graviers près du charbonnage d'Eysden, au bord du canal, auxquelles les Allemands ne touchent pas parce qu'ils n'en ont pas besoin évidemment. Les travav s de la Meuse et du canal doivent avoir une autre destination. Les retranchements et les positiens d'artillerie de Meche^en-Bur-Meuse Dans les bois, au nord de M'echelen-sur-Meuse, sur cette colline qu'on appelle !a dorsale limbourgeoise, les Allemands sont occupés à creuser de vastes retranchements. Il est sévèrement interdit aux Belges' de s'en approcher. Les paysans habitant la région ont été réquisitionnés avec charrette et cheval et conduisent journellement des quantités de blocs de béton, planches, madriers, etc., mais ne peuvent, sous aucun prétexte, arriver dans le voisinage des travaux. A une certaine dista'.ce, cheval et charrette sont repris par des Boches, qui les conduisent à destination, puis reviennent remettre au conducteur qui attend, l'attelage à vide. On prétend que l'ennemi creuse des tranchées allant de Medhelen à Eysden, puis obliquant vers Bourg-iLéopold, Hamont et Lommel. Ce qui est sûr, en tout cas, c'est que à Eysden, dans le coin délimité par la nouvelle route de MecMen à Ascii et celle de Meche-len, au charbonnage Limbourg-.Meuse, les Allemands ont installé sur la colline, d'où l'on découvre tout le magnifique panorama de la Meuse, de gros canons assis sur des bases jproîondes de béton. Au Charbonnage de Winterslag La vente de la houille à la houillère de Winterslag a pris beaucoup d'extension ces ierniers temps. La qualité parait être très bonne et de lieues à la ronde on vient en charger. La survalue des terres On peut se faire une idée des prix qu'on paye en ce moment pour les terrains par la vente qui s'est tenue dans la zone minière lernièrement à Looz. On a vendu en. vente publique un jardin qui, bien qu'il soit bien situé n'est pas du terrain à bâtir, grand d'une /erge (4 a. 36 ca.) pour la somme rondelette îe 4.000 francs. a liège Pour les enfants L'administration communale de Liège vient de décider l'organisation du goûter des enfants dans une série d'écoles du quartier Sainte-Walburg où la mesure a été jugée nécessaire. Ce goûter consiste en une miche de pain et en un bol de riz au lait. La dépense est éya'luée à 600.000 francs qui viendront s'ajouter aux 3 à 4 millions de francs que 'la ville consacre annuellement-, depuis la guerre, ù des œuvres d'assistance de l'espèce.. a TIHLÊMOlïr On répare Deux cents ouvriers Sont contraints de ravailler a réparer les maisons endommagées de Tirleinont. a anvehs La place forte va.t-elie devenir territoire d'étapes ? Il paraît que les Allemands vont) rattacher invers et son territoire à la zone des étapes; a métropole relèverait ainsi du commandant le la IVe armée, le duc de Wurtemberg. En cas de retraite, ia position fortifiée se-ait toute préparée à recevoir les troupes et effet moral moins important pour celles-ci. )éjà, tout autour de la forteresse, des tra aux défensifs ont été établis. Les Allemands ont gens de précaution. Ils préparent tou-ours le lendemain. Qu'ils ne soient pas eon-raints à la retraite, — le mal, pour eux, t'aura pas été grand1. Qu'ils y soient obligés, t voici les emplacements tout désignés pour eurs soldats, la ville prête à les recevoir, la tiême autorité militaire continuant à diriger administration. Ni affolement, ni encom-irement. Gouverner, c'est prévoir. Les Bo-hes essaient toujours de lire dans le futur. 1s se préparent au pire dans l'espoir du neilleur. DANS LE HAJîUKOIS Pour séduire nos compatriotes Le gouverneur militaire de la place de Na-nur, le baron von Hirschberg, publiait, il y i quelque temps, un arrêté disant « que tous es habitants de la province qui ont des pa-ents appartenant à 1 armée belge et qui se rouvent prisonniers en Allemagne, pou-'aient adoucir leur sort en adressant une equète au ministre de la Guerre à Berlin, a ;ondition toutefois qu'ils puissent prouver [u ils continueraient à accomplir des actes néritoires en faveur de la cause allemande! » C'est ce que le .sieur von Bissing et ses ions-ordres appellent respecter les sentiments mtriotiques dû peuple belge 1 Le passage des trains de blessés Depuis le début de l'offensive sur la 5omme, les gares dii pavs namurois sont incombrécs de trains transportant du maté-•iel mià hors d'usage Les trains ornés de a Croix-Rouge sont également trè« nom-ireux. Ceux-ci circulent principal f snt la luit, afir de cacher aux populations les per-es subies par les armées allemandes aux srises avec un matériel et de troupes supérieurs aui leurs. Mais rien n'échappe au seUple belge, qui finit toujoms par être pectateur Je ces transports lugubres mai3 mcourageants. a vekviees Caviar significatif Un éditeur verviétois ayant eu l'idée de publier un, recueil dés arrêtés et placards des Allemands, la censure boche a caviaidé les affiches où pouvaient se lire des menaces de bombardement ou de pendaison. Geste significatif, mais tout à fait inutile : les textes reniés ne Sont pas perdus. Les e-ports Le football fait fureur. Quand le Daring vient, par exemple, il y a aohue au terrain de Stemibert. L'œuvre des jardins Nous avons déjà parié de l'œuvre des jardins potagers qui a permis aux sans-travail le transformer tous les terrains incultes en terre de culture. Tout cela est fait avec goût st l'asipect n'est rien moins que joli. Le grand ierraia, plein de décombres de la rue Neuve i Dison, par exemple, a étié tout défriché. Même chose à Wegnez-Andrimont, route de Stemibert. Là, près de la caserne, les Boches mt réservé un coin pour y planter des tournesols dont ils ' extrayent de d'huile. Comme, un jour, on est allé les leur détruire, cet enclos est maintenant gardé par une sentinelle. nouve-les de partout Nécrologie On annonce la mort de -, — AI. François Pauwels, décédé 143, rue îaute à Bruxelles ; — Al. G. Verbist, décédé à l'âge de 75 ans, ue du Prince Royal à Bruxelles; — M. Félix Sax, chevalier de l'Ordre de .éopold, décédé à Bruxelles, avenue de la leine dans sa S'S0 année; — Sir James R. Freeling, décédé a Bruxel-es, avenue Louise 414, le 1er novembre; — M. François Léonard, bourgmestre d'Heu-•e-le-Romain, né à Soheit-Tinlot le 25 novem-jre 1838, décédé à Heure Je 27 octobre. On ;e souvient que M. î^eonard fut arrêté par les Allemands quand ceux-ci envahirent, et incen-fièrent la commune en août 1914. Seulement ?e fut son frère, qui pour épargner à son lîné les terreurs barbares, se présenta à sa Dlace comme otage. Le sublime subterfuge ■éussit. Le frère fut martyrisé puis assassiné, ivec AI. le curé Janssens, tandis que le bourg-nestre véritable restait en liberté; — Mme Vve Ch. Thonet, née Erpicum, dé-;édée à Lîêge à l'âge de 85 ans; — Mme Vve Jos Aselîïo, née Jossay, décé-lée à Flémalle-Haute, le 29 octobre à l'âge de Pô ans; — M. Charles Dordu, traceur-surveillant à 'administration des Télégraphes, décoré de l'Etoie de service du Congo décédé à Liège 1 44 ans; — Mme Fern. Kerstenne, née Marie Willem, décédée à Ans à 24 ans; .— M. Guill. Vossc, industriel, chevalier de 'Ordre de Léopo'd, ancien président du tri- ' rarial de Commerce de Verviers décédé dans sa Ci® année. ^ LIVRE D'OR DE L'ARMÉE BELGE les croix de guerhë par actions d'eclat 1" DIVISION D'ARMEE (Suite J Ont reçu la croix de guerre ; Vanden Meule, IL, officier auxiliaire ; Molle, J., lieutenant ; Everaert, A., olficier auxiliaire ; Pennynck, H., soldat ; Deieu, P., sergent ; Bonnenge, N., soldat ; Vil et, F., soldat ; Roue, A., soldat ; Bongrain L., soldat ; Die-Rouge, A., soldat ; Bongarin, L., soldat ; Die-A., sergent ; Schc-pens, H., médecin adjoint ; Falion, V., aumônier adjoint de 2° classe ; Debersaques, J., officier auxiliaire ; Decour, J., sous-lieutenant ; Dony, C., soldat ; Dene-perinck. T., officier auxiliaire ; De Mesteg, gent ; Mortier, A., 1« sergente; Verlacken, G., 1er sergent»; Lecocq, L., caporal ; Delievyne, E.. soiaat. ; Dasnoy, R., soldat ; Vanmaele, P., soldat ; Bossu, P., maréchal des logis ; Vol-kaerts, P., caporal ; Richer, A., caporal ; Ja-weth. H., adjudant ; Rysenaer, M., 1er ser-sen, A., soldat; Boudeweyns, L., soldat. Deleuze, L., lieutenant; Pieters, Al., sous-lieutenant de réserve; Bonduelle, J., ser. ?ent; Larmuseau, J., maréchal des logis; Va-nesse, O., brigadier; VâM.'pnao^s. F.. ^ 1nt; Coppens, G., soldat; Champagne, P., clairon; Dugardvn, P., maréouai ues .-^îs; vlu „a' Brugghen, C. (baron), maréchal des logis; Perraut, V., capitaine commandant: Ossola, R., sous-lieutenant; Snoy, R. (baron), briga-lier; d'Ouitiremont, P. » (comte), brigadier; Scheyven, V„ brigadier; Withoî, P., soldat; Delvaux H., maréchal des logis; De Beir, P., lumônier adjoint de 2e cilasse; Ponsard, R., sergent. Lambert A., général major; Hougardy, j., lieutenant-colonel; Istasse, O., capitaine en second; Couppez, E., major; Vanniesbecq, A., najor; Dinoire, G., major; Vlieghe, P., sergent; Brûlez, R, soldat; Vogels, A., soldat; Srabants, P., aumônier adjoint de 2e classé; Haegeman. L., officier auxiliaire; Dugniolle, F., major A. E. M.; Wauthier E., capitaine Commandant; Verloove, O. capitaine com-nar*lant,; Jamar E., lieutenant; Legrand, G, ieutenânt; Berg H., lieutenant; Mathieu, M., sous-lieutenant; Groenendaels, W., sous-lieu-«nant; Le Brun, L., sous-lieutenant; Vandets-ocik F., officier auxiliaire; Pascal, L., ca-yitaine commandant; Debruyn C., capitaine >n second; Sidders, J., capitaine comman-lant; Rollin P., capitaine commandant; Has-iebrouck H., sous-lieutenant; Cypers G., ®us-lieutenant; Behturck, T., capitaine com-nandant; Van Boxelaer, P.. lieutenant; Lie-lard G., sous-lieutenant; Fonteyne O , sou.v ieuténant. Stacquet-, H., major A. E. M.; Wacquez, \, capitaine commandant; Van Vlierber-;hen, L., capitaine commandant; Barthe-emy, L., capitaine commandant; Swarth, î., capitaine commandant; Nazy, M., capi-aine commandant; Vah der Cruvssen, M., apitaine -commandant; Lekeux, H., capi-aine en second; Stoops, R., lieutenant; Mas-art, L., sous-lleutanant; Demeulemeester, sous-lieutenant; Marée, L., sous-liêTTte-îant; Speybroeck, A., sous-lieutenant; Bau-lour. F., sous-lieutenant; Van BeVereh, J., ous-lieutenant; Knapen, M., capitaine com-nandant; van der Burgh, G. (comte), lieute-lant; Halleux, A., lieutenant; Knapen, J., ifflcier auxiliaire ; De Hollain, A. (écuyer), capitaine com-nandant A, E. M.; Rothermel, G., capitaine commandant ; André. L., capitaine coinman-lant; Adant, A., médecin auxiliaire; Van-lerschelden, E., médecin auxiliaire ; De îrouwer, C., capitaine commandant A. E. d.; Bytebier, L., capitaine commandant; ,'Heureux, F., capitaine commandant; Strea, ■\. capitaine commandant; Dewinckelaere, ] r sous-lieutenànt; Michel, A., lieutenant de vaérve; Bacques, J., capitaine commandant; Heoq, F., capitaine commandant; Lelive, H., sous-lieutenant; De Veirman, F., médecin îuxiliaire; Cassiers, J.. capitaine en second; le Menten dei Horne, C. (baron), capitaine ;ommandant. 2° DIVISION D'ARMEE Drubbel, H.-I.-J., lieutenant-général ; Mei-nertzhagen, H., soldat-infirmier; Ogg, J., capitaine commandant ; Genette, A., caporal ; Versohueren, C., officier auxiliaire; Hanssen, E., soldat; Patron, A., 1er sergent; Barriat, S*., capitaine commandant; Romedenne, E.-A., capitaine commandant; Deguent, C., sous-lieutenant de réserve; Mertens, V.-A.-L., capitaine commandant A. E, Al.'; Lemaire, L., lieutenant; De Buck, A., sergent; Meeus, A., officier auxiliaire; Van Bever, A., major; Hary, D.-V., capitaine en second; Suy, E., 1er sergent'; Hunez, E., sergent; Cuisset, L., adjudant; Cortvriend, G., caporal; Gosselin, P., soldat; Lenoir, J., caporal; Dossin, E., lieutenant-général (pensionné); Evrard, L., lieutenant-colonel ; Ba-ioux, E., capitaine commandant; Tilmah, G., capitaine en second; Cosyn, C., capitaine en second; Jacquemin, H., sous-lieutenant; De-jongh-Dewyngaert, E., lieutenant; Raeding, caporal; Schmit, V., adjudant; Binamé, C., élève de l'Ecole militaire; Pollet, C., 1« Sergent-major;Deloihbe, H., colonel A. E. M.; Coppéjans, I., colonel d'E. M. ; Hamer, G., capitaine commandant; Chenot, G., major; Thonard, P., major; Demoor, A., médecin de bataillon; Flameng, F., médecin adjoint; Vissers, F., 1" sergent; Gilllon, C., soldat; Verbist, C , officier auxiliaire ; Cession, G., soldat ; Wauthier, P., brigadier; Mattagne, M., lieutenant; Deman, F.-L., officier auxiliaire; Chevalier, V., maréchal des logis; Gobbe, A., maréchal des logis; Deîplancke, F., soldat; Frans, F., lieutenant; Schimpe, R., caporal; Bulterys, O., caporal ; Desmedt, A., capi-;aine commandant ; Joassart, F., sergent ; peguent, C., capitaine commandant A.EjM.; rhys, R.-E.-G., capitaine en second de réserve; Steffens, H., sergent; Jochen, C„ servent; Croeninckx, A., lieutenant-payeur; Calle. P., captaine en second ; Lernoux, A., jfflcier auxiliaire ; Cens.er, D., lieutenant de gendarmerie ; Pontus, R., major A. E. Al. ; Je Waegemacker F., brigadier brancardier ; .ucas, F., maréchal des logis fourrier ; Ru-vet, L., capitaine commandant ; Lebrun, L., capitaine commandant ; Alartin, F., soldat ; .Vauters G., soldat ; Cornelis H., soldat ; )eroover, J.-B., adjudant ; Pauls, Eu, sergent; 3revost, A., soldat ; Lequare, J., soldat ; Van, }., capitaine commandant ; Colson, C., sous-leUtonRnt ; Delfosse A., major ; Dubois, V7., oîflCier luxiliaire ; Bayet, F., sergent ; Riffaut, V., ergent ; Wathe, G., caporal ; Marquet, J.. sol-lat; Perpeet O., soldat ; Streetz, J., adjudant; 3uerts, A. soldat; Hens, F. adjudant; Pehiels caporal; Tomballe, D„ caporal; Wilmain, l., soldat ; Slabefski, C., soldat ; Vangelde-■en E., soldat. Galliausen J.,, colonel A. E. Al..; Populaire, :, major ; Hayen. A., capitaine commandant; *inquet E., capitaine commandant ; Six, H., apitaine commandant ; Pierson, L., capitai-îe commandant ; Fritsch, J., capitaine en se-ond ; J&coby, J., capitaine commandant ; laujean, E., capitaine cri second ; Deramaut, lieutenant ; Tahon, A., lieutenant, de ré-lerve ; Debaisieux, G., médecin adjoint ; De-vilde. A., offici°r auxiliaire ; Marchand, P., ifficie'r auxiliaire ; Gustin, E., soldat ; Stric-;aert, H., soldat ; Gooris, A., maréchal des ogis ; Boulanger, M.. 1" sergent; Palente, R. canonnier ; Comille, J„ canonnier ; Gil-oii, J., canonnier ; Vlaeminck. J., sous-lieutenant; Delvaux, F., capitaine cm second; Aîichaux, C<> lieutenant; ^abens. G., lieutenant; Buvs, M., maréchal les logis; Couronne, A. brigadier; Ambroes, R., soldat; Broche, G„ sergent; Leblanc, J., Dfflcler auxiliaire; Herbette, L. soldat; de Bivort, H., sergent; Peeters, R., sergent; Boo-ne, C., caporal: Cochet J.-B. soldat; Decos-;er P., soldat; Van Gastel, L., soldat; Devle-saver W., brancardier; Guérin, E. sous-lieu-enant,; Ruelle, C., soldat; Devaux, F., servent.Verschelden, J., abbé aumônier adjoint de £ classe; Fronviile G., médecin adjoint; Se-bille, 'M., adjudant: Decrée, A.; brigadier; Braun, AI., lieutenant; Van Haesenbroudk, sergent; Bailleux, L.. serrant: Boucknert.' f.. adiudant: IWlercq, H., soldat. Sehviiir^ [J., soldat; Mortier. A soldat; Verolleman J., soldat; Honnay, H,, lieutenant rie rô^rve. (A suivre.) ';OMPSGME M&TION4LÊ D£ îaîisres colorantessProduits ÉinipEs I Socitié anoDTfce eu farnatica ao capital de 40 3)Iiioas de traoo divisé en 80.000 aclions de fr. 500 chacune dont 20.000 5nt souscrites par les industriels formant le groupe fondateur. I Émission da 60.000 actions it fr. 600 cbacumt 'rué D'Émission : Fr. 500 à verser comme soif ? I !• îe premier quart, soit fr. 125. eu soascrimt ; S* Les trois autres qoarts, lors de la rrf»rlitico, da 2 aa S taèakl» 13'Ê a souscription sera ouverie le Mardi 21 novembre 1916 I ET CLOSE LE MÊME JOUR i BANQUE DE PARIS ET DES PAYS-BAS, 3, rue d'Antin. BANQUE DE BORDEAUX, S, nie Chauclial. BANQUE FRANÇAISE p' le COM. et l'INDUST., 47, rue Scribe. I BANQUE DE MUuHOOSE, 5, rue de .. Pati. BANQUE NATIONALE DE CREDIT, 20, rue U Pehtier. BANQUE DES PAYS DU NORD, 2S blf, avenue de l'Opéra. BANQUE PRIVEE (LYON-MARSEILLE), 30-32, rue Ulfilte. BANQUE SUISSE ET FRANÇAISE, 20, rue Lafayetle. BANQUE DE L'UNION PARISIENNE, 7, me Chauchat. COMPAGNIE ALGERIENNE, 50, rue d'Anjou. COMPTOIR NATIONAL d ESCOMPTE ie PARIS, /i,rue Bergère. I CREDIT ALGERIEN, 10, place Vendôme. CREDIT FONCIER d ALGERIE et de TUNISIE, 43, nu: Cambon, I CREDIT LYONNAIS, 19, boulevard des Italiens. CREDIT MOBILIER FRANÇAIS, 30-32, rue Taitbout. SOCIETE GENERALE, 29, boulevard Uaussmann. a SOCIETE N ANCEIENNE de CREDIT INDUSTRIEL et de DEPOTS Dans les Départements : 1tx succursales et .iCK.vccs' des mêmes Établissement» I oute souscription devra etre accompagnée : 4° D'un bulletin signé par le souscripteur ; 2° Du versement de 125 francs par litre, représentant II montant du premier quart par action souscrite. ;s bulletins de souscription sont tenus à la disposition def souscripteurs aux guichets des élablisssoments ci-dessus. >s souscriptions sont reçues dès à présent par corresponda&ci mais pour un minimum de 10 actions. Les Souscriptions par Listes ne sont pas admises. le nombre des actions souscrites dépasse celui des 60.000 actions mises en souscription, il y aura lieu à répartition et à réduction proportionnelîe. Au cas où le nombre dr>9 souscripteurs dépasserait celui des actions mises en souscription, il n'y aurait lieu qu'à des attributions unitaires, lesquelles seraient servies ronrttrrenre du disponible et dans l'ordre où les souscriptions auront été reçues Les formalités de constitution de la Compagnie seron-remplies aussitôt après la clôture de la repartition. Le publications rpqniscs par la loi ont été faites au Bulletin da xnonces légales obligatoires du 13 Novembre 1916. Les formalités nécessitées par l'application des dispositions lé?i3la-•es spéciales, notamment de la loi du 31 mars 1916, ont été dùrnsnfl complies. 1 un !■ 11» 1 il ■■■ Il III Tflllllll IIIIMflU | | HIIHI— -» BANQUE BELGE I L. VAN WYNÉND4ELE, d'Ostenda 6, Rue de la Victoire, PARIS Achats Titres, Coupons,(Chèques, Monnaies étrangères "HYGIENE") I de la TOILETTE S I Pour assainir la bouche, raffermir les I gencives, fortifier les cheveux, pour les | ablutions hygiéniques, pour le lavage! des nourrissons, etc., il est recommandé 1 ■ de faire usage du Coaltar Saponîné le Beuf I qui possède les propriétés s itisep-'tiques et détersives INDISPENSABLES! iaux produits destinés à ces usages, qualités qui lui ont valu son admissior dans les Hôpitaux de Paris. DANS LES PHARMACIES L Se méfier des Imitations. ££3 que son Succès à fait naître. |0r «B[EOMMâitES§llS[S I GRAMME YA&ÉnriB 14, Rae £d.4aruf ip es la place de l'Hôtel-dc-Vilie LE HAVRES -» « c ■ restaurant a toute heure Salons pour réunions et banquets 15 BIL1 AKÛS FRANÇAIS et ANGLAIS Cordonnerie biSMOULiNS I \SOTRE SÉRIE IIVSPERIVSÉABLE doubla semelle SPÉCIALITÉ EN CAOCÎCHOOC GUÊTRES, ICLLBTSJLS. » I S e/o de remise aux Réfugiés Distribution de Timbres du Commerce Havrais 11, Rue Thiers — Télép. 10-33 I.E HAVRE NOUVEL HOTEi11 82. Rue de Pans-Havre Confort moderne Chauffage Central g Chambras Rlpolin, Électricité Cuisine solgaée ? KOI BÎSÎÂHàSr isjus 100 !f. FJU COlFiiÈTE dep. 1801t. CHAMBRES depuis 45 fr. par mois — ËVOLHK SPOKK.V — A FÂIDHERBE I A. JOHANNES & C' 14, rue Thiers, L.& HAVRE Exposition et mise en vente des Nouveautés de la saison — AUTOMNE-HIVER — Vêtements sar mesure et tout faits pour Bomm'S, Jeunes Gens ei Enfant* Maçnifi<iue assortiment en Chemiserie, Bonneterie. 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Cet article est une édition du titre Le XXe siècle: journal d'union et d'action catholique appartenant à la catégorie Katholieke pers, parue à Bruxelles du 1895 au 1940.

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