Les nouvelles: journal belge quotidien publié à Maestricht par un groupe de journalistes liégeois

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s.n. 1917, 14 Octobre. Les nouvelles: journal belge quotidien publié à Maestricht par un groupe de journalistes liégeois. Accès à 01 mai 2024, à https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/fr/pid/jm23b5x99z/
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i I I jè | I I H ! , / ' | Ù À •■/'" 4e Année N° 51 & 52 5 cen Dimanche & Lundi 14 & 15 Octobre 191/ • » ' ABONNEMENTS HOLLANDE: 1 florin par mois 2.50 fis. par 3 mois FRANCE : 3.50 frs. 1 | par mois ANGLETERRE : 3 sh. ) Journal belge fondé à lVhestricht en août 191< par un groupe de journalistes liégeois ______ Rédaction et Administration: Plce S4 Amor, 16, Maestricht Téléph. intef, n° 417 % ANNONCES PETITES ANNONCES 3 lignes: 30 cents La ligne en plus: 15 — RECLAMES La ligne: 25 - Réclames permanentes à forfait f La Vérité sur le traitement des civils allemands de l'Est Africain Le Neue Zurcher Zeitung consacra un long article à. la déportation des vingt coloniaux belges et à l'internement par le gouvernement belge des civils de l'Est-Africain allemand. Quatre points y sont traités; : 1. Le gouvernement belge retient sans droit les civils de l'Etat Africain aUet-mand. C'est la raison pour quoi le gouvernement impérial a déporté en Allemagne vingt coloniaux notables belges. 2» Contrairement aux témoignages" produits par le gouvernement belge les interné© civils de l'Est Africain allemand firent un voyage à, travers le Congo dans le® conditions les plus pénibles. 3. Les troupes belges à leur entrée à Haibora ont commis les actes1 les plus1 a-bominiaibles.4. A Tabora, les prisonniers allemands furent soumis par les Belges à un régime, inhumain. Reprenons cliaeun de ces .pointa 1) Internement des civils de l'Est Africain allemand Pourquoi le gouvernement beige retient-il des civils die l'Est Africain? La raison en est très simple. C'est pairce que le gouvernement allemand continue à conserver dans sesi camps des millieirs de civis belges, dont beaucoup die femme» et d'enfants, qu'il a sans droit déportés de Belgique dans le seul but de. terroriser la population. Le gouvernement belge à, l'artriirvée en France des premiers convois de civil® allemands ramenés de l'Est Africain, a proposé au gouvernement aiemand de libérer de piart et d'autre ces victimes innocentes de la guerre. i Le gouvernement impérial, après avoir déclaré prendre en considération cette proposition dont l'esprit humanitaire ne peut échapper à pensionne, a subitement rompu les négociations et s'est imaginé faire „chanter" le gouvernement belge. Il s'est trompé. Le gouvernement belge veut bien être bon, mais pas dupe. Malgré tout le gouvernement belge a maintenu sa proposition et, si le gouvernement allemand veuit faire libérer ses nationaux, il lui suffit d'y souscrire. Maie personne ne comprendrait que le gouvernement belge renivoyât en Allemagne les civils de l'Est Africain allemand, quand le gouvernement allemand a refusé de faire un geste correspondant vis-à-vis des Belges qu'il détient, en partie, depuis le but de la guerre. 2) Voyage de retour — Mauvais traitements L'aujbeur de «et article rejette le témoignage de. ses compatriotes. Ce n'est peut-être pas très flatteur pour ceux-ci. En tout cas, il y aurait moyen de projeter sur cette question la lumière la plus complète. Ce moyen le gouvernement belge l'a depuis longtemps offert au gouvernement allemand; il concuste à dédègue<r un représentant d'une puissance neutre pour faire enquête sur les reproches adressés au gouvernement belge. Pourquoi le gouvernement impérial s'il est si certain de ses affirmations n'a-t-il pas accepté? Nous croyons savoir que le gouvernement belge offre encore miaiin-I tenant cette enquête et que son désir est ■ i de lui voir donner toute l'étendue que I comporte le sujet; car il a la conscience tranquille et ne redoute pasi la vérité. L'auteur de l'article, pour étayer sa H ' thèse, rapporte quelques faits que lui H aurait communiqué un témoin occulai- ■ I re, et il fait allusion à, des plaintes col- ■ i laotives, qui auraient été remises au gouvernement par un certain nombre H 1 d'internés1 civils de l'Est Africain. C'est dommage aussi qu'il ne cite pas le nom de ce correspondant, mais nous ne sériions pas surpris d'apprendre qu'il H faisait partie d'un de ses groupes d'of- \ ficiiers qui pendant le voyage de retour soulevaient incidents sur incidents et ex-A citaient leurs compagnons à se plaindre à tout propos et en dehors de toujt pro pos. Ces manœuvres onit été dénoncées pa. deux prisonniers d'origine suisse, don le témoignage ne peut-être récusé. MM Georges et Striner : „Au cours de moi voyage, disait Mr. Georges, je n'ai si qu'à me louer du traitement reçu de 1< part des Beiges et j'ai refusé de signe des déclarations écrites concernant li traitement, que je considérait cornnw mon fondées' et qui m'étaient présentée; par le nommé Gesterhoff, qui agissait paraît-il, sur les. ordres du premier lieutenant Paulsen. Le nommé Spuidai, compagnon de cabines, nous apostropha d'une manière blessante parce que nous a-vions refusé de signer." ^Pendant le voyage vers la France dit de son côté Mr. Striner, les soldats en les officiers réclamèrent souvent, et 1( plus souvent cas réclamations1 n'étaien pas fondées1. A l'exception de Lukuga, k nourtriltucre était bonne partout, on pourrait presque dire tout à fait supérieure La conduite des Allemands fut peu digne pendant le voyage " Pour ne pas aigrir à l'excès ce® polémiques, nous ne reproduirons pas en entier les1 déclarations' de ces deux prisonniers, dont l'honnêteté foncière se révoltait devant l'attitude ides Allemands è qui le sort des armes les1 avait liée. Mais si les coryphées du gouvernement impérial continuent à montrer un zèle excessif, nous reproduirons ces déclarations, et nous pouvons assurer que ce jour là les. Allieamandiî en .ftanisie, nie -SfiMMTt p<£K très glorieux. Au reçu de la déclaration: collective à, laquelle l'article fait allusion le Gouvernement Belge prescrivit une information. Son but était double: connaître la vérité et châtier les coupables, s'il y en avait, car ordre avait été donné partout de traiter les. Allemands ramenés en Europe selon les lois de l'humanité. Le résultat de cette information est connu. Le résultat n'était qu'un tisisiu de mensonge. Les preuves 'en seront é-ventueiiement communiquées au délégué de la puissance neutre qui sera chargé de l'enquête sollicitée par le Gouvernement Belge. S) Atrocités commises par les troupes belges à leur entrée à Tabora Personne ne pouvait mieux savoir oc qui s'est passé en cette circonstance que le secrétaire 'du gouvernement allemand Otto Weber, chef du district de tabora au moment de la prise de cette ville» Ci voici ce qu'il dit des événements en question. Sa déclaration est signée de sa main, le texite est en allemand: „J'étais à I)aboria au début de la guerre et j'y sais toujours resté. Personnellement je n'ai pas eu à me plaindre des troupes belges, lors de leur entrée à Tabora. Cependant comme chef de district je tiens à. dire que des plaintes me sont parvenues au sujet die la conduite de troupes belges à Tabora, et j'ai constaté personnellement les dégâts qui avaient été commis1 dans la maison de Mme Hoorn On m'a aussi raconté qu'une boucherie a.Tait été saccagée par des Italiens le jour d6 l'entrée des Belges à Tabora, mais je n'ai pas pu vérifier ce fait. Dans une autre maison, la gaze placée à .l'extérieur élait déchirée à. coup de baïonnette. Je n^ puis: certifier si le® faits qui m'ont été signalés ont été commis par des sêdkts belges, niais c'est mon opinion. jTouisi ces faits ont été portés à, la connaissance du général Tombeur et au habit de deux jours tout était rentré dans le calme". Il faut convenir que tout cela laisse bfen loin le® atrocités d'Aersehot, Lou-vain^ Termonde, ou Andenne. 4) Traitements des prisonniers allemands à Tabora Rien n'es,t plus simple que cette, ques-tiin. Par une fortune assez rare au ocims de cette guenne, les Belges trouvère it en 'entrant victorieusement à Tpho-ra unie organisation pour prisonnier toite prête; c'était celle que les. Allemands avait créée. Ils n'eurent que la pene de délivrer les hommes capturés i eiepn. inter n° 41 / par les troupes lallemtos et de mettre a leur place leurs prres prisonniers ; et comme .ce présiden célèbre, ils au-t raient pu dire à ceu.4i dont plusieurs la veille étaient ence leurs: geôliers: i „Messieurs, la sioéamicttontinue!" Aux i geôliers devenus ià leutour prisonniers1, i les Belges appliquèrell le règlement é-laboré par les ALlermaas1 et dont le texte > était encore affiché dis les locaux; il i réglait le. régime du <mp, la nourritu- > re, les installations etj 11 y eut cepen-, dant quelques ehangerïnts, car le régime mis en vigueur pj1 l'administration allemande était si rigpeux que l'esprit d'humanité des Belgi se tévollta à la •,, pensée de le maintenr intégralement et on en élimina plusjurs dispositions. Nous citons pour mâoire le travail ; ignoble de la vidange p fosses d'aisan-! ce que les blancs, pionniers des Allemands1, étalent obligés d'accomplir sous . la risée de la populaton de Tabora. Peut-être le région» resta-t-il encore assez sévère; mais paument 'les Allemands pourraient-ils n faire grief aux Belges? Quelques Ulemanids beaux joueurs, le surent econnaître. Voici comment s'exprimait j ce sujet, dans son carnet de route, liilemand Warner: „Du reste, les Belge, ne nous traitent, pas plus mal que nus n'avons traité leurs prisonniers. Coime il a été déjà dit, des faits' bien trjatjs se sont produits ici. Je note les faits -savants paroequ'ils démontrent les situai ans dépeintes précédemment:1. lu, cdituxlbin où j 'Ci.1 i.~, VJ'Ul clc enfermés ensemble ies Anglais^ des Français, des Belges, femmes et hommes, ainsi que des nirs et 18 enfants sans que la facilité d sortir pour satisfaire à leurs besoins leur fut accordée. Ce n'est que plus tar< que les noirs- furent séparés1 des, blajcs et les hommes des femmes; 2. Une dan» prisonnière demande l'autorisation de pouviir sortir du camp parce qu'elle était sui le point die devenir mère; cette autoisation lui fut refusée;3. Un prisonnier de guerre anglais était au lit avec 40° le fièvre; le .surveillant du camp lui (.donnai 'de se lever et l'obligea de rester Jans la cour malgré la forte chaleur d midi. Il avtait auparavant versé un soau d'eau dans le lit du malade. „Ces faits m'ont ét< rapportés par un prisonnier de guerr anglais nommé Darling; celui-oi devint par la suite notre surveillant et noua a réellement bien traités. „Si des faits si. trises ne s'étaient pas présentés pendant q«> nous étions les maîtres ici, nous' aurons pu prétendre à un meilleur traitemnt et nous devons faire maintenant ce que nos prisonniers ont dû faire. „Mea culpa, me a cllpa, mea rnaxima culpal 1" Nous .aurions emcor d'autres pièces1 à verser au dossier à c sujet, notamment une déclaration du d -.«teur Noestna, un médecin allemand, c.ii fut attaché au camp et qui rend hoi image à la bonne tenue de celui-ci pair les Belges. Mais pour cela il faut l'en [uête que le Gouvernement Belge réclame aviec tant d'insistance.Allons Messieurs les Allemands1, acceptez l'enquête où ... taisez-vou» ! Les traîtres à l'œuvre Les flamingants sévissent à Malines contre les fonctionnaires fidèles à l'unité belge et adversaires de la séparation administrative. Pour avoir fait preuve de dignité et de fermeté de caractère, M. Ha-mels, préfet des études à l'Athénée, est mis en disponibilité, et M. Lambert, professeur de commerce, est déplacé à Tournai.A l'école moyenne, le directeur M. lloe-kenooghe est également remplacé. Par contre un traître notoire Herman Bsccaert vient de recevoir les trente deniers de Judas. Il a été nommé par les Allemands au poste de chef de division au ministère des sciences et des arts. * Nouvelles du Pays A BRUXELLES Jurisprudence de guerre Les faillites sont rares en ce moment. C.omme le proclamait dès le 8 juillet 1915 le tribunal de commerce de Liège les tribunaux doivent se montrer très circonspects pour prononcer la faillite d'un commerçant qui n'a rien à se reprocher. Une gêne momentanée ne peut être assimilée à l'état de cessation de paiements justifiant une demande de mise en faillite. Et le 3 mai 1916, par un arrêt que la Pasi-crisie a reproduit intégralement 1915-16, II, 232), la Cour d'appel de Bruxelles a donné aux magistrats consulaires une indication précise : — Doit être déclaré en faillite le commerçant, solvabie ou non, qui a cessé ses paiements. Mais cette cessation doit être assez générale pour ébranler son crédit et mettre sérieusement en péril les droits de ses créanciers. Dans l'appréciation par le juge de cet état de pur fait, il y a lieu de rechercher si la cessation de paiement est la conséquence d'une désorganisation profonde de la vitalité commerciale, ou s'il n'y a qu'une suspension momentanée résultant de circonstances exceptionnelles et temporaires qui frappent tous les habitants du pays,telles que la guerre déclarée le 3 août 1914. 8i dîtus la période qui a piécédé immédiatement la guerre, une société, par exemple, paraissait vivre d'une existence normale et régulière et si les embarras sérieux ne se sont produits que postérieurement au 4 août 1914, et à raison des événements amenés par la guerre, la cessation de paiements ne revêt pas les caractères voulut par la loi pour constituer la société en état de faillite. " Au Palais A la Cour d'appel, la charge de premier président, qui était assumée par M. Faider est remplie par M. Lévy-Morelle. Les trois places de président, qui étaient occupées par MM. A. deRois-sart, Diercxsens et de Beaufort, le sont actuellement par les conseillers Meureth à la Ire chambre, Eeckman à la 3e chambre et de Leu de Cécil à la 5e chambre. Au parquet de la Cour d'appel, c'est M. Jottraud, premier avocat général, qui remplace M. de Prelle de la Nieppe. Au greffe de la Cour d'appel, le greffier en chef, M. Ch. de Roissart, est remplacé par M. Klinhers. Au tribunal de Ire instance, la place de vice président, occupée précédemment par M. Drion, est dévolue à M. le juge Berger ; il manque un juge depuis le décès de M. Clasens. Au parquet du tribunal de Ire instance, il manque un substitut du procureur du roi en remplacement de M. Rasse. Au tribunal de commerce, depuis le décès du président, c'est M. le vice-prési-dent Ponchon qui préside intérimaire-ment. Il manque deux référendaires adjoints, en remplacement de MM. Mulkay et Laitem ; un avocat, Me Jacobs assume actuellement les fonctions de référen-diaire adjoint. Les adoptions de prisonniers Depuis quelqaes jours l'œuvre de l'Adoption, par l'intermédiaire surtout de la Caissette du Soldat Belge, a pu inscrire la cinq millième adoption effectuée depuis le mois de juin 1915. Les falsifications Pendant les neuf premiers mois de l'année 1917, le service spécial de surveil lance de la vente des denrées alimentaires a procédé à la vérification de 3,000 échantillons suspects,qui ont été soumis à l'analyse. Sur ce nombre, 174 ont été reconnus falsifiés par mouillage et par écrémage Parmi les échantillons falsifiés, il y en i deux qui contenaient 75 0/o d'eau. D'au très contenaient dé 60 à 40 0/o d'eau. Le laboratoire intercommunal, d'autn part, a procédé pendant le même laps d< temps à la vérification de 1,600 échantil Ions, dont 287 ont été reconnus falsifiés. Le service a procédé aussi au prélèvement de 99 échantillons- de denrées de toute espèce, dont 48 ont été reconnus falsifiés. La bibliothèque de Théo Hannon Une vente sensationnelle ra avoir lieu à Bruxelles. On va vendre l'admirable collection de Théo Hannon, le regretté artista et littérateur, dont la plupart des livre* sont dédicacés de la main de leur auteur, et de sa collection d'autographes, au premier rang de laquelle figure une correspondance de Félicien Rops. A LAEKEN Un violent incendie Jeudi entre midi et 1 heure, le feu a pris dans l'usine de M. D'Heyer, rue du Pannenhuys,14,à Laeken.L'incendie s'est déclaré au premier étage, dans un local servant de séchoir pour la fabrication des légumes secs. Les flammes se sont rapidement propagées. Les dégâts occasionnés sont évalués à la somme de 40,000 fr. Au Conseil communal Le Conseil communal de Laeken s'est réuni mercredi après-midi. Le Conseil rejette les ind*mnités de vie chère sollicitées par le personnel professoral de l'Ecole de musique, de l'Ecole industrielle, par le personnel intérimaire de la commune et par diverses autres personnes. Par contre, il accorde un subside de 15,000 fr. à l'Œuvre du vêtement, un autre subside au Réfectoire Elisabeth, etc. A propos de la nomination d'un professeur de dessin à l'Ecole industrielle surgit un incident ; finalement la place est donnée à M. Cosyns, le fils du conseiller-laekenois.On vote ensuite des crédits supplémentaires au budget de 1916 des Hospices civils.A CUREGHEM-AN DERLECHT Une séance du conseil communal a eu lieu jeudi après midi, sous la présidence de M. Crickx. Celui-ci fait part au conseil du décès de M. Boon, commandant du • corps des pompiers volontaires, dont les funérailles ont eu lieu aux trais de la commune.M. Crickx déclare ensuite qu'il assumera l'intérim de bourgmestre et qu'il espère fermement trouver auprès de tous les membres du Conseil le concours dont il aura besoin pour assurer la mission qu'on lui confie. On aborde ensuite l'ordre du jour. M. le docteur De Meersman, rapporteur, présente un rapport concluant à la validation des pouvoirs de M. Pegneur, avocat et conseiller libéral suppléant; Le Conseil vote la conclusion d'un emprunt mensuel avec la Société du Crédit communal du montant de 225,000 francs, un subside extraordinaire annuel pendant la aurée de la guerre à l'Œuvre de la Goutte de lait, un subside de 3,870 francs pour achat du charbon nécessaire aux écoles gardiennes, un crédit de 100,000 francs au Comité local pour l'achat de charbon et de bois de chauffage. On décide ensuite de louer un bâtiment situé rue du Transvaal pour servir éventuellement à l'installation d'une école professionnelle pour garçons. Un nouveau crédit de 5,000 francs est voté pour assurer la distribution de sabots aux enfants des écoles selon un tableau de répartition présenté par le Collège. i — L'administration communale d'An-derlecht a encore inscrit au budget de cette année environ 1 million de francs i consacrés au poste des « nouveaux quartiers » de la commune. Environ 600,000 l francs en seront absorbés, par des remboursements d'annuités d'emprunts contractés en 1907 et 1908. Les travaux de î voirie exigeront plus de 100,000 francs; î l'entretien des immeubles 125,000, l'acquisition de propriétés diverses, quelques

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