Antwerpen vooruit: orgaan van den propaganda-kring voor doel hebbende Antwerpen in den vreemde te doen kennen, de reizigers hierheen te lokken, feestelijkheden in te richten om hun verblijf alhier te veraangenamen en alzoo bij te dragen tot den vooruitgang van den kleinhandel

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s.n. 1914, 15 März. Antwerpen vooruit: orgaan van den propaganda-kring voor doel hebbende Antwerpen in den vreemde te doen kennen, de reizigers hierheen te lokken, feestelijkheden in te richten om hun verblijf alhier te veraangenamen en alzoo bij te dragen tot den vooruitgang van den kleinhandel. Konsultiert 18 Mai 2024, https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/de/pid/z02z31q28v/
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4<ieJaargang N° 7 Verschijnrnde den in en den i5n van clke trannd 15 MAART 1914 — 15 MARS 1914 4me Année No 71 ANTWERPEN VOORUIT ^Beheer en Opstel Verzoeningsstraat, 19 Antwerpen-Borgerhout Telephoon 452 TE KOOP aan 1 0 cmen 't nummet in de Bockhandels : Roelaus, S* Pieterstr. 4 Forst, Meir, y5 Bout de cigare, De Keyserlei, S (Administration K) et rédaction l/J *) Ni 1 Rue de la Réconciliation, 19 K 5 ANVERS-Borgerhout \/A y RI Téléphoné 452 ^ IiN VENTE Ki à 10 ci»« le numéro jj^i S dans les Librairies : VA l\l, | Roelans, vue St Pierre,4 j^J \ Forst, Meir, yS LÂI /• fJI IBout de cigare, IKJ Av De Keyser, S. \9/ x YÀ ANVERS EN AVANT Orgaan hebbende voor doel : De propaganda voor de stad Antwerpen en de verdediging der belangen van den Organe ayant pour but : La propagande pour la ville d'Anvers et la^défense des intérêts du commerce local. — kleinhandel. — Uitgegeven onder de bescherming van den bond « Antwerpen Vooruit ». Edité sous les auspices de la ligue « Anvers en Avant «. s»- AANGESLOTEN BIJ DE BELGISCHE PERSVEREENIGING VOOR TIJDSCHRIFTEN j AFFILIÉ A L'UNION DE LA PRESSE PÉRIODIQUE BELGE Aan den Lezer. Hoewel ons orgaan geen tooneelblad is, hebben wij gemeend het grootste deel van dit nummer te moeten wij den aan Parsifal, bij gelegenheid der eerste opvoe-ring van R. Wagner's meesterwerk in de Vlaamsche Opéra. Ons orgaan, dat het leven en streven on^er stadge-nooten trouw wenscht op te teekenen en te huldigen, vooral op kunstgebied, mocht niet ten achter blijven in het aanmoedigen eener ^00 stoute en bewonderens-waardige pogingals de monteering van dit bijna boven-menschelijk werk. Wij weten, dat de vertolking van Parsifal in de Vlaamsche Opéra in vele oppchten de volmaaktheia \al nabijkomen en in meer dan een punt die van den Munt-schouwburg te Brussel \al overtrejfen. Antwerpen, reeds een wereldstad onder ^00 tahijke oogpun-1 ev 7Ciî op d or> oerstetz ra&g-ïter theaie -stade . naast Berlijn, Weenen, Londen en Paiijs prijken. Daarom brengen wij hier een hartelijke hulde aan al degenen, die aan de voorbereiding en opvoering var Parsifal hebben medegewerkt en vooral aan de viei groote inrichters — vier Antwerpenaren — de Heerer, Henry Fontaine, de knappe bestuurder der Vlaamscht Opéra, Julius J. B. Schrey, de meesterlijke orkest leider, F'. Derickx, de talentrijke tooneelmeester en on\e vermaarde W agner^anger Ernest van Dyck, dit heel de leiding der Parsifal-instudeering in hander, genomen heeft. Wij wenschen allen van harte vee, bijval. En on\e levers, aile Antwerpenaars, %etten wij aar de Parsifal-vertooningen herhaaldelijk bij te wonen . door het werk van den meester van Bayreuth te be-wonderen, julien \ij hulde brengen aan de heerlijkt poging on^er Vlaamsche Kunstenaars. ANTWERPEN- VOORUIT La Légende des Origines d'Anvers Parsifal, l'œuvre de Wagner dont la représentation était réservée à Bayreuth, vient de tomber dans le domaine public. L'empressement avec lequel tous les théâtres s'en sont immédiatement emparés a donné au génial auteur une popularité qui fait honneur au bon goût du public. Sans aucun doute l'œuvre suprême du maître trouvera à Anvers — ou elle sera bientôt jouée — le succès dont elle a joui à Londres, à Paris et à Bruxelles; et cela non seulement à cause de la valeur intrinsèque de cette production musicale, mais aussi parce qu'il existe un motif très spécial pour intéresser les Aversois à ce drame. Ce motif c'est l'étroite parenté des légendes qui ont fourni a Wagner les sujets du Parsifal et du Lohengrin et de celles dont fut inspirée l'histoire fabuleuse des origines de notre ville. Parsifal est en effet le père de Lohengrin et Lohengrin n'est autre que le sosie légendaire de notre fameux Silvius Brabo. L'histoire du valeureux geurrier auquel Anvers doit sa délivrance antique et son nom, n'est qu'un amalgame de données empruntées à deux cycles de légendes, au cycle qui a pour héros Jules César, le conquérant des Gaules et a celui dont les récits développent quelque variante des aventures du Chevalier au cygne, cycle auquel Wagner doit les éléments du Parsifal et du Lohengrin. C'est à la Mythologie germanique que nous sommes redevables de ce thème du Chevalier au cygne. Le rôle que le moyen-âge attribue à ce chevalier y est rempli par Odin lui même, c'est-à-dire par la divinité la plus vénérée de nos ancêtres païens. Ce mythe est celui qui a été employé de préférence pour rattacher à la divinité les dynasties germaines et se résume comme suit : Une tille de roi, étant tombée au pouvoir d'ennemis j puissants, est délivrée par Odin qui l'épouse. Le sauveur devient le souverain du pays, procrée des enfants et retourne au Walhalla sous la forme d'un cygne. Du ij reste le pouvoir de sj changer en cygne n'appartient n pas exclusivement à Odin, il est aussi l'apanage de la ?- « Walkyrie » des légendes allemandes et de la « Zwanen-juffer » du folklore flamand. Le moyen-âge commença par forger au moyen de -- ces données une histoire d'Helyas. 1, Le roi Lothaire épouse une fée qui met au monde n sept jumeaux, dont une fille; tous à leur naissance, por-s- tent au cou une chaîne d'or. La mère du roi, jalouse de n- sa bru, fait exposer les enfants dans une forêt et réussit à enlever leur chaîne d'or aux six garçons qui sont Ie changés en cygnes. Ces cygnes s'envolent vers le palais ■d ' du roi, et leur sœur, poussée par une tendresse înstinc-'n tive les y suit. A la fin la perfidie de la marâtre est de-couverte et les enfants recouvrent leur forme première. 1- L'un d'eux reste cygne parce que sa chaîne d'or a>raif ctc ioViduc, ii s attaque à i ml ùè ses fici^s, îicly^o, ^ prend le nom de Chevalier au cygne. Cette histoire a été fort répandue au pays flamand ou apparaît, de très tôt, une édition populaire de ce roman sous le titre « Historié van den ridder van avonturen Helias n. 'n Une autre légende, celle de Godefroid de Bouillon, te fait d'Helyas le grand père maternel de ce dernier et ■t- rattache les détails des sept jumeaux, des collieis, des 'n cygnes, etc., à l'histoire du chef de la première croisade. is Voici comment, par l'adjonction d'éléments puisés à d'autres récits fabuleux, se transforma en Allemagne el ce mythe dont Wagner s'empara. Parsifal est l'élu de Dieu. Grâce à sa pureté, bravant m ! tous les obstacles, résistant à toutes les tentations et à doivent s'éloigner dès qu'on connait leur nom, Lohei grin part après avoir rendu sa forme première au jeur duc Gottfried que les artifices de la femme de Telramun avaient changé en cygne et qui est salué duc de Braban Comparons à ces récits la légende de Brabo telle qi nous la donne le fameux Lemaire des Belges. Silvius Brabo nait en Arcadie. Son grand-père e Hector, le héros du siège de Troie. Les dieux le foi naître le même jour que son futur ami et beau-frèi Jules César. Silvius Brabo participe à la conquête d< Gaules et devient « le principal porteur d'enseigne, d grand général ». Après les fatigues de la campagne Juf César vient goûter quelques jours de repos au châtea de Clêves. Silvius Brabo, qui avait suivi son généra Le géant " Druon Antigon ,, de l'ommeganck Anversois. tous les enchantements, reçoit à Monsalvat le Graal. Ce Graal est le vase d'éméraude qui servit à Jésus pour célébrer la cène et que les anges emportèrent dans le ciel avec mission de ne le rendre aux hommes qu'au jour ou les esprits célestes trouveront une famille assez pure pour en être le dépositaire. Parsifal épouse —d'après la version la plus ancienne — une jeune princesse qu'il avait délivrée d'un redoutable ennemi, devient roi et règne heureux jusqu'à sa mort. Parsifal a un fils, nommé Lohengrin qui réside au château-fort ou est conservé le Graal. Or il arrive qu'Elza de Brabant est accusée d'avoir fait périr son propre frère, le jeune duc Gottfried. L'empereur proclame le jugement de Dieu. Dans sa détresse Elza se jette aux pieds de l'autel et fait sonner une clochette d'or, qu'elle trouva un jour au cou d'un faucon blessé. Le son de la clochette perce les airs et retentit comme un cri d'alarme dans le bourg sacré du Graal. Le jour du jugement un chevalier, porté dans une nacelle que traîne un cygne, vient au secours d'Elza. Vainqueur de Telramund, l'accusateur de la princesse, ce chevalier laisse la vie au vaincu. Mais Telra mund accuse de sortilège, le sauveur d'Elza^e lui demande de dire son nom. Celui-ci refuse. Intriguée par ce refus Elza, devenue la fiancée du chevalier au cygne, lui adresse, pendant la nuit nuptiale, la même question. Le chevalier révèle q.u'il est Lohengrin, le fils de Parsifal. Comme tous les chevaliers du Graal s'ennuye à Clêves et, pour tuer le temps, se met à chasser. Voilà qu'arrivé près d'un fleuve, il voit s'approcher de lui le fameux cygne attelé à la non moins fameuse nacelle. Il s'installe dans la frêle embarcation et arrive au château de Mègue ou Swane, la sœur de Jules César, et la veuve du roi de Tongres, qui s'était aliénée les bonnes grâces de César, était re- § tenue prisonnière par le conquérant des Gaules. Par l'entremise de Silvius Brabo la sœur et le frère se réconcilient. Brabo pour prix de son intervention reçoit la veuve en mariage et pour «douaire et titre de duché d César lui donne le pays situé entre la mer Baltique et le territoiredes Nerviens. Brabo devient ainsi le premier duc de . . cette contrée qui s'appela d'après Anciennes armoiries , du marquisatd'Anvers. son nom, le duché de Brabant ou de Brabo. A cette époque Tongres était un port de mer et les Tongrois avaient fondé une espèced'avant-port qui occupait l'emplacement actuel de la ville d'Anvers. Or il se fit que des géants firent irruption dans la Gaule. Le chef des géants s'établit à Leyde. Et ce qui le prouve, c'est l'étymologie du nom de cette ville. Le nom de Leyde dérive du néerlandais leiden, conduire, et reçut ce nom parce que le « leidsman » des géants y résidait. 1 Anciennes armoiries du marquisatd'Anvers. 1 C'est à faire mourir de dépit le célèbre Fôrsterma'rui. Un autre géant s'établit près du port appelé plus tard Anvers. Le nom de ce géant était Druon Antigon. A l'époque où il vint résider près des bords de l'Escaut, les habitants de notre ville vivaient de commerce et de pêche. Le colosse, qui se bâtit un château-fôrt, exigea un tribut de tous ceux qui remontaient ou des-', cendaient le fleuve. D'abord il préleva, avec modération le droit qu'il s'était arrogé. Mais peu à p>eu il en vint au point de prendre la moitié de tout ce qui passait et coupait la main à ceux qui re usaient le tribut Silvius Brabo, d'après la statuette du puits dit de Quinten Matsijs. Par malheur pour lui, le géant causait peu et ignorait ainsi que les Romains occupaient la Belgique. Il :oupa la miin à quelques mariniers de Silvius Brabo }ui arriva tout furieux aux bords de l'Escaut. Or il se fit que,tout juste à cette époque, sept braves jeunes gens de noire ville, qui allaient se marier, avaient fait le vœu de tuer le géant ou de mourir. Ils avaient, pour se donner plus de courage, remis les noces jusqu'après l'entreprise qu'ils méditaient. Ces jeunes gens vinrent trouver Silvius Brabo et réclamèrent l'honneur de venger leur pays. Le lendemain matin les sept valeureux Anversois, accompagnés de Silvius Brabo, se mirent dans une barque chargée de pelleteries. Ils s'arrêtèrent au pied du fort où régnait le géant. Pendant qu'Antigon comptait les peaux, les jeunes gens sortirent les arbalètes qu'ils avaient cachées sous leurs habits. Aleyns, Bode et Hoboken visèrent le cou. Antigon fut blessé, mais les plaies n'étaient pas profondes. Le monstre poussa un hurlement qui fit trembler le rivage et se redressa fu-

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