La Belgique: journal publié pendant l'occupation sous la censure ennemie

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s.n. 1917, 27 Februar. La Belgique: journal publié pendant l'occupation sous la censure ennemie. Konsultiert 24 Mai 2024, https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/de/pid/z02z31q72c
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PRIX DES ABONNEMENTS _ ADMINISTRATION ET REDACTION Petite5 ailnoT1,t,. ,.,,,. to ligue, fr. 0.50 Un mois 'mars) • » » » • fr 2 55 ^±outciQ iie^cHix-J^erbes^-jE^otP.ffères, J3FtU3GELLE3 f Réclame avant les annonces , , 1.25 * * BUREAUX : DE 9 à 17 HEURES ^ Corp3 du journal • ••.,, — 5.00 J£i> LEilANDitS D'ABONNEMENT SONT BEQL-ES LES RECLAAÎATIONS CONCERNANT LESARONU DIRECTION ET ADMINISTRA.TION t Da ÎO 1,2 à 12 12 et de 15 1/8 à 17 heure» PRIX DES ANNONCES < Faits divers — 3,75 EX.CLUS1 VEMïENT FAR LES NEMESTS DOIVENT ETRE ADRESSEES S Nécrologie o rzQ CUREACX ET LES FACTEURS DES POSTES. EXCLUSIVEMENT AUX BUREAUX DE POSTE. JOS. MORESSÉE, DIRECTEUR i Coin des Eleveur® ' ' . ! Z i.GO BUREAUX ET LES FACTEURS DES P0ST1 LA GUERRE S39' jour de guor.-a Rien à signaler. La guerre sous-rnarir. Dondres, 26 février : L'Agence Reuter annonce que les vapej anglais „iser" (g,600 tonnes) ut i:Ealcoa ont. ét-i coulés. • Londres, 25 février : Lloyds annonce que le vapejur ba^taon que „Benei?icoiit" (1,963 tonnes) a coule m . * * Christiania 24 février : La légation de Norvège à Londres téi graip-hie que les vapeurs ,,Normanna" (2,on tonnais brut.), de bamieï'jord, ,,Ajay5' (1,4) tonnas), de Christiania, et „iilenhoiu] (l*tti « tionae^),» oie Frederikstadt, ont • OOU'lf'S. * ♦ » Le Havre, 25 février : A cause de l'épais brouillard qui oouv: la mer, lo paquebotrposfce anglais ,,Nortl weSùern Riil.r5' (t>,5(/4 tonnes brut) et vapejoin norvégien „£|ue!jopjpe" se sont échoué D'autre part, ou signale que le vape suédois „Namning'han'; (1,988 tonnes) et scliooner français „ Saint-Sauveur" (158 toj nés) ont été coulis. • New-York, 25 février : Un groupe de sénateurs républicains décidéf de 11e pas accorder de pouvoirs 1 limités à M. Wilsou. 11» dirent, au cor traire, que le Président consulte le Congr" avant de prendre des mesures graves. • Ngfw Yorks,. 25 février : On mande d'Halifax à l'9,Associate Press" quo l'interruption du voyage di comte 'Bernstorff et de sia suite, provoqué par la visite diu paquebot. „Frederik VIII à Halifax, durera vraisemblablement plu d'une semaine. L'enquête ouverte sur l'idée ticé des passagers a commencé le 17 Éévrie et sera terminée ce soir. Ou croit qjuo i vapeur sera prêt à partir 1e 27. Les fonc tion/naires qui ont été à bord du „Fic derik, VIII" disent que les passagers ai e mands se déclarent satisfaits de la manié r dont b, visite a été effectuée- Bien qui soit interdit aux passagesrs de communique avec le dehors, on a remis à M. Bernsfcorl et à 6a suite, après censure, les télégram mes qui leur avaient été adressa. * _ . * « ; Paris, 25 février : L'Agence lia vas annonce que M. Géran s'est entretenu pendant deux heures avec L roi d'Espagne. Il partira dimanche soir d Madrid pour La, Corogne. » Madrid, 26 février : La navigjaton entre Tarragone et Cett< a été giSpenduQ, les marins refusant d( s'embarquer. Hier, des canonnades ont été entendue* le 1 >ng des côtes espagnoles. Un oonse 1 des ministres, présidé par I< Roi, a e'^ainine les dangers que présente lu, guerre à outrance des sous-marina poui la navigation espagnole. • . Milan, 24 février : Dans te port dio Gênes, où des centaines de navires entrent et sortent journellement on temps normal, fcroia vapeurs seulement, ûhargés de fer, de vin et d'autres marchan diso-s sont en^éc hier. Les provinces de Livourne et de Florence doivent s'attendre à manquer de charbon à bois, les nouveaux hauts fourneaux de Fol-loniaa cfevant être chauffes au nwyen. u€ oe combustible. Le journal „Adriatico", paraissant à \ onise, attaque violemment les accapareurs et leur reproche de ne chercher qu'à tirer ^profit do la guerre. A Gênes, on. craint) que, par suite (Je li guerre renforcée des aous-marine, le ravi, .tailiement de 1 Italie en viande ne devienne impossible. Les habitants assiègent les magasins pour faire des provisions; des bagarres ont éclaté. • (Bordeaux, 26 février" A la Chambre die commerce dio Bordeaux, ^1 croit qui'il est possilla que le vapeur Américain ,,Orléans''' entre dans lo port par la marée de lundi. Un épais brouillard couvre l'océan. Les dernières nouvel es du va "peur „Rochester" sont absolument vagues" on ne sait rien de ce navire depuis son dé. ^art de New-York. Berlin, 26 février : On mande de Genève à la ,,Berliner Zei-tung am Mittagi" : i — Le vapeur américain „ Orléans" est en re&ird depuis vendredi ; on «'attend maintenant à son arrivée pour dimanche oui lund'i au plus tard. Le représentant à Paris delà Kerr Line, propriétaire de P„ Orléans", s'est rendiu, accompaigné d'un délégué du .gouvernement finançais à Bordeaux. Lo diépart du ,,Bochestle^,, et de P„Orléans" s'est effectué à la demande du représentant parisien de la Kerr Steamshup Une qui est en relation avec les milieux officiels français. Des journalistes américains se trouvent à bord des deux vapeurs. A 1 Paris, on est avide de savoir si P„ Orléans" atteindra Bordeaux. * * * Paris, 26 février : Le „Temps" annonce quo le vapeur brésilien' „Ceara", construit à la Spezaia, cj-t arrivé à Marseille. Par ordre du gouverne-,meni brésilien, le navire doit se rendre le plus vite possible au Brésil. * tonarcs, 24 frtvrifT Oa mande ce Nerw-York au „Times" : — L/equiragedu vai^nr brilaanique „Theo-anr''- prétend avoir établi indisciutaii^ieint que l'un des croiseurs allemands qui opirw,t flans la j.nrtio méridionale de l'Ooéan Au Jantique est le croiseur „Vineta" • t* Hotter^EilQj 24 février : Suivant un télégramme m;,u |<u- le Rut. tonlirnscte I.loyd, lo vapeur- ,,iBandbîng" a coulé. Lo sort du „Eesmlandl" et dtL „Zaand[yk" est encore incertain. Le ,,Nieuwe Kot^xllaxuscho Oouranlt" écrit quo tous les navires holiamda'ts naviguaient à 1a file, lorsque, vers 6 heures* diu fcoir, un sous-marin s'est approché e;< lie a arrêté®. I^e commandant du submersibie a donne cinq minuifees auix équiptigts pour abandonner les vapeurs, à bord depuis il n'y a pas eu la moindre panique. » * -r -1 * * * Londres, 24 février : Au coilçs d'une interview, des officiers des navires néerlandais torpilles ont dé>-,b ciai'â : ; --Le sous-marin allemand a tiré jusqu'à ce que tous les navires eussent si >ppé. •Il s'est ensuite approché de chaque vapeur, a doniL i cinq minutes à l'équipage pour be sauver es a déclaré quil éta..t forcô de couler les nav'res parce qu'il les avait rencontres dans les eaux anglaises.'? Londres, 25 février : * jk Lloyds annonce que le vapeur 1,Me;lacSo', • es^t arrive sain et sauf dans un port an-, e'ais- ♦ Amsterdam, 24 février : La nouvelle de la perte de six navires hollandais a provoqué une grande cojster-p nation à la Bourse d'Amsterdiaia et (L>ns " ^es mijjux maritimes. Il n'est pai iavrar. 3 semblable n,ue les navires néerlandais soi'emt provisodreonent retirés du service. *t * 1^. Haye, 25 février : Dans sa dernière réunion, l'Union des armateurs néerjandas a décidé d'accord a\eî les armatjars des navires pr-'ts à paatir pour l'Amenque, de ne pas faire partir ces ( navires aussi longtemps que la route du Nord ne peut être considérée coonme sûre. * ' Rotterdam, 23 février : Le sous-marin allemand „U. 30", a^yant 14 hommes à bord, s'est échoué ce matin près de Domburg, sur la côte néerlandaise. Le submersible a été pdocé sous survedl-lance militaire. * * * La Haye, 26 février : L'offici^uiv Bureau' die correspondance exposa en détail la situation faite à l'agriculture hollandaise par la retenue des na. vires. Il en résulte que le gouvernement : anglais retient actuellement trois naviies ayant ensemble à bord 20,000 tonnes do nitrates de Chili, dont la non-arrivée aura une répercussion énorme sur la future récolte hollandaise. * /-* t * ♦ Copenhague, 25 février : On mande de Bergen à la „National Ti-dende" : — Depuis la déclaration de la guerre renforcée des sous-manins, le premier vapeur charge do charbon est arrive hier d'Angleterre. t y ® * \ îenne, 26 février : Les iournaux polonais apprennent de Lem-berg que, par suite de la guerro des sou 3. mai'ins, le traiio des voyaf^ui«, le service postal et les transports de marchandcse3 sont complètement suspendus entre la Russie et les autres pays de l'Entame. Le commerce russe subit de fortes pertes. « Corsaires » d'hier et d'aujourd'hui Du ,,Journal de Genève" : — Ce qui distingue essentiellement la guerre de course actuelle de celle du passe, c'est que l'ancien corsaire, navire do sur-'ace, était pourchassé par des navires de surface, tandis que le sousumarin no peut être efficacement pourchassé par le sons-marin. Il n'a rien à craindre de son similaire : tel est le bénéfico de l'invention nouvel'à consistant à s'éclipser de la surface do la mer. Il n'en est pas de même de l'aéroplane. Non seulement l'avion, étant très visible, est soumis au feu de l'artillerie, mais il a tout à redouter do son similaire. L'avion de chasse poursuit l'aéroplane d'observation comme le faucon met en fuite l'oiseau désarmé. Le ballon dirigeable a également tout à craindre de son similaire et, sii le zeppelin ^esfc resté queflque temps indemne, c'est que l'ennemi n'en possédait pas. Tout autre est le cas d|i sous-snarin. Dans les eaux règne une obscurité profonde. Le scaphandrier, à certaine profondeur, est entouré de ténèbres, sauf au z6-nith, où la réfaction concentre une clarté qui apparaît sous la forme d'une calotte lumineuse. Les projecteurs électriques les plus puissants, essayés à bord des sous-marins, 1 n'ont pti percer l'opacité des eaux qu'à 1 | une distance insignifiante. L'engin nouveau ( j reste donc aveugle dans son ed/iment. Et i c est la ce qui fait sa sup'triorioé, puisque cette cécité le met à l'abri de son similaire.Ce qui permettait aux corsaires de sur- 1 face d'échapper aux bâtiments de guerre " qui les poursuivaient, c'était avant tout t l'immensité do la mer, à une époque où le vent servait de propulseur et où le télégraphe n'existait pas plus aveo fiil que sans fil. Pendant La gnerre de Sécession et r pendant la guerre actuelle, les corsaires de t surface ont pu encore réaliser des proues- l ses,, mais ils étaient fortement gênés par la j nécessité de charbonner ainsi que par les c dénonciations du télégraphe. t Un • autre avantage des anciens corsaires l était leur légèreté. »Pcu armés etn ai-tillerio, ils étaient fortement voilés et meilleurs i mar-heurs que les croiseurs mil i taons. î Ce:to supériorité de vitesse ne leur citait i d'ailleurs pas indispensable et les exploits de Surcouf dans l'océan Indien furent accomplis aveo de simples bateaux de commerce armés en course. L'avantage princL c pal restait donc, comme nous l'avons dîw l'immensité des merS et l'impossibilité d'en surveiller toute la surface. Le corsaire actuel, le sous-marin, bén&i j ficie, lui aussi, de cet immense avantage. s Il choisit à volonté le théâtre de ses opé- i rat:ons et se d'jplace à son gré. Quand bien c même il s/3 trouverait mocnantanémeoi dtins i l'impossibilité de plonger, cette liberté dl al- l lure lui donnerait encore un grand avantage sur se3 adversaires, lesquels, si nom- è breux soient-ils, ge trouvent privés, jkai* la c nature mema de leur rôle, de la supério- 1 riae que donne l'initiative. Ma as, en outre et surtout-, le sous-marin jouit de cette nn-muniité, en vue de laquelle il a éti inventé, consistant à disparaître du monde perceptible- Lorsqu'il a plongé, les 6 en s de son adversaire deviennent impuissants à révéler sa présence. Au début de la guerre, par suite dl'un défaut de construction, La marche des submersibles allemands était décelée par une volute à la surface, produite -par le déplacement de l'eau. Mais cet indlice, qup a. presque complètement d sparu depuis lor®, u étaU percepti4jle que dans certains cas et à très petite distance. I42S aéroplanes on^, il est vrai, la faculté d'apercevoir lesi sous-marins en plongée situés directement au-dessous d'eux; c'est une indication pré-ciei.se, mais incertaine parce qu elte est subordonnée aux circonstances météorologiques. Le microphone peu aussi révéler à l'oreille la présence d'un submersible dans uni certain rayon; mais cela encore est une ressource a-ssez limitée et, d'une manière générale, on peut dure que le sous-marin possède la faculté d'écha^ipetr auix sens de ses adversaires." Le ,,Journal de Genève" croit çpi'oxu arrivera un jour à trouver un moyen pra- , tique pour découvrir les so'us-maiinô. Maàs eu attendant... ( — Dans les conditions actuelles, la faculté de s'éclipser sous l'eau donne aux: , submersibles une tieile supériorité sur leurs t adversaires que leur action semble suseap- ( tible de s accroîjtre pro[X)rttLonnellement à , leui' nombre. 11 n'est donc pas impossible, £ en principe, que, si ce nombre vient à su multiplier, les résultats obtenus se multiplient dans la même proportion." DÉPÊCHES DIVERSES j c Paris, 24 février : K Hier,- un Conseil de ministres s'est tenu ^ sous la présidence de M. Pomcaré; il s'est ^ principalement occupé des queS'ions d'aii- nentatiooi et de la crise des transports. 1 D'autre part, le Conseil supérieur des c nir.es a examiné les mesures propres à aug- ^ nenfe;' l'eixtraction du charbon. En atteîidiaut, b ous les jours des usines doivent chômer a par suite du manque do combustible. Tel ^ b encore été hier le cas pour les Usines à ;az de Château-Gontieiv Falaise, GtuamiLle 1 ti Saint - Malo. Pl'usieiurs administraitioais ,(J ounacipales se son t adressées d urgence à 1 a préfecture. r * u Paris, 25 février : Le ministre de l'agi ri cul tara a fait un ap-•el pressant aux écoliers français pour les 7 ngager à travailler aux champs. Paris, 25 février * v I-e „Journal Officiel" publie un décret opprimant, à partir du 1er mars, les li- '■ ats circulaires, les coupons de f,irniile e. P -s ooupons sp'ciaux pour soci'tés. D'autre aart, aucun voyageur ne peut l'aire enie^ is- -1 rer plus de 100 kilos de bagages. a Pans, 24 février : Le , Journal" annonce que les arrivage^ ^ e vin ont cessé à Paris, le transport par 1 kOuen étant devenu trop onéreux. Par suite ^ u danger des sous-marins, ic fret d'Alger Rouen, fixé préc'damment à 11 francs F audement, se paie maintenant de 275 à %) c* ■ancs p;ir hectolitre, les frais d'assurance 1)1 our 3,500 barriques se montant à 350,000 •ahes. K D'autre part, les compagnies de chemins P 0 fer négligent le transport des vins pour ssurer 1 expédition de marchandises plus □portantes. fa * * • V1 Paris, 25 février : gi I^a fixation de prix maxima a eu pour wis'kjueince de réduire les arrivages de ïurro à Paris, au point que la capitale en *<> anqiue pies jue totalement. Il en est de ême dans les autres villes1 de France. « • . «* Paris, 25 février : l'( Le gouvernement a décijô de faire saisir us ies stocks de beune existants. ps * Paris, 26 février : ltr Le , Petit Journal" annonce qu'une par-3 des prisonniers die guerre allemand.*, ré-ir-tis par groupes do cinq, seront d',sor* rl( ais employés aux travaux agricoles et dans îai 3 boulangeries, où des prisonniers civils . raient aussi mis au travail. im * * * F' Genève, 25 février : Des informations de Paris aunoneefliit qu'une ■'!' rmidable explosion s'e^t produile le 2 t'é. t'lJ 'ier dans les vastes dépôts de muni tiens 110 Hennés. Tout le dépôt, contenant 80, unes de projectiles, a «té détruit. Plus de ^ ux cents morts et de 700 blessés ont éfcj riv tirés des décombres. *'e "« Rome, 24 février : Il résulte des statistiques dressées par le wnité du ravitaillement, quo 1a hausse Pr >yenne des vivres en Italie s'est élevée de c,a ptembre 1915 à septembre 1916 à 48,92 p. c. nie * * • mc Milan 26 février : leu I-<e Corriere délia Sera7' apprend d'Athè- s que, samedi, les ouvrier oat encore [<aJ mifesté dans les rues du Pire. Lapide». iu6 1 autorités, ainsi que des délégfttée de li pulation ouvrière et des commerçants ont Cl 0 nouveau exhorté les habitants au calme, l08 l'gic le3 souffrances que leur liflige lo al* >cus. fie! Lo gouvernement et les comités de bien- ^ sauce prodiguent leur aide auix néces- 'a eux. On a ouvert des cantines popu- res. cie * * ♦ dre Berlin, 25 février : me L'Empereur a re;u aujourd'hui le ©ha»- il ier de l'Empire, qui lçi a fait rapport. ♦ * • r-° Berlin, 26 février : de En vue d'assurer l'approvisionnement du *n- ys ei les exportations, un décret du Coru rih 1 fédéral, en date du 24 février, autorise chancelier de l'Empire à mâture à jk ? rposiiLon d'un organisme à Cr^^r x+um les die oduits des charbonnages (hou'IL', lignite, ohe iqrjettes et coke). d'ij I^ï chancelier est autorisé, entre autre», fa"i prier les producteurs et ïrs d t iT\teiu*s à les 1er lo combustible aux personne* qui tes- ir seront d'V>gnécî. ' j'. Ceite nouvelle organisation ne supprime pas le commerce du charbon. Madrid, 25 février : La. Hollande a t lographié au roi: d Espagne qu'elle s'offrait sans condition pour ussare/r les services die secours h la p>pu-la.tiom de la (Beilgûque et des territoires français occuipés. • Pétrograd, 24 février : On mande du front que les Allemands se sont servis, pour la première fois, au cours des combats livrés près de Baranovitschi, d'automobiles blindées d'un nouveau t(ype surnommées „tanks". * Moscou, 24 févrû^r : De l'„Utro Rossyi" : — Le ministre de l'agiâcuîture vient do faire un voyage d'inspection dans le but de se rendre compte sur plaœ de la manière dont se présente 1 alimentation d3 la population. Il résulte de ses constatations que la plus grosse difricult'l à rendre est la question dte transports. C'est ainsi que, dans diverses gaies ' du gouvei*-nement de Tamborw« 9 millions de ptouris ?t, dans la gouvernement de Samara, 18 aiillious de pouds de céréales se sont ao-oumulés par suite du manque de wagons. Cote situation; ne saurait s améliorer pio_ shakiement et, tajadis qu'à ceriaing endlroHj le 1 limpire les vivres s enta^«n,t, le îu pays souffre de plus eu plus de la famine et tou'e une série de grandes villes jont particulièrement éprouvées. TMU¥ÂlSj:SPmT •Dès le début de la guerre,' de nombreux ournaux do l'Entente se sont cru oi.lig,.s • essayer dj déprécier, au moyen de pjai-.auiieries faciles et souvent dépiLao.'cs, la ; i.lance _ réelle et la force incontest able de adversaire. fcans doute, des organes» connus pour 'eur >on vibration n'ont pas tardé à jerotes^er outre ce déteS able penchant, dont, à notre □ur, nous avons ou plusieurs fois l'occa-iou de dénoncer 1 inopportunité et 1e r^el sangier. A certains moments, le mal avait iaru enrayé, mais les dures leçons qu ils a sont d^ji atûrécs n'ont pas suffi a cei-u'ns écerveLés. Ils ne manquent pus une lecjision, s imaginant ainsi être agréables à B-U'rs lecteurs, d' émettre sur la valeur ues oioutables adversaires qui font face à l'En-pnte depuis deux ans et demi des apprécia-ions d'une inexcusable légèreté. Dans le numéro t'e l',,Œuvre;", du 24 ;anu ier, Je lieutenant Alceste administre à ce^ acorrigilles blagrueurs une dure vol e de ois vert, sous le titre significatif „Mauvais esprit" : — Il y a quelque chose d'attristant, c'it-, à feuilleter les collections des ;ourna-UK, ctits et grands, illustrés ou non, qui nxrius ffren,t chaque jour ou chaque sjmaioe les xmvailles de q| s professi^onnels de l'hu-lour... Pour une idée drôle, juste, non nielleraient démentie par les événements, ne de navrantes preuves d'une igmoraawe 'une suffisance, d'une inconséquence qu'on 3 croyait plus si parisiennes après tant et int do leçons de choses ! Malheureux hommes, d'esprit, vous n'avGz is mis vctie verve au service du ban sens ) voici que vos poii tes, lancées au petit inheur, vous retomle.it sur le nez. Vous avez blagué avec ensemble le pain K : c'était, .c le reconnais, un charmant réte::te; vous l'avez mis 011 couples, en ss-sins, en bon mots, en calembrelaines ce -us genres. Vous avez blagué a\es un© ntaisie bifen athénienne les cartes de vi--•es, d-'esience, de vêtements de C3S tBoches rotesques; vous avez nargué leur volonté leur force de r ésistance ; vous vous êtes lyé — à Paris, il eet vrai — la t&ede as I3S organisateurs de tà-bas. C'était très ôle, certes... Maintenant, ces facéties nous paraissent 1 peu bêtes. Rien ne vieillit vile comme ispiit. On peut retirer une inj re, mais >n un bon mot- En la circonstance, c'esi ait-être dommage." Et le lieutenant Alceste ajout?, non sans 10 pointe d'amertume : — Ah ! si ces ,,charges-là" avaient Ruffl» A ceurc qui prétendent que ces plaisantons sont sans importance, il répond fort stement! : — Une plaisanterie, c'est toujours plus 1 portant qu'une parole sérieuse, surtout an I \ance. Tous ces dessins, toutes ces fan- 1 isiis, toutes ces blagues de la guerre ont ( lis fait pour tromj.er la France que los 1 3cours et- les articles conventionnels de ( s „pensours". _ c Cette débauche de fac't'es écrite^, chan- ( « ou dessinées a empêché trop de Pran- c is, ajoute l'auteur de l'article, de voir ; nnemi tel qu'il est; eb il est très intel- f ■e^t, tr's courageux, tr^s redoutable. g Lo poursuivre de facéties, do calembre ines, ne peut du reste i«v:miire «m- l'es. it des soldats qn^un effet dôploraLlo. dé-tre le lieutenant Alceste. De tels dôcu-mt£<, comme tant de produits do notre hu- , mr national, les agacent, les énervent et c r font dire : „Est-ce qu'ils se rendent su compte, à Paris, que nous avons af-re à de vrai» Boches, a^ni's de vrais f, .ils et qui 8e battent jy v'rai f" t A. toutes les plaisanteries de nos hommes aprit de la plume et du crayon, à tou-e* C photographies de prisonniers déprim a, c [*1 rés et laids, je pr^f re, pouT notre édi-ition, 8V»on pour notre plaisir, oe pas- n ^e dru récit officiel d'une offensive dans Somme : e — A un momenl donné, un jeune offi- 1 r saxon est mis en demeure «le fe i-en- 5. „C'est impossible 1", r^^pon/i'il simple, nfc. Et, comme il e'«Veiiie à combe^fcre, est abattu." — Ce-fr», conclut, le lieu^aant Ale*ate, il s'a^nt pas d1'enlever à î'esrrit droi< P prendre part à la lutte... L'e^wt est =si une aime et &*»ve»t une arr»e ter-lo, mais ne faut-il pas qu'elte »»it D niée kîoque^vons, mesaieuis, de ce qui est ri u 1-e; dégorgée, à 1a i>od»te de vos flè- fi s, les oBtn^s plei^vs die pis'tmii n, jjnorance, de bêtise... Veus avez dk? qa<vi t4 re. Mais que votre esprit sarve à ourrir r jor v français et non à les ftaunar. Fai- d! : uns rii>e, mais ojnie ce rire ne nous d COMMUNIQUÉS OFFICIELS Xfcy ^ïzr B U B H 3 s Q B Sfc ï Communiqués des Fuissaaccs Centrales. oar 4 ___ Berlin, 26 février. — Officiel de 03 midi : Théâtie de la guerre à l'Ouest. Entre Araieutières et l'Ancre, dans plusieurs secteurs, des attaques anglaises! de se re->oianaicis'LuiDCô — prononcées en purt.o nrs ajuts une préparation d artillei-ie et en ïhi, partie à 1 improviste — ont échoué, rpc En Champagne, au sud do Cemiay, les Français ont vainement aotaqué. Entre la Meuse e. la Mosc-lie, des opérations da nos détachements de reconnaissance ont été couronnées de succès. ent Au cours das nombreux combats aériens le qui se sont livrés, nos ennemis ont perdu la huit avions, dont deuix faisaient partjie de do l'escadrille qui a lancé sans succès des •fo- bombes dans la région do la Sarre. »u- Theàtre de la guerre à l'Est, er- Fix>nt du feldinaréchal prince Ivéopoldl de ms Bavière : 1S A l'ouest de l'Aa, des patrouilles mo-ao- biles înusses ont été repoussées. as. ,Sur le cheaiin de lêr Kowel^'Luck, nos no- éolaireurs ont réussi à enlever un poste do its campagne ennemi. •'lo Au sudl de Krzezany, une attaque partielle fa- russe a échoué. Front du général-colonel archiduc Joseph : Une attaque russe, prononcée par d'im-• portantes forces au nord du col des Tur-tares, a échoué, comme celle exécutée la veiUe par l'ennemi. Sur le front des années du feldinaréchal ux von Mackensen et sur le front maeddonien, >\s aucun événement e^sent el à signaler. ^ Berlin, 25 février. — Officiel d'hier soir : ûe Aucun événement essentiel. V ,ur (Berlin, 25 février. — Officiel : Cl" Au cours de la nuit du 23 au 24 fé- ;re vrier, un dirigeab'o français a été incendie 1 ,ùr. l;ar le feu do notie défense spéc aie. Enve- ^ loppe de flammes, il s'est abattu près do ^ Welferdangc, à 1 oij^st de Sarreguenvnes. lls En heurtant lo sol, les bombes que îes néronautes avaient emportées ont fait ex- nc i>losion. Tout l'équipage,, composé de qua- a torzo hommes, est mort. L/épave du diri- •Cs geîible, qui a relativement peu souffert, n- permet encore d'eu reoonnaîfcie la construc- ^ tijn jusque clins ses détails. _ * ,nu Berlin, 25 février. — Officiel : , 0^ Dans le courant du mois die janvier, les Je flottes marchandes ennemies ont perdu, par 1 n- l'action des mesures militaires des Puissances centrales, i?o (cent soi'i.anle-di.c) naît- vires d'une jaugo totale de 336,000 tonnes. -k, Dans ce nombre, il y avait 91 navires an. is glais .augeant- 245,£00 tonnes. En outre, es 58 navires da commerce appartenant aux u- neutres et jaugeant 103,500 tonnes ont été 1 m coui's" pour cause de transport de contre- ; s, bande destinée à 1 ennemi. La perte toiale 0 sa chilfro donc, pour le mois de janvier, < wi par 2i2-S naA-ires et 439,500 tonnes. Par 1 et conséquent, le commerce ennemi a perdu, depuis le commencement de La guerre*, une sz jauge de 4.357,500 tonnes, dont 3,314,5t*) ® is tonnes naviguaient .sous pavillon anglais, it En ou're, 459 navires neitres représentant un jaugeage de 641,000 tonnes ont étjé soit [n coulés, soit déclarés de bonne prise par les it forces navales des Puissances centrales, n pour cause de transport de contrebande de £ :e guerre. 'e . * . " 1. Viiame, 26 février. — Officiel d luer nudi : fs i's Front de l'Est, bù ^ g Au nord-ouest du col des Tartares, après f une préparation d'artillerie qui a duré sept 6 ^ heures, l'ennemi a attaqué et pénétré nio- 1; meiKanément dans nos tranchées; notre con- a toe-attique l'a, toutefois, complètement re- di 1 poussé. g ^ A parti cela, rien d'important. d' t: Front italien. Sur lo fron* du territoire du littoral, le s temps s'étant éolairei, l'artillerie a de nouveau déployé une grandie activité pendant ' toute la journée. a, »- Dans le pays de Gôrz, une lutta parti eu- ^ ■i lièrameat vivo de l'artillerie et des lance-mines s'est développée avant-hier dans lo s secteur de Verto ba; elle a continué touto n la nuit et a atteint, au matin, son maxi- - mum d'intensité. A ce moment, quelques n( t compagnies italiennes ont attaqué nos posi- v. s tions, sous la protection d'un violent fou tj c do barrage. L'ennemi réussit à pénétrer sj dans notre toute première ligne. Toutefois, - des détachements du valeureux régiment - d'infanterie n° 2 du lands'turm austi*o-hon-r grois l'en ont totalement expulsé en lui infligeant de lourdes pertes et l'ont poursuivi jusque dans ses propres sapes. Front du Sud-Est. Rien de changé. ^ **♦ Sofia, 25 février. — Officiel du grand [JJ J état-major : 1 { t Front macédonien : ui Entre le lac de Prespa et le Yardar, ' faibles canonnades, fusillades et feu de mi- le trai lieuses. ni • Près du village de Sehloep, au sud de m ? Gevgcli, nous avons repoussé un fort dota- pi , chôment de reconnaissance ennemi. P< Entre lo Vardar et le lac de Doiran, ca- d1' • n-ennades ennemies assez violentes. ai ; l)a»s la plaine de Sérès, escarmouches 19 entre patrouilles et activité habituelle do &o • l'artillerie. dt Front roumain : Diuis les environs de Malimudia, échange iq ' do fusillade entre avant-postes. en I Près do Tuloaa, canonnada isolée réci- Ir» promue. ^ I1€ Sofia, 27 f^viiar- —« Officiel de l'état- c-, oiajor du 34 févr'er ; Front maaâdooàfai : M Faible activité de l'artillerie tur tout le t(e frout. en Des escarmouches entare pa^ousllee »e sont W teranaf'es à notre avantage dons les envi- St ron» de Bitolia; en outre, fusillades et feu do t»itrailleuses et de laace-miaea, lie tout ta de minime importance, à l'est de ta Ceetroa d - et dans la rAgion de la Mo&teia. d'i ...IV-.- «DM SJ t£C»2' k. r Front roumain : Echange de coups de fusil entre les postes établis sur les d^ux rives du canal Saint-Georges, à 1 est de Tulcea. Le long do la hiereib, le feu de ruoa • troupes a repoussé deux compagnies rusB^a i 'jui tentaient de s approcher de nos posi-> uons. Constantincple, 24 février. — Officiel du . grand quartier général : Sur le front du Caucase, dans lo secteur de notre aile gauche, activité r>x:iproque de 1 artillerie et des patrouilles.. Un de nos detachements de reconnaissance a mis en fuite une compagnie ennemie e'- s'est en-pare d une certaine quantité d armes. L'n autre de nos détachements a e^-coau? une heureuso attaque contre des postas ennemis, a tue un grand nombre de Russes et s osa emparé de fusils, dfe, bombes et d une quan-tité de matériel de guerre. Deux compa»-gn.es ennemies, qui ont tenté de prendre 4 ottensive, ont été arrêtées par le feu de notre art.lleris. Deux patrouilles russes de reconnaissance ont été mises coi' fuite. Sur le reste du front-, lieu dim'porltlanl à signaler. * Constan'ijinople 25 février. — Officiel du grancj quartier général : Front du Tigre. Systématiquement et en vue d'établir les communications aveo les renforts qui sont arrivas, nos vaillante» et iiéro-qujjs tLX>ap_s^ qui t -aient depuis un an leurs pos.tions avancées près de Kutel-Amara, à 1 est. et à ['ouest de ce;te local'té., ont été repliées à l'ouest. L'ennemi no s'est pas aperçu de ce mouvement. Sur le £ront du' Caucase, dans le secteur do l'aile gauchç, canonnades et fusillades modérées L'activité des détachements de reconnaissance a été grande do part et d'autre. Dans trois posi ions, nous avons repoussé trois détachements russes forts chacun d une centaine d'hommes. Sur les autres fronts, pas d'événement important à signaler. Communiqués des armées alliées Paris, 25 février. — Officiel da 3 heures : Au cours de la nuit, nos reconnaissances ont effectué avec succès deux coups d» main sur des postes ennemis en foré* iVApremont et au nord' de Badonviller. Canonnade intermittente sur le reste du front. Aviation. — Une do nos escadrilles a bombai dé efficacement les gares de Grandi. pré et de Fomagno-sous-'Montfaucon. * Piarw, 25 février. —• Otfficiel de 11 heures : Notre artillerie s'est montrée active dlins la région du Mort-Homme. Nos tirs do destruction ont donné de bons résulteUs. Actions d'artillerie intermittente» sur queD-ques points du front de Lorraine et des Yosgns. Calme partout ailleurs. Dépèches Diverses Paris, 25 février : Lo correspondant du „Temps" à Pétrograd Ccrit : — La noblesse de Moscou a fait transmettre au Tsar le texte de la nouvelle resolution qu'elle a voté. Cetie , résolutioni fait ressortir qu'il y a un véritable danger à laisser sans suite les désirs de réforme exprimas par la Douma et le Conseil de 1 Empire. La situation intérieure de la Russie est entrée dans une phase très aiguë et une plus longue hésitat.'on seraia de nature à influencer la tournure de lai guerro. La j>rosp rité du pays ot du trôna dopend do l'établissement immédiat des principes cjri ont été énoncés par les corps lék gislatifs et par les zemstvos. ♦ * .* Christiania, 25 février : Le proluit des pêcheries norvégiennes a atteint en 1916 uno valeur de 136.1 millions! de couronnes oontre 35,8 millions en 1914. * * • Paris, 26 février : L" Information" apprend de Washington: — L'amiral Griffin a informé le gouvernement que les secrets de construction d(^ vaisseaux de ligne sont connus à l;étranger. Une instruction a été ouverte contre plusieurs constructeurs de navires américains. La force armée des Etats-Unis Quelle serait la force armée que les Etotsu 'Unis pourraient mettre en ligne en casi de conflit i Les avis diffèrent sensiblement. Nous savons toutefois que, depuis 1915, d«s propositions ont été faites par lo gouvernement pour porter l'armée permanente de 140,000 à 400,000 hommes, avec'en r'arve une garde nationale de 125,000 hommes. D'après l'Ahnanach de Gotha, il ne faut tenir compte en 1917 que d'une force orga». niséo do 7,107 ofLoers et de I2r4,947 hommes, soit un total do 132,054 unités, y compris les garnisons des Philippines, dio Porto-Rico et de Hawaï; mais, aux t rmepi d'un rapport du département de la guerre au Congrès américain, on disposait en 1916 do 7,000 officiers et 139,000 soldfcHtet, soit un total de 146,000 hommvs. Dans l'ouvrage ,,Tke American Arany", du major-général II. Carter, on '.it les chiffres suivants : Armée régulière, environ 100,000 hommes; milice organisée, 121,000 environ. Toutefois, cette milice organisée n'a pas' le caractère d'une aimée jiermo»-nente, mais ressemM# coanmo organisation et) comme éducation militaire à notre garde civique belge. Le corps d'officiers sortis de la célèbre Military Academy de West-'Point contienl des éWments d'élite dont les meilleurs oui enoere dléveïoppéi leurs études à lf Army War Collège (norfire Ecole de guerre) et au Staff College. Cependant, la grande dispersion do l'armée minuscule entro les ceam taines de garnisons ne permet pas au corps d'officiers de participer à des manoeuvres IVIardi 27 Février 191V JOURNAL QUOTIDIEN — Jûe Numéro t ÎO (Jen.tizn.es 4® Année. — N° 822

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Dieses Dokument ist eine Ausgabe mit dem Titel La Belgique: journal publié pendant l'occupation sous la censure ennemie gehört zu der Kategorie Gecensureerde pers, veröffentlicht in Bruxelles von 1914 bis 1918.

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