La libre Belgique: bulletin de propagande patriotique

1125 0
close

Warum möchten Sie diesen Inhalt melden?

Bemerkungen

senden
s.n. 1918, 01 September. La libre Belgique: bulletin de propagande patriotique. Konsultiert 01 Mai 2024, https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/de/pid/kh0dv1dt37/
Text zeigen

Over deze tekst

Onderstaande tekst is geautomatiseerd gemaakt met OCR (Optical Character Recognition). Deze techniek levert geen 100% correct resultaat op. Dit komt mede doordat oude drukken moeilijker te lezen zijn met software dan moderne. Dat betekent dat er onjuiste tekens in de tekst kunnen voorkomen. Er wordt gewerkt aan verbetering van de OCR software

N° 162. QUATRIEME ANNÉE SEPTEMBRE 1916 PRIX DU NUMERO — Élastique, de zéro à l'infini (prière aux revendeurs de ne pas dépasser cette limite) LA LIBRE BELGIQUE J ai toi dans nos destinées, un î>ay» qiit détend s'Impose au respect de tous ce pays' ne périt pas? Dieu sera avec nous dans cette cause juste ALBERT. Roi des Belges (4 août 1914). Acceptons provisoirement les sacrifices qui nous sont imposés., e* attendons patiemment l'heure de la réparation A MAX' ' FONDÉE LE FÉVRIER 1915 Envers*les personnes qui domlaent par la force militaire notre pays, ayons les égards que commande l'intérêt général Respectons les règlements qu'elles nous imposent aussi longtemps qu'ils ne portent atteinte al à la liberté de nos consciences chrétiennes ni à notre Dignité Patriotique Mo» MERCIER. BULLETIN DE PROPAGANDE PATRIOTIQUE - RÉGULIÈREMENT IRRÉGULIER NE SE SOUMETTANT A AUCUNE CENSURE ADRESSE TÉLÉGRAPHIQUE KOMMANDANTUR - BRUXELLES BUREAUX ET ADMINISTRATION ne pouvant être un emplacement de tout repos, ils sont installés dans une cave automobile BWMiraaaw—■■■■»■ ni i iiimb—■mm-www ANNONCES : Les affaires étant nulles sous la domination allemande, nous avons supprimé la page d'annonces et conseillons à nos clients de réserver leur argent pour des temps meilleurs LUI AUSSI !.. Ca va mal, très mal en Bochnie.... A preuve, qu'après l'enfantine et grotesque proclamation d'Hindenburg on ait éprouvé le besoin de faire donner l'ineffable Kronprinz. Ce bretteur qui avant la guerre ne parlait que batailles, victoires, conquêtes, ce général de parada dont les armées, à la Marne d'abord, à Verdun plus tard, couvrirent de gloire.... l'adversaire, ce fils à papa reconnu comme le plus fougueux alldeutsch de l'Empire, veut bien, après 4 années de guerre faire connaître au monde ce qu'il pense depuis.... toujours ! L'Allemagne se défend ! Elle ne veut anéantir personnel.il y a place pour toutes les nations sous la calotte des cieux ! Nous ne songeons qu'à nous maintenir, et quand l'ennem(i verra qu'il ne peut nous abattre, la guerre sera finio ! Et la « Patron » qui le 16 juin parlait encore de lutte entre deux conceptions du monde : la conception prussienne, allemande, germanique du Droit, de la Liberté, de l'Honneur et de la Moralité ; et la conception anglo-saxonne de l'idolâtrie de l'or ! « Ces deux conceptions sont aux prises. La lutte est sans merci. L'une des deux doit disparaître. » Et von Kublmann qui dut s'en aller pour avoir osé dire que le sabre seul ne saurait mettre un terme à la lutte. Ecoutez donc le petit de Guillaume : « Le mot victoire ne peut être entendu dans le sens d'anéantissement de l'ennemi. Il signifie seulement que nous voulons nous maintenir et que nous ne nous laisserons pas abattre. » Si le chef incontesté des pangermanistes en est là... « Militairement parlant, l'ennemi le plus sérieux est le Français. Il est admirablement commandé. Le Maréchal Joffre était un général de génie. Foch est un généralissime de tout premier ordre. Le soldat Anglais est bon et endurant, mais le commandement supérieur anglais fut en dessous de sa tâche. Jamais je n'ai tenu les Américains pour quantité négligeable. Leur présence au front se t'ait nettement sentir. Toutefois, quelque soit leur foroe numérique, ils ne nous abattront pas.... » C'est ce que nous verrons, en attendant épinglons l'hommage de l'adversaire ! Dommage qu'il vienne un peu tard et qu'on sente si bien que loin d'être un geste chevaleresque, - chose décidément inconnue là-bas • il estIdicté par l'intérêt du moment : calmer -le peuple qui murmure, eu exaltant l'adversaire et en posant à la victime. Tout de même, ce que les-généraux français, entre les mains desquels reposent, avec les destinées de notre chère Patrie, l'avenir de l'Europe, ce que ces maîtres de l'heure doivent avoir " eu bon « à la lecture de la prose princière. Et quand la Bête sera par terre, nous entendrons peut-être celui qui aurait pu être Guillaume Iil affirmer que depuis le 4 août 1914 il savait que la partie était perdue Contre un monde d'ennemis il n'y avait rien à faire.... L. B. LA DANSE. Elle a commencé à l'heure marquée par le généralissime des armées alliées.... C'est Foch qui mène les violons. Çà va ! çà va ! Hardi I * ' a Les armées d'Hindenburg, gonflées des renfo/ts accourus de la Russie... paoifiée- (pas s'y fier!) avaient déjà recommencé le petit jeu de se ruer en trombes formidables et rageuses NACH PARYS. PARIS 1 Paris, cité de rêve où, depuis quatre années, Guignol II espère promener sa morgue, comme si les pavés de la capitale ne lui auraient pas sauté à la g.... tout seuls... Paris, terre charriante et somptueuse, cent fois promise aux sou- , dards casqués qui avaient juré de salir bien à fond,, cette fois, ce que leurs pères n'avaient pas eu le temps-de violer pendant l'autre guerre, celle de 70... Paris, la belle, que Berlin reluque d'un œil plein dé jalousie sauvage, comme une sorcière regarde une déesse.... Paris, enfin, qu'il fallait àstojLit prix atteindre autrement qu'avec les pruneaux de cette grosse Bertha inventée par le KrUpp de l'empire, pour ranimer l'enthousiasme de la Bocherie et faire sortir des goussets graisseux du pauvre Michel ses derniers pfennigs indispensables pour l'emprunt de guerre.... * * Il y avait déjà eu sous Joffre la.miraculçuse épopée de la Marne. D'un coup de coude circulaire, le Maréchal avait nettoyé le territoire littéralement couvert de la puante vermine d'outre-Rhin.. La bonne volonté et le courage ne manquèrent pas, ce fut la poudre insecticide qui fit défaut, hélas, à cette heure héroïque. Ne plaisanton's pas... Il y eut un quart d'heure poignant, où nous entendîmes battre le cœur de la France, toujours sublime malgré sa fièvre :. les Prussiens étaient revenus sur les bords delà Marne. Les offensives succédaient aux offensives. Les gazettes d'outrejRhin et leurs cousines.... germaines de ia presse censurée annonçaient à. l'univers que le dernier jour des Alliés était arrivé. A les en croire, la

Over deze tekst

Onderstaande tekst is geautomatiseerd gemaakt met OCR (Optical Character Recognition). Deze techniek levert geen 100% correct resultaat op. Dit komt mede doordat oude drukken moeilijker te lezen zijn met software dan moderne. Dat betekent dat er onjuiste tekens in de tekst kunnen voorkomen. Er wordt gewerkt aan verbetering van de OCR software

Er is geen OCR tekst voor deze krant.

Over deze tekst

Onderstaande tekst is geautomatiseerd gemaakt met OCR (Optical Character Recognition). Deze techniek levert geen 100% correct resultaat op. Dit komt mede doordat oude drukken moeilijker te lezen zijn met software dan moderne. Dat betekent dat er onjuiste tekens in de tekst kunnen voorkomen. Er wordt gewerkt aan verbetering van de OCR software

Er is geen OCR tekst voor deze krant.

Over deze tekst

Onderstaande tekst is geautomatiseerd gemaakt met OCR (Optical Character Recognition). Deze techniek levert geen 100% correct resultaat op. Dit komt mede doordat oude drukken moeilijker te lezen zijn met software dan moderne. Dat betekent dat er onjuiste tekens in de tekst kunnen voorkomen. Er wordt gewerkt aan verbetering van de OCR software

Er is geen OCR tekst voor deze krant.
Dieses Dokument ist eine Ausgabe mit dem Titel La libre Belgique: bulletin de propagande patriotique gehört zu der Kategorie Clandestiene pers, veröffentlicht in S.l. von 1915 bis 1918.

Bekijk alle items in deze reeks >>

Zufügen an Sammlung

Ort

Zeiträume