La Métropole

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s.n. 1914, 19 September. La Métropole. Konsultiert 18 Mai 2024, https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/de/pid/gh9b56f02p/
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ruedesPeignes,59 ANVERS 21e Année No~238 g; vou8 remercie de la générosité dont vous\ avez fait preuve en des dreonstances si imprévues. Mylords, Messieurs, nous nous buttons pour un but honorable et nous ne deposetons nos armes que lorsque eet objet aura été complètement atteint. J'ai une enfière confiance dans les efforts unis et loyaux de tous mes sujets et je prie que le Dieu tout puissant nous accorde sa benediction. Après le discours du Roi, 1'assemblee immense «ntourait le président de la Chambre des communes, quand oelui-ci alia a la Chambre des lords pour entendre lord Haldane donner notification de la sanction royale au bill du Home Rule. Après quoi, d'immenses acclamations 'éclatèrent de toutes parts, les deputes et les lords faisaient une demonstration pa triotique enthousiaste sans pareille, tandis que les mêmes scènes se. produisaient a la Chambre des communes oü ]£. Redmond, vivemenfc entouró, serrait ie nombreuses mains. Le. Parlement s'est ajourné jusqu'au 27 ootobre. (Reuter's Tel. Co). Le commandement supérieur ailemand Le ministre de la guerre prend les armes Londres, 18 septembre. — On annonce que öes modifications importante* s* seraieat produites dans k> commandetnoet supérieur de 1'armoe allemande qui se .trouve es ïranes. La general tos Hansen qui s'est «fcissé refouler jusque derrière Reins est mi» * la retraite pour motifs de sal té (?) et ram place par le general von fiineca, ministre d* la guerre. Le general v-on Stein est nomnié eosnman*ant* du 14me corps d'armee. Le comte von Airchbaoh, blessé" (P) est J&mplaeé a la têce du corps de-reserve par '9general yqb Eben. Les hostilités en France Le rapportf| officiel britannique Anvers, 18 septembre. — La legation britannique a An vers communique une dépêche de Sir Edward Grey, ministre des affaires ébrangères, le 17 septembre, portant le résumé du rapport du quartier general sur les operations qui se sont dóroulées du 10 au 13 septembre inclusdvement : Depuis le jeudi 10 septembre, l'armée a fait des progrès constants dans son effort pour repo usser l'ennemi en collaboration avec les Francais. Dans 1'espace situé devant les Anglais, avant que lWigea de s'agenouiller devant leurs tombei qui déja étaieat greus^es» D^B requisitions fu- rent faites peurv divers approvisionneraents. Ensuite les six hommes furent conduits dans an champ voisin et fusillés. Suivant les declarations concordantes de plusieurs témoins dignes de foi, 24 autres personnes, parmi lesquelles des femmes et des snfants, furent aussi fusillées. Puis la ville fut pillée et les Allemands y mirent le feu .en plusieur8 endroits avant de l'évacuer. On croit que la catnédrale n'a pas été endommagée, mais de nombreuses maisons ont été détruites. Creil a été pülé aussi complètement et de nombreuses maisons ont été incendiées. A Crefy, le 3 septembre, des objets divers furent requisitionnés sous menace d'une amende d'un million de francs par jour de retard. Reims a été ©ccupé par l'ennemi le 3 septembre et a été réoccupé par les Francais le 13 septembre, après un combat acharné. Le 12 septembre, une proclamation avait été affiehée partout en ville dont voicd, littéralement reproduites, les dernières phrases: t ... En vue d'assurer la süreté dee troupes et d'inculquer le calme k la population de Reims, les personnes dont les noms suivent ont été prises comme etages par le commandant en chef de l'armée allemande. Ces ota^és ieront pendus a la plus lagere tentative ('e désordre. La ville sera aussi incendiée uotal**ment ou partiellemenlt et ses habitants se"ont" pendus a fe moindre infraction aux dispositions cidessufe.» (Suivent les noms de 81 des princLpaux%abr&ant8 de Reims, y compris t prêtres.) "*Cw4: Laaide lbritaiinique En Nouvelle Ecosse Halifax (Nouvelle-Ecosse), 18 septembre. — Le premier ministre a fait un appel émouvant en faveur des réfugiés bel ges. Le gouvernement a "l'intention d'envoyer un vapeur, chargé de provisions, et de vêtements, directement en Belgiqne,en gage d'admiration des habitants de la Nouvelle-Ecosse pour la defense héroïque des Beiges en faveur ie la cause de la liberté. Melbourne, 18 septembre. — Le correspondant du journal «Age» a Melbourne dit: «Si des couples beiges voulaient émigrer en Australië, ils pourraient fonder la communauté et recevraient une aide privee et gou■^ernementale■^. Us passeraient rapidement alors de la pauvreté a l'aisance. D'après une dépêche du eonsul beige a Sydney, il approuve l'idée d'encourager l'établissement de petites colonies beiges en Australië. (Renter's Tel. Co). ->—ao * Les Etat Unis et la pai Washington, 18 septembre.— M. Gerard ambassadeur a Berlin, rapporto au président Wilson télégraphiquement que M. de BethmannHollweg, disoutant avec M. Gerard la requête de M. Wilson demanlant si 1'E.mpereur youlait discuter la paix suggóra que puisque les allies firent ('accord de ne pas cesser les hostilités séparément les Etats-Unis devraient obteair des Allies les prepositions de paix. (Reuter's Tel. Oo). s aviateurs allemands ay-dessus de Paris Londres, 18 septembre. — Trois aviateurs allemands ont survoié Paris, jeudi, et ont jeté des bombes sur la ville sans toatefois causer des dégats fort graves. Malgré les vivos fusillades pai* lesquelles ils ent été accueillis üs ont pu s'échapper. Ge qu'il en tombe! lort do prince Otto voo Schoenberg-Waldenberg Paris, 18 septembre. — Le pftnee Otto voa Schoon berg-Walden berg, beam-frere du prince do Wied, ex-mbret d' Al ban ie, a été tué au eowrs d'un eoeabat en France. P'autre part on mande que le prince Friedrich Kar! von Hessen, beaa-frère d'Atbile IL a été btessé a la onisse au sombat de VjUecs-krÖ», Une bonne nouvelle Les anciens milltaires psuveni reprenèe du service Limite dage t 45 ans La Métropole ayant recu de nombreuses lettres d'anciens militair es et même de civils la suppliant d'intercéder anprès du ministre de la guerre pour qa'ils puissent prendre les armes, nous avons signalé avec une vive satisfaction eet excellent etat d'esprit a 1'honorable,chef de cabinet. Nous venons de recevoir ia réponse suirante: Les anciens militair es peur-ent toujours reprendre du service actiff. (lans cette êventualité, ils doivent se présenter au commandant du dcfiBf de leur regiment qui peut, éventuellepient, ties réengager avec leur ancien grade. La limite d'dge pour le réengagement est de f/5 ans. Nous adressons au nom de tons oeux qui vont répondre a eet appel un cordial «Merci» a M. ie ministre de la guerre l Cent mille Canadians partent pour la France Paris, 15 septembre. — «Une minute d'inj dépendance vaut des oeéalls de sang!» Telles fut la sobre a-utant qu'énergique parole qu'au cours d'un meeting, tenu le 31 juiflet, a Boston, prononca l'un des orateurs. Lancéo par la voie des órganes. oanadiens aux quatre coins du dominion, ce möle propos suscita un enthousiasme indescriptóble. A la nouvelle que 1'etendard était menace et que la Putrie faisait. f^ppel a^ ses'enfeJp^,r des mildier-s d'enrolements volontaires affluèrent au département de la milice. A Montreal, le 85e regiment d'infanterie,; que .commande le lieutenant-colonel Larochelle, se mettait aussitot a la disposition d-u gouvernement et votait un ordre du jour dans leqüel il déciarait qu'en presence de la gravité du conflit menacant la sécurité de l'empire britannique, il ne voulait pas forfaire sa de-' vise: « Bon coour et bon bras ». De même au 65e, dont les officiers, fiers d'etre les f ils des héros de Chateaugüay, déclarèrent vouloir faire « aussi bien » que leurs compatriotes de langue anglaise.... Dans les autres villes, l'élan fut généra-1. A Quebec, les 53e et 54e regiments de Sherbrooke se déelarèrent prêts a partir; a SaintJohn, dans le Nouveau-Brunswick, le colonel Mac Avity, du 62e regiment de fusiliers, réunit ses officiers et tous reprirent du serviee) actif; le lieutenant-colonel Armstrong, du 3e artillerie coloniale, ses officiers et sous-officiers^ s'engagèrent sur-le-champ, ainsi que le colonel Mac Lean et les officiers du 28e dragons, le colonel Mac Dougall et les officiers du 8e hussards. Dans les provinces, oh ne se montra pas moins ardent. Cello de Manitoba leva un bataillon d'infanterie de mille hommes, qui furent équipes et armés a ses frais. A Toronto, trois oents veterans ayant pris part aux campagnes de l'Afrique du Sud en 1866 et 1885 se rendirent aussitot au quartier general, oü ils signèrent leur engagement. Les noirs du Canada, qui forment uneno'pulation de 4.000 ames, ne voulurent point, eux non plus, rester en arrière, et leur leader, Ignatius d'Horsey, dans une lettre adressée au coionel Hughes, ministre de la milice, se déclara, en leui- nom, pret a participer a la defense dé l'empire. («Matin* de'Taris). L'union nationale en France! Les prêtres et les religieux sous les drapeaux D'après les renseignements fournis par les évêques et les supérieurs des séminaires on peut estimer qu'environ 15.000 prêtrei sent actuellement officiers, sous-officiers brigadiers, caporaux ou soldats dans nos armees. Les dioceses qui oomptent le plus de prêtres ou de séminaristes aux armées sont deux d» Paris (437), de Vannes (425), de Lyon (400), de Cambrai (300), de Bosancon (300), d'Arras (300), de LiBie (300), de Cbwnoble 285), de Toubuse (250), de VorsaiHes (240), Dans le diocese de Perpignan, le tiers du clorgó est sous les arm«s. Daas les dioceses de Belley, sur 40 séminaristes, 32 ont été ffloboKéfri on se sont engages. D'antre par€, un grand nombre de reli gieux sont revenus d'Orient. Le seul vapour le «SaghaHen», a ranseaé ds Constantinople 70 Assomptionjiistes, lazaristes, Frères dei éooles chrétiennes, salésiens et maristes Deux autres paquebote ont raanené a.Marseille, l'un 63 religieux venant 4'Egypte, l'au it«e 24 venant de Smvrne. Poor Ie premier soldat beige qui prendra un drapeau ailemand ^ Pveport : fr. 1.443.35 Pour qu'on donne des armes aux Cam- pinois6.— Nous les francherons ces obstacles, ayez confiance2.— Pefier peloton, Ier batailon, 8e de ligne, a Contich10.— Au premier brave frère, un groupe d'artilleur8 de cöte, oantonnés k D.7.— En admiration6.— M. Froment, directeur de 1'Atlas et la Ier compagnie des Chasseurs éolaireurs' d' Anvers,60.— Pour Ie premier soldat qui prendra une pièce de siege Report: frs.103.25 A. C.10.— Anonyme dè Termonde5.— Un vieux Congolais de St-Trond,10.—10 cigares a ajouter aux cent mille de Gand2.— Dames et demoiselles réfugiées en, Hollande (voir «Correspondance» )1.— Les prises de guerre Le « Times > Londres, 17 septembre. renseigne que la Cour des prises, en Angleterre suit dans ses arrets La convention de La Have. Sont seuls confisqués les navires captures en haute mer. Par oontre, les navires captui'és dans un port sont snmploment saisis. Destruction d'avions allemands A Troyes Paris, 14 septembre. — On et taube t a jeté plusieurs bombes qui ne oausèrent que des dégats insignifiants au-dessus de Troyes. L'une d'el/les est tombée sur la gare au moment oü le train de Belfort pénétrait sous le hall vitré; mais aucun voyageur ne fut attednt. Un avion francais donna aussitot la chasse au «taube». Après une ómouvante poursuite de 20 kilometres,^Vaéroplane aHemand fut re joint prés de Piaey oü il s'abattit. "Les deux aviateurs" allemands, un capitaine et un lieutenant, ont été tués. ■ Prés de Fontainebleau Fontainebleau, 12 septembre. — Tandis que nos dragons de Fontainebleau donnaient la" chasse a une patrouille do cavalerie allemande égarée, ils apercurent prés de Baüby, volant a une hauteur de 800 metres environ, un «taube» sur lequel ils tirèrent. L'aéroplane allemand fut démonté et les deux officiers allemands qui l'occoupaaen-t s'«écrasèrent sui' le sol, a Montigny. Un «Taube» a Saint-Cyr Paris, 14 septembre. —; Un «taube», pris par les troupes belges qui coopéraient & la defense de Namur, a été amené a Saint-Cyr l'Ecoie, oü il a été réparé, car ses aües avaient été quelque peu endommagées par la mitraille. E>t le «taube» ailemand, pilote par des aviateurs bel ges, a évolué au-dessus du centre de Saint-Cyr, au milieu de nos appareils, qui lui faisaient escorte. Ce que dit Védrines Paris, 15 septembre. — Un reporter francais sur le champ de bataiile, écrit : « Il faut que je vous donne des nouveiHes de Védrines. Je i'ai rencontre avant-hier soir, a Y..., a cinq ou six kilometres des lignes de combat." » Tondu müitairement, sa Légion d'honneur tirarit l'oeil sur sa veste de cuir, il sa-] luai-fa un capitaine avec un sentiment de discipline qu'on ne lui connaissait dans le cd vil. » Dès qu'il est libre. je l'aborde. Il est tout ;joyeus de me, voir et, sans même que je l'interroge, il me raconte ses peregrinations ioariennes au-dessus des masses ennemies. » — On fait du bon^ «bonlo», dit-il. C'est un peu monotone. Ton jours la même chose. n'estce pas ? Oroisière de l'est a l'ouest et de l'ouest h l'est entre deux points donnés, avec mission de repérer des mouveinents de troupes ou des positions d'artillerie et mi*: ilon de désosser quelques regiments... J'ai HjBy avion épatant, blinde, armé d'un canon, qui peut -faire du 160 et qne j'ai baptise « La Varhe ». Je orois quo j'ai démnJi ** monde. Mais ce n'est pas ea que je vondraas...; Vh ! -si on me Lu tchant des Belges Air au Tchant des Wallons) ■ L- • Nnsse ^liére patrèye. après sarrwants ans d'paüye Trivtesse asüliupee, nouibrenRe» eueoro et avides de vem-" . Pourouoi ee^o dvfWreueo, a ce point /kt *nie, entre Liécre et Namur, c'owt co que lef ^>gnes sulvantes vont nous apprendme. Le bombardement d'abord A Liége, les Allemands ont, dans les pro» miers jours, bombarde les forts aveo do Par* tillerio do campagne et de 1'artillerie lourde d'armée : üa ne disposal ent en off et pas, dès ie début, d'artillerie do siège. En même tempt ils attaquaient violemment les intervaOes de l'Est, avec do 1'infanterie, de l'artillorie de campagne et do i'artilOerie lourde. Amsi attaques, forts et intervaJiles ont ptt résister dans dt bonnes conditions et infliger aux Allemands les portos énormes que l om ->ait. Los troupes de la defense ont pu lutter, oontre une supóriorité numériquo éerasenf U est vrai, mais au moins ft armes égales i infanterie et artillerie oontre infantene «I artillerie. Et, & l'envi. comptes-rendus et journaux ont pu dire justement la vaillanoe des notros, et les portes énormes que ooux-el »nt fait subir aux teutons avant de devoir battre on retraite. La lecon avait été cruelle pour les Allemands, Liége leur avait coüté plus do 20,009 hommos vaas que pour ooia un soul fort fut pris. On aait, on êffet, quo los forts tinreut 'ongtomps encore après le depart de la 3ntt division et d«s troupes de forteresso. •' Mais ootte lecon si chèreuiont payee DB» VA IT PORTER 8ES FRUITS. Nous no It dme* quo trop ft Nam or. Ici ea offot, plus d'attaques dirigées oontre dos intervalleïl qui,. formidablemeut organiisés 'l'aillours, ainsi qu'il a été dit pms hatrft, eussont vu tomber devant leurs lijmes b%eJ| nfas d'ecnemjt an'b Ltéot — tout.noi bo0H

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