Le national bruxellois

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s.n. 1914, 20 August. Le national bruxellois. Konsultiert 03 Mai 2024, https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/de/pid/9k45q4sp78/
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Jeudi 20 août 1914. La publicité dg nos oStas ôt tamniss dVapSt d? sujets ast h phs eoMliîwbli sa Baissa. 24™ année. —-N° 2)2. f?üEW0NïA6Nt-AUX-F(EflBES-'PDTAGÈRE5 ANNONCES Sujets demandant place :1 à & lignes, » •Demandes et offre» d'emploi : t» 4' page de 1 à 3 lignes,»• /Chaque ligne jupplèmenlaiï^ ' 40 centimes.* Reclames 3* page [avant Bourse/, la ligne . fr. Ville et faubourgs in ou f page . .. . Ö et Faits Divers Le NATIONAL est distribué au rez-de-chaus sée de toutes les maisons situées à l'intérieur des boulevards circulaires moyennant remboursement du prix du port, soil 30 centimes par mois. A l'étage ou au delà des boulevards, il est perçu IO centimes par semaine, ou 50 centimes par mois, contre lickel-quitiance. Le» annonces sont exclusivement reçues i « NATIONAL », 12, Montajmeaux-erbes Potagères. (Téléphone 1183) et l'AGENCE HAVAS. lareasx raverls de 9 a 6 nègres. Ï.OO l.OO 4.00 3.00 Nécrologies . la ligneCOO L'issue de la lutte ne paraît pas douteuse et qu'une fois pour toutes les journaux s'abstiennent, de^ parler des mouvements cits troupes. Le secret est essentiel pour le mouvement des opérations. AriEL h M. le begins-tr jj Braxsltes au calme et au sang-froid le la population. Concitoyens, Malgré la résistance héroïque de nos troncs, secondées par les armées alliées, il *5t à craindre que l'ennemi n'envahisse Bru viles. Si pareille éventualité se réalise, j'espèr pouvoir compter sur le calme et le sangfroid de la population. Que l'on se garde de tout affolement, de 'Jute panique. Les Autorités communales ne déserter»i.;pas leur poste. Elles continueront à remplir leurs fonctions avec la fermeté que dus êtes en droit d'attendre d'elles en les circonstances aussi graves. J'ai à peine besoin de rappeler à mes coiitoycns les devoirs de tous envers le pays. Les lois de la guerre interdisent à Penn&ii de forcer la population à donner des temps, libre accès dans les ambulances Pense«gnements snr l'Armée nationale et sujscs moyens de défense. Les habitants de créées ou agréées par la Croix Rouge, de: Bruxelles doivent savoir qu'ils sont en droit le refuser de faire connaître quoi que ce *oit, à ce sujet, à l'envahisseur. Ce refus !fi est imposé dans l'intérêt de la Patrie Qu'aucun de vous n'accepte de servir dèftuide à l'ennemi. Que chacun se tienne en garde contre les/épions et les agents étrangers qui chercheraient à recueillir des renseignements ou A provoquer des manifestations dans un sens quelconque, d'adresser un appel au clergé" Tal Poulie? ■ J^111 !?111' ne*•"* légitimement porter attente ni à l'honneur des familles, ni à laque régulier; le Cardinal Mercier prévient" Ie .c,t0vens, ni à la propriété privée, d aux convictions religieuses ou philoso- qu'ils l,ni< »,,es» n« a« libre exercice des cultes. ; pé-| Que tout abus commis par l'envahi LONGTEMPS QUE JE SERAI EN VIE ET Comment sont secourus nos blessés sur le cüamp cte bataille. Ce sera sûrement un réconfort pour les parents de nos soldats blessés de voir comment tout a été prévu pour que nos vaillauts troupiers trouvent partout tous les secours auxquels leur donne droit leur dévouement à la patrie. Secours moraux d'abord. Le Ministre de la Guerre a décidé que les ministres de tous les cuites reconnus auront, en tout En ce moment la situation générale surle théâtre belge des opérations se présente1 portant îesT>ie*se8j*eT*un ncomme suit :se trouveront des blessés ou des Après avoir perdu beaucoup de temps et' reJfvantdel'autorité militaireun çrand nombre d'hommes ainsi «»'•««!va .e ..de.Pouvoir disposer d'un même que dans les stations et trains trans- partout où malades U.p.n..t Eut** l'ail, droite p,asCe j f^Sfe^f 11 MSTiiJ. est parvenue à gagner du terrain sur les deux rives de la Meuse jusqu'au contact avec les armées alliées. Les troupes allemandes qui sont au nord de la Meuse se composent de fractions appartenant à divers corps dont l'effort principal s'était porté sur Liège et quele temps a rendu disponible. Il y a là aussi de la cavalerie. Grâce à celle-ci les Allemands ont pu faire beaucoup de bruit en s'étendant au nord et au sud. De ce côté, elle s'est heurtée à nos troupes et aux troupes françaises. Elle a été repoussée. Au nord, au contraire, elle a eule champ libre e| a pu pousser des pointes hardies i>-ir petites fractions nour vwHvrr Joinen Campinc. En un mot,les' *iiemanus ont pris le nord de nos positions. Leur avoir fait perdre plus de 15 jours pour arriver à ce résultat est tout à l'honneur de nos armes. Cela peut avoir des conséquences incalculables pour la suite des opérations. Le déroulement normal de celles-ci d'après un plan concerté entre les alliés peut amener l'une ou l'autre armée à manœuvrer, o'està dire à changer de position afin d'améliorer les conditions d'ensemble. Nous sommes à l'aile extérieure, là où ces manœuvres s'imposent presque toujours, soit pour la protection directe de flanc, soit pour la protection indirecte en échelon. La mission de notre armée peut donc exiger qu'elle modifie ses positions primitives grâce auxquelles elle a pu remplir complètement le premier rôle qui lui a été dévolu et qui consistait à gagner du temps. Il n'y a donc pas lieu de s'inquiéter si l'armée fait un mouvement dans telle ou telle direction. Les stratèges en chambre feront bien de s'abstenir de critiquer les dispositions prises dans ce but. Us doivent bien se rendre compte que uotre armée fait partie maintenant d'un ensemble de forces articulées et se souvenir que les conditions stratégiques! se3 < .^uxPansements, à l'application d'ap . ^ ,... „,1-x.-/ A.'pareils, et à toutes operations necessaires se sont complètement modifiées depuis que ' /eaïieiafioa tes lois t\ la nerre. Tous les journaux bruxellois sont soumis à la censure militaire depuis quelques jours. Les articles supprimés par la censure sont représentés par des « blancs ». SITUATION MERCREDI, 17 HEURES. (Communiqué officiel.) le cou tact a été établi intimement à notre droite avec nos alliés. Il ne s'agit pas actuellement de manœuvrer ou de combattre seuls. La couverture] de telle ou telle partie du pays, de telle ou \ telle ville devien secondaire et la poursuite du but assigné à nos troupes dans le dispositif général devient prépondérant. Ce but ne peut pas être dévoilé : Les esprits les plus avertis ne peuvent le découvrir étant donné le vague dans lequel restent, avec raison, les renseignements fournis au sujet des opérations. Ou se bat sur tout le frout s'étendant de Bàle à Diest. Plus il y a contact entre les armées ennemies et plus ou se rapprochera de la décision; plus il faut s'attendre à voir tourner l'avantage sur un point alors que l'on est obligé de céder sur un autre. C'est là une chose parfaitement prévue pour des batailles qui se livrent sur des fronts aussi démesurés que ceux occupes par les grandes armées modernes. En résumé, il ne faut pas penser seulement à ce qui passe à no-, portes. Un mouvement de mana'uvre ordonné dans un but déterminé, n'est pas nécessairement une retraite. Les combats livrés sur le front ces jours derniers ont eu pour résultat de rendre l'adversaire très circonspect. Ils ont retardé sa marche au grand avantage de l'ensemble des opérations. Il se fait maintenant qu'il n'y a pas lieu de se laisser accrocher prématurément, ce qui ferait le jeu des Allemands. C'est là toute la raison des mouvements qui s'exécutent. Nous ne sommes pas battus. Il s'en faut! Nous prenons desdispositions pour battre l'ennemi dans les meilleures conditions possibles. Que le public veuille bien à cet égard faire crédit au commandement de l'armée, qu'il reste calme 'et confiant. ceux qui répondraient à son appel, marchent au devoir, à leurs risques èt"p£| Q«e tout abus commis par l'envahisseur Ine soit i imédiatemCnt dénoncé, à vi- qui LIBERTÉ, JE PROTÉGERAI DE TOUTES MES FORCES LES DROITS ET Ll DIGNITÉ DE MES CONCITOYENS. JE PRIE LES HABITANTS DE FACILITER MA TACITE EN S'ABSTENANT DE TOUT ACTE D'HOSTILITÉ, DE TOUT USÂ.E D'ARMES,DE TOUTE INTERVENTION DANS LES COMBATS OU RENCONTRES. Concitoyens, Quoi qu'il arrive, écoutez la voix de votre Bourgmestre et maintenez lui votre confiance. Il ne la trahira pas. VIVE LA BELGIQUE LIBRE ET INDÉPENDANTE! VIVE BRUXELLES! 19 août nls. sans pouvoir compter « ni sur le » vres, ni sur les billets de logement > doivent être réservés à l'armée » 1914. Adolphe MAX. 1/ .AJOUT aux civils, si l'ennemi se montre Le ministre de l'intérieur recommandans leur région : De ne pas combattre; De ne proférer ni injures ni menaces; De se tenir à Vintérieur et de fermer les fenêtres, afin qu'on ne puisse dire qu'il y a eu provocation; Si les soldats occupent, pour se défendre, une maison ou un hameau isolé, de l'évacuer, afin qu'on ne puisse dire que les civils ont tiré; L'acte de violence commis par un seul civil serait un véritable crime que la loi punit d'arrestation et condamne, car il pourrait servir de prétexte à une répression sanglante, au pillage et au massacre de la population innocente, des femmes et des enfants. Secours physiques. Sur le champ de bataille même, des soldats brancardiers relèvent les blessés. Ces soldats ne portent pas le brassard de la Croix Rouge, mais seulement un brassard jaune ne leur conférant pas l'immunité du feu de l'ennemi. Pendant toute l'action, ils circulent constamment entre la ligne de combat et les postes de secours. Près de la ligne de combat, se tiennent des médecins accompagnés de soldats porteurs de sacoches de secours; ils ne peuvent s'éloigner de leur -égiment sous aucun prétexte Les médecins indiquent aux brancardiers la position qu'il brancar'ls'; ils donnent ensuite les soins tes plus urgents: arrêter une hémorragie, immobiliser sommairement un membre fracturé, etc Les « postes de secours > sont! installés à un kilomètre ou un demi kilomètre en arrière de la ligne do combat, abrités autant que le permet le terrain. Les médecins de régiment ont pour mission principale de mettre le plus promptement possible les blessés en état d'être transportés à la « place de pansement », avec laquelle ils doivent rester en communication avec des voies carrossables Dans les portes de secours, on installe au moyen de paille, des couchettes pour les blessés qui ne peuvent être immédiatement chargés sur les voitures. Des infirmiers assistent les médecins, qui ne peuvent cependant procéder qu'aux opérations urgentes L'on y classe les blessés en trois catégories: 1° ceux qui peuvent marcher, et qu'un gradé blessé conduit à la ^place de pansement; 2° ceux qui doivent v être transportés par les voitures d'ambulances: 3° ceux pour lesquels le transport immédiat présenterait du danger. Les voitures circulent incessamment entre le poste de secours et la place de pansement Chaque véhicule est accompagné d'un infirmier, dont la principale mission consiste à faire boire les ulessés pendant le transport A la place de pansement, 'es hommes reçoivent les aliments et les b< issons nécessaires Pour chacun, on c resse une feuille de diagnostic destinée à renseigner les médecins des établissements de l'arrière. Cette feuille est portée par le malade, sur la poitrine. Un des médecins dirige I'éva.cuafon des blessés, soit sur l'« hôpital volant », situé à deux ou trois lieues de distance de la ligne de combat, soit, surtout si l'on est près d'une gare de chemin de fer, directement sur un hôpital de l'intérieur. A l'« hôpital volant » resteront seuls les blessés qu'il est impossible de transporter, et ceux qui sont susceptibles de reprendre le service à courte échéance Tous ces soins incombent au Service ie Santé de l'Armée, officiellement co asti tu.» La Croix-Rouge de Belgique est une société privée, agréée cependant par 'e Ministère de la Guerre, et dont le but .st do prêter aide au Service de Santé de l'Année. Nul ne peut faire partie du Service hospitalier volontaire, s'il n'est Belge ou naturalisé. Bien que la Société puisse exceptionnellement concourir à relever les blessés, à les secourir et à enferrer es morts, elle est de préférence employée en arnére de l'armée, pour suppléer aux ailoines^ d'ambulances et aux hôoitaux vqla'its, et surtout nour aider à l'évacuation u*»s blessés en leur préparant, dans les stations intermédiaires ou d'arrivée, ies aliments et des secours médicaux ; enfin, en 6n hospitalisant un certain nombre dans des établissements de l'intérieur, orées or pgréés par elle. C'est à cette noble mission qu'elle a donné, en ces derniers temps, un rnacui fique essor, auquel ont pris art à l'envi toutes les classes de la société R-aj.pe'pns en terminant qu'à partir de la .nobilisuïbn, la Société de la Croix-Rouge 'oit se conformer au règlement sur le Service de santé en campagne, et tous les étaolissements créés par elle doivent se oonformer aux règles en vigueur dans les hôpitaux militaires, pour tout ce qui concerne l'admission, le décès, l'habillement et l'armement des malade*,. Les armes a La

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