L'information de Bruxelles

951 0
close

Warum möchten Sie diesen Inhalt melden?

Bemerkungen

senden
s.n. 1915, 30 Mai. L'information de Bruxelles. Konsultiert 08 Mai 2024, https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/de/pid/gx44q7rz3b/
Text zeigen

Over deze tekst

Onderstaande tekst is geautomatiseerd gemaakt met OCR (Optical Character Recognition). Deze techniek levert geen 100% correct resultaat op. Dit komt mede doordat oude drukken moeilijker te lezen zijn met software dan moderne. Dat betekent dat er onjuiste tekens in de tekst kunnen voorkomen. Er wordt gewerkt aan verbetering van de OCR software

20e Année, N° 22. HUIT pages — Prix du numéro : 10 centimes Dimanche, 30 Mai 1915. L'INFORMATION ABONNEMENT : Bruxelles et agglomérations : Un an, fr 4.00 — SU mois, fr. 2.00 Trois mois, fr. 1.00 Province et l'Etranger, le port en sus On s'ibonne dans tous les bureaux de poste DE BRUXELLES JOURNAL HEBDOMADAIRE Affilié à l'Union de la Presse Périodique belge Téléphone : B 7029 Boita postait 11° 4 d; Brunîtes I Compte chèques postaux 3858 BUREAUX : 148, RUE NEUVE. ANNONCES : Petite annonce . . la ligne fr o.35 Réclames » fr i.oo Nécrologies et Judiciaires» fr. 1.50 Sous „Varia" „ fr. 2.50 Les annonces sont reçues par les Agences de Publicité et aux bureaux du journal Toutes les communications doivent être exclusivement adressées à M. I» directeur de ,^'INFORMATION DE BRUXELLES" Bruxelles ommr L'ITALIE Les motifs -occasionnels de sa participation à la guerre. — Les causes réelles. — L'évolution diplomatique. — L'Italie et la Serbie. L'Italie et le Saint-Siège. — L'action militaire. — Les forteresses de la frontière. En Pologne • Aux Dardanelles • Le nouveau ministère anglais Bibliographie: Lettre ouverte au peuple belge. — La Semaine : La question du pain. - La bienfaisance et les chômeurs - La pénurie du nickel. - Les voies de communication. - L'extraction aurifère, etc. — Feuilleton : Le Droit en temps de Guerre, par M. le Conseiller Ernest NYS, professeur de Droit international : Les contributions pécunières et les campagnes d'Italie. L'Empire. — L'Invasion. (29e suite). — Bruxelles-Attractions. — Chronique Artistique. — Exploitation de brevet. — Renseignements de voyages- — Cartes de chemins de fer. — Tableaux des départs et arrivées des trains en gare de Bruxelles-Nord, Midi et Liège Guill. — Nouvel horaire de chemins de fer. Correspondances Internationales. Trains directs. — Indicateur des Vicinaux. tu vv U111I vvu "VJ UUI1I0 Vil gmv UV U1UAV11V.O 11U1U, 11 uviJ L'INFORMATION est en vente : En BELGIQUE : ALOST : Adolphe Ruelens, Marché-aux-Grains. ANDENNE : Félix Stellings, rue d'Orsiele. ANVERS : Roelans, 4, rue Saint-Pierre. » Van Loo, rue du Régent, 9. ARLON Ernest Vacca, rue des Carmes, 25. CHARLEROY : E. Mendier fils, rue de la Montagne, 10. » Agence Dechenne, 42. rue de Marchienne. CHIMAY Defrère Labotte, rue du Four, 18. C1NEY : iDeudonné Rodrigue, rue St-Hubert. ERQUELINNES : Mathieu Pierre. QAND : Dobbelaere, 63, rue de Flandre. HASSELT : Ballewyns. » Librairie Olyff, rue Haute, 19. HERENTHALS : Fr. Claes, rue Neuve. HUY : Ch. Duchesne, Statte-Huy. LEUZE : Emile Capelle, rue de la Station, 21. LIEGE : Bellens, rue de la Régence. » Devos-Pilleraerens, rue de l'Étuve, 9. LOUVAIN : Stroobant, rue de Diest. MONS : Mme Vve Scattens, rue de la Petite Guirlande. NAMUR : Librairie Roman, 43, rue de Fer. » Héro, place de la Gare. NIVELLES : Antoine Grotard, chaussée de Bruxelles, 40. SOIGNIES : Louis Nopère, rue de la Station, 49. VERVIERS : Vve Jos. Bonmal, Place Verte, 50-54. Aux librairies des gares belges et à Bruxelles-Nord (concessionnaire Stilke, 34, rue de Brabant). Vente en gros et abonnements : BRUXELLES : Agence Dechenne, 18, rue du Persil, 18 A l'Étranger : AMSTERDAM : Seyfardt-librairie. VIENNE : Goldschmid I, Wollzeile, 11. ROME : 11, Bocca di Leone (Tél. 2726). BERLIN N. W. 7. : Georg Stilke, Dorotheenstrasse, 66-6/. PARIS : Société Européenne de Publicité, 10, rue de la Victoire. LONDRES, E. C. : id. id. 1, Snow-Hill. L'Italie. Les motifs occasionnel» de sa participation à la guerre. — Les causes réelles. — L'évolution diplomatique. — L'Italie et la Serbie. — L'Italie et le Saint-Siège. — L'action militaire. — Les forteresses de la frontière. Quand on relit, dans le calme de la réflexion, les notes et les discours relatifs à la participation de l'Italie au conflit, l'on constate qu'un réel changement s'est produit, depuis le début de la guerre, dans l'attitude officielle de ce pays; ce serait le juger injustement et trop sévèrement, que de 1 ui attribuer dix mois de double jeu et de perfidie dans le but de se préparer à la lutte sans donner trop trop l'éveil à ses anciens alliés. Certes, beaucoup de neutres, et même de nouveaux alliés de l'Italie font, publiquement ou en eux-mêmes, leurs réflexions, que l'on peut deviner, sur la confiance due à un Etat capable d'une pareille volte-face. Mais, comme nous l'avons signalé il j a quinze jours, l'Italie a l'excuse d'avoir subi une double contrainte : les journaux allemands et autrichiens allèguent eux-mêmes que l'Angleterre a menacé de l'affamer en lui fermant le détroit de Gibraltar et le canal de Suez; d'autre part, ils disent avec tout le monde qu'une révolution était à la veille d'éclater, sous la pression d'une organisation nationale et internationale formidable, habituée depuis longtemps à un genre de procédés assez vifs, par exemple, wi UJV^V, UUU1. llUUÏtl uuiauç UC tucillllls UC ICI • v.uutopunutiu récemment encore, au Portugal. C'est ce que la Kôl-nische Zeitung, dont les attaches officieuses sont connues, indiquait au moment où l'arrivée de M. Giolitti à Rome semblait faire relever la fête aux partisans de la neutralité : le journal rhénan conseillait à ses compatriotes de ne pas se faire beaucoup d'illusions, à raison des difficultés à vaincre « à Rome même ». La majorité des Cmembres des Chambres et tous les préfets des provinces, sauf quatre, attestaient que la population de leurs régions était défavorable à la guerre. Mais M. Giolitti et un certain nombre de parlementaires pacifistes et neutralistes ont reçu tellement de lettres de menaces, qu'ils ont quitté Rome ou se sont au moins abstenus d'assister aux séances de la Chambre et'du Sénat. /Pression économique et navale du dehors, pression révolutionnaire à l'intérieur, menaces individuelles, terrorisme secret et terrorisme-de la rue, voilà ce qui résume l'occasion de la décision. On connaît, d'ailleurs, le rôle joué par les carbonari dans les révolutions et les actions de l'Italie au dix-neuvième siècle : cela n'a guère changé. La plus grande différence de situation résulte de ce que les travailleurs organisés dans le parti socialiste se sont séparés des associations révolutionnaires et secrètes; le parti ouvrier, par une proclamation publique, vient encore d'accuser les auteurs responsables de la guerre de trahison envers le peuple et le pays. A côté de ces motifs occasionnels, il y a des causes plus profondes, dont l'examen nous ramène à montrer la réalité d'un changement de direction politique depuis l'origine des hostilités. >. Les phrases des déclarations officielles d'aujourd'hui ne doivent pas nous égarer à cet égard, quoique les 'hommes d'Etat italiens, par un étrange aveuglement, s'expriment maintenant de manière à, présenter leur conduite sous le jour le plus machiavélique. Il n'est pas tout à fait exact qu'ils aient eu, dès l'ultimatum autrichien de juillet, l'intention d'en arriver à la solution actuelle, comme ils paraissent le dire pour donner de l'unité à leur attitude et imaginer des prétextes à leur décision : un journal américain, des plus hostiles aux puissances centrales, le New-York Herald, se fait même télégraphier de Paris que l'Italie s'est engagée vis-à-vis de la Triple-Entente dès le mois de mars 1914, en même temps que la mobilisation partielle russe fut décidée et aussitôt commencée : ceci confirme ce que nous disions, il y a huit jours, en parlant de plans déjoués. Mais cependant, contrairement à l'affirmation actuelle des notes italiennes, l'Autriche déclare avoir communiqué en temps utile, à Rome, conformément aux stipulations de la Triple-Alliance, ses intentions vis-à-vis de la Serbie. Et cette affirmation est corroborée par le Livre bleu anglais : celui-ci contient une dépêche envoyée alors à Londres par l'ambassadeur d'Angleterre; elle confirme V.V.O 1I11V1 IIUIIVJIIUI^O- 1 1U11IO UIIV.VIÛ- iiiuivuivwi Vi V O » JIU1UUA' que telle a bien été, il y a dix mois, l'impression des hommes d'Etats italiens. D'ailleurs, l'Autriche déclarait alors ne vouloir porter aucune atteinte à l'intégrité ni à la souveraineté de la Serbie : il s'agissait uniquement du contrôle d'une répression et, en cas de refus, d'une expédition « punitive ». Le télégramme du 2 août du roi Victor-Emmanuel III à l'Empereur François-Joseph atteste que rien, dans l'action de l'Autriche, ne paraissait, à Rome, contraire ni aux stipulations ni à l'esprit du traité d'alliance. Ce télégramme disait : « Je n'ai pas besoin d'assurer que l'Italie, qui a fait tous les efforts possibles pour maintenir la paix, fera tout ce qui est en son pouvoir pour contribuer, le plus tôt qu'il se pourra, au rétablissement de la paix. Qu'elle observe vis-à-vis de ses alliés une attitude cordiale et amicale. C'est ce qui correspond aux traités de la Triple-Alliance, à ses sentiments sincères et aux grands intérêts dont elle a la garde. » La déclaration de neutralité de l'Italie constatait le maintien de cette alliance : elle réservait expressément, à l'Italie « la recherche des moyens d'aider amicalement ses alliés ». Le roi aurait dit, il y a quelques mois, au Cardinal Piffl, archevêque de Vienne : « Un peut être rassuré. Je serai le premier de la maison de Savoie qui manquerait à sa parole. » L'Italie a donc évolué; c'est bien sans doute à cause des faits que nous avons exposés. Les compensations pour les alliés, d'après le traité, ne pouvaient concerner que des territoires n'appartenant pas à l'un d'entre eux; ainsi, pour les Balkans, l'équilibre entre eux devait être sauvegardé par le moyen de compensations. En ce qui concerne l'intégrité de l'Empire ottoman et des Balkans en général, garantie par la Triple-Alliance contre une action isolée de l'un des contractants, on sait que l'Italie ne s'est pas montrée scrupuleuse à l'excès dans l'observation de cette intégrité, de manière à pouvoir se montrer d'une sensibilité extrême vis-à-vis de l'Autriche. On sait, en effet, comment elle a enlevé la Tripolitaine à la Turquie et pris pied en Albanie. Le marquis de San-Giuliano, ministre des affaires étrangères d'Italie, déclarait, le 23 août, qu' « il serait prématuré de parler maintenant de compensations ». C'est après la mort de ce diplomate conciliant que les choses prirent une autre tournure. Le Livre vert italien commence, assez arbitrairement, le 9 décembre. Cependant, en décembre, le duc d'Avarna, ambassadeur d'Italie à Vienne, déclarait encore : « actuellement, il n'y a pas d'objet de compensation pour l'Italie ». Peut-être celle-ci croyait-elle à la défaite des puissances centrales, et voulait-elle se réserver d'intervenir pour préserver certains territoires autrichiens^ sur lesquels elle avait des visées, de tomber dans ce cas aux mains de la Serbie. Plusieurs discours et articles italiens ont donné cette impression dans les premiers mois du conflit. La tournure qu'a prise la guerre, les défaites de la Russie, le pessimisme exagéré d'une partie de la presse an- 29 Feuilleton du 3o Mai 1915. ■ - — 1 Le Droit en Temps de Guerre ï (Suite du N" 21, 20e Année) s Les contributions pécuniaires ^ et les campagnes d'Italie Bonaparte fit son entrée à Milan, le 16 mai 1796; la c population l'avait accueilli comme un libérateur; le iq f mai, une proclamation annonçait aux Lombards que 1er, I Français étaient disposés à les considérer comme des t frères, mais qu'ils leur devaient un iuste retour : une a contribution de 20 millions exigible sur-le-champ était t imposée; la répartition devait être 'faite par l'autorité c locale; une base était indiquée : la contribution devait c individuellement frapper les riches, les gens véritable- t ment aisés, les corps ecclésiastiques, et épargner la classe c indigente t Quand se produisirent à Rome les scènes odieuses, où r le général Duphot fut mis à mort par des soldats ponti- 1 ficaux et où des insultes furent infligées à l'ambassadeur 1 de France, Joseph Bonaparte, le Directoire fit la guerre au u pape; le 29 janvier 1798, l'armée française entra en cam- r pagne; le iô. février, elle était aux portes de Rome; le c 5 février, la République romaine était constituée. Le ouveau gouvernement n'exista que de nom : l'autorité lilitaire domina seule. Dans une dépêche, les commis-aires du Directoire résumèrent leur programme en des ignés brutales : « La révolution à Rome, écrivent-ils, n'a as été assez rendante. L'unique parti à prendre pour en irer désormais un parti plus convenable, c'est de consi-érer et de traiter les finances de l'Etat romain comme inances de l'armée française. Quelque étrange que soit ce mgage, nous sommes loin de le reprocher à ceux qui le iennent, puisqu'il 11e leur est suggéré que par des 'besoins uxquels ils touchent le plus près « Tout commen-îire serait inutile, écrit Paul Gaffarel, après avoir repro-uit ces lignes; aussi bien, c'est une triste histoire que elle des réquisitions imaginaires, des contributions mons-rueuses, des emprunts forcés, des mesures arbitraires u'enregistrent froidement les documents contemporains, .e vol est, en quelque sorte, autorisé par l'arrêté du 6 ger-linal an vi, en vertu duquel l'Etat romain paiera 32 rallions en valeurs, plus 3 millions en équipement, 3 mil-ions pour les besoins de l'armée et des objets d'art pour ne somme indéterminée. » Le Directoire (article 9) « se éserve en toute propriété tous les biens, meubles et réaïices appartenant au pape, à sa famille, à la famille . . Albani, au cardinal Busca, ainsi que les emphytéoses dont ils jouissaient ». Il « se réserve (article 21) 1 argenterie superflue des églises et tous les biens des établissements supprimés ou confisqués ». « Il fera connaître (article 22) sa volonté sur les muséum, les bibliothèques, le cabinet des tableaux et sur le sol du pays de Béné-vent » Que dire, ajoute le même auteur, des exactions particulières? Les Chigi, à eux seuls, durent payer 3oo,ooo écus. Un simple ^graveur, Volpato, fut imposé à 12,000 écus de contribution payables dans les vingt-quatre heures. On vendit à vil prix, sans parler de ceux qu'on ernoorta à Paris, les objets d'art appartenant aux cardinaux* Albani et Busca. Les musées et les bibliothèques furent livrés en proie à des commissaires aussi ignorants qu'avides. On enleva des palais pontificaux jusqu'aux portes et aux gonds, jusqu'aux ustensiles de cuisine! Rome n'était plus qu'un vaste marché, où l'on tenait bureau public de vol et de dévastation, bous prétexte de l'arrêté pris par Berthier contre les émigrés, ne e'avisa-t-on pas d'inventer de faux émigrés, dont les biens étaient aussitôt mis en vente, et qui ne parvenaient à se racheter qu'en payant de véritables rançons? On se croyait presque revenu à ces temps nefastes où les retires et les lansquenets de Bourbon étaient les maîtres de Rome et s'en partageaient les dépouilles. »

Over deze tekst

Onderstaande tekst is geautomatiseerd gemaakt met OCR (Optical Character Recognition). Deze techniek levert geen 100% correct resultaat op. Dit komt mede doordat oude drukken moeilijker te lezen zijn met software dan moderne. Dat betekent dat er onjuiste tekens in de tekst kunnen voorkomen. Er wordt gewerkt aan verbetering van de OCR software

Er is geen OCR tekst voor deze krant.

Over deze tekst

Onderstaande tekst is geautomatiseerd gemaakt met OCR (Optical Character Recognition). Deze techniek levert geen 100% correct resultaat op. Dit komt mede doordat oude drukken moeilijker te lezen zijn met software dan moderne. Dat betekent dat er onjuiste tekens in de tekst kunnen voorkomen. Er wordt gewerkt aan verbetering van de OCR software

Er is geen OCR tekst voor deze krant.

Over deze tekst

Onderstaande tekst is geautomatiseerd gemaakt met OCR (Optical Character Recognition). Deze techniek levert geen 100% correct resultaat op. Dit komt mede doordat oude drukken moeilijker te lezen zijn met software dan moderne. Dat betekent dat er onjuiste tekens in de tekst kunnen voorkomen. Er wordt gewerkt aan verbetering van de OCR software

Er is geen OCR tekst voor deze krant.

Over deze tekst

Onderstaande tekst is geautomatiseerd gemaakt met OCR (Optical Character Recognition). Deze techniek levert geen 100% correct resultaat op. Dit komt mede doordat oude drukken moeilijker te lezen zijn met software dan moderne. Dat betekent dat er onjuiste tekens in de tekst kunnen voorkomen. Er wordt gewerkt aan verbetering van de OCR software

Er is geen OCR tekst voor deze krant.

Over deze tekst

Onderstaande tekst is geautomatiseerd gemaakt met OCR (Optical Character Recognition). Deze techniek levert geen 100% correct resultaat op. Dit komt mede doordat oude drukken moeilijker te lezen zijn met software dan moderne. Dat betekent dat er onjuiste tekens in de tekst kunnen voorkomen. Er wordt gewerkt aan verbetering van de OCR software

Er is geen OCR tekst voor deze krant.

Over deze tekst

Onderstaande tekst is geautomatiseerd gemaakt met OCR (Optical Character Recognition). Deze techniek levert geen 100% correct resultaat op. Dit komt mede doordat oude drukken moeilijker te lezen zijn met software dan moderne. Dat betekent dat er onjuiste tekens in de tekst kunnen voorkomen. Er wordt gewerkt aan verbetering van de OCR software

Er is geen OCR tekst voor deze krant.

Over deze tekst

Onderstaande tekst is geautomatiseerd gemaakt met OCR (Optical Character Recognition). Deze techniek levert geen 100% correct resultaat op. Dit komt mede doordat oude drukken moeilijker te lezen zijn met software dan moderne. Dat betekent dat er onjuiste tekens in de tekst kunnen voorkomen. Er wordt gewerkt aan verbetering van de OCR software

Er is geen OCR tekst voor deze krant.
Dieses Dokument ist eine Ausgabe mit dem Titel L'information de Bruxelles gehört zu der Kategorie Oorlogspers, veröffentlicht in Bruxelles von 1915 bis 1918.

Bekijk alle items in deze reeks >>

Zufügen an Sammlung

Ort

Themen

Zeiträume