Notre Belgique

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s.n. 1918, 17 August. Notre Belgique. Konsultiert 01 Mai 2024, https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/de/pid/jw86h4dg8n/
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NOTRE BELGIQUE Ûiea prôtègi ta librt Bvigiçfu» Si tfimKûi i QUOTIDIEN Li Môtide étiff pss ÏBêlgîqm brait mervèu pms qui mayg en * W fir à'ease Wailùn i Tk«a &euy *• riammîiBgigkîgZâMài^â "HfilTi Tari/ de» AbonncmsttU Ntilltwlres I «Soi* I.4SO »r. S Maie « fr. OIvIIki (France) .... I Mol* 1.80 »r. S ftioia S fr. ' »« c./v i £*t. 1.1** ** m A~* <A BSÉ» ^ * «ôdaafSoï» et Adme^lstratlomi 13. EYJS DES COMMUEES, CALAIS Abonnement* Milil»ir«« : !»»r Stmxln* ! . « . Q 25 tr. | |tar SO «bOKHamaMtj fur WUlo I .... . I.OO fr.' follesHfi wn «iri ■■ ■ ni ■iriiiikii^MrTTtiKw»fca^^tiMVisgiTiâWTrfMfg»iMMgBagMMaMaMWKCiBrrriiii'akiMM^teaBaMaMMMMmiaiaBMB Le Pape, la Be gique et la Guerre() Après s'être dépensé pendant trois ans au soulagement des misères de la Belgique envahie, Mr l'abbé Misonne fut trouvé trop patriote au gré des boches. Il dut en toute hâte mettre la frontière entre lui et les envahisseurs. , Ceux-ci B'occupaient de lui de façon trop indiscrète. Arrivé en France, Mr Misonne fut assez surpris d'une certaine défiance qui continuait à se manifester vis-à-vis du Saint-Siège. Oq reprochait au Pape de ne pas parler, de parler trop tard, de ne pas dire le mot qu'il fallait ; et tout de suite, Mr Misonne estima qie c'était là une vue inexacte des choses. Au cours d'un séjour prolongé à Rome il fat à même de se rendre an compte exact des dispositions du Saint-Père à l'égard de la Belgique et il vit clairement que douter du Pape, de son dévouement absolu à notre chère patrie était une injustice flagrante.il résolut de la redresser. Car Mr Misonne a la passion de la justice ; il l'a montré suffisamment en consacrant autrefois sa débordante activité au redressement des griefs de la classe oa-Vrière. Tout homme qui veut s'expliquer, a droit à l'équité, et à une attfntion sympathique.Le plus modeste travailleur, le simple soldat la réclame ponr sa cause ...le Pape aussi. i » La brochure : « Le Pape, la Belglqu et la Guerre» n'est pas un plaidoyer, mai un exposé loyal «-t objectif. Laissant aux intellectuels de la Kultu lus affirmations tranchantes, les dénéga tions formelles de faits qu'ils refusent d contrôler, 1 auteur rappelle les principale interventions pontificales en faveur de 1 Belgique ; leur sens et leur portée son assez manifestes et l'on se demande pour quoi certaine presse les couvre d'un silène mystérieux et obstiné. 1. A partir du 18 Août 1914, à peln les premiers crimes allemands sont-;! connus, que la Nonciature de Bruxelle intervint au nom du Papa auprès d von der Goltz et introduit toute une eéri d'énergiques protestations. 2. Dès que le Siint-Père a pris 1 temps de s'informer sur ce qui s'est pass en Belgique, il revendique nos droits dan une réunion solennelle, et devant Tassera blée des Cardinaux réunis en Consistoir déclare : « Il appartient au Pontife romain qu Dieu a établi interprête souverain et ven geur de la loi éternelle, de proclame avant toat, que nul ne peut, pour quel que raison que ce soit, vlalsr la justlcfl et ctla nous le déclarons bien haut, e nous réprouvons éneralquemen toute» les atteintes au droit, en quelque pays qu'elles aient été commises.» Seuls, les Allemards pouvaient être visés, car seuls ils avaient invi.qné la raison do nécessité pour justifier leur injuste violation de la Belgique. 3 Bientôt, le 19 juillet 1915, dans une lettre à notre Ministre M. Van dea Houvel, : le Cardinal Gasparri, Secrétaire d Etat, 1 écrivait : « L'Invasion de la Belgique se i trouve directement comprise dans 1 les paroles prononcées au Censis-' tolre du 22 janvier 19 15 par le ■ Saint-Père quand il réprouve énergi-quement toute injustice par quelque partie ! et pour quelque motif qu'elle ait été ' commise. »» 1 Voilà qui est net et précis. ' Du reste, le sens des déclarations pon-k tificales était tellement clair que les Aile-" mands, toujours un peu en retard quand • il s'agit de comprendre, ne s'y sont pas " trompés et virent aussitôt qu'ils étaient " visés. 1 Dans la publication de l'allocution consislorlale, ils omirent le passage relatif ' à la Belgique, ils protestèrent immédiatement et demandèrent à Rome des explications." La condamnation portée contre eux par i Sa Sainteté Benoît XV était formelle. 4. Vers la fin de 1916, l'ennemi entreprit de déporter en Allemagne de nombreux civils belges. Aussitôt, le Pape » flève de nouvelles et énergiques protesta-s tions contre cet « esclavagisme » et cette odieuse atteinte au droit des gens, i « Tout en déplorant cet ensemble de maux, écrit il, nous les condamnons e comme nous condamnons encore toutes s les injustices qui se commettent daus cette a guerre. » t 5. Eufin, le lr Août 1917 dans ses propositions de paix, il indiquait comme e> condition indispensable : « L'évacuation totale de la Bel-s glque avec garantie de sa pleine indé-s pendance politique, militaire et économi-s que. » 3 Après des témoignages aussi explicites a et aussi catégoriques, îedire que le Pape n'est pas entièrement favorable à la Bel-3 gique, qu'il ne s'est pas nettement pro-3 noncé contre les injustices commises chez s ; nous, c'est fermer volontairement les yeux - ' à la lumière. s C'est se montr. r d'une compréhension inférieure à et llu des Boches. Aucun e homme de sens droit ne s'infligera volon- - talrement cette injure à lui-même. r L. DIEU. '• *> ° (lj La Pape la Belgique et la Querri 3t par l'abbé Octave Misonne, chez l'auteur : 40 it^rua Copernic, Pjrl? XVI. — Franco 2 fr. L'école au Front Il y a qutlquts semaines, à la dtmand d'un élève, nous avions contacté l'un d not billets au* professeurs de l'école d front. L'un de eeux'ei nous adressa su le champ en réponse une longue lettri destinée à faire ressortir l'immense mér le des soldats étudiants. Cette lettre, nou l'avons laissée dormir longtemps su notre bureau, dans nos papiers. (l'on r> peut s'occuper de tout à la fol*, n esl-c pas). Hier, nous l'avons relue et trouvt trop Intéressante pour ne pas en entreh nir nos lecteurs. C est une physionomie touU spéeiai que celle des écoles du front. a Oh! cette attention des élèves, eneoi une chose noavtlle dans son absolu généralité ! Vraimsnl on volt que tou £ sont conscients de l'importance de l'étudt [ la guerre a rendu sérieux ; nos jeune | gens ont compris que pour s'assimiler e, quelques mois ce qu'on mettait un an o £e\deux à apprendre auparavant, il fau ju - travailler... » ur Certes, des classes où tous les élèvt .g font attention, c'est quelque chose d r}m presque surnaturel, et qui n'appartier ut qu'à une époque aussi anormale que celt ur que nous vivons. ne « Quelle gravité revêtent parfois ce ce leçons, quand, par la fenêtre ouvert< ét nous arrivent les sourd* grondements d U" canon, quand parfois tout vibre à l chute d'un obus plus rapproché! i]e s 11 y a 2 ou 3 mois, j'exposais un matière quand entre un délégué essovfîli re « les unités sont alertées, chacun rejoir, ue sa tompagnie dans une demi-hsurt ! » » Bmr,lt~hLii ! h* liv «t tant •mmédia• tement rtmists, chacun s'apprête à par-I tir, tandis que lté commtntaires vont leur train : où va-i'on, que se patse-Uil ? x Et nous partons, la classe te vide, le tableau gardant la trace du problème inachevé qui intriguera tout à ïhsure tellement les bambins joyeux qui jouent encore à in cour. » Notre aimable cor r4$i>ondant termine par ces lignes.: « Taui ceci, Monsieur Ltlou, tout ce bavardage, c'est aûri de nous demander un petit article pour not élèsts, pour ces vaillants qui aliernart le tr avail de la plume av*c celui de la bo ï ' ne.ite, n'ont pat hésité à offïotiter cette ' lourde tâche de pourrît vre leurs élude* sans cet sur rte défendra leur patrie: ils * en hâtent la délivrante et en préparent ' le futur effort inttUeciasl, Quelques lignes pour eux, s'il vou< plait ! cela leur * sera ti agréable, après leurs dsrriii's succès ». g Ces lignes, les voilà. Nous ne pourrions mieux dire que celui qui a vu non toldati-étudiants à l'oeuvre, et qui a pu apprécier pertonnelltment la qualité de leur labeur intellectuel, j Nous recevons aujourd'hui la Ihi» det résultais des examens de la 4 D. A. pour S le csrt fi at d'humanités anciennes. Bon nombre de nos jsune* gens se sorti distingués il ont réussi les diverses épreu-j «ai. Nous félicitons chaudement les lau-rèalt, et nous enregistrons avec foie leurs succès qhi rendent iény^igaage à l'excel• lenae des cours institués par l'Ecole au front. ( 1» l»ELOU. La Machine à balziner '6 La 2e Direction Générale a pour mission principale l'étude et la mise en pratique de ,S la machine à « balziner », inventée par Fa-cile-Oheye et Narenne di boure, de Liège, et, en ordre subsidiaire, l'utilisation des compé-I" tetees. ï- Si la guerre actuelle n'aura servi à rien ou i- à peu de choses, elle aura au moins l'immense avantage de révéler et de faire surgir les compétences. Le secret des grands capitaines l0 fut toujours, du reste, l'emploi rationnel des j moyens mis à leur disposition : c'est la caractéristique du Génie ; les Anglais disent « the right man in the right place ». !Z C'est ainsi que le Directeur général est un 1X ex-souffleur du Théâtre Impérial des Marionnettes de la rue Roture. IL a été promu Di->n recteur général à cause de ses excellentes in notes qu'il m'a été donné de connaître grâce a- à une indiscrétion. Les voici : « Garçon bien doué, ayant les défauts de ■ ses qualités, plein d'allant et de partant » surtout avec l'heure et de plus, . infatigable » pour le repos. » Le secrétaire était garçon boucher rue ' Entre-deux-Ponts. Le préposé à la tenue de l'indicateur est un ancien marchand de poudre insecticide, qu'on » entendait vanter son produit sur la Batte tous les dimanches. L'employé chargé du classement des dossiers est un illettré qui était débardeur au «• ' port de Chéravoie. " Le dactylo tournait la manivelle de la ma-,n chine à fabriquer des chiques noires pour la toux, rue Léopold. uf Le chef du 1er bureau était ajusteur de clips en caoutchouc sur talons bottes au bazar gg de la place St-Lambert. ^ Quant au téléphoniste, c'était un authentique ingénieur électricien de chez Cockerill, "' Et que voulez vous quil fit contre tous?... 'e Ecouter et... répondre, voilà parfois le sort d'un homme sage en ce monde. et Cette troupe, — pardon, ce personnel — à t part le téléphoniste qui était accroché toute la journée, s'adonne avec ferveur à la mise en pratique de la machine à balziner. L'huissier de l'établissement, noble descendant de père en fils de la lignée des huissiers classiques, était au comble de T ahurissement e: quand le Directeur général, qui songe avec mélancolie à son opéra favori « Charlema-^ne » récita tout haut, certains passages : Sire Empereur Ch irlrmagne, mort fil* naquit quand La princesse naquat, etc. ¥ * t Voulant documenter les lecteurs de « Notre t Belgique » sur le mécanisme de la fameuse machine, je m'en fus voir le directeur général auquel je fis passer ma carte portant modestement : « Podai de la Podanserie du Djus de la Mouse et d'autres lieux de « Notre Be'-' gique. » Par la porte entrebaillée, j'entendis distinc-' tement le dialogue suivant : s — A combien qu'ils sont ? » — Ils ne sont qu'à qu'un, Monsieur le Di- * recteur. i — Fais les entrer tourtos deux par deux, s l'un derrière l'autre, qu'ils essuyent bier t leurs pieds, car Gertrude a netti le planchier t et que le dernier ferme bien la porte. Je pénétrai dans l'huis. Le directeur se promenait de long en large r tel un acteur en mal de répétition avant la * grande scène ; le chef de bureau était très attentif à marquer les points d'une lutte entre * deux coqs en papier tenus par le préposé à - l'indicateur et l'employé des dossiers ; dans r un coin, le secrétaire, au moyen d'un grand r couteau, découpait — comme s'il débitait des, beefsteatks — des morceaux de papier paur t les transformer en cocottes, cependant que U r dactylo dormait tranquillement la tête.ap puyée sur sa machine en émettant de temps en temps un ronflement en si mineur. Comme nul ne faisait attention à moi, je pris le parti de filer sur la pointe des pieds : j'é-tais édifié sur le fonctionnement de la machi * ne à balziner, de plus, je ne tenais nullement à distraire qui que ce fut de son absorbante u besogne. A peine dans le cofridor, j'entendis le directeur : — Est-ce que M. Podas est encore là ? — Il est vite parti en voye, répondit l'huissier.— Binarné Don Dju de bois, que vos ave: le visage dur... je suis tout à fait rouvisse j'ai oublié de lui dire que... Il faut que tu le raporcûse, que tu le ract.ûses et que tu l( ramon-nes. — Dues au directeur, dis je à l huissier, que le diale me stronle si je remets en core les pieds dans s'a boutique. PODAS. n L'YSER n- I ss II vient de paraître sous ce nom, chers ami; es soldats, nn nouveau journal de tranchée heb-es dom&daire. a- Ce journal da « Jas » tâchera de satisfairt ni ses lecteurs, qu'il espère fort nombreux eii peu de temps. ln « L'Yser » parait sur 8 pa^es. Il se vend è n_ 10 cmes le No. Les tb>nuements annuels ^ sont do 4 fr. « L'Yser », organe illustré avec soiu, dan-cs aera hebdomadairement dos « croquis » et ce d«s « Types » du Front. Il tiendra ses lecteurs du ccurait de tous les événements de saillants du Front'balg) : victoires aéileunes ni raids, coups de main de nos patrouilleurs (les i le « As » des tranchées), etc. etc. « L Yser » donuera régulièrement des nou-lie vellea de la vie en Belgique occupée. Il in formera Ina soldats dé tout ce qui peut les intéresser (Couvres pour nos jasees, f. yers, UH refuges, bibliothèques du Front, etc. etc.) Ii on aura une chronique sportive et thfâtiale, el us sera parsemé d'échos «musants. « L'Yser » ne fera pas de bourrage de crâ-des : feuille de soldats (tous ses collabora xu teurs soDt au front — le vrai —) il s'adressera aux toldatii, en leur langue, U lus defundri a et les aimera. Et ils pourront s'adresser à lu la pour tous renseignements. « L'Yser » espère donc répondre au goû de de checun. » * t- — Son titre est B. nal, dites-vous ? —Non, amis-soldats, son litre rappelle! fleuve gloileux où, dans la boue et 'a initiai . le, vous vivez, luttez et souffrez depuis 4 an pour défendre le dernier lambeau do la Pntri qui nous reste; « L'Yseï » vous rappelle qu'! ° est le parallèle de départ pour la marche e e avant de l'Armée Belge. e „ L'Yser » est un nom dont nouj pouvon être tiers, car uu généial allemand ne disait ! i- pas en octobre 1914 : i « Deutschland Uber allas, aber nkht ttbe u den Y8ER » C arl PETERS c Rédaction et administration du Journal d i- Tranchée « L'Yser » : Mhkar frères, 1/1 Z, 143. anti-jasse impénitent et ••• généreux s Mon char Lelou, Je termite la lecture de «Notie Bjlgiquo» : ci-joint 10 francs : 1) pour payer la satit'fuction que m'a procurée lm petite parenthèse au milieu da l'articulât d * Ardecnais » ; > 2) par haine de plus en plus grande du mot«Ja»se» et pour qae tous ceux qui croient l'employer dans un bon sens com-, prennent au plus tôt qa'iij se trompent ,T J.i suis ua vieux poilu du dVbut, nn-is ja n'ai jamais été uu « Jasse », pas plus que mes bons soldats. ^ Cordialement à vous, mon cher L^Iou. -a COMMANDANT Z. h L'Ecole au Front Sténographie Il nous est Impossib'e d'accuser réception > de toutes les demandes faites, mais nous eu !_ tenons compte «t nous enverrons la 1er leçon i dans la seconde moitié du mois d'août. Toutes les demandes doivent être faites peur le 20 au plus tard. 'e I Enseignement normal moyen S'il y a des soldats qui désirent passer uu examen soit préparatoire, soit autre, pour l'enseignement moyen du 2e degré (c. a. d. régent) cous les prions de nous le faire sa-s voir et de nous indiquer à quel examen ils se préparent. Ceci en vue d'obtenir qu'un 'jury e soit constitué. e Le secrétaire général de l'Ecole avj»Front A DE WULF, , Vil»* « Les Chirmettes » La- Panne. L*» soldats peuvent s'adresser su bureau pour tous les renseignements qui concernent l'f-nseigiTemeut. EXAMENS ' | Pour la collation des grades académiques Pour répondre au désir formulé par de è nombreux étudiants, Monsieur 1? Ministre des Sciences et des Arts a décidé que la réuaion prochaine du Jury central pour la collation a" des grades tcadémiques aura lieu EN SEP-et TEMBRE. c- Le Jury Central ne procédera qu'à la colla» ts «ion des grades académiques légaux. Toute-3» fois des Jurys Spéciaux seront également constitués pour la collation des grades d'ordre scientifique et siégeront immédiatement a- après la session du Jury Centrai, ci Cependant pour ces derniers, il ne sera =s constitué de jury d'examen que pour les s, épreuves auxquelles s'inscriront un nombre Il suffisant de récipiendaires. el Les Jurys Spéciaux procéderont également aux épreuves d'admission. â- Pour de plus amples renseignements s's-a- dresser au iieutenant DEVLEESCHAUWER, ra délégué du Ministre des Sciences et des ra Arts, toute vers Zwaantje, 72,Wulveringhtm. ui LA SITUATION L'âme de Vienne 'ii m On admirait la bravoure du commandant d'Annunzlo, valeureux aviateur et poète surs blime. Mais se doutait-on qu'il fût un s) avisé il diplomate ? Quelques personnes sont surprises du ton ar de hauteur indulgente, confinant à la mansuétude, du manifeste jeté par son escadrille à le la foule de Vienne. De l'auteur de «La Nave» I, — l'homme le plus haï des Allemands d'Autriche après le président Wilson, — ces per- V ' y s- tfpu - No 53* Le Numéro 5 ctm" Samedi ,7 Ao0, ,£ s

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Dieses Dokument ist eine Ausgabe mit dem Titel Notre Belgique gehört zu der Kategorie Oorlogspers, veröffentlicht in Calais von 1916 bis 1918.

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